La fille du pont 2 - Les fantasmes de Sarah

- Par l'auteur HDS Nana28 -
Récit érotique écrit par Nana28 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : La fille du pont 2 - Les fantasmes de Sarah Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-06-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La fille du pont 2 - Les fantasmes de Sarah
A peine la réponse obtenue, Sarah remettait son tee shirt sur son torse légèrement trempé de sueur, le coeur battant rapidement sous sa cage thoracique alors qu'elle songeait à ce qui allait suivre. Et ce qu'il venait de se passait.

Marchant rapidement vers son vélo et l'enfourchant elle songea amèrement que l'homme aurait pu rester... Et s'assurer de la combler totalement. "Qu'à cela ne tienne, je vais me satisfaire ailleurs" se dit-elle avant de s'engager sur la route et de rouler d'un bon coup de pédale.

Il lui fallut à peine 7 minutes pour être au carrefour dont elle avait parlé. 7 minutes durant lesquelles la friction de sa culotte et de la selle sur son sexe humide l'avait délicieusement chauffée... Et frustrée un peu plus.
Ainsi ne chercha-t-elle pas trop en voyant le camion déjà garé au bord du vieux restaurant à l'abandon.

Elle attrapa son téléphone et tapa en priant que la réponse soit positive.

[ Tu as un préservatif ? ]
[ Oui. T'es ou ? ]
Un souffle de soulagement lui échappa. Frustrée et excitée certe mais elle ne savait pas ce qu'elle aurait fait si l'homme avait dit non ... Sûrement serait-elle rentrée pour aller se caresser, seule.

Elle haleta en recevant la queue en photo. Courte, épaisse et bien dure. Un gémissement lui échappa alors que son sexe et son ventre se contractait.
L'homme était bedonnant, et poilu... Et sans doute ne l'aurait-elle pas choisi si elle avait eu le temps à l'avance d'y réfléchir. Mais pour le coup elle s'en moquait bien. Son précédent amant avait réveillé en elle une soif de plaisir et d'aventure qui la faisait frissonner et dressait ses tétons presque douloureusement sous son tee shirt blanc.

[ Je suis dans les bois, côté conducteur. Traverse. Dépêche toi. ]
Elle posa son vélo contre un tronc, visible du camion et s'enfonça dans la forêt avant de s'appuyer contre un arbre, fesses tendues vers la route. Son téléphone vibra mais elle l'ignora le souffle court et le ventre en feu. Elle était offerte ainsi, sa jupe remontant sur ses fesses rebondies et laissant voir sa culotte trempée.

La position lui parut étrange mais elle se voyait mal regarder l'homme et pire, discuter. Elle voulait qu'il la prenne, qu'il la bourre et qu'il la fasse jouir. Et au vu du profil du gars, il ne serait sûrement pas contre.

Un craquement de branche la fit sursauter mais elle ne bougea pas, ne se tourna pas, ne parla pas.
À la différence de l'homme.

- Oh ! T'voilà ma jolie.

Sa voix était un peu grasse et elle frissonna quand il se colla à elle, son jean frottant le haut de ses cuisses et son odeur de sueur et de tabac l'envahissant.

Un haut le cœur la traversa a cause de cette odeur marquée, puissante et désagréable et elle se retint de rabrouer cet inconnu quand il posa ses mains rugueuses sur ses hanches avant de les passer sous son tee-shirt.

Ce n'était ni son odeur, ni son physique qui l'interessait. Mais cette queue épaisse qu'elle avait reçue en image. Épaisse et bien dure. Déjà prête à la prendre. Comme... Une chienne.

Ce constat la fit gémir. On était bien loin de la sage fille du village, mais les vannes étaient ouvertes. Et si elle n'était pas sûre d'avoir le courage de recommencer, l'adrénaline dans ses veines la poussait à ne pas trop se soucier de l'après.

- Eh ben ma jolie ? On m'attendait ?

Elle ne répondit pas tout de suite, analysant la sensation de la grande main qui glissait sous son tee-shirt pour aller saisir son sein gauche. Un frisson la parcourut et cela le fit rire. Un rire pervers, concupiscent.
Un rire qui la fit mouiller et lui fit ouvrir la bouche, pour demander d'une voix qu'elle voulut ferme mais qu'elle perçut bien un peu tremblante.

- Baisez-moi.

L'homme ne s'offusqua pas de l'ordre, alors qu'elle même rougissait, et ricana en massant son sein un peu durement. Mais cette sorte de brutalité ne lui déplut pas et elle écarta les jambes.

- J'arrive mignonne.

De son autre main elle le sentit écarter sa culotte et glisser un doigt en elle, la soulageant légèrement de la tension qui habitait le bas de son corps.

- T'en rêve.

- Ouiiiii...

Sans qu'elle ne puisse rien faire son cul se redressa et elle cambra le dos. Elle voulait plus. Elle n'en pouvait plus.

Seul le son d'une braguette lui répondit.

Enfin ! Il baissait son pantalon !

L'anticipation la fit fermer les yeux, revoyant une nouvelle  fois la photo envoyée plus tôt de sa queue droite et déjà bandée.

- Ah !

Le sexe épais venait de la pénétrer brusquement en elle, ravivant sa faim et lui fesant resserrer ses muscles pelviens.

L'homme n'attendit aucun accord pour se mettre à la baiser. Elle s'en moquait. Elle s'accrocha a l'arbre et couina en rythme avec ses coups de reins.
Il n'y avait aucun autre bruit que ceux de leurs corps claquant et les grondements de l'homme. Rien n'était couvert par les voitures comme avec le précédent homme.

Cette nouveauté l'excita. Le bruit sec de leurs peaux et celui humide de leurs sexes se rencontrant lui envoyaient de délicieuses décharges dans le ventre et elle se retrouva vite à mêler sa voix à celle du routier.

Routier qui dans son dos poussait des grondements féroces en la baisant activement s'enfonçant entre ses chaires en tenant sa hanche d'une poigne solide pour l'empêcher de s'échapper. Comme si elle en avait envie !

Une claque sur sa fesse la fit couiner et se contracter de surprise. L'homme rit grassementet recommença, marquant sa peau rosée de sa grande main.

- Putain t'aime ça !

Il lui donna une troisième claque qui la plaqua contre l'arbre et elle cria de plaisir.
Oh oui ! Elle aimait ça ! La morsure de la claque lui faisait trembler tout le corps de plaisir.
L'homme accéléra, fourrageant sa bite entre ses lèvres comme un chien en rût.

Elle cria à nouveau quand la délivrance envahit son ventre et s'effondra sur le tronc, l'écorce griffant ses seins à travers la parois fine du tee shirt.

L'homme gronda une insulte qu'elle ignora, subissant une série de petite jouissance qui la firent couiner de manière incontrôlée alors qu'il n'avait pas ralentit le rythme.

Ses couinements semblèrent chauffer l'homme qui lui assena une série de petites fessés en s'enfonçant plus profondément dans son corps.

Oh  !

- Ah ! Encore ! Encore !

Il venait de frotter contre ce qu'elle devinait être son point G et elle se tortilla pour sentir à nouveau la sensation divine et affolante qui lui donna envie de pleurer de plaisir pour la première fois de sa vie.

- Non !

L'homme était entrain de sortir d'elle et elle serra les cuisses pour l'en empêcher. Il n'allait pas la laisser en plan alors qu'il venait de lui faire découvrir cette zone ?
Il n'avait même pas joui ! Si ? Elle n'en savait rien. Trop absorbée par les découvertes de son corps elle n'avait pas fait attention à lui...

Le vide en elle lui fit chouiner un " pourquoi ?" plaintif et elle remua ses fesses pour l'enjoindre à revenir.

- Viens à mon camion.

Il la retourna sans peine et Sarah s'imagina un instant le spectacle qu'elle devait donné avec ses lèvres entrouvertes, ses cheveux défaits et son visage rouge. L'image de la débauche.

Lui même avait un air de luxure qui se voyait dans ses yeux pétillants et son sourire en coin.
Elle remarqua son visage de travers, son nez tordu, ses yeux asymétriques. Il n'était clairement pas sexy et elle ne l'aurait jamais  choisi sur le site mais " faute de merles..." comme dirait sa tante.
Et puis même si sa gueule était de traviole, ce n'était pas le cas de sa queue qu'elle vit pulser contre son tee-shirt, sortant d'une touffe de poils drus et légèrement bouclés.

- Tu la veux ?

Il avait l'âge de son père et puait le tabac, il n'étant pas très engageant et elle douta de son hygiène. Elle s'en moquait. Elle voulait sa grosse queue dans son ventre. Tout de suite.
Il lui ota son tee shirt et sourit lorsque son regard se fixa sur ses grandes aréoles.

- Mon camion.

Il avait grondé, elle accepta vivement.
Elle voulait sa grosse queue.

Satisfait l'homme remonta son pantalon et le ferma comme il put pour se retourner et faire chemin arrière. Haletante et seulement vêtue de sa jupe elle le suivit rapidement, ses cuisses humides frottant l'une contre l'autre dans un bruit de succion indécent.

Le chemin inverse lui sembla horriblement long et elle lui passa rapidement devant lorsqu'il ouvrit la porte du camion. La chaleur de l'habitacle en plein soleil Et l'odeur de tabac et de sueur la firent flencher légèrement mais elle posa son pied sur la première marche avant de lever l'autre pour grimper vers les sièges - et cette zone derrière dont elle avait lu beaucoup de chose sur le net.

Mais l'homme sembla en décider autrement. Il lui attrapa la cuisse et tira, la faisant basculer en avant, les avant bras sur une marche, et le pied gauche encore au sol.

- T'es très bien ici.

Elle voulut râler, dire que ce n'était pas agréable, mais sa protestation mourrut dans sa gorge alors qu'il la pénétrait à nouveau la faisant se tasser sur le revêtement chaud des marches.

- Ah !

Le plaisir afflua à nouveau en elle alors qu'il se remettait à la baiser, allant et venant dans son sexe humide et très sensible des précédentes jouissances.

Un pied plus haut que l'autre, un bras sur une marche et ses seins à moitié écrasés sur le revêtement... La position n'était pas idéale. Pas du tout. Mais Sarah s'en moquait bien.
L'homme dans son dos grondait de plus en plus fort et ses coups de reins perdaient en vitesse pour gagner en profondeur, malgré la longueur plutôt moyenne de l'homme.

Il la ramonait sévèrement. Pour son plus grand plaisir.
A nouveau elle prit conscience des bruits obscènes de leurs corps et elle ne put se concentrer sur autre chose tandis qu'il se terminait en elle, sûrement excité par le fait de l'avoir ainsi soumise dans sa cabine, jouissant dans le préservatif tout en donnant quelques derniers coups.

Elle sursauta de la fessée qui sembla clore l'échange et resta dans sa drôle de position quelques secondes alors qu'il se reculer en sortant d'elle.
Puis lentement Sarah se redressa et pivota sur ses pieds, incertaines et le souffle court.

Le gars était entrain de jeter la capote plus loin et de s'essuyer avec un mouchoir qu'il rangea dans sa poche de Jeans d'un mouvement rapide.
Il leva le nez vers Sarah et eut un sourire un peu vicelard.

- La prochaine fois, j'te rempli la chatte.

Sarah frissonna.
Elle voulut lui signaler qu'il n'y aurait pas de prochaine fois. Qu'il n'était pas vraiment son genre et que donc ils ne se reverraient pas.
Mais, le sexe pulsant encore de la sensation de sa queue épaisse et les fesses marquées par ses grandes mains, elle garda la bouche close.
Car après tout ...

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