La concierge - histoire érotique

Je viens d’aménager dans mon nouvel appartement dans le 7° arrondissement. Un rez-de- chaussée dans un bel immeuble haussmannien. Mon appartement jouxte la loge de la concierge. C’est une femme seule, grande, jolie, blonde aux yeux bleus avec des jambes magnifiques. Pour ma part je suis dans un trois pièces dont une dédiée à mon travail, développeur informatique. Dans la chambre, deux grands placards penderie. Un sera dédié à mes fringues « normales », l’autre à mon gout immodéré au travestissement : j’y puis ranger mes multiples paires de chaussures (c’est mon fantasme !) : escarpins haut perchés, mules plus sexy les unes que les autres, ballerines et sandales. Bonheur supplémentaire, les portes de ces penderies sont des miroirs du sol au plafond.

Le confinement venu, je travaille de chez moi en contact web avec mes collègues et je peux assouvir mon péché mignon en étant vêtu en fille la plupart du temps.

Tous les jours je sorts faire mes courses et en profite pour m’aérer un peu. Régulièrement je croise ma voisine et concierge et faisons un brin de causette. Je ne peux m’empêcher de lorgner ses jambes et pieds gainés de nylon, ses mules à talon compensé laissant poindre ses jolis orteils vernis en rouge foncés. Cette vision érotique m’a amené à me commander du vernis à ongle de ce joli rouge foncé ainsi qu’une paire de mules en velours noir, ouvertes aux bouts avec un talon compensé. Je me plais à déambuler ainsi chez moi, lorgnant mes petons vernis , gainés de nylon, pointant de mes petites mules. Je me caresse ainsi, devant mon miroir, jusqu’à couvrir mes pieds de ma semence.

Souvent maintenant, je propose à ma voisine de faire ses courses car elle est « bloquée » dans sa loge ou par son ménage des parties communes. Un matin, de retour des courses, je la croise dans le hall d’entrée les bras encombrés d’un aspirateur et de ses accessoires.

- Bonjour Michèle, j’ai tes courses - dis je.
- Bonjour Dominique, j’ai les bras chargés, peux-tu me les porter dans ma loge ?
Je précède Michèle, ouvre la loge et passe dans sa cuisine qui jouxte ; Je pose le sac de courses sur la table. Elle me suit, pose son attirail et me rejoint dans la cuisine.
- Un grand merci, Dominique, je n’aurais pas eu le courage de me changer et de sortir faire les courses. Je suis debout depuis ce matin et je commence à avoir mal aux pieds.
- Assieds-toi, lui dis-je, je fais de faire un massage des pieds, c’est une de mes spécialités.
Michèle semble étonnée et puis gracieusement s’assied sur une chaise, ôte une mule et me tend son pied gainé d’un bas ou d’un collant chair. Je m’agenouille et saisis délicatement son pied, et commence à masser la voute plantaire. Inutile de mentionner que mon érection est immédiate, mais dissimulée dans mon jeans.
- Tu es doué, Dominique, ça me fait un bien immense.
- C’est un plaisir pour moi, tes pieds sont si doux , si mignons…
- Tu ne serais pas un peu fétichiste ?
- Un peu beaucoup, répons-je en rougissant.
- Je vais te décevoir mais je dois t’avouer que je suis lesbienne et que tu ne dois pas te faire des idées à mon sujet.

Comme si rien n’était Michèle déchausse son autre pied et me le tend. Je poursuis en silence son massage, prenant un plaisir non dissimulé à toucher ses jolis petons. Je me sens un peu gêné par le silence qui s’est établi et je me lance.
- Moi aussi je dois t’avouer que je suis gay, tu vois on est quitte !
- Tiens c’est intéressant, il est vrai que ton allure androgyne pourrait laisser croire…ça ne me choque pas du tout.
- Puisque nous sommes au niveau des confidences, et je t’en supplie de le garder pour toi, je ne suis pas un « gay classique », en fait je me travestis en fille, c’est comme ça que je suis bien.

Michèle retire ses pieds de mes mains, rechausse ses mules :
- Tu es sérieux ???
- Complètement, répondis-je, regarde.

Je me lève et retire mes baskets, laissant apparaître mes pied vernis dans des bas chair. Michèle ouvre de grands yeux pendant que je relève le jambe de mon jeans laissant apparaitre mes mollets épilés et gainés de nylon.
- Alors ça, je ne m’en serais pas douté – répondit-elle – mais c’est que c’est très mignon ce que tu me montres. Ça fait longtemps que tu te transformes ?
- Déjà, gamin, je passais les dessous de ma mère et surtout, essayais ses chaussures. Au début c’était du fétichisme je pense, mais dès l’adolescence j’ai pris plaisir à porter des dessous féminins, à me sentir en fille. Je te choque ????
- Pas du tout, tu sais mon homosexualité m’a très vite fait comprendre et accepter toutes les sexualités. Tu couches avec des garçons et tu fais la femme ?
- J’ai essayé une ou deux fois, mais la virilité de mes partenaires me gênait et ne me satisfaisait pas. Je préfère des relations avec des travestis ou des transgenres, mais c’est compliqué et encore plus depuis le confinement. Tu vois, je suis un peu comme toi, un peu « lesbien ».

Michèle sourit.
- J’aimerais bien te voir en fille, ça te gène ?
- Pas du tout, je n’ai pas honte de ce que je suis, je sais que tu comprends et que tu ne me jugeras pas. Viens diner ce soir chez moi – en tout bien tout honneur, on se fera une soirée entre « copines »
- Ok, avec plaisir, j’amènerai le champagne.

Je retourne chez moi et décide de me préparer pour la soirée. Douche, épilation soignée, vernis pieds et mains. Quel style dois je prendre pour une soirée si atypique ? Trop BCBG serait triste (et je n’ai peu de fringues de ce style) trop « pute » serait malvenu et pourrait choquer Michèle. Je décide de porter ma petite robe noire courte et à manches longues, une guêpière noire et le string assorti, bas noirs auto-fixant et fins. Je chausserai mes escarpins vernis noirs à bouts ouverts.
Je passe la fin d’après-midi à cuisiner en peignoir de satin et ballerines.
Enfin quand tout est prêt je me maquille légèrement (pour ne pas choquer) et met une perruque brune, mi- longue. J’habille enfin et me regarde dans le miroir : une vraie femme ! Cependant mon sexe commence à pousser sur mon string…..Pour calmer mes ardeurs et aussi parce que j’en ai très envie, je me masturbe langoureusement devant la glace en prenant des poses suggestives. J’explose avec délice dans ma main.

A 8h et 5 minutes, on frappe discrètement à ma porte, j’ouvre. Michèle est ébahie par ma transformation, je suis ébahie par la sienne car je l’ai toujours vue en tenue de travail et la voici en leggins noirs, un petit haut rouge vif assorti à ses talons aiguille, je devine des bas ou un collant chair. Nous restons quelques secondes à nous regarder. Je romps le silence en la priant d’entrer.
- Tu es ravissante, Michèle, très élégante,…très sexy !
- Toi aussi Dominique, je ne m’attendais pas à ça, une vraie femme. J’aime ta tenue et j’apprécie ton maquillage discret et efficace. Je m’attendais à un look de trav, de drag queen. Mais tu est vraiment très féminine, très sexy .
- Merci.
- Débouche donc le champagne, il sort du frigo, nous allons fêter çà.

J’amène les flutes et les amuse gueules, débouche le champagne et trinquons.
- A cette découverte mutuelle, dis-je en trinquant.
Tout en buvant nous continuons à nous lorgner. Michèle rompt le silence :
- Je vais te paraître curieuse mais j’aimerais savoir quel type de tenue te branche vraiment.
- Il n’y a pas de problème, viens je te montre mon dressing « perso ».
Je prends la main de Michèle et la guide dans ma chambre. Les miroirs reflètent deux filles sexy, tenant toujours sa main je nous fais tourner devant les glaces. Puis j’ouvre le côté « fille » de ma penderie.
- Regarde, dis-je, fouille, je n’ai rien à cacher, enfin pour toi.

Michèle fait glisser les cintres et regarde attentivement chacun de mes trésors. Puis baisse les yeux et découvre ma collection de chaussures.
- J’adore tes chaussures, mais elles sont trop sexy pour les porter dans la rue ou bien même toute la journée !
- Je n’ai jamais osé sortir en fille, tu sais, ni même me montrer devant une femme avant toi…
- Tu chausses du combien Dominique ?
- Un petit 40 répondis-je en pointant mon escarpin.
- Moi aussi ; tu me permets d’en essayer quelques-unes qui me branchent ?
- Avec le plus grand plaisir, tes jolis petons seront surement mis en valeur.

Michèle prend sans hésiter saisit mes mules transparentes, avec un talon très haut.
- C’est des talons de strip-teaseuse, non ? On appelle ça des chaussures de sexe, je n’ai jamais osé essayer.
- Vas-y, fais toi plaisir, mois je les adore, je les mets souvent pour mes exhibs sur le net.
Elle quite ses excarpins et ‘monte’ dans mes talons, la vue de ses pieds, de ses mules m’excitent au plus haut point. Mon sexe est sorti du string et pointe sous ma robe. Michèle se mire dans le miroir, prend des poses, ce qui augmente encore plus mon excitation. Je commence à frotter mon sexe à travers le tissus de ma robe. Michèle s’en aperçoit :
- Je te fais de l’effet ma chérie, dit-elle en pointant une mule vers moi.
- Ok oui, excuse-moi je n’ai pas pu me contenir, je ne veux pas te mettre mal à l’aise.
- Pas de soucis, moi aussi je suis toute mouillée.
Michèle essaye une dizaine de mes paires. Chaque fois elle me montre ses jolis pieds chaussés et m’excite de plus en plus.
- Michèle, je n’en peux plus, est ce que ça te gène si je me caresse en te regardant ?
- Moi aussi je suis excitée, on se branle sans se toucher ?
- Ok
Michèle retire son legging et son slip et la voici en dim-up. Elle rechausse mes mules de strip teaseuse. Langoureusement elle se touche le sexe doucement d’une main et se frotte la poitrine de l’autre. Pour ma part je soulève ma robe et sort mon sexe hyper tendu de sa cache. Je chausse mes petites mules qui ressemblent à celle de Michèle au travail. On se caresse côte à côte, devant le miroir. Michèle gémit doucement et ses doigts trempés courent le long de sa vulve. De mon côté je savoure ma masturbation, excité par mon image et par Michèle. Michèle passe la vitesse supérieure et se branle frénétiquement le clitoris tout en se pénétrant avec deux doigts. Elle gémit et explose dans un cri. Je me glisse un doigt dans ma rosette et éjacule presque aussitôt, le sperme gicle sur le miroir.
Essoufflés nous reprenons nos esprits debout devant notre reflet, Michèle s’approche de moi et me fais un léger bisous sur les lèvres :
- Tu m’as excitée comme une puce ma Dominique.
- Toi aussi Michèle, une coupe de champagne pour nous remettre ?
- OK
Nous retournons a salon et je nous sers le champagne. Assis sur le canapé nous nous désaltérons :
- J’avoue que depuis le confinement je n’ai pas eu d’aventures et mes plaisirs solitaires ne m’ont pas comblée, et toi ma Dominique.
- Moi non plus j’avoue, par contre j’ai eu très peu d’aventures car les travestis ne courent pas les rue. Comme toi, je me fais plaisirs tout seuls ou bien sur le net ; je m’exhibe devant une population anonyme qui se caressent en me regardant.
- Oh oui, pour mon petit trou d’amour j’ai des godes réalistes, des vibros et je porte souvent un plug surtout avec des talons..
- Un plug, j’en ai jamais essayé.
- Tu veux voir les miens ?
- Oh oui ;
Je retourne à la chambre et prend la boite à chaussure qui contient tous mes jouets.
- Voilà ma boite à délices.
Je saisis deux de mes plugs et les tends à Michèle. Celle ci les lorgne, les touche, les caresse.
- Je peux essayer ? on le fait ensemble ?
Je passe mon tube de lubrifiant à Michèle.
- Pas besoin, mon minou est trempé
- Mais ce sont des plugs anals, pour ton petit trou.
- J’essaye d’abord le minou.
Je prends mon plug préféré, leve les jambes et me lubrifie la rosette, puis je force doucement le plug, un frisson me parcourt. Michèle adopte la même position et se glisse le plug dans sa fente encore humide. Un moment immobile elle commence à enter et sortir le plug :
- C’est sympa ais un peu petit, s’exclame-t-elle
- Essaie ton petit trou, veux tu que je t’aide ?
- Oh oui ça m’exciterais
Je me met à genou entre les jambe de Michèle, lui fais relever les jambes afin que ça rosette soit en face. Puis je ne peux m’empêcher de mettre la tète entre ses jambes et de lui lécher l’anus. Je lubrifie. Michèle semble apprécier la caresse, ensuite je met la pointe du plug en face et pousse doucement. Bien lubrifié, le plug entre. Michèle se masturbe doucement, le jambes en l’air. Je saisis un gode de forme suggestive et le glisse dans son vagin, elle se branle plus vite en soufflant fort. D’une main je pilonne son sexe de l’autre je fais de léger va-et-vient avec le plug. Michèle crie et se masturbe à toute vitesse ; très vite elle jouit très fort.

- Ma chérie, que c’était bon, j’ai joui très très fort, tu es très douée ! A mon tour de te faire du bien, assied toi.
Je ne me fais pas prier et m’assied les jambes en l’air en retirant mon string. Michèle s’agenouille et retire mon plug avec douceur puis introduit sa langue dans mon puits, elle me mouille la rosette, c’est délicieux, c’est doux… puis prend le gode et commence à forcer l’entrée.
- Tu aimes ma puce ? dit elle
- J’adore , j’ai mon petit trou en feu
D’un coup elle me pénètre avec le god et fait de lents va-et-vient. Je suis aux anges et je commence à me branler.
- Oh oui branle toi ma chérie je veux que tu jouisses aussi fort que moi.
Ma copine est une experte en maniement de gode, elle alterne en titillant l’entrée de mon anus avec de profondes pénétrations, je me branle fort. Soudain nous accélérons le rythme et je sens monter une vague de plaisir depuis le fond de moi ; j’explose de mon cul et de mon sexe en criant.

- Tu es une vraie petite femme - me dit-elle- je dirais même une vraie petite gouine. Tu m’as excitée et fait jouir comme une femme !
- Toi aussi, j’ai joui si fort. On ne m’a jamais aussi bien godé, même tout seul je n’y ai jamais pris tant de plaisir. Et le plug, ça t’a plu ?
- J’avoue que tu m’as si bien initiée, avec tant de douceur.. j’aime beaucoup.

Nous nous embrassons, ça commence par des bisous pudiques puis nos langues se mêlent dans un fougueux baiser. On décide de se restaurer afin de nous remettre de toutes ces émotions, Michèle me demande.
- Ma tenue est plus que bizarre maintenant, je te propose de puiser dans ta garde-robe pour être mieux à l’aise.
- Ok, viens choisir, j’ai pas mal de tenue d’intérieur très sexy.
Michèle scrute toutes mes tenues et opte pour un peignoir long, en dentelle noire. Il est plus que transparent, elle a ôté son soutient gorge et ses tétons pointent sous le tulle.
Elle aperçoit mes mules d’intérieur en satin noir, bouts ouverts avec un plumetis conséquent sur le dessus. Les talons sont moyen mais en métal doré. Elle se mire dans la glace et me demande si elle me plait.
- Tu es magnifique, j’adore cette tenue, je la porte souvent le soir quand je suis seule.

Pour ma part, je garde mes bas, met une nuisette transparente rose et un tanga assorti. Je chausse mes ballerines de danse en satin rose afin de reposer mes pieds. Michèle désire aussi reposer ses pieds et choisit mes ballerines Repetto vernis noires, laissant apparaître la naissance de ses orteils.
- Allons diner les pieds à l’aise s’exclame Michèle.

Je sers les tapas que j’avais préparés sur la table basse face au canapé. On s régale et finissons la bouteille de champagne. Un fois repu, nous nous apaisons assises sur le canapé. Michèle ote ses ballerines, se tourne vers moi et pose ses pieds sur mes cuisses.
- Veux tu me refaire un massage , STP, j’ai adoré tout à l’heure, et si tu veux je t’en fait un aussi.
- Avec plaisir.
Nous nous tournons face à face et je tends mes pieds vers elle.
- Ils sont adorables tes petits chaussons, une vraie danseuse.
- J’avoue adorer le chaussons de danse que je trouve très féminins.
Je masse doucement les pieds de Michèle qui m’a déchaussé et fait de même. Je m’enhardis et commence à poser mes lèvres sur ses orteils, puis je suce son gros orteil avec délice. Michèle apprécie et ferme les yeux.

- Dominique, tu es vraiment une femme, beaucoup plus féminine que le plupart. J’adore être avec toi, tu es douce, sexy.. tu me donnes beaucoup de plaisir. Pour une lesbienne sache que c’est un vrai compliment.
- Merci
Me voilà de nouveau en érection et mon tanga se tend. Michèle s’en aperçoit et ote ses pieds de mes mains pour venir les mettre sur ma bosse et caresser mon sexe à travers le tanga. J’essaie de glisser mes pieds vers son sexe et lui rend la pareille.
- J’ai envie de faire l’amour avec toi me dit Michèle
- Moi aussi, mais tu me guide pour être une bonne gouine
- Ok – dit-elle – allons dans la chambre
C’est nu-pieds que nous allons sur mon lit et commençons à nous embrasser, nous caresser doucement. Je branle doucement son clitoris et pénètre un doigt dans son minou. Michhèle caresse doucement mon sexe qui est sorti du tanga. Michèle se met sur le dos et ouvre grand ses cuisses, je me précipite pour venir sucer, lécher son clito et sa vulve, l’odeur de cyprine m’enivre. Je joue avec son plug que je rentre et sort doucement. Elle gémit et demande un 69. Je continue mes caresse le sexe en face de son visage. Elle joue aussi avec mon plug et s’enhardit a bisouiller et lécher mon gland. Je suis aux anges bien sur. Puis tout s’accélère, Michèle attrape un gode et me le glisse dans l’anus. Elle me pilonne pendant je mange littéralement son minou. Elle jouit en premier en criant, elle a saisi mon sexe et le branle fort et à mon tour de jouir et de couvrir sa poitrine de sperme.
Essoufflés nous nous endormons dans les bras l’une de l’autre.