L'homme de ménage 4 - histoire érotique

Après un passage rapide sous la douche, alors qu'elle se sèche, Aline m'interpelle de la salle d'eau attenante à la chambre parentale.
Elle:《tu m'as bien baisée mon pti pd!》
Je suis choqué qu'elle me traite de pd même si je sais qu'elle ne le dis pas méchamment. Tout à l'heure ses provocations verbales dans le feu de l'action m'excitaient, c'est vrai, mais là, comme ça, la tension sexuelle retombée... je me sens humilié...
Elle me rejoint dans le lit, éteint la lumière et se colle contre moi.
Elle:《t'as pas joui bb?》
Moi:《non... je me suis concentré sur ton plaisir...》
Elle:《c'est peut-être qu'il te manquait quelque chose...》
Moi, étonné:《qu'est ce que tu veux dire..?》
Elle:《t'as pas une petite idée..?》
Je ne réponds pas. Je suis sur le dos, Aline allongée sur le côté, tournée vers moi, sa cuisse gauche contre la mienne. Sa main glisse vers mon sexe qui a repris sa taille en mode repos c'est à dire très petite, 3 cm...
Elle:《peut-être qu'avec une grosse queue noire dans la bouche tu aurais joui... non..?》
Je continue de rester muet. Ma femme saisit alors ma petite bite avec 2 doigts et commence à la branler.
Elle:《raconte moi... je veux connaître tous les détails...》《dis moi comment tu as sucé ce mec...》
Je sais que ce n'est pas valorisant pour un homme mais j'adore quand ma femme me masturbe avec 2 doigts. C'est tout le paradoxe, en érection mon sexe a des proportions normales mais au repos il est minuscule. Aline aime bien s'en moquer gentiment et intelligemment car elle est bien consciente du plaisir procuré quand elle me dévalorise de la sorte.

Je n'ai pas envie de révéler tous les détails de ce que j'ai subi avec l'homme de ménage. Je me contente de gémir doucement...
Elle:《allez ptit' bite...》《comment elle était la queue de ce black..?》
Je ne réponds toujours pas. Aline insiste et continue de me branler avec 2 doigts.
Elle:《j'imagine que c'est pas le genre de bite qu'on masturbe du bout des doigts...》《mais plutôt à pleine main! hein!?》
Moi:《oui... elle est énorme...》《ça m'a vraiment impressionné》
Elle:《oui! et c'est pour ça que tu as obéi!》《tu t'es senti tellement inférieur, tu t'es senti obligé de sucer cette belle queue noire!》
Moi:《oui mais le gars m'a frappé aussi... il m'a forcé...》
Elle:《tsss tsss ça c'est ton excuse, la réalité c'est que tu étais content d'avoir ce gros chibre noir dans ta bouche!》
Les mots de ma femme m'excitent, elle le sent bien, ma verge commence à grossir entre ses 2 doigts...

Je suis très cérébral, mon état d'excitation s'amplifie et encouragé par les propos crus de mon épouse je me livre.
Je me livre totalement, je raconte en détails mon expérience humiliante avec cet homme noir dont je ne sais rien, même pas le prénom.
Aline insiste sur les choses les plus dégradantes et elle m'inflige des insultes inédites et toujours au féminin comme si elle voulait me retirer toute virilité, toute autorité, toute légitimité...
Elle:《t'es vraiment une grosse salope》《une chienne soumise》
L'épisode où l'homme de ménage me fait mettre à genoux et m'ordonne de tirer la langue puis me pince le nez, l'intéresse au plus haut point. Elle dit que OUI je suis une pétasse! 《une pute à blacks!》
Aline prend énormement de plaisir à écouter mon récit, je comprends que mentalement elle visualise ce black autoritaire et brutal. Elle a lâché ma petite bite depuis longtemps et elle se caresse en exigeant que je décrive du mieux possible l'homme de ménage...

Mon épouse jouit une 2ème fois pendant que je lui décris précisément le black que j'ai sucé. Moi je me suis branlé sans trouver la jouissance. Aline s'endort très vite alors que j'ai beaucoup plus de mal à trouver le sommeil... Je stresse, je regrette d'avoir tout dit à ma femme et surtout l'intérêt qu'elle a manifesté pour ce black m'angoisse...

Le week-end qui suit se passe normalement hormis l'attitude d'Eva (ma belle fille) qui a plusieurs reprises m'a regardé avec un air de défi. À chaque fois j'ai baissé les yeux le 1er, gêné, comme si son regard voulait me dire:《je sais que tu es une lopette, tu as sucé ce black, honte à toi》

Le lundi je reprends le travail. L'esprit encombré par mes responsabilités, tous les problèmes à régler, les réunions, etc, je ne pense plus à ma mésaventure avec l'employé de la société de nettoyage.
Chaque soir par contre Aline délaisse sa lecture habituellement quotidienne pour aller sur le net. N'étant pas intrusif je ne cherche pas à savoir ce qui la motive mais c'est elle même qui me dit regarder des vidéos "interraciales" et s'intéresser aussi au domaine "cuckold". Ne comprenant pas la signification du dernier mot elle m'explique qu'il s'agit de pratiques où le mari est cocu et humilié.
Cette révélation me fait l'effet d'un coup de massue! Instantanément je psychote! Quoi!? Ma femme sur des sites de cul!!!??? Et qui participe à des forums sur le thème du cocufiage!!!???
Moi, en panique:《mais chérie???!!! tu as l'intention de me tromper???!!!》
Elle, très sérieuse:《te tromper?》《absolument pas!》《je vais faire de toi un bon cocu! tu sauras tout!》
Je tombe des nues, je reste sans voix. Très naturellement Aline m'invite à me rapprocher d'elle en position semi-assise en collant mon gros oreiller près du sien.
Sur sa tablette une vidéo où l'on voit une belle blonde se faire baiser brutalement par un black bien membré alors qu'un homme blanc se tient à proximité, nu, regardant la scène.
Elle:《tu vois chéri, c'est ce rôle que je voudrais que tu tiennes...》《celui du cocu soumis》
La scène de sexe hard me captive, mon attention se porte plus particulièrement sur le sexe du black, il est gros mais moins que celui de l'homme de ménage que j'ai sucé. Ce qui me frappe aussi c'est la ressemblance de la femme blonde avec mon épouse. Je comprends qu'Aline se projette pleinement dans cette scène.
Elle:《ton aventure a fait ressurgir un fantasme enfoui》《ado et jeune femme je rêvais d'avoir une expérience avec un black》

La semaine avance, c'est jeudi. Je ne sais pas quelle attitude adopter; dois-je m'abstenir de rester tard ce soir afin de ne pas me retrouver dans la même situation que la semaine dernière, ou dois-je ne rien changer à mes habitudes et plutôt affronter l'homme de ménage? Oui, je suis quand même le directeur commercial de cet entreprise, je n'ai aucun mal à me faire respecter habituellement. Je dois m'affirmer, rétablir la situation mais plus je réfléchis à comment m'y prendre plus la solution de l'évitement s'impose...

Il est 17h45, alors que je m'apprête à quitter précocement l'entreprise mon téléphone mobile sonne. C'est Aline, elle veut savoir à quelle heure je rentre. Une longue discussion s'ensuit, je ferme la porte de mon bureau pour ne pas prendre le risque qu'un (e) employé (e) entende quelques bribes d'un échange qui devient houleux.
Mon épouse veut que je revois l'homme de ménage, que je l'attende, que j'assume mon rôle de lopette!
Elle:《t'en es une Paul! c'est ce que tu es!》《et tu aimes ça!》《t'es fait pour sucer des bites!》
Je dois être rouge de honte, je ne sais quoi répondre aux propos accusateurs de ma femme. Elle est en colère, elle tient absolument à ce que je revois cet homme noir ce soir, je dois rester dans mon bureau et l'attendre!

Finalement, comprenant que ne lui obéirai pas, Aline obtient de moi que je laisse un mot sur mon bureau, avec mon N° de téléphone, destiné à l'homme de ménage. Il est écrit:《cela ne doit pas se reproduire, nous devons avoir une explication, mon N° de mobile, Paul》

Pas d'appel dans la soirée ni de SMS mais le lendemain matin en arrivant au bureau je constate que le mot a disparu...

Tous les soirs Aline continue d'aller sur le net, elle me dit qu'elle s'instruit, d'un air narquois. Elle dialogue beaucoup avec une "amie" qui vit dans le nord, en couple avec un mari très docile...
Elle:《connais-tu la signification du mot BAB?》
J'apprends alors qu'il s'agit de l'abréviation Blanche A Blacks.
Ma femme me montre alors une photo de son "amie", une belle blonde, grande et athlétique, visiblement une sportive, elle tient une rame et je remarque des bateaux en arrière-plan.
Elle:《elle est championne d'aviron! elle a 28 ans!》《un canon tu ne trouves pas..?》
C'est vrai que la fille est très belle surtout qu'elle ne semble pas maquillée et vêtu d'une tenue de sport pas particulièrement avantageuse.
Elle:《elle mesure 1m75!》《ben tu vois c'est une BAB!》《elle ne baise qu'avec des blacks!》
Moi:《elle est en couple avec un black?》
Elle:《pas du tout!》《elle a un gentil conjoint blanc...》
La dernière phrase de ma femme est plein de sous-entendus...

Le samedi en fin de matinée je reçois un SMS d'un numéro inconnu. C'est l'homme de ménage!
《appelle moi à midi!》
Je me surprends à être finalement content qu'il m'ait écrit. Je préviens mon épouse, je remarque aussitôt dans ses yeux un lueur d'intérêt, voir plus... Elle veut que je téléphone à l'homme noir devant elle et surtout que j'adopte une attitude de soumission.
Elle:《pense à ton attitude dans les chiottes quand tu suçais sa grosse queue!》
Je constate que ces mots me font de l'effet, je me sens perdu entre ma volonté de ne plus perdre la face devant cet homme et ce désir mystérieux d'être à nouveau dominé.

À midi précise j'appelle le numéro inconnu. Aline a voulu que je mette le haut-parleur. Plusieurs sonneries, je suis fébrile alors que mon épouse semble excitée à l'idée d'entendre la voix de l'homme de ménage. Il décroche.
Lui d'une voix nonchalante:《yes?》
Moi timidement:《c'est Paul...》
Lui:《elle te manque ma bonne queue..? salope》
Moi:《euh... je voulais...》
L'homme noir me coupe la parole!
Lui:《t'as rien à vouloir! tu dois être dans les chiottes tous les jeudi soir pour sucer la queue de ton Maître!》
J'observe le visage de ma femme, son regard brille et elle sourit, visiblement satisfaite de la tournure de la discussion.
Moi:《j'ai mis le haut-parleur... ma femme nous écoute...》
L'homme noir ricane.
Lui:《parfait! elle en pense quoi de savoir que t'es une suceuse de queues?》
Aline est ravie de prendre la parole.
Elle:《bonjour Monsieur, je pense que c'est une très bonne chose...》《vous lui avez montré où était sa place...》
L'homme de ménage rigole à nouveau.
Lui:《oui, je lui ai mis quelques baffes mais il a très vite compris》
Je sens le rouge montait à mes joues, je ne peux rien répondre à cette vérité et je me sens exclu de la conversation.