La maître-nageuse 2

- Par l'auteur HDS prtxd -
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Récit libertin : La maître-nageuse 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-09-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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La maître-nageuse 2
« Rdv 18h, à l’adresse en dessous.

Ps : prend une douche avant de venir »

Je relis l’adresse pour être certain de ne pas m’être trompé. Après 20min de route je me retrouve en pleine campagne, au bout d’un chemin d’une centaine de mètres devant une maison complètement isolée.

Avant de sortir de la voiture je me répète mentalement mon objectif : je rentre dans la maison, je lui rappelle que le délit de chantage est répréhensible sans parler des sévices sexuels, je l’oblige à effacer les photos et je me casse. Je dois rester ferme, c’est moi le boss !

Je m’approche de la porte d’entrée et d’un mouvement décidé j’appuie sur la sonnette et frappe énergiquement à la porte.

La porte s’ouvre.

- On se calme ! Ah bah c’est toi ? C’est que t’es déjà bien excité, t’es pressé de rentrer !

Zoé se tient devant moi, dans une robe d’été légère. La lumière venant des fenêtres derrière elle me laisse deviner ses courbes en transparence. La finesse des bretelles de sa robe et les petits reliefs dessinés au niveau de sa poitrine me permettent de déduire qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. Elle est très attirante.

Je me reprends, je ne dois pas oublier mon objectif principal :

- On ne vas pas perdre de temps, je suis venu pour que tu effaces les photos. Si c’est nécessaire je peux te montrer les articles de lois qui listent clairement les peines encourues suite à notre dernière rencontre.

Zoé me fixe silencieusement quelques secondes puis éclate de rire.

- Houuu mais c’est qu’il est fâché tout rouge. Allez va t’asseoir dans le fauteuil là-bas.
- Je ne reste pas, je suis venu pour mettre un terme à ce chantage.
- Tu veux tes photos ? Donc tu te tais et tu t’assois.

Cette fermeté soudaine m’impressionne, je me rends vers le fauteuil.

- Alors maintenant tu vas te calmer et on va discuter. Premièrement, il me semble que notre petite soirée ne t’a pas complètement déplu, je me trompe ?

Je ne bouge pas, je ne manifeste aucune approbation.

- Je pense que t’as adoré me lécher la chatte, tu t’es énormément appliqué et surtout tu bandais comme un âne. Pas vrai ?

Je repense à l’image de son sexe humide devant moi, le goût de ses lèvres délicates… oui j’ai adoré mais je ne lui réponds pas.

Elle hausse le ton :

- C’est vrai ou pas ?

Je laisse s’échapper un petit « oui »

- Et sauf erreur de ma part, tu prenais plaisir à me mater le cul ?

Elle accompagne cette phrase en se tournant et en levant sa robe jusqu’à la naissance de ses fesses.

De nouveau je réponds sans l’assumer par l’affirmative.

- T’as joui, j’ai bien vu du sperme sortir de ta petite bitounette ?
- Oui
- Bon et enfin dernière question, t’as pris une douche aujourd’hui avant de venir comme je te l’avais demandé ?

Cette dernière question m’est fatale. Je réalise qu’en prenant cette douche j’obéissais déjà à ses ordres et qu’inconsciemment je désirais reproduire ce soir les conditions de soumission dans lesquelles j’avais découvert… de nouveaux plaisirs.

J’hésite, mesure les conséquences de cette réponse et cède en prononçant un timide :

- Oui
- C’est pas une preuve ça ? T’aurais pris une douche si t’avais pas eu l’intention réelle de rester ? Donc maintenant que c’est bien clair pour toi je vais pouvoir te montrer tes belles photos.

Elle saisie son portable sur la desserte de l’entrée, appuie plusieurs fois dessus et me le tend. Je découvre à l’écran une photo floue de moi dans les vestiaires de la piscine, le sexe à l’air et mon t-shirt sur la tête. Je slide, regarde la deuxième photo où je suis de dos, allongé sur la table avec un fanion bleu-blanc-rouge entre les fesses, enfin une dernière cadrée sur mon bas-ventre où j’essaye d’exciter mon sexe avec un doigt, un légume enfoncé dans l’anus. Je fais défiler les photos dans un sens et dans l’autre mais je ne trouve que ces 3 photos me concernant et je ne suis identifiable sur aucune d’entre elles. Je la regarde d’un air interrogatif.

- Et les autres prises par les gamines ?
- Elles n’existent pas. La seule qu’elles ont réussi à prendre est la première.
- Donc le chantage était bidon ?
- Exactement, t’as tout compris.

Je suis sous le choc, je suis partagé entre la colère et le soulagement. Je me suis fait enc… avoir. Je me lève et m’apprête à partir quand la mélodie de la sonnette de la porte résonne.

Zoé va ouvrir la porte.

- Salut bichette ! J’suis grave en retard mais fallait absolument que je repasse à la casa récupérer 2-3 trucs et prendre une douche. Toute la journée assise, j’avoue je puais trop de la schneck, j’étais trop en mode clocharde. Ça va toi ?
- Oui, rentre.

La jeune femme entre et se tourne vers moi.

- Ah, bonjour, Juliette.

Elle s’approche pour me faire la bise puis s’arrête soudainement et se retourne vers sa copine

- Non, ne me dit pas que c’est…

Hochement de tête de Zoé

- T’es vraiment trop forte ! C’est un grave beau cadeau d’anniversaire !

Les deux femmes éclatent de rire, Juliette me snobe complètement et poursuit sa discussion avec Zoé.

- En vrai comment c’est trop loin chez tes darons ! Par contre c’est grave peinard, t’es pas embêté par les voisins. Tiens, j’ai amené une bouteille de champ’ et des machins à bouffer.
- Oui, ils sont en vacances donc je profite de la maison, c’est plus sympa que mon appartement. Merci, je vais mettre ça au frais.

Je reste immobile n’osant pas les interrompre.

Je me décide à partir au moment où elles reviennent de la cuisine, j’ose un :

- Au revoir !

Zoé me regarde droit dans les yeux et d’un ton affirmatif me dit :

- Non, tu restes là !

Décontenancé j’essaye de répondre et bredouille quelques mots incompréhensibles.

Elles éclatent de rire.

- Y’a pas de « beubeubeu » tu te tais et tu t’assois.

Je ne comprends pas ce que je fais et je ne sais pas pourquoi mais mes jambes se fléchissent et j’obéis lamentablement en m’asseyant dans le fauteuil derrière moi sous le regard strict des 2 jeunes femmes.

Juliette se tourne vers Zoé et reprend sa conversation comme si je n’existais pas :

- Ouais donc je te disais, grosse journée au boulot aujourd’hui…

Je regarde les deux femmes, Juliette est physiquement très différente de Zoé. Très grande, ses fesses doivent arriver au niveau de mon nombril, elle est globalement plus imposante. Plus ronde, très pulpeuse, elle a un bassin très large et des fesses très rebondies. Ses seins sont aussi plus gros, sa poitrine est très généreuse. Elle doit être originaire du Nord, sa peau est très claire parsemée de tâches de rousseurs. Ses cheveux blonds tirent vers le roux. Elle pourrait être jolie mais elle fait surtout très vulgaire. Elle porte un débardeur blanc et une mini-jupe Adidas rose. Ses cheveux sont tirés en arrière en queue de cheval nouée par un ruban assorti à sa jupe, une paire de lunettes de soleil fait office de serre-tête. Elle est énormément maquillée, ses sourcils sont taillés au carré. Son bras droit est couvert de tatouages difficilement identifiables. Elle pourrait sortir tout droit d’une émission de télé-réalité. Son phrasé et son vocabulaire complètent parfaitement la panoplie de cette caricature. Tout ce que je déteste chez une femme.

Les deux femmes m’ignorent complètement, elles discutent et s’activent entre la cuisine et la terrasse extérieure. Elles se posent finalement à l’extérieur, sur le salon de jardin, autour d’une table basse sur laquelle elles ont déposé une bouteille de rosé accompagnée d’un bol de glaçons et de deux verres. Après plusieurs minutes d’échanges, Juliette interpelle Zoé :

- Bon alors, tu me montres les photos ?

Zoé lui donne son smartphone.

- Ah ouais, la génance, t’as pas exagéré, elle est vraiment minuscule. Naaan, trop bien, tu lui as fait faire des trucs de ouf, t’étais en mode dominatrice, t’as grave abusé.
- Disons qu’il s’est pris au jeu et a été particulièrement docile.
- J’ai jamais vu de micro penis, faut trop que je vois ça.
- Il va te montrer.

Zoé m’appelle pour que je les rejoigne sur la terrasse.

- Baisse ton froc !
- Hein ? Je ne comprends pas, je ne vais pas…
- Ta gueule ! On s’est dit quoi tout à l’heure ? On ne va pas reprendre cette discussion ! Fait pas semblant, tu sais très bien que t’aime ça. Donc tu obéis et tu baisses ton froc pour montrer à Juliette le petit bout de machin que t’as entre les jambes.

Je perds mes moyens devant le regard fixe et autoritaire des deux jeunes femmes. De manière incompréhensible je me vois détacher ma ceinture et baisser mon pantalon suivi de mon caleçon. Je suis rouge de honte, le stress a une incidence directe sur la taille de mon sexe qui, une fois que je me redresse, s’avère être ridiculement petit. Je me retrouve exhibé, pantalon sur les chevilles, sur la terrasse d’une maison de campagne, devant deux jeunes femmes qui sirotent un apéro.

Juliette se lève et se rapproche de ma bite.

- Lol, comment elle est ridicule, sa teube est plus petite que ses couilles, c’est trop la gênance. Il doit être obligé de pisser assis comme les meufs.

Les deux jeunes femmes se regardent d’un air complice et sourient.

- Après c’est trop mignon aussi, ça donne envie de jouer avec pour essayer de la réanimer.

Juliette s’agenouille devant moi, lève sa tête pour me regarder dans les yeux et d’une main habile commence à me caresser les couilles.

- J’ai grave envie de la prendre entière dans ma bouche et de la faire tourner avec ma langue comme si je roulais un patin. Je veux trop la sentir grossir dans ma bouche pour voir si elle tient en entier. Après je vais la sortir et je vais trop la lécher. Je vais grave m’occuper de tes couilles et après je vais remonter ma langue jusqu’en haut de ton gland. En vrai je vais trop le lécher longtemps, très doucement comme une glace. Après je vais l’embrasser et le prendre doucement dans ma bouche et je vais le sucer doucement trop longtemps comme les sucettes à la foire.

Les paroles de Juliette ont un effet immédiat, je sens mon sexe qui commence à gonfler et à changer de proportion.

- Mais tu kiffes, t’as grave envie aussi on dirait, le petit escargot sort de sa coquille. Tiens regarde, est-ce que ça aussi ça te plait ?

Elle retire les bretelles de son débardeur, le fait descendre légèrement afin de dégager sa poitrine. Elle porte un soutien-gorge blanc sans armature, très transparent. Le tissu est tendu par le volume important de ses seins, il laisse apparaître clairement ses larges aréoles et la pointe de ses tétons.

Je fixe avec délectation ce cadeau, je bande maintenant complètement.

- T’avais raison Zoé, il cache bien son jeu. On va goûter ça, ferme tes yeux et profite.

Zoé s’approche et se colle derrière moi, je sens sa poitrine s’appuyer contre mon dos, elle plaque ses mains sur mon torse puis murmure à mon oreille.

- T’es un chanceux toi, t’as bien fait de rester.

Maintenu par Zoé, je ferme les yeux et attends avec impatience la chaleur de la bouche de Juliette sur mon sexe.

Je suis soudainement sorti de mon fantasme par une violente sensation de froid qui me brûle le gland et les testicules. J’ouvre les yeux et vois Juliette qui plaque le bol de glaçons sur mes couilles et malaxe mon gland avec des glaçons de son autre main. L’effet sur ma bite est rapide, je débande instantanément. Zoé me bloc pour ne pas que je bouge. Juliette appuie sur mon sexe pour le faire rentrer entièrement dans le bol et plaque le récipient contre ma peau.

Mes couilles et ma bite sont enfermés dans cette cage de glace.

- La croyance, direct il a pensé que j’allais me fourrer sa teube dans ma bouche ! Il a cru que j’étais en mode teupu.

Zoé et Juliette se marrent. J’ai l’impression que ma température corporelle descend, je ne sens plus mon sexe mais je ne peux pas bouger, les deux femmes me maintiennent fermement dans cette posture inconfortable.

- Je pense que c’est bon, il doit trop avoir rétréci. Si ça se trouve on va trouver une vraie teuch derrière le bol.

Juliette retire enfin le bol, j’ai envie de frotter mon sexe pour le réchauffer mais Zoé m’en empêche.

- C’est trop lol, regarde comme c’est ridicule, elle est toute minuscule. Même ses couilles sont rétractés, on dirait qu’elles sont rentrées dans lui. Genre il a plus de bite, c’est juste un prépuce. Faut trop que je fasse une photo, c’est la première fois que je vois ça.

Juliette attrape son téléphone et capture ce qu’il reste de mon sexe en gros plan. Zoé me lâche enfin et vient contempler les dégâts. Les deux femmes se moquent de ce qu’elles regardent.

- Il a vraiment rien dans le pantalon, regarde moi ça. On ne peut même plus parler d’une petite bite tellement c’est ridicule. Genre c’est trop une meuf.

Elles se regardent et Zoé dit :

- Bon bah on ne va rien pouvoir faire avec ça ma petite Juliette, il va falloir qu’on s’amuse avec autre chose. Sérieux elle est plus petite que celle de mon neveu de 2 ans.
- Mais c’est ça, c’est un bébé, ça me donne trop une idée. Tu connais genre la position de yoga ?

Zoé fait non de la tête.

- Direct il va te montrer !

Juliette enlève les verres de la table basse puis me regarde en pointant la table du doigt.

- Sur le dos !

Je comprends que je dois m’allonger.

- Attrape tes pieds.

Je me redresse pour essayer de réaliser cette demande. Juliette plaque sa main sur mon visage est appuie pour me ramener la tête sur la table.

- Non, tu restes sur le dos ! Tu lèves tes jambes !

J’essaye d’obéir, je plie ma jambe gauche et la lève pour attraper mon orteil avec ma main gauche. J’effectue la même opération de l’autre côté.

- Trop bien, essaye de tendre un peu plus les jambes, voilà la posture du « bébé heureux » !

Cette position est très humiliante. Je me retrouve les jambes en l’air, écartées, exhibant mes parties intimes sans aucune pudeur.

Zoé profite d’une vue imprenable sur mon anatomie.

- Mais oui, il semble très heureux comme ça. On dirait qu’il attend qu’on lui mette sa couche. On va d’abord s’occuper de ses petites fesses.

Juliette rejoint Zoé.

- Il est tout mignon ce petit trou. Il est tout mouillé de l’eau des glaçons, il doit être tout froid.

Je sens son index se poser sur mon anus.

- Mais oui, c’est froid, faut trop le réchauffer sinon il va attraper un rhume des fesses le mioche.

Son doigt fait des petits cercles autour de mon orifice, elle le caresse, je sens la pulpe de son index appuyer légèrement sur l’entrée. Je n’ose pas trouvé cela plaisant, je suis partagé entre l’indignation d’être traité de la sorte et la découverte de la stimulation de cette zone provoquée par ses attouchements qui, j’ai beaucoup de mal à l’admettre, sont très agréables.

- T’avais raison Zoé, il aime qu’on s’occupe de son petit cul. T’es certaine que son trou n’avait jamais servi ?

Elle appuie soudainement un peu plus fort et fait pénétrer son doigts jusqu’à la première phalange.

- Oh oui, en effet c’est très serré tout ça, c’est très très étroit. Il va falloir se détendre, ça va lui faire beaucoup de bien le yoga.

Elle fait de légers mouvements circulaire avec son doigt comme pour m’élargir ou vérifier la tension de mon orifice.

Zoé d’approche de moi, elle m’enfonce un doigt dans la bouche.

- Allez tète !

Je suçote son doigt qu’elle enfonce plus profond. Je me retrouve avec un doigt enfoncer de chaque côté.

Elle l’enlève en disant :

- À mon tour !

Juliette retire aussi son index et vient me le fourrer dans la bouche.

Zoé de son côté enfonce sans avertissement l’intégralité de son index dans mon anus. Elle commente :

- Oui c’est encore un peu tendu mais ça rentre. Tu sais que les mecs on aussi un point G ?
- Ouais j’en ai vaguement entendu parler mais c’est vrai ce truc ?
- Oui, carrément. On va en profiter, je vais t’apprendre.

Elle fait bouger plusieurs fois son doigt en moi comme si elle cherchait quelque chose. Je ressent soudain une sensation étrange, elle appuie doucement plusieurs fois sur un endroit précis. Elle fait des va-et-vient en appuyant légèrement.

- Voilà, sa prostate est là. Tu vas voir c’est assez simple et plutôt efficace. Mon ex n’assumait pas mais il adorait ça.
- Le rugbyman ? Tu m’étonnes, il ne devait pas trop en parler dans les vestiaires.

Les deux femmes sont hilares. Je perçois une impression bizarre entre plaisir et envie d’uriner. Zoé continue de stimuler ma prostate. Juliette force ma bouche avec un deuxième doigt.

- T’aime bien sucer aussi !
- Mais oui, je ne t’ai pas dit mais il suce super bien. Il m’a fait mouiller l’autre soir juste à le regarder sucer !

Juliette continue ses aller-retour dans ma bouche et Zoé alterne caresses et pression sur ma prostate.

- Regarde comme c’est efficace, il commence à mouiller.

En effet ma bite bien que restant complètement flasque est en train de baver.

- Allez, à toi, viens essayer, tu vas voir c’est pas très profond, c’est une petite bosse derrière sa bite.

De nouveau, elles intervertissent leur place. Bizarrement, le retrait du doigt de Zoé crée comme un vide, un manque. Cette sensation ne dure pas longtemps, Juliette commence à appuyer ses deux doigts à l’entrée de mon cul.

- Il mouille mais il fait encore sa pucelle, c’est tout contracté. Allez, laisse moi rentrer.

Elle insiste, donne de petits à-coups, insère un premier doigt qu’elle bouge vigoureusement pour élargir mon orifice, elle le ressort, le refait rentrer plusieurs fois de suite puis fait finalement entrer son deuxième doigt.

- Voila, ne fait pas semblant, Zoé m’a dit que t’adorais ça.

Elle écarte ses doigts, les bouge dans différents sens comme si elle voulait agrandir mon trou.

- Bon, j’ai un peu plus de place. Alors tu m’as dit derrière sa bite, une petite bosse… à voilà, je pense que j’y suis.

Oui, c’est là, les doigts de Juliette s’activent doucement sur ma prostate. Je gémi légèrement, les doigts de Zoé m’empêchant de m’exprimer autrement. Je perçois un liquide monté le long de mon sexe, j’essaye de pencher la tête pour regarder et arrive difficilement à percevoir que s’écoule de mon sexe un liquide qui n’est plus translucide mais légèrement blanchâtre. Zoé le remarque aussi :

- Ouiiii, bravo Juliette, regarde il commence à lâcher du sperme, t’es trop forte !
- Ah bon ? Mais il ne bande pas, c’est possible ?
- Mais oui, justement, c’est ça qu’est trop bien ! Attends on va faire mieux, t’as déjà trait une vache ?
- Plutôt une chèvre une fois en vacances.
- Parfait, de toute façon vu la taille du pis on est loin de la vache ! Tu vas pouvoir essayer de traire une chienne en chaleur. Attrape le bol.

Juliette retire ses doigts, de nouveau j’éprouve une sensation de vide désagréable.

- Toi, enlève ton t-shirt et passe à quatre pattes !

Enfin je peux abandonner cette position dégradante et inconfortable.

Juliette dépose le bol entre mes jambes, sous mon sexe toujours pendant, puis se positionne devant moi, s’accroupît pour amener son visage en face du mien. Elle me regarde droit dans les yeux, passe ses mains sur mes joues puis sur mon torse, commence à me caresser et à jouer avec mes tétons.

- T’aimes ça qu’on s’occupe de ton trou de balle ?

Je la regarde et hésite sur ma réponse :

- heu… je…

Elle me saisit les tétons, les pince fermement et tire dessus violemment.

- Dis le que t’aime ça !
- Oui
- Oui quoi ?

Elle tire à nouveau, la douleur est intense.

- Oui j’aime ça !
- Oui qui ?

Elle va m’arracher les tétons.

- Oui j’aime ça Madame !
- Voilà, je le savais. Tu peux dire à Zoé de continuer alors ?
- Oui, continuez Madame s’il vous plaît !

Elle lâche enfin sa prise. Zoé introduit aisément ses deux doigts mouillés de ma salive dans mon anus.

- C’est demandé si gentiment, je ne peux pas refuser. Tu l’as bien préparé, ça rentre tout seul. Tu en veux donc encore ?

Je répond timidement oui. Elle fait ressortir ses doigts et les renfonce profondément d’un coup sec, le reste de son poing venant taper entre mes fesses. Je gémis :

- Han !
- J’ai pas entendu !
- Oui, encore.

Elle recommence et s’enfonce encore plus loin et plus fort.

- J’ai pas compris !
- Han ! Oui encore Madame !
- Répète !

Elle recommence.

- Han ! Oui encore Madame !

Plusieurs fois de suite.

- Han ! Han ! Han ! Encore Madame ! Encore Madame ! Oui encore Madame !

Après une dizaine de pénétration elle s’arrête.

- Bon, comme tu le demandes gentiment et que tu sembles en avoir très envie on va continuer à s’occuper de ton trou du cul. Il est prêt, Juliette, tu va pouvoir jouer à la fermière.

Juliette se met à genoux sur le côté, au niveau mon sexe, Zoé enfonce doucement ses doigts et effleure ma prostate. Elle appuie dessus, fait bouger ses doigts délicatement, les retire doucement et me pénètre à nouveau. Elle glisse ses doigts sur ma glande, l’effleure, puis plus fermement, elle fait de petits mouvements vers le bas en appuyant légèrement lorsqu’elle descend et en relâchant la pression quand ses doigts remontent.

Mon sexe commence à couler. Juliette observe attentivement.

- Ça vient Zoé !

Zoé retire ses doigts :

- Vas-y, tu peux l’aider en tirant dessus.

Juliette enserre la base de mon sexe entre son index, son majeur et son pouce, elle pince fermement et tire vers le bas en relâchant la pression juste avant mon gland. Elle recommence plusieurs fois la manipulation.

- Oui ! Une première belle giclée !

Zoé réintroduit ses doigts et recommence sa stimulation. Juliette patiente un peu et me trait à nouveau.

- Encore ! C’est impressionnant, c’est la première fois que je vois sortir du sperme d’une petite bite molle.

Les deux femmes continuent leur exercice pendant quelques minutes alternant stimulation de ma prostate et étirements de mon sexe. Elle semblent satisfaites après avoir récupéré 3 ou 4 coulées de sperme. Je n’ai ressenti aucun plaisir, même si la stimulation de ma prostate était finalement plutôt agréable au début, elle est rapidement devenue inconfortable, comme si j’avais envie d’uriner. Mais c’est bien du sperme qui est sorti de mon sexe, sans jouissance, je ne pensais pas que c’était possible.

- C’est une belle récolte, on est trop fortes Zoé, on pourrait se reconvertir et monter un élevage.
- Bonne idée, je nous vois bien au milieu d’un alignement de mecs à poil qui attendent patiemment l’heure de la traite.

Elles éclatent de rire.

- On a bien mérité une petite coupe de champagne. Allez, fini de jouer, descends de la table, tu vas bosser un peu. Suis moi.

Je me lève, mes jambes sont toutes chancelantes. Les différentes positions affligées m’ont tétanisé les muscles. J’essaye de rattraper Zoé qui se dirige dans la cuisine.

- On se dépêche !

J’arrive dans la cuisine, elle est devant l’évier en train de se laver les mains.

- Ça m’a donner chaud tout ça.

En prononçant ces mots elle lève le bas de sa robe qu’elle vient coincer dans l’élastique de sa culotte me devoilllant ainsi l’intégralité de ses sublimes fesses aux courbes parfaitement mises en valeur par l’échancrure d’un tanga noir en dentelles.

Elle se place devant le réfrigérateur et se lève sur la pointe des pieds pour attraper un plateau. Cette position galbe ses fesses et fait apparaître les muscles de ses cuisses et de ses mollets. Elle me tend le plateau.

- Tiens prends ça.

Me tournant toujours le dos, elle ouvre un placard bas contenant des verres. Elle s’accroupit doucement devant, jusqu’à ce que ses fesses touchent ses talons et écarte légèrement les jambes. Le tissu plus tendu de sa culotte lui pénètre le bas des fesses. Elle reste un moment dans cette position en faisant mine de chercher les flûtes à champagne se trouvant juste devant ses yeux. Elle finit par les attraper, remonte très lascivement sur ses jambes et pose 2 flûtes sur mon plateau. Elle ouvre ensuite la porte du frigo, se penche vers le bas, jambes tendues, pour attraper la bouteille. Elle se cambre exagérément et dandine légèrement ses fesses en attrapant la bouteille de champagne.

Il m’est impossible de résister à ces provocations. Mon sexe se redresse petit à petit et je lui présente une belle érection au moment où elle vient déposer la bouteille de champagne sur le plateau.

- Je serai toi, je ferai attention, tu risques de fâcher la reine des neiges.

Au moment où elle termine sa phrase, j’entends Juliette qui approche de la cuisine. Je baisse immédiatement le plateau au niveau de ma bite pour la cacher et éviter toute représailles glacée. Elle rentre dans la cuisine, me donne une claque sur les fesses.

- Ça va la bonniche ? T’as pas intérêt à faire tomber la bouteille de champ’.

Elle se dirige vers l’évier, se lave les mains, ouvre le frigo et en sort un petit plateau en plastique compartimenté. Elle regarde Zoé :

- J’ai pris une sélection d’antipasti. Tu feras attention les petits poivrons sont ultra piquants. J’ai bien fait de ne pas prendre de mini-saucisse, tu en avais déjà !

Elles éclatent de rire.

Juliette pose l’assortiment sur mon plateau et me donne une nouvelle claque sur les fesses en me disant :

- Allez bobonne, amène ça sur la terrasse.

Je m’exécute, les 2 femmes me suivent.

- T’as un beau petit cul quand même !

En passant devant la porte d’entrée Juliette s’arrête au niveau d’un porte manteau.

- Tes parents ont un chien ou c’est le collier de ta mère ?
- T’es pas drôle, oui c’est la laisse de Blacky.
- Et bien merci Blacky pour cette bonne idée !

Juliette saisit l’accessoire et nous rejoint dehors.

- Débouche la bouteille et sers-nous.

J’ouvre la bouteille, je remplis les flûtes et les pose devant chacune.

- Très bien, aux pieds !

Je comprends qu’il faut que je m’approche de Juliette. Elle détache le ruban rose de ses cheveux, m’attrape par les couilles et me tire vers elle. Elle pose une des extrémités du ruban entre mes testicules et mon sexe et fait un premier tour. Elle serre un peu puis fait un second tour en prenant soin de ne pas superposer le ruban avec celui du tour précédent et de bien le décaler vers le bas. Mes couilles descendent légèrement sous la pression du tissu. Elle ajuste le serrage et effectue encore 3 tours de la même manière.

Mes testicules sont maintenant maintenues à plus de 5 cm de mon sexe par le tube de tissu rose. J’ai comme une seconde bite, plus grande que la première, entre les jambes.

Elle tapote mes couilles.

- Quand je te disais que ta bite était plus petite que tes couilles. Allez, mets-toi à quatre pattes comme une bonne chienne.

J’obéis. Elle m’attrape les couilles, tire dessus et accroche la laisse au ruban. Elle fixe l’autre extrémité de la laisse sur le pied du parasol.

- Voila, on va pouvoir prendre l’apéro tranquillement.

Zoé acquiesce et dit :

- Il a aussi le droit à un peu de champagne.

Elle prend le bol resté sur la table, le pose au sol devant moi. Mon sperme est toujours au fond. Elle prend la bouteille de champagne et verse quelques centilitres dedans. Elle touille le mélange avec son doigt et me le fourre dans la bouche.

- Kir royal, t’es gâté ! T’as intérêt à tout boire.

Je baisse ma tête, regarde le contenu du bol quelques secondes et me résigne à tirer la langue pour la mettre en contact avec le contenu. Je lape difficilement le liquide, à chaque mouvement de langue, j’en avale une partie et éclabousse le sol et mon visage du reste. L’exercice me semble durer des heures. Les deux femmes m’ignorent complètement et discutent comme si je n’existais pas, elles trinquent, picorent dans l’assiette d’antipasti, se resservent en champagne… Les muscles de ma langue commencent à être douloureux et la tête me tourne, certainement l’effet combiné de ma posture et de l’alcool. J’arrive finalement au fond du bol, je me redresse légèrement en me mettant à genoux.

Juliette tourne la tête vers moi.

- T’as tout bu ?

Je hoche la tête.

- J’entends pas !
- Oui Madame j’ai terminé.
- Aux pieds !

Je m’approche à quatre pattes. Elle m’attrape la tête, me grattouille sous le menton, me frotte les cheveux…

- C’est un bon chien-chien.

Elle glisse ma tête entre ses larges cuisses et continue à me caresser les cheveux. Mon visage est juste devant sa culotte. Elle tire sur ma tête et la manipule pour frotter mon visage contre son sexe dodu.

- T’es un bon toutou, t’aimes ça les caresses.

Elle bouge son bassin de sorte que mon nez frotte l’entrée de sa chatte. Le tissu transparent commence à s’humidifier.

- C’est bon ça, il est content le toutou.

Elle repousse ma tête.

- Mets-toi à genoux et bouge ta petite queue si t’es content.

Je me redresse sur mes genoux et remue mon bassin pour essayer de faire bouger mon sexe.

- Regarde comme c’est pitoyable, il arrive même pas à remuer son micro-penis.

Zoé s’approche et se penche vers moi.

- Montre-nous comment tu branles ta petite nouille avec 2 doigts. Mais juste ta nouille, je ne veux pas te voir ne serait-ce qu’effleurer ton gland.

Je pince mon sexe et commence à me masturber. Juliette écarte ses larges jambes pour que je puisse contempler sa culotte et le dessin de sa fente visible en transparence. Zoé s’assoit sur le fauteuil à côté, remonte ses pieds sur l’assise et écarte ses cuisses. Je contemple le spectacle qui m’est offert et accélère le mouvement.

- Là il est content, il remue beaucoup sa queue !

Le souvenir du sexe de Zoé, caché derrière ce petit bout de tissu, me revient en mémoire. J’ai très envie de la lécher à nouveau. Je continue à me branler, mon sexe commence à durcir et à changer de proportion.

- T’aimes ça matter les culottes, t’aimerais bien toucher ?
- Oui Madame.

Juliette se lève, descend de la terrasse et fait un pas dans le gazon. Elle relève sa jupe, baisse sa culotte et écarte légèrement ses pieds au sol.

- Aux pieds !

Je me dirige à quatre pattes vers elle et m’arrête une fois dans le gazon. Elle fléchit légèrement ses jambes, pose son index et son majeur sur son sexe et écarte ses lèvres.

- Lèche !

Sous son pubis joufflu habillé de fin poils très claires, elle dévoile une belle vulve rose qui contraste avec la blancheur de sa peau.

Je m’approche avec impatience et désir de ce cadeau qui m’est proposé mais une violente douleur au niveau de mes testicules m’arrête net. La chaîne est tendue au maximum, je viens d’atteindre la limite de la laisse. Je recule instantanément. Zoé et Juliette éclatent de rire.

- Ouch ! Ça doit faire mal.

Juliette se rapproche d’un pas.

- Allez fais un effort, ça se mérite de me lécher la teuch.

J’avance doucement jusqu’à sentir à nouveau la tension au niveau de mes couilles, je tire la langue, je suis à 1 cm de l’objectif. Juliette s’amuse avec moi, elle recule ou avance légèrement le bassin pour effleurer le bout de ma langue avec son sexe. Elle s’immobilise enfin, écarte un peu plus ses lèvres, je tire encore sur ma chaîne, j’ai l’impression que mes couilles vont se détacher, je sors ma langue le plus loin possible. Je vais enfin toucher son sexe au moment où elle se met à uriner. Je recule rapidement. Mon visage a été éclaboussé et j’ai le goût de son urine sur le bout de ma langue.

- Oups, j’ai trop bu de champagne.

Elles éclatent de rire. Juliette retourne sur la terrasse, attrape une petite serviette en papier sur la table basse, essuie son sexe et la pose au pied du fauteuil. Elle trempe deux doigts dans sa flûte de champagne et se caresse le sexe avec. Elle s’assoit au bord du fauteuil, écarte les cuisses.

- Allez viens !

Je m’approche hésitant. Elle m’attrape par les cheveux et m’enfouit le visage entre ses cuisses. Je passe ma langue à l’entrée de sa vulve et goûte à ce cocktail étrange de saveurs intimes et de champagne. Je sépare ses lèvres, j’aspire celles de gauche puis celle de droite, j’effleure son clitoris de la pointe de la langue… je m’abandonne enfin au plaisir de lui procurer du plaisir. Le désir monte aussi dans mon sexe, la tension de ma peau augmente la douleur provoquée par le lien de tissu mais est aussitôt anesthésiée par l’excitation. Je continue de la lécher de longues minutes, elle mouille de plus en plus et tressaute sur certains de mes mouvements de langue. Elle me repousse soudainement refusant de s’abandonner complètement.

- Genre c’est vrai qu’il est pas mal en mode léchage de chatte ! T’avais grave raison bibiche, t’as trouvé un bon sextoy.
- Et en plus il adore ça, regarde comment il bande.

Juliette se redresse et regarde mon sexe tendu. Elle se penche vers moi, me pince le bout du gland et le fait rouler entre ses doigts.

- T’as envie qu’on titille ton petit clito, t’aimerais bien qu’on joue plus avec, c’est ça ?
- Oui Madame, s’il vous plaît Madame.
- Si tu savais le nombre de fois où ça m’est arrivé. Tu vas faire comme la plupart des nanas, tu vas te démerder. Ok, tu peux jouir si tu veux mais comme un bon clébard, sans les mains !

Je regarde autour de moi, instinctivement je me dirige vers un des fauteuils en espérant pouvoir glisser mon sexe entre 2 coussins et enfin éjaculer. Je pose mes mains sur l’assise et approche mon bassin pour pénétrer cet ersatz de partenaire sexuel. Une vive douleur dans mes couilles interrompt ces préliminaires, la chaîne est trop courte, ma bite ne peux pas entrer en contact avec le moelleux des coussins. Je dois me débrouiller avec la table basse. J’essaye maladroitement de me frotter le long d’un des pieds. Je suis pitoyable, cela ne fait aucun effet si ce n’est celui de faire rire mes 2 observatrices.

- Regarde moi ça le pauvre petit chien-chien, il n’arrive pas à ce servir de sa petite queue.
- T’es trop ridicule. Allez essaye autre chose, tu vas bien y arriver.

Je prends appui sur la table basse et commence à me lever doucement jusqu’à ce que je sois arrêté par la tension de la chaîne. Je me retrouve bras tendus, jambes semi-fléchies, le bassin légèrement en arrière. En restant dans cette position, je donne de légers coups de bassin. Ce mouvement provoque une alternance dans la tension la chaîne et me permets de doser la sensation de douleur sur mes couilles. Ma bite est ultra tendue de désir. Plus j’avance mon bassin, plus mes couilles sont tirées vers l’arrière mais cela entraîne aussi une tension sur tout mon sexe que je ressens jusqu’à mon frein.

- Regarde le, il baise dans le vide, il fait du air-sexe !
- Il doit s’imaginer monter une belle petite chienne, une belle femelle labrador blonde en chaleur.

Je commence à ressentir le désir monter et à percevoir des sensations jusqu’à mon gland en jouant sur l’étirement de ma laisse. Je ferme les yeux et repense aux fesses de Zoé, au sexe de Juliette… Je suis au bord de l’explosion, je tire une nouvelle fois sur mon lien, la nouvelle douleur provoque une décharge de plaisir, j’éjacule enfin, mon sperme se répand sur le plateau de la table. Je reviens doucement à moi et prends à nouveau conscience de ma posture humiliante devant ces deux femmes qui n’ont pas loupé une seconde de se spectacle pitoyable.

Zoé se lève et frappe dans ses mains.

- Bravo champion, t’as réussi à jouir sans qu’on te touche, comme un petit éjaculateur précoce.

Elle détache la laisse puis libère mes couilles de la cage de tissu.

- Va falloir nettoyer ça maintenant. Lèche !

C’était trop beau, je n’aurais pas profité longtemps de cette petite jouissance. Je monte sur la table et me penche pour obéir à Zoé. Juliette me regarde attentivement lécher mon sperme à quatre pattes sur le table.

- Ses couilles doivent être complètement vides.
- Pas certaine de ça, on va vérifier.

Zoé m’ordonne de me lever. Je descends de la table et me positionne debout devant elle. Elle m’attrape la bite et commence à me branler. Ce n’est pas du tout agréable, c’est beaucoup trop tôt. Elle crache sur mon gland et l’attrape dans sa main qu’elle fait tourner autour rapidement. C’est beaucoup trop sensible, j’essaye de retirer ma bite de son emprise d’un mouvement de bassin vers l’arrière. Mais elle ne lâche pas prise et continue à m’astiquer en alternant douceur et vitesse exagérée.

- On va lubrifier un peu plus.

Elle trempe ses doigts dans un des récipients d’antipasti et les ressort tout huileux. Elle fait couler l’huile délicatement sur ma queue et recommence à me branler doucement pour bien lubrifier l’ensemble de mon membre. Elle insiste sur mon gland en le massant à deux mains. Je perçois soudain une étrange sensation de chaleur, la peau de mon sexe chauffe de plus en plus, c’est ensuite au tour de mon gland de devenir brûlant. Je saisis un peu tard que l’huile utilisée vient du récipient des poivrons pimentés. Elle accélère le rythme quelques secondes puis lâche mon sexe et me regarde. C’est encore pire, la sensation de brûlures augmente, j’ai littéralement la bite en feu.

- Je continue ?
- Oui, oui, s’il vous plaît Madame.

Elle reprend mon membre en main et le branle à une cadence infernale, arrête quelques secondes et recommence plusieurs fois de suite. Elle masse ensuite mon gland avec la paume de sa main qu’elle fait tourner dessus. Elle continue en malaxant mon frein et la partie inférieure de mon gland avec ses deux pouces.

Mon sexe commence à frémir, je ressens monter la jouissance, ma respiration s’accélère. Zoé s’en aperçoit, elle branle activement ma queue, je commence à gémir, elle accélère encore et s’arrête soudainement. Elle positionne sa main en coupole prête à réceptionner ma production. Mon sexe tressaute et j’éjacule le peu de sperme qu’il me reste. Je suis sec, mon sexe continue de se contracter mais plus rien ne sort.

- Tu vois Juliette, il en reste encore, il n’est pas complètement vidé.

Elle empoigne un nouvelle fois ma bite avec la main qui avait récupéré mon éjaculation et reprend la masturbation en répartissant mon sperme sur toute la longueur de mon sexe. La sensation de brûlure s’atténue mais je ne supporte plus d’être stimulé. Zoé ne s’en préoccupe pas et reprend la cadence. Mon sexe n’en peut plus, ses aller-retours sont irritants. Elle insiste, je me tortille pour esquiver et atténuer la perception de ses mouvements. Finalement au bout de plusieurs minutes, une nouvelle jouissance monte, je pousse un râle, mon sexe se contracte inutilement, sans éjaculer et provoque une sensation perturbante de vide dans mon bas ventre. Je suis exténué, vidé.

- Maintenant c’est bon, il nous a tout donné.
- Une toute petite bite mais des couilles grave pleines.
- Allez, tu peux aller te laver et te rhabiller. La salle de bain est dans le couloir à droite.

Je ne me fais pas prié et m’échappe rapidement. Après m’être rincé et appliqué sur le sexe la première crème trouvée dans la salle de bain, je reviens sur la terrasse.

Deux petits paquets cadeaux sont déposés sur la table basse juste devant Juliette.

- Le voilà, vas-y Juliette tu peux les ouvrir.

Juliette déballe le plus petit et en sort un petit écrin. Elle l’ouvre et découvre une petite chaîne.

- Trop mignon, merci.

Elle la sort de sa boîte pour l’essayer.

- C’est quoi ce pendentif ? Une clé ?
- Ouvre le deuxième paquet, tu vas comprendre.

Curieuse, elle le déballe rapidement.

- Grave bien, j’adore !
- Évidement j’ai pris le plus petit modèle.

Abasourdi, je découvre dans sa main une cage de chasteté rose bonbon.


A suivre…

Les avis des lecteurs

j adore vivement la suite



Texte coquin : La maître-nageuse 2
Histoire sexe : Une rose rouge
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