L'objet du désir
Récit érotique écrit par Petite futée [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-12-2013 dans la catégorie A dormir debout
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L'objet du désir
Je me rappelle encore, le jour de ma rencontre avec Lola, elle pénétra dans le magasin, elle était magnifique, blonde, ses cheveux lâchés qui retombaient juste en dessous de ses épaules en ondulant légèrement. Son visage était fin, ses yeux d’un bleu océan, ses lèvres pulpeuses, ses dents blanches et son teint hâlé lui donnait un air angélique, une vraie poupée. Et je ne vous ai pas encore décrit son corps !
C’était une belle journée d’été, elle portait une petite robe blanche en broderie anglaise à fines bretelles, moulante de sa poitrine aux hanches, et volante jusqu’à mi cuisses. Oh, quelle était désirable !
Elle déambulait dans la boutique, mais ne semblait pas trouver ce qu’elle cherchait. Son regard, se posa sur moi, un sourire éclaira son beau minois. Je la regardais, complètement subjugué, hypnotisé, ensorcelé. Puis le trou noir, je ne sais pas ce qu’il s’est passé ensuite, je ne me souviens pas…
Ce que je peux vous dire, c’est que quand j’ai repris mes esprits, elle était là, devant moi, dans une chambre , totalement nue, son corps était encore plus beau que je me l’imaginais. Ses seins étaient petits mais joliment ronds et bien fermes, sa taille fine, ses hanches et ses fesses parfaitement proportionnées et son entrejambe un appel à la luxure. À la télé, il y avait un film porno en sourdine, qui montrait deux hommes et une femme. Elle était assez dodue et pas toute jeune, et s’employait à sucer goulument la queue d’un jeunot, pendant que l’homme mûr (sans doute le mari) sodomisait le gamin. J’étais habitué de voir de telles scènes, plus ou moins crues d’ailleurs.
Lola avait l’air très excité et caressait son corps. Je ne pouvais pas bouger, mais elle prit les devant, et m’enfila en elle. J’aurais voulu la toucher, la caresser, l’embrasser, ça me rendait dingue de ne pouvoir le faire. Elle bougeait pour me faire entrer et sortir, ses gémissements comblaient mon manque d’action.
Ma belle maitresse, s’activait de plus en plus, je butais tout au fond de son antre, et finalement je l’entendis libérer son extase. Son vagin se contractait, m’emprisonnant en elle, j’étais gluant de sa liqueur. Elle me prit en bouche et me lécha, ne laissant plus une trace dans son miel sur moi. Puis elle éteignit télévision et lumière, s’allongea à côté de moi et s’endormit.
Au petit matin, elle abusa encore de moi, jusqu’à jouissance, et la belle me quitta pour prendre une douche. La nuit suivante, elle ne vint pas se coucher, je pense même qu’elle n’est pas rentrée. Pourquoi me faisait elle cela, je souffrais, je croyais que j’étais tout pour elle, son âme sœur, mais, elle me prenait juste pour un jouet. Je dus donc accepter la chose et profiter de chaque instant qu’elle voulait bien m’accorder
Il lui arrivait de m’emmener avec elle au restaurant, à la piscine, au cinéma ou juste faire un tour en voiture. Elle trouvait toujours un endroit insolite, pour que l’on puisse unir nos sexes, je crois que ça l’excitait encore plus. Moi comme d’habitude, je faisais tout ce que je pouvais pour qu’elle soit satisfaite.
Un soir, quelle ne fut pas ma surprise de voir Lola entrer dans notre chambre avec un homme. Ils rigolaient, s’embrassaient, se caressaient sans même se soucier de moi. Leurs vêtements volèrent dans toute la pièce. Je regardais ce bel étalon aussi bien monté que moi. Il se croyait où celui-là, qui lui donnait le droit de venir dans notre lit ? Et ma douce fleur qui avait l’air de bien s’amuser ! Je me sentais abandonné, humilié. Mais sans autre chose à faire, je les regardais dans leurs ébats.
Il l’allongea tout à côté de moi, dévorais son corps par des milliers de baisers, et elle brulait sous l’effet de ses caresses. Il lui faisait tout ce que j’avais toujours désiré lui faire, mais incapable du moindre geste, et dieu sait si j’en avais envie, ça me rongeais de l’intérieur.
Il enjamba son corps de rêve, et plongea son visage dans sa petite touffe blonde, ses fesses à lui tournées vers son visage, pleine vu sur ses testicules et sa croupe. Je crois qu’on appelle ça un soixante-neuf. Il lui dévorait la minette et elle, accroché à ses fesses s’occupait de son membre viril. Ma douce Lola avait l’air heureux, épanouie, je ne l’avais jamais vu prendre autant de plaisir avec moi. Ça me rendait très malheureux.
Au bout d’un bon moment, il changea de position, il la regardait, collant son visage plein de cyprine sur le sien. Leurs lèvres se joignirent. Elle écarta les jambes pour le laisser prendre possession de son corps, mais ce n’est pas ce qu’il se passa, je fus invité à la fête et c’est moi qui eus l’honneur de la pénétrer en premier. Ses petits cris de plaisir m’emplirent de joie, puis ce fut le tour du bellâtre d’atteindre le septième ciel avec elle.
Les petites parties fines à trois durèrent encore un petit bout de temps, il tolérait ma présence parce que Lola y tenait, mais petit à petit, ils m’oublièrent, dormait très souvent ici. J’étais même arrivé dans la chambre d’ami, après une partie fine et ne fut plus jamais invité dans la chambre conjugale. Et lui avait pris ma place définitivement dans notre lit. Je n’avais même plus le plaisir de les voir se faire du bien, il me restait juste les échos qui passaient à travers la fine cloison.
Je m’enfonçais dans la déprime jour après jour. Et puis un jour, une autre fille, Valérie, sa meilleure amie s’installa dans ma prison pour quelques jours. Elle ne m’avait pas vu, je me faisais aussi discret que possible, pour mieux l’observer. Je la vit se dévêtir, elle était petite assez jolie mais bien en chair. Ses sous-vêtements ultra sexy mettait en valeur sa lourde poitrine, qui une fois libérée de l’étoffe lui descendait sur le haut du ventre, on y voyait des veines ressortir, ses mamelons étaient énormes. Son mini string était fait de rubans lacets sur le devant, laissant voir parfaitement sa toison totalement rasée. Juste une simple ficèle entre les fesses. Elle l’ôta, je pouvais maintenant apercevoir sa grosse chatte. Sur le bas du dos, il y avait un tatouage tribal qui prenait fin au creux de ses fesses. C’était le jour et la nuit avec Lola mais Valérie avait ce quelque chose qui suscite le désir chez un homme. Oui ! J’avais envie de la posséder. Elle s’allongea sur le lit et commença à se caresser, soudain elle m’aperçut, et me fit sortir de ma cachette, je vis son regard changer, il devint lubrique, je sentais qu’elle n’allait pas tarder à vouloir abuser de moi. En une fraction de seconde, elle se redressa, s’accroupit au-dessus de moi et empala son gros minou. La position était peu flatteuse mais je pouvais ainsi mieux la remplir. Son visage se contorsionnait de plaisir, j’étais heureux de retrouver une activité sexuelle. Sa mouille me coulait dessus, une vraie fontaine. D’une main elle caressait ses seins, les malaxant, pinçant ses tétons, vu la grosseur de ses mamelles, elle en prit un en bouche et commença à le téter. De l’autre me maintenait en elle. Valérie faisait tout le boulot et moi, je me laissais faire comme à mon habitude et j’adorais ça, les femmes ont besoin de moi, je suis né pour ça.
Le lendemain matin, à son réveil, elle me prit encore dans sa grotte bien chaude puis se leva dès son extase atteint. Je ne la revis que le soir, elle se déshabilla bien vite, sorti quelque chose de son sac qu’elle s’introduisit délicatement dans son trou odorant et s’offrit encore à moi. La sensation à l’intérieure était légèrement différente car les parois était pressées par ce qu’elle avait introduit, je sentais aussi des vibrations. Valérie, s’activait de plus en plus puis s’arrêta nette, elle avait jouit. Elle retira son accessoire et le déposa à côté de moi.
A la lueur du jour, je jetais un œil, à l’instrument de Valérie. Et là, ce fut le choc, je compris, tout devenait clair, depuis le début je n’avais été qu’un objet du désir. Lola m’avait acheté dans ce magasin mais ça aurait pu être n’importe qui d’autre, c’était sans importance, tel était mon destin, celui d’être un simple jouet pour donner du plaisir, celui d’être un sex-toy, tout simplement…
C’était une belle journée d’été, elle portait une petite robe blanche en broderie anglaise à fines bretelles, moulante de sa poitrine aux hanches, et volante jusqu’à mi cuisses. Oh, quelle était désirable !
Elle déambulait dans la boutique, mais ne semblait pas trouver ce qu’elle cherchait. Son regard, se posa sur moi, un sourire éclaira son beau minois. Je la regardais, complètement subjugué, hypnotisé, ensorcelé. Puis le trou noir, je ne sais pas ce qu’il s’est passé ensuite, je ne me souviens pas…
Ce que je peux vous dire, c’est que quand j’ai repris mes esprits, elle était là, devant moi, dans une chambre , totalement nue, son corps était encore plus beau que je me l’imaginais. Ses seins étaient petits mais joliment ronds et bien fermes, sa taille fine, ses hanches et ses fesses parfaitement proportionnées et son entrejambe un appel à la luxure. À la télé, il y avait un film porno en sourdine, qui montrait deux hommes et une femme. Elle était assez dodue et pas toute jeune, et s’employait à sucer goulument la queue d’un jeunot, pendant que l’homme mûr (sans doute le mari) sodomisait le gamin. J’étais habitué de voir de telles scènes, plus ou moins crues d’ailleurs.
Lola avait l’air très excité et caressait son corps. Je ne pouvais pas bouger, mais elle prit les devant, et m’enfila en elle. J’aurais voulu la toucher, la caresser, l’embrasser, ça me rendait dingue de ne pouvoir le faire. Elle bougeait pour me faire entrer et sortir, ses gémissements comblaient mon manque d’action.
Ma belle maitresse, s’activait de plus en plus, je butais tout au fond de son antre, et finalement je l’entendis libérer son extase. Son vagin se contractait, m’emprisonnant en elle, j’étais gluant de sa liqueur. Elle me prit en bouche et me lécha, ne laissant plus une trace dans son miel sur moi. Puis elle éteignit télévision et lumière, s’allongea à côté de moi et s’endormit.
Au petit matin, elle abusa encore de moi, jusqu’à jouissance, et la belle me quitta pour prendre une douche. La nuit suivante, elle ne vint pas se coucher, je pense même qu’elle n’est pas rentrée. Pourquoi me faisait elle cela, je souffrais, je croyais que j’étais tout pour elle, son âme sœur, mais, elle me prenait juste pour un jouet. Je dus donc accepter la chose et profiter de chaque instant qu’elle voulait bien m’accorder
Il lui arrivait de m’emmener avec elle au restaurant, à la piscine, au cinéma ou juste faire un tour en voiture. Elle trouvait toujours un endroit insolite, pour que l’on puisse unir nos sexes, je crois que ça l’excitait encore plus. Moi comme d’habitude, je faisais tout ce que je pouvais pour qu’elle soit satisfaite.
Un soir, quelle ne fut pas ma surprise de voir Lola entrer dans notre chambre avec un homme. Ils rigolaient, s’embrassaient, se caressaient sans même se soucier de moi. Leurs vêtements volèrent dans toute la pièce. Je regardais ce bel étalon aussi bien monté que moi. Il se croyait où celui-là, qui lui donnait le droit de venir dans notre lit ? Et ma douce fleur qui avait l’air de bien s’amuser ! Je me sentais abandonné, humilié. Mais sans autre chose à faire, je les regardais dans leurs ébats.
Il l’allongea tout à côté de moi, dévorais son corps par des milliers de baisers, et elle brulait sous l’effet de ses caresses. Il lui faisait tout ce que j’avais toujours désiré lui faire, mais incapable du moindre geste, et dieu sait si j’en avais envie, ça me rongeais de l’intérieur.
Il enjamba son corps de rêve, et plongea son visage dans sa petite touffe blonde, ses fesses à lui tournées vers son visage, pleine vu sur ses testicules et sa croupe. Je crois qu’on appelle ça un soixante-neuf. Il lui dévorait la minette et elle, accroché à ses fesses s’occupait de son membre viril. Ma douce Lola avait l’air heureux, épanouie, je ne l’avais jamais vu prendre autant de plaisir avec moi. Ça me rendait très malheureux.
Au bout d’un bon moment, il changea de position, il la regardait, collant son visage plein de cyprine sur le sien. Leurs lèvres se joignirent. Elle écarta les jambes pour le laisser prendre possession de son corps, mais ce n’est pas ce qu’il se passa, je fus invité à la fête et c’est moi qui eus l’honneur de la pénétrer en premier. Ses petits cris de plaisir m’emplirent de joie, puis ce fut le tour du bellâtre d’atteindre le septième ciel avec elle.
Les petites parties fines à trois durèrent encore un petit bout de temps, il tolérait ma présence parce que Lola y tenait, mais petit à petit, ils m’oublièrent, dormait très souvent ici. J’étais même arrivé dans la chambre d’ami, après une partie fine et ne fut plus jamais invité dans la chambre conjugale. Et lui avait pris ma place définitivement dans notre lit. Je n’avais même plus le plaisir de les voir se faire du bien, il me restait juste les échos qui passaient à travers la fine cloison.
Je m’enfonçais dans la déprime jour après jour. Et puis un jour, une autre fille, Valérie, sa meilleure amie s’installa dans ma prison pour quelques jours. Elle ne m’avait pas vu, je me faisais aussi discret que possible, pour mieux l’observer. Je la vit se dévêtir, elle était petite assez jolie mais bien en chair. Ses sous-vêtements ultra sexy mettait en valeur sa lourde poitrine, qui une fois libérée de l’étoffe lui descendait sur le haut du ventre, on y voyait des veines ressortir, ses mamelons étaient énormes. Son mini string était fait de rubans lacets sur le devant, laissant voir parfaitement sa toison totalement rasée. Juste une simple ficèle entre les fesses. Elle l’ôta, je pouvais maintenant apercevoir sa grosse chatte. Sur le bas du dos, il y avait un tatouage tribal qui prenait fin au creux de ses fesses. C’était le jour et la nuit avec Lola mais Valérie avait ce quelque chose qui suscite le désir chez un homme. Oui ! J’avais envie de la posséder. Elle s’allongea sur le lit et commença à se caresser, soudain elle m’aperçut, et me fit sortir de ma cachette, je vis son regard changer, il devint lubrique, je sentais qu’elle n’allait pas tarder à vouloir abuser de moi. En une fraction de seconde, elle se redressa, s’accroupit au-dessus de moi et empala son gros minou. La position était peu flatteuse mais je pouvais ainsi mieux la remplir. Son visage se contorsionnait de plaisir, j’étais heureux de retrouver une activité sexuelle. Sa mouille me coulait dessus, une vraie fontaine. D’une main elle caressait ses seins, les malaxant, pinçant ses tétons, vu la grosseur de ses mamelles, elle en prit un en bouche et commença à le téter. De l’autre me maintenait en elle. Valérie faisait tout le boulot et moi, je me laissais faire comme à mon habitude et j’adorais ça, les femmes ont besoin de moi, je suis né pour ça.
Le lendemain matin, à son réveil, elle me prit encore dans sa grotte bien chaude puis se leva dès son extase atteint. Je ne la revis que le soir, elle se déshabilla bien vite, sorti quelque chose de son sac qu’elle s’introduisit délicatement dans son trou odorant et s’offrit encore à moi. La sensation à l’intérieure était légèrement différente car les parois était pressées par ce qu’elle avait introduit, je sentais aussi des vibrations. Valérie, s’activait de plus en plus puis s’arrêta nette, elle avait jouit. Elle retira son accessoire et le déposa à côté de moi.
A la lueur du jour, je jetais un œil, à l’instrument de Valérie. Et là, ce fut le choc, je compris, tout devenait clair, depuis le début je n’avais été qu’un objet du désir. Lola m’avait acheté dans ce magasin mais ça aurait pu être n’importe qui d’autre, c’était sans importance, tel était mon destin, celui d’être un simple jouet pour donner du plaisir, celui d’être un sex-toy, tout simplement…
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