La cave - histoire érotique

Le moteur de la voiture s'arrêta. Je soupirais et je sentis que mon t-shirt collai à ma peau. C'est plus probablement dû au stress qu'à la chaleur. Je sortis de la voiture et me dirigea vers la petite maison correspondant à l'adresse que l'on m'avait fourni. Je pris une grande inspiration avant de toquer à la porte. J'entendis quelqu'un se déplacer et la porte s'ouvrit sur une femme pas très grande et forte, correspondant à la photo que j'avais reçu.

-Tu dois être Luc, je suis Alice, viens rentre, on sera mieux dedans.

Alice s'écarta afin que je puisse rentrer. Le couloir d'entrée est lumineux, avec une armoire coulissante sur le côté et un grand tapis allant jusqu'au bout du couloir. Je me mis sur le côté afin de retirer mes chaussures tandis qu'Alice referma la porte et s’enfonça dans la maison. Une fois en chaussettes, je la suivi jusqu'au salon. On s’assit sur le canapé. Je regardai tout autour de moi, il y a une baie vitrée qui semble mener vers un jardin, une table basse et une télé en face du canapé. De l'autre côté de la pièce, il y a un buffet et une table avec plusieurs chaises.

-Du coup, Luc, que recherches-tu ici ? Me demanda Alice.
-J'ai envie d'essayer quelque chose de nouveau, différent, que l'on ne peut pas vivre partout ou avec n'importe qui.
-Pourquoi moi plutôt qu'une autre ? Des personnes de mon style, c'est pas ce qui manque sur le site.
-Rare sont celles qui acceptent de répondre et qui sont aussi ouvertes d'esprit que vous, lui répondis-je. Peu de maîtresses acceptent de recevoir un novice, dans leur domicile qui plus est, et je vous en remercie pour ça.
-Humm, je vois. Tu transpires beaucoup, tu as chaud ?
-Je suis plutôt stressé, je pense que c'est ça la cause de ma sudation.

Alice se leva et me fit signe de la suivre dans le jardin. On avait une belle vue des Pyrénées depuis son jardin L'air pur des montagnes proches emplit nos poumons. Alice longea le mur de sa maison jusqu'à la porte d'une cave qu'elle ouvrit avec une clé.

-A l'intérieur, ordonna Alice
Je rentre dans la cave, Alice me talonnant. L'obscurité fut vite totale lorsqu'Alice referma la porte. J'entendis un loquet et le bruit d'un cadenas que l'on refermait. Je restais statique, dos au mur afin de ne pas bloquer la circulation. J'entendis les talons d'Alice descendre les escaliers et se diriger plus profondément dans la cave, probablement en se guidant avec l'aide du mur.

-Mets-toi nu en attendant mon retour, tu peux laisser tes vêtements sur le bord du mur. Et tourne moi le dos, exigea Alice.

Je m'exécutai. J'enlevai d'abord mon t-shirt, puis mon pantalon, mes chaussettes et mon boxer. Je repliais mes vêtements proprement et les posa contre le mur derrière moi. Après une seconde d'hésitation, je me mis à genoux. Le sol en pierre n'était pas vraiment une référence en terme de confort mais j'allais devoir faire avec. Les talons continuaient de résonner, quelques mètres derrière moi, probablement en train de faire des aller retour pour chercher ou récupérer quelque chose. Les talons finirent par se rapprocher de moi.

-A genoux et écarte les jambes.

Je n'exécutai que le second ordre, le premier ayant été anticipé.

-Oh, tu étais déjà à genoux ? Un bon point pour toi... Penches toi en avant alors.

Je sentis un bandeau assez doux se poser sur mes yeux. Un bâillon boule se posa sur ma bouche et un collier se referma sur mon cou. Enfin, je sentis quelque chose caresser mon anus avant de le pénétrer lentement. Je poussais un long soupir pour accompagner la pénétration de ce que je supposais être un plug. Enfin, le plug arriva au fond. Je me sentis tiré par le collier, plus probablement par la laisse qui y était relié. J'avançais à l'aveugle et à 4 pattes jusqu'à me cogner contre quelque chose en métal.

-Grimpes.

Je tâtais le terrain, j'en déduisis que c'était une cage en métal avec un plafond capitonné. Je grimpais dessus sans trop de problème. Je sentis ma laisse se faire attacher aux barreaux de la cage, tandis que mes bras furent ramener sur les côtés de la cage. Des menottes se refermèrent sur mes poignets, puis sur mes chevilles. J'étais immobilisé, attaché en 5 points à la cage. Mon plug et mon bâillon me furent retirés avant d'être remplacé par un crochet en métal. Un tube horizontal me fut mit dans la bouche, remplaçant le précédent bâillon. Mon bandeau me fut violemment retiré. La lumière me fit plusieurs fois cligner les yeux et remuer la tête. Je compris dès le premier déplacement que le crochet dans mon anus et mon bâillon étaient reliés et que le mouvement de ma tête entraînaient une pénétration dans mon arrière train.

-Tu aimes j'espère, Luc ? C'était ce que tu souhaitais en plus...

Je sentis la main d'Alice se poser sur ma joue et la caresser, je relevais la tête, enfonçant le crochet, me faisant pousser un gémissement et me forçant à la rebaisser pour détendre le câble. Alice éclata de rire et j'entendis de la musique se lancer. Je me mis à dandiner ma tête afin de trouver une position pas trop pénétrante. Je reçus alors un t-shirt puis un pantalon sur mon visage. Ils tombèrent devant moi, rapidement rejoins par un soutien-gorge. J'entendais ses talons et son rire en voyant ma mine déconfite devant ses vêtements.

-Que vas-tu choisir, me voir à moitié nu ou t'en priver pour épargner ton anus ?

Je sentis quelque chose dans cette question, comme si elle était à double sens. Je relevais la tête, ravivant le crochet de mon anus. Alice me regarda avec un grand sourire. Elle avait encore la totalité de ces vêtements.

-Surpris de me voir habillé ? J'en ai pris qui traînaient ici, c'est à ça qu'ils servent, à être jeté au nez des hommes. Honnêtement, je ne m'attendais pas à ce que tu relèves la tête, et que tu la garde levé surtout. Tu mérites une récompense.

Alice décrocha mon bâillon, me laissa quelques secondes pour respirer pleinement avant de prendre doucement possession de ma bouche avec un long baiser. Elle se leva finalement et décrocha toutes mes attaches, y compris celles de mon anus. Une fois détaché de la cage, Alice me tira par la laisse, les menottes traînant derrière moi jusqu'à l'intérieur de la cage en métal. Une fois à l'intérieur, elle rentra à son tour, ferma la cage à clé et rangea la clé sous l'un de ces vêtements. Elle se retourna finalement vers moi et me bondit dessus, avant me m'embrasser fougueusement. Je lui rendis son baiser et je posai mes mains sur sa nuque, la caressant doucement. Nous nous embrassâmes pendant plusieurs minutes alors que je faisais descendre mes mains vers ses fesses. Nos lèvres se séparèrent et Alice me repoussa légèrement. Je m'éloignai et me mis au fond de la cage. Ma maîtresse sortie. Elle prit la clé et referma la cage derrière elle. Elle fit le tour de la cage et m'attrapa l'un de mes pieds, tirant dessus jusqu'à ce que je tende ma jambe au maximum, avant de l'attacher à l'un des barreaux. Elle fit la même chose à mon second pied. J'entendis les barreaux en métal faire du bruit, comme si elle tapait dessus.

-Recule, m'intima-t-elle.

J'obéis. Mes fesses rencontrèrent rapidement un objet qui pointait, absent jusqu'à présent. Probablement un gode. N'ayant pas reçu de contre-ordre, je continuais de reculer, m'empalant petit à petit sur ce gode qui s'avéra de belle taille. N'en pouvant plus, je m'interrompis, histoire de reprendre mon souffle, avant de reprendre la pénétration. Le gode rentra complètement après plusieurs essais. Je tremblais de tout mon corps, cherchant mon souffle. La cage se rouvrit et Alice rentra à l'intérieur.

-Tout à l'heure, tu m'as touché, ce qui est interdis à mes soumis. C'est l'heure de la punition.

Elle m’attacha les mains sur les barreaux de la cage et me remit mon bâillon. Elle sortis son téléphone et commença à pianoter dessus. Le gode dans mon arrière-train se mit à vibrer doucement, puis de plus en plus violemment.

-Tu as expérimenté les différentes puissances de ce gode. Il en a 5 et il est programmé pour passer de l'une à l'autre après 10 minutes. On se revoit dans 50 minutes du coup, dit-elle en appuyant sur un bouton.

Mon gode se mit à vibrer doucement tandis qu'Alice s'en allait en rigolant, ne fermant même pas la cage. La lumière s'éteignit, me laissant seule avec un gode vibrant dans mon anus et les gémissements que je poussais au fur et à mesure...