Premiers émois - Années 70
Récit érotique écrit par Delatourraque [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-12-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Premiers émois - Années 70
Premiers émois - Années 70
Episode 1 :L’armoire aux trésors
Passionné de photos, pour mes 15 ans mes parents m'ont offert un ensemble labo photo (agrandisseur, bacs,...)
Manquait la chambre noire et mon père me proposa d'aménager l'immense cave que nous avions au sous-sol de notre immeuble.
Cette cave était grande, et haute de plafond, mes parents (surtout ma mère) y stockaient leurs vieilles affaires. Durant plusieurs week-ends mon père et moi avons nettoyé, débarrassé, rangé et aménagé cette cave.
En face de l'espace labo, se trouvaient deux armoires penderies et un canapé cuir trois places. Comme le développement de photos implique de longs temps d'attente, je décidais d'aménager le coin canapé de manière cosy: tapis et lampadaire récupérés dans la cave.
Ainsi je pouvais bouquiner dans un coin confortable.
En aménageant ce coin, j'inspectais le contenu des penderies et découvrais un véritable trésor: les tenues de ma mère qu'elle n'utilisait plus, des dizaines de ses chaussures (elle adorait en acheter des tonnes). J'étais déjà fétichiste des pieds et chaussures féminines et m'étais souvent masturbé avec délice dans les chaussures et pantoufles de ma mère. Un autre trésor se trouvait dans une pochette épaisse qui contenait des dizaines de collants et de nombreuses paires de bas.
En plus des robes et jupes, je trouvais des dessous : culottes, soutien-gorges, nuisettes et combinaisons. Une érection monstrueuse me prit, je me mis nu et commençais a essayer ces trésors.
Par chance les deux penderies avaient des miroirs dur l’intérieur des portes et je pouvais me regarder dans mes essayages.
Je commençais par une paire de collants beiges et une nuisette noire en satin. Mon érection touchait la dentelle du bas de la nuisette. Le contact du collant sur mes pieds, mes jambes et mon sexe m’excitait au plus haut point. Je retardais l’essayage des chaussures – pourtant le point principal de mon fétichisme – et je prenais différentes poses devant les miroirs. Mes pieds nus dans le collant sur le tapis me procuraient d’indicibles sensations. Dans le années 60 mes parent sont beaucoup sortis et ma mère avaient de nombreuses tenues ainsi qu’un belle collection de chaussures à la mode à cette époque : talons aiguilles, bouts pointus, ballerines BB (Brigitte Bardot), et mules.
Je trouvais une paire d’escarpins vernis à hauts talons que je chaussais immédiatement. Ils me donnaient une cambrure très féminine que je découvrais dans le miroir. J’étais excité comme une puce et me masturbais de plus en plus fort. J’explosais dans mon collant.
Au cours de mes différentes venues au labo, je passai en revue tous les trésors de la penderie. J’effectuais une sélection des choses qui m’excitaient le plus que je mis de côté. Je prenais de plus en plus de plaisir à me travestir avec des robes, des bas et des talons. Mes masturbations étaient délicieuses at je m’entrainais à retenir mes éjaculations afin de faire durer au maximum le plaisir.
Episode 2 : Alain et premiers émois homo.
Alain était mon meilleur copain, nous étions dans la même classe et il habitait l’immeuble d’a côté. Passionné de photos c’est lui qui m’avait initié à cet art.
Nous nous ressemblions presque comme deux frères : taille moyenne, fins , presque maigres, cheveux blonds et longs (c’était la mode). Alain était ce qu’on appelait un minet et se plaisait dans un look androgyne. Souvent nous passions notre temps libre à se balader, appareil photo en bandoulière à la recherche de prises de vues insolites ou artistique.
Dès mon ‘labo’ installé je l’invitais à venir le voir et même le tester. Un samedi après-midi d’été il est venu dans ma cave, il était vêtu d’un débardeur, d’un mini short court et moulant (à la limite de la provocation !) et chaussé de tongs blanches. Nous nous essayâmes à quelques tirages et une fois la lumière blanche revenue on mit à sécher nos photos. Sur le canapé j’avais laissé la revue « PHOTO » qui publiait un grand artiste de nus, une photo représentait un modèle au crane rasé, hyper maquillé et ne portant qu’une paire de bas résille et des sandales à très haut talons, je m’étais déjà masturbé plusieurs fois devant une de ces photos, en portant bas et talons. Lorsqu’ Alain tomba sur cette photo il me dit
- Cette fille est super sexy, elle m’excite à mort !
Immédiatement après il baissa son short , sorti son sexe et commença à se masturber sans complexe. Je le regardais ébahi, lui souriait, il me répondit :
- Ne me dit pas que tu ne t’es pas branlé devant cette photo ! Tu ne te branles pas ???
J’étais rouge comme une pucelle mais je ne pouvais quitter des yeux le sexe de mon ami ; je balbutiais :
- Eh bien oui, je me branle comme tout le monde, même très souvent et j’avoue que cette photo m’a aussi super excité.
- Viens donc t’asseoir, on se branlera ensemble ! Ne fais pas le timide, la masturbation c’est normal et puis c’est bon…
Je m’asseyais à coté de lui dur le canapé, sortis mon sexe et commençais à me caresser tout doucement.
- Viens plus près, tu verras mieux la photo
Je me rapprochais tout contre lui et ensemble lorgnons la photo tout en se masturbant. J’avoue que je regardais plus mon ami se masturber que la photo et que ça m’excitait énormément. Nos bras se touchaient et nous nous branlions en rythme.
- Ses bas et ses sandales me rendent fou – dis Alain
- Moi aussi, je trouve ça super érotique ! Ses pieds sont vraiment sexy !
Alain me sourit
- Tu te branles bien, j’adore comme tu te touches…..tu veux bien me branler ? je te ferai pareil.
J’en mourrais d’envie mais n’osais pas le dire, malhabilement je saisis son sexe sans rien dire et il glissa ses doigts sur ma verge droite comme un I. J’adorai immédiatement toucher son sexe, la première bite que je touchais après la mienne. Sa peau était douce et je le branlais lentement en ramenant son prépuce sur son gland. Alain parut aimer et fit de même avec ma bite. On se lâcha pour se mettre à l’aise, nus. Assis cote à cote nos bras se croisait et on décidait de se mettre assis en tailleur face à face, nos gestes étaient plus libres. On se mit si près l’un de l’autre que nos glands se heurtaient fréquemment. J’étais dans état inconnu jusqu’à présent. Prêts de jouir, on accélérait le rythme et Alain jouit le premier, un long jet de sperme partit haut pour retomber sur mon torse et dans ma main, je jouis presque immédiatement dans sa main et sur son sexe. Nous étions en sueur et essoufflés ; Alain dit
- Quel pied ! tu m’as branlé comme un dieu, j’ai joui comme jamais, et toi ?
- Je dois avouer que moi aussi, ta main, ta bite m’ont rendu fou.
- Faudra qu’on remette ça si t’es d’accord
- Bien sur , j’adore, je découvre quelque chose de super excitant.
- Bon il faut que j’y aille, on se voit demain vers 16 heures
- OK
Episode 3
Le lendemain après midi je me précipitais dans mon « labo » pour y accueillir Alain, la nuit précédente je m‘étais remémoré dans mon lit cet épisode masturbatoire et je fantasmais sur le sexe de mon copain, de taille moyenne, bien droit et surmonté d’un joli gland rose clair. Bien sur ce rêve se termina en masturbation délicieuse.
Il faisait chaud et je restais en maillot de bain et tongs. Alain frappa à la porte et je le fis entrer. Il avait un autre débardeur mais les mêmes tongs et short. Je fus surpris, agréablement, par sa bise sur mes lèvres. Déjà mon sexe se dressait et avait du mal à rester dans mon petit maillot. Alain le vit :
- Tu es déjà prêt je vois, on se met à l’aise ?
- -ok
Il fut nu en quelques secondes, ne gardant que ses sandales, bandant comme un cerf. Je ne pus me retenir et caressait sa verge tendue, je m’aventurais à prendre en main ses boules et les massais doucement.
- Tu as les mains douces, j’adore – me dit-il.
Il alla s’asseoir sur le canapé et saisit la revue « PHOTO » qui nous avait excités la veille.
- Tu avais remarqué que le modèle, tête rasée, n’avait pas de sein ? je pense que c’est un mec.
Je m’assieds à coté de lui, et regarde à nouveau cette photo. Il est à noter que nous bandions tous les deux et que nos corps se touchaient. En regardant de nouveau cette photo, je constatais qu’effectivement que le modèle n’avait pas de seins et plutôt un torse masculin ; Au fond de moi-même je me réjouis de savoir que d’autres garçons aimaient porter des bas et des talons. Alain tint la revue, je me penchais sur la photo en prenant la verge d’Alain dans la main.
- C’est vrai c’est un mec, dis-je, ça ne t’excite plus ?
- En fait non, au contraire , ça m’exciterait encore plus si je pouvais voir sa bite !
- Un mec en dessous féminins te plairais ? dis-je en caressant sa bite tendue.
- je crois que oui, tu as remarqué que j’aime regarder et toucher ta bite, que cette photo en bas et sandales aussi.
- Alors je crois que j’ai quelque chose pour toi.
Je me levai et ouvris mon armoire aux trésors. Je pris un porte-jarretelles blanc ainsi que le soutien-gorge assorti, puis une paire de bas fumés, et une paire de mules en velours noir à haut talons, bouts ouverts. Je les jetais sur le canapé.
- C’est mon secret mais j’adore m’habiller en fille, tu veux voir ?
- Un peu mon neveu !
Je vins m’asseoir sur le canapé, Alain touchait et reniflait mes dessous en se touchant. Je passais mon porte-jarretelles et enfilais mes bas de la façon la plus sensuelle possible. Je lissais mes bas sur mes jambes tendues, le contact du nylon sur mes pieds et mes jambes me rendait fou. Alain ne perdait pas une seconde de mon numéro et se masturbait ouvertement. Je me levais et chaussais mes mules fétiches, les talons mettaient en exergue ma cambrure et mes fesses. Debout, je me lorgnais dans le miroir en prenant des poses suggestives et en me branlant de deux doigts la bite.
- Je te plais comme ça ? dis-je en me tortillant.
- Tu es superbe, j’adore çà, tu es superbe, tu me fais bander. Y’a longtemps que tu fais ça ?
- En fait depuis que j’ai le labo photo, ou j’ai trouvé les vieilles fringues et chaussures de ma mère. J’adore porter des chaussures de femme depuis longtemps mais la j’ai découvert le nylon, les bas, les dessous. En fait je me travestis régulièrement et je me branle devant le miroir. Tu veux essayer ?
- J’en rêvais depuis longtemps sans avoir pu le faire, alors bien sûr, passes moi une tenue.
Je sortis une paire de bas couture, un porte-jarretelles noir , un petit caraco en dentelle noire. Je choisis une paire d’escarpins noir avec de petits talons. Je passais à Alain mes trouvailles et lui proposais de l’aider. En le ceinturant du porte-jarretelles, j’effleurais son sexe plusieurs fois. Puis je l’aidais à enfiler les bas en m’assurant que la couture était bien droite. J’adore toucher le nylon et je caressait les jambes et les pieds d’Alain et cela n’avait pas l’air de lui déplaire. Finalement je le chaussais avec les escarpins et le fis se lever. Il marchait correctement avec le talons et il se mirait dans la glace , il se masturbait doucement et comme moi avant, et prit des poses suggestives en se dandinant. Je m’approchai de lui et ensemble nous nous masturbions face au miroir Je pris l’initiative de saisir son sexe et de le branler, aussitôt il me rendit la pareille.
- On est mignonnes toutes deux, hein ? dit Alain en employant pour la première fois le féminin pour nous deux.
- Oui, c’est super excitant, tu sens ma bite , elle est prête a exploser – répondis-je.
- J’adore ces bas, mais aurais-tu une paire de sandales, comme le mec sur la photo ?
- Oui j’ai ça.
Je cherchais dans l’armoire et sortais une de mes paires favorites : des sandales vernies noire avec de fine lanières se fermant autour de la cheville. Je me mis à genoux et saisit un pied d’Alain, retirait doucement l’escarpin et lui enfilait la sandale, J’étais tellement excité que je ne pus m’empêcher d’embrasser puis lécher le pied d’Alain qui couinait de plaisir. Même topo pour le second pied. Alain se regarda dans la glace :
- Super sexy ces sandales, je les adore, je crois que je suis fétichiste !
- Comme moi !
Alain se retourna vers moi, toujours à genoux :
- Tu voudrais pas me sucer ? j’en meurs d’envie.
Je n’avais jamais fait ça, mais d’instinct je pris son sexe en main et commençait a le lécher, le bisouiller. Son gland était plus qu’humide dégageait une odeur forte mais délicieuse. Puis tout en le branlant d’une main je glissai son sexe entre mes lèvres et commençai à le pomper. Alain gémissait de plaisir et je voyais ses orteils se crisper dans ses sandales. Je gardais ensuite son sexe dans ma bouche et commençait à me branler.
Je réalisais à cet instant que j’avais une bite dans ma bouche et que j’aimais ça.
Alain se retira d’un coup :
- Arrête sinon je vais jouir, c’est trop bon. Tu suces bien ma chérie, c’est la première fois ?
- Oui, veux tu me montrer ?
Alain se mis à genoux et moi debout. Il saisit mon sexe et le branla contre ses lèvres, puis goba mon gland et je sentis sa langue s’enrouler autour. J’étais au septième ciel, sans prévenir je déchargeai dans sa bouche un flot de sperme dont je n’aurais jamais cru être capable. Alain en avala mais une bonne partie coula sur son menton, son caraco, et sa main. Toujours à genoux il se branla comme un fou sur ma mule et mon pied nylonné.
Essoufflés on reprit nos esprit sur le canapé. Alain me dit :
- Que c’était bon, j’adore me travestir, j’adore jouer avec ta bite, quel pied
- C’était super, tu es trop sexy comme ça. C’est ma première pipe mais surement pas la dernière. Que c’est bon de te sucer !
- Je peux continuer les essayages ?
- - Vas -y, fouille et fais toi plaisir.
Alain se focalisa sur les chaussures et en essaya un grand nombre. Assis, je le regardais faire et mon sexe recommençait à durcir, aussi je me touchais doucement. Alain s’en aperçu :
- Tu te branles déjà ?
- Oui car tu m’excites avec ton exhibition
- Je suis désolé d’avoir souillé tes mules , mais elles m’excitent tellement.
- Pas de PB, j’ai « souillé » déjà presque toutes ces chaussures et j’adore les porter pleine de sperme, surtout avec des bas. En ce moment mon pied est trempé de ton sperme et ça me rend fou.
- J’ai flashé sur tes mules moi aussi, je peux les lécher avec tes pieds dedans ?
- Oh oui, viens.
Je reste assis dans le canapé, Alain se met à genoux et saisi mon pied humide et lèche la pointe de mes orteils qui pointent de la mule. Un courant électrique me traverse et je me masturbe avec délice. Alain suce, embrasse mon pied, mes mules tout en se branlant aussi.
Nous nous asseyons face à face sur le canapé et chacun saisit un pied de l’autre d’une main et continuons à nous branler. Je déchausse mon pied libre et le pose sur son sexe, je le caresse avec mes bas. Je ne tarde pas à jouir sur son pied et ses sandales et Alain me suit immédiatement.
Episode 3
Cela fait plus d’un mois qu’Alain et moi nous nous travestissons ensemble et découvrons nos fantasmes et no sexualités. Masturbation et fellation dirigent no jeux pervers. Nous nous en lassons pas. Nous avons même fait de nombreuses photos, très coquines en dissimulant nos visages avec des masques, des loups de carnaval avec une voilette dissimulant le bas de nos visages.
Aujourd’hui je descends au labo pour effectuer le tirage de nos derniers clichés. Alain doit venir plus tard.
Lorsque que je tire des photos, j’ai pris l’habitude de le faire en fille et de porter une tenue adéquate.
Je me mets nu, enfile une paire de collants, couleur chair, qui me permet de tenir mon sexe (toujours bandé) droit contre mon ventre. J’enfile une fine robe de chambre de ma mère, en coton jaune citron, m’arrivant aux genoux et fermé par une ceinture du même tissus. Je ne mets pas de talons car c’est peu pratique pour le labo. J’ai retrouvé la source de mes premiers fantasmes : une paire de ballerines en tissus éponge que ma mère utilisait comme pantoufles, je les trouvais si sexy car elles étaient fortement décolletées et laissaient apparaître la base des orteils (summum du sexy à mes yeux) ; de plus le tissus était si souple qu’il moulait les jolis pieds de ma maman. Par chance j’ai retrouvé une boite contenant plusieurs paires de ces ballerines, toutes de couleurs différentes. Je n’avais jamais osé me masturber avec car je craignais que le tissus éponge n’en garde le souvenir. Aujourd’hui je peux me branler à loisir avec, et les chausser trempées de ma semence.
Je chaussais ces ballerines, les jaunes assorties au peignoir, et commençais les tirages. Ces derniers étaient vraiment coquins et c’était difficile de ne pas toucher mon sexe, dur comme du bois, qui perlait dans mon collant. Je pensais me changer en tenue plus sexy pour la venue d’Alain (bas, talons, nuisette,) mais je ne vis pas le temps passer. Je terminais le rinçage quant Alain frappa à l a porte. J’allais lui ouvrir, il m’accueilli en me roulant une pelle magistrale. Il recula et me regarda :
- Ouah quelle tenue, je ne t’ai jamais vu comme ça !
- Désolé mais je pensais me changer avant ton arrivée. Ca c’est ma tenue de labo, confortable, pratique mais féminin.
- Ne soit pas désolé ; j’adore. Tes ballerines sont super sexy, ton peignoir semble si doux à porter. Ph et puis tu as des collants !
J’ouvris mon peignoir et exhibais mon collant déformé par mon sexe bandé.
- Tu m’excites ma puce, ta bite couverte de nylon me plait beaucoup. Tu n’aurais pas de collants pour moi ?
- Bien sur, j’ai les mêmes. Tu veux t’habiller comme moi ?
- Oh oui
Je passai un collant à Alain, un peignoir en satin bleu, plus court que le mien ainsi que les mêmes ballerines mais en bleu.
Alain s’habille en vitesse, son sexe déformait déjà le collant et ça s’empira dès qu’il chaussa ses ballerines.
- J’adoooore, ce collant ces ballerines.
Il se rapprocha de moi ouvrit mon peignoir et commença à frotter sa bite contre la mienne à travers les deux couches de nylon.
Je trouvais ça très agréable et me prit au jeu. De temps en temps Alain caressait mon sexe à travers le nylon qui commençait à être trempé. Nous allons doucement vers le miroir. Alain passe derrières moi, je fais face au miroir, Alain me colle en plaçant ses ballerines contre les miennes puis remonte mon peignoir et frotte so sexe sur mes fesses. C’est super bon .
- J’aimerais me branler entre tes fesses- me dit Alain
- Ok essaye donc
Il baisse mon collant puis le sien et place son gland dans ma raie. Il fait monter et descendre son gland dans ma raie. Je ne me suis jamais encore intéressé à mon cul et je découvre des sensations nouvelles et agréables. Lorsque son sexe touche mon œillet je sens comme une décharge électrique, ainsi je me baisse pour mieux sentir son sexe contre ma rosette et mon plaisir commence à monter.
- Branles toi contre mon petit trou, ça m’excite beaucoup
- Avec plaisir
Alain se concentre sur mon petit trou et force un peu l’entrée, je sens son gland ainsi que ses doigts qui viennent cogner contre mes fesses.
- Tu as l’air d’aimer, c’est bon ? me demande Alain
- C’est super bon, tu veux essayer ?
- Je veux bien
Je passe derrière lui, baisse son collant et place immédiatement mon sexe contre son anus. Je pousse un peu et me masturbe assez fort. Je vois dans le miroir qu’il a fermé les yeux, se branle sec et je vois ses orteils se crisper dans ses ballerines.
- Tu aimes lui demandais-je
- C’est super bon, je me suis déjà doigté mais là c’est dix fois meilleur, pousse un peu STP.
Aussitôt je force un peu son anus et mon gland disparaît à moitié dans son anus. Je n’ose pas aller plus loin et me branle fort contre son petit trou. D’un coup je décharge dans son anus et Alain pousse un cri et décharge sur le miroir. Je retire et vois son trou rendre mon sperme qui coule par terre.
On va reprendre nos esprits sur le canapé.
- Tu as aimé – lui demandai-je
- Oh oui, c’était bon, j’ai mon petit trou tout excité et toi ?
- C’est la première fois mais je découvre quelque chose de nouveau et délicieux.
- Tu ne t’es jamais doigté ?
- Non je dois avouer que je n’y pensais même pas. Comment fais-tu ?
De nouveau face à face sur le canapé, Alain baisse son collant et se cambre pour mettre son anus en avant, puis il lèche abondamment son index et caresse sa rosette, tout autour. Je prends la même position et m’humecte le doigt et commence à caresser le pourtour , la sensation est super agréable et naturellement j’enfonce mon index et donne un mouvement de va et viens. Alain me proposa de me montrer. A quatre pattes il rampa jusqu’à moi, lécha mon sexe qui avait de nouveau durci et promena sa langue sur mes bourses, puis dessous et sa langue finit sur mon petit puits. Il me léchait le tour de l’anus et régulièrement pointait la langue au fond. J’était aux anges et me branlais doucement. Il glissa son doigt humide dans mon trou et imprima de lents va-et-vient, toujours de plus en plus profonds. Je sentais mon anus brulant se dilater, et il en profita pour y insérer deux doigts . J’étais maintenant chaud comme de la braise. Il se releva et, à genoux, il plaça sa bite maintenant dure contre mon œillet et commença à pousser. Je poussais un petit cri de douleur.
- Tu es trop serrée ma chérie, je crains de faire mal. Faudrait lubrifier mieux.
- J ‘ai de la crème nivéa , ma mère me l’a passée à cause des produits photos ;
Je vais chercher le tube et reprends aussitôt ma position obscène. Alain me passe de la crème sur le pourtour de mon puits puis sur son doigt et me lubrifie le passage. Je gémis de bonheur, Alain se masse le sexe avec une bonne dose de crème.
- C’est bon de se branler avec de la crème – dit-il
- Vas y, je t’en supplie, encules moi.
- Met toi à quatre pattes, ce sera plus facile
J’obéis et tend ma croupe. Alain reforce l’entrée de mon anus, je sens son gland qui pousse, c’est délicieux. Puis je me détend un maximum et pousse, son gland passe l’entrée, j’ai un peu mal, puis je le laisse enter plus profond. La douleur disparaît. Je réalise alors que je suis sodomisé, pénétré, enculé et ça redouble mon excitation.
Alain commence un doux va et vient dans mon cul. Puis je sens ses couilles frapper mes fesses, je crie de plaisir. Une onde éléctrique me parcours, il du toucher un point sensible. Je n’en peux plus et me branle d’une main. Alain ne me ménage plus et me ramone littéralement.
- C’est trop bon , je fais jouir bientôt – haletai-je,
- Moi aussi, ton cul est super bon, Je jouis !
Je sens le sperme chaud se déverser dans mon ventre et décharge aussitôt.
(A suivre)
Episode 1 :L’armoire aux trésors
Passionné de photos, pour mes 15 ans mes parents m'ont offert un ensemble labo photo (agrandisseur, bacs,...)
Manquait la chambre noire et mon père me proposa d'aménager l'immense cave que nous avions au sous-sol de notre immeuble.
Cette cave était grande, et haute de plafond, mes parents (surtout ma mère) y stockaient leurs vieilles affaires. Durant plusieurs week-ends mon père et moi avons nettoyé, débarrassé, rangé et aménagé cette cave.
En face de l'espace labo, se trouvaient deux armoires penderies et un canapé cuir trois places. Comme le développement de photos implique de longs temps d'attente, je décidais d'aménager le coin canapé de manière cosy: tapis et lampadaire récupérés dans la cave.
Ainsi je pouvais bouquiner dans un coin confortable.
En aménageant ce coin, j'inspectais le contenu des penderies et découvrais un véritable trésor: les tenues de ma mère qu'elle n'utilisait plus, des dizaines de ses chaussures (elle adorait en acheter des tonnes). J'étais déjà fétichiste des pieds et chaussures féminines et m'étais souvent masturbé avec délice dans les chaussures et pantoufles de ma mère. Un autre trésor se trouvait dans une pochette épaisse qui contenait des dizaines de collants et de nombreuses paires de bas.
En plus des robes et jupes, je trouvais des dessous : culottes, soutien-gorges, nuisettes et combinaisons. Une érection monstrueuse me prit, je me mis nu et commençais a essayer ces trésors.
Par chance les deux penderies avaient des miroirs dur l’intérieur des portes et je pouvais me regarder dans mes essayages.
Je commençais par une paire de collants beiges et une nuisette noire en satin. Mon érection touchait la dentelle du bas de la nuisette. Le contact du collant sur mes pieds, mes jambes et mon sexe m’excitait au plus haut point. Je retardais l’essayage des chaussures – pourtant le point principal de mon fétichisme – et je prenais différentes poses devant les miroirs. Mes pieds nus dans le collant sur le tapis me procuraient d’indicibles sensations. Dans le années 60 mes parent sont beaucoup sortis et ma mère avaient de nombreuses tenues ainsi qu’un belle collection de chaussures à la mode à cette époque : talons aiguilles, bouts pointus, ballerines BB (Brigitte Bardot), et mules.
Je trouvais une paire d’escarpins vernis à hauts talons que je chaussais immédiatement. Ils me donnaient une cambrure très féminine que je découvrais dans le miroir. J’étais excité comme une puce et me masturbais de plus en plus fort. J’explosais dans mon collant.
Au cours de mes différentes venues au labo, je passai en revue tous les trésors de la penderie. J’effectuais une sélection des choses qui m’excitaient le plus que je mis de côté. Je prenais de plus en plus de plaisir à me travestir avec des robes, des bas et des talons. Mes masturbations étaient délicieuses at je m’entrainais à retenir mes éjaculations afin de faire durer au maximum le plaisir.
Episode 2 : Alain et premiers émois homo.
Alain était mon meilleur copain, nous étions dans la même classe et il habitait l’immeuble d’a côté. Passionné de photos c’est lui qui m’avait initié à cet art.
Nous nous ressemblions presque comme deux frères : taille moyenne, fins , presque maigres, cheveux blonds et longs (c’était la mode). Alain était ce qu’on appelait un minet et se plaisait dans un look androgyne. Souvent nous passions notre temps libre à se balader, appareil photo en bandoulière à la recherche de prises de vues insolites ou artistique.
Dès mon ‘labo’ installé je l’invitais à venir le voir et même le tester. Un samedi après-midi d’été il est venu dans ma cave, il était vêtu d’un débardeur, d’un mini short court et moulant (à la limite de la provocation !) et chaussé de tongs blanches. Nous nous essayâmes à quelques tirages et une fois la lumière blanche revenue on mit à sécher nos photos. Sur le canapé j’avais laissé la revue « PHOTO » qui publiait un grand artiste de nus, une photo représentait un modèle au crane rasé, hyper maquillé et ne portant qu’une paire de bas résille et des sandales à très haut talons, je m’étais déjà masturbé plusieurs fois devant une de ces photos, en portant bas et talons. Lorsqu’ Alain tomba sur cette photo il me dit
- Cette fille est super sexy, elle m’excite à mort !
Immédiatement après il baissa son short , sorti son sexe et commença à se masturber sans complexe. Je le regardais ébahi, lui souriait, il me répondit :
- Ne me dit pas que tu ne t’es pas branlé devant cette photo ! Tu ne te branles pas ???
J’étais rouge comme une pucelle mais je ne pouvais quitter des yeux le sexe de mon ami ; je balbutiais :
- Eh bien oui, je me branle comme tout le monde, même très souvent et j’avoue que cette photo m’a aussi super excité.
- Viens donc t’asseoir, on se branlera ensemble ! Ne fais pas le timide, la masturbation c’est normal et puis c’est bon…
Je m’asseyais à coté de lui dur le canapé, sortis mon sexe et commençais à me caresser tout doucement.
- Viens plus près, tu verras mieux la photo
Je me rapprochais tout contre lui et ensemble lorgnons la photo tout en se masturbant. J’avoue que je regardais plus mon ami se masturber que la photo et que ça m’excitait énormément. Nos bras se touchaient et nous nous branlions en rythme.
- Ses bas et ses sandales me rendent fou – dis Alain
- Moi aussi, je trouve ça super érotique ! Ses pieds sont vraiment sexy !
Alain me sourit
- Tu te branles bien, j’adore comme tu te touches…..tu veux bien me branler ? je te ferai pareil.
J’en mourrais d’envie mais n’osais pas le dire, malhabilement je saisis son sexe sans rien dire et il glissa ses doigts sur ma verge droite comme un I. J’adorai immédiatement toucher son sexe, la première bite que je touchais après la mienne. Sa peau était douce et je le branlais lentement en ramenant son prépuce sur son gland. Alain parut aimer et fit de même avec ma bite. On se lâcha pour se mettre à l’aise, nus. Assis cote à cote nos bras se croisait et on décidait de se mettre assis en tailleur face à face, nos gestes étaient plus libres. On se mit si près l’un de l’autre que nos glands se heurtaient fréquemment. J’étais dans état inconnu jusqu’à présent. Prêts de jouir, on accélérait le rythme et Alain jouit le premier, un long jet de sperme partit haut pour retomber sur mon torse et dans ma main, je jouis presque immédiatement dans sa main et sur son sexe. Nous étions en sueur et essoufflés ; Alain dit
- Quel pied ! tu m’as branlé comme un dieu, j’ai joui comme jamais, et toi ?
- Je dois avouer que moi aussi, ta main, ta bite m’ont rendu fou.
- Faudra qu’on remette ça si t’es d’accord
- Bien sur , j’adore, je découvre quelque chose de super excitant.
- Bon il faut que j’y aille, on se voit demain vers 16 heures
- OK
Episode 3
Le lendemain après midi je me précipitais dans mon « labo » pour y accueillir Alain, la nuit précédente je m‘étais remémoré dans mon lit cet épisode masturbatoire et je fantasmais sur le sexe de mon copain, de taille moyenne, bien droit et surmonté d’un joli gland rose clair. Bien sur ce rêve se termina en masturbation délicieuse.
Il faisait chaud et je restais en maillot de bain et tongs. Alain frappa à la porte et je le fis entrer. Il avait un autre débardeur mais les mêmes tongs et short. Je fus surpris, agréablement, par sa bise sur mes lèvres. Déjà mon sexe se dressait et avait du mal à rester dans mon petit maillot. Alain le vit :
- Tu es déjà prêt je vois, on se met à l’aise ?
- -ok
Il fut nu en quelques secondes, ne gardant que ses sandales, bandant comme un cerf. Je ne pus me retenir et caressait sa verge tendue, je m’aventurais à prendre en main ses boules et les massais doucement.
- Tu as les mains douces, j’adore – me dit-il.
Il alla s’asseoir sur le canapé et saisit la revue « PHOTO » qui nous avait excités la veille.
- Tu avais remarqué que le modèle, tête rasée, n’avait pas de sein ? je pense que c’est un mec.
Je m’assieds à coté de lui, et regarde à nouveau cette photo. Il est à noter que nous bandions tous les deux et que nos corps se touchaient. En regardant de nouveau cette photo, je constatais qu’effectivement que le modèle n’avait pas de seins et plutôt un torse masculin ; Au fond de moi-même je me réjouis de savoir que d’autres garçons aimaient porter des bas et des talons. Alain tint la revue, je me penchais sur la photo en prenant la verge d’Alain dans la main.
- C’est vrai c’est un mec, dis-je, ça ne t’excite plus ?
- En fait non, au contraire , ça m’exciterait encore plus si je pouvais voir sa bite !
- Un mec en dessous féminins te plairais ? dis-je en caressant sa bite tendue.
- je crois que oui, tu as remarqué que j’aime regarder et toucher ta bite, que cette photo en bas et sandales aussi.
- Alors je crois que j’ai quelque chose pour toi.
Je me levai et ouvris mon armoire aux trésors. Je pris un porte-jarretelles blanc ainsi que le soutien-gorge assorti, puis une paire de bas fumés, et une paire de mules en velours noir à haut talons, bouts ouverts. Je les jetais sur le canapé.
- C’est mon secret mais j’adore m’habiller en fille, tu veux voir ?
- Un peu mon neveu !
Je vins m’asseoir sur le canapé, Alain touchait et reniflait mes dessous en se touchant. Je passais mon porte-jarretelles et enfilais mes bas de la façon la plus sensuelle possible. Je lissais mes bas sur mes jambes tendues, le contact du nylon sur mes pieds et mes jambes me rendait fou. Alain ne perdait pas une seconde de mon numéro et se masturbait ouvertement. Je me levais et chaussais mes mules fétiches, les talons mettaient en exergue ma cambrure et mes fesses. Debout, je me lorgnais dans le miroir en prenant des poses suggestives et en me branlant de deux doigts la bite.
- Je te plais comme ça ? dis-je en me tortillant.
- Tu es superbe, j’adore çà, tu es superbe, tu me fais bander. Y’a longtemps que tu fais ça ?
- En fait depuis que j’ai le labo photo, ou j’ai trouvé les vieilles fringues et chaussures de ma mère. J’adore porter des chaussures de femme depuis longtemps mais la j’ai découvert le nylon, les bas, les dessous. En fait je me travestis régulièrement et je me branle devant le miroir. Tu veux essayer ?
- J’en rêvais depuis longtemps sans avoir pu le faire, alors bien sûr, passes moi une tenue.
Je sortis une paire de bas couture, un porte-jarretelles noir , un petit caraco en dentelle noire. Je choisis une paire d’escarpins noir avec de petits talons. Je passais à Alain mes trouvailles et lui proposais de l’aider. En le ceinturant du porte-jarretelles, j’effleurais son sexe plusieurs fois. Puis je l’aidais à enfiler les bas en m’assurant que la couture était bien droite. J’adore toucher le nylon et je caressait les jambes et les pieds d’Alain et cela n’avait pas l’air de lui déplaire. Finalement je le chaussais avec les escarpins et le fis se lever. Il marchait correctement avec le talons et il se mirait dans la glace , il se masturbait doucement et comme moi avant, et prit des poses suggestives en se dandinant. Je m’approchai de lui et ensemble nous nous masturbions face au miroir Je pris l’initiative de saisir son sexe et de le branler, aussitôt il me rendit la pareille.
- On est mignonnes toutes deux, hein ? dit Alain en employant pour la première fois le féminin pour nous deux.
- Oui, c’est super excitant, tu sens ma bite , elle est prête a exploser – répondis-je.
- J’adore ces bas, mais aurais-tu une paire de sandales, comme le mec sur la photo ?
- Oui j’ai ça.
Je cherchais dans l’armoire et sortais une de mes paires favorites : des sandales vernies noire avec de fine lanières se fermant autour de la cheville. Je me mis à genoux et saisit un pied d’Alain, retirait doucement l’escarpin et lui enfilait la sandale, J’étais tellement excité que je ne pus m’empêcher d’embrasser puis lécher le pied d’Alain qui couinait de plaisir. Même topo pour le second pied. Alain se regarda dans la glace :
- Super sexy ces sandales, je les adore, je crois que je suis fétichiste !
- Comme moi !
Alain se retourna vers moi, toujours à genoux :
- Tu voudrais pas me sucer ? j’en meurs d’envie.
Je n’avais jamais fait ça, mais d’instinct je pris son sexe en main et commençait a le lécher, le bisouiller. Son gland était plus qu’humide dégageait une odeur forte mais délicieuse. Puis tout en le branlant d’une main je glissai son sexe entre mes lèvres et commençai à le pomper. Alain gémissait de plaisir et je voyais ses orteils se crisper dans ses sandales. Je gardais ensuite son sexe dans ma bouche et commençait à me branler.
Je réalisais à cet instant que j’avais une bite dans ma bouche et que j’aimais ça.
Alain se retira d’un coup :
- Arrête sinon je vais jouir, c’est trop bon. Tu suces bien ma chérie, c’est la première fois ?
- Oui, veux tu me montrer ?
Alain se mis à genoux et moi debout. Il saisit mon sexe et le branla contre ses lèvres, puis goba mon gland et je sentis sa langue s’enrouler autour. J’étais au septième ciel, sans prévenir je déchargeai dans sa bouche un flot de sperme dont je n’aurais jamais cru être capable. Alain en avala mais une bonne partie coula sur son menton, son caraco, et sa main. Toujours à genoux il se branla comme un fou sur ma mule et mon pied nylonné.
Essoufflés on reprit nos esprit sur le canapé. Alain me dit :
- Que c’était bon, j’adore me travestir, j’adore jouer avec ta bite, quel pied
- C’était super, tu es trop sexy comme ça. C’est ma première pipe mais surement pas la dernière. Que c’est bon de te sucer !
- Je peux continuer les essayages ?
- - Vas -y, fouille et fais toi plaisir.
Alain se focalisa sur les chaussures et en essaya un grand nombre. Assis, je le regardais faire et mon sexe recommençait à durcir, aussi je me touchais doucement. Alain s’en aperçu :
- Tu te branles déjà ?
- Oui car tu m’excites avec ton exhibition
- Je suis désolé d’avoir souillé tes mules , mais elles m’excitent tellement.
- Pas de PB, j’ai « souillé » déjà presque toutes ces chaussures et j’adore les porter pleine de sperme, surtout avec des bas. En ce moment mon pied est trempé de ton sperme et ça me rend fou.
- J’ai flashé sur tes mules moi aussi, je peux les lécher avec tes pieds dedans ?
- Oh oui, viens.
Je reste assis dans le canapé, Alain se met à genoux et saisi mon pied humide et lèche la pointe de mes orteils qui pointent de la mule. Un courant électrique me traverse et je me masturbe avec délice. Alain suce, embrasse mon pied, mes mules tout en se branlant aussi.
Nous nous asseyons face à face sur le canapé et chacun saisit un pied de l’autre d’une main et continuons à nous branler. Je déchausse mon pied libre et le pose sur son sexe, je le caresse avec mes bas. Je ne tarde pas à jouir sur son pied et ses sandales et Alain me suit immédiatement.
Episode 3
Cela fait plus d’un mois qu’Alain et moi nous nous travestissons ensemble et découvrons nos fantasmes et no sexualités. Masturbation et fellation dirigent no jeux pervers. Nous nous en lassons pas. Nous avons même fait de nombreuses photos, très coquines en dissimulant nos visages avec des masques, des loups de carnaval avec une voilette dissimulant le bas de nos visages.
Aujourd’hui je descends au labo pour effectuer le tirage de nos derniers clichés. Alain doit venir plus tard.
Lorsque que je tire des photos, j’ai pris l’habitude de le faire en fille et de porter une tenue adéquate.
Je me mets nu, enfile une paire de collants, couleur chair, qui me permet de tenir mon sexe (toujours bandé) droit contre mon ventre. J’enfile une fine robe de chambre de ma mère, en coton jaune citron, m’arrivant aux genoux et fermé par une ceinture du même tissus. Je ne mets pas de talons car c’est peu pratique pour le labo. J’ai retrouvé la source de mes premiers fantasmes : une paire de ballerines en tissus éponge que ma mère utilisait comme pantoufles, je les trouvais si sexy car elles étaient fortement décolletées et laissaient apparaître la base des orteils (summum du sexy à mes yeux) ; de plus le tissus était si souple qu’il moulait les jolis pieds de ma maman. Par chance j’ai retrouvé une boite contenant plusieurs paires de ces ballerines, toutes de couleurs différentes. Je n’avais jamais osé me masturber avec car je craignais que le tissus éponge n’en garde le souvenir. Aujourd’hui je peux me branler à loisir avec, et les chausser trempées de ma semence.
Je chaussais ces ballerines, les jaunes assorties au peignoir, et commençais les tirages. Ces derniers étaient vraiment coquins et c’était difficile de ne pas toucher mon sexe, dur comme du bois, qui perlait dans mon collant. Je pensais me changer en tenue plus sexy pour la venue d’Alain (bas, talons, nuisette,) mais je ne vis pas le temps passer. Je terminais le rinçage quant Alain frappa à l a porte. J’allais lui ouvrir, il m’accueilli en me roulant une pelle magistrale. Il recula et me regarda :
- Ouah quelle tenue, je ne t’ai jamais vu comme ça !
- Désolé mais je pensais me changer avant ton arrivée. Ca c’est ma tenue de labo, confortable, pratique mais féminin.
- Ne soit pas désolé ; j’adore. Tes ballerines sont super sexy, ton peignoir semble si doux à porter. Ph et puis tu as des collants !
J’ouvris mon peignoir et exhibais mon collant déformé par mon sexe bandé.
- Tu m’excites ma puce, ta bite couverte de nylon me plait beaucoup. Tu n’aurais pas de collants pour moi ?
- Bien sur, j’ai les mêmes. Tu veux t’habiller comme moi ?
- Oh oui
Je passai un collant à Alain, un peignoir en satin bleu, plus court que le mien ainsi que les mêmes ballerines mais en bleu.
Alain s’habille en vitesse, son sexe déformait déjà le collant et ça s’empira dès qu’il chaussa ses ballerines.
- J’adoooore, ce collant ces ballerines.
Il se rapprocha de moi ouvrit mon peignoir et commença à frotter sa bite contre la mienne à travers les deux couches de nylon.
Je trouvais ça très agréable et me prit au jeu. De temps en temps Alain caressait mon sexe à travers le nylon qui commençait à être trempé. Nous allons doucement vers le miroir. Alain passe derrières moi, je fais face au miroir, Alain me colle en plaçant ses ballerines contre les miennes puis remonte mon peignoir et frotte so sexe sur mes fesses. C’est super bon .
- J’aimerais me branler entre tes fesses- me dit Alain
- Ok essaye donc
Il baisse mon collant puis le sien et place son gland dans ma raie. Il fait monter et descendre son gland dans ma raie. Je ne me suis jamais encore intéressé à mon cul et je découvre des sensations nouvelles et agréables. Lorsque son sexe touche mon œillet je sens comme une décharge électrique, ainsi je me baisse pour mieux sentir son sexe contre ma rosette et mon plaisir commence à monter.
- Branles toi contre mon petit trou, ça m’excite beaucoup
- Avec plaisir
Alain se concentre sur mon petit trou et force un peu l’entrée, je sens son gland ainsi que ses doigts qui viennent cogner contre mes fesses.
- Tu as l’air d’aimer, c’est bon ? me demande Alain
- C’est super bon, tu veux essayer ?
- Je veux bien
Je passe derrière lui, baisse son collant et place immédiatement mon sexe contre son anus. Je pousse un peu et me masturbe assez fort. Je vois dans le miroir qu’il a fermé les yeux, se branle sec et je vois ses orteils se crisper dans ses ballerines.
- Tu aimes lui demandais-je
- C’est super bon, je me suis déjà doigté mais là c’est dix fois meilleur, pousse un peu STP.
Aussitôt je force un peu son anus et mon gland disparaît à moitié dans son anus. Je n’ose pas aller plus loin et me branle fort contre son petit trou. D’un coup je décharge dans son anus et Alain pousse un cri et décharge sur le miroir. Je retire et vois son trou rendre mon sperme qui coule par terre.
On va reprendre nos esprits sur le canapé.
- Tu as aimé – lui demandai-je
- Oh oui, c’était bon, j’ai mon petit trou tout excité et toi ?
- C’est la première fois mais je découvre quelque chose de nouveau et délicieux.
- Tu ne t’es jamais doigté ?
- Non je dois avouer que je n’y pensais même pas. Comment fais-tu ?
De nouveau face à face sur le canapé, Alain baisse son collant et se cambre pour mettre son anus en avant, puis il lèche abondamment son index et caresse sa rosette, tout autour. Je prends la même position et m’humecte le doigt et commence à caresser le pourtour , la sensation est super agréable et naturellement j’enfonce mon index et donne un mouvement de va et viens. Alain me proposa de me montrer. A quatre pattes il rampa jusqu’à moi, lécha mon sexe qui avait de nouveau durci et promena sa langue sur mes bourses, puis dessous et sa langue finit sur mon petit puits. Il me léchait le tour de l’anus et régulièrement pointait la langue au fond. J’était aux anges et me branlais doucement. Il glissa son doigt humide dans mon trou et imprima de lents va-et-vient, toujours de plus en plus profonds. Je sentais mon anus brulant se dilater, et il en profita pour y insérer deux doigts . J’étais maintenant chaud comme de la braise. Il se releva et, à genoux, il plaça sa bite maintenant dure contre mon œillet et commença à pousser. Je poussais un petit cri de douleur.
- Tu es trop serrée ma chérie, je crains de faire mal. Faudrait lubrifier mieux.
- J ‘ai de la crème nivéa , ma mère me l’a passée à cause des produits photos ;
Je vais chercher le tube et reprends aussitôt ma position obscène. Alain me passe de la crème sur le pourtour de mon puits puis sur son doigt et me lubrifie le passage. Je gémis de bonheur, Alain se masse le sexe avec une bonne dose de crème.
- C’est bon de se branler avec de la crème – dit-il
- Vas y, je t’en supplie, encules moi.
- Met toi à quatre pattes, ce sera plus facile
J’obéis et tend ma croupe. Alain reforce l’entrée de mon anus, je sens son gland qui pousse, c’est délicieux. Puis je me détend un maximum et pousse, son gland passe l’entrée, j’ai un peu mal, puis je le laisse enter plus profond. La douleur disparaît. Je réalise alors que je suis sodomisé, pénétré, enculé et ça redouble mon excitation.
Alain commence un doux va et vient dans mon cul. Puis je sens ses couilles frapper mes fesses, je crie de plaisir. Une onde éléctrique me parcours, il du toucher un point sensible. Je n’en peux plus et me branle d’une main. Alain ne me ménage plus et me ramone littéralement.
- C’est trop bon , je fais jouir bientôt – haletai-je,
- Moi aussi, ton cul est super bon, Je jouis !
Je sens le sperme chaud se déverser dans mon ventre et décharge aussitôt.
(A suivre)
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Voilà un apprentissage très bien raconté et très excitant.
Un vrai régal à lire et qui m’a bien fait fait bander
Même si j’ai fait de la photo au même âge, je n’ai pas eu la chance d’avoir un tel ami pour partager ces découvertes
Quel dommage
Un vrai régal à lire et qui m’a bien fait fait bander
Même si j’ai fait de la photo au même âge, je n’ai pas eu la chance d’avoir un tel ami pour partager ces découvertes
Quel dommage