L’Initiation de Béatrice 02 : dépucelage dans une bagnole
Récit érotique écrit par VIEULOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 117 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.7 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.8
- • L'ensemble des récits érotiques de VIEULOU ont reçu un total de 1 116 548 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-10-2013 dans la catégorie Pour la première fois
Cette histoire de sexe a été affichée 17 047 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
L’Initiation de Béatrice 02 : dépucelage dans une bagnole
L’Initiation de Béatrice 02
Alors que je vais sur mes vingt deux ans, je drague Béatrice une gamine de dix huit
ans, me promettant bien de la déniaiser en l’emmenant batifoler à minuit sur les
pelouses du bois de Boulogne. Mais le jeune tendron s’est garnie, prétextant être
indisposée…
DEPUCELAGE DANS UNE BAGNOLE
Le lendemain comme promis, je vais voir sa mère et sa grand-mère, car il n’y a pas de
père connu. Béatrice est très inquiète lorsqu’elle me voit arriver. Je salue les deux
femmes et leur fait brièvement un récit de mon parcours. J’annonce que Béatrice est
charmante et que nous sommes bons amis et je demande la permission de sortir avec
elle. Mais je précise seulement en amis. Je viens de rentrer de quatre ans d’armée et
je n’ai pas l’intention de m’engager pour l’instant dans une relation officielle. Je
crois que les femmes sont soulagées. Savoir leur enfant sortir avec un garçon de mon
âge, qui vient de faire la guerre en Extrême Orient, cela n’a rien pour les rassurer.
Ma démarche leur paraît honnête, surtout que c’est moi qui ai proposé de les
rencontrer. Je connais assez bien la réaction des parents et j’ai toujours agi de la
sorte, rencontrant les parents des filles que je voulais sortir. J’avais remarqué que
cela les tranquillisait. Cela ne m’empêchait nullement de sauter leurs filles, mais je
passais pour un mec sérieux. Béatrice voyant sa mère et sa grand-mère soulagées de ma
démarche, me paraît plus détendue. Pour moi, qui ai bien l’intention de me faire ce
jeune tendron, ce sera beaucoup plus facile.
Avec l’aval de la famille, je vais pouvoir tendre mes filets. Le samedi soir suivant,
un bal doit avoir lieu dans une localité voisine et des amis à moi s’y rendent avec
une grosse limousine d’avant-guerre, une Vivastella Renault six cylindres. Une immense
caisse carrée avec des sièges en velours confortables, surtout à l’arrière, où les
strapontins se rabattent dans le plancher du véhicule, laissant un grand espace devant
la banquette. Je compte bien m’en servir pour être tranquille avec la petite Béatrice.
Le samedi soir, elle descend de chez elle toute guillerette. En cette fin du mois de
juin, elle a revêtu une robe de cotonnade légère et des chaussures ouvertes à talons
fins. Elle est adorable en enfourchant le scooter, elle me fait mille baisers dans le
cou. Je retrouve Robert et Claude, de vieux copains de la Gym, dans ce bal sous tente
dans une bourgade campagnarde, assez proche cependant de notre ville. Pendant que
Béatrice va aux toilettes dans le café attenant au bal, Robert m’accompagne afin de
déplacer son auto pour la garer plus discrètement sous un arbre à l’écart des autres
véhicules. Puis, il me donne les clés de sa voiture sans difficulté, surtout que je
l’assure que je ne veux me servir que de sa banquette arrière. Lorsque nous avons bien
dansé et bu quelques verres de Martini, Béatrice est toute joyeuse et de plus en plus
amoureuse. Je l’ai peloté durant toutes nos danses, insinuant même une main sous sa
jupe en malaxant sa motte à travers sa culotte que je sens s’humidifier au fur et à
mesure que la nuit s’avance.
Elle accepte de me suivre à l’extérieur lorsque je lui propose de faire un tour vers
trois heures du matin. Enlacés, nous nous dirigeons vers le fond du parking et je la
surprends en ouvrant la limousine de Robert. C’est en riant que nous nous engouffrons
dans l’habitacle arrière et que je condamne rapidement les serrures. Je ne laisse pas
Béatrice se reprendre et je l’embrasse fougueusement tout en l’adossant sur la
banquette moelleuse de l’automobile. Mes mains baladeuses ne tardent pas à ouvrir son
corsage et à faire jaillir les deux seins pulpeux et rebondis de ma belle. Ma bouche
s’empare alternativement des tétons qui saillent orgueilleusement. Béatrice gémit sous
la pression de mes lèvres qui sucent avidement la chair voluptueuse, alors que j’en
profite pour glisser une main sous sa jupe. Elle disjoint ses cuisses sans résister et
mes doigts écartant les rebords de sa culotte atteignent la fourrure humide de son
bas-ventre. Elle mouille depuis déjà un certain temps car le coton de sa culotte est
trempé. Mes doigts s’infiltrent vers sa fente et je titille son clitoris que je sens
aussi gros qu’une groseille. La jeune fille halète et pousse de petits gémissements,
agitant son ventre sous mes caresses de plus en plus audacieuses. Les spasmes et les
cris brefs qu’elle laisse échapper ne laissent aucun doute sur les orgasmes qu’elle
éprouve. D’ailleurs, les cernes de ses yeux sont passés d’un gris clair à un marron
mauve, qui avoisine à présent le violet. Je la contemple, étendue sur la banquette,
les cheveux défaits, la poitrine abondante émergeant de son corsage, la jupe
retroussée sur ses cuisses et ses jambes grandes ouvertes.
C’est un appel au viol, mais j’espère que ma tendre amie sera consentante car je n’ai
plus qu’une envie, fourrer mon dard dans son con ruisselant de mouille. Avant que
Béatrice ne s’en rende compte, j’enlève ma chemise et mon pantalon en un tour de main,
puis dégageant rapidement du slip mon membre en érection, je me positionne entre les
jambes de ma proie. Lorsque Béatrice sent ma verge contre sa chatte, elle éclate en
sanglots. Je suis surpris de cette réaction et lui demande ce qu’elle a ? Elle
bafouille en pleurnichant que je ne voudrais plus me marier avec elle si elle couche
avec moi. Je suis médusé, il n’a jamais été question de mariage entre nous. J’ai une
envie furieuse de fourrer de force mon pieu dans son ventre, les heures passées à la
préparer me rendant à présent très impatient. Malgré tout je me reprends et la prenant
délicatement dans mes bras, je l’embrasse dans son cou, sur ses joues, sur sa bouche
et lui demande si elle ne veut plus de moi. Elle répond avec des sanglots dans la
voix.
- Si, mais tu ne voudras plus te marier si tu couches avec moi !
- Ma chérie, nous n’avons jamais parlé mariage, pour moi c’est trop tôt et j’ai
bien dit à ta famille devant toi que nous étions seulement bons amis et qu’il n’y
avait rien d’officiel. D’accord ?
- Si nous couchons ensemble, tu voudras tout de même te marier, si plus tard on
le faisait ?
- Je ne vois pourquoi le fait de coucher ensemble maintenant m’empêcherait de me
marier avec toi si cela doit se faire. Tu es satisfaite chérie ?
- Oui… Oui... Enfin je crois.
Tout en lui parlant, j’écarte sa culotte distendue et je la masturbe à nouveau avec
vigueur, titillant son clitoris et sa vulve inondée de mouille. Puis, j’engage ma
verge entre ses grandes lèvres et je m’enfonce d’un seul coup dans la chatte qui
occupe tout mon esprit depuis une dizaine de jours. Béatrice se raidit brusquement à
la poussée brutale de mon membre dans sa grotte et sanglote dans mes bras pendant que
je pilonne sans interruption la gaine vaginale qui enserre si fortement ma bite. Je
prends mon pied sans m’occuper de ma partenaire, ce qui n’est pourtant pas mon
habitude. Mais l’excitation de prendre ce jeune tendon qui m’a fait languir, m’a fait
oublier toute l’attention que je porte habituellement à la gent féminine. Je suis
déchaîné et me conduit cette fois comme un parfait soudard jusqu’à ce que mon foutre
gicle au plus profond des entrailles de mon gibier. En me retirant, je pose mes lèvres
sur le mont de vénus de la jeune fille et, le clair de lune éclairant presque comme en
plein jour l’habitacle de l’automobile, je m’aperçois qu’un filet de sang à coulé du
vagin et a même fait une tache sur le coussin de la banquette et a maculé sa culotte
en coton. Je ramasse mon pantalon et prends un mouchoir dans une poche, essuyant la
preuve d’une virginité à laquelle je ne m’attendais pas. Je me redresse alors et tout
en bécotant les lèvres de Béatrice je lui demande.
- Pourquoi ne m’avoir pas dit que tu étais vierge ?
- Mais … Mais… Je croyais que tu le savais
- Je n’ai jamais pensé que tu l’étais ma chérie, tu te laissais caresser partout et
mes mains et ma bouche pouvaient parcourir ton corps sans que tu protestes. J’étais
loin d’imaginer que tu étais pucelle. Je ne t’aurai pas forcée ainsi, je croyais que
tu faisais la mijaurée. Pardonne-moi chérie.
Béatrice se blottit dans mes bras et me regarde amoureusement. Elle prend ma verge
dans sa main et me souffle.
- C’est la première fois tu sais que je vois et que je touche un sexe d’homme. Je ne
sais rien tu sais, même si j’ai l’air d’être dégourdie. Tu m’apprendras mon chéri ? Je
t’aime Oh ! Comme je t’aime.
Je l’embrasse sur la bouche pour ne pas lui répondre et je pose ma main sur la sienne
et lui indique comment me masturber. Elle fait glisser ses doigts maladroitement sur
ma hampe, mais de cette malhabileté j’en ressens un délicieux bien-être et ma queue ne
tarde pas à rebander de nouveau. Béatrice est surprise de sentir le bâton de chair
grossir entre ses doigts et elle s’applique à faire glisser la peau du prépuce,
décalottant le gland qui prend à présent une couleur rouge violacé. Je me dégage de sa
main et me positionne entre ses cuisses en lui demandant si elle veut bien me
recevoir. Dans un grand sourire, elle soulève ses reins, et retire sa culotte
ensanglantée tout en m’offrant sa vulve devant ma verge qui tressaute de désir. Je la
prends entre mes doigts et masturbe avec le gland la vulve entrouverte et le clitoris,
retardant le plus longtemps possible l’introduction de mon membre dans le jeune vagin
à peine dépucelé. Mais Béatrice se montre insatiable, elle entoure ma taille de ses
bras et m’attire à elle. Mon gland qui est à l’entrée de son pertuis fore dans la
chair tendre et s’enfonce inexorablement au plus profond du jeune vagin. Ma belle
gémit de plaisir, me tenant fermement de ses mains, avançant son bassin au-devant du
membre qui la pourfend. Elle passe ses jambes qu’elle noue autour de ma taille, se
projetant en cadence devant ma queue qui la ramone avec fougue.
Si je n’avais pas constaté de visu la virginité de cette fille, je douterais fortement
de son innocence. Elle doit désirer depuis longtemps se faire déflorer car elle a un
sacré tempérament et semble très douée pour faire l’amour. Je vais certainement
pouvoir lui faire découvrir la sexualité sous toutes ses formes. Il va me falloir
l’initier à la fellation et à la sodomie. Cela ne sera pas trop difficile car elle
semble complètement désinhibée et se montrera sans doute une belle salope. Je n’ose
imaginer ce que cette fille pourrait donner dans des parties où elle serait prise par
plusieurs hommes ou femmes, mais il n’est pas trop audacieux de l’envisager, car
apparemment elle n’a pas froid aux yeux. Ses gémissements se sont transformés en
hurlements brefs, la belle enchaînant orgasme sur orgasme. C’est avec un râle sourd
que j’éjacule enfin et que, complètement vidé, je m’écroule sur sa poitrine. La jeune
cavale a eu raison de ma résistance et je me sens incapable de copuler avant un bon
moment.
à suivre…
Alors que je vais sur mes vingt deux ans, je drague Béatrice une gamine de dix huit
ans, me promettant bien de la déniaiser en l’emmenant batifoler à minuit sur les
pelouses du bois de Boulogne. Mais le jeune tendron s’est garnie, prétextant être
indisposée…
DEPUCELAGE DANS UNE BAGNOLE
Le lendemain comme promis, je vais voir sa mère et sa grand-mère, car il n’y a pas de
père connu. Béatrice est très inquiète lorsqu’elle me voit arriver. Je salue les deux
femmes et leur fait brièvement un récit de mon parcours. J’annonce que Béatrice est
charmante et que nous sommes bons amis et je demande la permission de sortir avec
elle. Mais je précise seulement en amis. Je viens de rentrer de quatre ans d’armée et
je n’ai pas l’intention de m’engager pour l’instant dans une relation officielle. Je
crois que les femmes sont soulagées. Savoir leur enfant sortir avec un garçon de mon
âge, qui vient de faire la guerre en Extrême Orient, cela n’a rien pour les rassurer.
Ma démarche leur paraît honnête, surtout que c’est moi qui ai proposé de les
rencontrer. Je connais assez bien la réaction des parents et j’ai toujours agi de la
sorte, rencontrant les parents des filles que je voulais sortir. J’avais remarqué que
cela les tranquillisait. Cela ne m’empêchait nullement de sauter leurs filles, mais je
passais pour un mec sérieux. Béatrice voyant sa mère et sa grand-mère soulagées de ma
démarche, me paraît plus détendue. Pour moi, qui ai bien l’intention de me faire ce
jeune tendron, ce sera beaucoup plus facile.
Avec l’aval de la famille, je vais pouvoir tendre mes filets. Le samedi soir suivant,
un bal doit avoir lieu dans une localité voisine et des amis à moi s’y rendent avec
une grosse limousine d’avant-guerre, une Vivastella Renault six cylindres. Une immense
caisse carrée avec des sièges en velours confortables, surtout à l’arrière, où les
strapontins se rabattent dans le plancher du véhicule, laissant un grand espace devant
la banquette. Je compte bien m’en servir pour être tranquille avec la petite Béatrice.
Le samedi soir, elle descend de chez elle toute guillerette. En cette fin du mois de
juin, elle a revêtu une robe de cotonnade légère et des chaussures ouvertes à talons
fins. Elle est adorable en enfourchant le scooter, elle me fait mille baisers dans le
cou. Je retrouve Robert et Claude, de vieux copains de la Gym, dans ce bal sous tente
dans une bourgade campagnarde, assez proche cependant de notre ville. Pendant que
Béatrice va aux toilettes dans le café attenant au bal, Robert m’accompagne afin de
déplacer son auto pour la garer plus discrètement sous un arbre à l’écart des autres
véhicules. Puis, il me donne les clés de sa voiture sans difficulté, surtout que je
l’assure que je ne veux me servir que de sa banquette arrière. Lorsque nous avons bien
dansé et bu quelques verres de Martini, Béatrice est toute joyeuse et de plus en plus
amoureuse. Je l’ai peloté durant toutes nos danses, insinuant même une main sous sa
jupe en malaxant sa motte à travers sa culotte que je sens s’humidifier au fur et à
mesure que la nuit s’avance.
Elle accepte de me suivre à l’extérieur lorsque je lui propose de faire un tour vers
trois heures du matin. Enlacés, nous nous dirigeons vers le fond du parking et je la
surprends en ouvrant la limousine de Robert. C’est en riant que nous nous engouffrons
dans l’habitacle arrière et que je condamne rapidement les serrures. Je ne laisse pas
Béatrice se reprendre et je l’embrasse fougueusement tout en l’adossant sur la
banquette moelleuse de l’automobile. Mes mains baladeuses ne tardent pas à ouvrir son
corsage et à faire jaillir les deux seins pulpeux et rebondis de ma belle. Ma bouche
s’empare alternativement des tétons qui saillent orgueilleusement. Béatrice gémit sous
la pression de mes lèvres qui sucent avidement la chair voluptueuse, alors que j’en
profite pour glisser une main sous sa jupe. Elle disjoint ses cuisses sans résister et
mes doigts écartant les rebords de sa culotte atteignent la fourrure humide de son
bas-ventre. Elle mouille depuis déjà un certain temps car le coton de sa culotte est
trempé. Mes doigts s’infiltrent vers sa fente et je titille son clitoris que je sens
aussi gros qu’une groseille. La jeune fille halète et pousse de petits gémissements,
agitant son ventre sous mes caresses de plus en plus audacieuses. Les spasmes et les
cris brefs qu’elle laisse échapper ne laissent aucun doute sur les orgasmes qu’elle
éprouve. D’ailleurs, les cernes de ses yeux sont passés d’un gris clair à un marron
mauve, qui avoisine à présent le violet. Je la contemple, étendue sur la banquette,
les cheveux défaits, la poitrine abondante émergeant de son corsage, la jupe
retroussée sur ses cuisses et ses jambes grandes ouvertes.
C’est un appel au viol, mais j’espère que ma tendre amie sera consentante car je n’ai
plus qu’une envie, fourrer mon dard dans son con ruisselant de mouille. Avant que
Béatrice ne s’en rende compte, j’enlève ma chemise et mon pantalon en un tour de main,
puis dégageant rapidement du slip mon membre en érection, je me positionne entre les
jambes de ma proie. Lorsque Béatrice sent ma verge contre sa chatte, elle éclate en
sanglots. Je suis surpris de cette réaction et lui demande ce qu’elle a ? Elle
bafouille en pleurnichant que je ne voudrais plus me marier avec elle si elle couche
avec moi. Je suis médusé, il n’a jamais été question de mariage entre nous. J’ai une
envie furieuse de fourrer de force mon pieu dans son ventre, les heures passées à la
préparer me rendant à présent très impatient. Malgré tout je me reprends et la prenant
délicatement dans mes bras, je l’embrasse dans son cou, sur ses joues, sur sa bouche
et lui demande si elle ne veut plus de moi. Elle répond avec des sanglots dans la
voix.
- Si, mais tu ne voudras plus te marier si tu couches avec moi !
- Ma chérie, nous n’avons jamais parlé mariage, pour moi c’est trop tôt et j’ai
bien dit à ta famille devant toi que nous étions seulement bons amis et qu’il n’y
avait rien d’officiel. D’accord ?
- Si nous couchons ensemble, tu voudras tout de même te marier, si plus tard on
le faisait ?
- Je ne vois pourquoi le fait de coucher ensemble maintenant m’empêcherait de me
marier avec toi si cela doit se faire. Tu es satisfaite chérie ?
- Oui… Oui... Enfin je crois.
Tout en lui parlant, j’écarte sa culotte distendue et je la masturbe à nouveau avec
vigueur, titillant son clitoris et sa vulve inondée de mouille. Puis, j’engage ma
verge entre ses grandes lèvres et je m’enfonce d’un seul coup dans la chatte qui
occupe tout mon esprit depuis une dizaine de jours. Béatrice se raidit brusquement à
la poussée brutale de mon membre dans sa grotte et sanglote dans mes bras pendant que
je pilonne sans interruption la gaine vaginale qui enserre si fortement ma bite. Je
prends mon pied sans m’occuper de ma partenaire, ce qui n’est pourtant pas mon
habitude. Mais l’excitation de prendre ce jeune tendon qui m’a fait languir, m’a fait
oublier toute l’attention que je porte habituellement à la gent féminine. Je suis
déchaîné et me conduit cette fois comme un parfait soudard jusqu’à ce que mon foutre
gicle au plus profond des entrailles de mon gibier. En me retirant, je pose mes lèvres
sur le mont de vénus de la jeune fille et, le clair de lune éclairant presque comme en
plein jour l’habitacle de l’automobile, je m’aperçois qu’un filet de sang à coulé du
vagin et a même fait une tache sur le coussin de la banquette et a maculé sa culotte
en coton. Je ramasse mon pantalon et prends un mouchoir dans une poche, essuyant la
preuve d’une virginité à laquelle je ne m’attendais pas. Je me redresse alors et tout
en bécotant les lèvres de Béatrice je lui demande.
- Pourquoi ne m’avoir pas dit que tu étais vierge ?
- Mais … Mais… Je croyais que tu le savais
- Je n’ai jamais pensé que tu l’étais ma chérie, tu te laissais caresser partout et
mes mains et ma bouche pouvaient parcourir ton corps sans que tu protestes. J’étais
loin d’imaginer que tu étais pucelle. Je ne t’aurai pas forcée ainsi, je croyais que
tu faisais la mijaurée. Pardonne-moi chérie.
Béatrice se blottit dans mes bras et me regarde amoureusement. Elle prend ma verge
dans sa main et me souffle.
- C’est la première fois tu sais que je vois et que je touche un sexe d’homme. Je ne
sais rien tu sais, même si j’ai l’air d’être dégourdie. Tu m’apprendras mon chéri ? Je
t’aime Oh ! Comme je t’aime.
Je l’embrasse sur la bouche pour ne pas lui répondre et je pose ma main sur la sienne
et lui indique comment me masturber. Elle fait glisser ses doigts maladroitement sur
ma hampe, mais de cette malhabileté j’en ressens un délicieux bien-être et ma queue ne
tarde pas à rebander de nouveau. Béatrice est surprise de sentir le bâton de chair
grossir entre ses doigts et elle s’applique à faire glisser la peau du prépuce,
décalottant le gland qui prend à présent une couleur rouge violacé. Je me dégage de sa
main et me positionne entre ses cuisses en lui demandant si elle veut bien me
recevoir. Dans un grand sourire, elle soulève ses reins, et retire sa culotte
ensanglantée tout en m’offrant sa vulve devant ma verge qui tressaute de désir. Je la
prends entre mes doigts et masturbe avec le gland la vulve entrouverte et le clitoris,
retardant le plus longtemps possible l’introduction de mon membre dans le jeune vagin
à peine dépucelé. Mais Béatrice se montre insatiable, elle entoure ma taille de ses
bras et m’attire à elle. Mon gland qui est à l’entrée de son pertuis fore dans la
chair tendre et s’enfonce inexorablement au plus profond du jeune vagin. Ma belle
gémit de plaisir, me tenant fermement de ses mains, avançant son bassin au-devant du
membre qui la pourfend. Elle passe ses jambes qu’elle noue autour de ma taille, se
projetant en cadence devant ma queue qui la ramone avec fougue.
Si je n’avais pas constaté de visu la virginité de cette fille, je douterais fortement
de son innocence. Elle doit désirer depuis longtemps se faire déflorer car elle a un
sacré tempérament et semble très douée pour faire l’amour. Je vais certainement
pouvoir lui faire découvrir la sexualité sous toutes ses formes. Il va me falloir
l’initier à la fellation et à la sodomie. Cela ne sera pas trop difficile car elle
semble complètement désinhibée et se montrera sans doute une belle salope. Je n’ose
imaginer ce que cette fille pourrait donner dans des parties où elle serait prise par
plusieurs hommes ou femmes, mais il n’est pas trop audacieux de l’envisager, car
apparemment elle n’a pas froid aux yeux. Ses gémissements se sont transformés en
hurlements brefs, la belle enchaînant orgasme sur orgasme. C’est avec un râle sourd
que j’éjacule enfin et que, complètement vidé, je m’écroule sur sa poitrine. La jeune
cavale a eu raison de ma résistance et je me sens incapable de copuler avant un bon
moment.
à suivre…
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par VIEULOU
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bof,...c'est ce que l'on croit mais le moment d'après, ça repart de plus belle ! Super excitant, ton récit, vieux loup. Continue, c'est si bien parti ! Didier