La Démoniaque Sarah 13
Récit érotique écrit par TITI ET GROS MINET [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-08-2013 dans la catégorie A dormir debout
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La Démoniaque Sarah 13
On s’est séparé, elle est repartie en chasse et moi je me suis laissé guider par ma queue. Elle m’a amené vers un grand magasin. Je me suis promené dans les rayons a la recherche d’une victime j’en repère une, une grande blonde en minijupe. Je l’ai raccompagnée jusqu’à sa voiture, je la trouvais agréable, je l’ai prise contre la portière de sa voiture rapidement elle a jouis et je l’ai rempli de mon plaisir puis, je suis remonté dans le magasin.
Ce jour là la caissière était une grande brune plutôt mature, sensiblement mon âge et à peu près ma taille. Elle passa les bouquins sans rien dire et, lorsque je lui présentai ma carte, elle précisa simplement :
- Il faut la glisser dans le boîtier et composer votre code.
Simple mais efficace : un bon point pour elle…
Mais, alors que je la dévisageais en attendant que la machine veuille bien prendre en compte mon paiement, elle ajouta un clin d’œil coquin des plus évocateurs, suivi d’un léger sourire complice.
Fichtre ! Elle plutôt jolie femme et elle est tombé sous mon charme. Encore une.
- Je sors dans une demi-heure aujourd’hui, ça vous dirait de m’attendre à la sortie
Si ce n’était pas une invitation ça !
Je me suis mis à bander presque aussi sec en la regardant.
- Votre reçu… monsieur, votre reçu… votre reçu… votre reçu monsieur.
Elle a dû dire ça plusieurs fois mais j’étais dans un autre monde. J’ai saisi le ticket sans rien ajouter, la cliente suivante nous écoutait, une pointe de curiosité sarcastique au coin des lèvres.
Je me suis arrêté au bout de la galerie marchande. Allait-elle passer par là ? Une fois dehors, je me suis assis sur un banc et j’ai attendu bien sagement.
Une bonne heure plus tard, mais j’étais dans mes pensées et un peu hors du temps, une femme s’est penchée vers moi :
- Excusez-moi mais ça a été un peu plus long que prévu.
- Oh, ce n’est pas grave, pas grave du tout.
- Je m’appelle Sabine, et vous ?
- Pierre.
- Et bien Pierre, on va chez vous ou chez moi ?
- Pardon ?
- Écoutez, je vous plais et vous me plaisez, alors pas de chichis entre nous. Vous avez envie de baiser et j’ai moi aussi très envie de baiser, ne perdons pas de temps… Allons chez moi, ce n’est pas très loin.
- Mais vous faites ça avec tous les clients qui achètent des livres pornos ? ai-je demandé bêtement, en la suivant sur le parking.
Elle éclata d’un rire franc et massif :
- Oh non, rassurez-vous, vous êtes l’un des premiers… Hi, hi… Et, en plus, vous, vous n’êtes pas un inconnu. Vous venez souvent au magasin, je vous ai vu plusieurs fois, et j’ai repéré votre petit manège. Je sais que vous venez ici pour aborder des femmes. Et comme vous me plaisez, je me suis dit « Tien, pourquoi pas moi ?». Il n’y a pas que les clientes qui ont envie de ce genre d’aventure, les caissières aussi ont des envies pressantes. Je m’étais juré que si un jour il vous prenait de passer par ma caisse, je vous mettrais le grappin dessus.
J’en suis resté baba elle ne savait pas a quoi elle s’exposait.
- Vous n’y allez pas par quatre chemins, Sabine.
- Je sais ce que je veux. J’aime baiser et je le dis, ça vous dérange ?
- Mon dieu non, bien au contraire, je trouve ça très excitant.
- Et pour ce qui est des revues pornos, moi aussi j’aime bien en regarder. Alors, vous voyez Pierre, nous sommes vraiment faits pour nous entendre, non ?
Elle me fit un nouveau clin d’œil.
- Et ne dites pas que je ne vous plais pas, l’une de vos dernières victimes me ressemblait comme deux gouttes d’eau.
- La grande brune à lunettes ?
- Vilain flatteur ! Le principal c’est que je vous fasse bander… Vous me suivez ? Je possède la petite R5 bleue qui est là-bas.
Une fois arrivés chez elle, elle me proposa un verre. Mais je n’eus pas le loisir de le déguster.
A peine étais-je assis sur son canapé que Sabine se jeta à mes pieds et commença à défaire un à un les boutons de mon jean.
En silence, sans même échanger un mot, elle commença à me branler, à me caresser les couilles, avec inspiration, avant d’emboucher sauvagement mon sexe. Tout laissait supposer qu’elle adorait sucer ma bite et qu’elle avait l’habitude de ce genre de pratique. Un sacré savoir-faire même ! Il fallait voir comment elle l’avalait cette queue, avec quel appétit féroce. C’était trop bon, trop fort, elle était vraiment trop douée cette fille.
Ensuite, elle se redressa et me présenta ses seins. Des seins lourds et gonflés, entièrement couverts de taches de rousseur, comme le reste de son corps. Je me suis penché pour les embrasser tout en les soupesant, ces beaux globes lourds et pulpeux. Les bouts commençaient à durcir.
Sa respiration s’accéléra tandis que je tétais fiévreusement ses tétins, en excitant ses aréoles.
Elle s’allongea d’elle-même sur le tapis et m’attira à elle, et me fit venir entre ses cuisses. Apparemment, elle avait très envie de se faire manger. J’écartai sa culotte mais elle me demanda de la lui déchirer, ce que je fis de bonne grâce :
- Bouffe-moi, je n’en peux plus d’attendre, dévore-moi ma petite chatte.
Je décidai de m’appliquer, de lui en mettre plein la vue, de grignoter avec passion son beau sexe charnu. Cette belle fille couverte de taches de rousseur était vraiment délicieuse à manger, à sucer, à aspirer. Elle finit par jouir comme une damnée en se contorsionnant dans tous les sens, en criant sa jouissance avec force et sans pudeur. Un jet de cyprine gicla sur mon menton, un jus chaud et enivrant.
Sabine m’attira alors à elle, les cuisses grandes ouvertes, entièrement offerte à cette saillie :
- Je n’en peux plus, prends moi maintenant, baise-moi, là sur le tapis mais fait attention, je ne prends rien.
Je voulais bien croire qu’elle n’en pouvait plus. Elle désirait que je la pilonne, fort, plus fort, très fort. Elle implorait mes coups de reins, mes coups de queue dans ses entrailles.
- Vas-y, à fond, plus fort, défonce-moi profond.
Elle saisit mes fesses et m’attira encore plus à elle. Le clapotis de sa mouille était obscène mais bougrement excitant.
Mais mon pilonnage en règle ne suffit pas à la rassasier. Elle en voulait encore bien plus. Elle se releva, me fit allonger sur la moquette et vint s’asseoir sur moi. Puis elle attrapa ma queue avec dextérité avant de la guider en elle. C’est alors qu’elle s’empala sur moi, et ce jusqu’à la garde.
Je la voyais de dos, son grand dos constellé de taches de rousseur. Elle montait et descendait sur mon sexe tendu à l’extrême. Elle en voulait vraiment.
Puis elle varia les positions, par-devant, par derrière, à quatre pattes sur le canapé ou penchée sur le fauteuil. La chatte toujours insatisfaite et un sacré coup de rein…
Elle me chevaucha ainsi comme une Amazone sans faiblir pour un bon moment.
Et puis elle s’arrêta net, terrassée enfin par une série de spasmes violents. C’est ainsi qu’elle jouit sans retenue et qu’elle m’entraîna dans sa jouissance. Au plus profond de son être j’ai libéré ma semence.
- Oh ! Non, tu as jouis en moi.
- Je n’ai pas pu me retenir.
- Oh non, je risque de me retrouver enceinte.
- Tu es déjà enceinte, tu va grossir pendant neuf semaines et mettre au monde un de mes frères.
- Non, ce n’est pas possible.
- Oui, c’est possible et ça arrive à toutes les femmes avec qui je baise, je ne les baise que pour ça. Va à cette adresse, on va t’y accueillir et ils t’aideront. Maintenant il faut que je parte.
Quand je l’ai quitté, elle était en pleurs mais je suis sur qu’elle ira à l’adresse que je lui ai donné quand son ventre gonflera.
J’ai continué mon travail et j’en ai baisé encore quatre puis j’ai eut un coup de fatigue et je suis rentré.
A la maison Démonia était déjà la. Elle m’a regardé m’écrouler dans un fauteuil et d’un air narquois elle m’a demandé
- Alors combien aujourd’hui ?
- Six, c’est mon plus mauvais score depuis plus de quatre semaines. D’habitude je fais dix ou douze.
- Tu es battu.
- Moi, battu ?
- Oui, avec mes cinq amants, j’en ai fait vingt justes aujourd’hui et ils sont tous déjà au travail. Pour toi, les premiers arriveront dans quinze jours.
- Oui, mais en sept mois, avec une moyenne de dix par jour, j’en suis à presque cinq cent.
- Peut être mais pour le moment, je gagne. Les miens sont déjà au travail. Les tiens ne sont pas encore sortis.
- Bon, je ne dis plus rien, je suis fatigué.
- Ne dors pas trop, il faut qu’on aille voir ce que nous ont préparé tes servantes.
- Oui, d’accord, je dormirais plus tard.
On est parti. A coté de la chapelle, il y avait comme un camping. Sarah est venue me voir et m’a présenté les dix vierges qu’elle avait sélectionné pour moi puis Mélanie a présenté a Démonia les cinq males qui l’avaient suivi. Démonia se léchait déjà les babines en regardant ces males prêt à tout pour elle.
De mon coté en faisant le tour des vierges j’ai repéré une fille, je la connaissais bien, c’étais Marie, une de mes premières petites amies, c’est moi qui l’ai dépucelé a la sortie de l’école. Des le premier jour de classe, cette fille m’a tapé dans l’œil. J’ai travaillé pendant tout un trimestre pour m’en faire une petite amie prête a tout pour moi. Ça m’avait couté beaucoup d’efforts pour la charmer et arriver à la faire jouir a chaque fois que je la voyais sous mes caresses, et enfin un soir, j’ai réussi à la culbuter dans le bosquet en la raccompagnant chez elle. Elle a beaucoup aimé ce que nous avions fait ensemble et le mois suivant, je me la tapais tous les week-ends un jour son père nous a surpris et après une engueulade sévère, ça a été fini entre nous, ils l’ont envoyé en pension religieuse. Je suis resté très longtemps amoureux d’elle et même de la revoir, comme ça, ça me fait quelque chose. J’ai appelé Sarah, lui ais montré Marie en lui disant
- Elle, elle n’est pas vierge, je m’en souviens très bien, c’est moi qui l’ai embroché.
- Ah bon, je ne comprends pas, c’est une sœur et elle m’a jurée qu’elle était vierge.
- Ne bouge pas, je vais la voir. Cherche une autre fille pour la remplacer.
Je me suis approché de Marie, Marie me regarda droit dans les yeux.
– Tu es sûre que tu es vierge ?
Marie rougit violemment, et referma ses jambes dans un dernier et inutile acte de pudeur. Puis elle détourna les yeux.
– oui, j’en suis sure, je suis aussi pure que le petit oiseau dans son nid.
Je la fixai longuement.
- tu es bien Marie, de Lyon ?
- Oui.
- Tu ne me reconnais pas ?
- Oui, tu es l’ex petit copain de ma sœur.
- De ta sœur ?
- Oui, ma grande sœur, elle s’appelle aussi Marie.
- Elle porte le même nom que toi ?
- Non, moi, c’est Marie Hélène. Je me fais appeler Marie pour simplifier.
- Ah bon, je t’ai confondue avec elle.
- Oui, c’est possible on m’a déjà dit que je lui ressemble beaucoup mais j’ai huit ans de moins qu’elle.
- Qu’est-ce que tu connais de l’amour entre les homes et les femmes ?
- Une femme doit se parer pour son homme, et apprêter chaque endroit de son corps. Mais ce lieu sacré, ici, doit être le plus beau, le plus doux et le plus parfumé. C’est là qu’ils goûtent notre plaisir, et là qu’ils nous font jouir et nous fécondent. Je ne comprends pas pourquoi tant de filles le négligent… La règle est pourtant simple : plus c’est caché, plus c’est secret, plus ça doit être beau. Elles font toutes le contraire…
- Tu en sais des choses, toi. Et dire que je te prenais pour une oie blanche !
Marie cligna plusieurs fois des yeux.
- Qu’est-ce que tu veux dire ? Je te rappelle que j’ai dix-sept ans, je ne suis pas une ignare tout de même.
- Oh, je pensais juste que tu ignorais un tas de trucs sur le sexe…
Marie rougit à nouveau.
- J’ignore peut être un tas de choses sur le sexe. Mais je suis avide d’apprendre…
Je n’ai pas su quoi répondre.
- Est-ce que tu es amoureux de moi ?
- Je te trouve bien indiscrète pour ton âge. J’espère que tu ne mentais pas en affirmant que toi tu ne l’étais pas de moi !
Elle se mordit la lèvre, mais continua, les sourcils froncés :
- J’ai le droit de savoir, se défendit-elle.
Mon regard bleu azur traversa Marie comme un poignard.
- Tu parles de tout ça comme une grande personne, Marie, mais tu n’en es pas encore une.
- Pourquoi ? Parce que je suis vierge ?
- Arrête. Non, pas seulement parce que tu es « vierge ».
- Pas seulement ? Ça veut quand même dire que c’est un obstacle ! Tu n’as qu’à me prendre, qu’est-ce que ça peut faire, maintenant ?
- Non.
- Pourquoi, non ? ça changerait quoi ?
- Ce n’est pas à toi de décider.
- Ah oui ? Alors qui doit décider pour moi ? Toi, peut-être ?
- Pourquoi pas ? En tout cas, n’y compte pas…
Marie se coula contre moi, chaude et douce.
- S’il te plaît, Pierre, fais-moi l’amour….
- Non.
- Je peux te faire oublier ma sœur,
- Et comment pourrais-tu faire ça, Marie ?
- Mais je peux te donner beaucoup de plaisir en retour, moi aussi ! Apprends-moi le plaisir, je serai une bonne élève !
- Oh oui, je n’en doute pas…
- Alors, tu me feras l’amour ?
A suivre
Ce jour là la caissière était une grande brune plutôt mature, sensiblement mon âge et à peu près ma taille. Elle passa les bouquins sans rien dire et, lorsque je lui présentai ma carte, elle précisa simplement :
- Il faut la glisser dans le boîtier et composer votre code.
Simple mais efficace : un bon point pour elle…
Mais, alors que je la dévisageais en attendant que la machine veuille bien prendre en compte mon paiement, elle ajouta un clin d’œil coquin des plus évocateurs, suivi d’un léger sourire complice.
Fichtre ! Elle plutôt jolie femme et elle est tombé sous mon charme. Encore une.
- Je sors dans une demi-heure aujourd’hui, ça vous dirait de m’attendre à la sortie
Si ce n’était pas une invitation ça !
Je me suis mis à bander presque aussi sec en la regardant.
- Votre reçu… monsieur, votre reçu… votre reçu… votre reçu monsieur.
Elle a dû dire ça plusieurs fois mais j’étais dans un autre monde. J’ai saisi le ticket sans rien ajouter, la cliente suivante nous écoutait, une pointe de curiosité sarcastique au coin des lèvres.
Je me suis arrêté au bout de la galerie marchande. Allait-elle passer par là ? Une fois dehors, je me suis assis sur un banc et j’ai attendu bien sagement.
Une bonne heure plus tard, mais j’étais dans mes pensées et un peu hors du temps, une femme s’est penchée vers moi :
- Excusez-moi mais ça a été un peu plus long que prévu.
- Oh, ce n’est pas grave, pas grave du tout.
- Je m’appelle Sabine, et vous ?
- Pierre.
- Et bien Pierre, on va chez vous ou chez moi ?
- Pardon ?
- Écoutez, je vous plais et vous me plaisez, alors pas de chichis entre nous. Vous avez envie de baiser et j’ai moi aussi très envie de baiser, ne perdons pas de temps… Allons chez moi, ce n’est pas très loin.
- Mais vous faites ça avec tous les clients qui achètent des livres pornos ? ai-je demandé bêtement, en la suivant sur le parking.
Elle éclata d’un rire franc et massif :
- Oh non, rassurez-vous, vous êtes l’un des premiers… Hi, hi… Et, en plus, vous, vous n’êtes pas un inconnu. Vous venez souvent au magasin, je vous ai vu plusieurs fois, et j’ai repéré votre petit manège. Je sais que vous venez ici pour aborder des femmes. Et comme vous me plaisez, je me suis dit « Tien, pourquoi pas moi ?». Il n’y a pas que les clientes qui ont envie de ce genre d’aventure, les caissières aussi ont des envies pressantes. Je m’étais juré que si un jour il vous prenait de passer par ma caisse, je vous mettrais le grappin dessus.
J’en suis resté baba elle ne savait pas a quoi elle s’exposait.
- Vous n’y allez pas par quatre chemins, Sabine.
- Je sais ce que je veux. J’aime baiser et je le dis, ça vous dérange ?
- Mon dieu non, bien au contraire, je trouve ça très excitant.
- Et pour ce qui est des revues pornos, moi aussi j’aime bien en regarder. Alors, vous voyez Pierre, nous sommes vraiment faits pour nous entendre, non ?
Elle me fit un nouveau clin d’œil.
- Et ne dites pas que je ne vous plais pas, l’une de vos dernières victimes me ressemblait comme deux gouttes d’eau.
- La grande brune à lunettes ?
- Vilain flatteur ! Le principal c’est que je vous fasse bander… Vous me suivez ? Je possède la petite R5 bleue qui est là-bas.
Une fois arrivés chez elle, elle me proposa un verre. Mais je n’eus pas le loisir de le déguster.
A peine étais-je assis sur son canapé que Sabine se jeta à mes pieds et commença à défaire un à un les boutons de mon jean.
En silence, sans même échanger un mot, elle commença à me branler, à me caresser les couilles, avec inspiration, avant d’emboucher sauvagement mon sexe. Tout laissait supposer qu’elle adorait sucer ma bite et qu’elle avait l’habitude de ce genre de pratique. Un sacré savoir-faire même ! Il fallait voir comment elle l’avalait cette queue, avec quel appétit féroce. C’était trop bon, trop fort, elle était vraiment trop douée cette fille.
Ensuite, elle se redressa et me présenta ses seins. Des seins lourds et gonflés, entièrement couverts de taches de rousseur, comme le reste de son corps. Je me suis penché pour les embrasser tout en les soupesant, ces beaux globes lourds et pulpeux. Les bouts commençaient à durcir.
Sa respiration s’accéléra tandis que je tétais fiévreusement ses tétins, en excitant ses aréoles.
Elle s’allongea d’elle-même sur le tapis et m’attira à elle, et me fit venir entre ses cuisses. Apparemment, elle avait très envie de se faire manger. J’écartai sa culotte mais elle me demanda de la lui déchirer, ce que je fis de bonne grâce :
- Bouffe-moi, je n’en peux plus d’attendre, dévore-moi ma petite chatte.
Je décidai de m’appliquer, de lui en mettre plein la vue, de grignoter avec passion son beau sexe charnu. Cette belle fille couverte de taches de rousseur était vraiment délicieuse à manger, à sucer, à aspirer. Elle finit par jouir comme une damnée en se contorsionnant dans tous les sens, en criant sa jouissance avec force et sans pudeur. Un jet de cyprine gicla sur mon menton, un jus chaud et enivrant.
Sabine m’attira alors à elle, les cuisses grandes ouvertes, entièrement offerte à cette saillie :
- Je n’en peux plus, prends moi maintenant, baise-moi, là sur le tapis mais fait attention, je ne prends rien.
Je voulais bien croire qu’elle n’en pouvait plus. Elle désirait que je la pilonne, fort, plus fort, très fort. Elle implorait mes coups de reins, mes coups de queue dans ses entrailles.
- Vas-y, à fond, plus fort, défonce-moi profond.
Elle saisit mes fesses et m’attira encore plus à elle. Le clapotis de sa mouille était obscène mais bougrement excitant.
Mais mon pilonnage en règle ne suffit pas à la rassasier. Elle en voulait encore bien plus. Elle se releva, me fit allonger sur la moquette et vint s’asseoir sur moi. Puis elle attrapa ma queue avec dextérité avant de la guider en elle. C’est alors qu’elle s’empala sur moi, et ce jusqu’à la garde.
Je la voyais de dos, son grand dos constellé de taches de rousseur. Elle montait et descendait sur mon sexe tendu à l’extrême. Elle en voulait vraiment.
Puis elle varia les positions, par-devant, par derrière, à quatre pattes sur le canapé ou penchée sur le fauteuil. La chatte toujours insatisfaite et un sacré coup de rein…
Elle me chevaucha ainsi comme une Amazone sans faiblir pour un bon moment.
Et puis elle s’arrêta net, terrassée enfin par une série de spasmes violents. C’est ainsi qu’elle jouit sans retenue et qu’elle m’entraîna dans sa jouissance. Au plus profond de son être j’ai libéré ma semence.
- Oh ! Non, tu as jouis en moi.
- Je n’ai pas pu me retenir.
- Oh non, je risque de me retrouver enceinte.
- Tu es déjà enceinte, tu va grossir pendant neuf semaines et mettre au monde un de mes frères.
- Non, ce n’est pas possible.
- Oui, c’est possible et ça arrive à toutes les femmes avec qui je baise, je ne les baise que pour ça. Va à cette adresse, on va t’y accueillir et ils t’aideront. Maintenant il faut que je parte.
Quand je l’ai quitté, elle était en pleurs mais je suis sur qu’elle ira à l’adresse que je lui ai donné quand son ventre gonflera.
J’ai continué mon travail et j’en ai baisé encore quatre puis j’ai eut un coup de fatigue et je suis rentré.
A la maison Démonia était déjà la. Elle m’a regardé m’écrouler dans un fauteuil et d’un air narquois elle m’a demandé
- Alors combien aujourd’hui ?
- Six, c’est mon plus mauvais score depuis plus de quatre semaines. D’habitude je fais dix ou douze.
- Tu es battu.
- Moi, battu ?
- Oui, avec mes cinq amants, j’en ai fait vingt justes aujourd’hui et ils sont tous déjà au travail. Pour toi, les premiers arriveront dans quinze jours.
- Oui, mais en sept mois, avec une moyenne de dix par jour, j’en suis à presque cinq cent.
- Peut être mais pour le moment, je gagne. Les miens sont déjà au travail. Les tiens ne sont pas encore sortis.
- Bon, je ne dis plus rien, je suis fatigué.
- Ne dors pas trop, il faut qu’on aille voir ce que nous ont préparé tes servantes.
- Oui, d’accord, je dormirais plus tard.
On est parti. A coté de la chapelle, il y avait comme un camping. Sarah est venue me voir et m’a présenté les dix vierges qu’elle avait sélectionné pour moi puis Mélanie a présenté a Démonia les cinq males qui l’avaient suivi. Démonia se léchait déjà les babines en regardant ces males prêt à tout pour elle.
De mon coté en faisant le tour des vierges j’ai repéré une fille, je la connaissais bien, c’étais Marie, une de mes premières petites amies, c’est moi qui l’ai dépucelé a la sortie de l’école. Des le premier jour de classe, cette fille m’a tapé dans l’œil. J’ai travaillé pendant tout un trimestre pour m’en faire une petite amie prête a tout pour moi. Ça m’avait couté beaucoup d’efforts pour la charmer et arriver à la faire jouir a chaque fois que je la voyais sous mes caresses, et enfin un soir, j’ai réussi à la culbuter dans le bosquet en la raccompagnant chez elle. Elle a beaucoup aimé ce que nous avions fait ensemble et le mois suivant, je me la tapais tous les week-ends un jour son père nous a surpris et après une engueulade sévère, ça a été fini entre nous, ils l’ont envoyé en pension religieuse. Je suis resté très longtemps amoureux d’elle et même de la revoir, comme ça, ça me fait quelque chose. J’ai appelé Sarah, lui ais montré Marie en lui disant
- Elle, elle n’est pas vierge, je m’en souviens très bien, c’est moi qui l’ai embroché.
- Ah bon, je ne comprends pas, c’est une sœur et elle m’a jurée qu’elle était vierge.
- Ne bouge pas, je vais la voir. Cherche une autre fille pour la remplacer.
Je me suis approché de Marie, Marie me regarda droit dans les yeux.
– Tu es sûre que tu es vierge ?
Marie rougit violemment, et referma ses jambes dans un dernier et inutile acte de pudeur. Puis elle détourna les yeux.
– oui, j’en suis sure, je suis aussi pure que le petit oiseau dans son nid.
Je la fixai longuement.
- tu es bien Marie, de Lyon ?
- Oui.
- Tu ne me reconnais pas ?
- Oui, tu es l’ex petit copain de ma sœur.
- De ta sœur ?
- Oui, ma grande sœur, elle s’appelle aussi Marie.
- Elle porte le même nom que toi ?
- Non, moi, c’est Marie Hélène. Je me fais appeler Marie pour simplifier.
- Ah bon, je t’ai confondue avec elle.
- Oui, c’est possible on m’a déjà dit que je lui ressemble beaucoup mais j’ai huit ans de moins qu’elle.
- Qu’est-ce que tu connais de l’amour entre les homes et les femmes ?
- Une femme doit se parer pour son homme, et apprêter chaque endroit de son corps. Mais ce lieu sacré, ici, doit être le plus beau, le plus doux et le plus parfumé. C’est là qu’ils goûtent notre plaisir, et là qu’ils nous font jouir et nous fécondent. Je ne comprends pas pourquoi tant de filles le négligent… La règle est pourtant simple : plus c’est caché, plus c’est secret, plus ça doit être beau. Elles font toutes le contraire…
- Tu en sais des choses, toi. Et dire que je te prenais pour une oie blanche !
Marie cligna plusieurs fois des yeux.
- Qu’est-ce que tu veux dire ? Je te rappelle que j’ai dix-sept ans, je ne suis pas une ignare tout de même.
- Oh, je pensais juste que tu ignorais un tas de trucs sur le sexe…
Marie rougit à nouveau.
- J’ignore peut être un tas de choses sur le sexe. Mais je suis avide d’apprendre…
Je n’ai pas su quoi répondre.
- Est-ce que tu es amoureux de moi ?
- Je te trouve bien indiscrète pour ton âge. J’espère que tu ne mentais pas en affirmant que toi tu ne l’étais pas de moi !
Elle se mordit la lèvre, mais continua, les sourcils froncés :
- J’ai le droit de savoir, se défendit-elle.
Mon regard bleu azur traversa Marie comme un poignard.
- Tu parles de tout ça comme une grande personne, Marie, mais tu n’en es pas encore une.
- Pourquoi ? Parce que je suis vierge ?
- Arrête. Non, pas seulement parce que tu es « vierge ».
- Pas seulement ? Ça veut quand même dire que c’est un obstacle ! Tu n’as qu’à me prendre, qu’est-ce que ça peut faire, maintenant ?
- Non.
- Pourquoi, non ? ça changerait quoi ?
- Ce n’est pas à toi de décider.
- Ah oui ? Alors qui doit décider pour moi ? Toi, peut-être ?
- Pourquoi pas ? En tout cas, n’y compte pas…
Marie se coula contre moi, chaude et douce.
- S’il te plaît, Pierre, fais-moi l’amour….
- Non.
- Je peux te faire oublier ma sœur,
- Et comment pourrais-tu faire ça, Marie ?
- Mais je peux te donner beaucoup de plaisir en retour, moi aussi ! Apprends-moi le plaisir, je serai une bonne élève !
- Oh oui, je n’en doute pas…
- Alors, tu me feras l’amour ?
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