La lecture
Récit érotique écrit par PlaisirsM [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 7 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.8 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.9
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-02-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
La lecture
Tu m’as donné rendez-vous dans une sublime suite au centre-ville. Tu m’as donné les instructions suivantes : une longue robe noire, un bandeau noir, deux rubans noirs. À la lumière de tes directives, je suis déjà intriguée quant au déroulement de la soirée. Pour l’occasion, j’ai enfilé une longue robe noire en chiffon, dévoilant un provoquant décolleté et une fente sur le côté. Un joli collier de pierre ras-le cou illumine mon habillement. Je reste avec un style très simple, mais très sexy. Je sais avec conviction que tu vas aimer… et oh que l’idée m’allume déjà.
Arrivée à la réception de l’hôtel, on me donne une enveloppe identifiée à mon nom. En plus de la clé de la suite, un petit mot de ta main décrit une instruction supplémentaire : dès que je franchis le seuil de la porte, je dois garder le silence, me diriger vers le fauteuil situé près de la fenêtre, déposer les rubans sur la table juste à côté, et installer le bandeau sur mes yeux.
L’ascenseur me dirige vers l’étage voulu, j’ouvre la porte. Je suis dans la pénombre; seule la lumière du centre-ville éclaire la suite, ce qui donne une ambiance luxuriante et intime. Le silence qui règne ne donne aucune confirmation de ta présence, ce qui me met aux aguets. Je suis à la lettre tes instructions, et me voilà assise au fauteuil, les yeux bandés, et j’attends. La fraicheur de l’air conditionné fait frissonner ma peau sous ma robe. J’ai joué d’audace, je ne porte aucun sous-vêtement sous ma robe, je souhaite que tu sauras apprécier ma petite attention.
Le bruit de tes pas vient à mes oreilles, et je ne peux m’empêcher de sourire à l’idée que tu étais là depuis le début. Ton subtil parfum hume mes narines, et j’entends le bruit discret du ruban se déplacer de la table, pour s’enrouler autour de mon poignet droit et du bras de la chaise. Le même geste se répète pour mon poignet gauche. Je sens l’envers de ta main glisser sur mon bras nu, jusqu’à mon épaule. Tu peux facilement entrevoir à la douce pénombre le frisson que tu me procures en ce moment.
Tu me vois sursauter un très bref moment, alors que tu soulèves ma robe, pour écarter mes cuisses. Je te sens arrêter ton geste quelques secondes. Tu as remarqué que je suis nue sous ma robe. Est-ce que tu souris? Ça reste un mystère, car aucun mot ne sort de ta jolie bouche. Tu insères avec grande délicatesse quelque chose en moi. Un jouet? Ce mystère m’intrigue et je ne peux m’empêcher de sourire. Ton pouce effleure ma lèvre maquillée d’un rose pâle. Puis, le silence revient envahir la pièce.
Un froissement de tissu me fait deviner que tu t’es installé sur le bord du lit. Mes oreilles tentent de capter chaque petit geste que tu fais, et j’essaie de deviner ce que tu fais. Je t’imagine habillé d’une belle chemise grise, d’un pantalon ajusté foncé, qui met en valeur tes fesses, et de beaux souliers légèrement cirés. Ton élégance m’a toujours allumé. J’entends des pages se déplacer. Un cahier, ou un livre? Qu’as-tu en tête? Le silence complet embaume la pièce quelques secondes.
J’entends soudainement, « Il est presque l’heure de partir, et je suis pris à une réunion…. »
Ta voix résonne dans tous mon corps. Tu récites une histoire inversée qui décrit, sous ta perception, ma visite à ton bureau! Chaque mot est soigneusement dit, d’un ton semi-grave et chaleureux, d’un rythme à peine au ralenti.
Tu poursuis, « …. je t’embrasse langoureusement, et je glisse ma main sous ta robe pour caresser ton sein. Je te retourne illico, face à mon bureau…. »
Je sens une légère vibration en moi. J’avais vu juste, c’est bien un jouet que tu m’as glissé entre les jambes. Oh que j’adore ton idée! Je savoure les vibrations alors que tes mots résonnent dans mes oreilles. Une combinaison qui me procure une très belle chaleur, et mon bassin bouge discrètement alors que la vibration vient à s’intensifier à chaque phrase prononcée.
La lecture de nos ébats sur la table de bureau me procure un plaisir sous un nouveau genre. Je sens le rythme, je sens le désir. Mon bassin se montre moins discret, et je suis certaine que tu l’as remarqué.
Tu continues, « … je sens que tu es sur le point de jouir »
Oh que tu n’as pas idée à quel point c’est vrai. J’ai beaucoup de difficulté à me contenir. Je suis attachée, à la merci de ton contrôle de vibration.
Un bref silence refait surface. Je tente de me concentrer avec grande difficulté.
Je t’entends marcher doucement vers moi en disant, « … Alors je te murmure à l’oreille … »
« Laisse-toi aller ma belle… », que tu murmures réellement, tes lèvres qui embrassent mon cou, ta main glissant sous mon sein.
L’effet est immédiat, un cri de jouissance des plus expressifs sort de ma bouche. Tu me fais taire en m’embrassant à pleine bouche, ta main toujours sous ma robe. L’orgasme s’intensifie à en faire trembler mon corps. La vibration perd de son intensité, jusqu’à se désactiver. On s’embrasse doucement, et tu enlèves mon bandeau.
Tu me regardes, alors que je tente de reprendre mes esprits. « Oh que j’aime ce regard, ma belle… »
Je rétorque doucement « Voilà l’effet que tu as sur moi… »
Tu souris en me répondant « Je désire le revoir encore… » avant de m’embrasser de nouveau, en enlevant mes contraintes.
Arrivée à la réception de l’hôtel, on me donne une enveloppe identifiée à mon nom. En plus de la clé de la suite, un petit mot de ta main décrit une instruction supplémentaire : dès que je franchis le seuil de la porte, je dois garder le silence, me diriger vers le fauteuil situé près de la fenêtre, déposer les rubans sur la table juste à côté, et installer le bandeau sur mes yeux.
L’ascenseur me dirige vers l’étage voulu, j’ouvre la porte. Je suis dans la pénombre; seule la lumière du centre-ville éclaire la suite, ce qui donne une ambiance luxuriante et intime. Le silence qui règne ne donne aucune confirmation de ta présence, ce qui me met aux aguets. Je suis à la lettre tes instructions, et me voilà assise au fauteuil, les yeux bandés, et j’attends. La fraicheur de l’air conditionné fait frissonner ma peau sous ma robe. J’ai joué d’audace, je ne porte aucun sous-vêtement sous ma robe, je souhaite que tu sauras apprécier ma petite attention.
Le bruit de tes pas vient à mes oreilles, et je ne peux m’empêcher de sourire à l’idée que tu étais là depuis le début. Ton subtil parfum hume mes narines, et j’entends le bruit discret du ruban se déplacer de la table, pour s’enrouler autour de mon poignet droit et du bras de la chaise. Le même geste se répète pour mon poignet gauche. Je sens l’envers de ta main glisser sur mon bras nu, jusqu’à mon épaule. Tu peux facilement entrevoir à la douce pénombre le frisson que tu me procures en ce moment.
Tu me vois sursauter un très bref moment, alors que tu soulèves ma robe, pour écarter mes cuisses. Je te sens arrêter ton geste quelques secondes. Tu as remarqué que je suis nue sous ma robe. Est-ce que tu souris? Ça reste un mystère, car aucun mot ne sort de ta jolie bouche. Tu insères avec grande délicatesse quelque chose en moi. Un jouet? Ce mystère m’intrigue et je ne peux m’empêcher de sourire. Ton pouce effleure ma lèvre maquillée d’un rose pâle. Puis, le silence revient envahir la pièce.
Un froissement de tissu me fait deviner que tu t’es installé sur le bord du lit. Mes oreilles tentent de capter chaque petit geste que tu fais, et j’essaie de deviner ce que tu fais. Je t’imagine habillé d’une belle chemise grise, d’un pantalon ajusté foncé, qui met en valeur tes fesses, et de beaux souliers légèrement cirés. Ton élégance m’a toujours allumé. J’entends des pages se déplacer. Un cahier, ou un livre? Qu’as-tu en tête? Le silence complet embaume la pièce quelques secondes.
J’entends soudainement, « Il est presque l’heure de partir, et je suis pris à une réunion…. »
Ta voix résonne dans tous mon corps. Tu récites une histoire inversée qui décrit, sous ta perception, ma visite à ton bureau! Chaque mot est soigneusement dit, d’un ton semi-grave et chaleureux, d’un rythme à peine au ralenti.
Tu poursuis, « …. je t’embrasse langoureusement, et je glisse ma main sous ta robe pour caresser ton sein. Je te retourne illico, face à mon bureau…. »
Je sens une légère vibration en moi. J’avais vu juste, c’est bien un jouet que tu m’as glissé entre les jambes. Oh que j’adore ton idée! Je savoure les vibrations alors que tes mots résonnent dans mes oreilles. Une combinaison qui me procure une très belle chaleur, et mon bassin bouge discrètement alors que la vibration vient à s’intensifier à chaque phrase prononcée.
La lecture de nos ébats sur la table de bureau me procure un plaisir sous un nouveau genre. Je sens le rythme, je sens le désir. Mon bassin se montre moins discret, et je suis certaine que tu l’as remarqué.
Tu continues, « … je sens que tu es sur le point de jouir »
Oh que tu n’as pas idée à quel point c’est vrai. J’ai beaucoup de difficulté à me contenir. Je suis attachée, à la merci de ton contrôle de vibration.
Un bref silence refait surface. Je tente de me concentrer avec grande difficulté.
Je t’entends marcher doucement vers moi en disant, « … Alors je te murmure à l’oreille … »
« Laisse-toi aller ma belle… », que tu murmures réellement, tes lèvres qui embrassent mon cou, ta main glissant sous mon sein.
L’effet est immédiat, un cri de jouissance des plus expressifs sort de ma bouche. Tu me fais taire en m’embrassant à pleine bouche, ta main toujours sous ma robe. L’orgasme s’intensifie à en faire trembler mon corps. La vibration perd de son intensité, jusqu’à se désactiver. On s’embrasse doucement, et tu enlèves mon bandeau.
Tu me regardes, alors que je tente de reprendre mes esprits. « Oh que j’aime ce regard, ma belle… »
Je rétorque doucement « Voilà l’effet que tu as sur moi… »
Tu souris en me répondant « Je désire le revoir encore… » avant de m’embrasser de nouveau, en enlevant mes contraintes.
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