La Démoniaque Sarah 8

- Par l'auteur HDS TITI ET GROS MINET -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Démoniaque Sarah 8 Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-08-2013 dans la catégorie A dormir debout
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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La Démoniaque Sarah 8
Au milieu de la foule je me contente d’observer les femmes, quand il frétille, je pars à l’attaque. Voila, ça y est, une petite rousse, mignonne, j’y vais. Je m’approche d’elle. Attire son attention, elle s’immobilise et me regarde, je m’approche encore.
- bonjour C’est comment ton prénom ?
Elle semble hypnotisée par mon tatouage
- Gigi maître.
- Et moi c’est pierre.
Elle vient tout contre moi, sa tête bascule en arrière, elle m’abandonne sa bouche humide et passant ses bras autour de mon cou. Je la serre, mes mains sur ses hanches. Elle est un peu petite pour moi, un petit mètre soixante, peut-être soixante-cinq. J’essaye de retarder le plus possible le moment où je vais découvrir son trésor de poitrine. Je la guide vers une porte cochère, elle s’ouvre comme par magie, nous entrons, elle se referme nous laissant dans une étrange pénombre. Sous son polo, je passe mes mains dans son dos. Sa peau est une soie ! En contact avec sa peau, je prends une pure décharge. Quand je réussis à mettre un doigt sur une fille, j’ai une arme secrète : des doigts magnétiques ! Je ressens tout ce qu’elle ressent. Je la caresse juste là où elle attend des caresses. Je la fais frissonner. Elle se plaque contre moi, elle embrasse comme une diva. Mes mains sont hautes sous son polo, dans son dos. Ça y est ! Le moment est venu de découvrir ce qui pointait si joliment vers le ciel quand elle passait devant moi. Je soulève lentement son tee-shirt et je tombe nez à nez avec ses nénés, les plus beaux qu’il m’ait jamais été donné de mordiller. Je reste là une fraction de seconde, halluciné par ce spectacle. Qu’ils sont beaux ! On se sourit. Je les lape doucement, les tétons durcissent et se dressent. Quelle beauté ! Je passe mes mains sous ses fesses encore vêtues. Je la soulève comme une plume. Elle passe ses jambes autour de mes hanches et s’agrippe. Mes mains se libèrent et partent caresser son dos, remontent dans sa nuque passent sous ses cheveux. Ça marche à tous les coups, elle frissonne et me donne un baiser qui dure un siècle. Elle se frotte contre la bosse de mon short. C’est une gourmande. Ses seins sont justes à ma hauteur, et je les salue de mille baisers et coups de langue qui les contournent, les asservissent au plaisir. Gigi ! Ouh là là !
Je la repose au sol, me mets à genoux devant elle pour lui ôter son pantalon de survêt. Je libère ses chevilles et récupère deux pieds fins que plus tard je sucerai. Et là, en remontant les yeux vers elle, je n’y crois pas, je tombe sur des jambes de mannequin. Fines, belles, épilées, toutes bronzées, douces, mais douces ! Je les caresse et lui fais comprendre d’un regard tout ce que je ressens, elle passe ses mains sur ma tête. Mes mains filent en haut de ses cuisses, plutôt vers l’arrière, tout doucement, et là, deuxième électrochoc, qui me fait durcir comme rarement, un string me laisse libre de toucher une paire de fesses encore dix fois plus belle que ses seins. Petite cachottière sous tes pantalons bouffants ! Des fesses qui tiennent dans mes grandes mains comme deux grandes pêches bien douces. Pourtant, je n’ai fait l’amour dans ma vie qu’avec des jolies filles, mais cette Gigi survole les débats, sans frimer, sans se prendre pour une princesse, elle surclasse un sacré paquet de petites péteuses. Elle aurait mesuré 1,80 m, ce serait une déesse vivante. Je lui laisse comme seul vêtement la petite ficelle verte qui délimite les deux pêches au verso qu’il me tarde vraiment de mieux connaître. Je me redresse, ôte mon haut, elle se baisse, enlève mon bas, elle descend mon slip et ma queue sort comme un diable de sa boîte. Je pense que pour ne pas bander face à Gigi, il faudrait être entre quatre planches, dix pieds sous les cyprès.
Elle prend ma queue entre ses mains douces, se relève en me caressant tout doucement. Gigi m’embrasse puis je la soulève à nouveau, mais cette fois plus haut, très haut, pour lui faire une petite surprise. Mes mains sous ses fesses, je la soulève jusqu’à avoir sa petite chatte devant les yeux. Sa tête touche presque le plafond du couloir. Elle pose ses cuisses sur mes épaules, je mets une main au milieu de son dos, elle bascule son corps en arrière, comme s’abandonnant et sachant par avance ce qui va lui arriver. Ah bon ? Vous aussi ? Euh, je vous raconte quand même ? Son basculement met son ventre presque à plat devant moi.
J’écarte d’une main ce qui lui reste de tissu, et découvre un petit triangle de pelouse bien entretenu, et une foufoune toute lisse. Je sens que Popol au premier étage commence à s’impatienter, mais pour une fois que je tiens une Gigi entre mes mains, je bois chaque seconde. Alors je fais à Gigi la plus belle caresse que je sache faire en laissant glisser ma langue sur toute la longueur de sa chatte. Je la sens s’abandonner quand je vais de son œillet à son clit. Ma langue coquine furète partout. Je bande comme tout. Elle agrippe ses mains à mes cheveux et pousse ma bouche contre sa chatte. Elle se met à rugir, à pousser des cris. C’est en plein dans l’après-midi, elle ne peut pas se retenir. Alors ma langue commence à entrer et sortir doucement de l’orifice de chacun des deux palais qu’elle m’offre avec tant de gentillesse. J’aime ce moment où l’on découvre un nouveau minou, de nouvelles lèvres, une nouvelle odeur, un nouveau clito, une nouvelle fille qui ne jouira pas comme la précédente ni comme la prochaine. C’est excitant !
Pour essayer de la faire un peu arrêter de crier, je la soulève à nouveau, la fait pivoter à 180 degrés pour qu’elle se retrouve la tête en bas, à hauteur de mon sexe, et moi je n’ai plus qu’à déguster sa chatte complètement ouverte devant moi. Ses cuisses sont complètement écartées, j’y enfouis la bouche et le nez. Avec mon nez je pousse pour entrer dans son petit trou, avec ma langue je pénètre entre ses grandes lèvres, avec ma lèvre inférieure bien charnue je caresse son clito. Elle ne crie plus car elle est trop occupée à sucer l’occupant du premier qui attendait son tour et qui est servi comme un roi. C’est la première fois que je prends une petite dans ce sens là, en 69 aérien, et c’est carrément le pied. Mais par peur de voir ma Gigi devenir toute rouge, je ne fais pas trop durer et Je suis alors par terre sur les genoux, si bien que mon sexe est juste devant le sien. Elle salive sur ses mains et les pose sur mon gland qu’elle mouille abondamment. Gigi me sourit et me branle. Je me laisse faire, je m’abandonne. Elle ne se débrouille pas si mal.
Gigi me sourit et me branle. Je la regarde s’appliquer et lui caresse ses seins mignons. Je l’adore cette Gigi, qu’est-ce qu’elle me plaît ! Ensuite, elle me fait un énorme plaisir : elle guide mon gland vers l’entrée de son minou, elle est à point, elle a envie, moi aussi, un peu, c’est vrai, genre Yaaaouhhhhhh !!! Son minou est serré, ou petit, je ne sais pas, ou mon sexe un peu gros. Aussitôt en elle, elle reprend ses rugissements. Je ressors pour la calmer. Je me sers de mon gland pour me frotter contre son minou, du haut en bas, c’est trop bon, elle en redemande, s’agrippe à moi pour laisser fondre sa bouche dans la mienne. Je reviens en elle, elle est ouverte, j’entre presque en totalité, et nous voilà partis en missionnaire, sur un tas de carton qui traînait la, dans une baise torride dont tous les détails m’échappent à partir de ce moment-là. Je me souviens, je l’ai mise sur les genoux pour voir sa corolle s’ouvrir au beau milieu de son derrière fabuleux. Après l’avoir savoureusement léchée, de haut en bas, je suis venu en levrette, en découvrant un joli tatouage de féline sur le haut de sa cuisse droite. Et là je me suis abandonné, j’ai pilonné son minou comme un sauvage, elle a poussé des cris, et je me suis dit "Et merde, au moins, si certains ne baisent pas, on baise pour eux, déjà qu’ils soient contents : s’ils n’ont pas l’image, ils ont le son, et puis on ne fait de mal à personne". Gigi a crié comme une folle. Je me suis demandé comment il était possible de crier comme ça, mais je crois qu’elle prenait son pied. Grâce à mes grands bras, j’ai passé mes mains sous sa poitrine, l’ai relevée pour la sentir cambrée, la voir incliner sa tête pour chercher ma bouche, laisser mes doigts fureter sa fente et son clito en feu dans ses rugissements de lionne. Puis ce fut l’extase finale j’ai explosé à grands jets tout au fond de sa matrice libérant un autre de mes frères de plus de mile ans d’enfer. Elle est belle couchée nue sur ces cartons. J’aimerais bien rester encore avec elle mais ma mission doit continuer.
A suivre

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Texte coquin : La Démoniaque Sarah 8
Histoire sexe : Une rose rouge
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