La Directrice de cabinet (1)
Récit érotique écrit par Clar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-05-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La Directrice de cabinet (1)
La femme remontait la rue de la Préfecture d’un pas vif. Ses talons claquaient sur les pavés humides. Elancée, les cheveux bruns, le regard franc, elle franchit les portes de la Préfecture, saluant le gardien. Elle emprunta l’escalier jusqu’au premier étage, s’engouffra dans le couloir de droite et entra dans le bureau situé à l’extrémité. Elle retira son manteau et l’accrocha au porte-manteau. Elle se regarda dans la grande glace. Vêtue d’un ensemble gris dont la jupe s’arrêtait sous le genou, les jambes gainées de nylon gris, elle ressemblait à ce qu’elle était : une haute fonctionnaire.
Hortense de Sainbrieux (et encore, elle faisait grâce de son deuxième prénom, Ségolène), la quarantaine était une brillante énarque qui avait choisi la préfectorale et qui était aujourd’hui la directrice de cabinet du préfet de cette métropole de l’ouest de la France. Dotée d’une intelligence vive, elle connaissait ses dossiers sur le bout des ongles.
Elle salua ses deux secrétaires, s’assit à son bureau et se plongea dans l’étude d’un dossier épineux relatif à l’agrandissement de l’université.
A onze heures, elle se rendit au rez-de-chaussée pour animer une réunion sur la circulation dans le centre-ville. Au milieu de la réunion, elle aperçut le regard d’un des participants braqué à la dérobée sur ses jambes. Elle s’en amusa. Elle savait que sa jupe mi-longue ne pouvait rien dévoiler. Ils étaient tous les mêmes, essayant de voler des images pour booster leur libido. Elle croisa les jambes. Elle savait que dans ce mouvement, quelques centimètres au-dessus de ses genoux s’offriraient à la vue de l’homme. A peine commencerait-il à fantasmer qu’elle mit fin à la récréation. Elle s’adressa à lui en lui posant une question technique précise à laquelle il ne put répondre. Elle accompagna son embarras en lui adressant un regard sans empathie dans lequel brillait un brin de mépris. Il se concentra sur ses documents tout le reste de la réunion, sans plus oser jeter un regard dans sa direction. Elle s’amusait de ces situations où son statut social lui permettait de dominer certains hommes sans vergogne. Mais elle ne devait rien laisser transparaitre. D’autant que l’Etat lui octroyait une protection discrète et particulièrement efficace.
Le reste de la journée se déroula en études de dossiers.
A dix-neuf heures, elle rangea ses dossiers, se leva, prit son manteau, éteignit la lumière et sortit. Elle salua le planton. Elle rentra chez elle, un appartement de fonction mis à sa disposition. Une demi-heure plus tard, elle en ressortit, s’installa au volant de sa Mini et démarra. Elle traversa rapidement la ville et stoppa devant l’entrée d’un garage souterrain privé. Son bip lui permit d’y accéder. Elle stationna sur une place numérotée puis gagna l’ascenseur qui la déposa au sixième étage, là où habitait sa tante. Elle sortit un trousseau de clé et entra dans l’appartement dont le salon était éclairé. En réalité, l’appartement était vide. Sa tante était décédée deux années auparavant et les parents d’Hortense avaient hérité de ce beau trois pièces, dont on pouvait commander l’électricité à distance. Habitant le sud de la France, ils n’y venaient jamais. Hortense se dirigea vers la salle de bain. Elle se déshabilla, enlevant son sage chemisier, son soutien-gorge, sa jupe, ses collants et sa culotte. Elle fila sous la douche. Lavée puis essuyée, elle se dirigea vers la chambre, ouvrit un placard et choisit ses vêtements avec soin. Elle enfila un chemisier ajouré, laissant plus que deviner ses seins nus, un porte-jarretelles, des bas noirs, un string de la même couleur et une jupe courte. Elle retourna dans la salle de bain pour se maquiller. Elle avait profité de la douche pour se shampouiner avec une teinture qui blondissait ses cheveux, une teinture qui disparaitrait avec la prochaine douche. Elle ajouta trois mèches vertes et des lentilles colorant son iris en bleu. Elle chaussa des escarpins à talons haut, enfila un trenchcoat et compléta sa transformation avec des lunettes. L’ascenseur la redéposa au parking, Elle s’installa au volant d’une grosse berline Peugeot, qui était la voiture de sa tante. Elle sortit de l’immeuble, tourna à gauche, suivit les grands boulevards et atteignit l’autoroute. Cinquante kilomètres plus loin elle s’engagea sur une aire de stationnement. Elle serra à droite, suivit un chemin goudronné peu visible, franchit une barrière ouverte, continua sur environ quatre cents mètres et s’arrêta dans ce qui était un ancien parking, à présent à moitié repris par une végétation sauvage.. Elle se débarrassa de son trenchcoat. Elle aimait cette atmosphère glauque, ce repère d’exhibitionnistes et de voyeurs. Nul ne savait qui elle était et cela accentuait son excitation. Un mouvement sur la gauche attira son attention. Un homme glissait le long de la voiture. Il jeta un coup d’œil à l’intérieur. Hortense le regardait. Il défit son pantalon, sortit son sexe. Un sexe large, à moitié bandé. Il attendait un geste de la femme. Hortense le regarda. Il avait une trentaine d’années, le teint mat des méditerranéens. Elle lui sourit et sortit de la voiture. Dans le mouvement, sa jupe s’était relevée, dévoilant ses bas et le haut de ses cuisses. Ils étaient face à face, se regardant dans les yeux. Un bruit derrière elle. Elle se retourna brièvement. Un autre homme s’était rapproché. Une vingtaine d’années. Vêtu d’un jean et d’un teeshirt. Il s’arrêta derrière elle.
Hortense reporta son attention sur le brun. Il tenait son sexe dans la main, le caressant doucement. Il la fixait des yeux. La jeune femme abaissa son regard sur le membre. Une belle pièce. Regardant l’homme, elle déboutonna lentement son chemisier, écarta les pans pour dévoiler sa poitrine. Elle prit ses seins dans ses mains pour les caresser de manière sensuelle. Ses pointes s’allongèrent sous la caresse. Devant elle, le sexe s’était affermi, stimulé par le va et vient manuel. Elle se retourna. Derrière elle, l’homme, le pantalon aux chevilles, se masturbait lentement. Elle s’adressa à lui « Approche. Viens derrière moi. Déshabille-toi ». Elle entendit des froissements de tissu. Un coup d’œil derrière elle la renseigna. « Approche. Encore. Retrousse ma jupe. Lentement. « Face à elle, l’homme regardait. La femme se caressait langoureusement les seins. Elle avait une poitrine magnifique qui se passait allègrement de soutien-gorge. Derrière elle, un homme nu, sur son ordre, avait empoigné sa jupe et la remontait doucement. Il voyait apparaitre le bandeau des bas, puis la zone de peau nue et une culotte noire qui moulait son sexe avec précision. La jupe finit tirebouchonnée sur les hanches. La femme dit quelque chose. Il attrapa la culotte et la descendit aux chevilles. Elle avait un sexe lisse, déjà luisant d’humidité.
Hortense était excitée. Elle exhibait son corps sans vergogne à cet homme. Sa verge était à présent raide et dressée, le gland largement décalotté. Elle se délectait à l’avance. Tout à l’heure, elle le prendrait dans sa bouche, le sucerait pour le faire grossir encore puis elle s’offrirait à cet inconnu. Derrière elle, l’homme promenait son sexe bandé contre ses fesses, le faisant glisser le long de la raie. Ses mains caressaient sa vulve trempée, il avait introduit deux doigts dans son sexe et de l’autre main agaçait le clitoris.
Elle s’avança et s’agenouilla devant le brun. Elle prit sa verge entre ses mains et repoussa le prépuce. Elle déposa de la salive sur le gland et entreprit de le sucer, avalant autant qu’elle pouvait le cylindre de chair. Sa main droite vint empaumer les bourses qu’elle sentait tressauter. Sa main gauche s’inséra entre les jambes et de son index elle força l’œillet de l’anus. L’homme se laissait faire. Il avait posé ses mains dans la chevelure de la femme. Elle savait y faire, le pompant avec une science consommée.
Après dix minutes d’un tel traitement, elle se releva, attrapa l’homme par la main et recula jusqu’à sa voiture. Elle s’allongea sur le capot encore tiède, jambes écartées. L’homme sortit un préservatif de sa poche et en coiffa son pénis bandé non sans difficulté. Il présenta son sexe à l’entrée de la vulve humide. « Vas-y, baise-moi » implora-t-elle d’une voix rauque. Il s’enfonça d’un coup dans le fourreau. Puisqu’elle lui avait demandé, il la prit à grands coups de reins. Haletante, elle noua ses jambes autour du bas du dos de l’homme, envoyant son bassin à la rencontre du pieu tendu. Il la pilonnait avec la régularité d’un métronome, lui arrachant des gémissements. Il sentit qu’il venait. Il s’épancha dans un grondement sourd. Il se dégagea. Hortense se releva, se tourna, prenant appui avec ses mains sur le capot, présentant sa croupe en creusant les reins. Hortense regarda le deuxième homme. « A toi » lui ordonna-t-elle. Il trouva son chemin sans difficulté et s’enfonça entièrement. Il commença des mouvements de va et vient. Hortense avait fermé les yeux, concentrée sur son propre plaisir. Elle revoyait son interlocuteur du matin qui tentait de regarder ses jambes. Jamais il ne pourrait l’imaginer, à moitié dénudée, prise par des inconnus sur un parking d’autoroute. Le plaisir montait. Elle jouit dans un grand cri, désarçonnant son partenaire.
« Maintenant, partez » leur intima-t-elle.
Sa nuit n’était pas finie. Elle rabattit sa jupe. D’autres hommes allaient venir, elle en choisirait un, style bad boy qui la forcerait, avec qui elle connaitrait le grand frisson. Quelques couples passaient, des hommes aussi. Surtout des hommes. Ils regardaient cette proie offerte, chemisier ouvert sur des seins tentateurs mais son regard froid exprimait son refus et dissuadait les candidats.
Une demi-heure plus tard, son attente fut récompensée. Un gars aux cheveux noirs, mi-longs, les bras recouverts de tatouages, une chaine autour de son cou. L’allure du caïd de quartier. Vêtu d’une veste en jean ouverte sur son torse. Un jean élimé. Elle allait passer un bon moment.
Adossée à sa voiture, elle le fixa. Il s’approcha d’elle. Il reconnaissait dans sa tenue et dans son regard une femme de la haute. Sans doute son mari était-il tapi dans les buissons, jouant le rôle du voyeur. Il voulait voir du spectacle, il aurait du spectacle. Il détailla la femme. Les seins nus sous son chemisier, il devinait les mamelons au bout turgescent. Elle avait de jolies jambes, gainées de bas noirs. Il allait bien s’amuser.
Il s’approcha, l’attrapant par le revers de son chemisier. Il l’attira contre lui, plaquant son bassin contre le sien. Elle sentait bon, une flagrance luxueuse. « Alors salope, on a envie de s’encanailler ? Ton mari est caché et joue aux voyeurs ? Tu as envie de te faire tringler ? Demande-le-moi gentiment et je m’occupe de tout. » Hortense planta ses yeux dans les siens. « Oui, j’ai envie que tu me tringles. » Il plaqua ses mains sur ses fesses, retroussa la jupe. Ses mains caressèrent le nylon soyeux, atteignirent la bande de peau nue des cuisses et glissèrent sur les fesses nues. Elle n’avait pas de culotte. Il empauma les globes fessiers les serrant avec fermeté, les écartant pour dégager la raie. Derrière eux trois hommes s’étaient arrêtés et regardaient. La jupe fut dégrafée, et tomba au sol. La main droite de l’homme avait atteint l’œillet et pressait dessus. Il embrassait la femme à pleine bouche, sa langue était habile. Elle lui plaisait. Il sentait qu’il bandait. Il délaissa les fesses de la femme et s’empara de ses seins. Ils étaient doux. Il enleva le chemisier et le déposa sur le toit de la voiture. La femme était à présent nue, uniquement habillée de ses bas noirs tendus par le porte-jarretelles et de ses escarpins. C’était une bourgeoise, il en était certain. Il allait bien la gâter.
Hortense était nue. L’homme l’avait déshabillée. Elle, l’altière représentante de l’Etat, n’était plus habillée que par ses bas noirs et ses escarpins, caressée et embrassée par un homme des quartiers populaires. Trois hommes observaient la scène. Ils avaient sorti leur sexe et se masturbaient. Elle reporta son attention sur son partenaire. Elle écarta les pans de la veste en jean de l’homme, caressant son torse, griffant doucement la peau, excitant sa poitrine. Lui aussi semblait apprécier cette caresse. Elle frotta sa poitrine contre son torse. L’homme ouvrit son pantalon et sortit son sexe. Un sexe déjà tendu, décalotté, luisant, pulsant. Il appuya sur les épaules de la femme « Tu vas me sucer salope. Je suis certain que tu aimes ça et que tu pompes comme une reine. » Hortense s’accroupit et avança sa bouche. Elle entreprit une fellation dont elle avait le secret. Elle adorait prendre un sexe dans sa bouche et le sucer, certaine de le faire grossir et raidir davantage. Elle s’appliquait, alternant dépression et jeux de langue, n’oubliant pas les bourses. Il la tenait aux cheveux. Sa fellation dura une bonne dizaine de minutes. Elle mouillait abondamment. Cet homme tenait la distance, il la baiserait longtemps.
L’homme sentait que son sexe était dur. Il avait envie d’autre chose. Il agrippa la femme par les épaules et la releva. Il la retourna, plaquant son sexe contre ses fesses, caressant ses seins. Ils faisaient face au groupe de voyeurs. « Dis-nous ce que tu veux. Que tout le monde entende » lui demanda-t-il. « J’ai envie que tu me prennes, que tu me baises, que tu me ramones, que je te sente, que tu me fasses jouir » En disant cela, elle regardait les voyeurs. « Et eux, ils vont avoir leur récompense, ils pourront jouir sur toi, dis-leur » lui ordonna-t-il. « Oui, vous allez pouvoir juter sur moi quand il m’aura baisée. Je veux votre foutre sur moi ».
L’homme se couvrit d’un préservatif et allongea la femme sur le capot. Il releva ses jambes et la planta d’un coup sec. Il marqua un temps d’arrêt. Il était enfoncé en entier en elle. « Approchez les gars, venez profiter » dit-il. Les voyeurs s’approchèrent et se placèrent en demi-cercle. Il entama alors des mouvements de va et vient. « Tu aimes salope ? Ça te plait de te faire bourrer et que trois mecs te reluques ? « Hortense le défia du regard « Oui j’aime. Je te sens bien, c’est bon, continue. Oui j’aime qu’on me mate. Vas-y, défonce-moi, j’aime ça. » Il accéléra. Que cette femme était bonne. Son mari devait se branler dans les buissons. Il devait être à moitié impuissant. Elle avait besoin d’un mec, d’un vrai. Il venait taper en butée à chaque poussée, se retirait pour y revenir. Il se sentait capable de tenir longtemps. Elle avait passé ses mains sur ses fesses et les griffaient doucement. De temps en temps ses mains descendaient et caressaient ses bourses. Elle commençait à gémir de plus en plus régulièrement.
Hortense sentait le plaisir monter doucement. L’homme répondait à son fantasme. Bien baraqué, issu d’un milieu populaire, le type d’homme qu’elle pouvait écraser dans sa vie professionnelle, et là encore, c’est elle qui menait les débats. Elle qui l’avait attiré et qui allait le vider. Mais elle en profiterait. Elle regarda autour d’elle. Les trois voyeurs se caressaient, astiquant leur tige. Eux aussi repartiraient vidés. Une fois encore, elle aurait gagné. Elle repensa à son interlocuteur de la réunion du matin. Il avait essayé de voir ses jambes. Il s’était contenté de quelques centimètres autour du genou. Sûr qu’il aimerait se branler en pensant à elle, et peut-être le faisait-il. Mais lui ne verrait jamais rien... sauf à venir dans ce lieu prisé des voyeurs. Mais à cette heure-là, il devait être avec sa douce moitié devant le téléfilm du soir.
Hortense haletait, elle sentait les coups de boutoir au fond de son vagin. Elle était allongée sur le capot de la voiture, cuisses écartées, elle creusait les reins pour venir au-devant du viril assaillant. Son sexe était eau et feu. Il la besognait sans fioriture, appuyé des mains sur le capot. Il fixait ses seins qui bougeaient au rythme des assauts. Elle avança la tête et le mordilla au niveau du mamelon. Elle savait que la plupart des hommes aimait ça. « Oh putain, t’es bonne, tu m’excites trop. Je fais te fourrer et te faire gueuler comme une chienne. Ça doit faire un moment que ton mec t’a pas décalqué. Tu dois pas jouir tous les jours toi. Dis-moi que je te baise bien, que t’aimes ça. » Hortense délaissa le mamelon, et le regarda droit dans les yeux « Oui, j’aime comme tu me baises. Tu as raison je ne jouis pas tous les jours. Je garde ça pour les grandes occasions. Pour les bonnes queues. Oh c’est bon, je sens bien ta pine. Vas-y bourre-moi fort. Fais durer. »L’homme profitait de l’instant. Il baisait cette bourgeoise bien faite. Elle avait le regard et l’attitude fiers. Elle devait avoir de l’importance dans la vie. Et elle venait s’exhiber et se faire sauter comme une catin. Elles étaient parfois comme ça les femmes de la haute. Et il était là pour en profiter, lui l’homme du petit peuple. Il allait la faire couiner. Il savait qu’il était un bon amant et que sa queue, infatigable, conduirait sa partenaire à l’abandon. Il la regarda. Son visage était régulier. Il descendit son regard sur la poitrine bien faite, aux pointes dressées. A son tour il prit un têton en bouche et le mordilla. La femme gémit. Il accéléra ses coups de reins.
Hortense sentait que le dénouement était proche. Elle sentait la boule de feu naître au fond de son ventre. Son amant s’était redressé, il la regardait. Elle soutint son regard. Elle malaxait ses fesses de manière désordonnée, son plaisir montait. « Tu vas me faire jouir. J’aime ta queue. Elle est bonne. Tu baises bien. Accélère, tape fort, Vas-y. Oh je suis une salope, j’aime la bite. Vas-y défonce-moi » Elle soutint son regard jusqu’à ce qu’un formidable orgasme la désarçonne. Elle jouit longuement dans un feulement rauque qui n’en finissait pas en balbutiant des mots sans suite.
L’homme regardait la femme se tortiller dans tous les sens. Habituellement, les femmes fermaient les yeux au moment de jouir, elle les avait gardés ouverts, le fixant tandis que sa pupille se dilatait. Il se retira d’elle, arracha son préservatif et se caressant, éjacula longuement sur ses seins.
Les trois voyeurs s’approchèrent davantage et déversèrent leur semence sur le corps de la femme. Leur fortune faite, ils disparurent.
Hortense émergea lentement. Elle était seule. Elle ramassa chemisier et jupe, se rhabilla, enfila son trench qu’elle ferma, monta dans sa voiture et démarra. Sur le chemin du retour, elle s’assura de ne pas être suivie et rentra. Elle repensa à sa soirée. Trois mecs s’étaient occupés d’elle, trois avaient joui sur elle. Elle avait magnifiquement joui. Une bonne soirée en somme.
Elle n’avait pas toujours été comme cela. Elle avait rêvé d’une autre vie. Elle avait été en couple, elle était heureuse. Ils avaient voulu avoir un enfant. Ça n’avait pas marché. Après de longs et pénibles examens, le verdict était tombé : elle était stérile. Son compagnon ne l’avait pas supporté. Il n’imaginait pas une vie sans enfant. Elle n’était plus la femme de sa vie. Il l’avait quittée, la laissant avec son désespoir. Doublement meurtrie. Elle avait mis du temps à s’en remettre. Heureusement, son métier l’avait sauvée. Elle s’y était plongée corps et âme. Petit à petit, elle avait refait surface. Elle avait remarqué que les hommes la regardaient. Et cela était plaisant. Lorsqu’elle les prenait la main dans le sac, sa position sociale lui permettait des remettre en place. Elle prenait un malin plaisir à les humilier. Le désir sexuel était revenu. Mais pas question de se lancer dans une nouvelle aventure. Il fallait du sexe sans complication. Et elle avait découvert ce mode de rencontres furtives.
Elle passa par l’appartement de sa tante pour se doucher et se changer, puis rentra chez elle.
Sa méthode était infaillible parce qu’intraçable.
Hortense de Sainbrieux (et encore, elle faisait grâce de son deuxième prénom, Ségolène), la quarantaine était une brillante énarque qui avait choisi la préfectorale et qui était aujourd’hui la directrice de cabinet du préfet de cette métropole de l’ouest de la France. Dotée d’une intelligence vive, elle connaissait ses dossiers sur le bout des ongles.
Elle salua ses deux secrétaires, s’assit à son bureau et se plongea dans l’étude d’un dossier épineux relatif à l’agrandissement de l’université.
A onze heures, elle se rendit au rez-de-chaussée pour animer une réunion sur la circulation dans le centre-ville. Au milieu de la réunion, elle aperçut le regard d’un des participants braqué à la dérobée sur ses jambes. Elle s’en amusa. Elle savait que sa jupe mi-longue ne pouvait rien dévoiler. Ils étaient tous les mêmes, essayant de voler des images pour booster leur libido. Elle croisa les jambes. Elle savait que dans ce mouvement, quelques centimètres au-dessus de ses genoux s’offriraient à la vue de l’homme. A peine commencerait-il à fantasmer qu’elle mit fin à la récréation. Elle s’adressa à lui en lui posant une question technique précise à laquelle il ne put répondre. Elle accompagna son embarras en lui adressant un regard sans empathie dans lequel brillait un brin de mépris. Il se concentra sur ses documents tout le reste de la réunion, sans plus oser jeter un regard dans sa direction. Elle s’amusait de ces situations où son statut social lui permettait de dominer certains hommes sans vergogne. Mais elle ne devait rien laisser transparaitre. D’autant que l’Etat lui octroyait une protection discrète et particulièrement efficace.
Le reste de la journée se déroula en études de dossiers.
A dix-neuf heures, elle rangea ses dossiers, se leva, prit son manteau, éteignit la lumière et sortit. Elle salua le planton. Elle rentra chez elle, un appartement de fonction mis à sa disposition. Une demi-heure plus tard, elle en ressortit, s’installa au volant de sa Mini et démarra. Elle traversa rapidement la ville et stoppa devant l’entrée d’un garage souterrain privé. Son bip lui permit d’y accéder. Elle stationna sur une place numérotée puis gagna l’ascenseur qui la déposa au sixième étage, là où habitait sa tante. Elle sortit un trousseau de clé et entra dans l’appartement dont le salon était éclairé. En réalité, l’appartement était vide. Sa tante était décédée deux années auparavant et les parents d’Hortense avaient hérité de ce beau trois pièces, dont on pouvait commander l’électricité à distance. Habitant le sud de la France, ils n’y venaient jamais. Hortense se dirigea vers la salle de bain. Elle se déshabilla, enlevant son sage chemisier, son soutien-gorge, sa jupe, ses collants et sa culotte. Elle fila sous la douche. Lavée puis essuyée, elle se dirigea vers la chambre, ouvrit un placard et choisit ses vêtements avec soin. Elle enfila un chemisier ajouré, laissant plus que deviner ses seins nus, un porte-jarretelles, des bas noirs, un string de la même couleur et une jupe courte. Elle retourna dans la salle de bain pour se maquiller. Elle avait profité de la douche pour se shampouiner avec une teinture qui blondissait ses cheveux, une teinture qui disparaitrait avec la prochaine douche. Elle ajouta trois mèches vertes et des lentilles colorant son iris en bleu. Elle chaussa des escarpins à talons haut, enfila un trenchcoat et compléta sa transformation avec des lunettes. L’ascenseur la redéposa au parking, Elle s’installa au volant d’une grosse berline Peugeot, qui était la voiture de sa tante. Elle sortit de l’immeuble, tourna à gauche, suivit les grands boulevards et atteignit l’autoroute. Cinquante kilomètres plus loin elle s’engagea sur une aire de stationnement. Elle serra à droite, suivit un chemin goudronné peu visible, franchit une barrière ouverte, continua sur environ quatre cents mètres et s’arrêta dans ce qui était un ancien parking, à présent à moitié repris par une végétation sauvage.. Elle se débarrassa de son trenchcoat. Elle aimait cette atmosphère glauque, ce repère d’exhibitionnistes et de voyeurs. Nul ne savait qui elle était et cela accentuait son excitation. Un mouvement sur la gauche attira son attention. Un homme glissait le long de la voiture. Il jeta un coup d’œil à l’intérieur. Hortense le regardait. Il défit son pantalon, sortit son sexe. Un sexe large, à moitié bandé. Il attendait un geste de la femme. Hortense le regarda. Il avait une trentaine d’années, le teint mat des méditerranéens. Elle lui sourit et sortit de la voiture. Dans le mouvement, sa jupe s’était relevée, dévoilant ses bas et le haut de ses cuisses. Ils étaient face à face, se regardant dans les yeux. Un bruit derrière elle. Elle se retourna brièvement. Un autre homme s’était rapproché. Une vingtaine d’années. Vêtu d’un jean et d’un teeshirt. Il s’arrêta derrière elle.
Hortense reporta son attention sur le brun. Il tenait son sexe dans la main, le caressant doucement. Il la fixait des yeux. La jeune femme abaissa son regard sur le membre. Une belle pièce. Regardant l’homme, elle déboutonna lentement son chemisier, écarta les pans pour dévoiler sa poitrine. Elle prit ses seins dans ses mains pour les caresser de manière sensuelle. Ses pointes s’allongèrent sous la caresse. Devant elle, le sexe s’était affermi, stimulé par le va et vient manuel. Elle se retourna. Derrière elle, l’homme, le pantalon aux chevilles, se masturbait lentement. Elle s’adressa à lui « Approche. Viens derrière moi. Déshabille-toi ». Elle entendit des froissements de tissu. Un coup d’œil derrière elle la renseigna. « Approche. Encore. Retrousse ma jupe. Lentement. « Face à elle, l’homme regardait. La femme se caressait langoureusement les seins. Elle avait une poitrine magnifique qui se passait allègrement de soutien-gorge. Derrière elle, un homme nu, sur son ordre, avait empoigné sa jupe et la remontait doucement. Il voyait apparaitre le bandeau des bas, puis la zone de peau nue et une culotte noire qui moulait son sexe avec précision. La jupe finit tirebouchonnée sur les hanches. La femme dit quelque chose. Il attrapa la culotte et la descendit aux chevilles. Elle avait un sexe lisse, déjà luisant d’humidité.
Hortense était excitée. Elle exhibait son corps sans vergogne à cet homme. Sa verge était à présent raide et dressée, le gland largement décalotté. Elle se délectait à l’avance. Tout à l’heure, elle le prendrait dans sa bouche, le sucerait pour le faire grossir encore puis elle s’offrirait à cet inconnu. Derrière elle, l’homme promenait son sexe bandé contre ses fesses, le faisant glisser le long de la raie. Ses mains caressaient sa vulve trempée, il avait introduit deux doigts dans son sexe et de l’autre main agaçait le clitoris.
Elle s’avança et s’agenouilla devant le brun. Elle prit sa verge entre ses mains et repoussa le prépuce. Elle déposa de la salive sur le gland et entreprit de le sucer, avalant autant qu’elle pouvait le cylindre de chair. Sa main droite vint empaumer les bourses qu’elle sentait tressauter. Sa main gauche s’inséra entre les jambes et de son index elle força l’œillet de l’anus. L’homme se laissait faire. Il avait posé ses mains dans la chevelure de la femme. Elle savait y faire, le pompant avec une science consommée.
Après dix minutes d’un tel traitement, elle se releva, attrapa l’homme par la main et recula jusqu’à sa voiture. Elle s’allongea sur le capot encore tiède, jambes écartées. L’homme sortit un préservatif de sa poche et en coiffa son pénis bandé non sans difficulté. Il présenta son sexe à l’entrée de la vulve humide. « Vas-y, baise-moi » implora-t-elle d’une voix rauque. Il s’enfonça d’un coup dans le fourreau. Puisqu’elle lui avait demandé, il la prit à grands coups de reins. Haletante, elle noua ses jambes autour du bas du dos de l’homme, envoyant son bassin à la rencontre du pieu tendu. Il la pilonnait avec la régularité d’un métronome, lui arrachant des gémissements. Il sentit qu’il venait. Il s’épancha dans un grondement sourd. Il se dégagea. Hortense se releva, se tourna, prenant appui avec ses mains sur le capot, présentant sa croupe en creusant les reins. Hortense regarda le deuxième homme. « A toi » lui ordonna-t-elle. Il trouva son chemin sans difficulté et s’enfonça entièrement. Il commença des mouvements de va et vient. Hortense avait fermé les yeux, concentrée sur son propre plaisir. Elle revoyait son interlocuteur du matin qui tentait de regarder ses jambes. Jamais il ne pourrait l’imaginer, à moitié dénudée, prise par des inconnus sur un parking d’autoroute. Le plaisir montait. Elle jouit dans un grand cri, désarçonnant son partenaire.
« Maintenant, partez » leur intima-t-elle.
Sa nuit n’était pas finie. Elle rabattit sa jupe. D’autres hommes allaient venir, elle en choisirait un, style bad boy qui la forcerait, avec qui elle connaitrait le grand frisson. Quelques couples passaient, des hommes aussi. Surtout des hommes. Ils regardaient cette proie offerte, chemisier ouvert sur des seins tentateurs mais son regard froid exprimait son refus et dissuadait les candidats.
Une demi-heure plus tard, son attente fut récompensée. Un gars aux cheveux noirs, mi-longs, les bras recouverts de tatouages, une chaine autour de son cou. L’allure du caïd de quartier. Vêtu d’une veste en jean ouverte sur son torse. Un jean élimé. Elle allait passer un bon moment.
Adossée à sa voiture, elle le fixa. Il s’approcha d’elle. Il reconnaissait dans sa tenue et dans son regard une femme de la haute. Sans doute son mari était-il tapi dans les buissons, jouant le rôle du voyeur. Il voulait voir du spectacle, il aurait du spectacle. Il détailla la femme. Les seins nus sous son chemisier, il devinait les mamelons au bout turgescent. Elle avait de jolies jambes, gainées de bas noirs. Il allait bien s’amuser.
Il s’approcha, l’attrapant par le revers de son chemisier. Il l’attira contre lui, plaquant son bassin contre le sien. Elle sentait bon, une flagrance luxueuse. « Alors salope, on a envie de s’encanailler ? Ton mari est caché et joue aux voyeurs ? Tu as envie de te faire tringler ? Demande-le-moi gentiment et je m’occupe de tout. » Hortense planta ses yeux dans les siens. « Oui, j’ai envie que tu me tringles. » Il plaqua ses mains sur ses fesses, retroussa la jupe. Ses mains caressèrent le nylon soyeux, atteignirent la bande de peau nue des cuisses et glissèrent sur les fesses nues. Elle n’avait pas de culotte. Il empauma les globes fessiers les serrant avec fermeté, les écartant pour dégager la raie. Derrière eux trois hommes s’étaient arrêtés et regardaient. La jupe fut dégrafée, et tomba au sol. La main droite de l’homme avait atteint l’œillet et pressait dessus. Il embrassait la femme à pleine bouche, sa langue était habile. Elle lui plaisait. Il sentait qu’il bandait. Il délaissa les fesses de la femme et s’empara de ses seins. Ils étaient doux. Il enleva le chemisier et le déposa sur le toit de la voiture. La femme était à présent nue, uniquement habillée de ses bas noirs tendus par le porte-jarretelles et de ses escarpins. C’était une bourgeoise, il en était certain. Il allait bien la gâter.
Hortense était nue. L’homme l’avait déshabillée. Elle, l’altière représentante de l’Etat, n’était plus habillée que par ses bas noirs et ses escarpins, caressée et embrassée par un homme des quartiers populaires. Trois hommes observaient la scène. Ils avaient sorti leur sexe et se masturbaient. Elle reporta son attention sur son partenaire. Elle écarta les pans de la veste en jean de l’homme, caressant son torse, griffant doucement la peau, excitant sa poitrine. Lui aussi semblait apprécier cette caresse. Elle frotta sa poitrine contre son torse. L’homme ouvrit son pantalon et sortit son sexe. Un sexe déjà tendu, décalotté, luisant, pulsant. Il appuya sur les épaules de la femme « Tu vas me sucer salope. Je suis certain que tu aimes ça et que tu pompes comme une reine. » Hortense s’accroupit et avança sa bouche. Elle entreprit une fellation dont elle avait le secret. Elle adorait prendre un sexe dans sa bouche et le sucer, certaine de le faire grossir et raidir davantage. Elle s’appliquait, alternant dépression et jeux de langue, n’oubliant pas les bourses. Il la tenait aux cheveux. Sa fellation dura une bonne dizaine de minutes. Elle mouillait abondamment. Cet homme tenait la distance, il la baiserait longtemps.
L’homme sentait que son sexe était dur. Il avait envie d’autre chose. Il agrippa la femme par les épaules et la releva. Il la retourna, plaquant son sexe contre ses fesses, caressant ses seins. Ils faisaient face au groupe de voyeurs. « Dis-nous ce que tu veux. Que tout le monde entende » lui demanda-t-il. « J’ai envie que tu me prennes, que tu me baises, que tu me ramones, que je te sente, que tu me fasses jouir » En disant cela, elle regardait les voyeurs. « Et eux, ils vont avoir leur récompense, ils pourront jouir sur toi, dis-leur » lui ordonna-t-il. « Oui, vous allez pouvoir juter sur moi quand il m’aura baisée. Je veux votre foutre sur moi ».
L’homme se couvrit d’un préservatif et allongea la femme sur le capot. Il releva ses jambes et la planta d’un coup sec. Il marqua un temps d’arrêt. Il était enfoncé en entier en elle. « Approchez les gars, venez profiter » dit-il. Les voyeurs s’approchèrent et se placèrent en demi-cercle. Il entama alors des mouvements de va et vient. « Tu aimes salope ? Ça te plait de te faire bourrer et que trois mecs te reluques ? « Hortense le défia du regard « Oui j’aime. Je te sens bien, c’est bon, continue. Oui j’aime qu’on me mate. Vas-y, défonce-moi, j’aime ça. » Il accéléra. Que cette femme était bonne. Son mari devait se branler dans les buissons. Il devait être à moitié impuissant. Elle avait besoin d’un mec, d’un vrai. Il venait taper en butée à chaque poussée, se retirait pour y revenir. Il se sentait capable de tenir longtemps. Elle avait passé ses mains sur ses fesses et les griffaient doucement. De temps en temps ses mains descendaient et caressaient ses bourses. Elle commençait à gémir de plus en plus régulièrement.
Hortense sentait le plaisir monter doucement. L’homme répondait à son fantasme. Bien baraqué, issu d’un milieu populaire, le type d’homme qu’elle pouvait écraser dans sa vie professionnelle, et là encore, c’est elle qui menait les débats. Elle qui l’avait attiré et qui allait le vider. Mais elle en profiterait. Elle regarda autour d’elle. Les trois voyeurs se caressaient, astiquant leur tige. Eux aussi repartiraient vidés. Une fois encore, elle aurait gagné. Elle repensa à son interlocuteur de la réunion du matin. Il avait essayé de voir ses jambes. Il s’était contenté de quelques centimètres autour du genou. Sûr qu’il aimerait se branler en pensant à elle, et peut-être le faisait-il. Mais lui ne verrait jamais rien... sauf à venir dans ce lieu prisé des voyeurs. Mais à cette heure-là, il devait être avec sa douce moitié devant le téléfilm du soir.
Hortense haletait, elle sentait les coups de boutoir au fond de son vagin. Elle était allongée sur le capot de la voiture, cuisses écartées, elle creusait les reins pour venir au-devant du viril assaillant. Son sexe était eau et feu. Il la besognait sans fioriture, appuyé des mains sur le capot. Il fixait ses seins qui bougeaient au rythme des assauts. Elle avança la tête et le mordilla au niveau du mamelon. Elle savait que la plupart des hommes aimait ça. « Oh putain, t’es bonne, tu m’excites trop. Je fais te fourrer et te faire gueuler comme une chienne. Ça doit faire un moment que ton mec t’a pas décalqué. Tu dois pas jouir tous les jours toi. Dis-moi que je te baise bien, que t’aimes ça. » Hortense délaissa le mamelon, et le regarda droit dans les yeux « Oui, j’aime comme tu me baises. Tu as raison je ne jouis pas tous les jours. Je garde ça pour les grandes occasions. Pour les bonnes queues. Oh c’est bon, je sens bien ta pine. Vas-y bourre-moi fort. Fais durer. »L’homme profitait de l’instant. Il baisait cette bourgeoise bien faite. Elle avait le regard et l’attitude fiers. Elle devait avoir de l’importance dans la vie. Et elle venait s’exhiber et se faire sauter comme une catin. Elles étaient parfois comme ça les femmes de la haute. Et il était là pour en profiter, lui l’homme du petit peuple. Il allait la faire couiner. Il savait qu’il était un bon amant et que sa queue, infatigable, conduirait sa partenaire à l’abandon. Il la regarda. Son visage était régulier. Il descendit son regard sur la poitrine bien faite, aux pointes dressées. A son tour il prit un têton en bouche et le mordilla. La femme gémit. Il accéléra ses coups de reins.
Hortense sentait que le dénouement était proche. Elle sentait la boule de feu naître au fond de son ventre. Son amant s’était redressé, il la regardait. Elle soutint son regard. Elle malaxait ses fesses de manière désordonnée, son plaisir montait. « Tu vas me faire jouir. J’aime ta queue. Elle est bonne. Tu baises bien. Accélère, tape fort, Vas-y. Oh je suis une salope, j’aime la bite. Vas-y défonce-moi » Elle soutint son regard jusqu’à ce qu’un formidable orgasme la désarçonne. Elle jouit longuement dans un feulement rauque qui n’en finissait pas en balbutiant des mots sans suite.
L’homme regardait la femme se tortiller dans tous les sens. Habituellement, les femmes fermaient les yeux au moment de jouir, elle les avait gardés ouverts, le fixant tandis que sa pupille se dilatait. Il se retira d’elle, arracha son préservatif et se caressant, éjacula longuement sur ses seins.
Les trois voyeurs s’approchèrent davantage et déversèrent leur semence sur le corps de la femme. Leur fortune faite, ils disparurent.
Hortense émergea lentement. Elle était seule. Elle ramassa chemisier et jupe, se rhabilla, enfila son trench qu’elle ferma, monta dans sa voiture et démarra. Sur le chemin du retour, elle s’assura de ne pas être suivie et rentra. Elle repensa à sa soirée. Trois mecs s’étaient occupés d’elle, trois avaient joui sur elle. Elle avait magnifiquement joui. Une bonne soirée en somme.
Elle n’avait pas toujours été comme cela. Elle avait rêvé d’une autre vie. Elle avait été en couple, elle était heureuse. Ils avaient voulu avoir un enfant. Ça n’avait pas marché. Après de longs et pénibles examens, le verdict était tombé : elle était stérile. Son compagnon ne l’avait pas supporté. Il n’imaginait pas une vie sans enfant. Elle n’était plus la femme de sa vie. Il l’avait quittée, la laissant avec son désespoir. Doublement meurtrie. Elle avait mis du temps à s’en remettre. Heureusement, son métier l’avait sauvée. Elle s’y était plongée corps et âme. Petit à petit, elle avait refait surface. Elle avait remarqué que les hommes la regardaient. Et cela était plaisant. Lorsqu’elle les prenait la main dans le sac, sa position sociale lui permettait des remettre en place. Elle prenait un malin plaisir à les humilier. Le désir sexuel était revenu. Mais pas question de se lancer dans une nouvelle aventure. Il fallait du sexe sans complication. Et elle avait découvert ce mode de rencontres furtives.
Elle passa par l’appartement de sa tante pour se doucher et se changer, puis rentra chez elle.
Sa méthode était infaillible parce qu’intraçable.
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