La Fifille à Mamam

- Par l'auteur HDS Camillette -
Récit érotique écrit par Camillette [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : La Fifille à Mamam Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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La Fifille à Mamam
Prélude :

Avant de commencer mon histoire, il faut par ce chapitre me présenter pour que vous sachiez qui je suis.
Je suis né il y a 18 ans dans une famille bourgeoise parisienne d’un père Breton et d’une mère Suédoise, mes parents dirigeaient une grande société familiale d’import export internationale.
La famille avait déjà 2 garçons un de 12 ans et un deuxième de 8 ans, ma mère désirait désespérément avoir une fille et elle était tellement persuadée que son troisième enfant serait une fille, qu’elle avait, avant la naissance, décidée qu’elle s’appellerait Camille.
Quelle ne fut pas sa déception quand on lui annonça que le nouveau né est un garçon et avant l’accouchement elle tomba en dépression totale allant même jusqu’à refuser de s’alimenter ce qui mettait en péril sa vie et celle du futur bébé, donc moi.
Mon père voyant ma mére dépérir au fil du temps s’inquiétant de son état de santé qui se dégradait, lui fit cette proposition, puisqu’elle désirait tant une fille, il allait la laisser élever ce futur enfant comme une fille, la laissant totalement libre de son éducation, de toute façon la descendance de la famille est assurée par ces 2 enfants mâles.
Ma mère heureuse de cette proposition se reprit et finit sa grossesse dans des conditions optimales jusqu’à ma naissance, sa «  petite princesse », ils décidèrent de garder le prénom Camille ( un prénom mixte ) et d’un commun accord avec les ainés de me considérer comme leur petite soeur.
Comme convenu ma mère m’éleva comme une petite fille durant toute mon enfance, on m’appelait toujours au féminin , ( ma chérie, ma belle , ma puce , ma princesse…), mon physique facilitait pleinement cette éducation car je ressemblais à une vraie petite poupée blonde, les cheveux fins que je portais longs, un visage d’ange et de magnifiques yeux bleus.
Coté habillement je portais bien sur des tenues féminines, petites robes, jupes, des rubans dans les cheveux, la princesse de la famille, ma mère était comblée et totalement heureuse, mon père malgré les remarques de sa propre famille qui pensait que c’était pas une situation saine pour un petit garçon, acceptait la situation pour le bonheur de sa femme.

Un évènement tragique arriva après mon deuxième anniversaire, mon père et mes 2 frères décédèrent lors d’un accident d’avion.
Ma mère dévastée par la perte de son mari et de ces 2 ainés après une période de deuil, trouvait un sens à sa vie dans l’amour qu’elle portait moi sa « fille » qu’elle protégeait et couvait d’une manière excessive.
Mes premières années d’enfant s’effectuait dans cette environnement totalement féminin, j’étais de plus en plus belle, longue chevelure blonde lisse, visage fin , de splendide yeux bleus, une allure altière et précieuse, une silhouette fine et svelte dessinée par la pratique de la danse classique et de l’équitation, une magnifique fillette.
Bien sur ma mère a été obligé de faire quelques entorses à ces principes d’éducation quand j’ai fais ma première rentrée scolaire ou elle avait adapté mon style vestimentaire avec des vêtements plus classique pour un garçon même féminin tout en restant girly dans les couleurs et les modèles.
Avec l’âge et les relations que j’avais à l’école, j’étais confronté aux remarques de mes amis, certains s’étonnaient de mon allure féminine, d’autres plus méchants, les garçons, m’appelaient la fifille pensant me fair mal et ne voulaient pas jouer avec moi. Cette découverte de la vie ne m’a pas affecté, étant conscient que je n’étais pas un garçon comme les autres, j’avais des copines très proches et surtout l’amour de ma mère.

A l’âge de 10 ans, avant mon entrée au collége, un autre évènement allait transformer radicalement et définitivement ma vie.
Dans un parc de la capitale, alors que j’étais sous la surveillance de ma nounou, je jouais avec des copines et des copains quand soudain un grand chien pris par une rage inexpliquée s’est rué vers notre groupe et m’a attaqué en me mordant au niveau des parties génitales, bien sur la panique était totale, le propriétaire a réussi à maitriser son chien, me laissant ensanglanté et pleurant de douleur, on m’emmena immédiatement aux urgences pour soigner mes blessures.
Le médecin convoqua ma mère pour lui annoncer les conséquences de mes blessures, les morsures du chien ont fait des dégâts au niveau des testicules qui ont été atteint d’une façon irrémédiable et que malheureusement il fallait faire une opération d’ablation des testicules pour éviter les infections.
Résultat, après l’opération et plusieurs semaines hospitalisé, je me retrouve avec juste un petit pénis entre les jambes. La nature ayant horreur du vide les médecins proposèrent un traitement hormonale, ma mère voyant un signe du destin dans ce malheur, puisque son fils ne sera plus jamais un homme capable de se reproduire autant en faire une femme, et elle demanda qu’on m’administre des hormones féminines, par cette décision elle scella pour toujours mon avenir sexuel.
Aujourd’hui, bien que officiellement garçon et malgré un petit penis atrophié qui ressemblait plus à un gros clito, on dit que je suis une magnifique jeune fille, 168 cm 52 kg, un visage fin, des yeux bleus en amande, une longue chevelure blonde lisse tombant à mi dos, grâce aux hormones pris, des petits seins de fillette bien rond, une taille de guêpe, des hanches bien rondes et des petites fesses à faire bander un curé et bien sur totalement imberbe lisse comme un bébé, en un mot une poupée blonde.
J’ai pas besoin de vous préciser que me considérant comme une fille, sexuellement je suis attiré par les garçons, les mâles, ma mère peut être contante et fière du résultat, elle a une fille…

Chapitre 1 :

On est fin juin, mon histoire commence sur une chaise dans la salle d’attente devant le bureau de la directrice d’un pensionnat un peu spécial, exclusivement réservé aux garçons gays de la grande bourgeoisie. Ma mère est en train de parler avec la directrice afin de finaliser mon inscription dans ce pensionnat pour l’année à venir. Ma mère, après une histoire qui a viré au scandale dans mon ancien lycée privé,( je vous raconterais les détails un peu plus tard), pour me protéger, c’est décidé à me mettre en pension.
Au bout d’une demi-heure sur cette chaise à pianoter sur mon iPhone, un homme d’une quarantaine d’année sort du bureau.
- Camille, venez je vous prie, votre présence est désirée.
Il me laisse passé devant lui pour entrer dans le bureau, sourire aux lèvres et un regard insistant me détaillant de la tête aux pieds, genre de regard que je connais trop bien pour l’avoir subie des centaines de fois, de la part du mâle toisant une femelle.
Dans le bureau je vis ma mère assise devant le bureau d’une vielle dame qui devait être la directrice.
- Ah voila Camille, asseyez vous ma petite à coté de votre maman, je suis Mme Buchert la directrice et voici Mr Martin mon sous-directeur, chère madame il est vrai que votre enfant est magnifiquement belle et je comprends que vous vouliez la protéger après l’agression qu’elle a subie. Camille mon enfant, votre mère nous a raconté votre mésaventure et je peux vous assurer que dans notre établissement, vous serez dans les meilleurs dispositions pour vous épanouir dans vos études et surtout dans votre vie adolescente.
Je me retournais vers maman, la fusillant du regard, mais pourquoi avait-elle raconté ce qui m’était arrivé dans mon ancien lycée, je me sentais honteuse que ça se sache.
- Comme je disais à votre mère, notre établissement est dédié exclusivement aux adolescents homosexuels, aussi bien les actifs que les passifs, il y a 2 catégories d’élèves chez nous, les « male et les female », si vous préférez les garçons et les filles, chacune et chacun vivant leur préférence en toute liberté. Je suis sur que vous allez très bien vous adaptez au sein de notre lycée et vous souhaite la bienvenue. Mr Martin pouvez-vous amener notre nouvelle élève dans votre bureau pour lui expliquer le fonctionnement de l’établissement pendant que nous finissions les formalités de son inscription avec Mme Delatour ?
- Bien sur Mme la directrice, Camille, suivez moi dans mon bureau.
Je me levais, laissant ma mère et suivie Mr Martin vers son bureau.
Arrivé chez Mr Martin, il me fit assoir sur une chaise face à son bureau alors que lui resta debout en mode décontracté tournant autour de moi, son regard de prédateur dominant me mettait mal à l’aise, je me sentais comme une petite souris face à un gros matou prêt à me dévorer.
Il m’expliqua le fonctionnement du pensionnat, au début rien de spécial, les cours, les profs, le programme de terminal, (oui je sais je suis en retard avec mes 18 ans mais à cause de mon hospitalisation et les opérations d’ablation de mes testicules j’ai raté une année scolaire et j’ai effectué ma 1ère année de collège le bac, les heures de repas, les chambres individuelles, les heures de couché et de réveil, la discipline… Enfin la totale, rien de nouveau par rapport aux autres lycée, la suite va être non seulement différente mais surtout étonnante et surprenante.
Il se rapprocha de moi, pris une chaise et s’installa à coté de moi presque à me toucher.
- Chère Camille, comme l’a expliqué la directrice, notre établissement est très différent des autres dans son approche du bien être de nos élèves, tous sont gays bien sur mais il y a une distinction majeure entre eux, les actifs et les passifs, les masculins et les féminins et si j’osais les mâles et les femelles et donc pour favoriser l’épanouissement de chacun en leur permettant de vivre comme ils sont en toute liberté, les garçons féminins, les « femelles » dont vous faites parti ma petite, seront considéré comme des filles, on s’adressera à vous en mode féminin, les toilettes sont séparés, les vestiaires de sport aussi et surtout les uniformes sont différents, les garçons sont en pantalon, chemise blanche, cravate et veste alors que les filles vous serez en jupe plissée, chemisier rose, foulard et veste.
J’étais sidérée par ce que je viens d’entendre, je ne pensais pas qu’un jour je pourrais être une fille au lycée, j’avoue qu’en fait cette situation me plaisait de plus en plus, Mr Martin a du voir dans mes yeux la surprise mais aussi l’excitation.
- Ce ne sera pas un problème pour vous Camille, votre mère nous a confié qu’à la maison vous vous habillez et comportez comme une fille, ah au fait j’allais oublié, pour les « filles » avec les cheveux longs comme vous, on demande que pendant les cours, votre visage soit dégagé, vous avez le choix queue de cheval, chignon, tresses ou serre tête, au demeurant vous avez une très belle chevelure blonde, fine et soyeuse, des cheveux de princesse.
Il accompagna cette remarque par le geste en me touchant les cheveux, il était si prêt que j’ai cru un moment qu’il allait m’embrasser, il se leva de sa chaise et j’ai remarqué que son pantalon avait pris du volume entre les jambes, ce vieux cochon bandait et ça m’a fait sourire, ah ces hommes tous les mêmes…
- Vous avez des questions mademoiselle Camille ?
- Euh non je crois pas, vous avez été très clair monsieur.
- Ah si !!! j’allais oublié, un détail qui pourrait vous intéresser, nous sommes conscient qu’entre adolescents gays il peut y avoir des rapprochements amoureux, c’est pour ça que nous sommes très ouverts dans ce domaine, on accepte la formation de couple et même on l’encourage, par expérience nous savons que les couples évitent que la jalousie et les conflits se forment entre garçons qui pourraient convoiter des filles, donc il y a moins de tension et l’année se passe beaucoup mieux. Et si je puis me permettre, votre beauté exceptionnelle Camille va faire tourner plus d’une tête et je vous conseille de vous mettre en couple très rapidement en début d’année parce que je peux vous assurer que tout les mâles vont vous convoiter et là il va y avoir de la tension c’est sur.
Il se mis à sourire d’un air convenu et moi le regardant droit dans les yeux par défi pour cet homme qui me prend pour une petite fillette fragile.
- Je vous promet d’y réfléchir monsieur, je ne voudrais pas être la cause de troubles au sein du pensionnat.
Il allait répondre mais à ce moment là, la directrice et ma mère sont entrées. On quittait le pensionnat que je retrouverais début septembre pour la rentrée de l’année scolaire qui s’annonçait très intéressante pour moi.
Dans la voiture qui nous ramenait à la maison, on échangeait nos impressions sur le pensionnat.
- Maman, tu étais au courant qu’il y avait un dress-code spécial et qu’ils considéraient les garçons féminins comme des filles ?
- Je savais qu’ils laissaient à chaque enfant la possibilité de vivre librement leur préférence mais je ne savais pas pour le reste, en tout cas ça va pas te dépayser de la maison ma chérie et je suis sur que tu seras à croquer dans cet uniforme.
- Mouai, je vais devoir subir les regards insistants des garçons tout le temps.
- Là aussi tu en as l’habitude non . Me dit elle avec un sourire.
- Au fait pourquoi tu leur as raconté ce qui c’est passé au lycée, j’étais super gênée.
- Ne t’inquiètes pas je ne suis pas rentrée dans les détails, j’ai juste dis pour justifier mon intention de te placer en pension que tu as eu des problèmes avec des garçons sans plus.
Vous vous demandez surement ce qui c’est passé de grave et quelle a été ce problème, et bien je vais vous le dire…avec les détails !!!

C’est au collège que j’ai commencé à m’intéresser vraiment aux garçons, premier petit copain, premier baiser, premières caresses. Ces premières années de découverte des relations avec les « mâles » m’ont confirmé dans mon rôle de petite femelle, j’étais faite pour ça et j’en prenais un immense plaisir, la seule chose que je refusais à mes petits copains c’est le sexe, je me sentais pas prête et j’avoue, j’avais un peu peur de cette expérience.
Pierre est un pote de lycée, on est sorti ensemble il y a 3 mois, lors de la soirée que j’ai organisé pour mon 18 ème anniversaire, on était en couple mais pas officiellement, à part quelques potes personne ne le savait au lycée, il ne voulait pas que ça se sache, il est bi et voulait rester discret, moi bien sur je vivais ma sexualité en toute liberté tout le monde savait que j’étais gay, j’avais un groupe de potes garçons et filles qui m’acceptaient, quand aux autres ça allait de l’indifférence, des moqueries et parfois de remarques sexistes sur mon apparence de fille, mais je m’en moque totalement et vis ma vie comme je l’entend.
Avec Pierre on sortait ensemble comme un vrai couple hétéro, on se voyait chez moi ou chez lui, on allait au resto, au ciné, on sortait avec nos potes, c’était pas de l’amour mais j’était bien avec lui, du même âge que moi il est brun yeux verts grand musclé sportif un vrai bg, on faisait un beau couple, sans oublié qu’il avait un beau sexe juste ce qu’il faut comme dimension pour me faire plaisir en le suçant, le seul problème c’est qu’il me réclamait de plus en plus de pouvoir me sodomiser, ce que je refusais toujours, et qui le frustrait dans son rôle de mâle dominant et viril voulant posséder sa femelle, je lui ai juste consentie qu’il me doigte la rondelle, mais je voyais bien qu’il y avait de la tension entre nous à cause de ce problème, il voulait beaucoup plus que je pouvais lui donner, ce que je comprenait bien sur, c’est un mâle avec des besoins de mâle et me voulait comme sa femelle complètement soumise.
Ce jour là au lycée, il est venu me voir pour me parler seul à seul.
- Bébé, rejoins moi après le cours à 16h comme dab au vestiaire du gymnase, j’ai grave envie de toi et de ta petite bouche gourmande.
- Pierre, pourquoi rester au lycée ? Tu n’as qu’à venir à la maison, ma mère rentre tard, on sera plus tranquille et je pourrais m’occuper de mon homme, moi aussi ta queue me manque.
- Non je peux pas ce soir, je dois aller à une réunion avec le foot, s’il te plait ma chérie dis oui.
- Bon ok, je te retrouverais au vestiaire.
Il me fit un grand sourire et repartit vers son prochain cours, le vestiaire du gym était notre endroit discret ou on se retrouvait pour s’embrasser et le sucer au lycée, je savais ce que j’allais devoir faire pour le plaisir de mon mec et j’étais très excitée.
Après les cours, je me rends comme convenu au vestiaire ou doit m’attendre mon mec. A peine entrée Pierre me prend par la main et m’amène vers le centre de la pièce, il me retourne face à lui, me tient par les hanches, se colle à moi, nos visages tout proche.
- Tu ne fermes pas la porte à clé, quelqu’un pourrait rentrer et nous surprendre.
- T’inquiètes ma belle, personne ne viendra nous déranger, on est tranquille, tu peux te lâcher.
Sur ces mots, une main dans mes cheveux, l’autre me plotant les fesses, il prend ma bouche dans un baiser tendre et fougueux à la fois, il embrasse divinement bien, enfonçant sa langue, prenant possession de ma bouche, je devais être rouge tellement ce long baiser m’a coupé le souffle; Il lâcha son étreinte buccale, me caressant le visage et les cheveux, son regard perçant dans le mien, me dit d’un ton direct du mâle dominant.
- Allez petite, on passe aux choses sérieuses, à genoux et fait ton travail de meuf, suces ton homme.
Dans un premier temps je fut surprise par son langage direct, mais j’avoue que ça m’a excitée de me sentir soumise, alors je me mis à genoux, je défaisais son jean qui tombe sur ses chevilles, apparue alors une belle bosse moulée dans son boxer qui ne demandait qu’à jaillir. Avant de libérer la bête, j’ai commencé à la branler avec mes petites mains, sentir au touché sa dureté. Une fois avoir libéré le monstre, je restais là, sans bouger, à regarder de longues secondes ce beau sexe se dressant face à mon visage, le gland à quelques centimètres.
- Alors qu’est ce que tu attends pour la prendre en bouche, vas y ma belle fais toi plaisir, t’en meurs d’envie.
J’effleurais d’abord sa queue avec de petits coups de langues sur le gland la faisant frémir, je la léchais ensuite sur toute sa longueur, Pierre adore ça, il grognait de plaisir. Mes lèvres entouraient maintenant sa bite, je suçais avec gourmandise, ma main allant malaxer ces lourdes couilles, le gout salé de sa queue me faisait perdre tout repère. Pierre en bon mâle dominant pris les choses en main, ou plutôt ma longue chevelure dans ses mains pour enfoncer son sexe plus loin dans ma gorge et imprimant un va et vient plus dynamique, me baisant presque la bouche, me déformant la mâchoire, m’étouffant à me faire tousser et saliver comme une chienne.
- Putain, tu suces toujours aussi bien petite tapette, ta bouche est trop bonne. T’aimes ça ma salope sucer ma queue, tu kiffes dis le.
Toujours en me tenant par les cheveux il retira sa queue pour me laisser répondre.
- huuummm. Ouiiii je kiffe te sucer ta queue est trop bonne.
Toujours agrippé à mes cheveux il remis sa queue dans ma bouche, je repris mon travail de suceuse m’activant comme une folle sur son gourdin de chair. Je jette de temps en temps un regard à mon mec, son regard à lui est celui du mâle dominant souriant face à ma soumission.
- Qu’est-ce que t’es belle avec ma grosse queue entre tes lèvres, une bonne suceuse, ça se voit que t’aimes ça petite salope, je vais pas tarder à te nourrir de mon jus de mâle et t’as intérêt à tout avaler.
Pierre me tenait encore plus fortement les cheveux afin que je ne me retire pas quand il allait décharger, dans un grognement de mâle fécondant sa femelle je sentais sa queue gonfler, trésaillir avant que l’épaisse semence ne me tapisse le palais et la gorge. Face aux nombreux jets de sperme brulant, je ne pu tout avaler et en régurgita une partie qui coula sur mon menton, pour ne pas m’étouffer tellement sa production a été abondante, jamais il n’avait éjaculer aussi abondamment et avec autant de force.
- Oh putain, qu’est-ce que t’es bonne, t’es vraiment la meilleure suceuse du lycée, nettoies moi la queue maintenant comme une petite chienne.
J’ai repris alors sa queue toute gluante de sperme pour la nettoyer en lapant par petits coups de langue, quand soudain j’entendais du bruit provenant de l’entrée du vestiaire. C’est alors que je vis un mec nous regarder en souriant et en commençant à applaudir. Ce mec c’était Tim un pote de foot de mon mec, je lâchais la bite de mon mec, je me suis redressé furieuse.
- Mais qu’est ce qui se passe ? Pourquoi il est là lui ?
Pierre me regarda dans les yeux méchament et dit.
- Tim t’as tout filmé ?
Tim s’approcha de nous en montrant son portable.
- Et comment que j’ai tout filmé, putain c’était trop kiffant j’ai failli me branler, un vrai film porno, quand les potes verrons ça wahooo trop bon mec, t’as assuré comme un dieu avec cette salope.
- C’est quoi ce cirque, pourquoi il nous a filmé ?
- Pourquoi ? Je vais te le dire moi pourquoi, ça fait 3 mois que tu me suces comme une pute, que tu tortilles ton petit cul de tapette comme une meuf et ça fait 3 mois que tu fais ta précieuse en refusant que je te baise, petite allumeuse, tu crois vraiment que je sortais avec une pédale juste pour tes beaux yeux, et bah non j’ai parié avec mes potes que je réussirais à te défoncer la rondelle avant la fin de l’année, et là je suis vénère parce-que tu me fais perdre mon pari.
Je ne comprenais pas ce qui m’arrivais, j’étais sous le choc de cette déclaration, au bord des larmes.
- T’es vraiment un connard, je te déteste.
- Tu vas arrêtez de faire ta sainte nitouche petite princesse, surtout après m’avoir sucer comme une salope, alors tu vas bien m’écouter pétasse, Tim a filmé tes exploits de suceuse, alors je vais te laisser une chance de me faire gagner mon pari, soit tu acceptes de coucher avec moi, soit on diffuse ta performance d’actrice porno et tout le lycée verra ton visage de pute avec une queue dans ta bouche. Je te donne jusqu’à demain pour me donner ta réponse, allé on se tire Tim, on la laisse réfléchir, à bientôt ma belle, merci pour cette pipe et j’attend ta petite chatte avec impatience.
Ils repartirent tout les deux en riant, me laissant en pleurs. J’ai mis 10 minutes à m’en remettre, j’ai été me laver le visage et les cheveux, j’ai remis de l’ordre dans ma tenue et je suis rentrée chez moi.
J’avoue avoir hésité un moment sur ce que je devais faire et à la fin je ne voulais surtout pas perdre ma virginité en me faisant dépuceler par un salaud comme Pierre et tant pis si la vidéo fuite et que tout le lycée la voit quitte à passer pour une belle salope, j’assumerais les regards, les remarques et les commentaires qui ne manqueront pas d’arriver.
Face à mon refus de céder au chantage, la vidéo a été mise sur le net et bien sur tout le lycée l’a vu, ma vie est devenu un enfer, les commentaires me traitaient de pute, salope, suceuse de bite et bien plus encore. Un vrai scandale surtout quand la vidéo a été vu par hasard par un prof, et là ça a été l’engrenage, j’étais bien sur reconnaissable, le directeur m’a convoqué avec ma mère, j’ai joué l’innocente candide en pleurs, disant que j’ai été forcé à faire une fellation à Pierre et que Tim a été son complice en filmant la scène, j’étais la victime et on m’a cru, Pierre et Tim ont été renvoyés et pour ma part le directeur a conseillé à ma mère de me mettre dans un autre établissement au vu de la réputation que j’ai maintenant avec les autres élèves à cause de la diffusion de la vidéo.
Ma mère qui me voit encore comme sa petite fille bien sage et innocente m’a beaucoup soutenu dans cette épreuve.
Voila la raison pour laquelle je vais me retrouver à la rentrée dans ce pensionnat, mais avant cela il y a les grandes vacances qui commencent et qui vont me faire passer à une nouvelle étape de ma vie.

A suivre…

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Histoire excitante Envie d'avoir la suite

Histoire Erotique
Très sympa ton histoire, ça donne envie de connaître la suite dans ce pensionnat

Cyrille

Histoire Libertine
Lamentable histoire, mal écrite, qui fera bander des vieux pédophiles refoulés.



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