La kiné 5
Récit érotique écrit par Inavouable [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-05-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La kiné 5
(Merci pour vos commentaires, si une femme ou jeune femme veut échanger par mail sur fiction ou vécu, ce sera avec plaisir...)
La séance de kiné est terminée. Je me rhabille. Zoé m'observe et me demande d'un air détaché si j'aime porter des strings de femme.
Sa question me gêne. Maintenant que je suis rhabillé je me sens moins vulnérable, je tente de reprendre de l'assurance.
Moi: Je n'en ai jamais porté, je trouve ça ridicule.
J'ai répondu à Zoé d'une voix sûre, limite sur un ton supérieur.
Elle me remet tout de suite à ma place!
Baisse d'un ton Alexia! T'es une lopette! Alors ne joue pas les arrogantes!
Je baisse la tête, je ne veux pas affronter son regard.
Elle: Ridicule?! Mais tu ne l'es pas déjà? Connasse!
Zoé s'approche d'un pas et me décoche une gifle magistrale! Et instantanément elle ordonne:Sors ta bite! De suite!
Je caresse ma joue chauffée par sa gifle.
Je me sens totalement dominé par cette jeune femme et surtout je me sens inférieur.
J'obéis, je baisse la fermeture éclair de mon pantalon et extirpe de mon boxer ma toute petite bite.
Zoé éclate de rire: Et ça c'est pas ridicule?! Hein?!
Je garde la tête baissée, j'ai honte.
Elle: Une bite aussi minuscule n'a rien à faire dans un boxer!
Zoé saisit alors mon petit sexe avec deux doigts, son pouce et son index et ajoute: A chaque nouvelle séance tu viens en string! C'est compris?
Moi: Oui Zoé...
Le lendemain je suis au travail, difficile de m'empêcher de penser à Zoé, à son emprise sur moi. Inutile de me mentir à moi même, j'aime ce rôle de soumis qu'elle me fait jouer. Est-ce un rôle d'ailleurs? Ou est-ce plutôt ma personnalité? Je chasse cette idée de mon esprit.
Je regarde les femmes qui m'entourent, celles avec qui je travaille, mes collaboratrices. Je dirige une agence immobilière. 4 femmes; 2 négociatrices, une secrétaire et une stagiaire. Si elles savaient...
J'essaie de me concentrer sur un dossier quand mon téléphone vibre, un sms de Zoé: Coucou ma salope! Je viens te voir à ton agence, j'y serai pour 12h15.
Je panique un peu à la lecture de ce message. J'ai peur de l'attitude de Zoé sur mon lieu de travail. La secrétaire et la jeune stagiaire seront parties à 12h15 mais Céline et Edwige risquent d'être encore là...
À l'heure prévue la petite Toyota Yaris se gare sur le parking de l'agence. Je ne peux m'empêcher d'observer Zoé descendre de sa voiture, mon rythme cardiaque s'accélère, crainte et désir se mélangent dans mon cerveau...
La jeune kiné porte un bermuda en jean et un t-shirt blanc. Ses cheveux sont lâchés, je la trouve belle, comme toujours. J'aime la couleur de ses cheveux, châtain avec des reflets roux. Son teint est hâlé et je remarque que ses jambes sont déjà bronzées pour un debut de saison.... Bref cette fille est magnifique! Et si jeune... 26 ans... Cela fait bien longtemps que je n'ai plus eu d'amis (ies) de cet âge là...
Seule Edwige est encore présente, elle n'a pas fait attention à la petite voiture qui se garait mais elle relève la tête quand la porte automatique de l'agence s'ouvre et aperçoit Zoé. Les 2 femmes se saluent poliment, Edwige se lève pour accueillir Zoé mais cette dernière a repéré très vite mon bureau et s'y dirige sans plus de formalité. Ma collaboratrice se tourne alors vers moi pour m'interroger du regard, une quinzaine de mètres et une baie vitrée nous séparent. Je lui fais un signe de tête pour lui faire comprendre que tout va bien, que je connais la visiteuse.
Zoé me sourit en rentrant dans mon bureau, referme la porte derrière elle et s'assoit sur une des chaises en face de moi.
Elle: ça va lopette?
Heureusement Zoé a mesuré sa voix pour ne pas risquer que même porte fermée, ma collaboratrice entende.
Moi gêné mais essayant de ne pas le montrer: oui je vais bien et toi?
Elle ignorant ma question de politesse: t'as un verre d'eau?
Moi: oui. Et je décroche mon téléphone pour demander à Edwige de nous porter 2 verres d'eau.
À peine ai-je raccroché que Zoé me regarde sévèrement en disant: tu te lèves de suite et tu vas les chercher toi même ces verres d'eau! Pour qui tu te prends Alexia?!
Comment oses-tu donner un ordre à une femme? Je crois que t'as pas bien compris là... Tu te lèves de suite et tu vas t'excuser auprès de ta collègue! Dépêche pouffiasse!
Je sens le rouge me monter aux joues, je sors de mon bureau et rejoins Edwige dans la petite salle qui fait office de cuisine et de lieu de détente au fond de l'agence.
Ma collaboratrice est surprise de ma venue et encore plus surprise quand je lui adresse une excuse et saisis les verres qu'elle venait de sortir du placard.
Elle: ça va Alex?
Moi: oui oui, désolé j'avais pas vu l'heure, je m'en occupe.
Edwige a dû remarqué le rouge à mes joues et elle ne doit rien comprendre à mes excuses et justifications. Ma demande n'avait rien d'exceptionnel même à 12h20.
Je fais au plus vite pour ressortir de la pièce et me défaire de son regard interrogateur et suspicieux.
Avant que je ne franchisse la porte et alors que je lui tourne le dos elle m'interpelle: c'est qui cette gamine Alex?
Je ne prends pas le temps de lui répondre, je retraverse la pièce principale de l'agence et reviens dans mon bureau. Je pose les 2 verres d'eau sur mon bureau, un en face de Zoé et je prends soin de fermer la porte avant de revenir me rasseoir.
Zoé saisit son verre en me fixant: merci ma chérie, qu'est ce qui t'arrive? T'es toute rouge... C'est l'émotion? Et elle rigole, attend un peu et boit une gorgée.
Je n'ai pas soif mais pour me donner une contenance je porte également mon verre à ma bouche.
Je jette un coup d'oeil rapide en direction d'Edwige qui s'est réinstallée à son bureau. Nos regards se croisent, je suis gêné, j'imagine qu'elle se pose des questions et ce rouge à mes joues qui ne semble pas vouloir s'estomper...
Zoé: La prochaine fois que je te surprends à donner un ordre à une femme ou à être irrespectueux d'une manière ou d'une autre envers une femme, je te fais la honte de ta vie. Tu as bien compris?
Je crains qu'Edwige m'observe toujours et je ne veux pas qu'elle découvre chez moi une attitude de soumission, je m'efforce donc de regarder Zoé comme si nous avions une discussion ordinaire. Je tarde à répondre à ma jeune Dominatrice, elle s'agace: répond salope! Tu as compris ce que j'attends de toi?
Moi: Oui Zoé.
Elle: Bien... Et elle sort de son sac une poche en plastique froissée qu'elle jette négligemment sur mon bureau.
Elle: C'est pour toi connasse!
Je n'ose pas toucher la poche, je regarde à nouveau dans la direction de ma collaboratrice, elle vient de se lever et se dirige vers nous, elle arrive à la porte vitrée de mon bureau, frappe un petit coup furtif et entrebaille la porte pour me dire qu'elle sort déjeuner. Elle salue Zoé qui se retourne pour la gratifier de son plus beau sourire et je vois le regard d'Edwige s'attarder sur la poche.
Moi essayant d'être le plus naturel possible: ok Ed, bon ap!
Edwige est une belle femme brune de 37 ans, divorcée 1 enfant. Toujours très élégante, assez classique voir stricte dans ses tenues. Nous nous connaissons depuis 8 ans mais elle n'a rejoint mon agence immobilière que depuis 3 ans. La voilà sortie, je suis seul avec Zoé à présent et je commence à me détendre un peu.
Zoé en désignant la poche en plastique: Et bé? Tu regardes pas?
Je soulève un bord de la poche, il y a 2 strings noirs à l'intérieur encore avec leur étiquette.
Zoé: Tu sais ce qui te reste à faire...
Moi: Zoé... non... s'il te plait... pas ça, pas ici... je t'en prie...
Elle: Arrête de geindre comme une lopette. Grouille toi! Tu vas dans les chiottes et tu m'enfiles ce putain de string! Allez!
Je prends alors la poche, me lève et me dirige vers les toilettes. Je reviens 5 mn plus tard la poche à la main mais à présent il y n'y a plus qu'un seul string à l'intérieur, et mon boxer...
Zoé me regarde avec un sourire satisfait: Bien! On va déjeuner!
Nous sortons de l'agence et grimpons dans mon SUV, un Range Rover dernière génération.
Zoé: alors? Tu te sens comment avec les fesses nues sous ton pantalon ma pute?
Moi: c'est la 1ère fois, c'est particulier...
Zoé: c'est peut-être la 1ère fois mais pas la dernière ma salope!
Je ne dis rien, je démarre mon Range et me concentre sur la manoeuvre pour sortir du parking.
Zoé insiste: Avoue que t'aime ça... Hein? Les fesses nues et cette ficelle qui te rentre dans le cul...
Je reste silencieux mais je sais déjà que ma jeune Domina a raison. J'aime la sensation de ce dessous féminin sur ma peau. Je pense au mot "salope", oui, je me sens salope...
Zoé: Appelle ta collègue! Demande lui où elle déjeune et dis lui qu'on la rejoint.
Moi: Zoé non... J'étais déjà suffisamment gêné tout à l'heure, on va pas en plus la rejoindre au resto maintenant...
Elle: Ferme là et appelle! Et elle me met une petite gifle du revers de sa main gauche.
J'obtempère, j'appuie sur la touche répertoire et prononce "Edwige" à haute voix. Le N° se compose, 2 sonneries, ma collaboratrice décroche: Oui Alex?
Moi: Tu déjeunes où Ed? On peut te rejoindre?
Ed: Je suis au C......, avec Hélène, oui bien-sûr, viens.
Aussitôt raccroché Zoé me questionne: Tu l'as déjà baisée cette petite bourge?
Moi: Non, on s'est juste embrassé une fois à une soirée mais ça n'est pas allé plus loin, on avait un peu bu mais peut-être pas assez pour aller plus loin.
Zoé en ricanant: Ouais... Valait peut-être mieux qu'elle teste pas ta micro bite! Sait-on jamais si elle en parlait ensuite au sein de l'agence...
Nous rentrons dans le restaurant. Très vite j'aperçois Edwige et son amie Hélène. Hélène est esthéticienne, son institut est à 200 m de l'agence. C'est une femme d'à peu près mon âge, milieu de la quarantaine, petite, mince, jolie. Je fais les présentations, je présente Zoé comme une amie. Nous discutons de tout et de rien. Zoé monopolise souvent la conversation, elle semble avoir un don pour susciter l'intérêt des 2 femmes, elle me coupe la parole à 2 ou 3 reprises mais ni Edwige ni Hélène semblent surprises.
Alors que nous avons fini nos plats et que nous attendons nos cafés, une sonnerie m'indique que j'ai reçu un sms. Je consulte mon téléphone. Je n'en crois pas mes yeux c'est un sms de Zoé. J'espère que les 2 femmes en face de moi n'ont pas remarqué l'expression nouvelle sur mon visage et quand j'ouvre le sms c'est le choc: Va au chiottes pétasse et fait une photo de ton cul danc ce string!
Je range mon téléphone et patiente 1 ou 2 minutes avant de me lever pour me rendre aux toilettes. Hélène et Edwige semblent attentives aux paroles de Zoé qui les renseigne sur l'un des sports qu'elle pratique, la lutte gréco-romaine.
Je suis dans les toilettes du restaurant, je baisse mon pantalon et regarde l'imagine de mes fesses affublées du string noir dans le miroir. Je cambre un peu mon cul et réalise la photo. Je vérifie l'esthétisme du cliché et l'envoie par mms à Zoé.
De retour à table c'est toujours Zoé qui anime les discussions. Nos cafés sont servis, bus, nous payons et sortons. Sur le trottoir les 3 femmes poursuivent leur discussion. Zoé me dit d'aller chercher la voiture et se tourne vers Edwige et Hélène pour continuer à dialoguer. Je croise le regard de ma collaboratrice, je suis terriblement gêné et j'obéis à la jeune kiné comme si tout était normal et naturel.
J'ai récupéré ma voiture, je me gare le long du trottoir où les 3 femmes sont toujours en pleine discussion. Zoé me surprend, elle embrasse Edwige et Hélène pour leur dire au revoir. Je baisse la vitre avant droite de mon véhicule pour faire un petit signe et un sourire aux 2 femmes. Zoé ouvre la portière et s'installe confortablement dans le Range.
Aussitôt installée Zoé fouille dans son sac et en sort son téléphone. Je regarde droit devant moi mais j'imagine qu'elle veut consulter ses sms afin de voir la photo de mon cul faite dans les toilettes du restaurant...
Elle ricane: Quelle salope tu fais avec ce string... Un bon cul de lopette! Et elle rigole de plus belle.
Zoé plaque alors sa main gauche sur mon entrejambe, ses doigts essaient d'agripper quelque chose, elle râle: Mais je sens rien, elle est où ta p'tit' bite???
Je suis super gêné, dans cette position mon petit sexe est comprimé et serré dans mon pantalon. Zoé ne sens rien, même pas une petite bosse.
La séance de kiné est terminée. Je me rhabille. Zoé m'observe et me demande d'un air détaché si j'aime porter des strings de femme.
Sa question me gêne. Maintenant que je suis rhabillé je me sens moins vulnérable, je tente de reprendre de l'assurance.
Moi: Je n'en ai jamais porté, je trouve ça ridicule.
J'ai répondu à Zoé d'une voix sûre, limite sur un ton supérieur.
Elle me remet tout de suite à ma place!
Baisse d'un ton Alexia! T'es une lopette! Alors ne joue pas les arrogantes!
Je baisse la tête, je ne veux pas affronter son regard.
Elle: Ridicule?! Mais tu ne l'es pas déjà? Connasse!
Zoé s'approche d'un pas et me décoche une gifle magistrale! Et instantanément elle ordonne:Sors ta bite! De suite!
Je caresse ma joue chauffée par sa gifle.
Je me sens totalement dominé par cette jeune femme et surtout je me sens inférieur.
J'obéis, je baisse la fermeture éclair de mon pantalon et extirpe de mon boxer ma toute petite bite.
Zoé éclate de rire: Et ça c'est pas ridicule?! Hein?!
Je garde la tête baissée, j'ai honte.
Elle: Une bite aussi minuscule n'a rien à faire dans un boxer!
Zoé saisit alors mon petit sexe avec deux doigts, son pouce et son index et ajoute: A chaque nouvelle séance tu viens en string! C'est compris?
Moi: Oui Zoé...
Le lendemain je suis au travail, difficile de m'empêcher de penser à Zoé, à son emprise sur moi. Inutile de me mentir à moi même, j'aime ce rôle de soumis qu'elle me fait jouer. Est-ce un rôle d'ailleurs? Ou est-ce plutôt ma personnalité? Je chasse cette idée de mon esprit.
Je regarde les femmes qui m'entourent, celles avec qui je travaille, mes collaboratrices. Je dirige une agence immobilière. 4 femmes; 2 négociatrices, une secrétaire et une stagiaire. Si elles savaient...
J'essaie de me concentrer sur un dossier quand mon téléphone vibre, un sms de Zoé: Coucou ma salope! Je viens te voir à ton agence, j'y serai pour 12h15.
Je panique un peu à la lecture de ce message. J'ai peur de l'attitude de Zoé sur mon lieu de travail. La secrétaire et la jeune stagiaire seront parties à 12h15 mais Céline et Edwige risquent d'être encore là...
À l'heure prévue la petite Toyota Yaris se gare sur le parking de l'agence. Je ne peux m'empêcher d'observer Zoé descendre de sa voiture, mon rythme cardiaque s'accélère, crainte et désir se mélangent dans mon cerveau...
La jeune kiné porte un bermuda en jean et un t-shirt blanc. Ses cheveux sont lâchés, je la trouve belle, comme toujours. J'aime la couleur de ses cheveux, châtain avec des reflets roux. Son teint est hâlé et je remarque que ses jambes sont déjà bronzées pour un debut de saison.... Bref cette fille est magnifique! Et si jeune... 26 ans... Cela fait bien longtemps que je n'ai plus eu d'amis (ies) de cet âge là...
Seule Edwige est encore présente, elle n'a pas fait attention à la petite voiture qui se garait mais elle relève la tête quand la porte automatique de l'agence s'ouvre et aperçoit Zoé. Les 2 femmes se saluent poliment, Edwige se lève pour accueillir Zoé mais cette dernière a repéré très vite mon bureau et s'y dirige sans plus de formalité. Ma collaboratrice se tourne alors vers moi pour m'interroger du regard, une quinzaine de mètres et une baie vitrée nous séparent. Je lui fais un signe de tête pour lui faire comprendre que tout va bien, que je connais la visiteuse.
Zoé me sourit en rentrant dans mon bureau, referme la porte derrière elle et s'assoit sur une des chaises en face de moi.
Elle: ça va lopette?
Heureusement Zoé a mesuré sa voix pour ne pas risquer que même porte fermée, ma collaboratrice entende.
Moi gêné mais essayant de ne pas le montrer: oui je vais bien et toi?
Elle ignorant ma question de politesse: t'as un verre d'eau?
Moi: oui. Et je décroche mon téléphone pour demander à Edwige de nous porter 2 verres d'eau.
À peine ai-je raccroché que Zoé me regarde sévèrement en disant: tu te lèves de suite et tu vas les chercher toi même ces verres d'eau! Pour qui tu te prends Alexia?!
Comment oses-tu donner un ordre à une femme? Je crois que t'as pas bien compris là... Tu te lèves de suite et tu vas t'excuser auprès de ta collègue! Dépêche pouffiasse!
Je sens le rouge me monter aux joues, je sors de mon bureau et rejoins Edwige dans la petite salle qui fait office de cuisine et de lieu de détente au fond de l'agence.
Ma collaboratrice est surprise de ma venue et encore plus surprise quand je lui adresse une excuse et saisis les verres qu'elle venait de sortir du placard.
Elle: ça va Alex?
Moi: oui oui, désolé j'avais pas vu l'heure, je m'en occupe.
Edwige a dû remarqué le rouge à mes joues et elle ne doit rien comprendre à mes excuses et justifications. Ma demande n'avait rien d'exceptionnel même à 12h20.
Je fais au plus vite pour ressortir de la pièce et me défaire de son regard interrogateur et suspicieux.
Avant que je ne franchisse la porte et alors que je lui tourne le dos elle m'interpelle: c'est qui cette gamine Alex?
Je ne prends pas le temps de lui répondre, je retraverse la pièce principale de l'agence et reviens dans mon bureau. Je pose les 2 verres d'eau sur mon bureau, un en face de Zoé et je prends soin de fermer la porte avant de revenir me rasseoir.
Zoé saisit son verre en me fixant: merci ma chérie, qu'est ce qui t'arrive? T'es toute rouge... C'est l'émotion? Et elle rigole, attend un peu et boit une gorgée.
Je n'ai pas soif mais pour me donner une contenance je porte également mon verre à ma bouche.
Je jette un coup d'oeil rapide en direction d'Edwige qui s'est réinstallée à son bureau. Nos regards se croisent, je suis gêné, j'imagine qu'elle se pose des questions et ce rouge à mes joues qui ne semble pas vouloir s'estomper...
Zoé: La prochaine fois que je te surprends à donner un ordre à une femme ou à être irrespectueux d'une manière ou d'une autre envers une femme, je te fais la honte de ta vie. Tu as bien compris?
Je crains qu'Edwige m'observe toujours et je ne veux pas qu'elle découvre chez moi une attitude de soumission, je m'efforce donc de regarder Zoé comme si nous avions une discussion ordinaire. Je tarde à répondre à ma jeune Dominatrice, elle s'agace: répond salope! Tu as compris ce que j'attends de toi?
Moi: Oui Zoé.
Elle: Bien... Et elle sort de son sac une poche en plastique froissée qu'elle jette négligemment sur mon bureau.
Elle: C'est pour toi connasse!
Je n'ose pas toucher la poche, je regarde à nouveau dans la direction de ma collaboratrice, elle vient de se lever et se dirige vers nous, elle arrive à la porte vitrée de mon bureau, frappe un petit coup furtif et entrebaille la porte pour me dire qu'elle sort déjeuner. Elle salue Zoé qui se retourne pour la gratifier de son plus beau sourire et je vois le regard d'Edwige s'attarder sur la poche.
Moi essayant d'être le plus naturel possible: ok Ed, bon ap!
Edwige est une belle femme brune de 37 ans, divorcée 1 enfant. Toujours très élégante, assez classique voir stricte dans ses tenues. Nous nous connaissons depuis 8 ans mais elle n'a rejoint mon agence immobilière que depuis 3 ans. La voilà sortie, je suis seul avec Zoé à présent et je commence à me détendre un peu.
Zoé en désignant la poche en plastique: Et bé? Tu regardes pas?
Je soulève un bord de la poche, il y a 2 strings noirs à l'intérieur encore avec leur étiquette.
Zoé: Tu sais ce qui te reste à faire...
Moi: Zoé... non... s'il te plait... pas ça, pas ici... je t'en prie...
Elle: Arrête de geindre comme une lopette. Grouille toi! Tu vas dans les chiottes et tu m'enfiles ce putain de string! Allez!
Je prends alors la poche, me lève et me dirige vers les toilettes. Je reviens 5 mn plus tard la poche à la main mais à présent il y n'y a plus qu'un seul string à l'intérieur, et mon boxer...
Zoé me regarde avec un sourire satisfait: Bien! On va déjeuner!
Nous sortons de l'agence et grimpons dans mon SUV, un Range Rover dernière génération.
Zoé: alors? Tu te sens comment avec les fesses nues sous ton pantalon ma pute?
Moi: c'est la 1ère fois, c'est particulier...
Zoé: c'est peut-être la 1ère fois mais pas la dernière ma salope!
Je ne dis rien, je démarre mon Range et me concentre sur la manoeuvre pour sortir du parking.
Zoé insiste: Avoue que t'aime ça... Hein? Les fesses nues et cette ficelle qui te rentre dans le cul...
Je reste silencieux mais je sais déjà que ma jeune Domina a raison. J'aime la sensation de ce dessous féminin sur ma peau. Je pense au mot "salope", oui, je me sens salope...
Zoé: Appelle ta collègue! Demande lui où elle déjeune et dis lui qu'on la rejoint.
Moi: Zoé non... J'étais déjà suffisamment gêné tout à l'heure, on va pas en plus la rejoindre au resto maintenant...
Elle: Ferme là et appelle! Et elle me met une petite gifle du revers de sa main gauche.
J'obtempère, j'appuie sur la touche répertoire et prononce "Edwige" à haute voix. Le N° se compose, 2 sonneries, ma collaboratrice décroche: Oui Alex?
Moi: Tu déjeunes où Ed? On peut te rejoindre?
Ed: Je suis au C......, avec Hélène, oui bien-sûr, viens.
Aussitôt raccroché Zoé me questionne: Tu l'as déjà baisée cette petite bourge?
Moi: Non, on s'est juste embrassé une fois à une soirée mais ça n'est pas allé plus loin, on avait un peu bu mais peut-être pas assez pour aller plus loin.
Zoé en ricanant: Ouais... Valait peut-être mieux qu'elle teste pas ta micro bite! Sait-on jamais si elle en parlait ensuite au sein de l'agence...
Nous rentrons dans le restaurant. Très vite j'aperçois Edwige et son amie Hélène. Hélène est esthéticienne, son institut est à 200 m de l'agence. C'est une femme d'à peu près mon âge, milieu de la quarantaine, petite, mince, jolie. Je fais les présentations, je présente Zoé comme une amie. Nous discutons de tout et de rien. Zoé monopolise souvent la conversation, elle semble avoir un don pour susciter l'intérêt des 2 femmes, elle me coupe la parole à 2 ou 3 reprises mais ni Edwige ni Hélène semblent surprises.
Alors que nous avons fini nos plats et que nous attendons nos cafés, une sonnerie m'indique que j'ai reçu un sms. Je consulte mon téléphone. Je n'en crois pas mes yeux c'est un sms de Zoé. J'espère que les 2 femmes en face de moi n'ont pas remarqué l'expression nouvelle sur mon visage et quand j'ouvre le sms c'est le choc: Va au chiottes pétasse et fait une photo de ton cul danc ce string!
Je range mon téléphone et patiente 1 ou 2 minutes avant de me lever pour me rendre aux toilettes. Hélène et Edwige semblent attentives aux paroles de Zoé qui les renseigne sur l'un des sports qu'elle pratique, la lutte gréco-romaine.
Je suis dans les toilettes du restaurant, je baisse mon pantalon et regarde l'imagine de mes fesses affublées du string noir dans le miroir. Je cambre un peu mon cul et réalise la photo. Je vérifie l'esthétisme du cliché et l'envoie par mms à Zoé.
De retour à table c'est toujours Zoé qui anime les discussions. Nos cafés sont servis, bus, nous payons et sortons. Sur le trottoir les 3 femmes poursuivent leur discussion. Zoé me dit d'aller chercher la voiture et se tourne vers Edwige et Hélène pour continuer à dialoguer. Je croise le regard de ma collaboratrice, je suis terriblement gêné et j'obéis à la jeune kiné comme si tout était normal et naturel.
J'ai récupéré ma voiture, je me gare le long du trottoir où les 3 femmes sont toujours en pleine discussion. Zoé me surprend, elle embrasse Edwige et Hélène pour leur dire au revoir. Je baisse la vitre avant droite de mon véhicule pour faire un petit signe et un sourire aux 2 femmes. Zoé ouvre la portière et s'installe confortablement dans le Range.
Aussitôt installée Zoé fouille dans son sac et en sort son téléphone. Je regarde droit devant moi mais j'imagine qu'elle veut consulter ses sms afin de voir la photo de mon cul faite dans les toilettes du restaurant...
Elle ricane: Quelle salope tu fais avec ce string... Un bon cul de lopette! Et elle rigole de plus belle.
Zoé plaque alors sa main gauche sur mon entrejambe, ses doigts essaient d'agripper quelque chose, elle râle: Mais je sens rien, elle est où ta p'tit' bite???
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