La jeune femme de l'hôtel - histoire érotique

Nous nous retrouvons Christopher et moi à proximité de chez nous afin de boire un verre entre amis, nous sommes dans cet hôtel chic qui dispose d’une magnifique vue sur la mer, la soirée est agréable, la chaleur douce. Nous en sommes à notre deuxième tournée quand entre cette charmante jeune femme, vêtue d’une petite robe noir, sa robe lui arrive à mi-cuisses, ses boutons largement ouvert appellent nos yeux à plonger vers son opulente poitrine, qui semble dépourvue de soutien gorge.

Elle s’assoit à une table de nous, tournant légèrement le dos à la mer, à peine sa coupe de champagne arrivée, qu’elle ne cesse de se retourner vers nous et de nous sourire. Si elle cherchait un moyen de nous perturber, elle a parfaitement réussit. Nous sommes bien incapable de rester concentrer sur ce que nous disions. Attend elle que nous l’invitions à nous rejoindre?

Nous ne nous posons pas très longtemps la question et je me lève afin de lui proposer de se joindre à nous ayant remarqué qu’elle semblait disposer à échanger quelques mots. Elle se lève rapidement et me suis afin de se poser avec nous. Nous lui demandons ce qu’elle fait dans cet hôtel et nous informe être de passage dans la région pour la nuit, en déplacement professionnel. La soirée avance vite, la première bouteille de vin blanc est vide, rapidement suivi de la deuxième, les langues se délient, les rires emplissent les oreilles, les mains se posent fréquemment sur les cuisses, les épaules.

Il est environ 23 heures quand Julie nous informe qu’elle doit nous quitter et monter se reposer pour le lendemain car elle doit quitter l’hôtel vers 07h30. Nous tentons de la dissuader de cela mais sans succès. Nous la regardons s’éloigner, ses magnifiques fesses , ses jambes interminables, son cou. Tout en elle appelle à lui faire l’amour. Nous sommes de nouveau seul depuis quelques minutes que le serveur se présente à nous et nous tend une carte de chambre avec un papier. Il n’y est écrit que « H » avec une trace de lèvres rosées. Celui que portait Julie ce soir.

Nous n’avons pas besoin d’une longue concertation et réglons hâtivement l’addition, pour nous présenter devant l’ascenseur qui va nous conduire au 5ème étage. Nous sommes devant cette chambre, la 532. Je tente de frapper à la porte, mais Christopher me dis que nous avons la clef, et qu’il n’est donc pas nécessaire de nous annoncer. Elle nous attends et nous verra bien entrer.

Quand nous ouvrons la porte, la lumière est allumée, Julie est assise sur le lit, robe déboutonnée, légèrement écarté, mais pas suffisamment pour nous révéler sa poitrine. Elle nous invites à entrer, à fermer la porte et à la rejoindre. Nous nous approchons d’elle, nous positionnons de part et d’autre d’elle. Elle ne bouge pas et nous fixe dans les yeux à tour de rôle.

Nous savons ce qu’elle veux et sommes prêt à lui donner. Je fixe Julie dans les yeux, un regard profond, puissant, et tout en me fixant en retour elle approche ses mains de mon pantalon, fait glisser ses doigts sur mon sexe tendu, et au toucher semble satisfaite, car un petit sourire emplie son visage. Elle commence à défaire ma ceinture, mon zip pendant que je déboutonne ma chemise. Mon pantalon est rapidement à terre, et ses doigts fins vont et viennent sur mon membre au travers de mon boxer. Elle approche son visage et vient poser ses lèvres sur mon gland.

Tout en continuant à l’embrasser, elle me retire ce morceau de tissu qui nous sépare, et quand mon bout rosé gorgé de plaisir se libère, elle y dépose pour la première fois ses lèvres, sa langue, son visage. Elle emplie ses narines de mon odeur, ses yeux toujours plongés dans miens, et tout en léchant mon engin sur sa longueur, ouvre sa bouche pour enfin m‘accueillir entre ses lèvres rosées. Elle commence des vas et vient sur mon bout, engouffrant mon pieu un peu plus à chaque mouvement de tête. Sa main se joint à sa bouche pour mieux me branler. De sa main libre elle caresse le sexe de Christopher.





Ses mouvements s’accélèrent, elle fait disparaître mon engin dans les profondeurs de sa bouche, sa main glisse sur mes bourses qu’elle malaxent délicatement tout en libérant le sexe de Christopher. Elle le branle tout en me suçant, ses yeux alternant de nouveau entre les notre. Sa bouche déformée par ma chaire est un régal, je vient poser mes deux mains sur sa tête, saisi sa crinière blonde et commence à forcer sa tête su ma batte. Je la force à avaler plus profondément mon dard, elle finit par engloutir mon sexe jusqu’à ce que ses lèvres butent sur mon bas ventre. Elle émets de magnifique sons gluturaux. A chaque fois qu’elle tente de retirer ses lèvres d’autour de mon membre, je lui plante à nouveau au fond de la gorge avec un coup de hanche accompagné de mes mains qui lui force la tête.

Elle me suce durant de longues minutes, respirant toujours plus vite, toujours plus fort tellement le rythme que je lui impose, tellement mon sexe la remplie, qu’elle à du mal respirer. De petits filets de sa salive sortent de la commissure de ses lèvres et coulent sur ses seins toujours à moitié prisonniers. Je sens mon plaisir monter, et libère mon sexe de sa bouche pour mieux lui offrir celui de mon ami.

Je la force à avaler sa tige sur toute sa longueur dès la première fois qu’elle le goute, elle à peine eu le temps de respirer à plein poumons une fois que déjà sa bouche est envahit. Elle ne lâche pas le sexe de Christopher de sa main qui le branlait et utilise son autre pour lui masser ses couilles. Je continue de me branler, et sens que je vais venir. Je m’approche de son visage et tandis que sa bouche est déformée par les 16 centimètres de Christopher qui est planté au fond de sa gorge, je libère un premier jet de sperme sur son visage. Je me vide sur elle, sur ses yeux, dans ses cheveux, sur son nez, elle est recouverte de ma semence qui commence à couler sur ses mains, sur son cou puis sur ses seins.

Je vient frapper ma bite sur son visage, sur ses joues creusées par l’effort de succion qu’elle applique pour mieux sucer mon ami. Mon sperme est partout sur elle son visage et elle continue de sucer cette autre queue qui lui est donnée. Je saisis ses cheveux et fini essuie les dernières gouttes qui sortent de mon gland avec.

Alors qu’elle est toujours occupée par le pieux de Christopher, je la prends par les épaules, la force à s’allonger sur le lit, sur le dos, et enfin je libère ses magnifiques seins. Ils sont splendides, légèrement blanc, pas de trace de maillot de bain, les aréoles rosées. 95 B. Je prends soin de lui laisser sa robe ouverte qui lui tombe sur les flancs. Elle ne libère le sexe de Christopher que le temps pour elle de s’installer sur le dos, la tête au bord du lit. Christopher ne perd pas un instant et dès qu’elle est confortablement installée vient tout de suite forcer à nouveau ses lèvres. Mon sperme qui coulait vers ses seins coule maintenant vers ses cheveux. Cette position permet à Christopher de lui faire avaler un centimètre ou deux de plus de son sexe.

Son gland vient maintenant déformer son cou quand il est planté en elle. Ses couilles claquent sur son visage, étalant un peu plus le cadeau que je lui ai fait. Un filet de mon sperme les unis en permanence. Il ne retire son sexe de sa bouche que pour lui faire avaler ses bourses, pour que sa langue vienne gouter sa rosette.

Tandis qu’elle se fait défoncer la bouche, je me régal de ses seins, mon visage passant de l’un à l’autre sans cesse, ma langue la léchant sans relâche, mes dents se resserrant sur sa peau, sur ses tétons durcit, les tirants vers moi, dégustant mon foutre mêlé à sa salive. J’enserre ses seins de mes mains, les écrasent les malaxent encore et encore. Finalement je les abandonnent pour me diriger vers son minou. J’ôte ce morceau de tissus noir qui me sépare d’elle et découvre un sexe parfaitement lisse, doux comme la soie, un parfum légèrement sucré.

Quand j’y dépose ma langue pour la première fois, elle parvient à émettre un soupir de plaisir. Je commence à jouer avec elle, avec son petit bouton, mes mains se calant sur ses fesses pour mieux la diriger vers moi. Elle accompagne chacun de mes coups de langues de ses hanches, écartant toujours plus ses jambes pour mieux m’offrir son repère. Christopher est penché sur elle, sa bite au fond de sa bouche, ses lèvres accompagnant ses mains sur ses seins. Je relève ses jambes et libère le chemin vers sa rosette.



Je commence à jouer avec, à déposer de petits baisers dessus, à y poser ma langue. Mon ami lui offre à nouveau son petit aussi et tandis que je commence à forcer celui de Julie, elle force le sien. j’écarte doucement son trou, et m’immisce en elle, lentement j’introduit ma langue en elle, mon visage se plantant dans son sexe, son visage dans le cul de mon ami, qui à reprit de se branler.

Il vient faire claquer son membre sur ses lèvres, sur ses joues, sur ses seins, le faisant disparaître de temps en temps au fond d’elle. Je la dévore ainsi quelques minutes puis, me redresse, saisis ma bite de nouveau dure et l’approche de son sexe. Au moment ou je m’introduis en elle, le sexe de Christopher n’est pas dans sa bouche et elle peux laisser son plaisir s’exprimer. Elle gémit de plaisir, râle de bonheur, et quand je lui impose mon premier coup de hanche il se ré introduit en elle, étouffant le crie de plaisir qu’elle émet.

Nous l’entreprenons plusieurs minutes, emplissant sa bouche et son sexe de nos queues, faisant monter son désir, son plaisir. Elle adore notre traitement, la chaire de poule commence à envahir son corps. Je devine que Christopher est sur le point de venir, aussi je me retire d’elle et vient ma placer à l’entrée de sa grotte secrète. Il poursuit de remplir sa bouche de plus en plus fort, accélérant ses coups de hanches, l’envahissant complètement. Et quand je force sans ménagement son petit elle hurle de plaisir et reçoit dans la même seconde la première décharge de sperme de Christopher.

Il se retire de sa bouche et se vide sur elle, sur son visage, mélangeant nos foutres, arrosant ses seins, et revient se finir au fond de sa gorge. Elle jouit instantanément de mon membre dans son cul et de celui de mon ami se vidant dans sa bouche. Des puissants spasmes l’envahissent, elle tremble de plaisirs. Et alors qu’il se retire de sa bouche, mes coups de hanches sont plus forts, plus amples, et sa jouissance augmenté. Ses mains saisissent les draps et elle les serrent aussi fort que possible, son corps s’agite sans son contrôle. Elle hurle de plaisir au rythme de ma bite qui la défonce.

Et tandis que Christopher saisit ses seins, recouvert de nos liquides, avec ses dents, lui infligeant un peu plus de douleur, je jouis en elle. Je jouis dans son cul, la rempli de ma batte gonflée à son paroxysme, lui donnant des coups de hanches toujours plus puissants. Je fini par me retirer d’elle, me dirige vers son visage et introduit mon sexe coulant dans sa bouche afin qu’elle me goutte une nouvelle fois. Christopher s’approche lui aussi et c’est deux sexes ramollissant qui pénètrent sa bouche.

Elle n’est capable que de donner de petits coups de langue sur nos glands. Nous libérons sa bouche afin de lui permettre de respirer enfin convenablement et tombons à ses cotés. Elle est incapable de bouger, laissant nos spermes reluire sur ses seins, sur son visage, sur son ventre, sur son corps. Après quelques minutes Christopher se saisit du téléphone et commande une bouteille de champagne.

Lorsque la sonnette de la chambre retentit nous sommes toujours allongés sur le lit. C’est elle qui se lève et se dirige vers la porte pour réceptionner le breuvage. Elle boutonne maladroitement sa robe et nous laisse nus sur le lit, ouvre la porte sans sourciller et se présente au room service couverte de jus, nous offrant aux yeux de ce dernier. Elle saisit le plateau roulant, remercie le garçon d’étage puis referme la porte et nous rejoins sur le lit.