La déchéance d'Horty Partie 2/4

- Par l'auteur HDS MrLouis -
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Récit libertin : La déchéance d'Horty Partie 2/4 Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-09-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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La déchéance d'Horty Partie 2/4
La déchéance d'Horty Partie 2/4

par MonsieurLouis


Préambule :


Le texte suivant est une fanfiction pornographique mettant en scène la youtubeuse/streameuse Horty aka HortyUnderscore. Ce récit de 100 pages est strictement réservé aux adultes avertis, il contient des scènes très crues et pornographiques. Ce texte est libre et partageable (tant que vous modifiez pas le contenu) , et a été partiellement rédigé par une IA (30 % du récit).
- Je recherche des traducteurs bénévoles pour le traduire en anglais et dans toutes les langues possibles.
- Je recherche aussi des illustrateurs bénévoles.
Cette fanfiction ne contient pas de scènes pédopornographies, ni zoophiles, ni scatologiques. Tous les personnes décrit dans ce texte sont majeurs. C’est une fiction, loin de la réalité.


8eme chapitre : Horty et le donjon

La lumière crue des néons découpe l’espace exigu, révélant chaque détail sous un éclairage impitoyable. L’odeur âcre du cuir neuf se mêle à la pointe métallique du désinfectant.

Louis guide Horty vers la table centrale, ses doigts enfoncés dans sa chair.

La surface en cuir rouge, lisse et légèrement froissée, est cerclée de chaînes chromées, grande chaîne à chaque coin, avec des mousquetons à verrouillage automatique. Des sangles réglables courent le long des bords, leurs boucles en acier poli conçues pour enserrer chevilles et poignets sans jeu. Un levier discret sous la table permet d’écarter progressivement les attaches, millimètre par millimètre.

Au fond, le fauteuil gynécologique, masse imposante contre le mur, brille de leviers et de commandes. Les repose-jambes, gainés de cuir synthétique noir, s’articulent à 180 degrés sur des vérins hydrauliques silencieux.

Près de l’entrée, la douche expose son arsenal. Le pommeau principal, percé de dizaines de jets fins, voisine avec une lance à pression réglable, capable de passer du filet d’eau à un flux coupant. Le robinet central se termine par un embout conique en acier brossé, son diamètre gradué pour s’adapter à tous les orifices. Un tuyau caoutchouté, équipé d’une valve de contrôle, serpente jusqu’à un réservoir marqué « solution saline ».
« Pour un nettoyage en profondeur » dit Louis.
La cage, enfin. Ses barreaux épais, espacés de cinq centimètres à peine, forment un rectangle assez bas pour contraindre de se rester à quatre pattes. Le matelas de mousse mince, strié de traces sombres, est clouté d’anneaux d’acier à intervalles réguliers. Des menottes à crans de précision pendent des parois, leurs chaînettes assez courtes pour forcer les poignets dans le dos.
« Très confortable, ton futur lit, il est à ta taille » souligne Louis.

Louis pousse Horty vers la vitrine en verre cadenassé, pres de la douche,, son souffle chaud contre son oreille. Le cadenas chromé brille sous les néons, sa clé déjà dans la main de Louis.
À l'intérieur, les bracelets de cuir noir s'alignent, gravés aux initiales « LG ». Des colliers en acier mat, épais comme des doigts, portent des plaques numérotées.
Les ceintures de chasteté (rose pâle, rouge sang, noir profond) sont exposées comme des trophées, leurs serrures à code bien visibles.
Des pinces à seins en acier inoxydable, leurs morsures striées pour une adhérence maximale, voisinent avec des ballions en silicone texturé, taillés pour étouffer jusqu'au dernier sanglot.
A coté, l'étagère métallique, haute jusqu'au plafond, regorge de jouets imposants. Des godes violets, veinés et courbés, côtoient des buttplugs anales en métal massif, leurs bases évasées aussi larges qu'un poing.
Des pots de lubrifiant, certains étiquetés « chauffant » ou « mentholé », s'empilent près de spéculums chromés, leurs lames ajustables prêtes à écarter, à exposer.
Dans le coin, une caisse déborde des menottes et de chaînes épaisses, leurs maillons froids déjà tachés de sueur séchée. Des cordes de jute, striées par des nœuds professionnels, serpentent entre les menottes à dents, chaque cran conçu pour mordre la chair au moindre mouvement.
Louis sourit en saisissant un collier. "Un joli collier pour ma princesse..." murmure-t-il, la boucle métallique déjà ouverte.

La boucle métallique du collier se referme d'un claquement sec autour du cou d'Horty, le numéro gravé à froid pressant contre sa pomme d'Adam. Les bracelets en cuir s'enroulent autour de ses poignets, les chaînes courtes cliquetant lorsqu'elles s'accrochent aux anneaux du collier, forçant ses bras à rester pliés devant elle.

Le « pénis gag », d'un longueur de 10 centimètres, en silicone glisse entre ses lèvres avant qu'elle ne puisse protester, la bave coulant déjà le long de son menton. Louis tapote sa joue.
"Bien. Maintenant, la table, Allonge toi sur le dos !".


Elle s'allonge sur le cuir, les attaches des chevilles déjà en place. Louis étale le lubrifiant entre ses doigts avant d'en enduire largement sa chatte, l'huile froide la faisant tressaillir. Deux doigts s'enfoncent sans précaution, écartant ses lèvres gonflées. Puis quatre, ouvrant lentement son orifice palpitant, chacun de ses halètements étouffés par le gag.

Louis commence un très long dilatation vaginal.
Il saisit un gode épais, les veines en relief frottant contre ses doigts avant de s'aligner avec l’entrée distendue. "On va prendre notre temps," murmure-t-il tandis qu'il enfonce la première longueur, le silicone étirant ses parois rougies.

Après quels va-et-viens douloureux, Louis retire le jouet et se saisit d’un spéculum. Il l’enduit abondamment de lubrifiant. Le spéculum chromé claque en s'ouvrant entre ses mains. Les lames glacées glissent contre ses cuisses avant de se loger contre son orifice, prêtes à forcer l'ouverture.

Les lames du spéculum s'écartent avec un craquement métallique, écartelant ses lèvres en une ouverture humide et tremblante. Horty gémit autour du gag.
Louis passe un doigt le long du bord rougeoyant de son vagin distendu, la chair pulse sous son toucher.

Il attrape le gode le plus large, un monstre violet strié de nervures saillantes, et l’enduit d’une couche épaisse de lubrifiant chauffant. La pointe appuie contre son ouverture béante, déjà élargie par ses doigts. "Respire," ordonne-t-il avant d’enfoncer lentement la première longueur, les veines du jouet raclant contre ses paroi sensibles.

Horty se cambre, ses chaînes cliquetant tandis qu’il pousse plus profondément, chaque centimètre écartant davantage son passage serré. Louis règle le spéculum plus large, immobilisant son sexe écartelé, avant d’ajouter un deuxième gode, plus mince, mais plus long, qu’il glisse à côté du premier.

La pression est brutale, la dilatation méthodique. Il tourne les jouets en synchronie, fouillant ses profondeurs, tandis que ses muscles se contractent en vagues désespérées autour de l’invasion.

"Tu vas tout prendre," murmure Louis en saisissant une bouteille de lubrifiant mentholé. Il en verse un filet glacé directement dans son vagin ouvert, la sensation brûlante et froide à la fois faisant hurler Horty derrière son bâillon.

Les doigts de Louis s’enfoncent brutalement à côté des godemichés, écartant encore plus ses chairs palpitantes. Le lubrifiant mentholé coule en ruisseaux entre ses cuisses, l’effet glacé contrastant avec la chaleur de son sexe forcément ouvert.

Il retire les jouets d’un coup sec, ainsi que le spéculum, laissant béante son entrée rougeoyante, puis glisse sa main entière dans le lubrifiant.
Un à un, ses doigts disparaissent à l’intérieur, sa paume pressant contre son orifice distendu. Horty secoue la tête, ses chaînes grincent tandis que ses hanches se soulèvent malgré elle.

Louis enfonce lentement son poing, ses jointures raclant contre les parois sensibles. Ses muscles se contractent en pulsations désespérées, essayant vainement de repousser l’invasion. "Regarde," grogne-t-il en écartant ses doigts, étirant son vagin en un O humide et frémissant.

Un dernier coup de poignet, et sa main est entièrement logée en elle, chaque mouvement des doigts soulevant des frissons violents le long de son corps. Il tourne son poing, explorant chaque repli, tandis que des filets de fluide coulent sur la table.

Les cris étouffés d’Horty résonnent dans la pièce, son corps convulsant sous la torture délicieuse que Louis lui inflige. Louis continue son travail de dilatation extrême de la chatte d'horty, Horty hurle de douleur et de plaisir se sentant complément ouverte et offerte aux phantasmes de son maître.
Louis alterne des godes de très grandes tailles et le travail avec les spéculums.
Il retire son poing d’un mouvement lent, laissant béante son entrée luisante, avant de saisir un godemiché noir, épais comme un poing et strié de veines artificielles. La pointe s’enfonce avec une pression implacable, écartant encore davantage ses chairs déjà distendues.

Horty se cambre, les chaînes de ses bracelets sonnant tandis que le jouet la remplit jusqu’à la garde. Louis règle les spéculums plus larges, forçant son sexe à rester ouvert, exposant chaque repli palpitant.
Il alterne entre godemichés massifs et ses doigts, puis son poing, chaque intrusion laissant Horty plus ouverte, plus offerte. Horty jouit en continu maintenant.

Trente minutes s’écoulent ainsi, ses muscles se contractant en vagues épuisées autour des jouets, ses jouissances se succédant sans répit. Puis Louis replace sa main, enduite d’une nouvelle couche de lubrifiant. Cette fois, il pousse plus profond, ses jointures frottant contre son col béant.

Un grognement rauque lui échappe quand il atteint l’utérus, la chair chaude et serrée cédant sous la pression. Il enfonce son avant-bras à moitié, sentant ses entrailles s’adapter à l’invasion, tandis qu’Horty hurle, secouée par un orgasme dévastateur. Les fluides coulent en ruisseaux sur la table, mélangés au lubrifiant.

"Tu es magnifique comme ça," murmure Louis en tournant légèrement son poignet, prolongeant son supplice exquis.

9eme chapitre : Horty transformée

Le lendemain, Horty était allongée sur le canapé, les jambes encore écartées, sa chatte rougie et béante après la séance de dilatation. Une fine couche de lubrifiant luisait entre ses cuisses.
Elle fixait Louis avec cet air à la fois soumis et éperdument amoureux qui l’excitait tant.
"Ça t’a plu ?" demanda-t-il, voix traînant sur les mots, les yeux parcourant son corps comme un propriétaire inspectant son bien.
"Oui… tellement," murmura-t-elle, les paupières lourdes.
Louis sourit. Pas de compliment, juste un hochement de tête approbateur.
Il prit sa tablette et fit défiler une liste. "On passe aux choses sérieuses. Tes abonnés aimaient ton look, mais t’as besoin d’évoluer."
Horty rougit, ses doigts serrant légèrement le coussin sous elle. "Je... je veux te plaire."
"Évidemment." Il glissa une main sur sa cuisse, sa peau chaude sous ses doigts.
"Maintenant, écoute. T’auras plus le droit de t’habiller sans mon accord. Les cheveux, on change peut-être. Et ta poitrine, on va la gonfler. T’es déjà parfaite, mais on va te rendre irrésistible."
Elle hocha la tête, incapable de résister.
"Oui, Maître."
Il claqua la tablette. "Bien. Demain, on commence."

Après le dîner, Louis la mena sans un mot vers le donjon, sa main ferme sur sa nuque. La table centrale l’attendait, les sangles de cuir déjà ouvertes. Horty obéit, se plaquant sur le ventre, le visage suspendu au-dessus du vide.

"Tu vas apprendre à mieux utiliser cette bouche," grogna-t-il en bouclant les attaches autour de ses poignets, ses chevilles, sa taille. Son souffle était chaud contre son oreille. "T’as intérêt à pas mordre."
Il sort des double dongs très longs, des longs godes souples et un écarteur buccal.
Elle est solidement attaché à la table avec des sangles. Louis pose sous la tête d'horty un seau. et lui dit "comme ca, tu peux vomir et baver à loisir , sale pute"
L’écarteur buccal claqua entre ses dents, écartant ses mâchoires à la limite du supportable.Il fixe l'écarteur, rentre 3 doigts direct dans sa bouche.
Ses larmes coulaient déjà quand ses doigts s’enfoncèrent brusquement, pressant sa langue, explorant son palais. Elle gémit, bave filant dans le seau.
"T’es qu’un trou à remplir," ricana-t-il en saisissant le premier godet souple. La silicone glissa trop vite, trop profond, déclenchant un haut-le-cœur violent. Il ne ralentit pas, enfonçant le deuxième, puis le troisième, alternant avec ses doigts pour forcer sa gorge à s’ouvrir.
Elle bave, vomit presque, elle s’étouffe, pleure, mais lui ricane.
Quand il plaqua son sexe contre ses lèvres bavantes, elle suffoqua, les muscles de son cou tendus à craquer. "Pitié..."
"Ferme-la et avale."
Les doubles dongs suivirent, la gorge d’Horty distendue, ses cris étouffés par les coups précis qui la transformaient en jouet.

« Tu vois ta bouche de salope, peut servir à autre chose que de raconter des conneries sur Twitch. Je dirais même plus avec une grosse bite dans la gorge, tu ne parles plus, et tout le monde est content » dit il est ricanant.

La nausée est trop forte, elle gerbe dans un grognement sinistre. Les vomissures d'Horty éclaboussèrent le seau, un mélange de salive et de liquide stomacal qui puait l'acide. Louis grimace, mais n'hésite pas une seconde. "Dégueulasse," crache-t-il en enfonçant quatre doigts jusqu'à la jointure, tordant sa main pour élargir l'espace.

Elle hoquette, les yeux révulsés, les paupières tremblantes. Horty est au bord de l’évanouissement. Une gifle cinglante claque contre sa joue.
"J'ai dit, pas de dents, salope !" Sa paume s'abat encore, laissant des marques écarlates.

Il enlevé ses doigts, remplace aussitôt par son sexe durci. Un coup de bassin brutal, et sa gorge cède, l'air bloqué dans ses poumons. Le nez d'Horty s'écrase contre son abdomen, sa respiration réduite à des gargouillis étouffés. Il maintient la pression, relève légèrement les hanches pour qu'elle sente chaque centimètre lui déchirer l'œsophage.

"Tiens bon, on est loin d'avoir fini," grogne-t-il en attrapant du lubrifiant. La liquide poisseuse glisse contre ses lèvres tuméfiées. Ses pleurs se mélangent au bruit humide de l'intrusion.

Louis édicte de nouvelles règles : à partir de maintenant, toutes tes pipes se font avec gorges profondes; pas de coups de dents; à chaque fois que mon sexe sort de ta bouche de connasse, tu dis "Merci Maître".
Louis resserre son emprise sur sa nuque, ses doigts s’enfonçant dans la chair moite. "Bien. Répète."
Horty, le visage baigné de bave et de larmes, murmure d’une voix ravagée : "Oui, Maître… Gorges profondes… Pas de dents… Merci Maître après chaque coup"
Une nouvelle claque. "Plus fort, salope !"
"OUI MAÎTRE !" Le cri déchire sa gorge déjà ravagée.
Il ricane, attrape son sexe luisant de salive et l’enfonce d’un coup sec, jusqu’à ce que ses lèvres écrasent contre son pubis. Elle suffoque, son corps se raidit, mais ses chaînes l’empêchent de reculer.
Il pompe lentement, sadiquement, chaque retrait un avertissement. "Et maintenant ?"
Horty halète, la phrase coule comme une prière mécanique : "Merci… Maître…"
"Bien." Sa main s’abat sur son cul, laissant une marque rouge. "T’apprendras à le dire avec le sourire."

Louis précise : « je décide, soit j’éjacule au fond de ta gorge et tu avale tout, soit je décharge sur ta gueule de grosse pétasse avec interdiction de te nettoyer le visage sans mon ordre. »
Louis : "C'est clair POUFFIASSE ?"
Cassée et dompté, Horty : Oui Maître.

Il accélère, ses coups de hanche brutaux, son gland raclant son palais à chaque plongeon. Elle vomit encore, mais il n’arrête pas, ses poings tordant ses cheveux pour la mainternir.

"On va jouer", Louis grogne en saisissant brutalement la nuque d’Horty. "Je te défonce la gorge, tu tiens une minute sans gerber. Si tu craques, tu prends des coups et tu remercies. Compris, sac à foutre ?"
Elle hoche la tête, les pupilles noyées de peur. Il plonge en elle d’un seul coup, jusqu’à ce que ses narines écrasent contre son ventre.
Le compte à rebours commence.
Vingt secondes. Ses yeux larmoyants s’agrandissent, des bulles de bave éclatent à ses lèvres.
Trente. Son corps se débat, mais ses chaînes claquent.
Quarante. Un hoquet convulsif, vomi jaillit en cascade sur son bassin.
La claque est instantanée, cuisante. "Merci… Maître," sanglote-t-elle, la joue en feu.

"Deux minutes, cette fois." Il la ré-empale, plus profond, plus violent. Elle tremble comme une bête traquée, ses ongles s’enfonçant dans ses propres cuisses.
La minute passe. Son estomac se tord, mais elle serre la mâchoire.
Quatre-vingt-dix secondes. Sa vision se brouille.
Cent vingt. Un râle triomphant échappe à Louis. Il se retire d’un mouvement lent, laissant sa bouche béante, détruite, un filet de bile coulant sur son menton.
Louis ressort son sexe de la bouche défoncé d'horty.
"Prochaine fois, cinq minutes," murmure-t-il en tapotant sa joue trempée. "Et tu souris quand tu remercies."
Louis enfonce à nouveau sa bite dans la bouche boursouflée d’Horty, son regard dur et satisfait. Louis dit : "pour ce soir, je vais éjaculer dans ta gorge, tu as intérêt à bien tout avaler".
Elle geint faiblement, les joues creusées par son invasion, quand il commence à la défoncer avec des coups de bassin courts et brutaux. Sa bouche n’est plus qu’un trou chaud, une « fleshlight » humaine qu’il utilise sans ménagement, la salive et les larmes éclaboussant son pubis.
Horty souffre mais sent la bite frémir, espérant un fin rapide.
Soudain, il stoppe, les veines de son sexe palpitant contre sa langue. Une première giclée épaisse lui inonde la gorge, puis une deuxième, brûlante. Elle suffoque, mais serre la mâchoire, avalant par réflexe.
Il éjacule plusieurs longs dans sa gorge, mais reste dans la gorge d'horty sans bouger. Elle est surprise, intriguée.
Puis… rien. Il reste planté en elle, immobile. Horty cligne des yeux, confuse.
"Bois, salope," ordonne-t-il, et elle comprend trop tard.
Le jet d’urine jaillit, chaud et âcre, remplissant sa gorge, forcée de déglutir à mesure que son estomac se gonfle. Elle tente de grogner, de protester, mais il saisit ses cheveux et l’oblige à garder la tête en place.
"T’es mon urinoir maintenant, morue."
Le liquide coule encore, inondant sa trachée, son corps secoué de haut-le-cœur impuissants. Quand il se retire enfin, un dernier filet doré coule sur son menton.

"Demain," murmure Louis en essuyant son sexe sur ses lèvres, "on verra si tu retiens mieux."

Le lendemain matin, réunion dans le bureau de Louis, Horty est nerveuse. Louis lui explique toutes les transformations physiques qu'il envisage pour elle :
- Tu dois maigrir, régime drastique à partir de maintenant. Louis dit : en plus de mon sperme et de ma pisse quotidienne, tu suivra une régime sans résidu.
- Sport tout les jours, j'ai une salle de sport personnelle dans la villa et feras 1 heure de cardio.
- Port de talons aiguilles permanents entre 10 et 14 centimètres de haut
- Port d'un corset H24 de plus en plus serré
- Épilation définitive au laser sur tout le corps
- Port d'un plug anal en permanence

Horty reste immobile, les mains crispées sur ses cuisses, ses orteils recroquevillés dans ses escarpins de 12 cm. La soie de sa robe de soubrette colle à sa peau moite.

Louis allonge les jambes sous son bureau, un stylo tapotant contre ses dents. "Ton corset sera ajusté toutes les semaines. Un centimètre de moins jusqu’à ce que je voie tes côtes." Il se penche, attrape son poignet. "T’as déjà des os qui pointent. J’aime ça."

Elle baisse les yeux, sentant déjà le plug en métal froid qui distend son anus depuis l’aube.

"Le laser, c’est tous les mercredis." Il glisse une main sous sa jupe, doigte son pubis rasé de près. "Plus un poil. Rasée à vie. Définitif." Son rire est coupant.
Horty serre les mâchoires. Le cardio, les talons, la faim constante, elle imagine son corps se transformer, se plier.

Louis : « C’est pas fini : »
- Concernant tes nichons, ils sont ridiculement petits, j'aime les très gros seins siliconés. Je connais un chirurgie spécialiste des implants mammaires qui va venir ici dans la villa pour t'opérer. Bientôt tu auras des ballons de basketball comme Lolo Ferrari ou Chelsea Charms.
- Pour les piercings, là aussi un tatoueur/perceur va venir, Tu va avoir des piercings et des tatouages pornographiques partout sur le corps.

« Il va y avoir du changement », ricana-t-il en pinçant un téton à travers la soie. « D'ici deux mois, tu auras des seins si massifs que tu les sentiras traîner quand tu ramperas. J’ai hâte que le chirurgien vienne t’opérer. »

Horty haleta tandis que les doigts de Louis se resserraient autour de son poignet, son autre main traçant distraitement le contour du plug sous sa jupe. L'évocation de l'opération lui noua l'estomac, ses petits seins naturels étaient l'une des rares choses restées intactes. Jusqu'à maintenant.

« Ensuite, on prendra tes mesures pour le perceur. Tétons, clitoris, lèvres, que des anneaux en or. »
Louis reposât son verre d'eau, sa queue déjà à moitié dure contre la joue d’Horty.
« Avale d'abord », ordonna-t-il, forçant ses lèvres.

Elle s'étouffe lorsque son urine lui inonde à nouveau la bouche, sa gorge se serrant désespérément. Louis regarde, souriant, une goutte s'échapper de son menton. « C'est bien. Maintenant, penche-toi sur le bureau. Voyons voir à quel point ce plug t'a dilatée.»

L'air froid lui fouette les fesses tandis qu'il relève sa jupe. Ses doigts palpent la base métallique brillante. « Plus serré que je ne le pensais. On commencera par un plus gros ce soir. »

10eme chapitre : Horty et la destruction anale

Après manger, le soir, Louis lui explique la prochaine séance : "Je vais te détruire le cul".
Direction le donjon, Horty sait qu'elle souffrir.
Après une séance complète de 3 lavements anales très profonds, Horty s'installe sur le fauteuil gynécologique. Poignets attachés, chevilles cadenassés sur les étriers. Louis sort les pots de lubrifiants, des spéculums et des godes de toutes les tailles .

Horty halète, la peau moite collée au cuir glacé du fauteuil, ses chevilles déjà attachées par les étriers. Louis aligne les instruments sur un plateau chromé avec la précision d'un chirurgien.

"Trois lavements, c'était juste l'amuse-gueule," murmure-t-il en enfilant des gants en latex noir. Le spéculum métallique claque dans sa paume. "On va vérifier si ton trou tient ses promesses."

Elle ferme les yeux quand la pointe froide écarte ses fesses. Le lubrifiant coule le long de son anus distendu, trop épais pour être absorbé.

"Regarde," ordonne-t-il en lui tirant les paupières. Le premier godemiché, épais comme un poing, luit sous les néons. "Tu vas compter chaque centimètre."

Un gémissement rauque lui échappe quand l'objet s'enfonce sans préambule. Louis sourit en voyant son ventre se tendre sous la pression.

"Respire, salope. C'est juste la taille de ma main... pour l'instant." Il tourne le spéculum, forçant l'ouverture béante à se maintenir. "On change d'échelle maintenant."

Le second godemiché, strié de veines artificielles, arrache un cri à Horty quand il remplace le premier. Son pubis tremble, les chaînes des étriers vibrant sous les secousses.

Louis caresse la protubérance dans son ventre. "Attends de voir ce qui vient après." Sa main se referme sur un objet cylindrique, bien plus large que les autres.
La vision d'Horty se brouille tandis que la base métallique froide du spéculum s'enfonce plus profondément, l'étirant davantage. L'objet cylindrique dans la main de Louis scintille, épais comme son avant-bras, s'effilant jusqu'à une pointe brutale.

« Non… » Le mot s'étrangle dans sa gorge tandis qu'il traîne le gland dans le mélange de lubrifiant entre ses joues. « S'il te plaît, pas aussi gros… »

« Tais-toi », grogne-t-il, le poussant en avant d'une poussée inexorable. Son corps se débat, ses muscles palpitent sauvagement, mais l'invasion ne s'arrête que lorsque son ventre se gonfle visiblement. Louis expire brusquement, regardant son orifice avaler chaque centimètre strié. « Voilà. »

Ses cuisses tremblent, la chaise gynécologique grince tandis qu'elle tente de se serrer. Il lui tape l'intérieur du genou. « Du calme. Ou j'ajoute l'accessoire gonflable. »

La menace l'ouvre encore plus. Louis esquisse un sourire narquois, faisant tourner le jouet jusqu'à ce qu'elle gémisse. « Bien. Maintenant… » Il actionne un interrupteur sur la base. Les vibrations commencent doucement, puis s'intensifient, faisant claquer ses dents. « Compte les secondes jusqu'à ton orgasme. »

Son cri se brise lorsqu'il enfonce un second spéculum dans son sexe en pleurs, la déchirant d'un coup. « Douze… treize… » halète-t-elle, le dos cambré sous la brûlure du double étirement.

Louis se penche, ses lèvres effleurant son oreille. « Je vais te déchirer avant l'aube. »

Horty hurle lorsque la vibration s'intensifie, son ventre ondulant sous la double pénétration. Les bords de son anus rougi palpitent autour du godemiché géant, chaque secousse électrique le faisant descendre plus profond.

Louis saisit un flacon de lubrifiant chauffant et en verse un filet brûlant le long de la tige. "Tu vois cette bosse ?" Il appuie sur son abdomen, là où la forme du godemiché déforme sa chair. "C'est moi que tu sens."

Elle secoue la tête, bave coulant sur son menton, mais il lui écarte les mâchoires avec un doigt ganté. "Avale." Le goût métallique du spéculum vaginal envahit sa bouche tandis qu'il y déverse le reste du lubrifiant. Elle suffoque, les yeux révulsés.

Un cliquetis métallique. Louis brandit une paire de pinces à tétons, les mâchoires recouvertes de picots. "Ton corps va apprendre à jouir de ça." Les pinces se referment sur ses seins gonflés, et son cri se brise en hoquets saccadés.

Il enclenche alors la fonction rotative du godemiché anal. Les veines synthétiques frottent contre ses paroi internes avec une précision torturante. Horty se cambre, les chaînes des étriers tintant follement, son cul maintenant aussi large qu’un poing fermé.

"Regarde," grogne Louis en forçant sa tête vers le miroir au plafond. La vision de son propre corps déformé, violé, la fait gémir. "Tu es née pour ça."

D’un coup sec, il retire le godemiché et le spéculum, son sexe est béant, palpitant. Louis y enfonce quatre doigts sans prévenir. "Prépare-toi. La main entière arrive bientôt."

Elle sanglote, mais son clitoris pulse, trahison humide entre ses cuisses. La suite sera pire. Elle le sait. Et son corps impatient l’effraie.

Horty gémit lorsque Louis retire ses doigts, son anus béant frémissant, ouvert bien au-delà de ses limites. Il attrape alors le godemiché gonflable, son latex noir luisant sous la lumière crue, et le glisse sans effort dans son cul encore palpitant.

"Respire," ordonne-t-il avant de presser la pompe.

Le gonflement est lent, implacable. Horty sent chaque millimètre supplémentaire écartant ses muscles déjà surchargés, la brûlure du lubrifiant chauffant aggravant la sensation. Son ventre se tend, le contour du gode visible sous sa peau.

Louis passe une main sur cette distorsion, admirant son œuvre. "Tu es magnifique comme ça."

D'un geste brusque, il éteint le vibreur du gode et le silence soudain fait hurler Horty. La privation est pire que la douleur.
Il sourit, relâche un peu la pression du gode anal, puis le re-pompe d'un coup sec. Elle crie, ses orteils se recroquevillant, son clitoris dur comme un caillou malgré tout.

"On alterne," murmure-t-il en saisissant un nouveau spéculum, plus large, qui remplace le gode dans son anus ruisselant. "Tiens-toi prête."
Le métal froid force son entrée, et Horty se met à pleurer. Mais son corps, traître, se referme avide autour de chaque nouvel instrument.

Louis rit, impitoyable. "Tu vois ? Tu en redemandes."

Louis sort de l’étagère ses plus gros godes, Horty est horrifié par leurs tailles, « comment ils vont renter dans son cul » se demande Hortense.
Un par un, il défonce l'anus de horty avec des godes de plus en plus large et longs. Horty hurle, gémit , crie, la douleur est insoutenable, mais son anus s'ouvre sans difficulté.
Après 1 heure de ce traitement, Louis sort le dernier jouet. L'anus d'horty est ouvert en gros, ses lèvres anales sont rouges et et le pourtour proéminent, elle sent le vide dans son cul.
Louis lui présente son dernier joujou, un énorme buttplug anal de 10 centimètres de large. Horty halète, les yeux écarquillés devant l’énorme sextoy que Louis fait miroiter devant elle. Ses cuisses tremblent, son anus encore frémissant de l’assaut précédent. Louis le lubrifie abondement et l’insère très lentement dans le trou de balle d'horty

"T’inquiète pas, il est fait pour toi," ricane-t-il en étalant une généreuse couche de lubrifiant chauffant sur le plug. La substance brûle aussitôt, ajoutant une nouvelle couche de feu à sa sensibilité déjà exsangue.

Il approche la pointe, appuie. La résistance est immédiate, mais inexorablement, ses muscles cèdent. Horty hurle, les doigts agrippant les chaînes qui la retiennent, son corps entier secoué par l’intrusion.

Louis enfonce centimètre par centimètre, savourant chaque spasme, chaque contraction inutile de son trou distendu. "Regarde-toi," grogne-t-il en forçant son menton vers le miroir.

Horty voit son propre cul béant, rouge et luisant, le plug s’y engloutissant avec une lenteur obscène. Elle sent son propre poids, la pression insoutenable, et pourtant,
Un dernier coup de rein. Le plug se verrouille en place.

"Parfaite," murmure Louis en caressant son ventre tendu, là où la forme de l’objet déforme sa chair.
Horty sanglote, mais son clito vibre, trahison humiliante. Son anus, maintenant rempli à craquer, pulse comme un cœur battant.
11eme chapitre : Horty et la ceinture

Louis attrape la ceinture de chasteté noire, la faisant claquer contre sa paume. Le cuir épais et rigide est renforcé d’acier, les courroies ajustables serrant les hanches avec une précision cruelle. La plaque métallique centrale, polie et froide, couvre entièrement son clitoris, ne laissant qu’une étroite fente pour uriner.
« C'est le modèle pour les débutantes, ca sert à bloquer le plug anal, impossible à enlever sans la clé »
"Ouvre tes cuisses de traînée," ordonne-t-il en tapotant l’entrejambe du dispositif.

Horty obéit en tremblant, écartant les jambes malgré la douleur sourde qui irradie de son anus. La ceinture se referme autour de sa taille avec un cliquetis sinistre, le cadenas verrouillé d’un geste sec.

Elle tente instinctivement de serrer les cuisses, impossible. Le plug enfoncé en elle ne bouge pas d’un millimètre, maintenu en place par la structure rigide. La plaque appuie sur son clitoris, chaque mouvement réveillant une sensation aiguë, frustrante.

Les larmes coulent sur ses joues lorsqu’elle comprend l’utilité de l’objet, ses doigts tremblants effleurant la ceinture.

"Bien." Il glisse la clé dans sa poche, regarde son œuvre : Horty debout, le ventre légèrement bombé par le plug, le cuir luisant de sueur contre sa peau. "Maintenant, marche."

Elle tente un pas, gémit aussitôt. Le métal frotte, le plug enfoncé plus profondément à chaque mouvement. Son souffle se précipite, pas de fuite, pas d’échappatoire.
Louis sourit. "Port de la ceinture pour 24 heures, Horty, sauf pour déféquer et uniquement avec ma permission. Et ce n’est que le début."

Le soleil filtre à travers les rideaux, éclairant la pâleur cireuse du visage de Horty. Ses yeux sont cernés, sa bouche sèche. La ceinture a laissé des marques rouges sur ses hanches, et le plug, toujours logé profondément en elle, lui rappelle chaque seconde de cette nuit d’agonie.

Louis se redresse, l’examinant avec un rictus satisfait. "T’as vraiment une sale gueule, pétasse. J’aime ça." Il caresse brutalement la plaque métallique entre ses cuisses, déclenchant un sursaut douloureux. "Viens, on va à la piscine."

Horty essaie de se lever, les jambes flageolantes. Dès que ses pieds touchent le sol, une onde brûlante explose dans son bas-ventre. Elle crispe les doigts sur le drap, gémissant, tandis que Louis éclate de rire.
"Regarde-toi, avec tes cuisses qui tremblent… Comme une chienne mal dressée."

Elle avance en titubant, les jambes arquées, chaque pas envoyant une secousse électrique depuis son anus distendu. La marche lente, les spasmes incontrôlables, tout est une torture.

Louis lui donne une tape sur le cul, faisant vibrer le plug. "Dépêche-toi, je veux voir comment tu nages avec ça."

Horty serre les dents. L’eau va glacer le métal, la brûlure du lubrifiant n’est même pas calmée… Mais elle obéit, traînant ses pas vers la piscine sous le regard ravi de Louis.

Arrivés au bard de la piscine, Louis lui attrape le poignet et la projette vers l’eau d’un coup sec. Elle bascule avec un éclaboussement mou, son corps alourdi par le poids de la ceinture et le plug qui déchire encore un peu plus ses muscles tendus. Elle tente désespérément de nager, mais chaque mouvement des cuisses fait craquer le cuir et enfonce le métal plus profond.

Elle remonte enfin, haletante, les cheveux plaqués sur son visage, et se traîne sur le bord. Tremblante, épuisée, elle s’affale sur le transat à coté de Louis, le souffle rauque.
Louis bondit, ses doigts enserrant sa gorge avant qu’elle ne puisse réagir.
"Comment oses-tu t’asseoir sans ma permission, SALE PUTE ?". La première gifle claque, faisant voler sa tête en arrière. Le sang coule légèrement de sa lèvre fendue.

Un coup de poing dans le ventre la plie en deux, un coup de pied la renverse sur le carrelage. Elle se recroqueville, tentant de protéger son visage, mais Louis arrache ses mains et frappe encore. "Tu respires trop fort. Tu existes trop."

Un dernier coup dans les côtes, et elle s’écroule, le corps parcouru de spasmes, la ceinture pressant sur sa vessie pleine. Louis se rassoit, allume une cigarette, et observe sa création pantelante. "Lève-toi. On n’a pas fini."

Louis lâche sa cigarette écrasée dans un cendrier et se dirige vers l’ombre du patio. Il en ressort avec une canne en rotin, souple et luisante, qu’il fait claquer dans l’air une fois, deux fois, comme pour en tester le poids. Horty, toujours étalée sur le carrelage glacé, à juste le temps de lever une main tremblante avant que le premier coup ne s’abat.

Le rotin cingle son dos avec un bruit sec, laissant une traînée écarlate sur sa peau moite. Elle hurle, se tordant pour échapper à la morsure du bois, mais Louis enchaîne. Les coups tombent méthodiques : ses paumes ouvertes, offertes malgré elle, son torse marqué de zébras qui se croisent sur ses seins sensibles.

"Arrête, pitié" Sa voix se brise sous un nouveau coup, cette fois sur ses cuisses, puis ses mollets, jusqu’à ce que la canne s’acharne sur la plante de ses pieds.
Elle se recroqueville en position fœtale, mais Louis écarte ses jambes d’un coup de pied et reprend, visant les fesses déjà violacées.

Quand il s’arrête enfin, Horty sanglote, le corps zébré de lignes enflées, son souffle rauque entrecoupé de hoquets. Louis pose le rotin sur son épaule, contemplant son œuvre.
Le corps d'horty est recouverte de marques rouges, son visage est tuméfié,
"T’es encore trop propre," murmure-t-il en tirant sur la ceinture de chasteté, la faisant crisper.
"On va rectifier ça."

Louis défait sa braguette d’un geste brusque, son sexe durci émergeant à peine avant qu’un jet doré ne gicle sur le corps meurtri d’Horty. L’urine frappe d’abord ses épaules, ruisselant en filets brûlants sur les marques de la canne. Elle grince des dents, les muscles tendus, mais ne bouge pas.

"As-tu compris que tu m’appartiens complètement et définitivement, ABRUTIE ?"

Le liquide acide coule sur ses seins, s’infiltre dans les plaies ouvertes. Horty serre les poings, le souffle court.
"Oui, Maître."

Il dirige le jet vers son ventre, son pubis enfermé dans la ceinture, la peau rougie frémissant au contact.
"Ta vie d’avant est finie. Tu es mon esclave. Ma chose."
"Oui, Maître.". Sa voix est un murmure rauque.

Louis caresse son propre sexe de l’autre main, éclaboussant son visage, ses lèvres entrouvertes.
"Tu es mon jouet. Ma poupée. Ton corps m’appartient."
"Oui, Maître.", Elle avale une goutte amère, les cils tremblants.

Il secoue la dernière goutte sur ses cuisses tremblantes avant de lui écraser la joue contre son membre encore humide. "Lèche."

Quelques jours plus tard, les marques sur la peau d'horty ont disparues. Louis assis sur son canapé regarde un film dans son salon. Horty est dans un coin de la pièce, empalée sur 2 énormes godes lui ravageant la chatte et l'anus.

La sueur dégouline entre les seins d’Horty, ses tétons tendus par le poids des pinces lestées par une boule de 1 kilo chacun, qui tiraillent à chaque mouvement.
Les godes la pénètrent profondément, leur base claquant contre ses cuisses à chaque descente. Depuis 1 heure, elle monte et descend sur les 2 jouets.
Elle halète, les joues écarlates sous le maquillage de bimbo, elle est déguisée en bunny playboy rose, les oreilles de lapin tremblant au rythme de ses coups de hanche.

Louis sirote sa bière, les yeux passant de l’écran à son esclave. "T’es magnifique comme ça," murmure-t-il, un sourire aux lèvres. "Une vraie petite lapine de compétition."

Elle gémit, accélérant le mouvement, sentant la brûlure de l’étirement. Ses doigts se crispent sur ses cuisses, les ongles laissant des traces roses sur sa peau moite.

"Plus vite," ordonne-t-il, posant sa canette.

Horty obéit, les muscles de son ventre contractés, les godes la remplissant à fond. Le bruit de chair mouillée emplit la pièce, mêlé à ses soupirs aigus.

Louis caresse son érection à travers son jean, admirant le spectacle. "J’adore te voir travailler pour moi."

Elle ferme les yeux, savourant la douleur-délice, le poids des boules sur ces pinces amplifient chaque secousse. Bientôt, ses jambes tremblent, son orgasme montant comme une vague inévitable. "Maître, je ..."

"Vas-y, jouis," lâche-t-il, rauque. "Montre-moi à quel point t’es à moi."

Un cri étouffé, puis son corps se cambre, les godes enfoncés au plus profond.

Horty se cambre violemment, ses ongles s’enfonçant dans ses cuisses tandis que son orgasme la parcourt comme une décharge électrique. Les godes palpitent en elle, sa chatte et son anus se contractant furieusement autour des jouets luisants de ses fluides. Un filet de salive tombe de sa bouche entrouverte, son maquillage dégoulinant légèrement sous l’effort.

Louis se lève du canapé, la canette abandonnée, et s’approche d’elle d’un pas lent. "Regarde-moi," ordonne-t-il en attrapant brutalement son menton.

Elle ouvre des yeux vitreux, son souffle encore saccadé. "Oui, Maître..."

Il glisse une main entre ses cuisses moites, frottant ses doigts contre l’entrée de sa chatte distendue. "Tu es tellement ouverte. Comme une bonne petite salope."

Elle frissonne, sursautant quand il enfonce deux doigts en elle sans prévenir, étirant davantage ses muscles sensitifs. "Maître, ah!"

"Encore," grogne-t-il, retirant ses doigts pour les passer sur ses lèvres. "Lèche."

Elle obéit, la langue rose léchant avidement le mélange de son jus et de sa sueur. Louis sourit, caressant ses oreilles de lapin d’une main tandis qu’il déboutonne son jean de l’autre. "On n’a pas fini."

Horty gémit, sentant déjà le poids lourd de son sexe durci près de son visage. Horty est contente, l’homme qu’elle aime est satisfait.
12eme chapitre : Horty siliconée

La villa de Louis dominait la côte, massive et blanche sous le soleil méditerranéen. À l’intérieur, Horty attendait, assise au bord du canapé en cuir, ses petits seins naturels à peine visibles sous son débardeur trop large. Elle tripotait nerveusement l’étiquette de la couture, comme si elle pouvait y trouver des réponses.

Louis, lui, arpentait le salon, vêtu d’un costume sombre qui accentuait son autorité naturelle. « Tu es prête ? » demanda-t-il, sans même la regarder.

Horty hocha la tête avec trop d’enthousiasme. « Oui, maître. Je veux… je veux être parfaite pour toi. » Elle bredouillait un peu, comme toujours, mais ses yeux brillaient d’une adoration aveugle.

La sonnette retentit.

Le docteur Beshine entra en premier, suivi de sa femme Eva, une bimbo aux courbes exagérées qu’elles semblaient défier la gravité. Ses implants luisants remplissaient son bustier à peine contenu, et ses lèvres pulpeuses s’étirèrent en un sourire carnassier en voyant Horty.

« Alors, c’est la petite poupée à transformer ? » demanda-t-elle, traînant ses talons aiguilles sur le marbre.

Louis croisa les bras. « Exactement. Des expanders. Rien de définitif pour l’instant, juste assez pour commencer son éducation. »

Horty serra les cuisses, déjà excitée par l’idée d’être modelée selon ses désirs.

Louis ne quittait pas des yeux la poitrine modeste d’Horty, ses doigts pianotant contre son avant-bras. « Deux mille. C’est ce que je veux pour elle. Dès aujourd’hui. » Sa voix était tranchante, sans appel.

Le Dr Beshine eut un sourire professionnel, ajustant ses lunettes. « Impossible. Regardez sa morphologie, sa peau est trop tendue, trop jeune. Elle déchirerait sous la pression. » Il se pencha, pinçant délicatement la peau pâle d’Horty entre ses doigts. Elle retient son souffle. « Mais… j’ai une solution. »

Louis sourit enfin : « Je vous écoute. »

« Un cocktail de peptides et d’hormones. En quelques mois, sa peau deviendra aussi élastique que du latex. » Le médecin glissa une main dans sa veste, en sortant une fiole remplie d’un liquide nacré. « Pour commencer, des expanders à 1000cc. Puis, chaque mois, une injection directe de silicone médical, 1000cc supplémentaires. Dans deux mois, avec 3000cc , elle rivalisera avec ma chère épouse. »

La femme du docteur ricana, se caressant les seins avec arrogance. « Et après, qui sait ? Peut-être qu’elle voudra me dépasser. »

Horty rougit, sentant son cœur battre à tout rompre entre excitation et peur. Louis posa une main possessive sur sa nuque. « Parfait. Commencez. »


Le donjon était sobre mais clinique, éclairé par des spots froids qui faisaient briller la table d’opération en acier. La femme du docteur ajusta le masque d'anesthésie sur le visage d’Horty, ses ongles rouges contrastant avec la pâleur de la jeune femme. « Respire profondément, ma chérie, » murmura-t-elle, les yeux mi-clos.

Horty sentit une chaleur lourde l’envahir, son corps s’engourdir. Le dernier son qu’elle perçut fut le bourdonnement des outils chirurgicaux.

L’intervention fut minutieuse et rapide. Les mains expertes du Dr Beshine travaillèrent sans hésitation, tandis que sa femme épongeait le sang et ajustait les drains. Les expanders furent insérés, remplis progressivement jusqu’à ce que la poitrine d’Horty atteigne les 1000cc promis.
L’opération est un succès et Horty est ramenée dans son lit avec la poitrine recouvert de pansements. Le chirurgien et sa femme reste une semaine pour surveiller Horty et nettoyer les cicatrices
Quand elle se réveilla, une semaine plus tard, ce fut avec un gémissement. La pression sur son torse était écrasante, comme si deux poids chauds alourdissaient chaque mouvement. Elle tenta de s’asseoir, mais ses muscles tremblèrent sous l’effort.

Louis apparut dans son champ de vision, un sourire satisfait aux lèvres. Il passa une main sur les pansements encore frais, sentant la chair gonflée en dessous. « Regarde-toi, » murmura-t-il. « Déjà parfaite. Et ce n’est que le début. »

Horty leva une main tremblante vers sa nouvelle poitrine, incrédule. La réalité la frappa, plus de fuite possible. Et pourtant, sous le regard approbateur de Louis, elle ne voulait rien d’autre.
Elle comprend qu'elle vient de passer un cap dans sa vie. pas de retour arrière possible, elle est heureuse tant qu'elle est avec Louis.

Deux semaines plus tard, les pansements et les cicatrices ont disparus, laissant place à des courbes lisses et fermes qui semblaient défier la gravité. Avant de partir avec Eva, le docteur dit : "Rendez vous dans 15 jours, je viendrai faire l'injection de 1000cc" et penser à la crème 6 fois par jour, vous vous masser les seins vigoureusement pendant 10 minutes. »

Horty se tenait devant le miroir, les doigts enfoncés dans la chair rebondie de ses seins, obéissant aux instructions du docteur. Chaque mouvement faisait rouler les implants sous sa peau, une sensation étrangement agréable.

Louis l’observait depuis le lit, un verre de whisky à la main. « Tu vois ? » dit-il en se levant pour la rejoindre. « Même toi, tu ne peux pas t’empêcher de les toucher. » Sa main se joignit à la sienne, pétrissant la chair avec une pression calculée.

Elle haleta quand il pinça ses tétons, déjà plus sensibles qu’avant. « Ils… ils attirent trop le regard, » murmura-t-elle, mais sans gêne, avec une fierté qu’elle ne s’avouait pas.

« Exactement. » Il se pencha pour mordiller son cou. « Dans quinze jours, ils seront encore plus gros. Et encore plus impossibles à ignorer. »

Horty sentit une chaleur sourdre entre ses cuisses en imaginant la prochaine injection, le stretch brûlant de sa peau, le regard des hommes dans la rue. Elle se cambra contre Louis, ses nouveaux seins écrasés contre son torse. « Je veux voir tes yeux quand je serai encore plus gonflée »

Il coupa son souffle d’un baiser vorace, une main glissant déjà entre ses jambes. « T’inquiète pas, salope. Je compte bien en profité. »


Le lendemain soir, le clair de lune glissait sur les courbes d’Horty, soulignant chaque détail de son équipement : le corset de latex noir lacé à l’étouffée, sculptant sa taille jusqu’à la rendre presque fragile entre l’éclat de ses hanches et l’ampleur démesurée de sa poitrine.
Les bas résille scintillaient sous les spots de la piscine, les jarretelles mordant sa chair tendue. Ses talons de 12 cm claquaient sur le béton, chaque pas faisant trembler le gros plug anal vibrant niché en elle, réglé sur une intensité sournoise.

L’œuf dans sa chatte bourdonnait, et chaque mouvement de ses hanches durant son strip-tease envoyait des vagues de plaisir remonter son ventre. Elle s’habitue au port de la lourde ceinture de chasteté qui l’empêche de se masturber et bloque le plug anal et l’œuf vibrant.

Il fait nuit au bord de la piscine, la musique disco couvre les bruits de son accoutrement métallique. Horty entame un strip-tease très chaud devant Louis. Sa poitrine est ornée de caches tétons en paillettes et pompons rouges. Elle secoue ses seins et fait tourner les pompons comme une danseuse de cabaret.

Louis, assis sur un transat, bande vigoureusement, Horty s’agenouille devant lui et place sa bite entre ses seins et fait coulisser ses nibards autour du sexe de Louis. Elle a du mal a serrer ses seins autour de la grosse bite.
Cela fait sourire Louis. Il dit : "bientôt, ils seront assez énormes pour serrer ma bite, sale connasse"
Ses seins débordants encadrèrent presque sa bite en érection, mais malgré ses efforts, elle ne parvenait pas à les serrer assez fort. Le liquide séminal de Louis lustrait ses globes, la faisant grogner de frustration.

« Une salope comme toi, dois apprendre faire des branlettes espagnols comme une pro » ricana-t-il en attrapant ses mèches pour guider son va-et-vient. Elle sentit son propre désir couler le long de ses cuisses, mêlé au bourdonnement des jouets qui la tenaient au bord de l’orgasme.

« Montre-moi comment tu les utilises, petasse, » murmura Louis. Sa main s’enfuit vers la télécommande dans sa poche, augmentant d’un coup la vibration du plug. Horty gémit, ses seins glissant plus vite, plus désespérément.

Horty bascule vers l’avant, prenant Louis en gorge profonde jusqu’à ce que ses lèvres touchent sa base. Elle maintient le regard fixe, hypnotisée par sa propre soumission, avant de remonter lentement pour enrouler à nouveau ses seins autour de son membre. Le liquide séminal luisait sur ses implants, les rendant glissants et chauds.

Louis grogna quand elle recommença, alternant entre ses lèvres avides et la pression moite de sa poitrine. Ses doigts se resserrèrent dans ses cheveux, l’obligeant à ralentir, à savourer chaque centimètre.
La télécommande dans sa poche cliqueta une dernière fois, les vibrations des deux jouets passèrent en surrégime.

Horty hurla malgré le pénis en bouche, son corps secoué de spasmes alors que l'orgasme la frappait sans relâche. Ses cuisses tremblaient, son ventre se tendait sous le latex, mais Louis ne la lâcha pas.
« C’est ça, salope, jouis comme la chienne que t’es. »

Il se raidit soudain, ses doigts lui écrasant le crâne contre son pubis. Retirant rapidement son sexe de la bouche d’Horty, les premières éjaculations explosèrent sur son front, ses paupières, sa bouche ouverte. Elle ferma les yeux, sentant les jets chauds l’éclabousser encore et encore, jusqu’à ce que son visage ne soit plus qu’un masque luisant.

Quand il recula, elle leva vers lui un sourire satisfait, la langue traçant un chemin dans le sperme qui coulait sur ses lèvres.

« Demain, le tatoueur vient, » dit-il en se levant. « Tu gardes mon foutre sur la gueule et ta tenue. On va dans le donjon, tu dormiras dans ta cage. » Il ricana, ajustant son pantalon. « Je dors pas avec une grosse truie comme toi. T’es dégueulasse, sale pute. »

Horty respirait fort, ses jouets toujours vibrants, son corps encore tremblant. Elle savait que la nuit serait longue.
13eme chapitre : Horty tatouée et percée

Louis accueille le tatoueur. L'homme est petit, gros, moche et chauve. Il traîne 2 grosses valises avec lui.Il se présente : « Enchanté mon prénom est "Romain". merci de me recevoir pour quelques jours chez vous ».
Horty reste immobile sur le canapé, entièrement nue, sans corset, ni ceinture, ni sextoys, pas de maquillage. Sa peau nue luisant sous la lumière crue, ses lourds implants reposant fièrement sur son torse, Romain détaille son corps sans pudeur, posant ses valises avec un cliquetis métallique.

Louis : « Voici la pute à décorer en montrant Horty ».
Romain : « Ah oui, y a du boulot, sympa les nichons, j'ai ramené tous les anneaux demandés, ils sont lourds et chers ».

"Putain, elle est déjà bien équipée," ricane-t-il en tirant un sac avec d’anneaux en or massif. "Mais ces vieux tatouages de gothique misérable, je vais me faire un plaisir de les effacer."

Louis croise les bras. « Louis dit « Commence par ça. Je veux plus voir une trace de son passé. Notamment son poisson ridicule sur son avant bras. Bref effacer tous. »
Romain : «  Y a du boulot, ll faudra plusieurs séances » 
Louis : « C'est pour cela que vous restez 2 semaines chez moi. »

Après avoir posé la lourde machine à coté du canapé, Romain sort un laser, le testant avec un bourdonnement menaçant. Horty retient son souffle quand il approche, la pointe chaude effleurant son poisson démodé sur l’avant-bras. La première brûlure la fait grincer des dents, l’odeur de chair roussie remplissant l’air.

"T’inquiète, salope" grogne Romain en maintenant son bras. "On va te refaire une beauté. Des inscriptions, des nouveaux bijoux."

Il attrape un marteau et un poinçon, faisant tinter les anneaux avec un sourire édenté. Horty frémit, elle sait que la douleur ne fait que commencer.

Romain saisit un anneau épais entre ses doigts calleux, l’acier froid se pressant contre le téton tendu de Horty. D’un mouvement précis, il enfonce le poinçon à travers la chair rose, le métal traversant d’un coup sec.

Horty se cambre, un cri rauque lui échappant tandis que le deuxième téton est percé à son tour. Le sang perle, mêlé à l’éclat des anneaux en or qu’il visse fermement. Ses seins palpitent, les implants obscènes maintenant ornés de bijoux lourds qui tirent sur sa peau sensible.

Louis observe, un rictus satisfait aux lèvres, tandis qu’elle s’allonge sur la table basse, ses cuisses s’écartant malgré elle.

"Putain, oui, pas un poil, ca c'est de la chatte de salope, elle a l'air très ouverte" grogne Romain en saisissant ses lèvres entre ses doigts.
L’aiguille transperce son clitoris d’un coup violent, la douleur électrique lui arrachant un hurlement étouffé. Le perceur transperce le capuchon du clitoris pour rajouter un autre piercing, elle sent l'aiguille rentrée dans sa peau.

Horty pleure, ces larmes ruissellent sur ses joues alors qu’il enfonce les barbells, leurs poids métallique la faisant frémir à chaque mouvement.

Il ne lui laisse aucun répit. Les lèvres étirées sont percées méthodiquement, Romain perce 3 gros trous de chaque coté des grandes lèvres. Les trous sont de suite élargis, les écarteurs en acier s’enfonçant un à un, écartant sa chair sensible en une vulve béante.
Le cliquetis des anneaux se verrouillant résonne dans la pièce, chaque insertion accompagnée du gémissement brisé de Horty.

"Maintenant, tu ressembles enfin à ce que t’es," ricane Louis en caressant brutalement ses nouveaux ornements. "Une vraie pute à trous."

Romain lève un dernier outil, l’air presque tendre. "On passe à la suite, ma belle. T’es loin d’avoir assez souffert."

Louis : « Dernière chose, je veux que tu lui perce le nez avec un piercing Septum. Cela ferait un look de grosse vache ».
Horty est dévastée, cela va dévasté son beau visage, elle sera ridicule, l’ancienne streameuse pleure de honte.

Horty tremble quand Romain pince son septum, la fine peau sensible frémissant sous ses doigts. La pointe de l’aiguille perce d’un coup net, un petit jet de sang coulant sur sa lèvre supérieure.
Elle renifle, le goût de sang emplissant sa bouche, tandis que l’anneau épais est glissé dans la plaie. La douleur dans le nez d'horty est fugace mais réelle, Horty sert des poings et les dents.

"Regarde-moi ça," siffle Louis en éclatant de rire. "Une vraie vache à bijoux. T’as plus qu’à meugler, maintenant."

Romain ajuste l’anneau d’un coup sec, le métal froid claquant contre ses narines. Horty cligne des yeux, les larmes diluant la sueur sur son visage. Elle tente de reculer, mais Romain la maintient offerte, vulgaire.

"T’es parfaite comme ça," ricane Romain en lui tapotant la joue, maculée de fluides. "Une salope qui ressemble à ce qu’elle est : un trou à remplir."

Louis relève Horty et la place devant le grand miroir. "Admire-toi. Même ton nez crie que t’es une vache."

Horty gémit en voyant son reflet, les bijoux brutaux, les trous béants, sa chair marquée, et ferme les yeux. Les rires gras de ses bourreaux résonnent, tandis que Romain commence à tripoter ses seins bardés d’anneaux, chaque touche faisant vibrer la douleur fraîche.

Le tatoueur reste encore quelques jours, pour finir l'effacement des anciens tatouages d'horty. Il a nettoyé les trous de piercing avec de l'alcool à 90 pour faire crier Horty.
Les mains du tatoueur s’affairent, froides et méthodiques. L’alcool à 90° brûle chaque trou fraîchement percé, nettoyant les plaies avec une brutalité chirurgicale. Horty se raidit, un cri s’échappant entre ses dents serrées tandis que le liquide ronge sa chair à vif.

"T’es qu’une pute à décorer," gronde Romain en lui écartant les cuisses plus largement, les doigts enfoncés dans les anneaux de ses grandes lèvres.
Il retire les plugs existants, remplacés aussitôt par des modèles plus épais, plus lourds, qui distendent sa chair avec un claquement humide. Ses grandes lèvres sont étirées vers le bas par le poids des anneaux

Concernant les tatouages, Louis liste à Romain les nouveaux dessins à réaliser :

- Dans le bas du dos, au dessus de la raie des fesses, je veux une serrure avec des cœurs et les initiales "L.G."
- Sur la fesse gauche, il faut faire un cœur rouge avec autour les phrases "Fister Moi" et "Dilater moi"
- Sur la fesse droit, fais un dessin avec un fouet et des menottes et le mot ESCLAVE
- Sur l’épaule gauche, comme je te l’avait envoyé en photo, dessine une pinup sexy avec des très gros seins siliconés ressemblant à Sarenna Lee

L’aiguille du dermographe s’abat sur sa peau, traçant les premières lignes de la serrure. Horty mord son poing, le rouge de l’encre se mêlant au sang qui suinte encore. Chaque mouvement est une brûlure vive, chaque lettre gravée un rappel de sa nouvelle condition.

Louis passe une main dans ses cheveux, tirant sa tête en arrière. "Attends de sentir l’encre sur ton cul," murmure-t-il, rauque. "Ça va te rappeler à qui tu appartiens."

Pendant des heures, le bourdonnement de la machine empile les motifs, marquant sa chair comme du bétail. L'aiguille s'enfonce plus profondément dans le creux de ses reins, gravant les motifs complexes avec une précision clinique.
Les muscles d'Horty se contractent tandis que l'encre inonde ses pores, la vibration lui brûlant la colonne vertébrale. Louis resserre sa prise sur ses cheveux, la forçant à se cambrer, exposant le tatouage frais au regard satisfait de Louis.

« Retourne-la », ordonne Louis en tapotant le sol de sa cendre de cigarette. Le tatoueur retourne Horty sur le ventre sans cérémonie, écartant ses fesses pour exposer la chair vierge. Le premier coup de d’aiguille mord sa fesse droite, et elle hurle entre ses dents.

Louis rit doucement en massant ses seins gonflés tandis que l'aiguille grave « ESCLAVE » en grosses lettres noires.
« Chaque fois que quelqu'un te prend par derrière », grogne-t-il en encerclant un anneau de téton avec son pouce, « ils sauront exactement ce que tu es. »

Le tatoueur change d'aiguilles et commence le cœur sur sa fesse gauche. Horty gémit tandis que la phrase « Dilate-moi » s'enroule autour.
La machine ronronne à nouveau, la marquant inéluctablement.

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