L'initiation de Léa - Episode 3

- Par l'auteur HDS Britlo6 -
Récit érotique écrit par Britlo6 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : L'initiation de Léa - Episode 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-08-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L'initiation de Léa - Episode 3
Le couple mature attend aussi avec impatience ce weekend avec Léa, Agnès et Jean sont ravis d’accueillir cette belle jeune femme dans leur antre à la campagne. Agnès n’a pas tenu le secret et a dévoilé à Jean les relations qu’elle a entretenues avec la jeune fille. Elle a dépeint Léa à son mari, comme une oie blanche qu’elle a réussie à mettre dans son lit, une jeune brune exquise de vingt-cinq ans, mince, un corps magnifique, une peau soyeuse, de jolis seins aux mamelons clairs et une petite chatte très peu poilue. Une merveille, un diamant à polir, une jeune épouse à initier, comme elle l’a décrit à son mari.

Enfin, le jour J arrive. Agnès vient la chercher dans sa voiture.
- Prête pour l'aventure, ma chérie ?
- Oui, je le suis.
Agnès lui lance un sourire enjoué et appuie sur l'accélérateur tandis qu'elles sortent de la ville, laissant derrière elles le bruit et la foule.
Elles discutent en toute décontraction, tandis qu'Agnès l'informe des projets du week-end.
- Jean adore cuisiner, tu seras donc bien nourrie. Il est un peu grincheux, mais il ne fait qu'aboyer sans mordre. Tu vas l'adorer, je te le promets.
En arrivant devant la charmante maison de pierre, Léa est frappée par la beauté du paysage. La maison est nichée au cœur des collines, entourée de fleurs sauvages et de verdure luxuriante. C'est encore plus beau que ce qu'elle avait imaginé. La maison en pierre est pittoresque et charmante, c’est une très grande villa avec un toit de chaume et du lierre qui grimpe le long des murs. En sortant de la voiture, Léa ressent un sentiment d'émerveillement. Agnès la conduit jusqu'à la porte d'entrée, où Jean l'attend, un large sourire aux lèvres.
- Bienvenue, bienvenue !
Léa est à nouveau frappée par sa stature et son âge, lorsqu'il l'embrasse chaleureusement. Malgré son crâne dégarni et sa légère bedaine, il dégage une impression d'autorité à la fois intimidante et rassurante.
- C'est un plaisir de vous revoir, Léa. Nous vous attendions.
Pendant qu'il parle, Léa remarque un cheval dans le champ à côté de la maison, dont la robe reluit au soleil tandis qu'il galope librement dans la prairie. Léa se tourne vers Agnès en souriant.
- Vous ne m'aviez pas dit qu'il y avait des chevaux.
Agnès passe son bras dans celui de Léa en l'entraînant vers la maison.
- Oh, ma chérie, il y a beaucoup de choses que Jean et moi ne t'avons pas encore dites. Mais d'abord, installons-nous.
- Jean, sers donc un verre de vin à Léa pour lui souhaiter la bienvenue
- Bien sûr, ma chère. Je vais chercher une bouteille à la cave. Rouge ou blanc
Léa hésite un instant, elle a très peu l’habitude de boire de l’alcool.
- Euh du blanc.
- Vous allez adorer ça. C'est un vin de notre vignoble. Un joli mélange de Merlot et de Cabernet », dit Jean par-dessus son épaule en disparaissant dans l'escalier de la cave.
Léa ne peut s'empêcher de sourire en regardant Agnès.
- Un verre de vin pour fêter ton arrivée ? Quoi de mieux ? » dit Agnès, les yeux pétillants de malice.
Léa prend une gorgée de vin, ses yeux balayent le salon confortable avec ses boiseries chaudes et ses meubles cossus.
- C'est délicieux.
- Nous sommes heureux qu'il te plaise, répond Agnès, dont l'expression devient sérieuse.
- Léa, nous voulons que tu te sentes chez toi ici. Nous voulons que tu en profites à chaque instant.
Jean sourit à Léa.
- En parlant de profiter de chaque instant, si je vous montrais nos chevaux après ? Ce sont de sacrés animaux, vous verrez. Venez, je vais vous faire visiter
Jean conduit Léa vers les grandes portes-fenêtres qui s'ouvrent sur la cour.
Lorsqu'ils sortent, Léa découvre avec émerveillement le jardin qui est une vaste étendue de verdure luxuriante, parsemée de fleurs sauvages vibrantes qui se balancent doucement sous l'effet de la brise. Un chemin de pierre serpente à travers le jardin et mène à une écurie située à l'autre bout de la propriété.
- Les voilà, dit Jean en montrant du doigt l'écurie.
Léa peut voir les chevaux par la porte ouverte, leurs têtes dépassant de leurs stalles, grignotant du foin.
- Ils sont magnifiques, souffla-t-elle.
Jean acquiesçe, la fierté se dessine sur son visage.
- Ce sont Thunder et Lightning, nos chevaux de course primés. Et la petite là-bas, c'est Daisy, notre jument.
Le regard de Léa se pose sur Daisy, un petit cheval maigre à la robe couleur crème.
- Elle est adorable murmura-t-elle, la voix pleine de tendresse.
- Je l'ai sauvée d'une mauvaise situation il y a quelques années. Elle est un peu timide, mais elle a fait beaucoup de progrès depuis qu'on l'a recueillie.
Léa fait un pas vers la jument, la main tendue, ses doigts tremblent légèrement alors qu'elle laisse Daisy la renifler. La jument lui donne un petit coup dans la main, son nez est doux et chaud. Léa sourit.
- Bonjour Daisy. Es-tu aussi gentille que tu en as l'air ?
Elle caresse le nez de la jument, ses doigts effleurent doucement la peau douce et veloutée.
- Je suis si heureuse que vous l'ayez sauvée, elle trop mignonne.
- Eh bien, nous sommes heureux de l'avoir. Maintenant que vous avez fait la connaissance de Daisy, laissez-moi vous faire visiter le reste de la propriété.
- On continue la visite ?
Léa acquiesce, donne une dernière tape à Daisy avant de se tourner pour suivre Jean. Pendant qu'ils marchent, Jean montre les différentes caractéristiques de la propriété.
- C'est notre potager, là-bas, dit-il en indiquant une grande parcelle de terre remplie de rangées de verdure.
- Nous cultivons tous nos légumes et, à l'automne, nous faisons nos propres conserves et confitures.
Léa sourit en écoutant Jean parler de son jardin. Il est clair qu'Agnès et lui ont construit une belle vie ensemble, une vie à la campagne, simple mais confortable. Ils marchent et rentrent à la maison. Agnès les accueille.
- Vous voilà, mes chéris. J'ai pensé préparer le dîner pendant que vous étiez partis faire un tour de la propriété. Nous avons une grande journée prévue pour demain.
Ils s'installent devant un délicieux repas composé de poulet rôti, de légumes frais et d'une purée de pommes de terre crémeuse. Léa savoure chaque bouchée, elle se sent à l'aise en leur compagnie. Après avoir mangé, Léa, Jean, et Agnès passent au salon devant le feu de cheminée. Les flammes crépitent doucement, tandis qu’ils dégustent un dernier verre de vin. Agnès et Jean sont installés sur le canapé en velours, leurs épaules se touchent, leurs mains s'entrelacent délicatement.
- Léa, dit Agnès d'une voix douce, nous voulons que tu te sentes chez toi ici. Détends-toi, laisse-nous te gâter un peu. C'est à cela que servent les week-ends, n'est-ce pas, Jean ?
- Bien sûr Agnès, il faut que tu profites pleinement de ton weekend avec nous Léa
- Ma belle, nous avons prévu une grande journée pour demain. Nous allons te faire découvrir ensemble la campagne environnante, les marchés locaux et même nous arrêter dans un petit vignoble. Et, bien sûr, pour couronner la journée, nous avons une réservation dans un charmant petit restaurant au cœur du village. Ça te tente ? demanda Agnès.
- Cela a l'air génial. Je ne suis jamais allée dans un vignoble.
A ce moment-là, Agnès se lève du canapé et étire ses bras au-dessus de sa tête.
- Eh bien, mes chéris, je crois qu'il est temps que nous allions tous nous coucher. Nous avons une grosse journée qui nous attend demain.
Jean lui emboîte le pas.
- J’ai mis votre valise Léa dans la chambre rose. Vous verrez Léa, il y a une salle de douche attenante.
La chambre rose qu’a préparé Agnès se situe juste à côté de la chambre du couple. Ils montent ensemble à l’étage et après s'être souhaité bonne nuit, rentrent respectivement dans leur chambre.
Une fois dans son lit, Léa entend des bruits suspects. Elle est surprise, elle ne bouge pas, essaye d’entendre ce qui se passe dans la chambre de son couple ami. Les gémissements étouffés et le grincement du lit sont trop clairs pour être ignorés, et Léa sent une vague de gêne l'envahir. Elle essaye de faire comme si elle n'a rien entendu, remonte les couvertures jusqu'à son menton et ferme les yeux. Mais les sons émanant de la chambre voisine sont trop forts, trop insistants. Elle ne peut s'empêcher de se sentir comme une intruse, comme si elle écoute à la dérobée quelque chose de privé et d'intime. Les bruits s'amplifient et deviennent de plus en plus caractéristiques. Léa sent son visage s'échauffer et son corps réagir. Elle est à la fois gênée et excitées. Elle sait qu'elle doit ignorer les bruits, mais quelque chose la maintient rivée sur place. Elle imagine Agnès et Jean, leurs corps enlacés, leur passion brute et intense. Elle imagine les mains d'Agnès parcourant le corps de Jean. Elle imagine la voix de Jean, plein de désir, son corps tendu et puissant alors qu'il prend Agnès. Le souffle de Léa se bloque dans sa gorge, son corps se tend. Son esprit est envahi par un mélange d'émotions, d’embarras et d’un étrange sentiment d'excitation. Elle est incapable de penser à autre chose, d'oublier l'image qu’elle a dans la tête d'Agnès et de Jean enlacés passionnément.
Enfin, les bruits cessent. Léa a beaucoup de mal à s'endormir ce soir-là, un tourbillon de pensées et d'émotions lui envahisse l’esprit. Elle se tourne et se retourne, son cœur s'emballe encore sous l'effet de la passion inattendue dont elle vient d'être témoin. Elle n'arrive pas à chasser de son esprit l'image d'Agnès et de Jean, leurs corps enlacés, leurs gémissements de plaisir résonnant à ses oreilles. Elle n'a jamais rien vécu de tel auparavant, jamais été aussi intimement impliquée dans le plaisir de quelqu'un d'autre à l’exception de son mari. Elle essaye de chasser ces pensées de son esprit, de se concentrer sur quelque chose d'autre, n'importe quoi d'autre.

Le samedi matin, après le petit déjeuner, Jean, Agnès et Léa partent en voiture visiter la région. Le soleil commence à peine à dissiper la brume matinale lorsqu'ils sortent de la propriété. Jean est au volant, Agnès est assise sur le siège passager, les jambes croisées, Léa est assise sur la banquette arrière, le regard tourné vers la fenêtre pour admirer le paysage. Ils passent devant des maisons de village pittoresques, aux murs de pierre couverts de lierre et aux jardinières remplies de fleurs éclatantes.
- N'est-ce pas magnifique ? commente Agnès, en regardant par la fenêtre.
- Je ne me lasse pas de cette vue. C'est tellement paisible ici, indique Léa d'une voix douce et rêveuse.
Jean s'esclaffe, ses yeux scintillent dans le rétroviseur lorsqu'il croise le regard de Léa.
- Eh bien, nous avons l'intention de vous faire plaisir Léa. La première étape de notre itinéraire est un marché local. Des produits frais, des gourmandises locales, que demander de plus ?
Agnès acquiesce.
- Peut-être que nous pourrons acheter quelques produits fermiers pour plus tard. J'en ai envie depuis la dernière fois que nous sommes venus.
Léa sourit, son estomac gargouille à l'évocation de la nourriture.
- Je n'ai jamais visité de marché local dans votre région. J'ai hâte de voir à quoi ça ressemble.
Jean lui sourit dans le rétroviseur.
- Vous allez vous régaler, ma chère. Les marchés locaux sont l'un des meilleurs aspects de la vie à la campagne ici. Les produits frais, les délices locaux, les fromages artisanaux, c'est le paradis des gourmands.
Agnès se retourne sur son siège, son regard s'attarde sur Léa.
- Et le plus beau, c'est que tout est local et frais.
- Rien ne vaut le goût d'une nourriture qui a été cultivée et fabriquée à quelques kilomètres de chez nous », poursuit Jean.
Jean gare la voiture dans un parking voisin et tous trois se dirigent vers le cœur du marché. Léa est impressionnée par les étals étaient remplis de légumes frais, dont les couleurs vives et les formes variées sont un régal pour les yeux. Des rangées de fromages artisanaux donnent envie à Léa avec leurs riches parfums de terre. Et les pâtisseries, oh, les pâtisseries ! Les croissants feuilletés, les baguettes dorées et les tartes sucrées saupoudrées de sucre se disputent son attention.
Jean ouvre la marche, d'un pas assuré dans le marché bondé.
- Venez, mesdames. Commençons par l'étalage de fromages.
Ils passent ainsi une partie de la matinée à parcourir le marché, de l'étal de fromages au pain fraîchement cuit, en passant par les produits frais et la charcuterie. Ils s’arrêtent même à un stand de miel local, où l'apiculteur insiste pour qu'ils goûtent une cuillerée de ce nectar directement dans le pot. Au fil de la matinée, le marché commence à se clairsemer et le trio décide de poursuivre son excursion campagnarde. Jean les conduit à travers un dédale de rues pavées, passant devant de charmants cafés et des bistrots accueillants.
- Où allons-nous maintenant, capitaine ? demande Agnès, sa main se pose légèrement sur le bras de Jean.
- Je vous propose d’aller déjeuner chez Francis un ami de mongue date qui tient une brasserie ici dans ce village. Pour cet après-midi, comme j’ai toujours aimé le charme des vignobles locaux, pourquoi ne pas s'arrêter dans celui qui se trouve à la sortie du la village ? Je suis sûre qu'ils seraient ravis de nous faire goûter leurs meilleures bouteilles.
Jean est enthousiaste.
- C'est une excellente idée. Le paysage est à couper le souffle, et le vin est excellent.
Après un excellent déjeuner chez Francis, ils se dirigent en milieu d’après midi vers ce petit vignoble à la sortie du village.
Ils s'installent dans une salle de dégustation, nichée au milieu des vignes luxuriantes, où le propriétaire de la cave verse à chacun un verre d'un vin d'un rouge rubis profond.
Jean en boit une gorgée
- Ah, c'est du bon vin,
Léa porte à son tour le verre à ses lèvres et en boit une gorgée.
- Mmm, laisse échapper Léa.
Jean sourit à sa réaction.
- Vous avez raison, c'est délicieux,
Elle boit une nouvelle gorgée, pour en savourer toutes les saveurs. Jean lui adresse un sourire chaleureux, ses yeux ne quittent pas les siens.
- Je suis heureux qu'il vous plaise, Léa. Le vin est plus qu'une simple boisson, c'est une expérience. C'est l'histoire de la terre, des gens et de la passion qui entre dans la composition de chaque bouteille
Léa ressent la passion de Jean, elle se sent attirée par le romantisme de tout cela. Elle boit une nouvelle gorgée de ce vin, les yeux rivés sur Jean qui continue à parler.
- Le vin est un voyage, Léa. C'est un voyage à travers les terres, les saisons et les vies de ceux qui le créent. Et nous avons le privilège de faire partie de ce voyage.
Léa ne peut s'empêcher de se sentir attirée par sa passion, ses connaissances et sa gentillesse.
- C'est magnifique, Jean,
- En effet, c'est le cas. Et maintenant, ma chère, nous avons rendez-vous dans un fabuleux restaurant pour que l'aventure soit complète.
Agnès frappe dans ses mains, les yeux brillants d'excitation.
- Oui, Jean a raison. Il faut partir. Il est temps de rentrer à la maison et de se préparer. Je suis sûre que Léa aimerait bien se changer aussi.
Léa sourit.
- J'ai hâte d'y être. C'est déjà une très belle journée et je vous remercie tous les deux pour cela.
Ils remontent dans la voiture et retournent au cottage. Léa regarde les vignobles et les collines, le cœur rempli d'un sentiment de satisfaction et d'excitation.
Alors que la voiture s'engage dans l'allée de la maison, Agnès se tourne vers Léa installée sur la banquette arrière de la voiture, les yeux pétillants de malice.
- Léa, ma chère, je te recommande de mettre une belle robe élégante pour le dîner. Nous allons dans un restaurant très spécial ce soir, et je veux que tu sois absolument radieuse. Et si l’on montait dans ta chambre pour faire quelques essayages ?
Léa accepte la proposition d'Agnès. En entrant dans sa chambre, Léa ne peut s'empêcher de ressentir un sentiment de bien-être avec Agnès. Léa ouvre sa valise, révélant une sélection de robes qu'elle a apportées avec elle.
Depuis le début du weekend chez Agnès et Jean, c’est la première fois qu’elles se retrouvent seules toutes les deux. Léa est toujours très perturbée par les deux expériences sexuelles qu’elle a eues avec sa patronne. Son état sentimental est confus, elle alterne entre une sensation de honte et de culpabilité et à d’autres moments repensent aux plaisirs intenses que lui a fait vivre Agnès.
Agnès soupire et parcourt à nouveau des yeux la sélection de robes dans la valise de Léa.
- Hmm, j’ai bien peur qu’aucune de ces robes ne conviennent pour ce soir. Mais, attends un peu dit Agnès en se tapotant la lèvre du doigt, pensive.
Elle se tourne vers Léa,
- J'ai une idée.
Elle fouille dans son armoire et en sort un tailleur jupe et un chemisier en soie transparente.
Léa est surprise.
- Vous êtes sûre ? Cela semble... un peu osé
- C'est absurde, ma chérie. Tu as une belle silhouette et cela la mettra parfaitement en valeur. Et puis, c'est une question de confiance en soi. Et ne t'inquiète pas, j'ai la lingerie parfaite pour toi.
Elle fouille dans son tiroir et en sort un délicat soutien-gorge ivoire et une culotte assortie, tous deux ornés d'une dentelle exquise.
- Agnès, c'est... magnifique, vous êtes sûre de vouloir que je porte ça ?
Agnès rit, les yeux pétillants de malice.
- Bien sûr, ma chérie. C'est pour toi. Allez, essaie-les. Voyons comment ces pièces te vont.
Léa commence à déboutonner son chemisier. Agnès l'aide de ses doigts habiles, son toucher est léger et doux. Lorsque le dernier bouton est retiré, Agnès enlève le chemisier des épaules de Léa, ses yeux s'attardent sur le corps de la jeune femme.
- Tu as une si belle silhouette, Léa. Cette tenue va t’aller à ravir.
Léa rougit, en entendant les paroles d'Agnès. Elle laisse le chemisier tomber sur le sol, son souffle est saccadé lorsqu'elle se retrouve devant Agnès en soutien-gorge et en jupe. Agnès lui sourit, et lui retire son soutient gorge en coton et l’aide à mettre celui qu’elle a choisi dans sa garde-robe.
- Et maintenant, le string, dit-elle en le tendant à Léa.
Léa respire profondément, ses mains tremblent légèrement lorsqu'elle attrape la délicate dentelle. Elle retire sa jupe et sa culotte, et enfile le string en dentelle. Agnès s'approche d'elle, la regarde d'un œil critique.
- Magnifique murmure-t-elle, ses doigts effleurant doucement la dentelle.
- Tu es absolument exquise, Léa.
Elle s'approche, ses yeux rencontrent ceux de la jeune femme dans le miroir. Le cœur de Léa bat la chamade quand Agnès se penche vers elle, ses lèvres frôlent le cou de Léa. Elle sent le souffle chaud d'Agnès contre sa peau, ce qui lui donne des frissons. Son corps se crispe un instant avant de fondre au contact de sa patronne. Elle laisse échapper un léger souffle, sa respiration s'arrête lorsque les lèvres d'Agnès remontent jusqu'à son lobe d'oreille, ses dents mordillent délicatement la chair sensible.
- Agnès... je... Je ne sais pas quoi dire, bredouille Léa.
La langue d'Agnès effleure le lobe de l'oreille de Léa, ce qui lui procure une secousse de plaisir.
- Chut, chérie, laisse-toi faire. Tu es si belle, Léa. Je veux que tu sentes à quel point tu es belle.
Léa bloque sa respiration lorsque la langue d'Agnès touche le contour de son oreille, et ses mains saisissent instinctivement les hanches d'Agnès qui tourne la tête, ses yeux rencontrent ceux de Léa dans le miroir.
- Léa, je veux que tu m'embrasses. Montre-moi à quel point tu en as envie.
L'hésitation de Léa se dissipe, remplacée par un besoin brut et primaire. Elle s'approche, ses lèvres rencontrent celles d'Agnès dans un baiser féroce et passionné. Les mains de Léa parcourent le corps d'Agnès, ses doigts glissent de sa colonne vertébrale, vers les courbes de ses hanches.
Tandis que leurs lèvres restent soudées dans un baiser passionné, les caresses de Léa deviennent plus prononcées, plus profondes. Elle sent le cœur d'Agnès s'emballer sous sa paume, sa respiration s'accélérer. Elle se délecte de cette sensation, du pouvoir qu'elle exerce sur cette femme qui est devenue son amie, sa confidente, son amante. Agnès gémit, ses hanches se cambrent contre le contact de Léa, l'encourageant à aller plus loin, à prendre plus.
Léa rompt leur baiser, ses lèvres descendent le long du cou d'Agnès, ses dents effleurent la peau sensible. Elle sent les doigts d'Agnès s'emmêler dans ses cheveux, la serrer contre elle, la guider. Elle glisse ses mains sous l'ourlet de la robe de sa patronne, son toucher rencontre enfin la peau lisse et chaude qu'elle désire ardemment caresser.
- Mon Dieu, Léa... nous devons... nous devons arrêter... Nous devons... nous devons partir. Jean... nous attend. Nous devons nous préparer pour le dîner.
Léa est surprise, son corps a envie de plus. Elle est même un peu contrariée, elle se demande quand va-t-elle pouvoir passer un peu de temps avec Agnès, seules toutes les deux. Elle a maintenant un fort désir de revivre les sensations que lui a fait découvrir sa patronne lors de leurs dernières rencontres.
- Le dîner ? Oh, oui, bien sûr », balbutia-t-elle
Agnès lui sourit, d'un sourire doux et tendre.
- Viens, ma chérie. On va t'habiller. Tiens, ces talons complèteront le look,
Agnès sort de son armoire une paire de talons noirs à lanières. Elle les tend à Léa qui les prend timidement. La jeune femme n'a jamais porté de talons aussi hauts et l'idée de marcher avec, la rend un peu nerveuse.
- Tu es sûre, Agnès ? Je ne veux pas trébucher,
- Ne t'inquiète pas, ma chérie. Je vais t'aider. Tu marcheras très vite naturellement avec cette paire de chaussures à talon. Maintenant, enfilons cette veste de tailleur et ce chemisier.
Agnès aide Léa à enfiler la veste de tailleur.
- Voilà, c'est parfait. Tu es magnifique, Léa,
- Merci, Agnès. Je me sens belle.
Agnès prend la main de Léa et l'entraîne jusqu’aux escaliers. Ils rejoignent ensemble le salon, Jean se lève instinctivement de son fauteuil et ses yeux s'illuminent à la vue des deux femmes. Léa remarque que Jean la regarde intensément de haut en bas.
- Tu es absolument radieuse, Léa.
Léa rougit à son compliment.
- Merci, Jean. C'est très gentil de votre part.
- Vous êtes prêts à partir, mes chéris ? Le restaurant nous attend, indique Agnès
- Oui, allons-y. J'ai hâte de voir ce que la soirée nous réserve répond Jean.
- Alors, mettons-nous en route. Je suis sûr que le chef a préparé quelque chose de vraiment spécial pour nous ce soir.
Alors qu'elles marchent vers la voiture, Agnès prend la main de Léa en entrelaçant ses doigts avec ceux de la jeune femme. Léa regarde leurs mains, un sourire doux se dessine sur ses lèvres. Elle ressent un sentiment de sécurité et de réconfort au contact d'Agnès, un contraste saisissant avec la nervosité qui bouillonnait en elle quelques instants auparavant.
Ils atteignent la voiture et, d'une légère pression de la main, Agnès libère Léa, qui prend place à l'arrière du véhicule tandis que Jean démarre le moteur. Le trajet jusqu'au restaurant se déroule sans encombre. Lorsqu'ils arrivent devant le restaurant, un voiturier s'approche de la voiture et ouvre la porte à Léa. Elle en sort, Agnès et Jean font de même. Alors qu'ils s’approchent de l'entrée du restaurant, Jean se tourne vers Léa, un sourire chaleureux aux lèvres.
- On entre ensemble, Léa ? » demanda-t-il en lui tendant le bras.
Léa hésite un instant, son regard se porte sur Agnès qui se contente de sourire et de hocher la tête pour l'encourager. Elle glisse sa main dans le creux du bras de Jean. Il la conduit dans le restaurant, où l'hôte les accueille avec un grand sourire et un signe de tête respectueux.
- Bonsoir, Mesdames, bonsoir Monsieur. Bienvenue chez Henri, dit l'hôte, qui s'attarde un instant sur Léa avant de les conduire à leur table.
Le restaurant est élégamment décoré, avec des lumières tamisées, des nappes blanches et de la porcelaine fine. Le serveur leur apporte à chacun une coupe de champagne.
- Je porte un toast à cette merveilleuse soirée » indique Jean, ses yeux rencontrant ceux de Léa par-dessus le bord de son verre.
Elle sourit et boit une gorgée, le champagne pétille agréablement sur sa langue.
Agnès tend la main à travers la table, tapotant doucement celle de Léa.
- Ne sois pas nerveuse, ma chérie. Tu es resplendissante. Jean et moi sommes ravis de t’avoir parmi nous ce soir.
Léa boit une nouvelle gorgée de champagne. Elle est reconnaissante du contact rassurant d'Agnès et du sourire chaleureux de Jean, mais elle ne peut pas se débarrasser d’un sentiment bizarre qui s'est développé depuis leur rencontre passionnée de tout à l'heure. Elle est encore en train d'assimiler l'intensité de ses sentiments et les nouvelles sensations qu'Agnès a éveillées en elle. Alors que le sommelier s'approche de leur table, Jean commande une bouteille de vin pour accompagner leur repas.
- Prenons le rouge de la maison, s'il vous plaît.
Le sommelier acquiesce et disparait, pour revenir quelques instants plus tard avec le vin. Jean prend un moment pour inspecter l'étiquette, ses yeux parcourant le millésime.
- Un choix parfait pour ce soir, murmure-t-il en tendant la bouteille au sommelier, qui la débouche d'une main experte et en verse une gorgée à Jean.
Après un signe de tête appréciateur et un tourbillon discret, le vin est versé dans leurs verres.
- Ah, c'est vraiment un millésime délicieux, déclare Jean en levant son verre pour porter un toast.
- A l'amitié, à l'amour et aux plaisirs de la table, dit-il en croisant le regard de Léa et d'Agnès.
Léa et Agnès trinquent avec lui. Le repas commence par une entrée frugale mais exquise de charcuterie et de fromages artisanaux d'origine locale. Tout en discutant, le sommelier, toujours attentif, remplit leurs verres du vin sélectionné par Jean. Agnès, adossée à sa chaise, un sourire sur le visage, fait un geste à Léa avec son verre.
- Ce vin est vraiment sublime, n'est-ce pas, Léa ? J'ai toujours pensé qu'un bon vin pouvait rehausser les saveurs d'un repas, et celui-ci tient assurément cette promesse.
Léa acquiesçe, les joues légèrement rougies par l'alcool.
- Oui, c'est incroyable. Je ne savais pas que le vin pouvait avoir un tel goût.
Jean s'esclaffe, les yeux pétillants d'amusement.
- Ah, la beauté du vin, ma chère. C'est un art que nous prenons très au sérieux. À de nouvelles amitiés et à des plaisirs partagés, dit-il d'une voix douce en levant son verre.
Léa sourit, faisant tinter son verre contre le sien, sentant une chaleur se répandre en elle.
Le repas est un vrai délice, chaque plat étant plus exquis que le précédent, et maintenant que la soirée touche à sa fin, le sommelier réapparait, cette fois avec un plateau contenant trois boules de sorbet parfaites.
- Pour conclure notre repas, je vous présente un sorbet rafraîchissant, élaboré à partir des meilleures baies locales, annonce le sommelier.
Alors que la dernière cuillerée de sorbet est savourée, Jean fait signe au sommelier pour régler la note. D'un signe de tête gracieux, il tend un dossier en cuir à Jean, qui en parcourt rapidement le contenu avant de signer d'une main ferme.
À la sortie du restaurant, l'air frais de la nuit les enveloppe, un répit bienvenu par rapport à l'atmosphère chaude et confortable de la salle à manger. Jean offre son bras à Agnès, qui l'accepte avec un doux sourire, ses doigts se posant délicatement sur sa manche. Léa les observe, tout en marchant à leurs côtés.
Le retour en voiture se fait au son des rires et des conversations animées. En arrivant dans l'allée du cottage, Léa ne peut s'empêcher de ressentir un sentiment de satisfaction et de bien-être.
En rentrant dans la maison, le couple se dirige vers le grand salon.
- Je vous propose un dernier verre au salon mesdames indique Jean.
- Oui super Jean, continuons encore un peu cette merveilleuse soirée répond sa femme.
- J’ai déjà la tête qui tourne un peu, je ne sais pas si cela est bien raisonnable indique Léa
Les Trois Amis s'installent sur le grand canapé, le feu crépitant devant eux, jetant une lueur réconfortante sur leur visage. Jean, d'un pas rapide et avec un sourire familier, disparait dans la pièce voisine pour aller chercher une bouteille de champagne.
Agnès fait signe à Léa de venir s'asseoir à ses côtés.
- Viens, asseyez-toi ici, ma belle. Nous allons profiter de la chaleur et nous détendre après notre merveilleux dîner.
Léa s'exécute et s'enfonçe dans les coussins en soupirant doucement. Je n'en ai que pour un instant. Léa se tourne vers Agnès, mais avant qu'elle ne puisse dire quoi que ce soit, Agnès se penche, ses lèvres rencontrent celles de Léa dans un baiser doux et sensuel. Les yeux de Léa se ferment, son corps se détend. Le baiser est doux mais ferme, les lèvres d'Agnès explorent celles de Léa avec une confiance qui lui donne des frissons. Elle sent la main d'Agnès se poser sur sa cuisse, chaude et rassurante. Le souffle de Léa s'accélère lorsque la langue d'Agnès vient taquiner la commissure de ses lèvres, cherchant à y pénétrer. Elle écarte les lèvres, laissant la langue d'Agnès se glisser à l'intérieur, et leur baiser s'intensifie. Le cœur de Léa bât fort dans sa poitrine tandis qu'elle répond au baiser. Elle retrouve le baiser d’Agnès, passionné et intense, elle n’a jamais ressenti cela avec son mari, c'est incroyable.
Mais alors que le baiser s'intensifie encore, Léa s'éloigne un instant, avec un air rempli d'un mélange de désir et d'inquiétude.
- Agnès, chuchote-t-elle, la voix à peine audible, et si Jean revient ? Nous devons faire attention.
Anxieuse, elle jette un coup d'œil vers la porte. Agnès sourit, elle se veut rassurante
- Jean comprend notre dynamique. Il sait que j'ai un faible pour les belles jeunes femmes. C'est d'ailleurs lui qui m'a encouragé à t’inviter ici. C'est un homme moderne, Léa. Il sait que l'amour et le désir peuvent exister entre plus de deux personnes.
Elle tend la main, ses doigts effleurant doucement la joue de Léa, le contact est doux et réconfortant.
- De plus, nous sommes en sécurité dans notre propre maison. Jean et moi sommes très ouverts l'un envers l'autre, et il adorerait nous voir explorer nos désirs ensemble.
Léa est plus qu’étonnée par ce qu’elle entend de la bouche de sa patronne, elle tombe des nus, elle est abasourdie.
- Alors, Léa, serais-tu prête à me faire l'amour sous le regard de Jean ?
Les yeux de Léa s'écarquillent devant la proposition audacieuse d'Agnès et son cœur bat la chamade. Elle n'a jamais envisagé un tel scénario auparavant, encore moins avec sa patronne mariée et son mari. Pourtant, le frisson de l'inconnu et le désir brut qui coule dans ses veines l'empêchent d'écarter l'idée. Elle hésite un long moment, l'esprit agité par un mélange d'excitation et d'appréhension.
Agnès remarque l'hésitation de Léa et lui prend la main, ferme et rassurante.
- Ne t'inquiète pas, ma chérie, Jean ne fera que regarder. Il ne te touchera pas et n'interviendra pas. Il trouve du plaisir à observer, à voir l'amour et la passion entre deux personnes. Et ce soir, il veut nous regarder.
Léa respire profondément, son corps tremble légèrement tandis qu'elle assimile les paroles d'Agnès. L'idée que Jean les regarde, qu'il soit témoin de l'acte intime entre Agnès et elle, lui donne un frisson d'excitation. Pourtant, elle ne peut se débarrasser du sentiment d'appréhension qui l'accompagne. Agnès secoue la tête, ses doigts effleurent doucement la joue de Léa.
- Ne réfléchis pas trop, ma chérie. Contente-toi de ressentir. Laisse-toi aller. Fais-moi confiance.
Léa a le souffle coupé, son corps se tend et se détend à la fois. Elle regarde Agnès dans les yeux. Elle respire profondément.
- Euh, euh, je ne sais pas si … murmure-t-elle, la voix à peine audible.
Agnès sourit.
- Ma chérie, profite murmure-t-elle.
Sa main glisse le long de la cuisse de Léa, son toucher est ferme et possessif.
Elle se penche, ses lèvres capturent à nouveau celles de Léa, sa langue plonge profondément dans sa bouche, explore chaque centimètre. Léa ne peut rien faire, elle est pétrifiée, elle se laisse faire, son corps se cambre contre celui d'Agnès. Elle sent la main d'Agnès glisser le long de l'intérieur de sa cuisse, ses doigts effleurent la dentelle de sa culotte, ce qui lui donne des frissons. Elle écarte légèrement les jambes, donnant à Agnès un meilleur accès, son souffle s'accélère lorsqu'elle sent ses doigts se glisser sous la dentelle.
- Mmm, tu es déjà toute mouillée, Léa. Tu as envie de ça, n'est-ce pas ?
Léa se déhanche légèrement lorsque les doigts d'Agnès se glissent entre ses plis.
- Oh, gémit-elle, son corps en redemande.
Agnès la caresse, avec fermeté et détermination, ses doigts s'imprègnent du désir de Léa. Elle rompt leur baiser, ses lèvres descendent le long du cou de Léa, ses dents mordillent doucement la peau sensible.
- Jean, Jean, viens ici. Je veux que tu voies ce que je fais à notre belle Léa.
Jean apparait dans l'embrasure de la porte, les yeux remplis de convoitise à la vue de Léa et d'Agnès enlacées sur le canapé. Son regard s'attarde sur le soutien-gorge bordé de dentelle qui est maintenant entièrement visible à travers le chemisier de Léa, il ravale sa salive lorsqu'il voit la main d'Agnès disparaître sous le tissu.
- Agnès. Vous êtes magnifiques. En vous regardant ainsi, je ne peux m'empêcher de me sentir l'homme le plus chanceux du monde.
Son regard reste rivé sur la main d'Agnès qui se glisse sous le chemisier de Léa, la dentelle de son soutien-gorge est déjà visible. Agnès lève les yeux vers lui, ses yeux pétillent d'un mélange de désir et d'espièglerie.
- Jean, mon amour, je veux que tu t'approches. Je veux que tu regardes comment je déshabille notre belle Léa.
Elle se retourne vers Léa, ses doigts déboutonnant habilement les derniers boutons de son chemisier. Léa sent ses mamelons se durcir. Elle se sent gênée par le regard de Jean, mais la situation est tellement improbable qu’elle reste sans réaction, elle se laisse faire.
- Qu’est-ce qu’elle est belle, dit Jean en parlant de Léa.
Agnès sourit à Jean, ses yeux ne quitte jamais le corps de Léa.
- Elle l’est, n’est-ce pas ? Et je vais lui faire du bien.
Elle se penche, fait glisser les deux bretelles du soutien-gorge de Léa, découvrant la poitrine de la jeune femme, laissant ainsi Jean l’admirer, il est subjugué par la beauté des seins de la jeune Léa, ils sont parfaits ni trop gros ni trop petits avec des aréoles gonflées et d’une couleur pale. Agnès saisit avec sa bouche un des mamelons de Léa, le suçant et le taquinant avec sa langue. Léa halète, le dos courbé, les mains enchevêtrées dans les cheveux d’Agnès. Elle sent les yeux de Jean sur eux. La sensation d’être observée, d’être au centre de leur attention, lui procure un sentiment étrange.
- Agnès, tu la fais trembler, murmure Jean.
Agnès le regarde, les yeux brillants de luxure.
- N’est-elle pas belle, Jean ? Regarde-la, se tordre sous mes caresses.
Ses doigts faisant des cercles autour du mamelon de Léa, lui envoyant des frissons dans tout le corps. Jean respire de plus en plus fort, ses yeux ne quittent jamais le corps de Léa.
- Oui, elle l’est. Tu la rends folle, Agnès. Je peux le voir dans ses yeux.
Agnès sourit, les yeux fixés sur ceux de Léa.
- Et je ne fais que commencer, ma chérie.
Ses mains s’accrochent sur la jupe de la jeune femme, elle fait glisser la fermeture, la jupe tombe au sol, Léa se retrouve en string devant le couple. Léa est gênée mais ne résiste pas, elle est comme hypnotisée par Agnès qui la force à s’allonger sur le canapé en velours moelleux. Sans attendre, Agnès s’active sur le corps de sa jeune amie, ses lèvres atteignent enfin la dentelle délicate de sa culotte, Léa ne peut s’empêcher de gémir doucement.
Jean, toujours debout près d’Agnès et de Léa, regarde la scène. Il ne peut pas croire à quel point Léa est belle, tandis qu’Agnès s’occupe d’elle. Il détecte une tache mouillée sur son string, et il garde son sang froid et fait preuve d’un self contrôle extraordinaire pour se maîtriser et ne pas se précipiter sur cette jolie proie. Mais il connait le plaisir de voir sa femme amener une autre femme au bord de l’extase. Il veut savourer le moment, mais cela devient difficilement supportable.
Les doigts d’Agnès attrapent les côtés du string de Léa, les yeux fixés sur ceux de Jean alors qu’elle abaisse lentement le bout de tissu qui cache encore le sexe de la jeune femme. Léa rougit, son corps tremble avec un mélange d’excitation et d’embarras. Les doigts d’Agnès rencontrent les plis soyeux de la chatte peu poilue de Léa, constatant son humidité, la faisant se tortiller.
- Tu es tellement mouillée, Léa. Regarde ça Jean, indique Agnès, en écartant les lèvres de la vulve de sa jeune amie.
La queue de Jean est compressée dans son pantalon alors qu’il regarde Agnès explorer Léa. Il désire aussi la goûter, la sentir sous sa langue. Mais il se retient, savoure l’instant.
Agnès fixe Léa d’un regard profond, ses yeux fixés sur les siens alors qu’elle insère lentement un doigt, puis l’autre, dans sa chaleur humide. Léa halète, le corps tendu, les hanches se soulevant contre la main d’Agnès. Elle peut sentir la chaleur du toucher d’Agnès, le frottement de ses doigts en elle. C’est une sensation qu’elle n’a jamais vraiment vécue avec son mari, dont les rapports sont très conventionnels, il ne la touche jamais comme cela. Elle lève les yeux vers sa patronne, les yeux grands ouverts.
- Agnès, …Oh … dit-elle en haletant.
Agnès lui sourit, ses doigts commencent à bouger en elle, à l’étirer, à la remplir.
- Ce n’est que le début, ma chère. Je vais te faire ressentir des choses que tu n’as jamais ressenties auparavant.
Elle enroule ses doigts à l’intérieur de Léa, frôlant son point le plus sensible, ce qui la fait gémir encore plus fort.
- Oui, comme ça.
- Tu aimes ça, n’est-ce pas chérie ? chuchote Agnès.
Léa ne peut que hocher la tête, son corps se tord tandis que les doigts d’Agnès s’activent dans la vulve de sa jeune amie. Elle peut sentir sa chaleur corporelle augmenter, le plaisir s’enrouler comme un serpent, prêt à frapper. Elle est proche, si proche, et elle a besoin de plus.
Elle a besoin d’être prise, d’être remplie complètement. Agnès peut le voir dans ses yeux, le sentir dans la façon dont son corps se tend et se bloque contre sa main. Elle ajoute un troisième doigt, étirant encore plus Léa, la faisant gémir et haleter. Tout en caressant Léa, Agnès regarde Jean.
- Jean, viens ici et embrasse-moi. Je veux sentir tes lèvres sur les miennes pendant que je la fais jouir.
Jean n’a pas besoin qu’on lui dise deux fois. Il se rapproche rapidement de son épouse, sans jamais quitter des yeux le corps de Léa alors que sa bouche capture celle de son épouse dans un baiser féroce et passionné. Léa les regarde, son corps en feu. La vue de leurs baisers, leurs corps enlacés, leur désir l’un pour l’autre palpable, la fait frissonner.
Elle voit Jean retirer le chemisier de sa femme, trouver les bretelles du soutien-gorge, et les tirer vers le bas, libérant ainsi ses seins. Agnès frissonne, les mains de Jean serrent ses seins, ses pouces frottent doucement ses mamelons, la faisant haleter de plaisir. Il se penche, sa bouche saisit l’un des mamelons, sa langue taquine le téton dressé. Agnès pousse un léger gémissement. Agnès Lève les yeux vers Léa, rempli d’un désir primitif.
- Regarde-nous, Léa.
Les yeux de Léa s’ouvrent, son corps tremble d’excitation. Elle lève les yeux vers Jean, le souffle coupé, voyant dans ses yeux un désir sauvage. Agnès murmure à l’oreille de Léa, avec une voix basse et sensuelle.
- Laisse-le te caresser, Léa, il est très doux et extrêmement délicat.
Léa est abasourdie, elle ne s’attendait pas du tout à une telle proposition, ce n’était pas ce qui avait été convenu entre eux quelques minutes auparavant. Elle ne sait pas quoi répondre à sa patronne très embarrassée à cette idée. Elle n’a jamais rien fait de tel auparavant, et l’idée de se faire caresser par le mari de sa patronne, un homme vieux et franchement pas attirant physiquement la rend très nerveuse. Agnès sent son hésitation, elle se penche une nouvelle fois, les lèvres contre l’oreille de Léa.
- C’est bon, ma belle. Je suis là avec toi. Je ne laisserai rien arriver que tu ne souhaites pas. Fais-nous confiance, murmure Agnès à l’oreille de la jeune femme.
Mais malgré les assurances d’Agnès, Léa est très gênée. Elle est hésitante, son cœur tambourine dans sa poitrine, son corps est tendu à la pensée de ce qui peut se passer. La situation est si nouvelle, si étrangère à elle, et elle n’arrive pas à écarter le sentiment de malaise qui l’envahie.
- Agnès, je ne sais pas si je peux faire ça, dit Léa en bégayant.
Elle peut sentir la chaleur du regard de Jean sur elle, mais aussi voir le désir brut dans ses yeux, et cela la terrorise mais aussi génére un sentiment opposé une sorte d’excitation. Elle lève les yeux vers Agnès, les yeux remplis d’un mélange de peur mais aussi très troublée par cette situation.
Agnès sent son hésitation, car elle se penche plus près.
- Léa, ma chérie, ça va. Je sais que c’est nouveau pour toi. Mais crois-moi, Jean sait comment faire pour qu’une femme se sente bien. Et je serai ici avec toi, à chaque étape.
Léa regarde Agnès, elle constate la sincérité et le désir se refléter en elle. Avant qu’elle ne puisse exprimer de nouveau ses craintes, Agnès se penche et embrasse Léa avec un baiser féroce et affamé. C’est un baiser d’envie, de passion, un baiser qui ne laisse aucune place à l’hésitation ou au doute. Léa laisse sa patronne l’enlacer, elle se laisse guider par cette femme maure et expérimentée, elle n’a pas le choix. Pendant ce temps, Jean profite de cette diversion, ses mains saisissent les seins de Léa, ses pouces frottent doucement ses mamelons durcis. Léa suffoque dans la bouche d’Agnès, son corps s’incline, elle sent les mains de Jean profiter de sa poitrine, mais elle laisse l’homme agir, son corps réagit à l’opposé du sentiment d’embarras que la situation provoque dans son esprit. Elle sent la main d’Agnès glisser sur son ventre. Elle ne peut s’empêcher de gémir doucement. Agnès rompt leur baiser.
- Jean, mon amour, je veux que tu la goûtes, demande-t-elle.
Jean sans jamais quitter les yeux de Léa, hoche la tête. Avec un sourire malicieux Il avance lentement, ses mains agrippent les cuisses de Léa et les écartent. La jeune femme est réellement embarrassée alors qu’elle sent ses mains rugueuses contre sa peau lisse, son corps tremble.
- Détends-toi, Léa, murmure Agnès. Jean va te faire beaucoup bien.
Jean se penche, Elle peut sentir sa barbe contre sa peau sensible. Elle essaye de serrer ses cuisses, de les fermer, mais Jean les tient fermement.
- Chut, chérie, détends-toi, indique Agnès, sa main caressant les cheveux de Léa. Jean veut juste te goûter. Laisse-le. Ça va te faire beaucoup de bien, tu vas voir.
Léa se calme. Jean se baisse, elle sent son souffle chaud contre son endroit le plus intime. La langue de Jean jaillit, la léchant lentement, comme s’il savoure un gâteau moelleux.
- Mmm, tu as très bon goût, Léa, gémit-il.
Agnès regarde, les yeux remplis de luxure quand elle aperçoit la langue de Jean lécher le clitoris de sa jeune amie.
- C’est ça, Jean. Fais-la venir avec ta langue, ordonne-t-elle.
Les doigts de Jean glissent à l'intérieur de Léa, son pouce effleurant son point le plus sensible, la faisant crier de plaisir.
- Tu y es presque. Vas-y ma chérie fais toi plaisir, laisse-toi aller.
Les mots de Jean provoquent une secousse de plaisir chez Léa. Elle sent son corps se tendre, ses muscles se contracter tandis que les doigts et la langue de Jean œuvrent en parfaite harmonie. Agnès regarde, le corps de sa jeune amie se tordre de plaisir.
- C'est ça, Léa. Laisse-toi aller, viens pour Jean. Viens pour moi.
Et Léa s’exécute. Avec un cri qui résonne dans la pièce, elle s'abandonne au plaisir, son corps se convulsant au fur et à mesure que les vagues d'extase l'envahissent. Jean gémit, sa langue et ses doigts ne cessent de l'assaillir jusqu'à ce que Léa s’épuise, le corps mou et la respiration saccadée.
- C'était magnifique, mentionne-t-il. Alors que Léa récupère document, Jean retire lentement ses doigts, un sourire satisfait se dessinant aux coins de sa bouche. Il regarde Agnès, les yeux brillants de désir et de fierté.
- Elle a joui si fort, mon amour. Si fort et si rapidement.
Agnès lui sourit.
- Je l'ai bien vu, mon chéri. Elle est radieuse.
Elle se tourne à nouveau vers Léa, ses doigts balayent doucement les cheveux de son visage.
- Comment te sens-tu, ma chérie ? demanda-t-elle doucement.
Les yeux de Léa s'ouvrent, son corps est encore sous le choc de l'orgasme. Elle lève les yeux vers Agnès, un sourire crispé se dessine sur ses lèvres. Agnès se penche vers Léa et l'embrasse doucement.
- Nous ne faisons que commencer Léa.
La jeune épouse n'arrive pas à croire à quel point son corps a réagi au contact de Jean. Elle lève les yeux vers Jean, elle se sent honteuse. Jean, toujours agenouillé entre ses jambes, croise son regard.
- Je n'en ai pas fini avec toi ma belle. Il ccommence à déboutonner son pantalon, ses yeux en fixant Léa.
Léa regarde, surprise, le sexe de Jean se libérer, sa longueur et sa circonférence sont impressionnantes. Elle n’a que rarement vu le sexe de son mari, mais elle constate que Jean a un organe vraiment impressionnant en comparaison de celui de son époux. Son regard se porte sur Agnès, qui l'observe avec amusement.
- Jean a toujours été bien pourvu.
Jean, remarquant la surprise de la jeune femme, glousse doucement.
- Ne t'inquiète pas, ma chérie.
Jean s'assoit sur le canapé, ses yeux ne quittent pas ceux de Léa. Agnès le suit, se plaçant à côté de lui, sa main se tend pour saisir sa bite, ses doigts s'enroulent autour de son épaisse tige. Jean laisse échapper un faible gémissement, sa tête tombe en arrière, ses yeux se ferment tandis qu'Agnès commençe à le caresser, sa poigne est ferme et régulière. Léa regarde, les yeux écarquillés, son corps encore sous le choc de son orgasme. Elle n'arrive pas à croire ce qu'elle voit, elle n'a jamais imaginé une telle tournure des événements qui la conduit à ce moment inattendu. Elle n'a jamais vu une autre femme toucher un homme de la sorte, et la vue de la main d'Agnès sur Jean lui donne un frisson d’anxiété et d'émoi à la fois.
C’est alors qu’Agnès se met soudainement à genoux devant lui, ses yeux ne quittent pas ceux de Jean alors qu'elle saisit sa bite dans sa main, la guidant vers sa bouche. Ce geste inattendu coupe le souffle de son mari.
- Agnès, qu'est-ce que tu... ?
Mais il est interrompu par Agnès qui prend la tête de son sexe dans sa bouche, sa langue tourbillonne autour de la pointe sensible. Léa regarde, étonnée et choquée, Agnès commencer à sucer Jean, sa tête se balançant de haut en bas, ses joues se creusant à chaque mouvement.
Jean se déhanche involontairement sous l'effet de la sensation, ses mains se tendent pour s'emmêler dans les cheveux d'Agnès, guidant ses mouvements.
Léa regarde la scène se dérouler devant elle, surprise. Stoïque, elle n'a jamais rien vu de tel. Elle n'a jamais pris le sexe d'un homme dans sa bouche, et la vue d'Agnès en train de donner du plaisir à Jean est à la fois choquante et excitante. Les relations amoureuses avec son mari sont très classiques, il faut dire que son époux était très peu porté sur la chose, ils font environ une fois l’amour par mois et cela se passe toujours sans de vrais préliminaires, Léa a tout à découvrir avec ses nouveaux amis, elle va de surprise en surprise. Son corps se tend, ses mamelons durcissent tandis qu'elle regarde la tête d'Agnès osciller de haut en bas, ses lèvres s'enroulant étroitement autour de l’épaisse tige de Jean.
Les yeux de Léa ne quittent pas la bouche d'Agnès qui aspire la queue de Jean. Agnès fredonne en réponse, la vibration de sa voix fit frissonner Jean.
- Tu aimes ce que tu vois, Léa ? Tu veux le goûter toi aussi.
Léa est une nouvelle fois surprise, son corps se crispe à l'idée de prendre la bite de Jean dans sa bouche. Elle n'avait jamais rien fait de tel auparavant. La vue d'Agnès en train de donner du plaisir à Jean était à la fois choquante et excitante.
- Euh … Je ne sais pas, balbutie Léa.
- Je n'ai jamais... Je n'ai jamais fait ça avant.
Agnès sourit.
- Je vais te montrer. Détends-toi et laisse-moi te guider.
Elle tend la main vers Léa, lui prend le menton.
- Léa, chérie, détends-toi. Je te promets que tu vas aimer.
Agnès prend la main de Léa et la guide vers le sexe de Jean, ses doigts s'enroulent autour de ceux de Léa, lui montrant le rythme qu'elle doit suivre. La jeune femme hésite un instant, l'idée de prendre le sexe de Jean dans sa bouche est très intimidante. Mais la sensation de la main d'Agnès sur la sienne, la chaleur et le réconfort qu'elle lui apporte lui donnent le courage nécessaire pour essayer. Encore incertaine, elle lève les yeux vers Agnès. Agnès lui sourit.
- Maintenant, Léa, prends le sexe de Jean dans ta bouche. Sois douce,. Fais-moi confiance. Tu peux le faire.
Léa respire profondément, ses yeux se ferment brièvement. Elle se tourne vers Jean, dont la bite est encore luisante de la salive d'Agnès, et tend timidement la main, ses doigts s'enroulent autour de la base de la tige. Elle sent le corps de Jean se crisper, son souffle se couper en attendant qu'elle passe à l'action. Avec la main ferme d’Agnès qui la guide, Léa s’incline, les lèvres légèrement écartées alors qu’elle prend le prépuce de Jean dans sa bouche. Elle garde les yeux fixés sur lui, ses cils projetant des ombres sur ses joues. Elle sent la bite se tortiller dans sa bouche, et entend derrière elle le grognement doux d’approbation d’Agnès.
- C’est ça, chérie. Prends-le doucement.
Léa se met à bouger, sa tête remuant de haut en bas, sa langue tourbillonnant timidement autour de la tête sensible du sexe de Jean.
Elle peut le goûter, son goût salé-sucré remplit sa bouche, et elle ressent un étrange sentiment d’accomplissement et d’excitation.
Agnès regarde.
- Détends-toi ma Belle et laisse ton corps te guider.
Léa prend une profonde respiration, et essaye de prendre plus profondément Jean dans sa bouche. Elle entend son souffle aigu, sent ses mains s’emmêler dans ses cheveux, la guidant, lui montrant comment elle va le satisfaire. Elle tourne sa langue autour du prépuce, elle sent l’effet qu’elle procure à Jean avec sa bouche. Elle suce doucement, ses joues se creusent alors qu’elle le prend plus profondément dans sa bouche. Elle peut sentir la bite de Jean frapper l’arrière de sa gorge.
- Oui, c’est ça. Prends tout, bébé. Tu te débrouilles si bien, grogne Jean, ses mains caressant les cheveux de Léa, ses hanches pointant vers sa bouche.
Agnès regarde, elle voit les lèvres de Léa s’étendre autour de la grosse bite de Jean.
- Prend tout, ordonne-t-elle à Léa.
Agnès, incapable de résister plus longtemps, s'agenouille à côté de Léa, ses mains prennent les seins de Léa, ses doigts pincent gentiment ses mamelons.
- C'est ça, ma belle, murmure-t-elle, en regardant la jeune femme prendre la queue de Jean plus profondément dans sa bouche.
Jean gémit, ses hanches se soulevant pour rencontrer sa bouche.
- Oui, ma chérie. C'est ça. Prends tout.
Les mains d'Agnès descendent le long du corps de Léa, ses doigts trouvent l'humidité entre ses cuisses. Elle sent le corps de Léa se tendre lorsqu'elle commence à tourner autour de son clito. D'un mouvement rapide et soudain, Agnès rejoint Léa devant la bite de Jean, ses lèvres s'enroulent autour de la tige à côté de celles de Léa. La sensation de la bouche d'Agnès contre la sienne envoie une décharge électrique à Léa, son corps frémit lorsqu'elle sent la langue d'Agnès prêt de la sienne. Jean gémit, ses hanches se soulèvent pour rencontrer les bouches combinées des deux femmes, ses mains s'emmêlant dans leurs cheveux, les tirant plus près.
- Oh, vous deux, ensemble, c'est le paradis.
Agnès indique son accord, sa langue continuant à tourbillonner autour de la bite de Jean, sa main libre enserrant le sein de Léa, ses doigts pinçant son mamelon. Léa sent la bouche d'Agnès se joindre à la sienne, leurs langues glissent l'une contre l'autre, leurs lèvres travaillent en tandem pour faire plaisir à Jean. La sensation est irrésistible pour la jeune femme et son corps ne contrôle plus son impatience. Elle sent la main d'Agnès entre ses cuisses, ses doigts chatouillant son clito avec expertise. La sensation est trop forte et les hanches de Léa se dérobent, son corps en redemande.
- C'est ça, ma chérie, murmure Agnès à l'oreille de Léa.
- Jean te veut maintenant. Il veut te prendre sur le canapé.

Léa regarde sa patronne tout étonnée, son corps se crispe lorsqu'elle sent la bite de Jean s'échapper de sa bouche. Elle lève les yeux vers lui et voit le désir dans son regard.
- C'est ce que tu veux, Léa, tu en as envie ? Je suis certain que tu veux être prise, et moi aussi je veux te prendre sous le regard d'Agnès.
Léa hésite, apeurée, son corps douloureux de désir mais aussi d'appréhension. Elle lève les yeux vers Agnès, cherchant à se rassurer, elle voit dans le regard de sa patronne son approbation.
- Fais-le, Léa, l'exhorte Agnès. Laisse-le te prendre, il va te faire bien jouir.
Les mains de Jean saisissent les hanches de Léa, la tire vers le haut et sur le canapé, la positionne au-dessus de lui. Léa sent un frisson lui parcourir l'échine alors qu'elle se met à califourchon sur lui, ses jambes de part et d'autre de ses cuisses. Les mains de Jean s'approchent de sa taille et la guident lentement vers sa bite. Elle sursaute lorsqu'elle sent son prépuce épais se presser contre son entrée, la sensation est à la fois un peu douloureuse et agréable. Elle regarde Jean, le souffle court, le corps tremblant de peur et d'excitation.
- Tu es sûre, Léa ? demande Jean.
Léa acquiesce, le souffle court. Elle prend une grande inspiration, ses yeux ne quittent pas ceux de Jean alors qu'elle commence lentement à s'abaisser sur sa queue. Elle s'arrête un instant, son corps se crispe. Les mains de Jean attrapent ses hanches, la guide lentement mais fermement vers le bas sur sa bite. Léa laisse échapper un doux gémissement, ses yeux se ferment brièvement alors qu'elle accueille ce sexe avec la sensation d'être remplie par Jean. Elle sent le sexe de Jean l'étirer, la remplir complètement, et c'est à la fois exaltant et intimidant. Elle regarde Jean, ses yeux rencontrant les siens, cherchant à être rassurée. Jean lui sourit, les yeux remplis de désir et d'affection.
Ses mains, qui avaient saisi ses hanches, remontent lentement vers ses seins, ses pouces effleurant doucement ses mamelons durcis. Léa sursaute à ce contact soudain, son corps se cambre à son contact, son souffle se bloque dans sa gorge. Elle regarde Jean, son corps est déjà en feu avec cette sensation qu'il est complétement en elle. Jean glousse doucement, ses mains massant les seins de la jeune femme.
- Tu aimes ça, n'est-ce pas, ma belle ? Tu aimes quand je te touche.
Léa gémit en réponse à ses paroles, ses hanches bougent instinctivement, son corps cherchant plus de friction, plus de sensation.
- Oui Léa, je te sens bien. C’est tellement bon.
Ses mains serrent plus fort ses hanches, ses doigts s'enfoncent dans sa chair douce tandis qu'il la guide pour qu'elle bouge contre lui. Léa gémit, sa tête tombe en arrière, ses yeux se ferment et elle commençe à le chevaucher, son corps trouve un rythme qui lui permette de ressentir des vagues de plaisir qui la submerge. Elle peut sentir chaque centimètre de lui en elle, sentir la façon dont il la remplit complètement. C'est une sensation qu'elle n'a jamais connue et son corps est maintenant en feu. C'est différent de son mari. Avec lui, le rapport ne dépasse jamais plus de trois minutes, elle a à peine le temps de ressentir quelques prémices du plaisir. Mais là, c'est intense, elle se sent monter en puissance, son corps se resserre tandis que le sexe de Jean frotte intensément contre son point G à chaque poussée.
Puis, soudain, Agnès se positionne derrière la jeune femme, son corps se presse contre le dos de Léa, ses mains enserrent les seins de Léa par derrière. Léa sursaute à ce contact soudain, son corps se cambre contre celui sa patronne. Agnès se penche vers Léa, ses lèvres s'emparent de celles de Léa dans un baiser brûlant et passionné, sa langue plonge dans sa bouche, ses mains continuent de masser et de taquiner les seins de Léa.
Léa gémit, son corps est en feu, ses hanches bougent instinctivement contre celles de Jean, son corps cherche plus de friction, plus de plaisir.
Soudain, les mains de Jean saisissent les hanches de Léa, arrêtant son mouvement. Léa le regarde, surprise.
- Où crois-tu aller, ma belle ? Jean grogne.
Il lui sourit.
- Je n'en ai pas encore fini avec toi.
Son corps se tend lorsque Léa sent le sexe de Jean glisser hors d'elle.
- Il est temps de changer les choses indique-t-il, alors qu'il la retourne, la positionne à quatre pattes sur le canapé.
Léa sursaute, surprise lorsqu'elle sent les mains de Jean sur ses hanches, la guidant dans cette nouvelle position.
Agnès, toujours derrière elle, murmure à l'oreille de Léa.
- Laisse Jean te prendre comme ça. Ça va être incroyable.
Léa se retourne vers Agnès, cherchant à se rassurer.
- Fais-moi confiance, Léa. Tu vas adorer ça, indique Agnès, dont les mains enserrent une nouvelle fois les seins de Léa.
Jean se positionne derrière Léa, sa queue frotte contre ses plis humides, la faisant glisser sur sa petite chatte. Léa sursaute, son corps se crispe lorsqu'elle sent la tête du sexe de Jean se presser contre elle.
- Détends-toi, ma petite fille. Respire et laisse-moi entrer, marmonne Jean.
Léa sent le sexe de Jean elle l’attend, son corps se détend lentement tandis que Jean enfonce son gland dans sa chatte.
Elle ressent une légère brûlure, mais le plaisir l'emporte rapidement sur l'inconfort. Jean gémit, il s'enfonce lentement dans le corps de la jeune femme.
- Waouh, tu es si serrée, Léa. Tu es si bonne, purée, grogne-t-il.
Léa gémit à son tour, son corps s'enflamme tandis que la bite de Jean s’active en elle. Soudain, Jean s'immobilise.
- Tiens bon, ma belle.
Le plaisir prend le dessus, Léa devient impatiente, le corps tendu par le désir.
Soudain, Agnès apparait devant Léa.
- Pas encore, ma chérie, dit-elle en s'asseyant sur le canapé en face de Léa, les jambes écartées.
- D'abord, je veux que tu me goûtes. Viens ici. Je veux que tu t’occupes de moi pendant que Jean te prend. Je veux que tu sentes son sexe en toi pendant que ta langue est enfouie dans ma chatte, explique-t-elle.
Elle n'a jamais rien fait de tel auparavant, et l'idée de goûter une autre femme tout en étant prise par un homme est incroyable pour Léa, elle n’a jamais imaginé cela. Mais les yeux d'Agnès la captivent, sa voix l’ensorcèle, Léa ne peut pas lui résister. Elle s'avance, le corps attiré par Agnès comme un papillon de nuit par une flamme. Agnès sourit, un sourire malicieux et complice qui fait frissonner Léa. Elle écarte les jambes, dévoilant à Léa sa chatte luisante. Léa découvre l'humidité qui scintille sur la chatte d'Agnès, elle peut voir la façon dont ses lèvres sont gonflées et écartées, l'invitant à la goûter. Elle se penche, ses mains attrapent les cuisses d'Agnès.
- C'est ça, ma chérie. Approche-toi. Goûte-moi, lui ordonne-t-elle.
Léa se penche, sa langue se met à lécher le sexe d'Agnès. Le goût est enivrant, un mélange de sucré et de salé. Elle lape la chatte d'Agnès, sa langue bougeant à un rythme qui correspond à celui des poussées de Jean en elle. Elle sent sa bite entrer et sortir d'elle, et cette sensation lui procure des vagues de plaisir. Elle gémit contre Agnès, ses hanches bougent instinctivement contre Jean, son corps recherchant encore plus de sensation.
Jean gémit.
- Oh oui, ma belle. Sens comme on est bien ensemble, murmure Jean, dont les mains passent des hanches de Léa à ses seins, ses pouces effleurant doucement ses mamelons.
Son contact lui envoie des décharges électriques, le plaisir est presque irrésistible. Léa gémit, son corps se crispe lorsque les doigts de Jean commencent à pincer ses mamelons, intensifiant le plaisir de la bite de Jean qui la remplit.
- Tu es si réceptive, ma belle. Je pourrais te baiser toute la nuit gémit Jean, tandis qu'il continue à pénétrer Léa par derrière, ses hanches claquent contre ses fesses.
Léa est perdue, elle n’a jamais ressenti de telles sensations, son corps est en feu à cause de l'intensité des pénétrations de Jean. Elle ne s'est jamais sentie autant possédée. Elle se mort la lèvre, ses yeux se ferment et elle sent des larmes de plaisir lui piquer les yeux. Léa réalise qu’elle n’a jamais été prise comme ça auparavant. Si longtemps, si fort, si sauvagement. Les mains de Jean serrent plus fort ses hanches, ses doigts s'enfoncent dans sa chair douce tandis qu'il se jette sur elle, sa queue la remplit complètement. Elle peut sentir chaque centimètre de lui, sentir la façon dont il la pénètre. Le plaisir est irrésistible, il la consume entièrement. Son corps se tend, ses muscles s'enroulent tandis que les poussées de Jean deviennent plus pressantes, plus exigeantes. Elle sent qu'il pert le contrôle, qu'il se crispe, qu'il respire par à-coups.
- Waouh, Léa. Je ne peux plus me retenir. Je vais jouir en toi.
Il sent la chatte de Léa se refermer sur lui. Les gémissements de Léa s'amplifent, son souffle est court et sec, tandis qu'elle sent le sexe de Jean s'enfoncer en elle, ses doigts rouler ses mamelons, et la chatte d'Agnès contre sa bouche. Le plaisir est trop fort, trop intense, et Léa ne peut pas retenir ses cris plus longtemps. Elle hurle contre la chair d'Agnès, son corps se crispant alors qu'elle sent son orgasme monter.
- Oh Léa, tu es si proche, n'est-ce pas ? Je le sens. Purée, Léa, tu vas... !"
Jean lâche un long gémissement, son corps frémit violemment. Léa sent la chaleur de sa libération, les pulsations de sa bite alors qu'il jouit profondément en elle, la remplissant de son essence. L'orgasme la submerge comme un raz-de-marée, son corps se convulsant avec des vagues de plaisir si intenses qu'elle hurle contre la chatte d'Agnès.
Agnès gémit, son propre corps répond aux cris de Léa, ses hanches se déhanchent contre le visage de Léa tandis qu'elle se plaque contre la bouche de sa jeune amie.
L'orgasme de Léa n'est pas une vague douce, c'est un tsunami, une force marémotrice qui brise chacune de ses terminaisons nerveuses, la laissant tremblante et épuisée. Elle hurle dans la chatte d'Agnès, son corps tremble sous les contrecoups de cette libération. Jean, toujours en elle, gémit, son corps épuisé et mou se retire de Léa, son sperme s'échappe d'elle et dégouline le long de ses cuisses. Il s'effondre sur le canapé à côté d'elle. Léa reste allongée, amorphe et le corps tremblant, respirant par à-coups, son corps bourdonne sous l'effet de l'orgasme.
Mais alors que le corps de Léa frémit toujours sous l'effet de cette jouissance fabuleuse et inhabituelle, Agnès recule, elle regarde Léa, et attrape une serviette en coton qui se trouve à proximité sur le dossier du canapé. Elle essuie délicatement les traces de Jean laissées à l'intérieur des cuisses de sa jeune amie, son contact est doux. Léa lève les yeux vers Agnès.
- Merci, murmure-t-elle, la voix à peine audible.
Agnès lui sourit, les yeux remplis de chaleur et d'affection.
- Il n'y a pas lieu de me remercier, ma chère. Ce fut un vrai plaisir. Il y a longtemps que je voulais partager cela avec toi, dit Agnès.
Elle tend la main à Léa et l'aide à se lever du canapé. Léa se sent faible, son corps tremblant encore de l'intensité de son orgasme.
- Maintenant, viens. Agnès entraîne Léa dans le couloir, sa main la guidant doucement par le bas du dos.
Lorsqu'ils pénétrent dans la chambre principale, Léa éprouve un sentiment de crainte, elle est de nouveau 'intimidée. La pièce est grande et très bien décoré, avec un grand lit drapé de riches tissus sombres.
Agnès conduit Léa vers le lit, en la poussant doucement sur la surface douce et soyeuse. Léa la regarde.
- Agnès, que vas-tu faire ? demande-t-elle
- Nous allons te faire encore bien, ma chérie. Nous avons encore beaucoup de choses à te donner avec Jean.
- Mais... que voulez-vous que je fasse ?
Agnès sourit.
- Ne t’inquiète pas, ma chérie. Je vais te guider.
Elle se penche, sa langue rencontre les lèvres de Léa, goûtant aux restes de sa propre excitation. Les yeux de Léa se ferment, ses lèvres s’écartent pour laisser entrer la langue d’Agnès dans sa bouche.
- Maintenant, tourne-toi et allonge-toi sur le dos, les jambes levées et les genoux pliés.
Léa hésite un instant. Elle se retourne sur le dos et soulève ses jambes, pliant les genoux. Agnès sourit, ses yeux ne quittent pas ceux de Léa.
- C’est parfait, ma chérie.
Elle s’agenouille entre ses jambes, les mains caressent doucement les cuisses de la jeune femme. Agnès se penche, sa langue cherche le clito de Léa, elle lèche sa jeune protégée. Léa ne tarde pas à réagir, des ondes de plaisir parcoururent son corps. Elle halète, ses mains agrippent les draps tandis. Agnès gémit doucement, sa langue encercle le clito de Léa, ses mains saisissent ses hanches pour la maintenir.
- C’est ça, ma chérie, laisse-moi te faire du bien.
Le corps de Léa est de nouveau en feu, son esprit se déchaîne alors qu’elle sent agir la langue d’Agnès. Elle ressent aussi le regard de Jean sur elle.
Agnès leva la tête, les yeux vers Léa avec un sourire coquin.
- Jean veut regarder, il veut me voir te faire du bien.
Léa lève les yeux vers Agnès.
- Que voulez-vous dire ?
Agnès rit doucement, ses doigts écartent les fesses de la jeune épouse en lui caressant doucement la peau sensible.
- Tu dois te détendre et te laisser faire ma chérie, et Jean va regarder.
Léa s’affale, faisant confiance en son amie. Elle sent les doigts d’Agnès titiller la peau sensible de ses fesses. Elle frissonne lorsqu’Agnès commence par tourner doucement son doigt autour de son entrée plissée, en la titillant et en l’excitant. Agnès sent Léa se crisper.
- Détends-toi ma chérie.
Léa se crispe alors qu’elle sent le bout du doigt d’Agnès percer son anus. Elle pousse un doux gémissement, son corps frémit. Agnès tente de l’apaiser, tendant son autre main vers la poitrine de Léa, ses doigts taquinant son téton.
- Détends-toi et laissez-moi entrer, indiqua Agnès à sa jeune amie.
Léa gémit, ses hanches se déplacent instinctivement, son corps cherche désespérément plus de cette sensation étrange et intense. Agnès enfonce son doigt plus profondément, elle l’encourage.
- Voilà, ma chérie. Oui comme cela. Jean, regarde-la. Elle aime cela.
Léa lève les yeux vers Jean, elle le regarde son sexe est dure comme un roc. Il hoche la tête, il regarde sa femme jouer avec leur jeune amie. Léa sent le doigt d’Agnès pousser plus profondément dans son anus. Elle lâche un doux gémissement.
- Tu aimes ce que je te fais, tu aimes que je m’occupe de toi ma chérie, murmure Agnès.
Elle se penche, sa langue retrouve le clito de Léa. Léa gémit, son corps est de nouveau en feu alors que le doigt d’Agnès glisse plus profondément dans son anus. La sensation de la langue d’Agnès sur son clito est un baume apaisant qui atténue l’intrusion du doigt d’Agnès.
- Tu es si serrée, ma chérie, glousse Agnès, alors qu’elle pousse encore son doigt plus profondément, sa langue tourbillonne autour du clito de Léa.
- Mais c’est bien tu te laisses faire, tu vas adorer.
Jean est en extase, sa queue dans sa main alors qu’il regarde Agnès doigter le cul de Léa et lui bouffer son adorable minou.
- Elle est magnifique, Agnès. Tu avais raison, elle est faite pour cela.
- Je te l’avais dit, chérie. Elle va être notre nouveau jouet préféré, marmonne Agnès.
Le corps de Léa réagit, la gêne occasionnée au départ par le doigt de Léa se transforme en un doux plaisir qui s’intensifie avec la langue de sa patronne sur son clitoris. Elle peut sentir son orgasme se former, son corps serré comme un ressort prêt à éclater.
- Oh Agnès, dit-elle en haletant,
C’est à ce moment que Jean réagit.
- Ouvre la bouche, Léa, ordonna-t-il, sa queue maintenant à quelques centimètres de son visage.
- Laisse-moi jouir sur tes jolies lèvres.
Léa hésite un instant, ses yeux rencontrent le regard de Jean, elle ouvre les lèvres, obéissante. Jean gémit, ses yeux se ferment alors qu’il saisit sa bite et la plaçe contre la bouche de la jeune femme.
- C’est ça, ma petite. Ouvre grand pour moi.
Elle ouvre sa bouche plus large, sa langue jaillit pour rencontrer le prépuce de Jean alors qu’il presse la pointe de sa bite contre ses lèvres. Il gémit, le son d’un grondement profond et primitif, ses mains saisissant ses cheveux, il pénétre sa bouche. Il a un gout de sel et de musc. Léa gémit, d’un son étouffé par la queue de Jean, son corps frémit alors que le doigt d’Agnès glisse plus profondément dans son cul, elle découvre la sensation d’être comblée des deux côtés, et ressent un plaisir qu’elle n’a jamais imaginé. Elle jouit d’un coup surprise par la force de cet orgasme qu’Agnès a su si bien provoquée.
Jean commence à baiser sa bouche avec ferveur, ses hanches se déplacent dans un rythme régulier et puissant, ses mains saisissent fermement ses cheveux. Léa peut sentir chaque veine de sa bite à chaque va et vient dans sa bouche, ses boules tapent contre son menton.
- C’est ça, bébé. Prends tout comme une bonne fille, commande Jean, ses hanches se déplaçant plus vite.
Tout à coup, il sort, sa bite trempée de salive et de pré-sperme. Léa le regarde, les yeux écarquillés, mais Jean sourit simplement, sa main enroulée autour de son manche, sa main commençant à caresser son sexe de haut en bas.
- Je veux que tu me regardes caresser ma bite, ma belle. Je veux que tu voies à quel point tu me rends dur. Combien tu m’excites.
Léa respire, les yeux fixés sur sa bite, hypnotisée par Jean caressant son mandrin, ses mouvements rapides et délibérés envolent du pré-sperme fuyant de la pointe.
- C’est ça, bébé dit Jean en haletant, sa main serrant sa bite, ses hanches se tortillant de façon erratique.
- Regarde-moi jouir sur ton joli visage.
L’instinct de Léa est de détourner le regard, pour se protéger de l’explosion imminente, mais elle se retrouve figée, les yeux grands ouverts. Le corps de Jean se crispe, puis, avec un grognement fort et sauvage, il vient, son sperme chaud et collant s’étale sur son visage, dans ses cheveux, et même sur ses lèvres. Elle halète, son corps tremble avec un mélange de révulsion et une chaleur étrange et brûlante. Jean, son corps encore secoué par les répliques de son éjaculation, la regarde, ses yeux remplis d’une concupiscence primitive.
- Nettoie-moi, bébé, lèche chaque dernière goutte de mon sperme sur ton beau visage, grogne-t-il
Surprise Léa hésite un instant. On ne lui a jamais demandé de faire quelque chose d’aussi dégradant et dégoûtant auparavant, et pourtant il y avait une partie d’elle qui est intriguée, qui brûle d’un désir obscur et interdit. Agnès, qui a regardé la scène se dérouler avec un mélange d’amusement et de luxure, voit le doute dans les yeux de Léa. Elle tend la main sur le menton de Léa, le pouce sur sa lèvre inférieure.
- C’est bon, ma chérie, murmure-t-elle.
Agnès tourne doucement le visage de Léa vers la queue de son mari qui est encore crispée par les répliques de son éjaculation. Léa leva les yeux vers Jean et voit le désir encore brûlant dans son regard. Elle ressent comme un désir obscur et interdit qui s’agite en elle. La main d’Agnès guide doucement le visage de la jeune femme vers Jean, sa voix chuchotant dans son oreille.
- Allez, ma chérie. Goûtez-le.
Léa tend avec hésitation sa langue, touchant la trace salée et collante de l’éjaculation de Jean sur sa joue. Le goût n’est pas familier, mais il y a quelque chose de primitif et d’enivrant. Léa passe sa langue sur la bite de Jean, elle s’applique a bien le nettoyer Jean gémit, il la soulève d’un coup et la prend dans ses bras, sa bouche s’écrase sur la sienne dans un baiser passionné. Léa surprise se laisse faire, son corps se contracte un instant avant de répondre avec sa langue au baiser profond de Jean. Ses bras passent autour du cou de l’homme. Jean approfondit son baiser, sa langue explorant la bouche de la jeune femme. Agnès les regarde un instant, les yeux remplis de tendresse. Elle tend la main, caressant doucement le dos de Jean, ses doigts massant les muscles. Jean s’éloigne de la bouche de Léa, et se tourna vers Agnès. Sa main tend vers l’extérieur, lui serrant la joue, son pouce effleurant une mèche de cheveux qui lui est tombée au visage.
- Je t’aime, chuchote-t-il, sa voix pleine d’émotion.
Agnès sourit.
- Je t’aime aussi, mon chéri, dit-t-elle.
Elle s’incline, ses lèvres rencontrent Jean dans un tendre baiser d’amour. Léa regarde son cœur gonflé d’une vague d’émotion inattendue. Elle ressent le désir, mais aussi un profond sentiment d’appartenance, d’être partie prenante à quelque chose de spécial.
Le couple n’oublie pas leur jeune amie et ils entrelacent Léa, Les mains de Jean parcourent le dos de Léa, son toucher est doux et rassurant, tandis qu’Agnès tape sa joue contre ses cheveux, son souffle est chaud et réconfortant. Léa se laisse porter dans leur étreinte, elle ressent un mélange de désir et d’affection.
Ils s’enfoncent tous les trois dans le lit, leurs corps s’entremêlent, leurs membres se mélangent les uns aux autres.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Léa tombe sous la coupe de ce couple qui a décidé d'en faire leur jouet.. elle oublie complètement son mari parti se faire tuer ailleurs...
Sur la forme, c'est exquis et merveilleusement bien écrit.

Histoire Erotique
C'est vraiment un excellent récit, l'excitation monte peu à peu... et le bouquet final est superbe, bravo! J'espère qu'il y aura une suite!



Texte coquin : L'initiation de Léa - Episode 3
Histoire sexe : Une rose rouge
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