La curiosité est un vilain défaut

- Par l'auteur HDS Jjreap -
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Auteur homme.
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Récit libertin : La curiosité est un vilain défaut Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-06-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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La curiosité est un vilain défaut
Bonjour à tous, au moment où j’écris ce texte j’ai 35 ans et je m’appelle Maxence (Tous les noms ont été changés pour respecter l'anonymat de chacun).

Je suis un homme de 1m78 pour 70 kilos environ, j’ai un physique dans la moyenne, je suis brun avec les cheveux courts et depuis le lycée je n’ai jamais vraiment galéré avec les filles. J’ai toujours été très curieux dans ma vie.

Je suis en couple avec Maeva depuis 5 ans, je l’ai rencontré lorsque j’avais 30 ans, elle en avait 28 à ce moment-là. Maeva est une magnifique brune de 1m68 pour 40 kilos, un corp parfait, des courbes parfaites avec des fesses et des seins de déesse.
Lors de notre première rencontre, on est attiré immédiatement comme des aimants. On se met rapidement en couple. A cette époque je suis freelance dans l’informatique et je travaille essentiellement de chez moi. Maeva, quant à elle, termine son cursus de médecine.


Tout va pour le mieux dans notre couple, sexuellement nous sommes complètement en phase. Je suis depuis mes premiers ébats dominant, j’adore dominer mes partenaires.
Maeva quant à elle, est plutôt soumise, avant de me connaitre elle n’avait pas eu beaucoup d’expérience et de ce que j’ai compris, ses ex n'étaient pas de très bons coups. Elle est très demandeuse et nous prenons énormément de plaisir tous les deux.

Les deux premières années de notre relation se passent, tout est idyllique, nous sommes toujours très actifs sexuellement, nous baisons presque tous les jours, voir plusieurs fois par jours.


Un soir comme les autres pourtant il y eu un changement. J’avais passé la journée à fantasmer sur Maeva, après l’avoir chauffé par message, lorsqu’elle rentra je la fis mettre à genou et lui mis ma queue en bouche.
Il faut dire qu’elle suçait comme une déesse, ma queue était déjà d’une bonne taille, environ 17 cm mais le traitement qu’elle lui faisait avec sa langue la rendait toute gonflée, toute veineuse, j’allais exploser. Je lui fis stopper ce traitement et l’emmena dans la chambre, pour reprendre mes esprits je lui ordonnai de se déshabiller et commençai à lui manger la chatte. Cette petite chienne était déjà trempée, elle devait être excité après toutes cette journée d’attente. Je me suis régalé, elle tremblait et soupirait de plus en plus fort en tenant fermement la couette.
Elle releva la tête, me suppliant de la baiser. N’aimant pas obéir, j’ai continué de lui manger la chatte, puis je l’ai prise en missionnaire. Mes coups de reins étaient brutaux, presque Animals, elle criait comme une folle. Au bout de 5min de ce traitement, elle prit ma queue en bouche, commença à me lécher et gober les boules, c'était tellement bon. Nous étions trempés, entre la transpiration et la mouille, nous étions glissants, c’est à ce moment que sa main a glissée et qu’un de ses doigts s’est retrouvé une fraction de seconde sur mon anus. En un instant, une drôle de sensation me parcouru, comme une mini décharge électrique. Avant qu’elle ne s’en rende compte, je lui ai retiré sa main et l’ai baisé en levrette sauvagement.

Au moment de jouir, comme toujours, c'était un rituel pour lui montrer que je commandais, je la fis s’assoir devant moi avant de mettre ma queue dans sa bouche pour jouir, elle avala tout sans en perdre une goute.
Nous nous sommes écroulés dans le lit et n’avons pas parlé de l'incident. A vrai dire, je ne pense pas qu’elle se soit rendu compte de mon trouble sur le moment.


Les jours et les semaines passèrent, rien n’avait changé, je voyais juste qu’elle essayait de prendre plus d’initiatif, elle achetait des dessous sexy, me suçait sans que je l’oblige, ce qui n’était pas pour me déplaire finalement.
Mais dans ma tête, je repensais souvent à la sensation que j’avais eu ce soir-là. Un jour pendant un repas anodin, nous eurent une conversation sur le fait de pimenté d’avantage notre vie sexuelle. Nous avons décidé de prendre des accessoires, bandeau, menotte et des plugs, tout ça pour être utilisé exclusivement sur elle. Dès leurs réceptions ils furent utilisés pour son plus grand plaisir et le mien.
Le temps passa mais j’étais de plus en plus obsédé par la sensation de ce soir-là. Sans en parler à Maeva, un jour ou je suis seul à la maison, sous la douche, j’ai commencé à me toucher l’anus avec le doigt. Quelle sensation, j’ai instantanément frissonné, c’était incroyable, plus je touchais et plus mon anus s’ouvrait, c’était une sensation fabuleuse, pour parachever cette expérience, je suis allé chercher le plug.
Rentrer ce dernier dans mon cul était plus difficile que de me mettre un doigt. J’y suis allé petit à petit, le début était douloureux mais très rapidement la douleur se transforma en plaisir et ma queue avait triplé de volume. J’ai commencé à faire des vas et viens avec le plug tout en me masturbant, c’était divinement bon, j’ai éjaculé 3 fois sous la douche ce jour-là.

Malgré l'énorme plaisir que j’avais ressenti il était impossible que j’en parle à Maeva, je ne devais pas montrer le moindre signe de relâchement.


Les semaines passèrent et je n’avais pas recommencé ma petite expérience, j’en avais eu envie mais je m’en étais empêcher et nos ébats avec Maeva n’avait pas été impactés.
Un jour plus compliqué que les autres au boulot, mon client du moment est insupportable et je suis à bout J’en fais pars à Maeva, elle me dit qu’elle va bien s’occuper de moi pour me faire décompresser ce soir.
Le soir venue, elle rentre, elle m’installe sur le lit et me dit que ce soir, ce n’est que pour moi qu’elle va s’occuper de tout. Elle prend ma bite en bouche tout en malaxant mes boules. Ce traitement est divin, elle met énormément de salive, ça coule sur ma bite, mes boules et mon cul.
La fellation est sensationnelle, je suis dans un autre monde complétement détendu, elle décent sur mes boules et là, elle commence à me lécher l’anus, sur le moment je ne dis rien mais dans ma tête je hurle pour la faire arrêter mais c’est tellement bon, je ne le savais pas mais j’en avais toujours rêvé.
Elle me titillait l’anus avec son bout de langue tout en me branlant, c’était incroyable, ma queue était sur le point d’exploser, elle le sentit et m’engloutit d’un coup. Je finis par éjaculer dans sa bouche, elle avala tout jusqu’à la dernière goutte.

J’avais un sentiment partagé entre le plaisir et la honte de ce qui venait de se passer. Elle prit les choses en main en me demandant si j’avais aimé, je lui retorqua timidement que oui c’était sympa. Elle me répondit avec un sourire qu’elle recommencerait alors.

Après cette expérience, les jours passèrent, et un soir comme les autres pendant nos ébats, le plug étant dans la chatte de Maeva, je prenais un malin plaisir à le faire bouger pour la faire hurler, après un orgasme intense, cette dernière commença à me lécher l’anus. J’en étais à un point ou je n’avais plus honte.
Je sentais mon anus s’ouvrir de plus en plus sous ses coups de langue et les caresses de son index. J’étais dans un autre monde, c’était divin puis je sentis une pression, assez douce mais dont je n’ai pas l’habitude. Maeva avait retiré le plug dégoulinant de sa chatte et commençait à me l’enfoncer dans le cul, je devais réagir mais je n’en avais pas la force ni l’envie, je m’abandonnai totalement.
Au bout de quelques secondes, ce dernier était entièrement rentré et elle commençait à jouer avec, s’en me rendre compte j’étais en train de gémir de ce traitement, elle voyait que je prenais un pied d’enfer et accéléra le mouvement. J’étais en train de jouir du cul, je couinais comme une petite salope. Elle me branlait en même temps et quand j’étais sur le point de jouir, elle me goba entièrement et avala tout.

Nous n’avons pas parler de ce qui s’était passé mais elle avait compris que j’avais adoré ça. Sans grande protestation de ma part lors de nos ébats suivants, le plug finissait toujours dans mon cul. Il devait lui être réservé exclusivement et finalement il n’était dorénavant que pour moi.
Même quand je la baisais en missionnaire, elle arrivait toujours le faire bouger avec une main et me faire prendre un pied d’enfer. Il n’y avait qu'en levrette qu’elle ne pouvait pas y toucher, mais sans le savoir ce soir-là, c’était la dernière fois que j’allais pouvoir la prendre en levrette.

Tout bascula un lundi soir, après une rude journée, nous avons commencé par nous chauffer. J’étais entre ses cuisses en train de lui manger sa chatte, après son orgasme elle commença à me dévorer la queue, puis le cul. Le plug finit de nouveau en moi, elle me suçait et bougeait le plug en même temps. J’allais exploser, mais au lieu de me prendre en bouche, elle stoppa tout et sortie de dessous le lit un collier de chien.

Elle me dit, si tu veux que je continue, tu dois mettre le collier. Je suis abasourdit, je ne sais pas comment réagir mais je refuse catégoriquement.

Très bien, dans ce cas, j’arrête, moi j’ai déjà joui me dit-elle

Je me lève furieux, frustré et je vais dans la salle de bain, sur le chemin elle me dit, interdiction de te masturber sous la douche, sinon on ne fait plus rien pendant un mois.

Cette nuit-là, je dors sur la béquille, je suis très énervé mais en même temps très excité par la situation. Le lendemain soir, rebelote, elle me suce comme une reine, joue avec le plug, je me dis qu’elle est revenue à la raison mais au moment de jouir, de nouveau elle stoppe tout et me propose le collier, que je refuse encore une fois.
Il ne se passera plus rien cette semaine-là, avant le samedi. Le soir nous avions un repas d’affaire, nous étions en train de nous préparer, quand je vois Maeva sortir de la salle de bain.
Elle était sublime, un maquillage noire charbonneux, ses magnifiques cheveux noirs attachés en chignon, une robe en cuir à réveiller un mort avec des bas et des cuissardes noires. Elle n’avait qu’un objectif, me rendre fou, et ça marchait, 6 jours qu’on n'avait pas baisé, je n’en pouvais plus, j’étais à l'étroit dans mon pantalon.

Pendant la soirée, tous les hommes la dévoraient des yeux, je n’étais pas spécialement jaloux, elle n’allait pas me tromper, c’était plutôt flatteur que les hommes la désir. La soirée fut terriblement longue, j’ai beaucoup trop bu à cette soirée, j’étais très mur.
Vers 2h du matin nous prenons un uber pour rentrer chez nous, le chauffeur est hypnotisé par Maeva, lui aussi il voudrait bien la baiser.

En arrivant chez nous, je lui saute dessus, on s’embrasse. Je lui retrousse sa robe en cuir, lui déchire ses bas et commence à lui manger la chatte, elle gémit presque instantanément, elle est trempée.
On finit par se retrouver dans la chambre, elle me suce comme une déesse et m’ouvre le cul avec le plug et comme les autres jours de la semaine, elle prend le collier et me le tend.
Sois-tu le mets soit on arrête tout, à ce moment je suis tellement excité et l’alcool aidant, je prends le collier et je le mets autour de mon cou en lui disant que je le mettrais juste une fois.
Elle me regarde avec des yeux remplis de désir en souriant et j’ai ce soir-là, une des meilleures parties de baise de ma vie. Je la prends dans toutes les positions possibles ou le plug lui est accessible, dans absolument toutes les pièces de l’appartement. Nous sommes déchainés, pendant que ma bite coulisse en elle, elle fait bouger le plug. On n’est dans un autre monde, tellement, que je ne m’aperçois pas qu’elle me refuse la levrette.
Au moment de jouir, elle me branle énergiquement, je n’en peux plus et elle le sait très bien mais au lieu de me prendre en bouche elle me fait éjaculer par terre et on s’écroule tous les deux sur le lit.

Je suis ailleurs, je ne rends compte de rien, j’ai le plug toujours dans le cul, le collier autour du cou.

Maeva avec un grand sourire me caresse la tête comme un bon petit chien.

La suite ne pouvait qu’être différente mais ce sera dans un autre chapitre.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
intéressant et captivant



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