La leçon de piano
Récit érotique écrit par Jademik [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-07-2019 dans la catégorie Plus on est
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La leçon de piano
Mon mari Serge et moi pratiquons depuis longtemps le triolisme. La plupart du temps avec une jeune femme, quelquefois avec un autre homme, de préférence jeune et endurant même si, dans ce dernier cas, c’est plutôt la loterie ! Mais le plaisir n’est pas aussi complet, Serge n’étant pas bisexuel. Notre plus grande joie est plutôt d’initier au sexe à trois une jeune femme inexpérimentée. Au début, cela nous paraissait un fantasme difficile à réaliser ; en réalité, c’est assez facile, y compris dans ses relations proches (travail, activités extra-professionnelles, famille) pourvu que l’on y mette du sien, de la discrétion et bien entendu des formes. Je touche du bois : nous échouons rarement (j’ai en mémoire deux cas seulement). Depuis dix ans, nous faisons ainsi l’amour à trois en moyenne une fois par mois, soit avec quelques habituées soit avec de nouvelles conquêtes. Nous avons, par exemple, initié plusieurs de nos petites cousines et filleules respectives et les réinvitons régulièrement. Ce qui ne les empêche pas d’avoir une sexualité de couple plus banale, même si deux d’entre-elles ont tenté avec nous une partie à quatre, pas désagréable je dois dire, mais ce n’est pas ce que nous préférons. Les clubs échangistes aussi, nous en avons fréquenté quelques-uns avec Serge pendant les vacances, mais les quelques partouzes ou autres gang-bangs auxquels nous avons participé ne nous ont pas laissé de souvenirs impérissables. Ce genre d’orgie devient vite le domaine réservé de quelques personnes droguées ou vicieuses, souvent les deux, pas toujours reluisantes, si vous voyez ce que je veux dire. C’est quand même autrement émouvant de faire cela à trois, dans une atmosphère intime et de confiance, de découvrir les charmes d’une jeune fille un peu gauche ou même timide, de voir son trouble à nos avances ou nos caresses, de briser sa résistance à oser… bref d’être partie prenante dans l’éveil de sa sexualité.
Nous habitons un agréable mas isolé, à deux kilomètres d’un joli petit village haut perché situé dans la grande banlieue d’une capitale régionale du midi. Comme nous avons fait le choix de ne pas avoir d’enfant, nous sommes restés très jeunes d’esprit et altruistes, ce qui facilite grandement les contacts avec la génération 90. Serge a pourtant 43 ans. C’est un beau brun de taille moyenne, silhouette sportive, bien monté cela va sans dire. Il est prof de sport dans un club fréquenté par de nombreux lycéens et étudiants et pratique aussi la photographie, avec un réel talent dans la mise en scène. Tout cela, ça aide. Moi, je suis également prof mais au conservatoire de musique : j’enseigne le piano et donne en plus pas mal de leçons particulières. Cela aide aussi ! J’ai 38 ans, suis châtain, les cheveux longs, de forme plutôt longiligne, avec une poitrine et une taille en proportion. Le cours de piano est pour moi comme pour Serge le point de départ de certains fantasmes, même si cela fait longtemps que nous n’avons pas attiré dans nos filets une jeune fille pianiste. En réalité, nous formons un couple sexuellement très libre et j’ai eu plusieurs expériences avec des élèves… disons particulièrement doués. Profiter d’une femme au piano pour lui faire l’amour est, certes, un vrai fantasme masculin, mais en faire de même avec un jeune homme exhibant une érection insolente fait également partie de mes fantasmes favoris. De son côté, je sais que Serge se tape certainement une étudiante de temps en temps sur le campus ou ailleurs, cela ne me rend pas jalouse. Au contraire, en l’imaginant, cela m’excite plus qu’autre chose…
Depuis trois mois, nous avons débuté une nouvelle aventure avec une jeune métisse prénommée Sandra. Serge l’a abordée un matin à la salle de musculation. Elle semble avoir le profil idéal : 18 ans et demi, études littéraires, intelligente et cultivée, sérieuse, un peu timide, romantique, sensuelle, en plus – je n’y croyais pas au début – ayant fait quelques années de piano. Nous l’avons approchée de près et dévorée des yeux à plusieurs reprises dans des soirées culturelles terminées dans des bars-dancings. Joliment carénée, ainsi que Serge me l’avait avoué sur l’oreiller, la nuit suivant la première soirée avec elle : il avait flashé sur des seins qu’il devinait généreux, bien que cachés par un t-shirt, et une croupe qualifiée de prometteuse. Pas trop canon, juste mignonne et sensuelle, juste pour nous quoi ! Nous l’avions invitée une fois pour vérifier tout cela avec notre technique bien rôdée : maison surchauffée, invitation dans notre piscine et notre petit jacuzzi où il faut se serrer à trois, tout cela hiver comme été, ayant fait installer à grands frais un système de couverture ad hoc. J’ai, par ailleurs, une collection de maillots mono et bikini de plusieurs tailles que je justifie par les nombreuses sœurs, cousines, filleules et amies qui viennent piquer une tête tout au long de l’année. Même si elle avait choisi de faire soft en enfilant un monokini, nous avions confirmé nos premières impressions. Je l’avais, pour ma part, complimentée sur sa silhouette, la faisant tourner devant moi. Elle m’avait rendu la pareille, sans doute plus poliment qu’autre chose, mon bikini ayant un peu de mal à cacher « la misère » de fesses et surtout de seins un peu relâchés. Grâce à la concupiscence toujours en éveil de Serge, j’avais pu observer furtivement certains regards de Sandra qui ne trompent pas, en particulier lorsque nous nous étions allongés pour sécher au soleil. Fantasme ou réalité : Serge m’avait affirmé qu’en s’installant à côté de lui dans le jacuzzi, la main de la belle s’était posée par inadvertance à un endroit stratégique de son slip, taillé mini et dont la finesse de tissu ne masque en général pas grand-chose de ses érections. Si cela était avéré, elle n’avait pas pu ne pas remarquer l’excitation de Serge et, d’ailleurs, elle avait, paraît-il, bredouillé un petit « oops » d’excuse laissant paraître son trouble.
Sandra nous avait ensuite reçus quelques semaines plus tard dans son petit studio, beaucoup plus décontractée, jusque dans sa tenue, très légère, nous touchant et nous parlant comme des amis très proches, ce qui nous avait encore plus troublés. Elle nous avait faits les lignes de la main, technique apprise par sa grand-mère antillaise ; je lui avais inspecté et caressé les mains pour voir si elle était faite pour le piano. Dans l’affirmative, je lui indiquais que cherchant une partenaire pour jouer des pièces à quatre mains, elle ferait très bien l’affaire moyennant une formation intensive d’un mois, ce qui eut l’air de la réjouir. Comme elle m’avait indiqué chez nous ses mensurations (90 C limite D en poitrine et un grand 38 en taille), je lui avais ramené comme cadeau un bikini, lui disant que c’était pour l’été (ou la prochaine fois qu’elle viendrait chez nous) et qu’elle n’était pas obligée de l’essayer tout de suite…! Ce qu’elle ne fit évidemment pas ; je ne me faisais d’ailleurs aucune illusion sur ce point, Sandra étant timide et réservée de premier abord. Elle nous avoua cependant qu’elle n’avait à l’époque pas de petit ami et qu’elle n’en cherchait pas particulièrement, laissant faire le hasard. Nous renchérîmes alors sur le thème de son jeune âge, qu’elle avait tout le temps, qu’il fallait privilégier ses études etc… Bref, c’était le moment d’attaquer.
Je réussis à programmer rapidement avec elle deux séances préliminaires de piano, d’une heure chacune. Je concentrai mes conseils sur la position de ses mains et de ses pieds sur les pédales, lui prenant délicatement les poignets et posant mes mains sur ses cuisses pour lui indiquer le rythme idéal. Je fis tout pour lui donner confiance, l’encourager, la complimenter, la cajoler. À l’issue, elle me dit OK pour un cycle de dix séances d’environ une heure et demi (une demi-heure de théorie plus une heure de pratique), deux fois par semaine, le mercredi et le samedi. Pour ne pas trop l’effaroucher étant donné la gratuité des leçons, je lui demande de ramener quelques en-cas et choses à manger, surtout le samedi où on lui propose de l’héberger certains week-ends avec nous, en fonction de nos disponibilités respectives. Au programme, balades en VTT, visites de lieux historiques et culturels etc… La première séance du mercredi se passa sans problème, en début d’après-midi, seule avec moi. Arrive celle du samedi où, comme il se doit, nous l’invitons à rester le lendemain. Nous sommes début mai et le temps est au beau, donc séance bronzage et piscine en perspective. Sandra sonne à la grille vers les dix heures. Elle est très en beauté et tout en court : cheveux, short couleur grise, corsage couleur crème interrompu au nombril (assez échancré et ample pour apercevoir ses dessous, délicieusement fin pour suivre le balancement de sa poitrine) ; sandales demi-hautes du plus bel effet avec sa peau mate et le vernis de ses doigts de pieds (le même que sur les mains). Elle tire une petite valise à roues et amène comme prévu quelques victuailles. Serge étant encore au pieu ou peut-être sous la douche, nous nous installons immédiatement au piano situé dans un recoin du salon, près de la véranda qui donne sur la piscine.
Je remarque tout de suite des progrès dans l’enchaînement des accords, beaucoup moins « stride », ce qui est la moindre des choses pour un nocturne de Chopin. Pour le reste, encore pas mal de boulot sur les difficultés de certains mouvements et sur le couple touché/pédales. Quelques fausses notes également perceptibles mais rien de grave. Une bonne demi-heure plus tard, Serge traverse la pièce en coup de vent (à poil sous sa serviette), juste le temps de faire la bise à Sandra. Il revient un long moment après en slip de bain, nous invitant à faire un break pour piquer une tête. Plus tard, lui dis-je, en pleine explication sur une mesure. Il revient avec son appareil photo et commence à nous mitrailler sous plusieurs angles.
- C’est vrai qu’il ne peut pas s’empêcher de faire des photos, le mec ! Ça ne te dérange pas au moins ? dis-je à Sandra.
- Non, non, pas de problème.
Serge revient à la charge en disant qu’avec la chaleur nous serions mieux en tenue de bain comme lui et que l’on pourrait admirer le nouveau maillot de Sandra. J’appuie la requête et regarde Sandra en interrogatrice. Concentrée sur son sujet, peut-être aussi un peu flattée, elle répond gênée un truc du genre « là j’ai ma lingerie sur moi mais je l’ai apporté, il est dans ma valise ! Ça ira quand même ? » Évidemment que ça ira : soutif de couleur noire moyennement transparent, où l’on distingue ses belles rondeurs ainsi que le café au lait de ses aréoles, mini slip assorti avec un joli petit nœud en décoration. Sandra en profite pour se mettre pieds nus, tout comme moi. Je la fait un peu tourner sur elle-même afin de constater combien l’ensemble lui va bien. Une fois retournées au piano, Serge reprend son mitraillage. Au bout d’un moment, il pousse le bouchon un peu plus loin, nous demandant de nous mettre en monokini ! Et en quel honneur, demandé-je, ce qui déclenche l’hilarité de Sandra ! Il me répond que cela lui rappellerait un peu notre jeunesse au Cap d’Agde où nous fréquentions les clubs naturistes, et que là ça serait juste le haut etc etc…Moi ça ne me dérange pas mais je réponds qu’on ne peut pas imposer ça à Sandra : que va-t-elle penser de nous ? On avait quasiment fini la leçon, mais tout de même… Un peu décontenancée et ne voulant pas nous mettre mal à l’aise, elle sort après un petit moment de réflexion :
- j’ai pas vraiment l’habitude mais comme on est amis maintenant, OK. Ça fera comme un air de vacances avant la lettre.
Je lui réponds que quand on est bien faite comme elle, il n’y a aucune honte à exhiber ses charmes. Et je lui dégrafe son soutif, pendant que Serge en fait de même avec moi. Et quels charmes, mes aïeux ! Deux melons volumineux bien suspendus avec de larges tétons plantés au centre d’aréoles à croquer.
« Et tu nous cachais ça : mais ils sont magnifiques tes seins ! Si j’en avais eu des comme ça etc… » lui dis-je, pour la rassurer de suite. Mes notions de psychologie et surtout mon expérience de la sexualité m’ont en effet enseigné que dans une telle situation, si l’on veut obtenir beaucoup d’une personne timide voire complexée, il faut la mettre au centre de toutes les attentions, de toutes les cajoleries. On la porte en quelque sorte dans un état second, entre tension, incrédulité et mystère et on l’amène au point escompté ; mais il faut être au moins deux contre un… « N’est-ce pas Serge ? », vers qui je fais pivoter Sandra. Celui-ci, tout en se rapprochant, en reste sans voix. Il manque même de faire tomber son appareil photo, ce qui la fait rire aux éclats et achève de la conquérir. Pendant qu’il recommence à mitrailler et tourner autour de nous, la bosse de son slip a plus que doublé de volume, à tel point qu’au bout d’un moment Sandra me glisse à l’oreille :
- Ffffou ! Comme il est monté, Serge ! Il est… enfin… elle est toujours…j’veux dire… grosse comme ça ?
- À ton avis, c’est à cause de qui ?
Elle répond par un mélange de souffle et de rire contenu. Sa respiration s’accélère et la pointe de ses seins augmente elle aussi. Il faut dire que debout à côté du banc de piano, Serge offre à Sandra une vue vraiment imprenable sur sa protubérance, qui plus est, à portée de mains. Je tente alors ma chance en lui murmurant à mon tour :
- Tu peux connaître le dessous de l’histoire si tu veux : tu as mon autorisation si tel est ton désir…- Ffffou… J’peux pas faire ça, j’oserai jamais et puis…- Et puis ?
- Ben, j’vais être maladroite, tu penses ; j’ai trop peur de le décevoir…- T’occupe ! Il en a vu d’autres, le mec, et il est très indulgent. Viens, regarde comme il a envie de toi. Ça ne te tente pas ?
- Ffffou… si mais… j’vais pas être à la hauteur, dit-elle avec des yeux mouillants.
- Tu n’as pas à avoir peur : nous sommes là pour t’aider. Tu vas voir, ça va être génial !
(à suivre)
Nous habitons un agréable mas isolé, à deux kilomètres d’un joli petit village haut perché situé dans la grande banlieue d’une capitale régionale du midi. Comme nous avons fait le choix de ne pas avoir d’enfant, nous sommes restés très jeunes d’esprit et altruistes, ce qui facilite grandement les contacts avec la génération 90. Serge a pourtant 43 ans. C’est un beau brun de taille moyenne, silhouette sportive, bien monté cela va sans dire. Il est prof de sport dans un club fréquenté par de nombreux lycéens et étudiants et pratique aussi la photographie, avec un réel talent dans la mise en scène. Tout cela, ça aide. Moi, je suis également prof mais au conservatoire de musique : j’enseigne le piano et donne en plus pas mal de leçons particulières. Cela aide aussi ! J’ai 38 ans, suis châtain, les cheveux longs, de forme plutôt longiligne, avec une poitrine et une taille en proportion. Le cours de piano est pour moi comme pour Serge le point de départ de certains fantasmes, même si cela fait longtemps que nous n’avons pas attiré dans nos filets une jeune fille pianiste. En réalité, nous formons un couple sexuellement très libre et j’ai eu plusieurs expériences avec des élèves… disons particulièrement doués. Profiter d’une femme au piano pour lui faire l’amour est, certes, un vrai fantasme masculin, mais en faire de même avec un jeune homme exhibant une érection insolente fait également partie de mes fantasmes favoris. De son côté, je sais que Serge se tape certainement une étudiante de temps en temps sur le campus ou ailleurs, cela ne me rend pas jalouse. Au contraire, en l’imaginant, cela m’excite plus qu’autre chose…
Depuis trois mois, nous avons débuté une nouvelle aventure avec une jeune métisse prénommée Sandra. Serge l’a abordée un matin à la salle de musculation. Elle semble avoir le profil idéal : 18 ans et demi, études littéraires, intelligente et cultivée, sérieuse, un peu timide, romantique, sensuelle, en plus – je n’y croyais pas au début – ayant fait quelques années de piano. Nous l’avons approchée de près et dévorée des yeux à plusieurs reprises dans des soirées culturelles terminées dans des bars-dancings. Joliment carénée, ainsi que Serge me l’avait avoué sur l’oreiller, la nuit suivant la première soirée avec elle : il avait flashé sur des seins qu’il devinait généreux, bien que cachés par un t-shirt, et une croupe qualifiée de prometteuse. Pas trop canon, juste mignonne et sensuelle, juste pour nous quoi ! Nous l’avions invitée une fois pour vérifier tout cela avec notre technique bien rôdée : maison surchauffée, invitation dans notre piscine et notre petit jacuzzi où il faut se serrer à trois, tout cela hiver comme été, ayant fait installer à grands frais un système de couverture ad hoc. J’ai, par ailleurs, une collection de maillots mono et bikini de plusieurs tailles que je justifie par les nombreuses sœurs, cousines, filleules et amies qui viennent piquer une tête tout au long de l’année. Même si elle avait choisi de faire soft en enfilant un monokini, nous avions confirmé nos premières impressions. Je l’avais, pour ma part, complimentée sur sa silhouette, la faisant tourner devant moi. Elle m’avait rendu la pareille, sans doute plus poliment qu’autre chose, mon bikini ayant un peu de mal à cacher « la misère » de fesses et surtout de seins un peu relâchés. Grâce à la concupiscence toujours en éveil de Serge, j’avais pu observer furtivement certains regards de Sandra qui ne trompent pas, en particulier lorsque nous nous étions allongés pour sécher au soleil. Fantasme ou réalité : Serge m’avait affirmé qu’en s’installant à côté de lui dans le jacuzzi, la main de la belle s’était posée par inadvertance à un endroit stratégique de son slip, taillé mini et dont la finesse de tissu ne masque en général pas grand-chose de ses érections. Si cela était avéré, elle n’avait pas pu ne pas remarquer l’excitation de Serge et, d’ailleurs, elle avait, paraît-il, bredouillé un petit « oops » d’excuse laissant paraître son trouble.
Sandra nous avait ensuite reçus quelques semaines plus tard dans son petit studio, beaucoup plus décontractée, jusque dans sa tenue, très légère, nous touchant et nous parlant comme des amis très proches, ce qui nous avait encore plus troublés. Elle nous avait faits les lignes de la main, technique apprise par sa grand-mère antillaise ; je lui avais inspecté et caressé les mains pour voir si elle était faite pour le piano. Dans l’affirmative, je lui indiquais que cherchant une partenaire pour jouer des pièces à quatre mains, elle ferait très bien l’affaire moyennant une formation intensive d’un mois, ce qui eut l’air de la réjouir. Comme elle m’avait indiqué chez nous ses mensurations (90 C limite D en poitrine et un grand 38 en taille), je lui avais ramené comme cadeau un bikini, lui disant que c’était pour l’été (ou la prochaine fois qu’elle viendrait chez nous) et qu’elle n’était pas obligée de l’essayer tout de suite…! Ce qu’elle ne fit évidemment pas ; je ne me faisais d’ailleurs aucune illusion sur ce point, Sandra étant timide et réservée de premier abord. Elle nous avoua cependant qu’elle n’avait à l’époque pas de petit ami et qu’elle n’en cherchait pas particulièrement, laissant faire le hasard. Nous renchérîmes alors sur le thème de son jeune âge, qu’elle avait tout le temps, qu’il fallait privilégier ses études etc… Bref, c’était le moment d’attaquer.
Je réussis à programmer rapidement avec elle deux séances préliminaires de piano, d’une heure chacune. Je concentrai mes conseils sur la position de ses mains et de ses pieds sur les pédales, lui prenant délicatement les poignets et posant mes mains sur ses cuisses pour lui indiquer le rythme idéal. Je fis tout pour lui donner confiance, l’encourager, la complimenter, la cajoler. À l’issue, elle me dit OK pour un cycle de dix séances d’environ une heure et demi (une demi-heure de théorie plus une heure de pratique), deux fois par semaine, le mercredi et le samedi. Pour ne pas trop l’effaroucher étant donné la gratuité des leçons, je lui demande de ramener quelques en-cas et choses à manger, surtout le samedi où on lui propose de l’héberger certains week-ends avec nous, en fonction de nos disponibilités respectives. Au programme, balades en VTT, visites de lieux historiques et culturels etc… La première séance du mercredi se passa sans problème, en début d’après-midi, seule avec moi. Arrive celle du samedi où, comme il se doit, nous l’invitons à rester le lendemain. Nous sommes début mai et le temps est au beau, donc séance bronzage et piscine en perspective. Sandra sonne à la grille vers les dix heures. Elle est très en beauté et tout en court : cheveux, short couleur grise, corsage couleur crème interrompu au nombril (assez échancré et ample pour apercevoir ses dessous, délicieusement fin pour suivre le balancement de sa poitrine) ; sandales demi-hautes du plus bel effet avec sa peau mate et le vernis de ses doigts de pieds (le même que sur les mains). Elle tire une petite valise à roues et amène comme prévu quelques victuailles. Serge étant encore au pieu ou peut-être sous la douche, nous nous installons immédiatement au piano situé dans un recoin du salon, près de la véranda qui donne sur la piscine.
Je remarque tout de suite des progrès dans l’enchaînement des accords, beaucoup moins « stride », ce qui est la moindre des choses pour un nocturne de Chopin. Pour le reste, encore pas mal de boulot sur les difficultés de certains mouvements et sur le couple touché/pédales. Quelques fausses notes également perceptibles mais rien de grave. Une bonne demi-heure plus tard, Serge traverse la pièce en coup de vent (à poil sous sa serviette), juste le temps de faire la bise à Sandra. Il revient un long moment après en slip de bain, nous invitant à faire un break pour piquer une tête. Plus tard, lui dis-je, en pleine explication sur une mesure. Il revient avec son appareil photo et commence à nous mitrailler sous plusieurs angles.
- C’est vrai qu’il ne peut pas s’empêcher de faire des photos, le mec ! Ça ne te dérange pas au moins ? dis-je à Sandra.
- Non, non, pas de problème.
Serge revient à la charge en disant qu’avec la chaleur nous serions mieux en tenue de bain comme lui et que l’on pourrait admirer le nouveau maillot de Sandra. J’appuie la requête et regarde Sandra en interrogatrice. Concentrée sur son sujet, peut-être aussi un peu flattée, elle répond gênée un truc du genre « là j’ai ma lingerie sur moi mais je l’ai apporté, il est dans ma valise ! Ça ira quand même ? » Évidemment que ça ira : soutif de couleur noire moyennement transparent, où l’on distingue ses belles rondeurs ainsi que le café au lait de ses aréoles, mini slip assorti avec un joli petit nœud en décoration. Sandra en profite pour se mettre pieds nus, tout comme moi. Je la fait un peu tourner sur elle-même afin de constater combien l’ensemble lui va bien. Une fois retournées au piano, Serge reprend son mitraillage. Au bout d’un moment, il pousse le bouchon un peu plus loin, nous demandant de nous mettre en monokini ! Et en quel honneur, demandé-je, ce qui déclenche l’hilarité de Sandra ! Il me répond que cela lui rappellerait un peu notre jeunesse au Cap d’Agde où nous fréquentions les clubs naturistes, et que là ça serait juste le haut etc etc…Moi ça ne me dérange pas mais je réponds qu’on ne peut pas imposer ça à Sandra : que va-t-elle penser de nous ? On avait quasiment fini la leçon, mais tout de même… Un peu décontenancée et ne voulant pas nous mettre mal à l’aise, elle sort après un petit moment de réflexion :
- j’ai pas vraiment l’habitude mais comme on est amis maintenant, OK. Ça fera comme un air de vacances avant la lettre.
Je lui réponds que quand on est bien faite comme elle, il n’y a aucune honte à exhiber ses charmes. Et je lui dégrafe son soutif, pendant que Serge en fait de même avec moi. Et quels charmes, mes aïeux ! Deux melons volumineux bien suspendus avec de larges tétons plantés au centre d’aréoles à croquer.
« Et tu nous cachais ça : mais ils sont magnifiques tes seins ! Si j’en avais eu des comme ça etc… » lui dis-je, pour la rassurer de suite. Mes notions de psychologie et surtout mon expérience de la sexualité m’ont en effet enseigné que dans une telle situation, si l’on veut obtenir beaucoup d’une personne timide voire complexée, il faut la mettre au centre de toutes les attentions, de toutes les cajoleries. On la porte en quelque sorte dans un état second, entre tension, incrédulité et mystère et on l’amène au point escompté ; mais il faut être au moins deux contre un… « N’est-ce pas Serge ? », vers qui je fais pivoter Sandra. Celui-ci, tout en se rapprochant, en reste sans voix. Il manque même de faire tomber son appareil photo, ce qui la fait rire aux éclats et achève de la conquérir. Pendant qu’il recommence à mitrailler et tourner autour de nous, la bosse de son slip a plus que doublé de volume, à tel point qu’au bout d’un moment Sandra me glisse à l’oreille :
- Ffffou ! Comme il est monté, Serge ! Il est… enfin… elle est toujours…j’veux dire… grosse comme ça ?
- À ton avis, c’est à cause de qui ?
Elle répond par un mélange de souffle et de rire contenu. Sa respiration s’accélère et la pointe de ses seins augmente elle aussi. Il faut dire que debout à côté du banc de piano, Serge offre à Sandra une vue vraiment imprenable sur sa protubérance, qui plus est, à portée de mains. Je tente alors ma chance en lui murmurant à mon tour :
- Tu peux connaître le dessous de l’histoire si tu veux : tu as mon autorisation si tel est ton désir…- Ffffou… J’peux pas faire ça, j’oserai jamais et puis…- Et puis ?
- Ben, j’vais être maladroite, tu penses ; j’ai trop peur de le décevoir…- T’occupe ! Il en a vu d’autres, le mec, et il est très indulgent. Viens, regarde comme il a envie de toi. Ça ne te tente pas ?
- Ffffou… si mais… j’vais pas être à la hauteur, dit-elle avec des yeux mouillants.
- Tu n’as pas à avoir peur : nous sommes là pour t’aider. Tu vas voir, ça va être génial !
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