Le voisin - Les fantasmes de Sarah
Récit érotique écrit par Nana28 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 2 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Nana28 ont reçu un total de 8 497 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-07-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 5 418 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Le voisin - Les fantasmes de Sarah
- Bonjour Sarah.
La voix fit relever le nez à Sarah et elle posa sa main en pare soleil au dessus de ses yeux et les plissa.
- Oh. Bonjour David. Vous allez bien ?
- Oui et toi ?
- Chaudement.
Elle posa la binette qu'elle tenait dans ses mains et sourit à son voisin. Elle le connaissait depuis toute petite et elle avait vu son regard évoluer sur elle. C'était d'ailleurs pour le taquiner qu'elle sortait parfois en robe de chambre courte ou en tee-shirt culotte pour aller chercher le courrier.
Elle avait compris vers son adolescence que cet homme au regard marron chaud voyait en elle plus qu'une voisine. Et avec les années - et sa poitrine gonflant - son regard était devenu plus attentif, plus vicieux, plus scrutateur.
Comme aujourd'hui.
Sarah avait revêtu un simple débardeur noir un peu usé et un cycliste pour gratter le jardin de ses parents comme ils lui avaient demandé. Ce n'était pas fait exprès mais elle voyait que l'homme appréciait la chute du tissu léger sur son décolleté libre de tout soutien-gorge.
- Tes parents sont là ?
- Non, ils reviennent ce soir.
- Ah.
- Vous voulez que je leur dise que vous êtes passés ?
- Non. Pas spécialement.
Un frisson naquit dans le creux de son dos et remonta jusqu'à sa nuque. L'homme venait-il la voir elle ?
- J'ai acheté une voiture récemment. Décapotable.
- Oh. Elle vous plaît ?
- Oui. J'aime beaucoup sa couleur. Rouge. Et j'aime le fait de pouvoir lever les yeux.
- Pour voir les nuages ?
- Oui, ou regarder les ponts sur l'autoroute.
Le cœur de la jeune femme s'accéléra et elle inspira discrètement. C'était juste une coïncidence.
- J'ai su que tu avais crevé l'autre jour. Tu as pu réparer ton vélo ?
- O...oui...
Une coïncidence... Juste une coïncidence.
D'un pas il s'approcha d'elle, entrant dans son espace personnel sans qu'elle n'ose bouger. Puis il se pencha et attrapa une mèche de ses cheveux qu'il renifla doucement.
- Ça n'a pas été trop éprouvant de rentrer à pied ?
- n...non... David... Vous êtes trop près.
- Voyons Sarah, je suis certain que la proximité d'un homme ne te dérange pas.
Son cœur manqua un battement. Il savait. Il savait ! Ce n'était pas une coïncidence. Il savait et il allait la dénoncer à ses parents !
Elle ferma les yeux, s'imaginant déjà se faire mettre à la porte et traiter de pute par sa mère. Les larmes montèrent et elle renifla.
La main glissa de ses cheveux à son épaule et, perdue dans son angoisse, elle sentit à peine les doigts faire glisser sa bretelle sur son épaule puis aller caresser le haut de son sein.
Mais le doigt sur son téton la fit sursauter.
- David ?
- J'ai envie d'aller faire un tour en voiture. Tu viens avec moi.
- Je...
- Ce n'était pas une question.
_____
Les cheveux dans le vent, le regard bleu sur l'horizon, Sarah essayait de ne pas se focaliser sur la main entre ses cuisses qui caressait ses lèvres à travers le tissu de son petit short. David lui parlait mais elle n'entendait pas vraiment, le vent fouettant ses oreilles et ses seins. Nus. Offert au regard de l'homme à côté de lui. Et des voitures qu'ils croisaient.
Elle se mordait la lèvre pour retenir ses gémissements alors que l'index droit de l'homme appuyait contre son intimité.
Monter dans la décapotable avait été compliqué et enlever son haut une véritable torture. Mais l'homme lui avait montré une photo. Elle était floue mais Sarah y avait parfaitement reconnu son corps offert sur le parking du restaurant routier. Elle avait reconnu la carrure imposante de Charles dans son dos et celle plus trapu du routier qui lui avait avalé les tétons.
La photo était floue mais elle se reconnaissait parfaitement dessus. Et on voyait clairement son expression de pur plaisir.
Monter dans la décapotable avait été compliqué mais en descendre le serait tout autant.
- Huuummm...
Le doigt taquin était en train d'appuyer sur son clitoris et elle arqua son bassin pour ressentir plus.
En descendre en serait très compliqué.
Sarah ne s'était pas touchée depuis plus d'une semaine. Quand Charles l'avait ramené, après l'avoir quasiment jetée dans sa voiture pour que le patron du restaurant ne les voit pas, elle était directement monté à sa chambre pour se laver et cacher son haut.
Le retour à la normalité avait été brutal et elle s'était fait l'impression d'être une salope. Une vraie chienne. Cette impression l'avait tellement marqué qu'elle n'avait pas rouvert son ordinateur depuis ce soir-là ne souhaitant pas voir les différents messages sur le site des camionneurs.
Elle ne s'était pas touché depuis une semaine alors que chaque nuit elle revivait ses ébats avec ses trois amants, son imagination fertile transformant de plus en plus les scènes jusqu'à cette nuit où elle avait rêvé que les trois s'occupaient d'elle en même temps.
- Anh !
Elle attrapa le bras de l'homme d'un mouvement vif et le serra. David pinçait son clitoris gonflé entre deux doigts la faisant gigoter sur son siège.
- Détache-toi. Met toi à quatre pattes sur le siège, ton joli cul vers moi.
- David ...
- Obéis Sarah ou sinon tes parents recevront de jolies photos.
Elle haleta et obéit rapidement.
- Tes mains sur la portière. Voilà, redresse ton buste.
Elle remarqua qu'il ralentissait et se rendit compte qu'ils étaient proches du restaurant où elle s'était fait prendre par le beau Charles.
- Tu as de la chance, il y a pas mal de camion. Redresse-toi. Montre leur tes obus.
Elle obéit en gémissant. Son cycliste était désormais trempé. Sa cyprine se mêler avec le tissus depuis qu'il la touchait mais elle se sentit de plus en plus humide alors qu'ils approchaient du parking. Un klaxon la fit sursauter et elle remarqua un homme entrain de la fixer à travers le pare-brise.
- Fais lui coucou comme tu sais si bien faire.
Elle obéit en silence et un deuxième klaxon retentit réveillant plusieurs autres conducteurs qui la regardèrent passer très lentement. Si lentement qu'elle pût les détailler un à un et noter leurs regards sur ses seins.
- Ça te plaît ?
- O...oui...
- Petite coquine.
Une fessée la fit couiner et se pencher vers l'avant. Elle voulait plus. Il lui fallait plus. Elle remua le bassin et fut récompensée par une autre fessée qui lui envoya une décharge de plaisir.
- Rassis toi.
Rapidement elle se positionna et regarda l'homme accélérer et s'engager sur la route à toute allure. Il l'ignora alors qu'elle se sentait de plus en plus excitée et elle finit par initier elle-même un rapprochement, glissant sa main sur la cuisse de l'homme.
- Je veux vous sucer ?
L'audace dont elle venait de faire preuve la surprit, mais elle venait de se rappeler d'une vidéo sur le net d'une femme prenant un homme au volant dans sa bouche et cela avait été un de ses fantasmes avant qu'elle n'aille sur le pont.
L'homme lui jeta à peine un regard mais attrapa sa nuque et lui fit baisser la tête vers sa braguette.
Elle comprit alors qu'elle avait son accord et bougea ses doigts avec rapidité, pressée de découvrir cette verge qu'elle imaginait comme son voisin. Grande. Élancée. Et perverse. Aussi perverse qu'une bite puisse l'être.
Elle ne fut pas déçue. La verge surgit du pantalon comme un pantin la faisant saliver. Elle aimait définitivement les bites.
Jusqu'à présent elle n'avait sucé qu'un seul homme. Son ex dont la queue était ridicule comparée à celle-ci. Mais elle avait beaucoup lu ses derniers mois. Ainsi elle n'hésita que quelques secondes avant d'embrasser l'objet de son désir tandis que de l'autre main elle faisait glisser son prépuce pour libérer son gland. Rouge. Luisant.
La main de l'homme appuya sur son crâne et elle ouvrit les lèvres pour avaler le gland d'un mouvement rapide. Un gémissement lui échappa alors que le goût fort et masculin de l'homme éclatait sur sa langue. Elle n'eut cependant pas le temps de savourer que David appuyait à nouveau sur sa tête, l'enjoignant à aller plus loin.
Ce qu'elle fit sans rechigner, glissant le sexe entre ses lèvres jusqu'à la moitié.
Le poids sur sa langue la fit gémir.
Elle recula son visage mais ne put enlever entièrement sa bouche de la verge qui l'emplissait.
- Suce Sarah. Bouffe-moi.
Elle hoqueta mais obéit, montant et descendant sur le membre palpitant de son voisin, espérant bien faire alors que son odeur virile la faisait mouiller encore plus. Elle voulait cette queue dans sa chatte. Elle la voulait tant qu'elle en oublia sa retenue et accéléra le rythme, pompant rapidement le membre, léchant comme elle pouvait, creusant les joues et aspirant régulièrement.
De la bave coulait sur son menton se mélangeant avec le pré-sperme amer de l'homme qui grondait faiblement, lui maintenant toujours son visage contre son sexe, l'empêchant de se redresser et de parler. De réclamer qu'il la prenne sur le bord de la route.
- Humpff...
Elle hoqueta et se débattit alors qu'il attrapait son crâne à deux mains - quand s'était-il arrêter ? - pour lui appuyer la tête sur sa verge. Elle eut un haut le cœur mais cela ne sembla pas l'inquiéter puisqu'elle sentit le gland s'enfoncer encore en elle.
- Si tu me mords j'envoie les photos.
Elle hoqueta. Elle n'y avait pas pensé mais elle doutait de pouvoir se retenir.
- Mmmmppfff !
Le souffle lui manqua alors qu'elle sentait le gland de l'homme glisser dans sa gorge, contre sa glotte.
Elle couina, appuya sur les cuisses de l'homme et poussa.
Elle devait respirer ! Elle devait !
- Ah !
L'homme l'avait enfin lâche et elle se redressa en reprenant son souffle comme si elle revenait du fond de l'océan.
En colère elle regarda David et ouvrit la bouche pour l'engueuler mais il lui montra son téléphone et elle abdiqua.
La peur dépassa la colère et elle baissa la tête.
- David... Baisez-moi ?
Au moins ainsi il ne l'étoufferait pas.
- Ici ma belle ?
Elle tourna la tête et rougit. Ils étaient sur un parking pour camion, à côté d'un rond-point avant l'autoroute. Il n'y avait pour l'instant personne mais elle doutait que ça reste le cas. L'idée lui chauffa le ventre et elle hocha de la tête rapidement.
- Viens sur moi alors. Enlève ton short.
D'un mouvement de hanche elle le chevauchait et voir son visage si proche de ses seins lui rappela la soirée de la semaine passée. Elle se rappela la bouche de l'homme sur ses tétons et voulut à nouveau sentir ce plaisir ce qui lui fit redresser le torse et se coller à son aîné. Son idée fonctionna puisque David attrapa un de ses tétons pour le mordiller en tirant sur son short pour libérer ses fesses et sa vulve.
- Daviiid ?
- hm ?
- Vous avez... Un préservatif ?
L'homme gronda alors qu'elle priait. Vu ce qu'il savait elle ne pourrait pas lui refuser s'il disait non mais elle avait assez angoissé mardi dernier après s'être fait remplir par un inconnu.
- Boîte à gants.
Brusquement soulagée elle pivota et se pencha pour attraper la boîte qui l'attendait sagement. Les doigts de l'homme glissaient entre ses cuisses et elle s'empala sur ses deux doigts en gémissant.
- Tu aimes tellement ça...
- Oui !
Elle revint sur lui et releva le bassin pour lui enfiler la capote d'un mouvement un peu pressé. Elle voulait tellement qu'il enfonce sa queue en elle.
- Enlève tes doigts... Enlève...
Elle lui laissa à peine le temps d'obier qu'elle appuyait déjà son gland contre ses lèvres intimes. Un soulagement mêlé à de l'excitation lui serra le ventre alors qu'elle s'appuyait brusquement vers le bas, enfonçant sa queue en elle.
- Anh !
La verge était si dure en elle, si grosse, si longue qu'elle faillit jouir sur le coup. Sans attendre le moindre accord elle posa ses mains sur les épaules de l'homme et commença à bouger, le chevauchant dans un rythme rapide pour sentir son sexe frotter en elle sur toute la longueur.
- Oh oui, bouge ma belle ! Bouge ton cul ! Oh ! Comme ça !
Ses grandes mains se posèrent sur son derrière qu'il serra avant de le fesser, ce qui la fit couiner et accélérer. La verge se cala en elle contre son clitoris et elle ne put retenir ses couinements d'extase.
La bouche se posa à nouveau sur son téton et elle bougea plus franchement pour intensifier le frottement contre son point G.
Elle n'avait jamais testé cette position avec son ex - qui ne jurait que par le missionnaire - mais elle l'adorait déjà. C'était si bon de chevaucher cette bite au rythme qu'elle voulait, de sentir le gland épais écarter ses chairs et frapper au fond d'elle, d'avoir la bouche gourmande de l'homme sur sa poitrine.
Un coup de klaxon la fit sursauter et elle leva le nez pour remarquer un camion qui approchait. Il klaxonna à nouveau et elle se laissa tomber sur la verge, criant de plaisir, avant de relever la croupe pour recommencer sous les appels de phares alors que l'engin se garer.
La jolie blonde aperçut le téléphone du conducteur et baissa la tête pour ne pas avoir son visage sur la photo. Mais l'idée d'être prise en flagrant délit la rendit folle de plaisir et son sexe se contracta sur le pieu dans son ventre.
David dû estimer qu'elle avait trop ralenti car il attrapa ses hanches et leva le bassin pour la prendre avec vigueur, faisant claquer leurs corps dans un bruit humide.
Ce mouvement rapide et puissant, accompagné du regard pervers de l'homme eurent raison d'elle et elle étouffa son cri de jouissance, les lèvres contre les cheveux de David.
Son corps se crispa et sans pouvoir se maîtriser son bassin accompagna celui de son amant, convulsant de plaisir autours du pénis de son voisin.
Voisin qu'elle avait déjà hâte de recroiser.
Sans crier gare l'homme lui mordit les seins et elle couina de douleur alors qu'il ralentissait le rythme. Déçue elle comprit alors qu'il venait de décharger dans le capote et se colla à lui, encore assoiffée de plaisir.
Mais la bite en elle mollissait déjà.
Son regard se releva alors et elle fixa le camionneur. Lui devait être encore bien dur...
La voix fit relever le nez à Sarah et elle posa sa main en pare soleil au dessus de ses yeux et les plissa.
- Oh. Bonjour David. Vous allez bien ?
- Oui et toi ?
- Chaudement.
Elle posa la binette qu'elle tenait dans ses mains et sourit à son voisin. Elle le connaissait depuis toute petite et elle avait vu son regard évoluer sur elle. C'était d'ailleurs pour le taquiner qu'elle sortait parfois en robe de chambre courte ou en tee-shirt culotte pour aller chercher le courrier.
Elle avait compris vers son adolescence que cet homme au regard marron chaud voyait en elle plus qu'une voisine. Et avec les années - et sa poitrine gonflant - son regard était devenu plus attentif, plus vicieux, plus scrutateur.
Comme aujourd'hui.
Sarah avait revêtu un simple débardeur noir un peu usé et un cycliste pour gratter le jardin de ses parents comme ils lui avaient demandé. Ce n'était pas fait exprès mais elle voyait que l'homme appréciait la chute du tissu léger sur son décolleté libre de tout soutien-gorge.
- Tes parents sont là ?
- Non, ils reviennent ce soir.
- Ah.
- Vous voulez que je leur dise que vous êtes passés ?
- Non. Pas spécialement.
Un frisson naquit dans le creux de son dos et remonta jusqu'à sa nuque. L'homme venait-il la voir elle ?
- J'ai acheté une voiture récemment. Décapotable.
- Oh. Elle vous plaît ?
- Oui. J'aime beaucoup sa couleur. Rouge. Et j'aime le fait de pouvoir lever les yeux.
- Pour voir les nuages ?
- Oui, ou regarder les ponts sur l'autoroute.
Le cœur de la jeune femme s'accéléra et elle inspira discrètement. C'était juste une coïncidence.
- J'ai su que tu avais crevé l'autre jour. Tu as pu réparer ton vélo ?
- O...oui...
Une coïncidence... Juste une coïncidence.
D'un pas il s'approcha d'elle, entrant dans son espace personnel sans qu'elle n'ose bouger. Puis il se pencha et attrapa une mèche de ses cheveux qu'il renifla doucement.
- Ça n'a pas été trop éprouvant de rentrer à pied ?
- n...non... David... Vous êtes trop près.
- Voyons Sarah, je suis certain que la proximité d'un homme ne te dérange pas.
Son cœur manqua un battement. Il savait. Il savait ! Ce n'était pas une coïncidence. Il savait et il allait la dénoncer à ses parents !
Elle ferma les yeux, s'imaginant déjà se faire mettre à la porte et traiter de pute par sa mère. Les larmes montèrent et elle renifla.
La main glissa de ses cheveux à son épaule et, perdue dans son angoisse, elle sentit à peine les doigts faire glisser sa bretelle sur son épaule puis aller caresser le haut de son sein.
Mais le doigt sur son téton la fit sursauter.
- David ?
- J'ai envie d'aller faire un tour en voiture. Tu viens avec moi.
- Je...
- Ce n'était pas une question.
_____
Les cheveux dans le vent, le regard bleu sur l'horizon, Sarah essayait de ne pas se focaliser sur la main entre ses cuisses qui caressait ses lèvres à travers le tissu de son petit short. David lui parlait mais elle n'entendait pas vraiment, le vent fouettant ses oreilles et ses seins. Nus. Offert au regard de l'homme à côté de lui. Et des voitures qu'ils croisaient.
Elle se mordait la lèvre pour retenir ses gémissements alors que l'index droit de l'homme appuyait contre son intimité.
Monter dans la décapotable avait été compliqué et enlever son haut une véritable torture. Mais l'homme lui avait montré une photo. Elle était floue mais Sarah y avait parfaitement reconnu son corps offert sur le parking du restaurant routier. Elle avait reconnu la carrure imposante de Charles dans son dos et celle plus trapu du routier qui lui avait avalé les tétons.
La photo était floue mais elle se reconnaissait parfaitement dessus. Et on voyait clairement son expression de pur plaisir.
Monter dans la décapotable avait été compliqué mais en descendre le serait tout autant.
- Huuummm...
Le doigt taquin était en train d'appuyer sur son clitoris et elle arqua son bassin pour ressentir plus.
En descendre en serait très compliqué.
Sarah ne s'était pas touchée depuis plus d'une semaine. Quand Charles l'avait ramené, après l'avoir quasiment jetée dans sa voiture pour que le patron du restaurant ne les voit pas, elle était directement monté à sa chambre pour se laver et cacher son haut.
Le retour à la normalité avait été brutal et elle s'était fait l'impression d'être une salope. Une vraie chienne. Cette impression l'avait tellement marqué qu'elle n'avait pas rouvert son ordinateur depuis ce soir-là ne souhaitant pas voir les différents messages sur le site des camionneurs.
Elle ne s'était pas touché depuis une semaine alors que chaque nuit elle revivait ses ébats avec ses trois amants, son imagination fertile transformant de plus en plus les scènes jusqu'à cette nuit où elle avait rêvé que les trois s'occupaient d'elle en même temps.
- Anh !
Elle attrapa le bras de l'homme d'un mouvement vif et le serra. David pinçait son clitoris gonflé entre deux doigts la faisant gigoter sur son siège.
- Détache-toi. Met toi à quatre pattes sur le siège, ton joli cul vers moi.
- David ...
- Obéis Sarah ou sinon tes parents recevront de jolies photos.
Elle haleta et obéit rapidement.
- Tes mains sur la portière. Voilà, redresse ton buste.
Elle remarqua qu'il ralentissait et se rendit compte qu'ils étaient proches du restaurant où elle s'était fait prendre par le beau Charles.
- Tu as de la chance, il y a pas mal de camion. Redresse-toi. Montre leur tes obus.
Elle obéit en gémissant. Son cycliste était désormais trempé. Sa cyprine se mêler avec le tissus depuis qu'il la touchait mais elle se sentit de plus en plus humide alors qu'ils approchaient du parking. Un klaxon la fit sursauter et elle remarqua un homme entrain de la fixer à travers le pare-brise.
- Fais lui coucou comme tu sais si bien faire.
Elle obéit en silence et un deuxième klaxon retentit réveillant plusieurs autres conducteurs qui la regardèrent passer très lentement. Si lentement qu'elle pût les détailler un à un et noter leurs regards sur ses seins.
- Ça te plaît ?
- O...oui...
- Petite coquine.
Une fessée la fit couiner et se pencher vers l'avant. Elle voulait plus. Il lui fallait plus. Elle remua le bassin et fut récompensée par une autre fessée qui lui envoya une décharge de plaisir.
- Rassis toi.
Rapidement elle se positionna et regarda l'homme accélérer et s'engager sur la route à toute allure. Il l'ignora alors qu'elle se sentait de plus en plus excitée et elle finit par initier elle-même un rapprochement, glissant sa main sur la cuisse de l'homme.
- Je veux vous sucer ?
L'audace dont elle venait de faire preuve la surprit, mais elle venait de se rappeler d'une vidéo sur le net d'une femme prenant un homme au volant dans sa bouche et cela avait été un de ses fantasmes avant qu'elle n'aille sur le pont.
L'homme lui jeta à peine un regard mais attrapa sa nuque et lui fit baisser la tête vers sa braguette.
Elle comprit alors qu'elle avait son accord et bougea ses doigts avec rapidité, pressée de découvrir cette verge qu'elle imaginait comme son voisin. Grande. Élancée. Et perverse. Aussi perverse qu'une bite puisse l'être.
Elle ne fut pas déçue. La verge surgit du pantalon comme un pantin la faisant saliver. Elle aimait définitivement les bites.
Jusqu'à présent elle n'avait sucé qu'un seul homme. Son ex dont la queue était ridicule comparée à celle-ci. Mais elle avait beaucoup lu ses derniers mois. Ainsi elle n'hésita que quelques secondes avant d'embrasser l'objet de son désir tandis que de l'autre main elle faisait glisser son prépuce pour libérer son gland. Rouge. Luisant.
La main de l'homme appuya sur son crâne et elle ouvrit les lèvres pour avaler le gland d'un mouvement rapide. Un gémissement lui échappa alors que le goût fort et masculin de l'homme éclatait sur sa langue. Elle n'eut cependant pas le temps de savourer que David appuyait à nouveau sur sa tête, l'enjoignant à aller plus loin.
Ce qu'elle fit sans rechigner, glissant le sexe entre ses lèvres jusqu'à la moitié.
Le poids sur sa langue la fit gémir.
Elle recula son visage mais ne put enlever entièrement sa bouche de la verge qui l'emplissait.
- Suce Sarah. Bouffe-moi.
Elle hoqueta mais obéit, montant et descendant sur le membre palpitant de son voisin, espérant bien faire alors que son odeur virile la faisait mouiller encore plus. Elle voulait cette queue dans sa chatte. Elle la voulait tant qu'elle en oublia sa retenue et accéléra le rythme, pompant rapidement le membre, léchant comme elle pouvait, creusant les joues et aspirant régulièrement.
De la bave coulait sur son menton se mélangeant avec le pré-sperme amer de l'homme qui grondait faiblement, lui maintenant toujours son visage contre son sexe, l'empêchant de se redresser et de parler. De réclamer qu'il la prenne sur le bord de la route.
- Humpff...
Elle hoqueta et se débattit alors qu'il attrapait son crâne à deux mains - quand s'était-il arrêter ? - pour lui appuyer la tête sur sa verge. Elle eut un haut le cœur mais cela ne sembla pas l'inquiéter puisqu'elle sentit le gland s'enfoncer encore en elle.
- Si tu me mords j'envoie les photos.
Elle hoqueta. Elle n'y avait pas pensé mais elle doutait de pouvoir se retenir.
- Mmmmppfff !
Le souffle lui manqua alors qu'elle sentait le gland de l'homme glisser dans sa gorge, contre sa glotte.
Elle couina, appuya sur les cuisses de l'homme et poussa.
Elle devait respirer ! Elle devait !
- Ah !
L'homme l'avait enfin lâche et elle se redressa en reprenant son souffle comme si elle revenait du fond de l'océan.
En colère elle regarda David et ouvrit la bouche pour l'engueuler mais il lui montra son téléphone et elle abdiqua.
La peur dépassa la colère et elle baissa la tête.
- David... Baisez-moi ?
Au moins ainsi il ne l'étoufferait pas.
- Ici ma belle ?
Elle tourna la tête et rougit. Ils étaient sur un parking pour camion, à côté d'un rond-point avant l'autoroute. Il n'y avait pour l'instant personne mais elle doutait que ça reste le cas. L'idée lui chauffa le ventre et elle hocha de la tête rapidement.
- Viens sur moi alors. Enlève ton short.
D'un mouvement de hanche elle le chevauchait et voir son visage si proche de ses seins lui rappela la soirée de la semaine passée. Elle se rappela la bouche de l'homme sur ses tétons et voulut à nouveau sentir ce plaisir ce qui lui fit redresser le torse et se coller à son aîné. Son idée fonctionna puisque David attrapa un de ses tétons pour le mordiller en tirant sur son short pour libérer ses fesses et sa vulve.
- Daviiid ?
- hm ?
- Vous avez... Un préservatif ?
L'homme gronda alors qu'elle priait. Vu ce qu'il savait elle ne pourrait pas lui refuser s'il disait non mais elle avait assez angoissé mardi dernier après s'être fait remplir par un inconnu.
- Boîte à gants.
Brusquement soulagée elle pivota et se pencha pour attraper la boîte qui l'attendait sagement. Les doigts de l'homme glissaient entre ses cuisses et elle s'empala sur ses deux doigts en gémissant.
- Tu aimes tellement ça...
- Oui !
Elle revint sur lui et releva le bassin pour lui enfiler la capote d'un mouvement un peu pressé. Elle voulait tellement qu'il enfonce sa queue en elle.
- Enlève tes doigts... Enlève...
Elle lui laissa à peine le temps d'obier qu'elle appuyait déjà son gland contre ses lèvres intimes. Un soulagement mêlé à de l'excitation lui serra le ventre alors qu'elle s'appuyait brusquement vers le bas, enfonçant sa queue en elle.
- Anh !
La verge était si dure en elle, si grosse, si longue qu'elle faillit jouir sur le coup. Sans attendre le moindre accord elle posa ses mains sur les épaules de l'homme et commença à bouger, le chevauchant dans un rythme rapide pour sentir son sexe frotter en elle sur toute la longueur.
- Oh oui, bouge ma belle ! Bouge ton cul ! Oh ! Comme ça !
Ses grandes mains se posèrent sur son derrière qu'il serra avant de le fesser, ce qui la fit couiner et accélérer. La verge se cala en elle contre son clitoris et elle ne put retenir ses couinements d'extase.
La bouche se posa à nouveau sur son téton et elle bougea plus franchement pour intensifier le frottement contre son point G.
Elle n'avait jamais testé cette position avec son ex - qui ne jurait que par le missionnaire - mais elle l'adorait déjà. C'était si bon de chevaucher cette bite au rythme qu'elle voulait, de sentir le gland épais écarter ses chairs et frapper au fond d'elle, d'avoir la bouche gourmande de l'homme sur sa poitrine.
Un coup de klaxon la fit sursauter et elle leva le nez pour remarquer un camion qui approchait. Il klaxonna à nouveau et elle se laissa tomber sur la verge, criant de plaisir, avant de relever la croupe pour recommencer sous les appels de phares alors que l'engin se garer.
La jolie blonde aperçut le téléphone du conducteur et baissa la tête pour ne pas avoir son visage sur la photo. Mais l'idée d'être prise en flagrant délit la rendit folle de plaisir et son sexe se contracta sur le pieu dans son ventre.
David dû estimer qu'elle avait trop ralenti car il attrapa ses hanches et leva le bassin pour la prendre avec vigueur, faisant claquer leurs corps dans un bruit humide.
Ce mouvement rapide et puissant, accompagné du regard pervers de l'homme eurent raison d'elle et elle étouffa son cri de jouissance, les lèvres contre les cheveux de David.
Son corps se crispa et sans pouvoir se maîtriser son bassin accompagna celui de son amant, convulsant de plaisir autours du pénis de son voisin.
Voisin qu'elle avait déjà hâte de recroiser.
Sans crier gare l'homme lui mordit les seins et elle couina de douleur alors qu'il ralentissait le rythme. Déçue elle comprit alors qu'il venait de décharger dans le capote et se colla à lui, encore assoiffée de plaisir.
Mais la bite en elle mollissait déjà.
Son regard se releva alors et elle fixa le camionneur. Lui devait être encore bien dur...
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Nana28
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très belle histoire. Cela mérite une suite.
Superbe histoire très exitante... merci👌