La gêne et le plaisir - Partie 2

- Par l'auteur HDS ElleSaMuse -
Récit érotique écrit par ElleSaMuse [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : La gêne et le plaisir - Partie 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-02-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La gêne et le plaisir - Partie 2
Jenny est une étudiante qui profite d'un week end prolongé dans sa colocation vide pour s'adonner à une séance de découverte du selfbondage en solitaire. Son colocataire Damien fait irruption en pleine action, et vient pimenter l'expérience. Il lui propose alors un jeu de rôle de Maitre et Soumise pour le reste du week-end, en lui promettant discrétion et le droit de lui rendre la pareille à la fin du week-end. Jenny accepte avec une réserve feinte, et Damien la laisse entravée sur son lit, le temps d'aller mettre sous clef ses papiers, ses clefs et son ordinateur, pour officialiser sa soumission.

Damien revint enfin. Sans dire un mot, il sortit une clef de sa poche et déverrouilla ma ceinture de chasteté. Elle était encore bien humide cyprine et exhalait une forte odeur.
- Quelle petite cochonne, tu en as mis partout, jusque sur tes draps. Maintenant voyons voir où tu as caché l’œuf.
Me plaquant sur le lit, il décolla le scotch, m’écarta les cuisses et introduisit doucement mais fermement ses doigts dans mon vagin. Je soupirais d’aise. Il retira l’œuf et me le présenta.
- Une vraie petite trainée qui aime se faire des frayeurs toute seule… C’est dégoutant, regarde-moi ça.
Il essuya l’œuf avec mes cheveux. Je protestais. Il me punit d’une petite tape sur le sexe, qui m’excita terriblement. J’avais très envie qu’il me fasse l’amour brutalement.
- Eh non, petite soumise, ce n’est pas pour tout de suite. J’ai plein d’idée de jeux, avant.
Il détacha les menottes sur mes chevilles mais laissa mes poignets liés. Avisant le carton remplis de mes nouveaux accessoires de jeux, il fouilla dedans. Il en sortit victorieusement une laisse. J’eu soudainement envie d’arrêter. Me faire trainer en laisse par mon colocataire si provocateur, c’était trop. Mais quelque chose me retint de l’interrompre. Il accrocha la laisse à l’anneau du collier – un ruban de cuir solide sur lequel était écrit « esclave ».
- Si bien trouvé, commenta-t-il.
Ensuite il sortit de sa poche un tissu d’étoffe noir. Je reconnu la culotte que j’avais abandonnée dans l’entrée.
- Regarde-moi ça, dit-il en me la collant sous le nez. Sens donc ton odeur de petite chienne en rut. Toute la journée, tu n’as pensé qu’au moment où tu t’attacherais sur ton lit, et tu as bien mouillé à cette idée.
Ma culotte sentait une odeur forte d’hormone, de sexe. C’était humiliant qu’il ait touché à ma lingerie et encore plus qu’il l’ait reniflée. Je sentis mon sexe produire une grande quantité de cyprine alors qu’il me forçait à sentir le morceau de tissu. Il me l’enfila lui-même, et avisant mon sexe bien humide, il me caressa les cuisses. Mon désir de lui monta encore d’un cran.
- Une vraie petite chienne, toute prête à se faire prendre, dit-il en me pinçant le menton. J’appelais peut-être quelques copains, je ne suis pas sûr de pouvoir te suffire, ma belle…Je le foudroyais du regard. Il se leva, et tirant sur ma laisse, me força à le suivre. Il m’emmena dans la cuisine et me fit assoir à la table.
- Toutes ces émotions ont dû t’épuiser. Tu vas boire un peu avant de reprendre.
C’est vrai que j’avais la bouche sèche. J’accueillais cette intention avec soulagement. Il sortit du frigidaire une bouteille d’un litre. Détachant mon bâillon, il me fit boire en penchant la bouteille à la hauteur de mon visage. Je bu goulûment, et nous appréciâmes tout deux la symbolique érotique du geste. Arrivée à la moitié de la bouteille, je lui fis signe que je m’étais suffisamment abreuvée. Il me fit signe de continuer à boire. A la fin de la bouteille, je lui dis que j’avais plus soif, mais sortant une deuxième bouteille du frigidaire, il me fit encore boire. Je craignais le pire pour la suite – que voulait-il me faire, et pour combien de temps, pour m’hydrater ainsi ?
Je bus au total deux litres d’eau. Avant que j’ai pu dire un mot, il me rebâillonna et tira sur la laisse.
- Parfait, il fait encore bon, dit-il en sortant dans le jardin, à l’arrière de la maison.
Celle-ci jouxtant un bois touffu, personne ne pouvait nous voir lorsque nous nous trouvions au jardin, à moins de passer par la forêt, mais nous ne voyions que très rarement des visiteurs. Ce jardin à l’abri des regards offrait un endroit de rêve pour faire la fête pendant les belles saisons.
Descendant maladroitement – j’avais toujours mes talons – les marches du perron à sa suite, je me demandais quels étaient ses projets. Avisant la clôture du jardin, il y attacha ma laisse, ce qui m’obligeait à rester accroupie, la laisse étant attachée trop court pour que je puisse me redresser. Je le regardais tirer un transat dans la partie ensoleillée du jardin, sans comprendre. Bâillonnée, je n’étais pas en mesure de demander plus d’information. Il s’étendit sur le transat et sortit son téléphone. Il appela un ami et bavarda longuement avec lui.
J’eu rapidement très envie d’uriner. Les deux litres d’eau se manifestaient. Je tentais de gémir à travers le bâillon boule pour attirer l’attention de Damien sans être entendue de son interlocuteur, mais il m’ignora superbement.
Je compris alors que tout était calculé, et désespérais de mon innocence. Il m’avait fait boire autant dans le but de m’infliger la torture d’avoir à attendre, attachée. Je serrai les cuisses et tentai de prendre mon mal en patience. Mes jambes me lançaient, mes épaules étaient raides et douloureuses, et ma vessie pleine se manifestait à chaque instant par une douleur lancinante. Le fait de me retenir d’uriner avait toujours sur moi un effet excitant. Mais je ressentis pleinement le ridicule de la situation – une étudiante de vingt et un ans, attachée à la clôture de son jardin, par son colocataire dominateur qui refusait de la laisser aller uriner.
Damien finit son appel et vint enfin s’intéresser à moi. Il s’approcha et s’accroupit pour être à ma hauteur. Caressant ma poitrine du bout des doigts, il me demanda :- Alors, on a envie de faire un petit pipi ?
Je gémis pour lui répondre, en indiquant de la tête la maison.
- Ah mais non, les chiennes ne vont pas aux toilettes, à ce que je sache. Elles urinent dans la nature, comme tous les animaux. Tu vas donc devoir me faire un joli petit pipi à l’endroit où tu te trouves.
Je protestais avec véhémence. Il me planta là et rentra dans la maison. Il ressortit avec mon appareil photo reflex, que j’avais reçu de mes parents à mon anniversaire. Je paniquais.
- Ne t’inquiètes pas, je ne les montrerais à personne, tu seras la seule à les voir à la fin de notre week-end. Ça nous fera des petits souvenirs !
Il s’assit à deux mètres de moi et me prit en photo dans cette position rabaissante, attachée comme un chien. Il attendit ensuite, me fixant, l’appareil à la main. Je compris qu’il n’attendait qu’une chose. Je n’arrivais pas à me résoudre à m’uriner dessus. C’était trop. Trop sale, trop extrême, trop dégradant. Et en même temps, cette excitation omniprésente depuis le début, si tentante, exacerbée par le poids de ma vessie gonflée… Au bout d’un certain temps, ne pouvant plus me retenir, je sentis soudain l’urine commencer à s’écouler. Je poussais un petit cri d’horreur et me dandinais ; j’écartais les jambes pour ne pas mouiller mes chaussures. Damien ne loupa pas l’occasion, mitraillant toute la scène. L’urine commença par inonder ma culotte qui s’assombrit et me colla à la peau. Puis l’urine transperça le tissu et commença à s’écouler en jet et en rigole le long de mes cuisses. La miction me soulagea tant qu’elle me fit l’effet d’un acte sexuel. Je m’abandonnais à cette action si primitive mais si agréable, fermais les yeux, sans pouvoir ignorer les clics de l’objectif de mon appareil photo. J’urinais longuement – j’avais plus de deux litres à évacuer, après tout – et me délectais presque de la situation. Lorsque j’eu fini, je ressentis profondément la honte de mon action. L’odeur de l’urine était très forte et m’entourais ; ma culotte me collait salement à la peau et l’urine séchant sur mes jambes me grattait. Damien éteignit l’appareil, satisfait. Il alla chercher dans la maison un rouleau de sopalin et m’essuya les jambes.
- Tu vas garder la même culotte ces trois jours, je ne veux pas que tu oublies un seul instant la vulgarité et la saleté de tes actes.
Je gémis. Le regard mêlé de moquerie et de dégout qu’il m’adressait me rendait folle. Il me détacha de la barrière et me tira vers la maison. Mes jambes me lançais, j’étais ankylosée d’avoir gardé la même position pendant si longtemps.
- Tu aimes les films pornos, ma belle ?
J’haussais les épaules, peu rassurée.

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