L'homme de ménage 9 - histoire érotique

Le dimanche soir dans le lit conjugal j'interroge Aline sur l'étendue de ses révélations à sa fille. J'essaie de lui faire comprendre que ce sont des choses qui ne regardent que nous. J'ai trop honte pour lui dire comment Eva m'a traité dans sa chambre mais je l'alerte sur son rôle de mère et je lui demande de freiner l'attitude dominatrice de la jeune femme.
Aline:《écoute Paul, tu n'as pas d'enfant, alors je ne crois pas que tu sois des mieux placés pour donner des conseils d'éducation...》
Ma femme me répond avec nonchalance. Elle est encore sur sa tablette, visiblement sur Skype, à discuter avec son "amie" du net.
Aline:《Eva est très mûre pour son âge et ça ne m'étonne pas qu'elle ait cette attitude avec toi...》
Moi, outré:《ça ne t'étonne pas!!!???》《mais tu te rends compte de ce que tu dis!!!???》
Aline, toujours très calme:《écoute, on va arrêter là cette discussion》《je te demande pas ton avis de toute façon》《Eva te traite comme elle veut et tu as juste à la fermer》
Moi, timidement:《mais... chérie...》
Aline:《tu as accepté ce rôle de lopette Paul, et il te va comme un gant!》《alors tu assumes maintenant!》《à la maison et en dehors!》

Sonné par les paroles fermes de mon épouse je me sens impuissant, incapable d'argumenter, moi qui suis pourtant un commercial de métier qui, avec l'expérience et la réussite s'est élevé au poste de Directeur commercial.
Là, chez moi, j'ai le sentiment d'être dépossédé de ma position d'homme de la maison, de chef de famille.
Aline et sa fille m'ont fait perdre en quelques jours mon autorité, ma fierté, mon assurance...

Résigné, j'attrape mon livre du moment, un triller, et j'essaie d'évacuer cette frustration qui m'envahit.
L'échange par écrit entre ma femme et son "amie" est animé. Aline étouffe des ricanements.
Aline très naturelle:《j'ai montré une photo de ta petite bite à Sophie》
Moi:《mais ça va pas!!!???》《c'est la fille du Nord???》
Je suis scandalisé que ma femme diffuse une photo de moi, je lui exprime avec véhémence mon désaccord mais elle reste indifférente à ma contestation. Pis, elle me regarde comme si j'étais un idiot dont la parole n'a aucune valeur.
Aline:《elle la trouve minuscule, ridicule》《plus petite encore que celle de son conjoint!》
Je ne réponds pas à ses provocations et me replonge dans ma lecture sans conviction...

Quelques temps après, alors que nous venons juste d'éteindre nos lampes de chevet respectives.
Aline:《ah! au fait! j'ai invité Ibra à dîner jeudi soir...》
Je me redresse dans le lit, regardant dans la direction de ma femme même si nous sommes dans le noir.
Moi:《quoi???!!!》《chez nous???!!!》《à la maison???!!!》
Aline:《ben oui!》《et il restera peut-être dormir aussi...》
Ces derniers mots m'anéantissent, je reste figé, à genoux au milieu du lit conjugal, choqué, incapable de parler, les lèvres tremblantes.
Mon épouse perçoit mon désarroi. Je sens sa main douce sur mon avant-bras, elle le serre doucement et m'attire vers elle.
Aline:《viens...》
Je bascule doucement contre elle, ma tête vient se loger sur sur son épaule, contre son cou. Je respire profondément l'odeur de ma femme, son parfum... en quelques secondes un sentiment de calme m'envahit... je suis apaisé.
Aline m'entoure de son bras droit, sa main s'appliquant à maintenir mon visage.
Aline:《ne stresse pas Paul... tout va bien se passer...》
Ma femme caresse mes cheveux.
Aline:《tu ne crois pas que je mérite mieux que me faire baiser dans le coffre dégueulasse d'une voiture..?》
Ces mots n'incitent à aucune réponse, j'enfouie ma tête plus profondément dans le cou de mon épouse comme pour me protéger des paroles à venir...
Aline:《tu es mon mari mais Ibra est mon mâle... tu comprends..?》《je veux être sa femelle...》《sa queue me rend folle...》
Tout en me faisant ces révélations dures à entendre, mon épouse caresse tendrement ma joue, ma tempe, mes cheveux.
Aline:《tu as vu comme il m'a baisée ce matin...》《il sait si prendre lui...》《jamais je n'avais joui comme ça avant...》
J'écoute les paroles de ma femme et je perçois sans difficulté l'admiration qu'elle voue à son amant black. Ses gestes réconfortants m'aident à accepter et je l'embrasse amoureusement dans le cou... des baisers légers, doux, délicats...
Moi:《je t'aime mon amour... j'accepterai tout par amour pour toi.. 》
Aline continue de me caresser affectueusement le visage.
Aline:《oui... je sais...》《tu vas te comporter en bon cocu...》
Moi:《oui chérie...》
Mon épouse déplace alors sa main vers le sommet de ma tête et appuie.
Aline:《descends... descends... lèche moi...》
Mon épouse accentue sa pression sur ma tête, elle veut que je m'enfonce sous les draps.
Je glisse entre ses jambes et me positionne pour atteindre sa vulve... mon nez s'enfonce dans sa petite toison dorée en forme de triangle...

J'entreprends alors de la lécher, ma langue écarte ses grandes lèvres puis cherche son clitoris pour tourner autour... Le titiller...
Aline plie ses jambes et les écarte au maximum. C'est avec ses 2 mains à présent qu'elle m'appuie sur la tête! Fort! Écrasant ma bouche contre son vagin!
Aline: 《bouffe! bouffe mon cocu!》《hummmm ouiiii!!!》《ohhhhh ouiiii》《ohhhh c'est bon!!!》Ma femme me maintient la tête si fermement que j'ai du mal à respirer.
Je lèche de mon mieux, par moment je suce son clito. Ce ne sont plus des gémissements mais des cris! Aline serre ses cuisses comme si elle voulait emprisonner mon visage, je sens ses muscles se contracter.
Aline:《OOOHHHHH!!! OOUUUIIIIIIII!!!》《JE JOUIIIISSSS!!! JE JOUIIIISSSS!!!》
Ma femme jouis alors que mon cuni vient à peine de commencer! Depuis 3 minutes à peine! C'est la première fois que je la vois jouir aussi vite en 10 ans de vie commune...
Aline:《bouge pas... continue de me lécher... nettoie...》
Mon épouse écarte à nouveau largement ses cuisses, ses mains libérent ma tête, elle gémit doucement... des soupirs de satisfaction...

Je n'interromps pas mon léchage, j'ai chaud, j'écarte le drap, nous sommes dans le noir mais je devine la position souveraine de ma femme... bras pliés et étirés en arrière, mains croisées derrière sa nuque... ses cuisses restent grande ouvertes.
Aline:《je suis trempée...》《 nettoie!》
J'obéis, ma langue outil de plaisir se transforme en accessoire de nettoyage...
Aline:《Paul?》
Moi:《oui..?》
Aline:《tu sais qu'Ibra veut te casser l'cul..?》
Ces mots me font comme l'effet d'un coup de massue! Je cesse de nettoyer ma femme, je relève la tête, choqué.
Moi:《nooonnnnn chérie... pas ça...》
Mon épouse me met une claque sur la tête, agacée.
Aline:《ferme la!》《lèche!》《nettoie!》

Une nouvelle semaine commence. Ce lundi matin quand je descends prendre mon petit déjeuner, Eva ne manque pas de me rappeler que je dois faire sa chambre avant de partir travailler. Je ne réponds pas, connaissant l'aplomb de ma belle-fille j'ai trop peur qu'elle m'humilie davantage devant sa mère.
Eva:《j'ai rien entendu Dad...》
Le rouge me monte aux joues. Je regarde en direction de mon épouse qui arrête de beurrer sa tartine et me sourit d'un air moqueur.
Aline:《dis donc... entre ménage et petite lessive tu vas devenir une vraie petite soubrette!》
Mère et fille explosent de rire, je me sens tellement humilié que je ne termine pas mon petit déjeuner. Je quitte la cuisine et monte à l'étage pour ne pas avoir à subir plus de moqueries...


Le mercredi Eva n'a pas cours, elle se lève tard donc je suis obligé de revenir à la maison entre midi et deux pour faire sa chambre. Elle est de plus en plus stricte avec moi et ne tolère plus aucune contestation.
Ce mercredi j'ai un repas d'affaire avec une commerciale et un client.
Eva m'inonde de sms, elle exige que j'écourte mon déjeuner et que je rentre au plus vite à notre domicile.
Je suis confus de consulter mon téléphone plusieurs fois en plein repas. Ma belle-fille finit même par m'appeler, je suis obligé de quitter la table pour lui répondre.
De retour auprès de mes convives j'évoque une urgence familiale bidon pour pouvoir m'éclipser et je charge ma commerciale de la bonne suite du repas avec notre client.

Arrivé à la maison je me précipite dans la chambre d'Eva pour faire montre de bonne volonté. Je la trouve affalée dans son large fauteuil, ses pieds négligemment posés sur son bureau. Elle regarde des vidéos de skate sur son PC, elle ne tourne même pas la tête dans ma direction.
Eva:《à poil》
Depuis le début de semaine ma belle-fille a décidé que je devais faire sa chambre nu. J'ai compris que le but était de me mettre dans une position d'infériorité immédiate.
Alors que j'étais en costume cravate pour un repas d'affaire il y a à peine 20 mn, voilà que je me retrouve à présent nu comme un verre dans la chambre d'une gamine de 18 ans...

En faisant le lit d'Eva je ne peux m'empécher de réfléchir aux événements qui bouleversent ma vie depuis quelques jours...
Je pense bien-sûr à ma belle-fille et j'ai du mal à comprendre comment une lycéenne de 18 ans peut être aussi perverse et vicieuse. Ce qui m'impressionne le plus c'est son autorité naturelle. C'est inné chez elle, on voit qu'elle ne force pas le trait, ce qui est encore plus effrayant.
Une fois sa chambre propre et rangée, le rituel établi veut que j'attende à 4 pattes qu'elle vérifie que tout soit en ordre. Parfois elle me gratifie d'un léchage de pieds mais aujourd'hui, après son inspection il en est tout autrement. Eva juge que je lui ai manqué de respect au téléphone lorsqu'elle m'a appelé en plein repas.
Ma belle-fille me fait savoir que je vais être puni!
Elle m'ordonne d'avancer à 4 pattes jusqu'à son bureau et de plonger ma tête dans sa poubelle.
Ses ordres sont secs, son ton ferme.
Je m'exécute, me voilà nu, à 4 pattes, mon visage dans sa poubelle de bureau.
Eva:《cambre ton cul!》《mieux que ça!》《salope!》
Je me sens encore plus humilié que dans les toilettes avec l'homme de ménage de mon entreprise ou dimanche dernier en forêt. J'entends des bruits sur le bureau, Eva attrape quelque chose, j'appréhende, je ne sais pas à quoi m'attendre...

En fait ma belle-fille s'est armée de sa règle plate en bois, un accessoire qui doit faire 40 cm de long et 5 cm de large.
La règle s'abat sur mes fesses à un rythme régulier. CLAC! CLAC! CLAC!
Eva:《tu vas morfler salope!》
Les premiers coups ne font pas très mal mais avec la répétition la douleur commence à être vive.
Eva:《la tête dans la poubelle connasse!》《tu bouges pas!》
Je reste le visage dans la poubelle, humilié à l'extrême par cette jeune femme de 18 ans, acceptant ma punition. Je serre les poings pour mieux supporter la douleur. Parfois Eva annonce un nombre qui m'avertit du nombre de coups reçus.
Eva:《50!》CLAC! CLAC! CLAC!
Les coups pleuvent, en continu!
CLAC! CLAC! CLAC!
Chaque fesse est frappée en alternance. La douleur est maintenant insupportable, je crie de douleur, à chaque coup reçus.
CLAC! CLAC! CLAC!
Eva:《70!》
J'ai si mal que des sanglots se mêlent à mes cris de douleur, je supplie ma belle-fille de stopper la punition mais elle reste insensible à mes plaintes.
Eva:《tu as besoin d'une bonne leçon!》《donc ça s'arrêtera à 100 coups!》《tu recevras tes 100 coups!》
CLAC! CLAC! CLAC!
Eva:《et tu gardes bien la tête dans la poubelle!》
Je suis au supplice, les derniers coups m'arrachent des larmes.
Puis, le répit.
Eva:《100!》

Je reste prostré, dans la même position, à 4 pattes, mon visage planté dans la poubelle de la jeune femme.
Eva:《qu'est ce qu'on dit maintenant..?》
Un silence s'installe, je ne sais pas quoi répondre à ma tortionnaire.
Eva:《daddy..? qu'est-ce qu'on dit maintenant..?》
Moi, apeuré et sanglotant:《je ne sais pas Eva...》
Eva《on dit merci!》《connard!》《merci!》
Moi, craintif:《merci...》

Eva me demande où se trouve mon téléphone, s'en saisit, obtient sans aucune réticence de ma part mon code de déverrouillage et prend en photo mon cul meurtri et rougi à l'extrême par les 100 coups de règle reçus sur chaque fesse.
Eva:《tu peux te rhabiller salope!》《t'as intérêt à  plus me manquer de respect à l'avenir...》

Je peux enfin extirper mon visage de cette poubelle et me redresser. Je garde la tête basse, honteux, humilié alors que ma belle-fille observe satisfaite l'état de mon cul.
La douleur est toujours présente même si beaucoup moins vive que lorsque je recevais les coups.
Eva:《tu m'enverras la photo ainsi qu'à maman et à Ibra》《et tu la conserveras dans ta galerie...》《ça te fera un petit souvenir!》

Je remets mon boxer et mon pantalon avec précaution. Une fois rhabillé j'adresse un timide 《bonne après-midi》à ma belle-fille de 18 ans sans oser la regarder et je sors véritablement traumatisé de sa chambre.