Petit défi
Récit érotique écrit par Sparta22 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-05-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Petit défi
J'avais rendez-vous avec l'une de mes amies. Cela faisait un moment que je ressentais quelque chose pour elle et, vu la façon dont on jouait ensemble l'un et l'autre, je pense que c'est réciproque. Nous nous étions perdu de vu depuis un moment, bien que nous soyons resté en contact. Nous parlions de tout et n'importe quoi, des choses les plus anodines aux plus intimes. Cela nous faisait du bien de lâcher un peu la pression et d'avoir quelqu'un à qui se confier. Après plusieurs mois sans nous voir, nous avons finalement pu prendre un appartement pour quelques jours, le temps de nos vacances.
Et voilà pour vous, bonne vacance ! Dit le propriétaire en me donnant les clés
Je refermais la porte derrière le propriétaire tout en poussant un soupir d'aise. Mon amie n'était pas encore arrivée, il me fallait attendre encore deux heures pour que son train arrive. Je posais mes affaires dans l'une des deux chambres, celles-ci se résumant à trois sac, l'un comportant mon ordinateur portable, un autre avec serviette, trousse de toilette et sous-vêtement, tandis que la dernière contenait mes vêtements et un sac de course plié. Je pris le sac de course tout en dispatchant quelques une de mes affaires, chargeurs, trousse et serviette. J'avais repéré une grande surface sur les plans autour de l'appart, j'y partis donc faire quelques emplettes. Pain, riz pâtes, viandes, fruits, légumes, fromages, desserts et boissons. Une fois de retour à la maison, je me mis aux fourneaux. Repas de ce soir : pâtes à la carbonara !
Merde, j'ai oublié la crème ! Bon, ben on va improviser...
Je pris un peu de fromage et le mis à fondre pendant que les pâtes cuisaient. Une fois les pâtes prêtes, je les mis à part puis je rajoutais les lardons une fois qu'ils furent bien grillés. Le fromage fondu, je le rajoutai sur les pâtes, histoire de créer un plat bien lourd et bien calorique, mais bon on a tous les deux des tailles de guêpe alors on s'en fout un peu. Je mis le plat dans le frigo et m'installai devant la télé avec mon téléphone. Une quarantaine de minutes plus tard, je recevais un message de mon amie, elle arrivait à la gare dans 10 minutes. Je coupais tout, mis mes chaussures et me dirigeai vers la gare. J'y arrivais en même temps que son train, je la vis, avec sa grosse valise à roulette. On se sauta mutuellement dans les bras avant de se diriger vers l'appartement.
Oh, il est encore mieux en vrai qu'en photo, s'extasia Marie
C'est normal, tu peux t'asseoir sur le canapé, profiter du lit, de la baignoire et de la cuisine du chef, répondis-je avec un sourire
Tu as cuisiné ? Toi ? Ça sent pas la fumée, je suis surprise !
Saloperie ! Dis-je avant de bondir sur elle et de la chatouiller.
Elle hurla de rire tout en essayant de s'enfuir sans trop de succès. On s'effondra sur le canapé en rigolant, avec une lueur complice dans nos yeux.
Je vais monter ma valise, dit Marie.
Pas de soucis, je vais mettre la table.
Je posais le plat de pâte dans le micro onde, tandis que cela réchauffait, je mis le couvert sur la table basse du salon, connaissant nos habitudes mutuelles. Je l'entendis descendre, elle avait un jeu de société dans les mains. On avait passé pas mal de soirée à jouer à des jeux de société en rajoutant des règles. Celle que nous adorions, la seule que nous utilisions encore, c'est une sorte de questions réponse perso. Ça nous permet d'en apprendre toujours plus l'un sur l'autre et de bien rigoler.
C'est quoi cette fois comme jeu ?
J'en déduis donc que tu crames ta première question, ça m'en fera deux de suite, c'est super ! Le jeu, c'est le Mille bornes. On posera une question tout les 200 kilomètres. A table maintenant !
Je m'étais fais avoir comme un bleu mais bon, on verra comment ça va se goupiller.
On mangea le repas en ayant les infos en arrière-plan, en débattant de tout et n'importe quoi. Une fois le repas fini et la table débarrassée, j'ouvris la boîte du jeu, pris le livret des règles tandis que Marie se chargeait de distribuer les cartes.
Je connais les règles, tu peux remballer ce fascicule. Je vois que tu as confiance en moi... dit Marie avec un sourire en coin.
Alors joue au lieu de critiquer
Très bien, du coup je vais en profiter pour poser ma première question, tu as vraiment cuisiné ce plat de pâtes ?
Oui, avec mes petites mains toutes fines répondis-je en riant. J'avais pas pris de crème du coup j'ai mis du fromage. Je suis surprise que tu aies gâché cette question pour ça mais plus rien ne me surprend venant de toi.
Oh alors toi fulmina t-elle
Nous nous mîmes à rire avant de reprendre la partie. Les questions fusèrent dans les deux sens. J'appris qu'elle avait quitté son dernier copain et qu'elle avait eu une promotion et un CDI, elle apprit de moi que j'avais fêté mes 6 ans de célibats, le divorce de mes parents et le fait que je sois devenu parrain de l'un de mes cousins. Les parties s’égrenèrent, tout comme la soirée. Vers 22h30, on décida de s'arrêter.
Tu as gardé les scores ? Demanda Marie
Oui, et tu gagnes, 3 à 2.
Super ! S'exclama t-elle. Du coup tu as un gage, on en reparlera demain. Bonne nuit !
Wait, what ?
Pas de réponse. Je soupirai avant de monter me coucher. Cette histoire de gage, c'était mon idée à la base, on avait fait tout et n'importe quoi avec ça. J'avais autant embrassé une fille pour la première fois avec ce gage alors qu'elle avait dû déclencher une alerte incendie dans notre collège avant de se cacher sur le toit et d'asperger avec des extincteurs les personnes qui passaient trop près d'elle. C'est d’ailleurs suite à ça que j'avais embrassé ma première fille, elle, afin de la féliciter pour cet exploit et surtout pour pas s'être fait attraper. On en avait fait des trucs avec ces gages. Je m'endormis sur ces souvenirs.
Le matin arriva, je pris mon temps dans le lit avant de me lever. Je sorti finalement du lit, parti aux toilettes puis m'en alla manger un morceau. Je finissais seulement mon petit déjeuner que Marie arriva dans la cuisine. On se fit la bise et je la laissai manger tandis que j’investissais la salle de bain. 20 minutes plus tard, j'en sortis frais comme un gardon.
Ah tout de même ! On va enfin pouvoir aller s'occuper de ton gage. Mets tes chaussures, on y va
On va où ? Demandais-je
Tu verras...
Nous voici parti dans les rues de Bordeaux, elle devant, moi derrière en train de la suivre. Après une vingtaine de minutes de marche, nous arrivâmes devant un petit magasin de lingerie pour femme. Elle rentra dans la boutique et je la suivit après un temps d'arrêt. L'avantage de ne plus être tributaire des vacances scolaires, c'est que l'on peut poser n'importe quand. Du coup, le magasin est désert, il n'y a que les vendeuses, Marie et moi. Mon amie se dirigea vers l'une des vendeuses.
Bonjour madame, demanda Marie, j'aurai besoin de votre aide, je voudrai acheter un ensemble de lingerie pour mon ami mais pour ça il nous faudrait ses mensurations, pourriez-vous les lui prendre ?
Pas de problème, dit la vendeuse avec un large sourire, suivez moi monsieur.
Je la suivis en jetant un regard noir à Marie au passage. Quelques minutes plus tard, j'avais mes mensurations et je me trouvais devant les rayons à choisir ce que je devrai porter pour le restant de la journée. Mon œil fut attirer par un ensemble de lingerie comportant bas, guêpière, string de couleur noir. La texture me plaisait, la couleur aussi. Je le pris et partis l'essayer. J'eu un peu de mal à mettre la guêpière mais je reçus de bon conseils de la part de la vendeuse. Les porte-jarretelles étaient incorporés à celle-ci et je découvris comment y accrocher les bas. Je trouvais l'ensemble très agréable et le bas de mon corps y répondis très fortement...
J'enlevais le tout et je me dirigeai avec l'ensemble vers la caisse afin de payer. Marie avait aussi un petit sac sous le bras, j'en déduisis qu'elle s'était elle aussi faite plaisir.
Du coup, tu as pris ton pied à me demander d'acheter cet ensemble ? Je présume que je vais devoir le mettre une fois de retour, lui demandais-je.
Tu as tout compris. Rentrons, j'ai hâte de te voir dans cet ensemble.
Nous nous mîmes en route. Très vite, je vis un magasin avec plusieurs tenues en vitrine. Je soupirai puis laissait finalement place à un vieux fantasme.
Stop Marie
Elle s'arrêta et se retourna vers moi. Je ne suis laissai pas le temps de dire quoi que ce soit que je rentrai dans le magasin. Si je lui en parlait, cela risquait de me faire réaliser mon choix. Je me dirigeais vers des robes mises sur cintres et commençait à les regarder attentivement, tandis que Marie se rapprochait de moi.
Quitte à être travesti avec de la lingerie, autant pousser le vice jusqu'au bout, lui dis-je en attrapant une robe qui me paraissait intéressante et d'aller dans la cabine.
La robe en question était noire, longue, elle m'atteignait les pieds avec des paillettes sur toute la poitrine
Ta pointure ? Me demanda Marie
40, merci beaucoup, noire de préférence, pour aller avec la tenue
Cela va de soit, t'en fais pas.
Je l'entendis s'éloigner vers le centre du magasin. Pendant ce temps, j'enlevais la robe et remis mes vêtements habituels avant de sortir et de la rejoindre. Marie avait déjà une boîte de chaussures dans les mains et elle regardait des colliers. Elle venait d'en saisir un à l'instant où j'arrivais à ces côtés. Nous allâmes payer et on se dirigea vers l'appartement. Une fois arrivé, on posa les sacs, puis elle me tandis la boîte à chaussures. Le collier se trouvait au dessus, les chaussures en elle même, avait des sangles pour tenir les pieds. Les talons n'étaient pas très haut, mais je sais que cela ne m'empêchera pas de me casser la figure.
Je vais me changer dans ma chambre, tu peux sortir ta trousse de maquillage, Marie? Histoire de parfaire le tout ?
Honnêtement, tu m'impressionnes, je m'attendais vraiment pas à ce que tu ailles jusque là. Tu pourras compter sur moi, je t'attendrai ici. Je dois avouer que j'ai hâte de te voir dans ta nouvelle tenue !
Je partis me changer comme convenu, je me déshabillai entièrement puis je mis les bas et le string. Je rajoutai ensuite la guêpière. J'accrochai les bas et je les tendis avant de saisir la robe et de l'enfiler. Je mis ensuite les chaussures, qui furent assez confortables et pile à la bonne hauteur, pour bien se fusionner avec les chaussures. Je saisis enfin le collier. Je souris en l'examinant, c'est un ras-du-coup, Marie sait que je trouve ces colliers terriblement attirant. Celui-ci était en tissu noir avec juste un petit cœur de couleur argenté au niveau de la nuque. Après plusieurs minutes, je laissais tomber et je partis en direction du salon, les talons claquant et annonçant ma venue. J'entendis Marie lâcher un « Ah... » qui m'accompagna pendant la moitié de ma descente.
J'ai pas réussi à mettre le collier, tu me trouves comment ?
Plutôt jolie, tu as toujours les poils des bras qui ressortent et tes cheveux courts qui vont pas tellement avec mais tu as un vrai potentiel de travesti. Viens là, que je t'accroche le collier et que je te maquilles.
Ses propos me firent plaisir et je m'assis dos à elle en lui tendant le collier en question. Elle me l'attacha puis me fit tourner vers elle tout en me demandant de ne pas bouger. Elle sortit divers produits et commença à me les appliquer. Elle n'en mit que de petites quantités, probablement pour pas que je ressemble à une prostituée. Quelques minutes plus tard, elle avait fini. Elle me prit la main et m'amena dans sa chambre, la seule où il y avait un grand miroir. Je fermais les yeux en m'approchant, me plaça à peu près face au miroir. J'ouvris alors les yeux. Je vis Marie, la tête juste à côté de mon épaule droite, puis je me vis moi, légèrement maquillée, avec un peu de maquillage sur les yeux, les joues un peu roses et les lèvres de la même couleur. Le collier habillai mon cou et la longue robe noire m'allait à vrai dire plutôt bien. Je me mis à sourire, d'abord timidement puis plus largement, entraînant la même réaction chez Marie.
Merci, lui dis je avec un chat dans la gorge
Oh mais de rien belle dame, rigola t-elle tout en me faisant pivoter vers elle.
Je n'y résistai pas, malgré ma timidité, je me penchai vers elle et je posais mes lèvres sur les siennes. Son bras gauche entoura ma nuque tandis que les miens entourèrent sa taille. Notre baiser dura un long moment. On se détacha, on se mit à sourire et elle se pencha vers moi pour m'embrasser à nouveau. Me faisant violence, je la repoussai
Tu m'as vu avec une robe, du maquillage et avec une paire de talons mais moi je ne t'ai pas vu avec les achats que tu as faites dans ma boutique de lingerie...
L'inverse est vrai aussi, répondit-elle, mais je te dois bien ça. Recule belle dame, que je me change. A moins que tu ne veuilles me déshabiller ?
Je m'écartai et attrapai le bas de son pull pour le lui enlever, rapidement suivi du tee-shirt, révélant un soutien gorge beige.
Le pantalon et les chaussettes suivirent après quelques baisers. Marie me fit signe de me retourner, ce que je fis. Le soutien gorge me tomba subitement sur la tête avant de glisser vers le côté. La culotte suivi rapidement. Quelques minutes après, deux mains me firent me retourner, tandis que Marie reculait vers le bord du lit. Elle portait un ensemble extrêmement sexy de lingerie rouge, avec un soutien gorge, une culotte, un porte-jarretelle et des bas assorties. Elle avait même mis un peu de rouge à lèvres. Je m'avançai vers elle, caressant son corps et cette lingerie, tandis que ses mains firent tomber ma robe. Je l'aidais à la mettre au sol en me tortillant un peu. J'en profitai aussi pour enlever les chaussures. Nous nous regardâmes droit dans les yeux pendant plusieurs secondes avant de nous mettre à rigoler mutuellement.
Si j'avais su que cela te plaisait autant, j'aurai pensé à ce gage plus tôt, rigola Marie.
Mieux vaut tard que jamais... Et puis je ne m'attendais pas à ce que cela me plaise autant !
Interdiction de quitter cette tenue de toutes les vacances, d'accord ?
Pas de problème Marie, mais faut que ce soit réciproque !
Adjugé, belle dame. Maintenant embrasses moi.
Ce que je fis tout en tombant dans le lit. On ne le quitta que plusieurs heures plus tard pour manger des restes. On ne quitta pas nos ensembles de la journée... Ils ne nous quittèrent que lorsque nous allâmes dans la salle de bain pour faire couler le bain. Bain que l'on pris ensemble, dans la sensualité la plus totale. Après de longues embrassades nus dans l'eau chaude, on se posa dans les bras l'un de l'autre.
Merci Marie, tu viens de m'ouvrir de nouveaux horizons j'ai envie de dire.
Mais avec plaisir, on pourra continuer durant le week-end si tu souhaites...
Avec grand joie, je te ferai signe si je trouve des tenues que j'aimerai essayer. D'ailleurs, j'ai toujours été fasciné par les grandes robes amples qu'on voit souvent dans les films. Reste à voir où on peut en trouver dans le coin. On verra ça après manger... dis-je en l'embrassant dans la nuque
Et voilà pour vous, bonne vacance ! Dit le propriétaire en me donnant les clés
Je refermais la porte derrière le propriétaire tout en poussant un soupir d'aise. Mon amie n'était pas encore arrivée, il me fallait attendre encore deux heures pour que son train arrive. Je posais mes affaires dans l'une des deux chambres, celles-ci se résumant à trois sac, l'un comportant mon ordinateur portable, un autre avec serviette, trousse de toilette et sous-vêtement, tandis que la dernière contenait mes vêtements et un sac de course plié. Je pris le sac de course tout en dispatchant quelques une de mes affaires, chargeurs, trousse et serviette. J'avais repéré une grande surface sur les plans autour de l'appart, j'y partis donc faire quelques emplettes. Pain, riz pâtes, viandes, fruits, légumes, fromages, desserts et boissons. Une fois de retour à la maison, je me mis aux fourneaux. Repas de ce soir : pâtes à la carbonara !
Merde, j'ai oublié la crème ! Bon, ben on va improviser...
Je pris un peu de fromage et le mis à fondre pendant que les pâtes cuisaient. Une fois les pâtes prêtes, je les mis à part puis je rajoutais les lardons une fois qu'ils furent bien grillés. Le fromage fondu, je le rajoutai sur les pâtes, histoire de créer un plat bien lourd et bien calorique, mais bon on a tous les deux des tailles de guêpe alors on s'en fout un peu. Je mis le plat dans le frigo et m'installai devant la télé avec mon téléphone. Une quarantaine de minutes plus tard, je recevais un message de mon amie, elle arrivait à la gare dans 10 minutes. Je coupais tout, mis mes chaussures et me dirigeai vers la gare. J'y arrivais en même temps que son train, je la vis, avec sa grosse valise à roulette. On se sauta mutuellement dans les bras avant de se diriger vers l'appartement.
Oh, il est encore mieux en vrai qu'en photo, s'extasia Marie
C'est normal, tu peux t'asseoir sur le canapé, profiter du lit, de la baignoire et de la cuisine du chef, répondis-je avec un sourire
Tu as cuisiné ? Toi ? Ça sent pas la fumée, je suis surprise !
Saloperie ! Dis-je avant de bondir sur elle et de la chatouiller.
Elle hurla de rire tout en essayant de s'enfuir sans trop de succès. On s'effondra sur le canapé en rigolant, avec une lueur complice dans nos yeux.
Je vais monter ma valise, dit Marie.
Pas de soucis, je vais mettre la table.
Je posais le plat de pâte dans le micro onde, tandis que cela réchauffait, je mis le couvert sur la table basse du salon, connaissant nos habitudes mutuelles. Je l'entendis descendre, elle avait un jeu de société dans les mains. On avait passé pas mal de soirée à jouer à des jeux de société en rajoutant des règles. Celle que nous adorions, la seule que nous utilisions encore, c'est une sorte de questions réponse perso. Ça nous permet d'en apprendre toujours plus l'un sur l'autre et de bien rigoler.
C'est quoi cette fois comme jeu ?
J'en déduis donc que tu crames ta première question, ça m'en fera deux de suite, c'est super ! Le jeu, c'est le Mille bornes. On posera une question tout les 200 kilomètres. A table maintenant !
Je m'étais fais avoir comme un bleu mais bon, on verra comment ça va se goupiller.
On mangea le repas en ayant les infos en arrière-plan, en débattant de tout et n'importe quoi. Une fois le repas fini et la table débarrassée, j'ouvris la boîte du jeu, pris le livret des règles tandis que Marie se chargeait de distribuer les cartes.
Je connais les règles, tu peux remballer ce fascicule. Je vois que tu as confiance en moi... dit Marie avec un sourire en coin.
Alors joue au lieu de critiquer
Très bien, du coup je vais en profiter pour poser ma première question, tu as vraiment cuisiné ce plat de pâtes ?
Oui, avec mes petites mains toutes fines répondis-je en riant. J'avais pas pris de crème du coup j'ai mis du fromage. Je suis surprise que tu aies gâché cette question pour ça mais plus rien ne me surprend venant de toi.
Oh alors toi fulmina t-elle
Nous nous mîmes à rire avant de reprendre la partie. Les questions fusèrent dans les deux sens. J'appris qu'elle avait quitté son dernier copain et qu'elle avait eu une promotion et un CDI, elle apprit de moi que j'avais fêté mes 6 ans de célibats, le divorce de mes parents et le fait que je sois devenu parrain de l'un de mes cousins. Les parties s’égrenèrent, tout comme la soirée. Vers 22h30, on décida de s'arrêter.
Tu as gardé les scores ? Demanda Marie
Oui, et tu gagnes, 3 à 2.
Super ! S'exclama t-elle. Du coup tu as un gage, on en reparlera demain. Bonne nuit !
Wait, what ?
Pas de réponse. Je soupirai avant de monter me coucher. Cette histoire de gage, c'était mon idée à la base, on avait fait tout et n'importe quoi avec ça. J'avais autant embrassé une fille pour la première fois avec ce gage alors qu'elle avait dû déclencher une alerte incendie dans notre collège avant de se cacher sur le toit et d'asperger avec des extincteurs les personnes qui passaient trop près d'elle. C'est d’ailleurs suite à ça que j'avais embrassé ma première fille, elle, afin de la féliciter pour cet exploit et surtout pour pas s'être fait attraper. On en avait fait des trucs avec ces gages. Je m'endormis sur ces souvenirs.
Le matin arriva, je pris mon temps dans le lit avant de me lever. Je sorti finalement du lit, parti aux toilettes puis m'en alla manger un morceau. Je finissais seulement mon petit déjeuner que Marie arriva dans la cuisine. On se fit la bise et je la laissai manger tandis que j’investissais la salle de bain. 20 minutes plus tard, j'en sortis frais comme un gardon.
Ah tout de même ! On va enfin pouvoir aller s'occuper de ton gage. Mets tes chaussures, on y va
On va où ? Demandais-je
Tu verras...
Nous voici parti dans les rues de Bordeaux, elle devant, moi derrière en train de la suivre. Après une vingtaine de minutes de marche, nous arrivâmes devant un petit magasin de lingerie pour femme. Elle rentra dans la boutique et je la suivit après un temps d'arrêt. L'avantage de ne plus être tributaire des vacances scolaires, c'est que l'on peut poser n'importe quand. Du coup, le magasin est désert, il n'y a que les vendeuses, Marie et moi. Mon amie se dirigea vers l'une des vendeuses.
Bonjour madame, demanda Marie, j'aurai besoin de votre aide, je voudrai acheter un ensemble de lingerie pour mon ami mais pour ça il nous faudrait ses mensurations, pourriez-vous les lui prendre ?
Pas de problème, dit la vendeuse avec un large sourire, suivez moi monsieur.
Je la suivis en jetant un regard noir à Marie au passage. Quelques minutes plus tard, j'avais mes mensurations et je me trouvais devant les rayons à choisir ce que je devrai porter pour le restant de la journée. Mon œil fut attirer par un ensemble de lingerie comportant bas, guêpière, string de couleur noir. La texture me plaisait, la couleur aussi. Je le pris et partis l'essayer. J'eu un peu de mal à mettre la guêpière mais je reçus de bon conseils de la part de la vendeuse. Les porte-jarretelles étaient incorporés à celle-ci et je découvris comment y accrocher les bas. Je trouvais l'ensemble très agréable et le bas de mon corps y répondis très fortement...
J'enlevais le tout et je me dirigeai avec l'ensemble vers la caisse afin de payer. Marie avait aussi un petit sac sous le bras, j'en déduisis qu'elle s'était elle aussi faite plaisir.
Du coup, tu as pris ton pied à me demander d'acheter cet ensemble ? Je présume que je vais devoir le mettre une fois de retour, lui demandais-je.
Tu as tout compris. Rentrons, j'ai hâte de te voir dans cet ensemble.
Nous nous mîmes en route. Très vite, je vis un magasin avec plusieurs tenues en vitrine. Je soupirai puis laissait finalement place à un vieux fantasme.
Stop Marie
Elle s'arrêta et se retourna vers moi. Je ne suis laissai pas le temps de dire quoi que ce soit que je rentrai dans le magasin. Si je lui en parlait, cela risquait de me faire réaliser mon choix. Je me dirigeais vers des robes mises sur cintres et commençait à les regarder attentivement, tandis que Marie se rapprochait de moi.
Quitte à être travesti avec de la lingerie, autant pousser le vice jusqu'au bout, lui dis-je en attrapant une robe qui me paraissait intéressante et d'aller dans la cabine.
La robe en question était noire, longue, elle m'atteignait les pieds avec des paillettes sur toute la poitrine
Ta pointure ? Me demanda Marie
40, merci beaucoup, noire de préférence, pour aller avec la tenue
Cela va de soit, t'en fais pas.
Je l'entendis s'éloigner vers le centre du magasin. Pendant ce temps, j'enlevais la robe et remis mes vêtements habituels avant de sortir et de la rejoindre. Marie avait déjà une boîte de chaussures dans les mains et elle regardait des colliers. Elle venait d'en saisir un à l'instant où j'arrivais à ces côtés. Nous allâmes payer et on se dirigea vers l'appartement. Une fois arrivé, on posa les sacs, puis elle me tandis la boîte à chaussures. Le collier se trouvait au dessus, les chaussures en elle même, avait des sangles pour tenir les pieds. Les talons n'étaient pas très haut, mais je sais que cela ne m'empêchera pas de me casser la figure.
Je vais me changer dans ma chambre, tu peux sortir ta trousse de maquillage, Marie? Histoire de parfaire le tout ?
Honnêtement, tu m'impressionnes, je m'attendais vraiment pas à ce que tu ailles jusque là. Tu pourras compter sur moi, je t'attendrai ici. Je dois avouer que j'ai hâte de te voir dans ta nouvelle tenue !
Je partis me changer comme convenu, je me déshabillai entièrement puis je mis les bas et le string. Je rajoutai ensuite la guêpière. J'accrochai les bas et je les tendis avant de saisir la robe et de l'enfiler. Je mis ensuite les chaussures, qui furent assez confortables et pile à la bonne hauteur, pour bien se fusionner avec les chaussures. Je saisis enfin le collier. Je souris en l'examinant, c'est un ras-du-coup, Marie sait que je trouve ces colliers terriblement attirant. Celui-ci était en tissu noir avec juste un petit cœur de couleur argenté au niveau de la nuque. Après plusieurs minutes, je laissais tomber et je partis en direction du salon, les talons claquant et annonçant ma venue. J'entendis Marie lâcher un « Ah... » qui m'accompagna pendant la moitié de ma descente.
J'ai pas réussi à mettre le collier, tu me trouves comment ?
Plutôt jolie, tu as toujours les poils des bras qui ressortent et tes cheveux courts qui vont pas tellement avec mais tu as un vrai potentiel de travesti. Viens là, que je t'accroche le collier et que je te maquilles.
Ses propos me firent plaisir et je m'assis dos à elle en lui tendant le collier en question. Elle me l'attacha puis me fit tourner vers elle tout en me demandant de ne pas bouger. Elle sortit divers produits et commença à me les appliquer. Elle n'en mit que de petites quantités, probablement pour pas que je ressemble à une prostituée. Quelques minutes plus tard, elle avait fini. Elle me prit la main et m'amena dans sa chambre, la seule où il y avait un grand miroir. Je fermais les yeux en m'approchant, me plaça à peu près face au miroir. J'ouvris alors les yeux. Je vis Marie, la tête juste à côté de mon épaule droite, puis je me vis moi, légèrement maquillée, avec un peu de maquillage sur les yeux, les joues un peu roses et les lèvres de la même couleur. Le collier habillai mon cou et la longue robe noire m'allait à vrai dire plutôt bien. Je me mis à sourire, d'abord timidement puis plus largement, entraînant la même réaction chez Marie.
Merci, lui dis je avec un chat dans la gorge
Oh mais de rien belle dame, rigola t-elle tout en me faisant pivoter vers elle.
Je n'y résistai pas, malgré ma timidité, je me penchai vers elle et je posais mes lèvres sur les siennes. Son bras gauche entoura ma nuque tandis que les miens entourèrent sa taille. Notre baiser dura un long moment. On se détacha, on se mit à sourire et elle se pencha vers moi pour m'embrasser à nouveau. Me faisant violence, je la repoussai
Tu m'as vu avec une robe, du maquillage et avec une paire de talons mais moi je ne t'ai pas vu avec les achats que tu as faites dans ma boutique de lingerie...
L'inverse est vrai aussi, répondit-elle, mais je te dois bien ça. Recule belle dame, que je me change. A moins que tu ne veuilles me déshabiller ?
Je m'écartai et attrapai le bas de son pull pour le lui enlever, rapidement suivi du tee-shirt, révélant un soutien gorge beige.
Le pantalon et les chaussettes suivirent après quelques baisers. Marie me fit signe de me retourner, ce que je fis. Le soutien gorge me tomba subitement sur la tête avant de glisser vers le côté. La culotte suivi rapidement. Quelques minutes après, deux mains me firent me retourner, tandis que Marie reculait vers le bord du lit. Elle portait un ensemble extrêmement sexy de lingerie rouge, avec un soutien gorge, une culotte, un porte-jarretelle et des bas assorties. Elle avait même mis un peu de rouge à lèvres. Je m'avançai vers elle, caressant son corps et cette lingerie, tandis que ses mains firent tomber ma robe. Je l'aidais à la mettre au sol en me tortillant un peu. J'en profitai aussi pour enlever les chaussures. Nous nous regardâmes droit dans les yeux pendant plusieurs secondes avant de nous mettre à rigoler mutuellement.
Si j'avais su que cela te plaisait autant, j'aurai pensé à ce gage plus tôt, rigola Marie.
Mieux vaut tard que jamais... Et puis je ne m'attendais pas à ce que cela me plaise autant !
Interdiction de quitter cette tenue de toutes les vacances, d'accord ?
Pas de problème Marie, mais faut que ce soit réciproque !
Adjugé, belle dame. Maintenant embrasses moi.
Ce que je fis tout en tombant dans le lit. On ne le quitta que plusieurs heures plus tard pour manger des restes. On ne quitta pas nos ensembles de la journée... Ils ne nous quittèrent que lorsque nous allâmes dans la salle de bain pour faire couler le bain. Bain que l'on pris ensemble, dans la sensualité la plus totale. Après de longues embrassades nus dans l'eau chaude, on se posa dans les bras l'un de l'autre.
Merci Marie, tu viens de m'ouvrir de nouveaux horizons j'ai envie de dire.
Mais avec plaisir, on pourra continuer durant le week-end si tu souhaites...
Avec grand joie, je te ferai signe si je trouve des tenues que j'aimerai essayer. D'ailleurs, j'ai toujours été fasciné par les grandes robes amples qu'on voit souvent dans les films. Reste à voir où on peut en trouver dans le coin. On verra ça après manger... dis-je en l'embrassant dans la nuque
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