la fin d'un jeu (2) - histoire érotique

Trois jours après, un nouveau rendez-vous m’est donné par Maurice.
Étrangement, cette fois, il m’a donné un rendez-vous dans un bar de la ville où il habite.

J’arrive donc à l’heure convenue dans ce bar. Je ne le connais pas, et en entrant, je vérifie que je ne connais aucune tête, histoire de ne pas me retrouver dans une situation compliquée.

Au fond de la salle, dans un recoin un peu caché, je vois Maurice assis sur une banquette, avec un homme que je n’ai jamais vu. Il me fait signe de m’approcher.

La déco du bar est vieillotte, on a l’impression de faire un saut dans le passé. Le sol colle un peu en marchant, il y a peu d’éclairage. Les tables sont toutes avec des toiles cirées de couleurs jaunes, ce qui augmente ce sentiment de vieillot…

L’homme à coté de Maurice a approximativement le même âge que lui, soit une dizaine d’années de plus que moi. Il est rondouillard, mais visiblement plutôt grand et balaise. Il me regarde m’approcher d’un air malicieux, mais ne dit rien.

Maurice s’écarte, et me demande de m’assoir entre eux sur la banquette. Une fois assis, il me dit :

- Tel que je te l’avais dit, je te présente un ami, qui s’appelle Gérard.
- Il était impatient de te rencontrer.
- Que veux-tu boire ? Nous venons de commander une pression.

Je suis encore sous le choc de me retrouver assis à coté de ces deux hommes, sachant que je suis à leur merci. Je commande donc une bière aussi, et Maurice enchaine :

- Gérard s’est séparé de sa femme il y a deux ans, et se retrouve dans une frustration sexuelle assez importante, il n’a pas eu de relation depuis plus de six mois.
- Tu imagines donc à quel point il est ravi de ta venue !

A ce moment-là, Gérard, tout en me regardant pose une main sur ma cuisse.

- J’ai voulu que l’on te rencontre dans un bar, Gérard n’était pas sûr que tu lui plairais.
- Mais visiblement, le doute est levé…

Le serveur s’approche avec les trois bières, et alors que Gérard n’enlève pas sa main de ma cuisse, Maurice met sa main sur mon autre cuisse. Je deviens rouge pivoine, ce qui fait sourire le serveur en partant.

- Toi aussi, met donc tes mains sur nos cuisses, caresse-nous doucement les cuisses, tu verras, ça va te détendre.

Loin de me détendre, me voilà dans ce jeu à quatre mains et quatre cuisses, j’ai peur que tout le bar nous surprenne, mais pour l’instant, pas un regard en notre direction. C’est à ce moment là que Gérard prend la parole pour la première fois :

- Tu vas voir, on va bien s’amuser ensemble.
- Maurice et moi, ensemble ou séparément selon les jours, ou avec d’autres selon nos envies, on va bien profiter de toi.
- Tu m’excites vraiment !
- J’ai très envie de te sauter, là, maintenant !
- Tu as de la chance que l’on soit dans un bar.
- Mets donc tes mains sur nos sexes plutôt que sur nos cuisses.
- Oui, c’est bien.
- Défait ma ficelle de jogging, et rentre ta main, et fait de même avec Maurice.

Les deux pervers avaient prévu leur coup, un jogging facile à ouvrir, et rien dessous. Me voilà assis dans un bar, devant une bière, avec une main sur chacune de mes cuisses, et un sexe dans chacune de mes mains…. Le sexe de Gérard me parait plus court que celui de Maurice, mais bien plus épais. Gloups….

Gérard enchaine :
- C’est bien, tu écoutes déjà pas mal, on va gagner du temps.
- Tu vas devenir une vraie pro de la bite, je t’en fais le serment !
- Enlève tes mains, bois vite ta bière et rejoins-nous dans le van qui est garé devant.

Ils se lèvent, paient la note et sortent du bar. Je suis encore tout chose de l’ampleur que prennent les événements. Je bois la bière, me lève et sort.

Cinquante mètres plus loin se trouve effectivement un van blanc qui me fait un appel de phare.
En m’approchant, je constate que c’est un van équipé, avec seulement deux places devant, et que l’on ne distingue pas ce qui est à l’arrière. Maurice me dit de monter à l’arrière en m’ouvrant la porte latérale. Puis ils montent tous les deux devant

Une fois dedans, je constate que le van est plutôt bien équipé, un lit derrière, une petite cuisine, et toutes les vitres sont fumées. J’apprends que c’est le van de Gérard, et que du coup on l’utilisera souvent.

Puis Maurice prend le volant et me dit :
- On va s’éloigner un peu de la ville.

Gérard enchaine :
- Oui, et pendant que Maurice conduit, toi et moi on va faire un peu plus connaissance, j’en meurs d’envie !

- Fou toi à poil déjà, que je vois un peu à qui j’ai à faire !

Je m’exécute, je savais bien que la finalité du jour était là….

- Bien, tourne un peu sur toi-même.
- Parfais, un joli cul de salope comme je les aime.
- Tu m’excites salement, je peux te le dire !

Gérard se lève et s’approche du lit. Il s’assoit dessus, et sors son sexe.

- A genoux et suce moi !
- Montre-moi comment Maurice t’a bien appris
- Ouahhouuuu
- Pas mal, j’adore ! Mmmmmm
- Très bien, tu marques plein de bons points salope !!!
- Bravo Maurice, tu l’as déjà bien travaillé

Et alors que tant bien que mal je suce cette bite épaisse, je sens que le van s’arrête, et que Maurice se lève et s’approche. Les choses vont se compliquer pour moi…

Maurice se déshabille et dit :
- Voilà, nous allons être tranquille ici.
- On va pouvoir découvrir tes capacités avec deux hommes.
- Garde le sexe de Gérard en bouche, et prend le mien dans ta main
- Caresse-le délicatement.
- Et de temps en temps alterne entre Gérard et moi

Me voilà à gérer deux sexes à sucer, Maurice est nu, Gérard fini de se déshabiller, ils ont l’air détendu et complice, je sens que je n’ai pas fini avec eux deux.

Gérard me dit :
- Mets-toi à quatre pattes sur le lit, j’ai trop envie de découvrir ton petit cul !
- Maurice, met toi devant, qu’il puisse te sucer, pendant que je l’encule.

Maurice se positionne, je prends son sexe en bouche, et Gérard se met derrière moi, m’écarte les jambes par la force de ses cuisses, et me pénètre dans un râle de bonheur.

- Oh putain que c’est bon !!!
- Oh putain que j’aime ton cul de salope.
- Je peux te dire que tu vas me voir souvent.
- J’adore !!!!

Et les deux larrons, visiblement habitués, synchronisent leurs mouvements. Mon corps devient jouet de leur plaisir. Quand un sexe me rentre dans la bouche, mon cul se libère, et par une pression sur mes hanches je me recule, vide ma bouche et rempli mon cul de l’autre sexe. Et cette alternance ne s’arrête plus. Ils grognent tous les deux de plaisir, dans la douceur mais la fermeté, avec un rythme plutôt lent, ils font grimper leur plaisir paliers par paliers.

Les grognements s’accentuent, et à la demande de Maurice, je me mets aussi à gémir. Ce qui a pour effet de les faire exploser en même temps, l’un dans mon cul, profondément ancré, et l’autre sur mon visage. J’en ai plein les yeux, les cheveux, le nez.
Ils sont contents d’eux. Ils me demandent de nettoyer leur sexe avec ma bouche, et de les rhabiller.

Ils se remettent devant le van, et reprennent la route. Maurice dit :
- Pendant que je te ramène à ta voiture, montre à Gérard comment tu te branles, comment tu jutes et comment tu bois ton sperme de salope, qu’il voit que l’on a déjà bien bossé toi et moi.
- Et après tu t’habilles en gardant notre sperme sur toi.

Je m’exécute et en quelques va et viens je jouis dans ma main, que je lèche consciencieusement sous le regard amusé de Gérard. Je m’habille, couvert de leur foutre, et arrivé à ma voiture sors.

Avant de refermer la porte, Gérard me dit :
- J’ai récupéré ton numéro de téléphone et ton adresse, à très vite ma salope !
- On va se régaler.

La porte se referme et ils repartent.