La chaise suspendue
Récit érotique écrit par Nyalis [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-06-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La chaise suspendue
la chaise suspendue
Cette soirée a eu lieu avec son jeune amant black, dont j’ai raconté la 1ere rencontre dans le récit intitulé « Ludovic – acte 1 » publié le 11/02/16 dans la rubrique « candaulisme »
Il était devenu un ami-amant apprécié que nous recevions 4 à 5 fois par an. De temps en temps il se rappelait à notre bon souvenir par un texto. D’autres fois, c’est nous qui le contactions. Quand nos disponibilités et envies réciproques coïncidaient, nous l’invitions dans mon studio situé en fond de couloir dans un hôtel. Les rencontres étaient discrètes, n’étaient-ce les cris de plaisir de ma chérie quand elle avait des orgasmes, et elle en avait beaucoup.
Cette semaine-là, c’est lui qui nous sollicita. Nous avions envie de vivre une soirée différente. Je pensai alors à un libertin qui nous avait reçus chez lui lors d’une soirée multi couples. Je lui proposai de venir chez lui avec notre ami black un vendredi soir. Notre hôte, invité à dîner à l’extérieur, n’était pas disponible. Mais spontanément et fort gentiment, il mit sa maison à notre disposition pour notre trio.
C’est, très motivés, que nous nous rendîmes à la maison suivi de notre complice. Notre hôte avait bien fait les choses. La maison était ouverte, accueillante, éclairée, le chien paisible et attaché. Dans le salon la chaise en cuir suspendue que nous avions découverte lors de la précédente soirée.
La nuit était douce. La soirée commença dans le jardin autour d’une bouteille de champagne. Ma chérie avait choisi une petite robe courte près du corps, du genre qui s’enfile avec forces contorsions. Sa taille mince, ses épaules de nageuse, ses fesses galbées étaient mises en valeur par cette tenue sexy. Perchée sur ses hauts talons, elle était diablement séduisante, apprêtée pour son amant. La discussion était animée. L’on parlait de choses et d’autres, de nos vies, de nos boulots.
Jusqu’au moment où notre maîtresse décide qu’il est temps de passer à l’intérieur de la maison.
Ludovic, sorti directement de son travail, demande à prendre une douche. On lui montre les lieux. Il nous rejoint au salon vêtu d’un caleçon blanc. Le jeune homme, de taille moyenne, a la carrure d’un rugbyman. Il s’est laissé aller ces derniers temps et a pris un peu d’embonpoint.. Il s’est marié, est devenu père.. Le contraste de leurs corps est très érotique. Elle, petit gabarit, mince, un corps galbé, des muscles finement modelés par la natation. Lui, un corps puissant, enrobé, planté sur des cuisses larges, un fessier proéminent et incroyablement musclé et ferme. A chaque fois, elle s’en étonne et s’en amuse en lui palpant les fesses.
Tous deux s’assoient dans le canapé. Je m’installe dans le fauteuil à côté d’eux, et devient spectateur de leurs jeux et ébats. Ce soir-là, pour la première fois, je filme la scène en de courtes prises. Je veux garder un souvenir de nos soirées candaulistes, les images de ma muse faisant l’amour.
En se contorsionnant, elle fait glisser l’habit moulant et nous offre la vision de son corps en string et soutien-gorge de dentelle noire. Les hauts talons accentuent sa cambrure, sa chute de reins. Elle est très désirable.
Elle rejoint son amant, s’assoit contre lui. Quelques caresses et leurs bouches se joignent pour de fougueux baisers. Le caleçon est tendu par l’érection impressionnante. La main de ma chérie s’en empare et palpe à travers le tissu le membre . La paume de Ludovic se pose sur le délicieux mont de vénus. Les doigts s’insinuent sous le tissu léger. En quelques secondes, elle jouit d’un premier orgasme, les cuisses ouvertes, la tête rejetée en arrière. J’ai filmé ce moment. Elle se lève, s’agenouille devant son amant et lui retire le caleçon. Le braquemart se dresse avec arrogance entre les cuisses du jeune homme. Gourmande, elle commence une longue fellation. Sa bouche enfourne à peine la moitié du sexe trop long, trop épais. Mais, quel plaisir elle prend à le sucer, le lécher. Les yeux fermés, Ludovic savoure la caresse chaude et humide, les succions passionnées. Je filme quelques passages de cette longue fellation.
Puis, elle se relève, debout, face à lui. Ludovic, toujours assis, la saisit par les fesses, écarte le string. Sa langue s’insinue dans la fente parfumée, titille le délicat bouton. En quelques secondes, il déclenche un nouvel orgasme. Elle se retourne, les fesses présentées à hauteur du visage. Ludovic l’attrape par les hanches. Sa bouche se colle sur la croupe, sa langue s’insinue entre les fesses. Surprise, ma chérie se penche en avant, les mains en appui sur la table basse, perchée sur une jambe, l’autre relevée en appui sur le dossier du canapé. Très érotique, cette position quelque peu acrobatique offre sa vulve à la bouche gourmande du black. Nouvelle jouissance intense et sonore de ma coquine. Les habitants des maisons voisines n’ont plus de doutes sur la nature de nos jeux.
Petite pause pour se remettre de ses émotions. Puis, elle décide de changer de registre. Je te veux en moi dit-elle..une dernière petite fellation, avant la pose du préservatif. Le black, toujours assis, est tel un pacha. Sûr de sa force, de sa virilité, à disposition de la femelle qu’il va posséder devant l’homme qu’elle aime.
C’est un des moments les plus érotiques à mes yeux, quand elle s’agenouille face à lui sur le canapé, au-dessus du braquemart tendu et dur, qu’elle positionne entre ses lèvres. Centimètre par centimètre, elle s’empale sur le gros sexe noir. Le gland fuselé écarte les lèvres gonflées par l’excitation, ouvre la voie à la verge épaisse. C’est le gland plus petit qui facilite la pénétration m’expliqua un jour la coquine lors de confidences sur l’oreiller. Commence alors le va et vient de sa croupe sur le superbe phallus noir. Je me régale de ce spectacle inouï. Sa vulve délicatement charnue, dilatée par le chibre foncé qu’elle absorbe entièrement, puis relâche à la limite du gland. Le rythme lent au début, s’accélère. Elle soupire, gémit, feule et explose dans des cris rauques. En dépit de son petit gabarit, elle a de la voix. Quand elle jouit, cela s’entend et se sait dans le voisinage. Quel tempérament ! Faite pour le sexe à l’état pur. Elle se donne naturellement, sans états d’âme, juste pour le plaisir de plaire, séduire et jouir. Toujours en ma présence complice. Copuler sous mon regard amoureux la surexcite.
Après la séance canapé, une coupe de champagne pour souffler un peu. Vient le moment attendu d’essayer la chaise suspendue, ou plafond bungee sling en anglais. La coquine pose son charmant derrière sur le triangle de cuir, chausse les étriers et s’agrippe aux suspentes. La position est extrêmement indécente. Jambes écartées et relevées, la vulve est offerte à la saillie.
Et c’est de cela qu’il s’agit quand je vois Ludovic s’approcher, le phallus tendu vers elle. C’est un véritable étalon. Très membré, endurant, il ne débande pas. Mon fantasme de la jolie blonde saillie par un mâle noir et viril est totalement assouvi avec lui. Il l’attrape par les hanches. Son pieu vient naturellement à la rencontre de la vulve gourmande, souple, dilatée. Il s’enfonce en elle et l’honore de nouveau. Elle, suspendue dans sa balançoire sexuelle, lui planté sur ses jambes de catcheur, la pénètre à coups de rein puissants en la maintenant par les fesses. Je bande et je filme. Cette scène est très excitante. Un jeune black costaud en train de pilonner une jolie blonde, mince et petite. Une vulve, délicieusement charnue, décorée d’une adorable petite touffe de poils blonds. Un phallus couleur chocolat, épais, glisse en elle puissamment. La femelle gémit de plaisir, son regard fixe le va et vient obscène du sexe entre ses cuisses. Elle se sent pleine du membre de son amant. Ses chairs surchauffées par le frottement la font tressaillir, trembler. Quand l’orgasme la submerge, la tête rejetée en arrière elle jouit encore et encore dans un hurlement de femelle magnifiquement comblée.
Après cet orgasme intense, le mâle se retire, la libère du sling et des étriers.
Petite pause pour récupérer de ses émotions, avec une coupe de champagne.
Ludovic n’a pas encore joui. Elle lui propose un dernier accouplement. Debout, courbée en avant, les mains en appui sur la paroi, elle lui présente ses fesses. Notre ami lui fourre de nouveau son chibre toujours gonflé et arrogant. Nouvelle scène inoubliable. Elle, mince et gracieuse, la peau dorée, le cul tendu vers le gros black qui la saillit en rythme. Je mate et je filme cette séquence mémorable. Un nouvel orgasme l’envahit. Elle lui dit que c’est bon, qu’elle jouit, qu’elle aime sentir sa grosse queue en elle. Elle lui demande de jouir avec elle, elle veut sentir le sexe pulser dans sa matrice, le sperme gicler dans la capote. J’aimerais qu’elle ait un rapport naturel, qu’elle sente le foutre chaud jaillir en elle, qu’elle m’exhibe sa vulve gonflée et dégoulinante et me demande de la lécher. Ensemble, ils jouissent dans un dernier cri. Il libère enfin sa semence en gémissant, les yeux fermés, la tête en arrière, dans un orgasme puissant. Il me jette un coup d’œil, le regard de l’amant qui vient d’éjaculer dans le con de maîtresse, devant le mari cocu et reconnaissant du plaisir offert à sa femme.
Ils se détachent l’un et l’autre. Ma chérie reprend son souffle, calme son petit cœur qui bat très vite. Elle n’en peut plus. Vidée par tous ses orgasmes et sensations fortes.
Une dernière coupe de champagne. Ainsi se termina cette soirée inhabituelle avec Ludovic. Sans doute prendrai-je le temps de conter une ou deux autres rencontres avec cet amant qui l’a honoré pendant quelques années et lui a donné d’intenses plaisirs.
Cette soirée a eu lieu avec son jeune amant black, dont j’ai raconté la 1ere rencontre dans le récit intitulé « Ludovic – acte 1 » publié le 11/02/16 dans la rubrique « candaulisme »
Il était devenu un ami-amant apprécié que nous recevions 4 à 5 fois par an. De temps en temps il se rappelait à notre bon souvenir par un texto. D’autres fois, c’est nous qui le contactions. Quand nos disponibilités et envies réciproques coïncidaient, nous l’invitions dans mon studio situé en fond de couloir dans un hôtel. Les rencontres étaient discrètes, n’étaient-ce les cris de plaisir de ma chérie quand elle avait des orgasmes, et elle en avait beaucoup.
Cette semaine-là, c’est lui qui nous sollicita. Nous avions envie de vivre une soirée différente. Je pensai alors à un libertin qui nous avait reçus chez lui lors d’une soirée multi couples. Je lui proposai de venir chez lui avec notre ami black un vendredi soir. Notre hôte, invité à dîner à l’extérieur, n’était pas disponible. Mais spontanément et fort gentiment, il mit sa maison à notre disposition pour notre trio.
C’est, très motivés, que nous nous rendîmes à la maison suivi de notre complice. Notre hôte avait bien fait les choses. La maison était ouverte, accueillante, éclairée, le chien paisible et attaché. Dans le salon la chaise en cuir suspendue que nous avions découverte lors de la précédente soirée.
La nuit était douce. La soirée commença dans le jardin autour d’une bouteille de champagne. Ma chérie avait choisi une petite robe courte près du corps, du genre qui s’enfile avec forces contorsions. Sa taille mince, ses épaules de nageuse, ses fesses galbées étaient mises en valeur par cette tenue sexy. Perchée sur ses hauts talons, elle était diablement séduisante, apprêtée pour son amant. La discussion était animée. L’on parlait de choses et d’autres, de nos vies, de nos boulots.
Jusqu’au moment où notre maîtresse décide qu’il est temps de passer à l’intérieur de la maison.
Ludovic, sorti directement de son travail, demande à prendre une douche. On lui montre les lieux. Il nous rejoint au salon vêtu d’un caleçon blanc. Le jeune homme, de taille moyenne, a la carrure d’un rugbyman. Il s’est laissé aller ces derniers temps et a pris un peu d’embonpoint.. Il s’est marié, est devenu père.. Le contraste de leurs corps est très érotique. Elle, petit gabarit, mince, un corps galbé, des muscles finement modelés par la natation. Lui, un corps puissant, enrobé, planté sur des cuisses larges, un fessier proéminent et incroyablement musclé et ferme. A chaque fois, elle s’en étonne et s’en amuse en lui palpant les fesses.
Tous deux s’assoient dans le canapé. Je m’installe dans le fauteuil à côté d’eux, et devient spectateur de leurs jeux et ébats. Ce soir-là, pour la première fois, je filme la scène en de courtes prises. Je veux garder un souvenir de nos soirées candaulistes, les images de ma muse faisant l’amour.
En se contorsionnant, elle fait glisser l’habit moulant et nous offre la vision de son corps en string et soutien-gorge de dentelle noire. Les hauts talons accentuent sa cambrure, sa chute de reins. Elle est très désirable.
Elle rejoint son amant, s’assoit contre lui. Quelques caresses et leurs bouches se joignent pour de fougueux baisers. Le caleçon est tendu par l’érection impressionnante. La main de ma chérie s’en empare et palpe à travers le tissu le membre . La paume de Ludovic se pose sur le délicieux mont de vénus. Les doigts s’insinuent sous le tissu léger. En quelques secondes, elle jouit d’un premier orgasme, les cuisses ouvertes, la tête rejetée en arrière. J’ai filmé ce moment. Elle se lève, s’agenouille devant son amant et lui retire le caleçon. Le braquemart se dresse avec arrogance entre les cuisses du jeune homme. Gourmande, elle commence une longue fellation. Sa bouche enfourne à peine la moitié du sexe trop long, trop épais. Mais, quel plaisir elle prend à le sucer, le lécher. Les yeux fermés, Ludovic savoure la caresse chaude et humide, les succions passionnées. Je filme quelques passages de cette longue fellation.
Puis, elle se relève, debout, face à lui. Ludovic, toujours assis, la saisit par les fesses, écarte le string. Sa langue s’insinue dans la fente parfumée, titille le délicat bouton. En quelques secondes, il déclenche un nouvel orgasme. Elle se retourne, les fesses présentées à hauteur du visage. Ludovic l’attrape par les hanches. Sa bouche se colle sur la croupe, sa langue s’insinue entre les fesses. Surprise, ma chérie se penche en avant, les mains en appui sur la table basse, perchée sur une jambe, l’autre relevée en appui sur le dossier du canapé. Très érotique, cette position quelque peu acrobatique offre sa vulve à la bouche gourmande du black. Nouvelle jouissance intense et sonore de ma coquine. Les habitants des maisons voisines n’ont plus de doutes sur la nature de nos jeux.
Petite pause pour se remettre de ses émotions. Puis, elle décide de changer de registre. Je te veux en moi dit-elle..une dernière petite fellation, avant la pose du préservatif. Le black, toujours assis, est tel un pacha. Sûr de sa force, de sa virilité, à disposition de la femelle qu’il va posséder devant l’homme qu’elle aime.
C’est un des moments les plus érotiques à mes yeux, quand elle s’agenouille face à lui sur le canapé, au-dessus du braquemart tendu et dur, qu’elle positionne entre ses lèvres. Centimètre par centimètre, elle s’empale sur le gros sexe noir. Le gland fuselé écarte les lèvres gonflées par l’excitation, ouvre la voie à la verge épaisse. C’est le gland plus petit qui facilite la pénétration m’expliqua un jour la coquine lors de confidences sur l’oreiller. Commence alors le va et vient de sa croupe sur le superbe phallus noir. Je me régale de ce spectacle inouï. Sa vulve délicatement charnue, dilatée par le chibre foncé qu’elle absorbe entièrement, puis relâche à la limite du gland. Le rythme lent au début, s’accélère. Elle soupire, gémit, feule et explose dans des cris rauques. En dépit de son petit gabarit, elle a de la voix. Quand elle jouit, cela s’entend et se sait dans le voisinage. Quel tempérament ! Faite pour le sexe à l’état pur. Elle se donne naturellement, sans états d’âme, juste pour le plaisir de plaire, séduire et jouir. Toujours en ma présence complice. Copuler sous mon regard amoureux la surexcite.
Après la séance canapé, une coupe de champagne pour souffler un peu. Vient le moment attendu d’essayer la chaise suspendue, ou plafond bungee sling en anglais. La coquine pose son charmant derrière sur le triangle de cuir, chausse les étriers et s’agrippe aux suspentes. La position est extrêmement indécente. Jambes écartées et relevées, la vulve est offerte à la saillie.
Et c’est de cela qu’il s’agit quand je vois Ludovic s’approcher, le phallus tendu vers elle. C’est un véritable étalon. Très membré, endurant, il ne débande pas. Mon fantasme de la jolie blonde saillie par un mâle noir et viril est totalement assouvi avec lui. Il l’attrape par les hanches. Son pieu vient naturellement à la rencontre de la vulve gourmande, souple, dilatée. Il s’enfonce en elle et l’honore de nouveau. Elle, suspendue dans sa balançoire sexuelle, lui planté sur ses jambes de catcheur, la pénètre à coups de rein puissants en la maintenant par les fesses. Je bande et je filme. Cette scène est très excitante. Un jeune black costaud en train de pilonner une jolie blonde, mince et petite. Une vulve, délicieusement charnue, décorée d’une adorable petite touffe de poils blonds. Un phallus couleur chocolat, épais, glisse en elle puissamment. La femelle gémit de plaisir, son regard fixe le va et vient obscène du sexe entre ses cuisses. Elle se sent pleine du membre de son amant. Ses chairs surchauffées par le frottement la font tressaillir, trembler. Quand l’orgasme la submerge, la tête rejetée en arrière elle jouit encore et encore dans un hurlement de femelle magnifiquement comblée.
Après cet orgasme intense, le mâle se retire, la libère du sling et des étriers.
Petite pause pour récupérer de ses émotions, avec une coupe de champagne.
Ludovic n’a pas encore joui. Elle lui propose un dernier accouplement. Debout, courbée en avant, les mains en appui sur la paroi, elle lui présente ses fesses. Notre ami lui fourre de nouveau son chibre toujours gonflé et arrogant. Nouvelle scène inoubliable. Elle, mince et gracieuse, la peau dorée, le cul tendu vers le gros black qui la saillit en rythme. Je mate et je filme cette séquence mémorable. Un nouvel orgasme l’envahit. Elle lui dit que c’est bon, qu’elle jouit, qu’elle aime sentir sa grosse queue en elle. Elle lui demande de jouir avec elle, elle veut sentir le sexe pulser dans sa matrice, le sperme gicler dans la capote. J’aimerais qu’elle ait un rapport naturel, qu’elle sente le foutre chaud jaillir en elle, qu’elle m’exhibe sa vulve gonflée et dégoulinante et me demande de la lécher. Ensemble, ils jouissent dans un dernier cri. Il libère enfin sa semence en gémissant, les yeux fermés, la tête en arrière, dans un orgasme puissant. Il me jette un coup d’œil, le regard de l’amant qui vient d’éjaculer dans le con de maîtresse, devant le mari cocu et reconnaissant du plaisir offert à sa femme.
Ils se détachent l’un et l’autre. Ma chérie reprend son souffle, calme son petit cœur qui bat très vite. Elle n’en peut plus. Vidée par tous ses orgasmes et sensations fortes.
Une dernière coupe de champagne. Ainsi se termina cette soirée inhabituelle avec Ludovic. Sans doute prendrai-je le temps de conter une ou deux autres rencontres avec cet amant qui l’a honoré pendant quelques années et lui a donné d’intenses plaisirs.
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