La boucle est bouclée ! - histoire érotique

Octobre 2010. Lille.
Ce soir, mon cher et tendre va baiser celle que je travaille cérébralement depuis six mois déjà.

Je me souviens du premier coup de fil passé. Je lui dis qu'elle est une femme séduisante, qu'elle représente un fantasme pour mon mari et pour moi !
Puis je change de conversation ; le pétard est allumé et je vais prendre soin d'entretenir cette mèche qui se consume jusqu'à... ?

Une autre conversation téléphonique. Je lui dis que je suis libertine et très partageuse. Je la sens à l'écoute. Je me confie.
Puis encore une autre. Je la sens accrocher davantage à mon scénario. Elle est réceptive.

Je ne la lâche plus. Elle a très bien compris ma démarche et elle accepte. Une seule règle est imposée et doit être obligatoirement respectée : interdiction de dormir ensemble.

Mon mari part dix jours à Lille pour des travaux à réaliser chez un client. Je sais que cela va se jouer pendant ce chantier.
J'appelle Catherine ; dernier point de réglage ! Elle est prête. Ils vont vivre un moment mémorable – et moi donc !


Décembre 2015. Anizy-le-Château.
Virginie me chope au tchat. Dans un premier temps, je ne comprends pas sa démarche. Elle veut une femme pour son mari mais je ne comprends pas pourquoi c'est elle qui est connectée sur la fiche de son mari. Elle m'explique ; je la comprends. Qui mieux que moi pour comprendre sa demande !

Puis les échanges se feront avec Thierry. J'aime notre belle langue de Molière et avec lui, je ne suis pas déçue. Je suis constamment scotchée par ses messages et j'ai souvent du mal à lui répondre tant mes réponses sont ridicules comparées à ses écrits.
Une première rencontre devait se faire mais a été repoussée. J'ai des obligations et je ne peux passer outre.

Février 2016. Compiègne.
Je consulte mes messages. Tiens ! Un message de Virginie. Elle me dit qu'elle m'envoie Thierry. Il est porteur d'un travail supplémentaire pour moi et me dit que je dois très sérieusement plancher sur le sujet ; je dois avoir, au minimum, les encouragements, voire le tableau d'honneur ! Moi qui crânais ce matin en disant à un libertin que je n'étais aucunement sous pression, voilà que Virginie me fait mentir ! Puis elle exige des preuves en image et en temps réel. Elle peut compter sur moi. J'ai trop envie de lui donner le plaisir que j'ai reçu en 2010.

12h30. Je suis arrivée à l'hôtel. J'avais prévu une exhib' cam mais elle ne se fera pas. Mon PC portable m'a lâchée. Dernier échange avec Virginie. Je me déconnecte. Je me retrouve seule dans cette chambre. Je suis prête. Et j'ai une angoisse qui monte. Je réalise qu'il ne faut pas que je me loupe. Que je suis celle qui doit le marquer au fer rouge et qui, en plus, doit transmettre du plaisir à Virginie. Mon cœur claque dans ma poitrine ; il faut que j'extériorise.

« Millionnaire » de Soprano. Je danse. Je me défoule. Mes mains sont humides d'excitation !

Ah l'excitation ! Elle est là ! Je la sens ! Je suis sous pression. Mais c'est une bonne pression. Je sais, maintenant, que ma rencontre avec Thierry va bien se passer. Je fais les cent pas dans la chambre. Les minutes qui me séparant de Thierry sont longues, trop longues...
Je l'appelle. Je lui dis qu'il peut venir avant l'heure convenue s'il le souhaite. Il me répond qu'il n'est pas encore sur place et qu'il arrivera dans cinq minutes.

La porte s'ouvre. Je le vois. Il se tient face à moi. Très vite, mes lèvres vont se poser sur les siennes. Il ôte son manteau. Il est élégant. Elle a bon goût Virginie !
Je me retrouve à jouer le rôle de Catherine ; Thierry prend le rôle de Sébastien (mon mari) et Virginie, elle est moi !!! Et à cet instant précis, je ressens ce que Catherine a vécu et c'est particulièrement bon. Puis je pense à Virginie et je revis ce que j'ai vécu en 2010.

Nous reprenons les échanges de baisers. L'excitation continue de monter. Puis vient ma demande.
Laquelle ?

« Puis-je te sucer la bite Thierry ? »
Il acquiesce. Je peux enfin découvrir l'objet du plaisir ! Il saupoudre sa bite de sucre à la vanille et me voilà partie à lui sucer le sexe. Et c'est divinement bon de sucer une bite à la vanille ! Vous pouvez me croire !!!

Les préliminaires vont s'enchaîner. Prises de photo et envoi à Virginie. Elle nous en retournera qui seront tout autant excitantes. Nous sommes dans le vif du jeu et ce jeu est bon ! Jouissif !

Thierry me donne du plaisir. La situation, ce scénario m'en donnent aussi.
Il me lèche, me doigte. Je jouis régulièrement ! Puis il me baise ! Attention, il en est fini de jouer. Je sens dans ses coups de reins qu'il a envie de me faire jouir ! Et je jouis assez régulièrement. L'heure tourne. Je n'aurai pas le temps de travailler sérieusement sur le sujet de Virginie ; alors, avec audace, j'écris au verso de son devoir que j'ai dû faire un choix entre baiser avec son mari et prendre le temps de répondre correctement à ses questions. Je lui laisse le soin de deviner pour quelle option j'ai opté en lui rendant une copie blanche !
Thierry prendra soin de corriger quelques-unes de ces copies en se servant de mon fessier comme d'un pupitre. Photo à l'appui !

Puis je me retrouve les mains liées. Il met une énergie incroyable à me doigter. Et il me baise de nouveau. Il aime la levrette ! Moi aussi !
Je le branle, le suce. Puis il crache ; c'est beau de voir un homme cracher !

Je regarde mon téléphone. Il est déjà l'heure pour moi de reprendre mon rôle de maman. Nous discutons encore quelques minutes. Et chacun reprend sa vie. Là où nous l'avions laissée avant 13h30. Mais plus rien ne sera comme avant !