La jeune femme de l'hotel, la suite - histoire érotique

Lorsque la sonnette de la chambre retentit nous sommes toujours allongés sur le lit.
C’est elle qui se lève et se dirige vers la porte pour réceptionner le breuvage. Elle boutonne maladroitement sa robe et nous laisse nus sur le lit, ouvre la porte sans sourciller et se présente au room service couverte de jus, nous offrant aux yeux de ce dernier. Elle saisit le plateau roulant, remercie le garçon d’étage puis referme la porte et nous rejoins sur le lit.

Le bouchon saute rapidement, les verres sont vidés dès qu’il sont remplis, nous restons tous les trois nus, tentant de nous rafraichir avec le champagne. Julie commence à marcher dans la chambre, elle est magnifique, ses fesses bombées, se balancent tout comme ses seins quand elle marche, elle se dirige vers la télévision, mets une chaine musicale, et commence à onduler son corps au rythme de la musique, son verre dans la main, faisant glisser son autre main sur son corps. Elle passe sur ses seins, sur son ventre, vient étaler un peu plus nos jouissance, puis remonte sur son visage, introduit ses doigts luisant dans sa bouche, les glisse dans ses cheveux, elle danse devant nous, se retourne et nous offre son cul à mater tandis qu’elle continue ses mouvements de hanches.

Lentement elle s’approche de moi, fesses toujours tendues, et vient les coller sur mon visage, je ne perds pas de temps et fait glisser ma langue sur son petit trou si bon, elle se retire dès qu’elle me sent, puis recommence et encore. Je ne peux tolérer son comportement et vient faire claquer ma main sur son cul, et comme elle continue ce petit jeu, je la claque un peu plus à chaque fois. Elle finit par m’abandonner et c’est ses seins qu’elle placent maintenant devant le visage de Christopher, devant sa bouche et tout comme pour moi, dès qu’il les lèchent, ou les attrape avec les dents elle se recule tout comme elle faisait avec moi, il vient lui aussi abattre sa main sur son cul, de plus en plus fort et de plus en plus vite.

Elle finit par se détacher de lui aussi, et tout en continuant ses mouvements, elle vient à demi s’allonger sur le bureau, les seins compressés par son corps, son cul rougit offert. Elle écarte les jambes et nous invite à la rejoindre en ondulant ses hanches. Nous nous positionnons un de chaque côté d’elle et en rythme commençons à lui claquer le cul, elle rougit encore un peu plus à chaque seconde, mais elle gémit aussi un peu plus à chaque coup asséné.

Tandis que je fini par abandonner ses fesses, je viens offrir ma bite, qui est de nouveau dure, à sa bouche. Elle l’engloutit sans hésitation au moment ou Christopher fait disparaitre sa langue entre ses deux monts. Il joue avec son petit trou, enfonçant sa langue et ses doigts en elle, alors que je lui ai saisit sa tête à pleine main pour la forcer à me sucer a fond. Les 18 Centimètres de ma queue sont plantés dans sa bouche, son nez est collé sur mon ventre, je la remplis entièrement, et la pilonne sans ménagement, je lui baise la bouche, je lui défonce la bouche tandis que mon ami l’encule pour la première fois. Elle ne peux que soupirer de plaisir, ma batte étant solidement ancrée au fond de sa gorge, de la salive s’échappe d’entre ses lèvres, Christopher re commence à lui claquer le cul tout en l’enculant tellement fort que j’ai du mal à garder mon pieu en elle. Quand elle finit par me re sortir d’entre ses lèvres, ce n’est que pour crier de plaisir.

Christopher est enchanté de cela et lui lance:
Suce le Salope, suce le pendant que je t’encules…
Elle refait instantanément disparaitre ma bite dans sa bouche et pousse des cris de plaisir étouffés. Mes mains sont toujours derrière sa tête, je lui saisit les cheveux et vient empaler son visage sur ma bite, la faisant disparaître dans sa bouche violemment jusqu’à la garde. Les paroles de Christopher ont mis en évidence qu’elle aimait ce traitement de chienne.

Mes coups de hanches sont aussi fort que ceux de C., sa bouche est déformée par mes assauts, elle ne parvient plus qu’à gémir tellement on la démonte en même temps. Je sens que je vais exploser dans sa bouche, et me retire au dernier moment pour me branler à 2 centimètres de son visage, et quand j’explose, je l’inonde de foutre, je fais claquer ma bite sur ses joues, sur son front, sur sa langue qu’elle sort afin de récolter quelques gouttes de sperme. Tandis que je commence à débander, je saisit son visage et fini d’étaler mon jus avec mes mains, elle reluit de foutre.

C. continu de lui limer le cul avec vigueur, tandis que je saisit mon téléphone et commence à faire des photos de son visage, de ses seins recouvert, de son cul rougit.
Je le film entrain de l’enculer et de l’insulter.

T’aime ça te faire enculer salope! Dis Le que t’aime ça…
Sa réponse se faisant attendre, il vient empoigner ses cheveux, les tirent vers lui, tout en mettant un puissant coup de hanche. Elle hurla de douleur et de plaisir en même temps et lâcha:
OUI Vas y défonce moi le cul, encules moi j’adore ça.

A la vue de son cul tout rouge, de son visage crispé et au son de voix déchirée, je sentis mon membre reprendre vie. Je saisit mon ami par le bras, lui faisant comprendre que je voulais moi aussi son petit cul, et nous la fîmes installer sur le lit, accroupie sur lui, empalée sur sa chaire. Je me suis rapidement présenté devant son anus, et alors que C. avait reprit de la limer, je fit pénétrer mon gland sans retenue en elle. Elle englouti mes 18 centimètres sans aucun problème, et re commença à crier sa jouissance au rythme de nos deux bites qui la prenaient en même temps.

De puissants OUI et des râles de plaisir envahissaient nos oreilles, résonnaient dans la pièce, et surement dans le couloir. Mon sperme coulait sur son visage, sur ses seins.Elle fût prise de tremblements au moment ou son plaisir atteint son apogée. C’est aussi à ce moment là que nous nous libérâmes simultanément en elle. Son cul et son antre furent remplis de sperme, et alors que nous commencions à dé bander, elle se retira de sur nous et vient faire glisser sa langue sur nos deux bites luisantes de foutre. Elle nous suça pour nous finir à tour de rôle, et se délecta de nos jus.

Nous étions tous trois trempés de sueur, les odeurs de nos spermes et de sa mouille se mélangeant dans la pièce, son corps imbibé de nos jus. Nous sommes tombés sur le lit, toujours à moitié enchevêtrés, tentant de reprendre nos souffles.

Je saisis le combiné et commanda une autre bouteille de champagne rosé bien fraiche. Le temps de nous faire livré le précieux breuvage, nous sommes restés sur le lit, sans parler, sans bouger, faisant redescendre nos coeurs mis à rudes épreuves.

Quand le room service sonna à la porte, je me suis levé machinalement, et me dirigea vers la porte que j’ouvris rapidement. Ce n’est qu’en voyant les yeux figés de la femme de service que je réalisais que j’étais nu. Elle ne parvenait à détacher son regard de mon sexe que pour le poser sur C. Et sur J..

Ses yeux semblaient pétiller, comme si elle enviait J., imaginant les possibilité, je lui offris de se joindre à nous pour déguster une flute. Elle entra dans la seconde suivante dans la chambre et rejoint mes deux amants au pas de course. En découvrant le corps toujours trempé de foutre de Julie, un petit sourire envahit son visage. Elle déboucha la bouteille et emplie 4 flutes. Nous étions tous 3 à nous désaltérés, entièrement nus, avec Camille qui était toujours en uniforme.

Julie lanca:
Si tu veux rester avec nous, il va falloir te foutre à poils.

Sans réfléchir, elle me tendit sa flute et commença à déboutonner son chemisier.
C saisit son téléphone et la filma entrain de se déshabiller. Sous sa chemise, elle portait un soutien gorge noir classique qui masquait une petite poitrine, 90B. Ses seins bien que petit étaient très beaux. Ses 23 ans lui permettaient d’avoir un corps splendide. Une taille de guêpe, et un cul, qui était caché par sa jupe qui ne la mettait absolument pas en valeur, Magnifique.

Tandis qu’elle se retrouvait nue, J. s’approcha d’elle et commença embrasser ses seins, à passer ses mains sur son corps. Nous bandions de nouveau très fort devant ce spectacle lesbien.