Nouvelle expérience 2
Récit érotique écrit par Petite futée [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-10-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Nouvelle expérience 2
Vous vous souvenez, je suis Johannie, la jeune aide à domicile de 23 ans, qui a quitté son job pour travailler à plein temps chez Monsieur Vallois, jeune retraité, veuf. Il a fallu peu de temps pour que notre cohabitation, tourne à la liaison.
Remise de mes émotions, après ma nouvelle expérience sur la terrasse, j’enfile mon peignoir et rentre dans la maison. Il est dix-huit heures, je n’ai pas vu le temps passer. Je cherche mon patron, il est dans son bureau.
- Monsieur Vallois, vous voulez boire quelque chose ?
- Oh ! pas de Monsieur Vallois entre nous, appelle-moi Henri et pas de vous non plus. Non, pour l’instant ça va, on boira un verre tout à l’heure, j’ai mis une bouteille au frais, ainsi que le dîner. Je termine de ranger ces papiers.
- D’accord Henri … Je vais prendre une douche (la troisième de la journée) et je vous attendrais, pardon t’attendrais au salon.
L’eau coulant sur mon corps me fait le plus grand bien. Je sors, me sèche et file dans ma chambre, il y a un paquet sur mon lit, je l’ouvre, il y a une magnifique combinaison sexy en résille et motifs rouges, elle est très transparente, un déshabillé et des chaussures à talon assortis, tout au fond un parfum. Je me hâte de l’enfiler, je vais délicatement commençant par enfilé mes pieds dans le nylon, le remontant tout doucement, je découvre les motifs rouges sur les côtés de mes mollets, l’entrejambe est fendu, mais très discrètement, les décors cachent juste ce qu’il faut, on pourrait croire un body, et la tenue se termine par un fin ruban qui s’attache derrière la tête. Je finis d’enfiler mes cadeaux, puis, je me parfume légèrement, le coup d’œil dans la glace, me renvoie l’image d’une femme très plantureuse et sexy, je ne me reconnais pas, dernière petite touche, je relève mes cheveux en un chignon un peu fou mais élégant. Me voilà prête…
En arrivant dans le salon, je découvre Henri assit sur le canapé lisant un livre, mais dès que je fis mon apparition, il leva la tête et je vis un large sourire, s’afficher sur son visage.
- Comment trouves tu, ta nouvelle garde-robe ?
- Oh ! J’adore, c’est trop beau, merci beaucoup, lui dis-je en lui déposant un baiser sur les lèvres.
- Je suis ravi que ça te plaise, mais avant tout je voulais me faire plaisir, et je ne suis pas déçu. Viens t’asseoir à côté de moi.
Je me posai à sa droite, il me tendit un verre de champagne. Nous trinquons, buvons une gorgée, il posa son verre sur la table, j’en fis de même. Puis il s’adossa au canapé, prise d’une envie de tendresse je vins me lover tout contre lui, ma tête contre sa poitrine, son cœur résonnait dans mes oreilles, j’étais bien, ma main chercha à entrer sous sa chemise, le fit sauter les boutons qui me dérangeait, je pu enfin sentir sa peau sur ma paume, j’effleurais ses poils, caressait ses pectoraux, ses tétons. J’étais vraiment bien. Mes doigts descendirent de plus en plus, jusqu’à son pantalon, il m’aida en défaisant sa ceinture, se déboutonnant et ouvrant sa braguette. Son slip me faisait encore obstruction, mais je glissais ma main sous l’élastique, son membre était déjà bien dur, je frôlais la peau de son sexe, et je commençais moi aussi à m’excité.
Henri se laissait faire, j’aimais pour une fois prendre le dessus, alors je pris les choses en main. Me mettant debout, de défit mon déshabillé, tout en me rendant sexy et fougueuse. Puis je dévêtis mon amant, sa chemise, ses chaussures, chaussettes, pantalon et pour finir son caleçon. Le voilà tout nu, et par mes soins. Je regardais cet homme plus très jeune, totalement dépouillé de ses vêtements, lui aussi me regardait, fou de désir pour moi. Et je me rendis compte que j’avais envie de continuer l’aventure avec lui, d’apprendre, à lui faire plaisir, mais aussi à connaitre mon corps, toutes ses sensations différentes suivants les zones érogènes stimulés. Oui, j’étais prête à me donner à lui, corps et âme, peu importe où cela me mènera, je ferai tout pour lui.
Je vins donc me mettre à genou face à lui, il voulut toucher mes seins, mais je lui interdis. Il parut surpris, mais obtempérât. Moi, j’exécutais une légère ondulation de mon corps, puis plus langoureuse, sexy, provoquante, mettant un doigt dans ma bouche, faisant mine de le sucer, comme une verge. Henri, me regardait, souriant, mon manège faisait son effet sur lui. Puis, je descendis le doigt le long de mon corps, m’arrêtant sur mes seins, titillant mes tétons qui se durcissaient sous mes pincements, mais je continuais ma descente, je frôlais le tissu du bout des doigts, dessinant la forme de ma toison réduite à un ticket de métro. Je continuais ma descente vers l’ouverture secrète de la combinaison, je glissais mon index dans mon intimité, et plus profondément encore, je le ressortis quelques secondes plus tard, bien imprégné de mes sécrétions, et gouttais…
- Tu veux goutter aussi.
Je lui portais mon doigt à sa bouche, il y goutta avec plaisir. Doucement, je saisis sa queue et descendit, pour venir la frotter contre ma chatte, c’était bon, nous gémissions tous les deux, le désir fut plus fort que tout, je me laissais embrocher le plus profondément que je pu, puis commença de délicats va et vient, des ondulations, suivit de déhanchements de plus en plus intenses.
Mon vieux cochon aimait ça plus que tout, il callat ses mains sur mes fesses, m’aidant dans mes manœuvres, je me frottais lorsque je redescendais contre ses poils, titillant mon clito, rejetant ma tête en arrière, la redressant pour le regarder droit dans les yeux. Le regard qu’il me rendait m’encourageait dans ma quête de l’extase mutuelle. Henri, accroché à mes fesses, devint plus aventureux, il dirigea ses doigts vers mon anneau de venus, mais bien clôturé, il lui fallait lubrifier un peu, ma cyprine ferai l’affaire, vu ses gestes. Je sentais de légères pressions sur mon petit trou, et soudain je sentis qu’il fut violé, amoureusement profané. A chaque intrusions, toujours plus profondes, je me sentais de plus en plus transportée vers le mont des béatitudes, je m’en rapprochais à grand pas, chevauchant ma monture de plus en plus vite, dans une folle ardeur devenue incontrôlable. Je ne me maitrisais plus, j’étais en train de décoller, de m’élever de plus en plus haut, j’étais merveilleusement bien, je sentis qu’Henri empruntait le même chemin que moi, son liquide chaud me remplit par saccade, j’entendais ses râles et enfin, je pu laisser retomber doucement mon exaltation.
Je me blottis tout contre le torse de mon séducteur, ses bras m’enlacèrent tendrement, et il me couvrit les cheveux de baisers. Nous sommes restés un long moment comme cela. Laissant l’émotion nous quitté petit à petit.
- Je meurs de faim et de soif, pas toi ?
- Oh que si, ne bouge pas je m’occupe de tout, soyons encore un peu plus fou, mangeons ici dans le salon.
- D’accord, tout ce que tu veux.
Je regardais dans le frigo, et cherchais ce qu’il serait le plus pratique à manger, et m’attelais à préparer notre plateau repas. Carré de fromage, petits tomates cerises, saucisson, petits toasts au pâté, et au saumon, et pour finir raisin et chocolats. Henri, fut ravi de mon idée, et nous partageâmes ce modeste repas dans une ambiance très bon enfant. J’étais heureuse, ici, avec lui, et je voyais bien qu’il est était de même pour lui.
Au moment d’aller au lit, fatigués tous les deux par notre riche journée de plaisirs, il me demanda si je voulais bien venir dormir avec lui dans son lit. Bien sûr j’acceptais son invitation, contente de m’endormir et de me réveiller auprès de lui. Combien de temps notre histoire aller durée, je n’en savais rien, je voulais juste profiter du moment présent, seul l’avenir nous le dira…
Remise de mes émotions, après ma nouvelle expérience sur la terrasse, j’enfile mon peignoir et rentre dans la maison. Il est dix-huit heures, je n’ai pas vu le temps passer. Je cherche mon patron, il est dans son bureau.
- Monsieur Vallois, vous voulez boire quelque chose ?
- Oh ! pas de Monsieur Vallois entre nous, appelle-moi Henri et pas de vous non plus. Non, pour l’instant ça va, on boira un verre tout à l’heure, j’ai mis une bouteille au frais, ainsi que le dîner. Je termine de ranger ces papiers.
- D’accord Henri … Je vais prendre une douche (la troisième de la journée) et je vous attendrais, pardon t’attendrais au salon.
L’eau coulant sur mon corps me fait le plus grand bien. Je sors, me sèche et file dans ma chambre, il y a un paquet sur mon lit, je l’ouvre, il y a une magnifique combinaison sexy en résille et motifs rouges, elle est très transparente, un déshabillé et des chaussures à talon assortis, tout au fond un parfum. Je me hâte de l’enfiler, je vais délicatement commençant par enfilé mes pieds dans le nylon, le remontant tout doucement, je découvre les motifs rouges sur les côtés de mes mollets, l’entrejambe est fendu, mais très discrètement, les décors cachent juste ce qu’il faut, on pourrait croire un body, et la tenue se termine par un fin ruban qui s’attache derrière la tête. Je finis d’enfiler mes cadeaux, puis, je me parfume légèrement, le coup d’œil dans la glace, me renvoie l’image d’une femme très plantureuse et sexy, je ne me reconnais pas, dernière petite touche, je relève mes cheveux en un chignon un peu fou mais élégant. Me voilà prête…
En arrivant dans le salon, je découvre Henri assit sur le canapé lisant un livre, mais dès que je fis mon apparition, il leva la tête et je vis un large sourire, s’afficher sur son visage.
- Comment trouves tu, ta nouvelle garde-robe ?
- Oh ! J’adore, c’est trop beau, merci beaucoup, lui dis-je en lui déposant un baiser sur les lèvres.
- Je suis ravi que ça te plaise, mais avant tout je voulais me faire plaisir, et je ne suis pas déçu. Viens t’asseoir à côté de moi.
Je me posai à sa droite, il me tendit un verre de champagne. Nous trinquons, buvons une gorgée, il posa son verre sur la table, j’en fis de même. Puis il s’adossa au canapé, prise d’une envie de tendresse je vins me lover tout contre lui, ma tête contre sa poitrine, son cœur résonnait dans mes oreilles, j’étais bien, ma main chercha à entrer sous sa chemise, le fit sauter les boutons qui me dérangeait, je pu enfin sentir sa peau sur ma paume, j’effleurais ses poils, caressait ses pectoraux, ses tétons. J’étais vraiment bien. Mes doigts descendirent de plus en plus, jusqu’à son pantalon, il m’aida en défaisant sa ceinture, se déboutonnant et ouvrant sa braguette. Son slip me faisait encore obstruction, mais je glissais ma main sous l’élastique, son membre était déjà bien dur, je frôlais la peau de son sexe, et je commençais moi aussi à m’excité.
Henri se laissait faire, j’aimais pour une fois prendre le dessus, alors je pris les choses en main. Me mettant debout, de défit mon déshabillé, tout en me rendant sexy et fougueuse. Puis je dévêtis mon amant, sa chemise, ses chaussures, chaussettes, pantalon et pour finir son caleçon. Le voilà tout nu, et par mes soins. Je regardais cet homme plus très jeune, totalement dépouillé de ses vêtements, lui aussi me regardait, fou de désir pour moi. Et je me rendis compte que j’avais envie de continuer l’aventure avec lui, d’apprendre, à lui faire plaisir, mais aussi à connaitre mon corps, toutes ses sensations différentes suivants les zones érogènes stimulés. Oui, j’étais prête à me donner à lui, corps et âme, peu importe où cela me mènera, je ferai tout pour lui.
Je vins donc me mettre à genou face à lui, il voulut toucher mes seins, mais je lui interdis. Il parut surpris, mais obtempérât. Moi, j’exécutais une légère ondulation de mon corps, puis plus langoureuse, sexy, provoquante, mettant un doigt dans ma bouche, faisant mine de le sucer, comme une verge. Henri, me regardait, souriant, mon manège faisait son effet sur lui. Puis, je descendis le doigt le long de mon corps, m’arrêtant sur mes seins, titillant mes tétons qui se durcissaient sous mes pincements, mais je continuais ma descente, je frôlais le tissu du bout des doigts, dessinant la forme de ma toison réduite à un ticket de métro. Je continuais ma descente vers l’ouverture secrète de la combinaison, je glissais mon index dans mon intimité, et plus profondément encore, je le ressortis quelques secondes plus tard, bien imprégné de mes sécrétions, et gouttais…
- Tu veux goutter aussi.
Je lui portais mon doigt à sa bouche, il y goutta avec plaisir. Doucement, je saisis sa queue et descendit, pour venir la frotter contre ma chatte, c’était bon, nous gémissions tous les deux, le désir fut plus fort que tout, je me laissais embrocher le plus profondément que je pu, puis commença de délicats va et vient, des ondulations, suivit de déhanchements de plus en plus intenses.
Mon vieux cochon aimait ça plus que tout, il callat ses mains sur mes fesses, m’aidant dans mes manœuvres, je me frottais lorsque je redescendais contre ses poils, titillant mon clito, rejetant ma tête en arrière, la redressant pour le regarder droit dans les yeux. Le regard qu’il me rendait m’encourageait dans ma quête de l’extase mutuelle. Henri, accroché à mes fesses, devint plus aventureux, il dirigea ses doigts vers mon anneau de venus, mais bien clôturé, il lui fallait lubrifier un peu, ma cyprine ferai l’affaire, vu ses gestes. Je sentais de légères pressions sur mon petit trou, et soudain je sentis qu’il fut violé, amoureusement profané. A chaque intrusions, toujours plus profondes, je me sentais de plus en plus transportée vers le mont des béatitudes, je m’en rapprochais à grand pas, chevauchant ma monture de plus en plus vite, dans une folle ardeur devenue incontrôlable. Je ne me maitrisais plus, j’étais en train de décoller, de m’élever de plus en plus haut, j’étais merveilleusement bien, je sentis qu’Henri empruntait le même chemin que moi, son liquide chaud me remplit par saccade, j’entendais ses râles et enfin, je pu laisser retomber doucement mon exaltation.
Je me blottis tout contre le torse de mon séducteur, ses bras m’enlacèrent tendrement, et il me couvrit les cheveux de baisers. Nous sommes restés un long moment comme cela. Laissant l’émotion nous quitté petit à petit.
- Je meurs de faim et de soif, pas toi ?
- Oh que si, ne bouge pas je m’occupe de tout, soyons encore un peu plus fou, mangeons ici dans le salon.
- D’accord, tout ce que tu veux.
Je regardais dans le frigo, et cherchais ce qu’il serait le plus pratique à manger, et m’attelais à préparer notre plateau repas. Carré de fromage, petits tomates cerises, saucisson, petits toasts au pâté, et au saumon, et pour finir raisin et chocolats. Henri, fut ravi de mon idée, et nous partageâmes ce modeste repas dans une ambiance très bon enfant. J’étais heureuse, ici, avec lui, et je voyais bien qu’il est était de même pour lui.
Au moment d’aller au lit, fatigués tous les deux par notre riche journée de plaisirs, il me demanda si je voulais bien venir dormir avec lui dans son lit. Bien sûr j’acceptais son invitation, contente de m’endormir et de me réveiller auprès de lui. Combien de temps notre histoire aller durée, je n’en savais rien, je voulais juste profiter du moment présent, seul l’avenir nous le dira…
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