La loge

Récit érotique écrit par Kaki Lacrima [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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La loge
Maitresse,
Comme vous me l'avez demandé, je suis allée dans ce parking.
Tout ne s'est pas passé comme selon votre demande.
Mais en voici le récit.
Respectueusement,
Votre chienne.
----------------------------------------
L'été arrive et la température devient meilleure.
Je peux enfin porter ce t-shirt un peu trop petit qui laisse apparaitre la pointe de mes seins.
Pour le reste, selon vos instructions, mon vieux jeans troué aux fesses, des bottines. Rien d'autre sur moi.
Je descends dans le parking du centre commercial et me gare près de l'entrée.
Je marche vers le fond de l'allée. Mes bottines claquent sur le ciment. Mes seins suivent le rythme de mes pas.
Un couple marche vers moi.
J'affronte le regard de la femme. L'homme, quant à lui, observe ostensiblement un autre endroit.
Nous nous croisons.
Je sens les yeux de l'homme lécher mes fesses.
Elle murmure "une pute ? tu crois ?".
Sourire sur mes lèvres. Non, pas une pute, juste une belle salope en apprentissage.
Bout de l'allée, juste avant la rampe permettant aux voitures de passer d'un étage à l'autre.
A droite, les deux dernières places de parking, deux voitures s'y trouvent.
Comme demandé, j'exécute vos ordres:
"Avant de passer entre les voitures, tu baisseras ton jeans pour montrer tes fesses et relèvera complètement ton t-shirt."
"Ensuite tu avances jusqu'au mur. Tu te retournes et t'accroupis en baissant totalement le jeans."
"Maintenant tu pisses, tu te frottes la chatte et tu te débrouilles pour avoir un orgasme."
L'ombre semble me protéger. Je m'exécute.
Ce rituel je le connais. Pratiqué de nombreuses fois chez moi. Ici, bien sûr, c'est tout autre chose.
Je me masturbe, accroupie, je me sens chienne.
Des gens passent. A plusieurs reprises. Ils ne remarquent rien mais mon cœur s'emballe. Je serre les dents pour ne pas gémir. Je pense à ma Maitresse.
Dix minutes, je ne sais pas… mon corps soudain se crispe, mon vagin se resserre violemment. J'étouffe un cri.
Je reprends mon souffle. J'ai passé la zone rouge, j'ai adoré, je suis une chienne.
Je me rhabille et repars… la sueur a rendu mon t-shirt humide… peu importe maintenant.
Retour à la voiture, je m'apprête à ouvrir la portière…
"Madame !"
Je me retourne, un gardien.
"Suivez moi s'il vous plait."
"Pour... quoi ?"
"Venez, je pense que c'est ce que vous avez de mieux à faire, après ce petit spectacle…"
Mon cœur s'arrête. Que faire ? Je décide d'acquiescer et de le suivre.
Dans la cabane de garde, deux autres hommes. Ils me regardent avec un sourire malsain.
"Les caméras, vous savez… on pourrait diffuser ça…"
A l'écran, je vois une belle chienne se masturber… c'est moi, clairement moi… ces empaffés peuvent zoomer comme ils veulent.
"T'en a pas envie, pas vrai ?"
"Non, bien sûr non…" la panique m'envahit, mais un certain plaisir aussi…
"Alors tu vas prendre, salope"
Sans rien dire de plus, il ouvre une porte à l'arrière de la loge.
J'entre.
Il fait sombre. Odeur âcre dans la pièce.
La première chose que je comprends, ils retirent leurs ceintures.
----------------------------------
Deux jours plus tard
"Alors ma chienne, je me suis laissée dire que ma petite surprise t'avait plu."
Agenouillée devant elle, je réponds à ma Maitresse par un grand sourire.
Comme vous me l'avez demandé, je suis allée dans ce parking.
Tout ne s'est pas passé comme selon votre demande.
Mais en voici le récit.
Respectueusement,
Votre chienne.
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L'été arrive et la température devient meilleure.
Je peux enfin porter ce t-shirt un peu trop petit qui laisse apparaitre la pointe de mes seins.
Pour le reste, selon vos instructions, mon vieux jeans troué aux fesses, des bottines. Rien d'autre sur moi.
Je descends dans le parking du centre commercial et me gare près de l'entrée.
Je marche vers le fond de l'allée. Mes bottines claquent sur le ciment. Mes seins suivent le rythme de mes pas.
Un couple marche vers moi.
J'affronte le regard de la femme. L'homme, quant à lui, observe ostensiblement un autre endroit.
Nous nous croisons.
Je sens les yeux de l'homme lécher mes fesses.
Elle murmure "une pute ? tu crois ?".
Sourire sur mes lèvres. Non, pas une pute, juste une belle salope en apprentissage.
Bout de l'allée, juste avant la rampe permettant aux voitures de passer d'un étage à l'autre.
A droite, les deux dernières places de parking, deux voitures s'y trouvent.
Comme demandé, j'exécute vos ordres:
"Avant de passer entre les voitures, tu baisseras ton jeans pour montrer tes fesses et relèvera complètement ton t-shirt."
"Ensuite tu avances jusqu'au mur. Tu te retournes et t'accroupis en baissant totalement le jeans."
"Maintenant tu pisses, tu te frottes la chatte et tu te débrouilles pour avoir un orgasme."
L'ombre semble me protéger. Je m'exécute.
Ce rituel je le connais. Pratiqué de nombreuses fois chez moi. Ici, bien sûr, c'est tout autre chose.
Je me masturbe, accroupie, je me sens chienne.
Des gens passent. A plusieurs reprises. Ils ne remarquent rien mais mon cœur s'emballe. Je serre les dents pour ne pas gémir. Je pense à ma Maitresse.
Dix minutes, je ne sais pas… mon corps soudain se crispe, mon vagin se resserre violemment. J'étouffe un cri.
Je reprends mon souffle. J'ai passé la zone rouge, j'ai adoré, je suis une chienne.
Je me rhabille et repars… la sueur a rendu mon t-shirt humide… peu importe maintenant.
Retour à la voiture, je m'apprête à ouvrir la portière…
"Madame !"
Je me retourne, un gardien.
"Suivez moi s'il vous plait."
"Pour... quoi ?"
"Venez, je pense que c'est ce que vous avez de mieux à faire, après ce petit spectacle…"
Mon cœur s'arrête. Que faire ? Je décide d'acquiescer et de le suivre.
Dans la cabane de garde, deux autres hommes. Ils me regardent avec un sourire malsain.
"Les caméras, vous savez… on pourrait diffuser ça…"
A l'écran, je vois une belle chienne se masturber… c'est moi, clairement moi… ces empaffés peuvent zoomer comme ils veulent.
"T'en a pas envie, pas vrai ?"
"Non, bien sûr non…" la panique m'envahit, mais un certain plaisir aussi…
"Alors tu vas prendre, salope"
Sans rien dire de plus, il ouvre une porte à l'arrière de la loge.
J'entre.
Il fait sombre. Odeur âcre dans la pièce.
La première chose que je comprends, ils retirent leurs ceintures.
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Deux jours plus tard
"Alors ma chienne, je me suis laissée dire que ma petite surprise t'avait plu."
Agenouillée devant elle, je réponds à ma Maitresse par un grand sourire.
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Ça donne très envie de lire une suite…

