la fin d'un jeu 3
Récit érotique écrit par Jérôme71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-09-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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la fin d'un jeu 3
Le lendemain, alors que j’étais à mon travail, Gerard m’a envoyé un texto : « Maurice accepte que je prenne du plaisir avec toi quand je veux, voilà une très bonne nouvelle pour toi ! »
Je n’ai pas répondu, ne sachant pas quoi dire…
Un nouveau texto est arrivé une heure après, avec juste une photo de la devanture de mon entreprise. Puis un autre, avec la photo d’un gel de lubrifiant. Puis un troisième ou il est écrit : j’ai très envie de te baiser »
J’ai donc répondu que j’avais du travail, et que je ne pouvais pas me libérer comme ça. Un nouveau texto est arrivé : « c’est TON problème, tu dois pouvoir gérer », suivit d’un autre : « ton dressage doit continuer, ne me force pas à venir te chercher dans ton bureau devant tout le monde !!! Tu perdrais beaucoup de crédit au sein de ton entreprise… »
Je me suis levé et suis sorti. Effectivement devant l’entreprise était garé une camionnette blanche. J’ai reconnu Gérard au volant. Décidé à lui expliquer que tout n’était pas possible, je me suis approché de la fenêtre côté conducteur. La vitre était ouverte, Gérard avait un large sourire, et le lubrifiant envoyé par photo était sur le siège passager.
- Je suis désolé Monsieur, mais je n’ai pas le temps, je ne peux pas me libérer comme ça au pied levé.
- Je m’en fou royalement de ce que tu peux ou ne peux pas. J’ai envie de te baiser, je suis là, donc tu montes dans la voiture et c’est tout.
- Mais je vous ai dit que je ne pouvais pas.
- Ne me force pas à faire ce qui te nuirait. Monte et puis c’est tout ! et dépêche-toi !!
Vaincu, j’ai fait le tour du véhicule et suis monté. Hilare, en démarrant, Gérard a rajouté :
- Je vais faire vite, tu pourras retourner à tes employés rapidement.
- Pendant que je conduis, ouvre ta ceinture, ton jean, et baisse un peu tout ça
- Et en même temps caresse moi avec ton autre main à travers mon pantalon. Plus tu seras excitant, plus je jouirai vite, plus tu pourras vite retourner à ton travail.
- Je connais près d’ici, un petit chemin charmant ou nous serons tranquilles
Je fais donc comme demandé, ouvre mon pantalon, le baisse, et commence à caresser le sexe de Gérard à travers son pantalon. Visiblement la situation et ma main lui plaisent, je sens un sexe déjà en érection sous le tissu. Lui profite de mon pantalon baissé pour me palper, et me caresser les fesses. Tout en me traitant de tous les noms.
La situation est très embarrassante. Même si personne ne peut voir ce qu’il se passe, je me sens totalement humilié, et j’avoue aimer cette humiliation, et cette situation, ce qui est encore plus humiliant pour moi.
- Ouvre aussi mon pantalon, et rentre ta main dans mon caleçon, je veux sentir ta chaude main de salope sur mon sexe.
- Très bien, parfait ! caresse-moi doucement. Profite de mon sexe. Découvre-le de ta main.
- Sors-le. Oui, j’aime beaucoup la douceur de tes mains. Tu es une vraie salope en devenir !!!
- Je vais te faire découvrir qui tu es !
- On va faire éclore la salope qui sommeille en toi.
- On va te trouver une garde-robe adéquate.
Je suis sans voix…. Sur une route, un sexe dans ma main, une main sur mes fesses, et un homme qui me traite de salope et qui m’annonce qu’il va me travestir… Gérard bifurque dans un chemin, et au bout de plusieurs centaines de mètres, s’arrête.
- Voilà, ici on va être tranquille.
Effectivement, l’endroit est désert. De sa main, il me saisit par la nuque et me baisse la tête à hauteur de son sexe. Je comprends facilement le message, et prends son sexe en bouche. Il râle de plaisir. Avec sa main, il me donne le rythme de son désir, quand l’autre explore doucement mes fesses, faisant de petits cercles sur mon anus.
- Tu as un talent totalement inexploité de salope
- Je vais casser tes barrières, celles qui t’empêchent de t’accomplir, celles qui te laissent sur la retenue, celles qui t’empêchent de lâcher totalement prise.
- Tu n’auras pas le choix, j’en sais trop sur toi, plus que toi-même d’ailleurs.
- Prépare-toi à devenir une salope de compétition grâce à moi !
Tout en me tenant ce discours, Gérard continue à imposer son rythme à ma bouche. Son autre main ayant percé mes barrières, son doigt est entré en moi. Je suis à sa merci… je ne suis que le jouet de son désir, de son plaisir, de sa perversité. Je sens bien que cette totale humiliation, que cette contrainte sans choix éveille en moi un pan de ma personnalité que je camouffle depuis longtemps. Je sens bien que cette situation plait à mon corps, plait à une partie de mon cerveau, que la partie qui résiste, qui rechigne et qui rue dans les brancards se sait perdue, mais lutte encore de manière acharnée.
- Il va falloir que je t’apprenne à séduire des hommes.
- A être capable de draguer et de te faire sauter en dehors de moi
- Tu vas voir, on va faire plein de truc !
- Et tu vas aimer salope
Je ne sais pas si c’est son propre discours, ou le travail de ma bouche, mais je sens son sexe se gonfler. Je tiens le bon bout (sans mauvais jeu de mots…). Je sors la langue et me met à gémir en même temps, pour lui montrer que le doigt dans mon fondement couplé à ma dégustation me plait, ce qui l’excite encore plus.
Mais le salaud le sait et m’arrête.
- On a encore 5 minutes ma belle, ne t’emballe pas.
- Tu vas sortir, on va aller dans la petite clairière à coté, et tu vas me demander et même réclamer le droit de me faire jouir dans ta bouche et de pouvoir te délecter de ma semence. Mais pour ça, il va falloir être convainquant et très excitant.
- Dès que tu y arrives, alors je te ramène et c’est normalement tout pour aujourd’hui…
Je sais que si je veux regagner mon entreprise, je n’ai pas le choix, et je sais que je dois être convainquant. Il m’a appelé ma belle…. Je sens que je m’enfonce doucement sur le chemin de ma dépravation…
Je sors remonte mon pantalon, et l’accompagne dans la petite clairière, qui est totalement à l’abri de la vue du chemin. C’est déjà un bon point. Il s’adosse à un arbre, me regarde et attend. Le message est clair, c’est à moi de jouer… Il va falloir que je sois bon. Si je me débrouille bien, en cinq minutes je peux avoir fini.
Je le regarde et commence à enlever mon haut langoureusement, puis mes chaussures, chaussettes et enfin mon pantalon. J’essaye d’onduler, comme j’imagine qu’il rêve que je le fasse. A moi de trouver la part féminine en moi pour sortir de cette situation du jour. Je me tourne et en me déhanchant, je baisse très doucement mon caleçon. Je suis nu. Je lui fait face à nouveau, je vois que ça fonctionne, son sexe est toujours bien raide.
Je m’approche, me mets à genoux devant lui, le regarde dans les yeux, et de la plus petite voix dont je suis capable lui demande :
- Monsieur, accepteriez vous que j’honore votre sexe avec ma bouche, que je sois la salope qui aujourd’hui récolte votre semence en moi, que je soit celle qui ait l’honneur de me délecter de votre sexe et de votre sperme
Il adore, je le vois dans ses yeux. Il se sent tout puissant, dominant au maximum, et cela l’excite au plus haut point.
- Oui, salope, je t’autorise.
Je reprends donc son sexe en bouche, et sans le quitter des yeux, le suce du mieux que je peux. J’essaye d’être sexy, faisant courir ma langue, puis gobant le sexe entier. Je gémis en même temps, je sais qu’il adore. Mes mains caressent ses deux couilles avec douceur tout en lui caressant le bas du ventre. Il se met à trembler, à gémir, et d’un coup, une quantité incroyable de sperme se déverse dans ma bouche. Sans le quitter des yeux, j’avale en donnant l’air de me régaler.
- Tu progresses vite ma salope, il est clair que la contrainte joue beaucoup, mais je suis fier de toi !
- Je t’autorise à te branler en me regardant, et à jouir dans ta main.
C’est encore un moment assez humiliant….
Je le regarde, et commence à me branler. Et très rapidement une décharge incroyablement intense me saisit. Je gémis sans le vouloir, et me mets à décharger une énorme quantité de sperme dans ma main.
- C’est bien, tu vois, tu commences à apprécier.
- Nettoie ta main avec ta bouche, il ne doit rien rester.
- Parfait salope, rhabille toi, sans le caleçon, je le garde.
- Je te ramène.
Il m’a reposé à mon bureau, j’ai honte….
- A très très vite ma salope !
Je n’ai pas répondu, ne sachant pas quoi dire…
Un nouveau texto est arrivé une heure après, avec juste une photo de la devanture de mon entreprise. Puis un autre, avec la photo d’un gel de lubrifiant. Puis un troisième ou il est écrit : j’ai très envie de te baiser »
J’ai donc répondu que j’avais du travail, et que je ne pouvais pas me libérer comme ça. Un nouveau texto est arrivé : « c’est TON problème, tu dois pouvoir gérer », suivit d’un autre : « ton dressage doit continuer, ne me force pas à venir te chercher dans ton bureau devant tout le monde !!! Tu perdrais beaucoup de crédit au sein de ton entreprise… »
Je me suis levé et suis sorti. Effectivement devant l’entreprise était garé une camionnette blanche. J’ai reconnu Gérard au volant. Décidé à lui expliquer que tout n’était pas possible, je me suis approché de la fenêtre côté conducteur. La vitre était ouverte, Gérard avait un large sourire, et le lubrifiant envoyé par photo était sur le siège passager.
- Je suis désolé Monsieur, mais je n’ai pas le temps, je ne peux pas me libérer comme ça au pied levé.
- Je m’en fou royalement de ce que tu peux ou ne peux pas. J’ai envie de te baiser, je suis là, donc tu montes dans la voiture et c’est tout.
- Mais je vous ai dit que je ne pouvais pas.
- Ne me force pas à faire ce qui te nuirait. Monte et puis c’est tout ! et dépêche-toi !!
Vaincu, j’ai fait le tour du véhicule et suis monté. Hilare, en démarrant, Gérard a rajouté :
- Je vais faire vite, tu pourras retourner à tes employés rapidement.
- Pendant que je conduis, ouvre ta ceinture, ton jean, et baisse un peu tout ça
- Et en même temps caresse moi avec ton autre main à travers mon pantalon. Plus tu seras excitant, plus je jouirai vite, plus tu pourras vite retourner à ton travail.
- Je connais près d’ici, un petit chemin charmant ou nous serons tranquilles
Je fais donc comme demandé, ouvre mon pantalon, le baisse, et commence à caresser le sexe de Gérard à travers son pantalon. Visiblement la situation et ma main lui plaisent, je sens un sexe déjà en érection sous le tissu. Lui profite de mon pantalon baissé pour me palper, et me caresser les fesses. Tout en me traitant de tous les noms.
La situation est très embarrassante. Même si personne ne peut voir ce qu’il se passe, je me sens totalement humilié, et j’avoue aimer cette humiliation, et cette situation, ce qui est encore plus humiliant pour moi.
- Ouvre aussi mon pantalon, et rentre ta main dans mon caleçon, je veux sentir ta chaude main de salope sur mon sexe.
- Très bien, parfait ! caresse-moi doucement. Profite de mon sexe. Découvre-le de ta main.
- Sors-le. Oui, j’aime beaucoup la douceur de tes mains. Tu es une vraie salope en devenir !!!
- Je vais te faire découvrir qui tu es !
- On va faire éclore la salope qui sommeille en toi.
- On va te trouver une garde-robe adéquate.
Je suis sans voix…. Sur une route, un sexe dans ma main, une main sur mes fesses, et un homme qui me traite de salope et qui m’annonce qu’il va me travestir… Gérard bifurque dans un chemin, et au bout de plusieurs centaines de mètres, s’arrête.
- Voilà, ici on va être tranquille.
Effectivement, l’endroit est désert. De sa main, il me saisit par la nuque et me baisse la tête à hauteur de son sexe. Je comprends facilement le message, et prends son sexe en bouche. Il râle de plaisir. Avec sa main, il me donne le rythme de son désir, quand l’autre explore doucement mes fesses, faisant de petits cercles sur mon anus.
- Tu as un talent totalement inexploité de salope
- Je vais casser tes barrières, celles qui t’empêchent de t’accomplir, celles qui te laissent sur la retenue, celles qui t’empêchent de lâcher totalement prise.
- Tu n’auras pas le choix, j’en sais trop sur toi, plus que toi-même d’ailleurs.
- Prépare-toi à devenir une salope de compétition grâce à moi !
Tout en me tenant ce discours, Gérard continue à imposer son rythme à ma bouche. Son autre main ayant percé mes barrières, son doigt est entré en moi. Je suis à sa merci… je ne suis que le jouet de son désir, de son plaisir, de sa perversité. Je sens bien que cette totale humiliation, que cette contrainte sans choix éveille en moi un pan de ma personnalité que je camouffle depuis longtemps. Je sens bien que cette situation plait à mon corps, plait à une partie de mon cerveau, que la partie qui résiste, qui rechigne et qui rue dans les brancards se sait perdue, mais lutte encore de manière acharnée.
- Il va falloir que je t’apprenne à séduire des hommes.
- A être capable de draguer et de te faire sauter en dehors de moi
- Tu vas voir, on va faire plein de truc !
- Et tu vas aimer salope
Je ne sais pas si c’est son propre discours, ou le travail de ma bouche, mais je sens son sexe se gonfler. Je tiens le bon bout (sans mauvais jeu de mots…). Je sors la langue et me met à gémir en même temps, pour lui montrer que le doigt dans mon fondement couplé à ma dégustation me plait, ce qui l’excite encore plus.
Mais le salaud le sait et m’arrête.
- On a encore 5 minutes ma belle, ne t’emballe pas.
- Tu vas sortir, on va aller dans la petite clairière à coté, et tu vas me demander et même réclamer le droit de me faire jouir dans ta bouche et de pouvoir te délecter de ma semence. Mais pour ça, il va falloir être convainquant et très excitant.
- Dès que tu y arrives, alors je te ramène et c’est normalement tout pour aujourd’hui…
Je sais que si je veux regagner mon entreprise, je n’ai pas le choix, et je sais que je dois être convainquant. Il m’a appelé ma belle…. Je sens que je m’enfonce doucement sur le chemin de ma dépravation…
Je sors remonte mon pantalon, et l’accompagne dans la petite clairière, qui est totalement à l’abri de la vue du chemin. C’est déjà un bon point. Il s’adosse à un arbre, me regarde et attend. Le message est clair, c’est à moi de jouer… Il va falloir que je sois bon. Si je me débrouille bien, en cinq minutes je peux avoir fini.
Je le regarde et commence à enlever mon haut langoureusement, puis mes chaussures, chaussettes et enfin mon pantalon. J’essaye d’onduler, comme j’imagine qu’il rêve que je le fasse. A moi de trouver la part féminine en moi pour sortir de cette situation du jour. Je me tourne et en me déhanchant, je baisse très doucement mon caleçon. Je suis nu. Je lui fait face à nouveau, je vois que ça fonctionne, son sexe est toujours bien raide.
Je m’approche, me mets à genoux devant lui, le regarde dans les yeux, et de la plus petite voix dont je suis capable lui demande :
- Monsieur, accepteriez vous que j’honore votre sexe avec ma bouche, que je sois la salope qui aujourd’hui récolte votre semence en moi, que je soit celle qui ait l’honneur de me délecter de votre sexe et de votre sperme
Il adore, je le vois dans ses yeux. Il se sent tout puissant, dominant au maximum, et cela l’excite au plus haut point.
- Oui, salope, je t’autorise.
Je reprends donc son sexe en bouche, et sans le quitter des yeux, le suce du mieux que je peux. J’essaye d’être sexy, faisant courir ma langue, puis gobant le sexe entier. Je gémis en même temps, je sais qu’il adore. Mes mains caressent ses deux couilles avec douceur tout en lui caressant le bas du ventre. Il se met à trembler, à gémir, et d’un coup, une quantité incroyable de sperme se déverse dans ma bouche. Sans le quitter des yeux, j’avale en donnant l’air de me régaler.
- Tu progresses vite ma salope, il est clair que la contrainte joue beaucoup, mais je suis fier de toi !
- Je t’autorise à te branler en me regardant, et à jouir dans ta main.
C’est encore un moment assez humiliant….
Je le regarde, et commence à me branler. Et très rapidement une décharge incroyablement intense me saisit. Je gémis sans le vouloir, et me mets à décharger une énorme quantité de sperme dans ma main.
- C’est bien, tu vois, tu commences à apprécier.
- Nettoie ta main avec ta bouche, il ne doit rien rester.
- Parfait salope, rhabille toi, sans le caleçon, je le garde.
- Je te ramène.
Il m’a reposé à mon bureau, j’ai honte….
- A très très vite ma salope !
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
vraiment pas de suite?
oh oui oh ouiiiii....
à propos d'échanger, quand est ce qu'on échange un commentaire sur le tome 4 ;-)
Elle ne franchira pas cette limite.
C'est la peur de l'intrusif qui est excitante
C'est cette peur qui est moteur de la soumission. Mais effectivement cela ne doit pas aller plus loin.
Merci de vos commentaires en tout cas
au plaisir d'échanger
C'est la peur de l'intrusif qui est excitante
C'est cette peur qui est moteur de la soumission. Mais effectivement cela ne doit pas aller plus loin.
Merci de vos commentaires en tout cas
au plaisir d'échanger
Bonjour, ne te laisse pas intimider... Racontes nous la suite et ce ne sera plu intrusif si tu montre ta vraie nature et prend des initiatives pour montrer que tu n'est pas que soumis mais que c'est TA VOLONTé de prendre du plaisir dans la soumission et l'offre de tes trous. Bises et vite la suite
super excitant de quelque côté que ce soit mais je n'aime pas le côté intrusif dans la vie de l'autre de cet épisode car dans la vraie vie, ce genre d'exigence pourrait avoir des graves conséquences pour le soumis. Ici ouf aurais je envie de dire, ce serait bien si la suite de cette histoire ne franchissait pas cette limite (simple avis en tant que lecteur).
Je veux une suite!!! 😍