La curiosité est un vilain défaut (P2) - histoire érotique

Après la soirée de la veille, le réveil fût difficile. Mon esprit était embrumé, j’avais du mal à replacer toutes les pièces du puzzle.
Tout m’est revenu lorsque je me suis rendu compte que je portais toujours le collier de chien, je l’ai retiré directement. Je m'aperçois aussi que je suis seul dans l’appartement, Maeva est déjà partie au travail.
Sur la table de la cuisine je trouve un mot de sa part

“Il faut que l’on parle d’hier soir quand je rentre, je t’aime fort mon amour”

J’étais à la fois terrifié de cette future conversation mais en même temps rassuré, c’était une sensation très étrange. Pour la première fois de ma vie, j’avais accepté de me soumettre hier soir, j’avais adoré ça, mais après plusieurs longues minutes de réflexion, la décision était prise, ça n’allait plus jamais arriver.
Le soir venu, nous avons la fameuse discussion, je vous passe tous les détails mais Maeva me dit qu’elle a adoré prendre les choses en main, qu’elle avait vu que j’avais adoré ça et qu’elle était désolé d’avoir dû m’y forcer avec ce collier mais que sans ça je n’aurais jamais passé le cap.
La finalité de cette discussion est simple, pour me rassurer, elle me laisse le choix, lors de nos ébats, si je mets de moi-même le collier alors j’accepte qu'elle prenne les choses en main, si je décide de ne pas le mettre ce sera comme avant.
A ce moment précis dans ma tête les choses sont claires, je ne mètrerai plus jamais ce collier, c’était décidé. Cependant vous imaginez bien que ça ne sera pas aussi simple et j'allais vite m’en rendre compte.

Pendant deux jours, il ne se passa rien entre nous, au troisième soir, n’en pouvant plus, je décide de jouer avec Maeva, cette dernière est plutôt réceptive à mes caresses, et je commence à lui bouffer la chatte. Plus mes coups de langue s’accélèrent et plus elle gémit, elle mouille de plus en plus, lorsque je relève la tête, comme par magie, le collier était là, poser sur la table de nuit.
Je la mets à genou devant moi comme une bonne soumise et lui colle ma queue dans la bouche. Elle me suce comme une déesse, j’ai dû mal à tenir tellement c’est bon, je décide de la pousser sur le lit et de la prendre.
Je me déchaine, comme pour me rassurer, les vas et viens sont de plus en plus rapide, elle hurle de plaisir à chaque coup, nous finissons par jouir ensemble. Je n’ai pas pu me retenir et j’ai jouis en elle.

Au moment de m'endormir, mille et une question étaient dans ma tête, j'étais frustré, pas rassasié, il manquait quelque chose ce soir pour que je sois totalement satisfait mais pour cela il fallait mettre ce foutu collier autour de mon cou, chose que je ne voulais plus.
Les soirs suivant de la semaine, rebelote, nous avons baiser mais je restais sur ma faim, toujours le même manque, je pense que Maeva s’en rendait compte et pour elle aussi, ce n’était pas pareil.

Le week-end arriva, en rentrant de soirée le samedi, fatigué je m’allongeais sur le lit. Maeva commença à me sucer. Elle savait y faire pour m’exciter, mais plus que tout je voulais qu’elle me bouffe le cul. J'essayais de la guider mais rien à faire, après plusieurs minutes, elle arrêta la fellation et me dit en me regardant droit dans les yeux

“Tu sais ce que tu dois faire pour ça”

Le déclic se fit instantanément dans ma tête, je pris le collier, qui était évidemment mit en évidence sur la table de nuit, et le mis autour de mon cou.
Maeva laissa échapper un petit rire et me dit

“Voilà, tu as pris la bonne décision mon chéri”

Elle lâcha complétement ma queue, pour s’occuper exclusivement de mon cul. Sa langue était divine, chaque coup m’ouvrait un peu plus et donnait plus de plaisir. Puis elle mit un doigt, puis deux, elle jouait avec moi, mon plaisir montait de plus en plus.
Puis elle enfonça le plug, il rentra sans difficulté, c’était tellement bon, je me sentais remplis. Chaque va et viens m’apportait cette sensation de plénitude suivi d’un vide énorme que j’avais besoin de combler. Plus elle accélérait, plus je gémissais, ce qu’elle me fit rapidement remarquer.

“Alors on gémit comme une petite chienne”

Cette phrase résonna dans ma tête, je compris à ce moment-là que le retour en arrière serait très difficile. Pour seule réponse, entre deux gémissements, je lui répondis

“Oui...”

Elle arrêta les vas et viens et retira le plug.

“On dit oui Maitresse quand on est un bon chien”

“Oui Maitresse”

Mais elle ne reprit pas son divin traitement, j’étais déjà en manque, je ne voulais pas qu’elle arrête. Elle vit que j’étais dans l’attente d’être remplis de nouveau, elle me demanda d’un ton autoritaire

“Qu’est-ce que tu attends comme ça ?”

“J’attends que tu reprennes”

“Qu’est-ce que j’ai dit ? Tu tutoies ta maitresse ? Montre-moi le respect que je mérite, dis-moi exactement ce que tu veux ou on arrête là, dernière chance !”

“Oui Maitresse, pardon maitresse, je ne recommencerais plus”

Mais il m’arrivait quoi, je ne me reconnaissais plus, tout ce que je voulais c’est qu’elle continue, j’étais en manque, j’aurais fait n’importe quoi et j’ai enchainé en disant

“Je veux que ma maitresse joue avec le plug”

Elle me hurla dessus

“Dis-moi ce que tu veux exactement !”

“Je veux que vous m’enculiez Maitresse !”

Elle éclata de rire

“En voilà un bon chien”

Elle reprit le traitement, elle me remit le plug dans le cul et continua les vas et viens. J’étais en extase, sur une autre planète tellement c’était bon. Elle continua des minutes qui me parure des secondes tellement c’était bon. Elle me ramonait, comme j’avais pu le faire auparavant, mais c’était un temps révolu, j’étais le chien de ma Maitresse lorsque je portais ce collier. J’avais le cul en feu et la queue prête à exploser.
Puis elle stoppa, s’assit sur le lit et m’ordonna

“Mets-toi à genou pour ta maitresse”

J’obéis instantanément

“Tu es un bon chien”

Elle me tendit un de ses pieds

“Nettoie les pieds de ta maitresse, chien”

Sans réfléchir, je me mis à lécher les pieds de ma maitresse avec gourmandise, il est vrai que j’avais toujours eu un faible pour ses pieds, elle le savait et comptait bien en profiter.
J'ai continué de lécher pendant plusieurs minutes ses magnifiques pieds, j’y prenais un plaisir énorme, elle finit par me demander d’arrêter et m’ordonna

“Maintenant mets-toi sur le lit à quatre pattes, chien”

Je m’exécutai, elle me demanda ensuite de bien relevé le cul en l’air puis elle m’encula de nouveau avec le plug. Je n’en pouvais plus, le plaisir était tellement intense que j’étais à bout.

“Je refuse de toucher la bite de mon chien, branle-toi pendant que je t’encule pour ta Maitresse”

“Oui Maitresse”

J’ai donc commencé à me branler pendant qu’elle m’enculait avec le plug. J’ai duré, je pense, même pas 30 secondes avant j’éjaculer sur le lit, ce qui a fait beaucoup rire ma maitresse.

“Je vois que mon chien est un éjaculateur précoce, il a besoin d’être mieux dressé”

Je me sentais humilité mais excité en même temps, j’avais qu’une envie servir au mieux ma Maitresse. A ce moment précis je ne savais pas comment la suite allait se passer. Maeva était devenue ma Maitresse et moi son chien jusqu’à la fin des temps, ou n’était ce qu’un jeu, j’eu rapidement la réponse. Maeva s’approcha, m’enleva le collier et me dit

“Mon amour, tu ne peux pas savoir à qu’elle point je t’aime”

J’ai compris à cet instant, qu’elle devenait ma sadique maitresse qu’au moment où je portais le collier, c’était un soulagement.
On n’a pas plus parlé que ça ce soir-là, certainement dû à la fatiguer, j’étais complétement vidé et elle aussi. Les jours et les semaines se passèrent, nos ébats étaient toujours quotidiens et surtout je mettais le collier à chaque fois et de plus en plus tôt.
A tel point, que j’étais totalement soumis à ma Maitresse, cette dernière étant de plus en plus autoritaire, elle a très vite remarqué que j’adorais ça. Jusqu’au jour où un matin Maeva avant de partir travailler m’ordonna

“Ce soir je veux que tu portes le collier quand je rentre, bisous chéri”

C’était la première fois depuis ma soumission à ma Maitresse, que Maeva m’ordonnait de mettre le collier, j’avais toujours été libre de le faire et c’est toujours moi qui ai décidé de le mettre. Pourtant le soir venu, lorsqu'elle passa la porte de chez nous, je portais le collier à mon cou, sa réaction fut immédiate, elle se mit à rire et dit

“Je vois que tu as mis ton collier, tu es un bon chien, ta Maitresse va bien s'occuper de toi ce soir, tu as attendu ça toute la journée, n’est-ce pas ? “

“Oui Maitresse, je vous ai attendu toute la journée”

“Mets-toi à quatre pattes”

J'obéis instantanément, elle s’approcha de moi et me caressa le dessus de la tête.

“Ce soir, on va travailler sur tes éjaculations précoces, tu ne voudrais pas que je me débarrasse de mon chien”

“Oui Maitresse”

Il est vrai que depuis qu’on avait commencé ce petit jeu, moi qui étais endurant à la base, je tenais peu de temps lorsqu’elle m’autorisait à la baiser. L’excitation du jeu étant j’avais du mal à tenir plus de 5 min.

Elle me fit avancer à quatre pattes jusqu’à la chambre et sortit de son sac un petit cadeau et me dit

“Vu que je suis une bonne Maitresse, je t’ai fait un cadeau pour t’aider chien”

Je pris le cadeau et l’ouvrit, dans cette petite boite il y avait une cage en métal, une cage de chasteté. Surpris j’ai regardé ma Maitresse ne sachant pas quoi faire.

“Il faut que tu mettes ton cadeau, tu ne vas pas refuser un cadeau de ta Maitresse quand même. C’est pour t'aider avec ton problème, tu ne tiens pas assez longtemps, tu bandes trop vite trop tôt, quand j’ai besoin que tu bandes, tu n’es plus performant, grâce à ce dispositif tu banderas quand je le voudrais et tu seras plus performant quand j’en aurais besoin, viens par-là”

Elle s’approcha de moi, me déshabilla et installa la cage. Je m’attendais à pire, j’étais à l’endroit mais ça allait. Elle me dit

“Tu es beau comme ça, en plus regarde, je vais garder la clé autour de mon cou, tout prêt de mon cœur, si ce n’est pas une preuve d’amour ça”

Et elle se mit à rigoler et m’ordonna d’aller préparer le diner. C’était la première fois qu’elle me donnait des ordres dans un autre cadre que le sexe, mais j’aimais ça, j’aimais le fait d’obéir à ma maitresse, d’être vulnérable face à elle. La situation m’excitait beaucoup, et pour la première fois, je n’avais pas d’érection, la cage remplissait sa mission.

Après le repas, toujours très excité par la situation, ma Maitresse décida de jouer plus intensément avec moi. Elle me mit sur le dos et commença à me lécher le cul, elle voulait tester la cage. J’étais plus excité que jamais, elle jouait avec mon cul comme une déesse, le plug avait été remplacé par un god plus imposant depuis quelques temps, après une période d’adaptation, il rentrait dans mon cul sans problème, j’avais l’impression d’être écartelé quand il rentrait entièrement.
Ma bite était totalement molle durant tout le traitement par ma Maitresse, quand soudain elle a éclaté de rire

“Bah alors le chien joui du cul maintenant”

Je regarde mon sexe et je vois une substance transparente perlée légèrement de ma queue.

“Tu n’es plus un chien maintenant t’es une chienne qui jouit du cul”

Ma maitresse rigolait tellement, l’humiliation était totale pour moi, ce n’était jamais arrivé auparavant, elle arrêta de m’enculer avec le god, se leva, elle allait prendre la clé pour me libérer mais elle se ravisa.

“Vu que tu es une chienne ce soir, je ne vais pas te libérer de ta cage, vient lécher ta maitresse”

Elle s’installa sur le bord du lit et je me mis à quatre pattes devant elle. Elle me tendit sa chatte.

“Vas-y ma grosse chienne lèche bien ta maitresse”

Je ne me fis pas prier, j’étais dans un état second et je lui ai dévoré la chatte pour me rattraper. Je savais que je l’avais déçu, il fallait que je me rattrape. Je variais mes coups de langue, tanto long, tanto court et encore d’autre fois profond. Elle mouillait beaucoup et gémissait de plus en plus, j’étais en extase de voir ma Maitresse jouir de la sorte.

Après 10 ou 15 minutes de ce traitement et après avoir enchainé les orgasmes, je ne sentais plus ma langue et ma Maitresse m’ordonna d’arrêter.

“Tu m’as énormément déçu tout à l’heure, je te mets la cage pour que tu te contrôles, pour mieux me satisfaire et toi tu jouis comme une femelle. Heureusement que tu contrôle encore ta langue chienne”

Je me suis poussé pour laisser passer ma Maitresse, en posant le pied par terre, elle hurla de surprise. Je n’ai pas compris ce qui se passait

“Pourquoi c’est tout mouillé par terre chienne”

J’ai donc regardé et vu une grosse flaque de sperme par terre, j’étais tellement excité quand je mangeais la chatte de ma Maitresse que sans m’en rendre compte j’ai éjaculé par terre de plaisir. Je ne savais pas quoi faire, elle était furieuse.

Elle s’installa sur le lit et dit

“Nettoie mon pied, c’est ta faute !”

Elle me tendit son pied dégoulinant, et sans aucune hésitation, j’ai commencé à lécher le sperme sur son pied. Je n’avais jamais gouter du sperme avant, c’était une première et j’y prenais du plaisir, je m’appliquais à bien nettoyer le pied de ma Maitresse, quand j’eu fini elle me dit toujours en rigolant

“Tu es vraiment fait pour être une chienne, je ne pensais pas que tu allais obéir si facilement et encore moins adorer ça, je suis agréablement surprise. Tu es une chienne salope accro au sperme maintenant, de mieux en mieux. Nettoie le sperme par terre maintenant !”

“Oui Maitresse, je suis votre chienne”

Je me mis à lécher le sperme par terre pour tout nettoyer. J’adorais ça, savoir que ma Maitresse était satisfaite de moi était incroyable. Tellement que pendant que je mangeais le sperme, je ne me suis pas rendu compte que ma Maitresse enlevait le collier, même sans, je continuais de manger. Elle me lança

“Tu te rends compte que tu n’as plus besoin de collier maintenant, tu l’acceptes, tu veux être ma chienne ?”

“Oui Maitresse”

Je pris conscience à ce moment-là que j’étais fait pour être un soumis aux ordres de sa Maitresse. Il n’y avait pas de retour en arrière possible pour moi et surtout je n’en avais pas envie. J’étais combler de bonheur, la queue en cage et je pouvais vivre pleinement ce que je voulais être sans honte.

La suite dans la prochaine partie