La camera espion (suite)
Récit érotique écrit par Arsenne [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-06-2015 dans la catégorie Dans la zone rouge
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La camera espion (suite)
Les jours suivants, Chantal est devenue la femme soumise idéale pour un obsédé sexuel que j’étais devenu (à cause d’elle quand même).
Elle a accepté de se soumettre à toutes mes perversions.
Pourtant elle avait toujours été mal à l’aise dans ce genre de jeu de l’exhibition. Elle a su devenir une vraie salope en compagnie de son amant et de ses complices, alors qu’auparavant, quand il s’agit de montrer son cul et ses seins à des inconnus, elle faisait la sainte nitouche, l’oie blanche.
Maintenant cela m’excitait de la forcer. Il fallait qu’elle paie son « loyer » auprès de moi. Elle se forçait et plus ce que je lui demandais lui déplaisait plus cela excitait et satisfaisait ma vengeance.
De son côté, assouvir mes désirs les plus fous lui laissait à penser que ma reconquête passait par là. Nous étions unis pour le même objectif. Moi la faire payer sa trahison, elle payer sa dette. Je n’arrivais pas à l’aimer et je doutais fort qu’elle m’aimât toujours et que ses réelles motivations n’étaient qu’alimentaires. Convaincu je ne me privais pas d’en faire la femme objet que tout homme espère avoir.
Un jour je l’ai obligée à rejoindre dans un hôtel un inconnu rencontré sur le net. Je lui avais montré des photos de Chantal très suggestives et le type était devenu fou d’elle et n’attendait que le moment de la sauter.
Pour aller au rendez-vous, je lui ai demandé de s’habiller bourgeoise bcbg. C’était le fantasme du mec. Elle a accepté sans hésiter en ne manquant pas de me faire remarquer combien elle tenait à moi pour accepter ce genre de « contrat » !
Je m’amusais à faire semblant de ne pas comprendre. Je ne l’aimais plus et ses états d’âme ne m’intéressaient plus.
- Tu n’as pas peur qu’il me fasse du mal ?
- Tu as eu peur toi, de me faire du mal ?
Elle s’est mise à pleurer sans que cela m’émeuve. J’étais tellement malheureux de l’avoir perdue, j’avais eu tellement de souffrances qu’elle ne m’éveillait plus aucune pitié.
Je l’ai accompagnée en fin d’après midi jusqu’à l’hôtel en lui disant que le type me dirait quand revenir la reprendre. Devant ma froideur, elle se remit à pleurer encore.
- Sèches tes larmes, il va te trouver moche et va refuser de te baiser.
- Parce qu’il est question de baiser avec lui ?
- Qu’est-ce que tu crois ? Je t’ai vue à l’œuvre avec Jacques et Philippe. Tu te conduisais comme une chienne sans aucune pudeur ! Alors maintenant, ne fait pas ta timorée !
Je me penchais sur elle pour ouvrir sa portière et la faire sortir. Elle cru comprendre un moment que je voulais l’embrasser. Devant sa méprise, elle pleura de plus belle avant de sortir de l’auto pour disparaître dans le tourniquet de l’hôtel.
Je passais un SMS à mon complice pour annoncer qu’elle arrivait.
C’est vers minuit qu’un message me prévient que je pouvais venir récupérer ma salope.
Elle poireautait dehors sur le trottoir à m’attendre, la mine défaite.
- Alors ? Tu as aimé ? Tu as pu assouvir ta libido ?
- S’il te plait, je suis crevée. Rentrons, j’ai envie de prendre une douche et dormir. Dormir !
- Tu te trompes, tu ne vas pas te laver. Je veux que tu restes souillée toute la nuit.
- Oh non, s’il te plait. Si tu savais tout ce qu’ils m’ont fait subir !
- … T’ont fait subir ? Ils étaient plusieurs ?
- Au début non, mais après m’avoir prise plusieurs fois, ton copain a appelé le garçon d’étage. Il m’a forcée à rester nue les cuisses ouvertes sur le lit quand il est entré. J’étais morte de honte. Il était très jeune !
- Raconte, sort ma bite et branle moi pendant que je conduis.
- Oh, oui mon amour, je veux bien te faire plaisir.
Encore une tentative de récupération. Si elle savait combien c’était maintenant inutile.
Je l’ai tellement aimée ! Je l’idolâtrais. Aucune autre femme ne m’aurait détourné d’elle.
Je repense aux matins quand, amoureux, je lui préparais son petit déjeuner car elle se levait plus tard alors que j’étais parti au bureau. Je l’ai crue fidèle, amoureuse. Je nous voyais vieillir en douceur, sans que les années puissent entamer son capital beauté ni mon amour pour elle. Et elle s’est vautrée dans le stupre et la fornication avec ces deux couillons sans le moindre remords pour notre couple ni ma réputation. Elle n’a pas hésité à m’humilier pour satisfaire la lubricité de ses amants.
Une passade, je l’aurais pardonné, mais une liaison fondée sur le mensonge, jamais. Je l’ai aimée. Je ne l’aime plus.
J’avoue que comme objet de mes perversions, elle est parfaite. Si belle ! Je ne suis pas très fier d’un tel comportement mais je n’en ressens aucun scrupule ni remord.
- Il est venu s’asseoir sur le lit à mes côtés. Il a demandé au jeune de s’approcher. Il lui a demandé s’il me trouvait belle. Timidement il a répondu oui par un simple signe de tête. A moi, il n’a pas demandé mon avis : « tu peux regarder et même tu pourras toucher ». Ton copain avait répondu à ma place. Il a commencé par me toucher les seins, puis le sexe, en ouvrant bien mes lèvres pour montrer l’intérieur de mon intimité. Malgré la honte je me laissais faire. Le jeune avaient les yeux braqués sur ma vulve.
- Tu devais mouiller non ?
- Tu aimerais savoir ?
- Dis-moi, branle moi et ne pose pas de questions.
Des larmes sont alors apparues, je l’avais blessée.
- Oui, malgré que je me sente humiliée, je ne pouvais nier que je mouillais. Et d’ailleurs ton copain s’en est aperçu et s’est empressé de le faire remarquer au garçon d’étage. Il l’a invité à s’asseoir sur le lit de l’autre côté et lui a dit qu’il pouvait me toucher, que j’étais une salope et que je ne demandais que ça ! Il a hésité puis il a timidement commencé par me toucher les seins, maladroitement. Ton ami regardait en se caressant la queue.
Comme elle me racontait, je ne pouvais nier ni cacher que cela m’excitait. Tout comme quand je la matais en train de se faire baiser par ses amants. Elle voulut accélérer sa caresse pour me faire jouir. Je la retins.
- Continue de raconter.
- Tu veux que je te suce mon amour ?
Elle dit cela entre deux sanglots.
- Non, ta bouche comme tout chez toi est souillé.
Là, j’avais dépassé un limite. Se redressant sur son siège elle se mit à pleurer de plus belle. Elle tremblait, avait du mal à prendre sa respiration. Je décidais d’arrêter ce jeu sadique et m’excusais. Il lui fallut plusieurs minutes pour se ressaisir- Allez, calme toi et fait moi jouir. Continue de me raconter, ça m’excite.
Elle sourit légèrement timidement. Elle était contente de me plaire.
- Le jeune s’est vite dévergondé. Il me touchait partout et ton ami se branlait. Moi je prenais de plus en plus de plaisir avec lui. C’est vrai, excuse moi. Il m’a embrassé sur la bouche en y mettant toute sa force et envie. Il n’a pas dû se rendre compte que j’avais sucé et avalé le foutre de ton ami.
C’est à ce moment que j’ai explosé dans sa main. Cette confidence spontanée d’avoir avalé le foutre de cet inconnu m’a fait jouir. Elle regardait mon foutre jaillir du bout de ma queue avec un sourire de satisfaction. Elle avait accompli un pas vers ma reconquête.
C’est vrai que cette femme, ma femme encore, est belle et je crois qu’en cette minute je ne savais plus bien quel était mon sentiment envers elle.
En arrivant chez nous, je l’ai laissée se doucher. Elle m’a rejoint dans notre lit. Elle est venue se blottir contre moi, comme une enfant qui cherche le réconfort. J’aimais son odeur, la douceur de sa peau. Sans le vouloir vraiment je me suis mis à lui caresser les cheveux. Je l’entendis me dire tendrement- Je t’aime. Je t’aime.
J’étais à deux doigts de lui répondre moi aussi, mais les images de sa débauche ont brusquement ressurgi dans ma mémoire. Je me détournais d’elle. Mais comme une femme amoureuse elle resta blottie tout contre moi.
A cette minute j’ai décidé de pardonner. J’étais vaincu mais ma vengeance n’était pas encore assouvie. Elle devait encore payer et surtout les deux autres que j’avais bien ménagés.
J’avais remarqué que notre boulanger avait les yeux qui brillaient quand Chantal était avec moi dans la boulangerie. Je me suis mis à fantasmer sur ce que pouvait bien savoir ce brave homme.
J’imaginais que ce salaud de Philippe ou même Jacques avait très bien pu se vanter de sauter ma femme. Elle était certainement la plus belle de ses clientes. A cette évocation je me suis senti triste de l’avoir perdue. Ou presque quand je voyais tous les efforts qu’elle développait pour ma reconquête. Mais un doute persistera toujours. Est-elle sincère ? Le restera-t-elle ?
Je suis venu le voir un jour.
- Vous êtes seul dans votre boutique ?
- Oui. Mon employée est malade et ma femme est en course. A moi de faire de la présence ! Et vous, votre épouse n’est pas avec vous ?
- Elle est aussi à faire les magasins !
J’essayais de voir si un signe dans son comportement pouvait me confirmer mon soupçon. Rien.
Je décidais de foncer : - Vous connaissez Philippe du club de tennis et son ami Jacques ?
Cette fois le coup aboutit. Le brave homme se met à rougir, troublé de toute évidence.
Le type est vraiment troublé. Il ne sait quoi répondre. Il est brusquement sauvé par l’entrée d’une cliente.
- Servez Madame lui dis-je, ne voulant pas lâcher ma proie.
Une fois la cliente partie je reviens à la charge.
- Je vois à votre trouble que vous devez savoir quelque chose du comportement de ces personnes, non ?
- Ne vous méprenez pas. Je ne sais pas de quoi vous voulez parler, sauf que votre question supposait que vous aviez un soupçons dont j’ignore la nature. Pour ma part je ne sais rien, même si je connais bien ces deux personnes.
Cette plus aucun doute, cette avalanche de justifications véreuses accusent notre homme.
- Vous savez, je suis un mari à l’esprit large. Ma femme est belle et souvent elle est courtisée et moi comme témoin je m’en trouve très souvent fier et même parfois complice.
Le boulanger est vraiment soulagé d’entendre mes propos. Il se détend et se lâche.
- Je peux vous faire une confidence ?
- Faites, je vous en prie !
- Votre épouse est superbe. C’est ma plus jolie cliente !
- Oui, c’est vrai. Vous n’êtes pas le premier à me le dire. Il faut dire qu’elle sait bien se mettre en valeur !
Ce dialogue commençait à m’exciter. Et s’il était au courant que ma Chantal était une salope qui me trompait ? Qu’il avait devant lui le cocu du quartier ? Je crus lire sur son visage comme un sourire révélateur.
- J’espère que je ne vous froisse pas ! Votre femme est si délicate et respectable et respectée.
Pourquoi cette précision ? Je veux en savoir plus.
- Respectable ? Elle ne l’a pas toujours été malheureusement. Mais excusez-moi, je ne sais pas pourquoi je vous fais toutes ces confidences. J’espère que je peux compter sur votre discrétion.
- Ne vous inquiétez pas, je suis pour la solidarité entre hommes. Et je tiens encore plus à l’honorabilité de mon commerce.
- Je vous remercie.
Je voulus lui régler mon pain et sortis mon portefeuille pour l’ouvrir faisant semblant de rien. Je sais que deux photos de Chantal sont bien visibles.
Je lui expose les images bien devant lui. Il mate. Je saisis son regard :
- Elle est belle non ?
Je lui présente ostensiblement les deux photos.
- Certainement, répond-il quelque peu déstabilisé.
- Il faut vous avouer que j’aime bien les regards des hommes sur elle.
Alors je prends dans ma sacoche d’autres photos de Chantal nue dans des positions sans équivoque que j’avais prises pour venir le voir. Il mate et je le vois qui rougit encore.
- Vous avez raison d’aimer montrer votre épouse. Elle est splendide me dit-il en me les redonnant.
Je lui réglais mes achats et je rentrais chez nous pour me masturber et jouir tellement cette séance m’avait excité.
Je me rendis compte à nouveau que j’étais follement amoureux de ma femme.
Je me souviens d’une autre fois où je lui ai demandé de satisfaire mon fantasme de candauliste.
Nous étions à faire nos courses dans une grande surface. C’était l’heure du déjeuner, il n’y avait pas beaucoup de monde. J’avais remarqué qu’un homme seul poussait un chariot avec peu de choses dedans. Je l’ai remarqué une autre fois derrière nous. Surtout j’ai surpris un regard sur les jambes de Chantal qui portant alors une mini robe d’été courte qui en outre laissait ses épaules nues.
Je lui avais fait mettre cette robe car je prenais beaucoup de plaisir de voir le regard cupide des hommes sur elle. Pour compléter sa tenue sexy elle portait des sandales lacées qui affinaient ses longues jambes. Elle était superbe et j’étais fou de fierté d’avoir à mes côté cette femme superbe.
Je m’arrangeais un moment à la laisser seule pour espionner mon voyeur et me conforter sur ses intentions. Je ne disais rien à Chantal, je voulais aussi la tester. Elle déambulait le long des allées sans rien remarquer. L’homme la suivait. Je me surpris à bander. Comme elle passait devant un rayonnage de sous vêtements, l’homme s’approchât très près d’elle. Je vis soudain Chantal tourner la tête vers lui, surprise. Je compris qu’il venait de lui adresser la parole. Puis un sourire s’afficha sur le visage de Chantal, mais elle repris sa course. L’homme se mit à la suivre.
Je décidais de la rejoindre.
- Ça va ?
- Oui. Tu as vue le type qui me suit ?
- Non.
Je jouais les menteurs pour une nouvelle fois tester sa franchise.
- Il m’a adressée la parole même. Il voulait savoir si j’acceptais qu’il me paie des sous vêtements et aller les essayer avec lui.
- Hummm, tu aurais dû accepter.
- Ho, no. Il est vieux moche et pas net sur lui.
On jette un œil à sa recherche. On ne le voit pas. Il réapparaît soudain aux détours d’une allée. Il n’est plus seul, un autre homme l’accompagne. Tous les deux jettent un regard vers nous sans aucune gêne. Ils échangent des paroles et appuient des œillades sur les charmes de Chantal.
- Tu vas les écouter et faire ce qu’ils te demandent.
- Quoi ? Mais tu es fou ! Je ne veux pas !
- Tu as déjà oublié ta promesse ?
Ses yeux se chargent soudain de larmes. Elle contient un sanglot.
- Ecoute, je te laisse seule. Tu vas bien voir ce qu’ils te demandent ! Tu refuseras si cela t’est trop difficile. Retourne au rayon lingerie et attend.
Elle me fait un sourire de lassitude, mais elle semble contente de ma compassion. Je ne peux m’empêcher de penser que je suis un salaud. Même après ce qu’elle m’a fait vivre, je ne peux pas devenir ce que je ne suis pas.
Je m’éloigne mais reste à distance mais hors de vue des deux bonshommes.
Comme je le pensais, ils la rejoignent immédiatement et sans prendre de précaution le premier qui lui avait adressé la parole l’aborde. Chantal cette fois lui sourit sans hésiter, comme pour lui signifier qu’elle n’est plus dans le même état d’esprit que tout à l’heure. Le second ne se gêne pas pour la détailler. Chantal tout sourire ne le décourage pas, au contraire je crois. Je la sens à l’aise et je ne peux m’empêcher à nouveau de penser aux scènes de partouze auxquelles j’ai assisté. Ma femme est belle, très belle et en même temps elle a appris à se faire désirer. Je repense plus précisément à son effeuillage pour allumer Philippe avant de se laisser baiser. L’érection ne me quitte pas.
Chantal tourne autour des étalages de soutien gorges et de petites culottes. Elle en choisit plusieurs, les plus sexy et les plus osés.
Elle charge son chariot sous le regard concupiscent des deux vieux cochons. Elle se dirige alors vers les cabines d’essayage suivie de près des deux hommes. Elle choisit la cabine la plus reculée. Il n’y a personne.
Les cabines sont fermées comme d’habitude par un lourd rideau.
Chantal abandonne son chariot, prend les vêtements et entre dans la cabine. Comme de bien entendu elle s’arrange pour que le rideau reste un peu ouvert.
Je me place de telle manière de ne rien manquer du spectacle. Les deux hommes me cachent un peu la vue car ils se sont postés pratiquement contre le rideau. L’un d’eux jette un regard alentour et rassuré d’être seuls, il ouvre entièrement le rideau.
Chantal fait face à la glace. Lentement elle dépose soutiens gorges et slips sur un petit banc.
Elle passe ses mains dans son dos pour faire glisser la fermeture éclair de sa robe et découvrir son dos nu confirmant qu’elle ne porte pas de soutien gorge. Elle dégage ses épaules et fait glisser sa robe qui tombe à ses pieds. Dans le miroir, superbes, apparaissent ses seins fermes et dressés dont la pointe au centre de ses aréoles sont superbes.
Chantal superbe ne semble pas s’intéresser à ce qui se passe derrière. Elle se saisit d’un soutien gorge noir à fines dentelles, passe les fines bretelles sur ses épaules et l’agrafe dans son dos. Deux doigts pour ajuster le fin tissu à sa peau. Quelle grâce, quelle délicatesse dans ces gestes !
La tension devient plus lourde quand elle fait glisser son slip le long de ses cuisses. Ses fesses aux rondeurs parfaites se découvrent. Les voyeurs sont immobiles subjugués par ce qu’ils découvrent. Mon épouse passe maintenant un mini string ficèle dont elle ajuste la ficelle entre ses deux globes pour la faire disparaître. Elle choisit alors de se tourner face aux voyeurs à qui elle délivre un sourire plein de signification. Un des deux hommes a pris son portable et prend plein de clichés. Chantal se plie volontiers à cette séance photo, sans imaginer que peut-être ces images vont faire la joie des voyeurs sur internet.
Elle se met à onduler des hanches pour exciter ses deux vieux cochons. Elle se tourne à nouveau et cambre ses reins pour faire rebondir ses fesses entièrement dévoilées. Elle prend appui de ses deux mains contre la glace au fond de la cabine, se penche, écarte ses jambes pour s’ouvrir le sexe en écartant ses grandes lèvres. La ficelle du string parcourt sa raie culière.
Un des deux hommes s’approche, avance la main et la plonge entre les deux cuisses ouvertes. Chantal a un sursaut mais elle laisse les doigts lui dégager le string et fouiller le vagin. Les doigts ressortent chargés de cyprine.
D’où je suis je vois son dos à peine couvert de ses longs cheveux.
Quelle est belle. Je redeviens amoureux de cette salope ! Il faut que je me ressaisisse.
Soudain derrière moi je sens une présence. Un vendeur assiste à la séance ! Depuis quand ? En tous cas il se doit obligé de se manifester en se raclant la gorge.
A ce signal, les deux hommes s’éloignent. Chantal referme le rideau.
Deux minutes après elle me rejoint tout sourire. Elle remarque tout de suite ma bosse au niveau de ma bite.
- Tu es content mon amour. J’ai fait comme tu voulais ?
- OUI, je te retrouve salope.
- Mon amour ; je voudrais tant que tu m’aimes à nouveau.
- Ce sera difficile !
Je me souviens que ce jour là j’ai failli avoir la faiblesse de lui montrer mes sentiments renaissants.
Maintenant, je devais me rendre à l’évidence, cette femme, ma femme, cette salope qui m’avait cocufié, humilié, ridiculisé : je l’aimais encore et je décidais de la garder.
Les deux autres allaient payer.
Je voulais la récupérer.
Je devais alors m’assurer de sa fidélité et me conforter qu’elle ne voyait plus celui dont elle m’avait avoué qu’elle l’aimait.
J’allais lui tendre un piège. Avec la complicité bien involontaire innocente d’une amie- Chantal est venue te voir samedi dernier ?
- Non, pas du tout.
- C’est Jacques qui me l’a dit.
- Jacques s’est trompé.
- Il voulait voir Chantal et il m’a dit qu’elle était chez toi.
- Je n’ai vu ni Jacques ni Chantal. Mais André était là et moi je me suis absentée. Il l’a peut-être reçue. Je lui demanderai ce soir.
Cet André est un bon copain de Jacques et je suis sûr que ce salaud a dû se vanter de sauter ma femme. Il va sans doutes lui parler que Chantal a cherché à le voir et peut-être va-t-il la contacter pour en avoir le cœur net et surtout se rassurer qu’elle ne cherche pas à se venger de l’avoir larguée si brutalement.
Deux jours se passent sans que je remarque quoi que ce soit dans son comportement. Mais je la sais si forte pour dissimuler ses sentiments que je me méfie.
(à suivre)
Elle a accepté de se soumettre à toutes mes perversions.
Pourtant elle avait toujours été mal à l’aise dans ce genre de jeu de l’exhibition. Elle a su devenir une vraie salope en compagnie de son amant et de ses complices, alors qu’auparavant, quand il s’agit de montrer son cul et ses seins à des inconnus, elle faisait la sainte nitouche, l’oie blanche.
Maintenant cela m’excitait de la forcer. Il fallait qu’elle paie son « loyer » auprès de moi. Elle se forçait et plus ce que je lui demandais lui déplaisait plus cela excitait et satisfaisait ma vengeance.
De son côté, assouvir mes désirs les plus fous lui laissait à penser que ma reconquête passait par là. Nous étions unis pour le même objectif. Moi la faire payer sa trahison, elle payer sa dette. Je n’arrivais pas à l’aimer et je doutais fort qu’elle m’aimât toujours et que ses réelles motivations n’étaient qu’alimentaires. Convaincu je ne me privais pas d’en faire la femme objet que tout homme espère avoir.
Un jour je l’ai obligée à rejoindre dans un hôtel un inconnu rencontré sur le net. Je lui avais montré des photos de Chantal très suggestives et le type était devenu fou d’elle et n’attendait que le moment de la sauter.
Pour aller au rendez-vous, je lui ai demandé de s’habiller bourgeoise bcbg. C’était le fantasme du mec. Elle a accepté sans hésiter en ne manquant pas de me faire remarquer combien elle tenait à moi pour accepter ce genre de « contrat » !
Je m’amusais à faire semblant de ne pas comprendre. Je ne l’aimais plus et ses états d’âme ne m’intéressaient plus.
- Tu n’as pas peur qu’il me fasse du mal ?
- Tu as eu peur toi, de me faire du mal ?
Elle s’est mise à pleurer sans que cela m’émeuve. J’étais tellement malheureux de l’avoir perdue, j’avais eu tellement de souffrances qu’elle ne m’éveillait plus aucune pitié.
Je l’ai accompagnée en fin d’après midi jusqu’à l’hôtel en lui disant que le type me dirait quand revenir la reprendre. Devant ma froideur, elle se remit à pleurer encore.
- Sèches tes larmes, il va te trouver moche et va refuser de te baiser.
- Parce qu’il est question de baiser avec lui ?
- Qu’est-ce que tu crois ? Je t’ai vue à l’œuvre avec Jacques et Philippe. Tu te conduisais comme une chienne sans aucune pudeur ! Alors maintenant, ne fait pas ta timorée !
Je me penchais sur elle pour ouvrir sa portière et la faire sortir. Elle cru comprendre un moment que je voulais l’embrasser. Devant sa méprise, elle pleura de plus belle avant de sortir de l’auto pour disparaître dans le tourniquet de l’hôtel.
Je passais un SMS à mon complice pour annoncer qu’elle arrivait.
C’est vers minuit qu’un message me prévient que je pouvais venir récupérer ma salope.
Elle poireautait dehors sur le trottoir à m’attendre, la mine défaite.
- Alors ? Tu as aimé ? Tu as pu assouvir ta libido ?
- S’il te plait, je suis crevée. Rentrons, j’ai envie de prendre une douche et dormir. Dormir !
- Tu te trompes, tu ne vas pas te laver. Je veux que tu restes souillée toute la nuit.
- Oh non, s’il te plait. Si tu savais tout ce qu’ils m’ont fait subir !
- … T’ont fait subir ? Ils étaient plusieurs ?
- Au début non, mais après m’avoir prise plusieurs fois, ton copain a appelé le garçon d’étage. Il m’a forcée à rester nue les cuisses ouvertes sur le lit quand il est entré. J’étais morte de honte. Il était très jeune !
- Raconte, sort ma bite et branle moi pendant que je conduis.
- Oh, oui mon amour, je veux bien te faire plaisir.
Encore une tentative de récupération. Si elle savait combien c’était maintenant inutile.
Je l’ai tellement aimée ! Je l’idolâtrais. Aucune autre femme ne m’aurait détourné d’elle.
Je repense aux matins quand, amoureux, je lui préparais son petit déjeuner car elle se levait plus tard alors que j’étais parti au bureau. Je l’ai crue fidèle, amoureuse. Je nous voyais vieillir en douceur, sans que les années puissent entamer son capital beauté ni mon amour pour elle. Et elle s’est vautrée dans le stupre et la fornication avec ces deux couillons sans le moindre remords pour notre couple ni ma réputation. Elle n’a pas hésité à m’humilier pour satisfaire la lubricité de ses amants.
Une passade, je l’aurais pardonné, mais une liaison fondée sur le mensonge, jamais. Je l’ai aimée. Je ne l’aime plus.
J’avoue que comme objet de mes perversions, elle est parfaite. Si belle ! Je ne suis pas très fier d’un tel comportement mais je n’en ressens aucun scrupule ni remord.
- Il est venu s’asseoir sur le lit à mes côtés. Il a demandé au jeune de s’approcher. Il lui a demandé s’il me trouvait belle. Timidement il a répondu oui par un simple signe de tête. A moi, il n’a pas demandé mon avis : « tu peux regarder et même tu pourras toucher ». Ton copain avait répondu à ma place. Il a commencé par me toucher les seins, puis le sexe, en ouvrant bien mes lèvres pour montrer l’intérieur de mon intimité. Malgré la honte je me laissais faire. Le jeune avaient les yeux braqués sur ma vulve.
- Tu devais mouiller non ?
- Tu aimerais savoir ?
- Dis-moi, branle moi et ne pose pas de questions.
Des larmes sont alors apparues, je l’avais blessée.
- Oui, malgré que je me sente humiliée, je ne pouvais nier que je mouillais. Et d’ailleurs ton copain s’en est aperçu et s’est empressé de le faire remarquer au garçon d’étage. Il l’a invité à s’asseoir sur le lit de l’autre côté et lui a dit qu’il pouvait me toucher, que j’étais une salope et que je ne demandais que ça ! Il a hésité puis il a timidement commencé par me toucher les seins, maladroitement. Ton ami regardait en se caressant la queue.
Comme elle me racontait, je ne pouvais nier ni cacher que cela m’excitait. Tout comme quand je la matais en train de se faire baiser par ses amants. Elle voulut accélérer sa caresse pour me faire jouir. Je la retins.
- Continue de raconter.
- Tu veux que je te suce mon amour ?
Elle dit cela entre deux sanglots.
- Non, ta bouche comme tout chez toi est souillé.
Là, j’avais dépassé un limite. Se redressant sur son siège elle se mit à pleurer de plus belle. Elle tremblait, avait du mal à prendre sa respiration. Je décidais d’arrêter ce jeu sadique et m’excusais. Il lui fallut plusieurs minutes pour se ressaisir- Allez, calme toi et fait moi jouir. Continue de me raconter, ça m’excite.
Elle sourit légèrement timidement. Elle était contente de me plaire.
- Le jeune s’est vite dévergondé. Il me touchait partout et ton ami se branlait. Moi je prenais de plus en plus de plaisir avec lui. C’est vrai, excuse moi. Il m’a embrassé sur la bouche en y mettant toute sa force et envie. Il n’a pas dû se rendre compte que j’avais sucé et avalé le foutre de ton ami.
C’est à ce moment que j’ai explosé dans sa main. Cette confidence spontanée d’avoir avalé le foutre de cet inconnu m’a fait jouir. Elle regardait mon foutre jaillir du bout de ma queue avec un sourire de satisfaction. Elle avait accompli un pas vers ma reconquête.
C’est vrai que cette femme, ma femme encore, est belle et je crois qu’en cette minute je ne savais plus bien quel était mon sentiment envers elle.
En arrivant chez nous, je l’ai laissée se doucher. Elle m’a rejoint dans notre lit. Elle est venue se blottir contre moi, comme une enfant qui cherche le réconfort. J’aimais son odeur, la douceur de sa peau. Sans le vouloir vraiment je me suis mis à lui caresser les cheveux. Je l’entendis me dire tendrement- Je t’aime. Je t’aime.
J’étais à deux doigts de lui répondre moi aussi, mais les images de sa débauche ont brusquement ressurgi dans ma mémoire. Je me détournais d’elle. Mais comme une femme amoureuse elle resta blottie tout contre moi.
A cette minute j’ai décidé de pardonner. J’étais vaincu mais ma vengeance n’était pas encore assouvie. Elle devait encore payer et surtout les deux autres que j’avais bien ménagés.
J’avais remarqué que notre boulanger avait les yeux qui brillaient quand Chantal était avec moi dans la boulangerie. Je me suis mis à fantasmer sur ce que pouvait bien savoir ce brave homme.
J’imaginais que ce salaud de Philippe ou même Jacques avait très bien pu se vanter de sauter ma femme. Elle était certainement la plus belle de ses clientes. A cette évocation je me suis senti triste de l’avoir perdue. Ou presque quand je voyais tous les efforts qu’elle développait pour ma reconquête. Mais un doute persistera toujours. Est-elle sincère ? Le restera-t-elle ?
Je suis venu le voir un jour.
- Vous êtes seul dans votre boutique ?
- Oui. Mon employée est malade et ma femme est en course. A moi de faire de la présence ! Et vous, votre épouse n’est pas avec vous ?
- Elle est aussi à faire les magasins !
J’essayais de voir si un signe dans son comportement pouvait me confirmer mon soupçon. Rien.
Je décidais de foncer : - Vous connaissez Philippe du club de tennis et son ami Jacques ?
Cette fois le coup aboutit. Le brave homme se met à rougir, troublé de toute évidence.
Le type est vraiment troublé. Il ne sait quoi répondre. Il est brusquement sauvé par l’entrée d’une cliente.
- Servez Madame lui dis-je, ne voulant pas lâcher ma proie.
Une fois la cliente partie je reviens à la charge.
- Je vois à votre trouble que vous devez savoir quelque chose du comportement de ces personnes, non ?
- Ne vous méprenez pas. Je ne sais pas de quoi vous voulez parler, sauf que votre question supposait que vous aviez un soupçons dont j’ignore la nature. Pour ma part je ne sais rien, même si je connais bien ces deux personnes.
Cette plus aucun doute, cette avalanche de justifications véreuses accusent notre homme.
- Vous savez, je suis un mari à l’esprit large. Ma femme est belle et souvent elle est courtisée et moi comme témoin je m’en trouve très souvent fier et même parfois complice.
Le boulanger est vraiment soulagé d’entendre mes propos. Il se détend et se lâche.
- Je peux vous faire une confidence ?
- Faites, je vous en prie !
- Votre épouse est superbe. C’est ma plus jolie cliente !
- Oui, c’est vrai. Vous n’êtes pas le premier à me le dire. Il faut dire qu’elle sait bien se mettre en valeur !
Ce dialogue commençait à m’exciter. Et s’il était au courant que ma Chantal était une salope qui me trompait ? Qu’il avait devant lui le cocu du quartier ? Je crus lire sur son visage comme un sourire révélateur.
- J’espère que je ne vous froisse pas ! Votre femme est si délicate et respectable et respectée.
Pourquoi cette précision ? Je veux en savoir plus.
- Respectable ? Elle ne l’a pas toujours été malheureusement. Mais excusez-moi, je ne sais pas pourquoi je vous fais toutes ces confidences. J’espère que je peux compter sur votre discrétion.
- Ne vous inquiétez pas, je suis pour la solidarité entre hommes. Et je tiens encore plus à l’honorabilité de mon commerce.
- Je vous remercie.
Je voulus lui régler mon pain et sortis mon portefeuille pour l’ouvrir faisant semblant de rien. Je sais que deux photos de Chantal sont bien visibles.
Je lui expose les images bien devant lui. Il mate. Je saisis son regard :
- Elle est belle non ?
Je lui présente ostensiblement les deux photos.
- Certainement, répond-il quelque peu déstabilisé.
- Il faut vous avouer que j’aime bien les regards des hommes sur elle.
Alors je prends dans ma sacoche d’autres photos de Chantal nue dans des positions sans équivoque que j’avais prises pour venir le voir. Il mate et je le vois qui rougit encore.
- Vous avez raison d’aimer montrer votre épouse. Elle est splendide me dit-il en me les redonnant.
Je lui réglais mes achats et je rentrais chez nous pour me masturber et jouir tellement cette séance m’avait excité.
Je me rendis compte à nouveau que j’étais follement amoureux de ma femme.
Je me souviens d’une autre fois où je lui ai demandé de satisfaire mon fantasme de candauliste.
Nous étions à faire nos courses dans une grande surface. C’était l’heure du déjeuner, il n’y avait pas beaucoup de monde. J’avais remarqué qu’un homme seul poussait un chariot avec peu de choses dedans. Je l’ai remarqué une autre fois derrière nous. Surtout j’ai surpris un regard sur les jambes de Chantal qui portant alors une mini robe d’été courte qui en outre laissait ses épaules nues.
Je lui avais fait mettre cette robe car je prenais beaucoup de plaisir de voir le regard cupide des hommes sur elle. Pour compléter sa tenue sexy elle portait des sandales lacées qui affinaient ses longues jambes. Elle était superbe et j’étais fou de fierté d’avoir à mes côté cette femme superbe.
Je m’arrangeais un moment à la laisser seule pour espionner mon voyeur et me conforter sur ses intentions. Je ne disais rien à Chantal, je voulais aussi la tester. Elle déambulait le long des allées sans rien remarquer. L’homme la suivait. Je me surpris à bander. Comme elle passait devant un rayonnage de sous vêtements, l’homme s’approchât très près d’elle. Je vis soudain Chantal tourner la tête vers lui, surprise. Je compris qu’il venait de lui adresser la parole. Puis un sourire s’afficha sur le visage de Chantal, mais elle repris sa course. L’homme se mit à la suivre.
Je décidais de la rejoindre.
- Ça va ?
- Oui. Tu as vue le type qui me suit ?
- Non.
Je jouais les menteurs pour une nouvelle fois tester sa franchise.
- Il m’a adressée la parole même. Il voulait savoir si j’acceptais qu’il me paie des sous vêtements et aller les essayer avec lui.
- Hummm, tu aurais dû accepter.
- Ho, no. Il est vieux moche et pas net sur lui.
On jette un œil à sa recherche. On ne le voit pas. Il réapparaît soudain aux détours d’une allée. Il n’est plus seul, un autre homme l’accompagne. Tous les deux jettent un regard vers nous sans aucune gêne. Ils échangent des paroles et appuient des œillades sur les charmes de Chantal.
- Tu vas les écouter et faire ce qu’ils te demandent.
- Quoi ? Mais tu es fou ! Je ne veux pas !
- Tu as déjà oublié ta promesse ?
Ses yeux se chargent soudain de larmes. Elle contient un sanglot.
- Ecoute, je te laisse seule. Tu vas bien voir ce qu’ils te demandent ! Tu refuseras si cela t’est trop difficile. Retourne au rayon lingerie et attend.
Elle me fait un sourire de lassitude, mais elle semble contente de ma compassion. Je ne peux m’empêcher de penser que je suis un salaud. Même après ce qu’elle m’a fait vivre, je ne peux pas devenir ce que je ne suis pas.
Je m’éloigne mais reste à distance mais hors de vue des deux bonshommes.
Comme je le pensais, ils la rejoignent immédiatement et sans prendre de précaution le premier qui lui avait adressé la parole l’aborde. Chantal cette fois lui sourit sans hésiter, comme pour lui signifier qu’elle n’est plus dans le même état d’esprit que tout à l’heure. Le second ne se gêne pas pour la détailler. Chantal tout sourire ne le décourage pas, au contraire je crois. Je la sens à l’aise et je ne peux m’empêcher à nouveau de penser aux scènes de partouze auxquelles j’ai assisté. Ma femme est belle, très belle et en même temps elle a appris à se faire désirer. Je repense plus précisément à son effeuillage pour allumer Philippe avant de se laisser baiser. L’érection ne me quitte pas.
Chantal tourne autour des étalages de soutien gorges et de petites culottes. Elle en choisit plusieurs, les plus sexy et les plus osés.
Elle charge son chariot sous le regard concupiscent des deux vieux cochons. Elle se dirige alors vers les cabines d’essayage suivie de près des deux hommes. Elle choisit la cabine la plus reculée. Il n’y a personne.
Les cabines sont fermées comme d’habitude par un lourd rideau.
Chantal abandonne son chariot, prend les vêtements et entre dans la cabine. Comme de bien entendu elle s’arrange pour que le rideau reste un peu ouvert.
Je me place de telle manière de ne rien manquer du spectacle. Les deux hommes me cachent un peu la vue car ils se sont postés pratiquement contre le rideau. L’un d’eux jette un regard alentour et rassuré d’être seuls, il ouvre entièrement le rideau.
Chantal fait face à la glace. Lentement elle dépose soutiens gorges et slips sur un petit banc.
Elle passe ses mains dans son dos pour faire glisser la fermeture éclair de sa robe et découvrir son dos nu confirmant qu’elle ne porte pas de soutien gorge. Elle dégage ses épaules et fait glisser sa robe qui tombe à ses pieds. Dans le miroir, superbes, apparaissent ses seins fermes et dressés dont la pointe au centre de ses aréoles sont superbes.
Chantal superbe ne semble pas s’intéresser à ce qui se passe derrière. Elle se saisit d’un soutien gorge noir à fines dentelles, passe les fines bretelles sur ses épaules et l’agrafe dans son dos. Deux doigts pour ajuster le fin tissu à sa peau. Quelle grâce, quelle délicatesse dans ces gestes !
La tension devient plus lourde quand elle fait glisser son slip le long de ses cuisses. Ses fesses aux rondeurs parfaites se découvrent. Les voyeurs sont immobiles subjugués par ce qu’ils découvrent. Mon épouse passe maintenant un mini string ficèle dont elle ajuste la ficelle entre ses deux globes pour la faire disparaître. Elle choisit alors de se tourner face aux voyeurs à qui elle délivre un sourire plein de signification. Un des deux hommes a pris son portable et prend plein de clichés. Chantal se plie volontiers à cette séance photo, sans imaginer que peut-être ces images vont faire la joie des voyeurs sur internet.
Elle se met à onduler des hanches pour exciter ses deux vieux cochons. Elle se tourne à nouveau et cambre ses reins pour faire rebondir ses fesses entièrement dévoilées. Elle prend appui de ses deux mains contre la glace au fond de la cabine, se penche, écarte ses jambes pour s’ouvrir le sexe en écartant ses grandes lèvres. La ficelle du string parcourt sa raie culière.
Un des deux hommes s’approche, avance la main et la plonge entre les deux cuisses ouvertes. Chantal a un sursaut mais elle laisse les doigts lui dégager le string et fouiller le vagin. Les doigts ressortent chargés de cyprine.
D’où je suis je vois son dos à peine couvert de ses longs cheveux.
Quelle est belle. Je redeviens amoureux de cette salope ! Il faut que je me ressaisisse.
Soudain derrière moi je sens une présence. Un vendeur assiste à la séance ! Depuis quand ? En tous cas il se doit obligé de se manifester en se raclant la gorge.
A ce signal, les deux hommes s’éloignent. Chantal referme le rideau.
Deux minutes après elle me rejoint tout sourire. Elle remarque tout de suite ma bosse au niveau de ma bite.
- Tu es content mon amour. J’ai fait comme tu voulais ?
- OUI, je te retrouve salope.
- Mon amour ; je voudrais tant que tu m’aimes à nouveau.
- Ce sera difficile !
Je me souviens que ce jour là j’ai failli avoir la faiblesse de lui montrer mes sentiments renaissants.
Maintenant, je devais me rendre à l’évidence, cette femme, ma femme, cette salope qui m’avait cocufié, humilié, ridiculisé : je l’aimais encore et je décidais de la garder.
Les deux autres allaient payer.
Je voulais la récupérer.
Je devais alors m’assurer de sa fidélité et me conforter qu’elle ne voyait plus celui dont elle m’avait avoué qu’elle l’aimait.
J’allais lui tendre un piège. Avec la complicité bien involontaire innocente d’une amie- Chantal est venue te voir samedi dernier ?
- Non, pas du tout.
- C’est Jacques qui me l’a dit.
- Jacques s’est trompé.
- Il voulait voir Chantal et il m’a dit qu’elle était chez toi.
- Je n’ai vu ni Jacques ni Chantal. Mais André était là et moi je me suis absentée. Il l’a peut-être reçue. Je lui demanderai ce soir.
Cet André est un bon copain de Jacques et je suis sûr que ce salaud a dû se vanter de sauter ma femme. Il va sans doutes lui parler que Chantal a cherché à le voir et peut-être va-t-il la contacter pour en avoir le cœur net et surtout se rassurer qu’elle ne cherche pas à se venger de l’avoir larguée si brutalement.
Deux jours se passent sans que je remarque quoi que ce soit dans son comportement. Mais je la sais si forte pour dissimuler ses sentiments que je me méfie.
(à suivre)
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