La chandeleur à la Lula-Coquine - histoire érotique

Ce matin, je me suis levée reposée mais avec un état d’esprit particulier et avec cette envie de jouir. Habituellement, j’aurai convenu d’un rendez-vous avec un de mes contacts sur le site mais là, non. Ce que je veux, c’est de la baise ! Rien d’autre.

Je consulte les clubs de Paris et alentour pour voir ce qu’il est prévu pour cet après-midi.
Après-midi « Crêpes Party » à l’Eden club, ce sera parfait.

Je dépose mon fils au centre de loisirs et ma fille chez une amie. Je rentre chez moi et je m’active. Je me douche, je me crème la peau, je me coiffe et je m’habille. Je porte cette robe rouge que je mets souvent en club, accompagnée de mes escarpins rouge. Des sous-vêtements ? Non !

Me voilà sur la route, j’ai hâte !
A l’occasion, je rentrerai sans avoir fait quoique ce soit mais qu’importe. J’aurai découvert l’Eden club et à défaut de baiser, j’aurai vu des libertins baiser et c’est excitant. J’adore entendre les femmes jouir, j’adore voir les hommes s’activer à mettre des coups de boutoir, j’aime beaucoup de choses en fait.

Ça y est, j’y suis ! Je prends une photo de l’enseigne en souvenir de cette première dans ce club. Quelques voitures sont déjà garées là, y a-t-il du monde ? Je m’empresse d’entrer pour voir ce qu’il s’y passe ! Pas une seconde à perdre, je n’ai que deux heures devant moi !

On me fait visiter les lieux, à vue de nez, je dirai que nous sommes une bonne vingtaine dont une moitié d’hommes. C’est très bien, je suis sûre de repartir avec ce sourire aux lèvres que j’ai lorsque je viens de finir de baiser.

Habituellement, je commence toujours par prendre un café mais là, non. Un couple est déjà en train de coquiner et je suis là, à les regarder et à sentir monter en moi ces papillons dans le bas ventre…
Très vite des mains se posent sur mon corps, je sursaute, elles sont froides, j’ai la chair de poule. Mais je me laisse faire et je reste plantée là à regarder la baise que nous offre ce couple.
J’ai envie de me retourner pour voir qui me touche, qui me caresse mais j’attends encore. Je laisse courir ces mains sur moi et j’écoute. J’entends des gémissements et j’entends ces hommes qui se branlent. C’est un moment que j’affectionne particulièrement car cela me renvoie à ma pluralité masculine lorsque j’avais les yeux bandés et que je l’entendais se branler. C’est excitant et je mouille comme une salope !

J’ai envie ! Envie de sucer des bites ! Envie de baiser ! Envie de jouir !!!
Je me retourne et je vois quatre hommes qui se tiennent face à moi, bite à la main ! Deux ne me plaisent pas, je choisis donc les deux autres. Je leur fais signe de me suivre. Un coin câlin de libre, je ne cherche pas à aller plus loin . Il faut que je suce ! Et de suite !

Je baisse complètement le pantalon de celui se trouvant le plus proche de moi et je me dépêche de porter à ma bouche son sexe. Sa bite n’est pas belle, elle n’a pas de « prestance » (Oui, je sais, je suis la seule à utiliser le terme prestance pour une bite !) mais qu’importe, je m’imagine en train de sucer une belle bite et cela me suffit pour continuer cette fellation. Il bande comme un malade et ça m’excite comme pas possible ; le deuxième me caresse, me pince les tétons. Je n’en peux plus, je veux que l’on me baise !
Je pousse celui que je suce (je n’ai pas demandé leur prénom lol) sur le matelas, je me positionne au dessus de lui et je présente mon cul au second. Je lui dis de mettre un préservatif et de me baiser sans ménagement. Je ne suis pas là pour jouer aux cartes mais pour jouir jusqu’à épuisement !
Il ne perd pas une seconde et m’enfile sa bite dans ma chatte ; lui aussi, bande comme un malade !
Et moi, je sens mon vagin étroit et déjà prêt à se contracter de jouissance… C’est chose faite…
Je pose ma tête à côté de la bite que je branle et je savoure chaque coup de reins que mon partenaire me donne. Je jouis de nouveau. Et je veux jouir encore et encore ; ne me laissez pas comme ça… Baisez-moi !!!

Je me redresse, mets un préservatif à celui que je branle et je m’empale sur sa bite. Je stoppe car je veux la sentir « nicher » bien au fond… Je réclame une double ; mon second partenaire s’exécute et m’encule ! Pas besoin de gel, je mouille tellement comme une salope que sa bite s’introduit dans mon cul. Je demande à celui qui m’encule de se caler sur mes mouvements de bassin et dis à celui du dessous de ne pas bouger.
Je coule de plaisir, je sens les larmes qui me montent aux yeux tellement c’est bon, tellement je me sens en vie.
Mes partenaires se lâchent en parole et des « salopes » commencent à se faire entendre. Je leur demande de continuer, je leur dis que j’aime ça.
"Baisez-moi comme une salope !!!"

Des mains me caressent les mollets et j’entends ces hommes m’appeler « leur belle chienne » ; je continue les vas et viens, je jouis encore ; cet orgasme est puissant. Je leur demande quelques minutes de répit pour repartir de plus belle.
Je me dirige vers la douche, mes partenaires me suivent. Et les autres aussi d’ailleurs !
J’ôte ma robe et je commence à me savonner lorsque le plus audacieux des deux me dit qu’il veut me baiser encore.

« Ah oui ! Tu veux encore me baiser ? Enfile un préservatif et prends-moi là, debout, le long de la paroi de douche ! »

Il bande de nouveau en moins de temps qu’il ne le faut pour l’écrire !

Préservatif mis, il me tourne. Je suis face contre mur. Je suis à sa merci ; du moins, je lui laisse croire !
Les hommes jubilent d’avoir une femme prise « dans leurs griffes »
Je sens de nouveau sa bite en moi et c’est bon. Je lui dis, je veux que ça lui gonfle le torse ! Qu’il donne tout ce qu’il a !

« Mais vas-y ! Baise-moi ! »

Je suis sa « putain de salope » et j'acquiesce.

« Fais-moi jouir ! »
« Fais-moi jouir encore ! »

Et je jouis encore, mes contractions vaginales expulsent cette bite bien dure, mes jambes tremblent.
J’enlève son préservatif, je m’agenouille et je le suce, j’ai envie de le faire cracher sur mes seins. Je lui dis. Il le veut aussi.
Il pose ses mains sur ma tête, il me donne le rythme, j’entends ses râles. Il me dit qu’il ne va pas tarder à cracher. Je cesse de le sucer. Et je le branle avec une énergie que j’ai rarement eu. Je le regarde bien droit dans les yeux et je lui ordonne de cracher.

« Continues » me dit-il.
« Je vais cracher »

Je continue de le regarder telle une effrontée qui n’a peur de rien et je sens son sperme chaud couler sur mes seins. Je souris, je redeviens « normale », je ne suis plus « chienne », je ne suis plus « salope ».

Je me douche et je m’habille. J’embrasse une dernière fois ces hommes qui m’ont donnée tant de plaisir et je reprends la route, la tête encore dans ce club…