La maître-nageuse

- Par l'auteur HDS prtxd -
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Récit libertin : La maître-nageuse Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-07-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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La maître-nageuse
- Il existe des pénis de chair et des penis de sang.

Dans une émission de radio, un sociologue, invité pour présenter une enquête sur la sexualité des français, expliquait pourquoi la différence de taille entre le pénis au repos et le penis en érection pouvait être très variable en fonction des individus. Pour les premier, l’écart est relativement faible, pour les seconds, il est nettement plus important. J’appartiens donc clairement à cette dernière catégorie. 

J’ai une petite quarantaine d’années, d’allure plutôt athlétique, je n’ai jamais eu problème avec les femmes au sujet de la taille de mon sexe. Il semblerait même que je sois bien au dessus de la moyenne si j’en crois les chiffres de ce fameux sociologue. Non, mon problème est plutôt avec les hommes, les autres mecs dans les vestiaires. Parce qu’il est clair qu’après le sport je ne suis pas du tout à mon avantage. Mon corps doit avoir une capacité exceptionnelle à optimiser la circulation sanguine pendant l’effort et ainsi priver d’afflux sanguin tous les organes inutiles à l’activité pratiquée. Mon sexe après le sport est complètement rétracté, ridiculement petit, ne mesurant que 3 ou 4 cm.

Dès que cela a été possible, j’ai donc évité tous les sports collectifs et me suis rabattu sur des activités individuelles comme la natation ou la course à pied.

Ce soir là, justement, j’avais besoin de me dépenser. Je venais de passer une journée compliquée avec des clients particulièrement exigeants. Il fallait absolument que je me défoule. Je me gare donc sur le parking de la piscine municipale et sort de ma voiture en tenue de footing. Je glisse la clé dans mon short et commence à courir. Au bout d’une dizaine de minutes j’aperçois au loin une silhouette féminine qui court elle aussi. J’accélère nettement mon allure afin de me retrouver quelques mètres derrière elle. À cette distance je peux distinguer clairement les courbes attrayantes de la joggeuse. Elle porte une brassière très échancrée dans le dos laissant apparaître une magnifique chute de reins. La découpe de son legging accentue avantageusement le dessin de ses fesses parfaitement moulées et lissées par le tissu technique. Chaque foulée provoque un léger rebond maîtrisé par la fermeté des muscles entraînés. Je pourrais maintenir cette allure et poursuivre cette vision idyllique pendant des kilomètres. Je sens un début d’excitation monter en moi et j’élabore quelques scénarios pour entamer la discussion. J’accélère légèrement le rythme, arrive à son niveau. Cette proximité me permet de sentir le parfum de ses cheveux associé à une légère odeur de lessive sur ses vêtements.

Je n’ose pas la regarder, tous mes scénarios sont bidons, je continue mon accélération et la distance rapidement. J’enchaîne quelques phases de courses rapides et de ralentissements. J’arrive au point du parcours que je m’étais fixé pour faire demi-tour et je reviens sur mes pas. 

Je vois de nouveau au loin la silhouette de la jeune fille qui arrive en face.

Je ralentis légèrement pour profiter un maximum du moment. J’arrive enfin à distinguer les trais de son visage, elle est vraiment très mignonne malgré l’effort. Je découvre la courbe de ses seins fermement maintenue par sa brassière. Ses tétons son tendu, la forme du tissu laisse deviner un piercing sur celui de droite.

Sous la brassière, son ventre est nu. Ses muscles et la sueur qui coule le long de son nombril créent une image d’une extrême sensualité. Je jette un œil rapide plus bas pour essayer d’identifier le renflement de son pubis.

Elle arrive à mon niveau, nous échangeons un sourire et un bonjour de complicité sportive. Fin de l’histoire. Je rentre au parking avec quelques fantasmes en tête mais sans rien de concret. J’attrape mon sac de piscine dans le coffre de ma voiture, rien de mieux après une bonne séance de footing que quelques longueurs de piscine et un petit sauna pour se détendre.

Je rentre dans la zone de vestiaire mixte et me glisse dans la première cabine libre. Je tourne le loquet dont le jeu, provoqué par les nombreuses manipulations quotidiennes, assure à la porte une fermeture toute relative.

Je pose mon sac et commence par retirer mon short. Comme à l’accoutumée, je constate que l’effort que je viens de produire lors de mon footing a eu un effet dévastateur sur la taille de mon sexe. J’ai beau le savoir, ça m’impressionne toujours moi-même. La combinaison de l’activité physique intense et la compression du tissu synthétique de mon short a entraîné une réduction spectaculaire de mon appareil génital. A ce moment, j’ai entre les jambes un petit morceau de peau flasque et bleui de 2-3 cm. 

Heureusement qu’à chaque fois ça ne dure pas. 

J’essaye ensuite d’enlever mon t-shirt trempé de sueur. Il me colle au dos, je me retrouve la tête coincée dans le tissu que je n’arrive pas à faire glisser plus haut pour le retirer complètement. Je ne vois plus rien, les bras en l’aire, je me débat ridiculement pour me séparer de cette cagoule de malheur. Je heurte la porte puis la cloison avant de reculer pour me caler au fond de la cabine pour éviter en plus de tomber.

J’entends un groupe de gamines entrer dans le vestiaire. Ça ricane, ça parle fort, j’espère qu’elles ne vont pas monopoliser les lignes d’eau et que je vais pouvoir nager tranquillement. Encore faut-il que j’arrive à terminer de me changer. J’entends glousser juste derrière ma porte. Au moment où j’arrive enfin à sortir de mon t-shirt, mon cœur s’accélère en découvrant que ma porte est ouverte. Mes yeux se posent sur un smartphone de couleur rose couvert de strass dont l’objectif me fixe. Il est tenu par deux petites ados hilares, le regard fixé sur l’écran.

Je cache instinctivement mon sexe avec mon t-shirt et saisie de l’autre main le smartphone que sa propriétaire ne veut pas lâcher.

Je lui ordonne de me le donner. Elle se débat et commence à crier à son tour. Une jeune femme, qui doit être maître-nageuse si j’en crois son mini short rouge et l’inscription sur son t-shirt blanc, s’interpose. 

- On se calme, il se passe quoi ici ? Bérénice, Capucine, c’est quoi le problème ?
- On a rien fait, c’est lui, il avait pas fermé sa porte !
- Ses petites pétasses viennent de me prendre en photo !
- Oh, attention sur le vocabulaire Monsieur !C’est vrai ça les filles ?
- Mais non, jamais de la vie !
- Bon, filez-moi vos portables
- Non, carrément pas !
- Ok, les filles, le dernier mec qu’on a chopé avec un appareil photo dans les vestiaires à passé sa soirée dans mon bureau encadré par deux flics qui écoutaient ses justifications. Donc soit vous me les filez maintenant et vous allez à votre entraînement, soit on descend tous dans mon bureau pour attendre vos parents et la police.
- Pfff, tiens prends-les !
- Le code ?
- 6 fois 0 pour le miens et 121212 pour celui de Bérénice.
- Ok, vous vous mettez en maillot et vous allez à votre entraînement, vous passerez les récupérer à mon bureau après. Vous, Monsieur, je vous laisse aussi vous changer et vous invite à passer à mon bureau en bas, à côté du bassin ludique, avant d’aller nager. À tout de suite.

Je rentre de nouveau dans ma cabine et enfile mon maillot de bain.

Je descends rapidement, traverse l’espace des douches et m’apprête à traverser le pédiluve au moment où une voix m’interpelle.

- La douche et le bonnet de bain sont obligatoires pour accéder aux bassins !
- Non mais je passe juste voir la maître-nageuse à son bureau.
- Notre démarche qualité est très stricte sur l’hygiène Monsieur, pas d’exception.

Je comprends que si je veux jouer au con je ne vais pas gagner avec cet adversaire.

Je fais marche arrière et passe sous la douche. Je me savonne, passe mes mains sous mon maillot et insiste ostensiblement devant et derrière. J’enfile mon bonnet et franchis fièrement le pédiluve.

La porte du bureau est ouverte. Je me positionne sur le seuil et j’entends :

- C’est bien ici.

Je rentre et m’approche de la maître-nageuse assise derrière son bureau. Je m’apprête à enlever mon bonnet ridicule mais elle m’arrête en me disant :

- Non garde ton bonnet et assieds-toi. 

Je ne sais pas ce qui me fait réagir spontanément, est-ce la surprise de ce ton directif, le tutoiement spontané que je ne supporte pas ou le contraste entre cette autorité et la douceur naturelle qui émane de son visage.

- Je ne crois pas que je vous ai autorisé à me tutoyer et encore moins à me donner des ordres. 

Elle me regarde droit dans les yeux, un léger sourire au lèvre.

- Je pense qu’il va falloir rapidement t’habituer, je te propose de descendre d’un ton, de m’écouter 2 minutes et tu jugeras après si tu continue à jouer la vierge effarouchée. Donc, je t’explique le contexte. Pendant que tu enfilais ta petite culotte de bain et finissais de t’apprêter pour venir faire ta petite baignade, de mon côté j’ai regardé dans notre logiciel qui avait utilisé son badge d’entrée quelques minutes avant ton striptease. J’ai consulté les quelques fiches d’abonnés correspondant aux prénoms masculins que j’avais trouvé et j’ai réussi à te retrouver grâce à la photo de premier de la classe que tu nous avais transmise lors de ton inscription. J’ai ensuite fais une petite recherche Google avec ton nom, prénom et je suis rapidement arrivé sur ton profil LikedIn. Je connais donc ton job, ta boîte, tes collègues et tes relations professionnelles. J’ai donc d’un côté ton réseau professionnel et d’un autre un belle série de photos et même une petite vidéo récupérées sur les portable des filles. Je vais plus loin ou t’as saisie l’idée ? Donc maintenant tu te lèves, tu vas jusqu’à la porte et t’as deux options : soit tu te casses et t’en assumes les conséquences, soit tu fermes la porte et tu reviens devant moi pour qu’on joue un peu.

Je suis sous le choc, par automatisme je me lève et marche jusqu’à la porte. Je m’arrête devant. Je ne suis pas bien certain de comprendre ce qui m’arrive mais le simple fait d’imaginer mes collègues découvrir les photos me provoque des palpitations. Je me résigne. Je ferme la porte et me retourne vers ma maître chanteuse.

- Parfait, t’as tout compris ! Allez viens par ici et mets toi debout devant mon bureau.

Je m’exécute.

- Maintenant baisse ton maillot de bain ridicule.
- Quoi, mais ça va pas ?
- Alors la règle va être simple. J’ai horreur de me répéter, je ne le ferai donc pas. Soit tu obéis directement, soit j’appuie sur le bouton « envoyer » du mail préparé sur mon ordinateur.

Je me résigne à baisser mon maillot en guise d’approbation.

- Laisse le maillot sur tes chevilles, t’es bien ridicule comme ça. Oooooh mais qu’est-ce qu’il est mignon ce petit zizi d’enfant. Je comprends mieux pourquoi les filles étaient mortes de rire. En le voyant sur les photos je pensais que ça pouvait être lié à la qualité de l’objectif ou à l’angle de la prise de vue mais non, t’as vraiment une toute petite zigounette de petit garçon.

Elle ouvre le tiroir de son bureau et attrape une règle. De l’autre main, elle saisie 2 stylos présents sur son bureau qu’elle positionne comme des baguettes Chinoises. Elle contourne son bureau, se rapproche de moi et attrape la peau de mon sexe avec ses baguettes improvisées. Elle glisse sa règle en dessous et lâche mon penis dessus.

- 3,5 cm ! Je n’y crois pas, c’est vraiment improbable ! En fait t’as un gros clitoris entre les jambes.

Au même moment, quelqu’un frappe à la porte du bureau. Instinctivement je cache mon sexe avec mes 2 mains.

CLAC !

Une douleur intense surgit sur mes fesses. Le temps que je comprenne ce qu’il m’arrive, je reçois un deuxième coup de règle. J’enlève mes mains de mon sexe pour me frotter les fesses.

- Je ne crois pas t’avoir dit de bouger !

On frappe à nouveau à la porte. Cette fois si je reste immobile.

- Deux minutes, j’arrive ! crie-t-elle en direction de la porte. Donne moi ton maillot.

J’obéis.

- Ouvre la bouche !

Elle m’enfonce mon maillot dans la bouche, m’attrape les couilles fermement et m’attire vers la porte. J’essaye de reculer mais la douleur provoquée par sa prise m’en empêche. Elle me plaque dos au mur à côté de la porte et ouvre celle-ci. La porte se rabat sur moi me cachant de l’extérieur. 

- Ah les filles, vous venez récupérer vos portables. Entrez, ils sont sur mon bureau.

J’entends les pas des 2 ados passer la porte et approcher du bureau devant lequel je me situais quelques minutes plus tôt.

- Capucine, tu peux aller fermer la porte ? 

Non ! Pourquoi lui demande t’elle ça ? Je ne vais pas de nouveau me retrouver humilié devant ces deux gamines ? Je rapproche inutilement mes genoux entre-eux espérant masquer quelque chose et passe de nouveau mes mains devant mon sexe sans faire de mouvement brusque.

- Non, laisse tomber la porte, je ne vais pas vous faire perdre de temps pour une si PETITE CHOSE INSIGNIFIANTE. Alors que cela soit claire entre nous les filles, ce que vous avez fait aurait pu vous provoquer de grosses emmerdes si je n’étais pas intervenue. Donc plus jamais ça et je ne plaisante pas. Plus jamais ça, ok ? Ça doit absolument rester entre nous. Personne n’en parle. J’ai bien évidemment supprimé vos photos pour vous protéger. Bon, maintenant que c’est dit, j’espère que vous n’avez pas été traumatisées par ce que vous avez vu… même s’il n’y avait PAS GRAND CHOSE À VOIR.

Les trois femmes éclatent d’un rire de connivence me mettant particulièrement mal à l’aise. 

- Vous êtes jeunes et vous avez une bonne vue, perso je serai passée à côté SANS RIEN VOIR. Votre téléphone à du mettre un sacré moment avant de pouvoir faire la mise au point.

De nouveau des éclats de rires. Je n’ai jamais été autant humilié.

- J’aurais sûrement dû faire un appel au micro pour dire à sa maman qu’on avait retrouvé son PETIT GARÇON dans les vestiaires.

Encore des rires. Entendre ses deux ados se bidonner à mon sujet sans pouvoir intervenir au risque d’aggraver ma situation est particulièrement avilissant.

- Bon, je ne vous mets pas plus en retard à cause de cette MINUSCULE et surtout RIDICULE mésaventure. Vous pouvez y aller, vous avez besoin de vous reposer après votre entraînement. Pensez à prendre des féculents pour votre récupération ce soir, une PETITE soupe de VERMICELLES ou un plat de PETITES NOUILLES.

Les deux gamines sortent hilares de la pièce, j’entrevois leurs regards prétentieux au travers des gonds de la porte au moment de leur passage à quelques centimètres de moi.

La porte se referme derrière elles. Je suis accablé, je me sens particulièrement rabaissé.

Je prends conscience que mes mains sont restées devant mon sexe, je m’empresse de les positionner derrière mon dos afin d’éviter de nouvelles représailles et me retrouve dans mon plus simple appareil vêtu de ce bonnet de bain insupportable, devant une parfaite inconnue, mon slip de bain dans la bouche pour parfaire le tableau.

Elle regarde dans ma direction et me fait signe d’approcher par un petit mouvement d’index.

Je me décolle du mur et fais un premier pas au moment où j’entends de nouveau frapper puis instantanément un mouvement de la porte. Je me replace immédiatement dans ma position initiale, j’entends une voix féminine entrer dans le bureau.

- Tiens, cadeau !
- Bah c’est quoi ça ?
- Benjamin est passé chez ses parents avant de venir me chercher. Du coup il avait 3 cagettes de légumes dans le coffre. Pour deux c’est énorme donc je suis remontée vite fait t’en déposer une.
- Et je fais quoi avec ça ?
- Tu peux la laisser là pour manger des courgettes au goûter mais je te propose plutôt de la ramener chez toi. Bon, j’y vais ma petite Zoé, Benjamin m’attend sur le parking. Je te laisse fermer. Tout est ok, t’as juste à passer un coup de jet d’eau autour du bassin ludique. Bisous à demain.

La porte se referme. Me revoilà de nouveau exhibé devant ma maître-nageuse qui, maintenant je le sais, s’appelle Zoé.

- Nous voilà enfin en tête à tête, on va enfin pouvoir s’amuser un peu. Tu peux retirer ton maillot de ta bouche. T’as pas de chance, mes 2 derniers mecs m’ont fait des coups de pûtes, tu risques de prendre cher pour les autres. En plus, je n’ai pas trop apprécié la façon dont t’as parlé aux filles tout à l’heure. La moindre des choses quand on a une bite de la taille d’un clito c’est de respecter les autres femmes. Bon, ceci étant dit, tu vas commencer par ranger un peu. Tu vois la table là-bas avec le matériel de natation ? Et bien tu la vides en virant tout ça dans le bac à côté. Tiens, au passage, attrape une des ceintures et enfile là, ça va parfaitement compléter ta tenue et souligner ta ligne de petite pute.

J’obéis sur le champ, une fois la table vide, je prends une des ceintures de natation faite d’une sangle blanche passant dans un ensemble de rectangles en mousse. Je l’ajuste à ma taille. Je pensais être au summum du ridicule en étant nu avec mon bonnet de bain, j’ai franchis un nouveau cap.

- Mais comme il est mignon le petit baigneur ! Tiens, allonge-toi à plat ventre sur la table et montre moi comment tu fais la brasse.

Je la regarde interrogatif, le ridicule a des limites.

- Je n’ai pas été claire, je te rappelle que je ne me répèterai pas.

Je ne bouge toujours pas.

Elle ne dit rien, se retourne et s’apprête à avancer vers son ordinateur.

- Ok, ok, je vais faire la brasse…

Je m’allonge sur la table et commence à réaliser les mouvements attendus.

- Très bien, plus ample, il faut bien faire la grenouille.

Elle se positionne derrière moi et profite d’une vue imprenable sur mon intimité à chaque écartement de mes jambes.

- Mais c’est que t’es épilé ma salope, j’avais vu que ton petit zizi et tes petites coucougnettes n’avais pas de poils mais même ton petit trou est dégagé, ça donne plein d’idées ça. Allez, on écarte bien, on continue, je vais faire de toi une vraie championne de la brasse, tu vas pouvoir représenter la France en compétition, tiens, regarde… 

Elle s’approche d’une armoire métallique et en sort un petit fanion bleu blanc rouge en plastique d’une quarantaine de centimètres de haut. Souvenir certainement d’une quelconque manifestation sportive. Elle glisse la tige qui porte le drapeau dans sa bouche, repasse derrière moi et crie « allez championne » en m’enfonçant la tige humidifiée par sa salive dans l’anus.

- Hé mais ça ne va pas !

Elle m’appuie sur la tête en me disant  :

- Ta gueule, pense à respirer sinon tu vas boire la tasse ! 

Je continue de m’agiter maladroitement sur la table pendant qu’elle sort de mon champ de vision.

- Et une de plus pour ma collection, vive la France !

Je tourne la tête et la trouve derrière moi, son smartphone à la main.

- T’inquiète, t’es de dos avec ton magnifique bonnet, si une personne te reconnait ça sera uniquement grâce à ton cul patriote. Allez mets toi à quatre pattes maintenant et viens jusqu’à moi.

Elle se dirige vers le bureau en dandinant exagérément des fesses. Elle se penche en avant, se cambre et baisse son petit short découvrant son maillot de bain dont l’échancrure accentue les courbes de ses jolies fesses. Elle se retourne et enlève son t-shirt. Elle porte un maillot de bain de sport une pièce, bleu marine, sans fioriture. Elle prend appui sur le bureau en écartant les jambes.

- Lèche-moi le maillot.

J’approche tel un chien remuant sa queue tricolore. Je lève ma tête et la glisse entre ses cuisses. Elle m’attrape la tête et la plaque contre son sexe. L’odeur du lycra se mélange avec celle du chlore et de son intimité. Je commence à la lécher. Le tissu synthétique me râpe la langue et absorbe ma salive. J’essaye de ressentir le relief de ses lèvres en appuyant un peu plus. Son maillot devient de plus en plus humide, combinaison de ma salive et de son excitation. Elle repousse ma tête, se tourne et la plaque à nouveau contre ses fesses. Je comprends de suite ce qu’elle attend et reprends mes mouvements de langue. Je m’aventure sur le contour de son maillot et frôle la peau de sa fesse. 

- Pas touche, ça se mérite ! J’ai dit le maillot uniquement ! Bon de doute façon on va arrêter je suis toute trempée de ta bave maintenant. Tourne ta tête, ne me regarde pas.

J’oriente mon visage à l’opposé, je fixe le pied chromé de la chaise à côté de moi.

Je l’entends bouger. Elle reprend son t-shirt et son short tombés au sol et retire son maillot humide. J’observe l’esquisse de sa nudité dans le reflet imprécis du pied de la chaise. Cette séance de léchage contrainte et la deviner nue à proximité m’excitent énormément. Elle se rhabille, s’approche de moi et effleure mon sexe de son pied nu.

- Mais dit-moi, tu bandes mon cochon, c’est que tu sembles aimer ça de me lécher la chatte. Tu prends ton pied, t’es une véritable petite soumise. Montre moi ça, lève-toi et allonge-toi sur la table.

Je m’exécute. En effet mon sexe a pris une toute autre dimension, gorgé de sang mon membre est ultra tendu, très provoquant.

- Mais c’est très intéressant tout ça, ce n’est plus du tout le tout petit zizi d’enfant de tout à l’heure.

Elle se penche vers mon sexe, sa tête se baisse vers ma bite. Sa bouche s’approche délicatement de mon gland gonflé, prêt à exploser de désir. Je sens son souffle et la chaleur de son haleine sur mon extrémité. Mon désir est à son paroxysme, j’espère que je vais pouvoir tenir quand elle va me faire pénétrer sa bouche.

Elle s’arrête net et me regarde : 

- Tu verrais ta gueule !

T’as sérieusement cru que j’allais te sucer ?

Je crois que tu n’as pas bien compris le concept, c’est toi ma salope, hors de question que je te suce !

Je suis dépité. Mon sexe palpite d’excitation, du liquide pré-séminal s’écoule légèrement de mon gland.

- Ooooh, elle est triste sa petite bite, elle pleure. T’as envie qu’on utilise ta bite ? T’as envie de pénétration ? C’est ça ?

Je hoche la tête trop rapidement et trahi mon excitation.

- Allez, d’accord !

Elle fait un aller-retour à son bureau et revient avec un stylo Bic entre les doigts. Elle enlève le bouchon, place la pointe entre ses dents et sépare le corps du stylo de sa mine. Il ne lui reste plus que qu’un tube transparent entre les mains. Elle approche ce tube de mon sexe et l’effleure à différents endroits. Elle frotte et fait tourner doucement le corps du stylo sur mon frein. Je suis de plus en plus excité, c’est petits attouchements sont une douce torture. Le stylo est maintenant tout visqueux, lubrifié par le liquide qui sort de mon sexe. 

Elle attrape mon membre pour l’immobiliser et me fixe droit dans les yeux :

- Tu veux donc une pénétration ?

Je fais oui de la tête.

- Ok

Elle approche la pointe du tube de mon gland et joue avec l’entrée de mon urètre. C’est une sensation bizarre que je ne connaissais pas. La peau est très sensible à cet endroit. Je suis tellement excité que je crois que c’est agréable. Elle force doucement et soudain je sens le stylo qui s’enfonce de quelques centimètres dans ma bite. Une légère douleur me traverse, je sens ce corps étranger me pénétrer et contracte mon sexe pour l’expulser mais Zoé le maintien en place.

- C’est ce que tu voulais non, une pénétration avec ton sexe ? Allez ne bouge pas, on va comparer sa taille avec celle du stylo. On va peut-être pouvoir prouver que ta petite bite a tout d’une grande.

Sa main qui maintient mon sexe fait de léger mouvement de haut en bas. Elle me masturbe doucement, recouvre et découvre mon gland à plusieurs reprises. La sensation est très étrange, la stimulation est à la fois externe et interne avec ce tube présent dans le haut de mon urètre. Avec son autre main elle commence à effectuer le même mouvement avec le stylo qui bouge légèrement dans mon sexe. À chaque descente, elle l’enfonce un peu plus. Je gémis de désir ou de douleur, je ne sais plus, ma perception est très confuse, je me fais pénétrer, je découvre de nouvelles sensations, la stimulation interne est ultrasensible, je ferme les yeux et m’abandonne au mouvement de ce tube qui descend au plus profond de mon intimité.

- Bonne nouvelle, tu fais au moins la taille d’un stylo !

Je lève la tête et constate que le stylo a quasiment entièrement disparu dans mon sexe. Zoé le maintient d’un doigt et continue à stimuler mon gland en insistant sur le frein. Je sens que ça monte, mon sexe se contracte de plus en plus vite provoquant à chaque fois une légère douleur dans mon urètre. Je vais jouir, ça vient, pourvu qu’elle ne s’arrête pas maintenant, encore quelques va et viens, oui, vas-y , encore, putain vas-y, c’est ça, encore 4, 3, 2… Elle s’interrompt net. Elle maintient juste le tube immobile dans son emplacement. Je contracte mon sexe plusieurs fois mais n’atteint pas l’orgasme. Du sperme est remonté dans le tube, une goutte s’en échappe et coule le long de mon gland gonflé de désir. Elle saisit le haut de stylo entre son pouce et son majeur, bouche l’extrémité avec son index et le retire délicatement de mon urètre. La sensation est perturbante, j’ai l’impression d’uriner solide. Elle regarde le tube rempli de mon sperme.

- Nous voilà avec un bel échantillon. Ouvre la bouche et tire la langue.

J’écarquille les yeux pour manifester mon étonnement.

- Une vraie salope ça avale, allez dépêche toi.

J’entrouvre légèrement ma bouche et sors ma langue. Elle me pince le nez et tire ma tête en arrière.

- Mieux que ça.

J’écarte les lèvres. Elle libère mon nez, positionne le tube à une vingtaine de centimètres au dessus de ma bouche et lève l’index qui bouchait l’orifice. Le spectacle du sperme qui s’écoule du tuyau jusque dans ma bouche semble la satisfaire pleinement. Je découvre le goût subtilement salé de ma semence.

- Avale !

Je déglutis et sens le liquide visqueux couler le monde de ma gorge.

- Parfait, t’es une vraie chaudasse. Bon, maintenant qu’on est entre filles, un petit conseil de copine, c’est mieux d’aller pisser après la pénétration si tu veux pas te choper une cystite. En plus j’ai du boulot avant de fermer, faut que je passe le jet autour du bassin ludique. On va joindre l’utile à l’agréable, suis moi. 

Je me lève et commence à défaire ma ceinture de natation.

- Tu fais quoi là ? Tu m’as entendu dire : lève-toi et enlève ta ceinture ? Non, donc tu gardes cette magnifique ceinture qui souligne parfaitement tes hanches de petite pétasse et tu te remets à quatre pattes comme une bonne petite chienne. C’est l’heure de la promenade. 

Elle s’approche de la cagette de légumes que sa collègue lui a déposée tout à l’heure, attrape une carotte et la balance au sol.

- Tiens, un jouet pour ta promenade, va chercher ! 

Je la regarde, immobile.

Son hochement de tête en direction du légume me fait comprendre que ce n’est pas une option.

Je m’approche à quatre pattes de la carotte et la saisie entre les dents.

- C’est bien, t’es une bonne petite chienne bien dressée et obéissante. T’as mérité ta sortie, suis moi ! 

Je suis ma maître-nageuse ou plutôt devrais-je dire maintenant ma maîtresse jusqu’au bord du petit bassin.

- Allez, tu peux pisser maintenant !

Je la regarde interloqué, ma carotte dans la bouche.

- T’inquiète pas, je vais passer le jet, tu peux te lâcher. Tu fais comme tu veux, soit tu lèves la patte, soit t’écartes les jambes et tu baisses ton bassin comme une bonne petite chienne. 

Je reste bloqué. Même si je me décidais à uriner je n’y arriverai pas devant elle dans cette posture et cet accoutrement affligeant.

- Tu fais ta timide, t’es comme mon chien, tu ne veux pas qu’on te regarde. Bon, je vais brancher le tuyau d’arrosage et je reviens, profites-en pour faire ton petit pipi. 

Je la regarde s’éloigner. Je me concentre sur la sensation laissée après le retrait du tube de mon sexe. J’ai envie d’uriner mais je n’y arrive toujours pas. Vite, elle va revenir. Enfin, je sens le liquide arriver dans ma verge. Un filet jaune et tiède fini par sortir et s’écouler le long de mes jambes. Mon urètre étant légèrement gonflé après ce qu’il vient de subir, le jet d’urine n’a plus la précision habituelle et se répand n’importe comment. J’en ai partout. Je me suis littéralement pissé dessus.

J’entends éclater de rire derrière moi.

- Bah voilà ce qui arrive quand on écoute pas.Pour la peine tu vas rester comme ça dans ta pisse le temps que je nettoie autour du bassin, je terminerai par ton coin, ça t’apprendra. 

Elle s’éloigne et actionne le jet en direction opposée.

Je n’ose pas bouger, le liquide dégouline encore le long de mes jambes. Une flaque jaunâtre s’est formée sous mes genoux. Je baigne dedans. La sensation de tiédeur s’estompe. Je penche légèrement ma tête pour regarder le désastre entre mes jambes. Ma bite se rétracte de nouveau complètement, je commence à avoir froid. 

- Allez, à toi maintenant ! 

Je n’ai pas le temps de comprendre et de lever la tête, je me retrouve aspergé d’eau froide. Zoé dirige son tuyau sur l’ensemble de mon corp avec un léger mouvement saccadé qui me fouette la peau.

- Redresse-toi un peu, fait le beau ! 

Je me relève sur mes genoux et bombe le torse, ma carotte toujours dans la bouche.

- Voilà, c’est une bonne chienne ça.

Elle m’arrose le ventre et descend sur mon sexe. La force du jet me claque les couilles, je me mets en boule, les fesses en l’air, pour me protéger.

- Oh, la petite chochotte a eu bobo à ses petits bonbons. Ne bouge pas, t’es très bien dans cette position. 

Elle passe derrière moi et m’arrose le cul. Elle vise et insiste sur mon anus.

- Écarte tes fesses ! 

Je passe mes mains derrière et obéi. Je dois être lamentable à regarder.

- Ouais, super, c’est mieux.

Je sens la force du jet entrouvrir légèrement mon orifice. Le froid et la pression soumise à cet endroit précis provoque une sensation indéfinissable.

- Mais t’aime ça ma petite salope. T’aime bien que je te taquine avec mon gros tuyau.

Le jet s’arrête d’un coup. Zoé vient de tourner l’embout à l’extrémité du tuyau pour arrêter l’eau. Elle enjambe le tuyau et le fait dépasser au niveau de son sexe.

- Ça c’est une bite de bonhomme, viens sucer mon tuyau salope. 

Je lâche enfin ma carotte, m’approche toujours à quatre pattes et redresse ma tête pour regarder ce sexe factice qu’elle agite devant moi. Elle me pince le nez et me fourre l’embout du tuyau dans la bouche.

- Oui, c’est bon ça, bouffe ma grosse bite. 

Elle l’enfonce tellement que je recule par réflexe avec un léger haut le cœur.

- Tu préfères la douceur toi ma petite cochonne. Allez, lèche moi, suce moi, applique toi à faire jouir ma bite comme si c’était la tienne que t’avais dans la bouche. 

Je m’approche à nouveau et m’empare du membre en plastique, je ferme les yeux et imagine ce que j’aimerais ressentir sur mon propre sexe. Je passe ma langue le long de l’embout, le caresse, l’enfonce et le ressort, j’alterne douceur et accélération, j’utilise le plat ou la pointe de ma langue, mordille légèrement, effleure l’extrémité, reprend vigoureusement le membre au plus profond de ma gorge… le temps s’écoule sans que je m’en aperçoive, je suis trop concentré à essayer de ressentir ce que je procure à ce bout de tuyau.

- Stop, arrête, tu vas me faire jouir du tuyau ! Putain mais t’es une vraie salope ! T’as fais ça toute ta vie ? Je pensais être la reine des pipes mais là je viens d’être rétrogradée première dauphine ! Waouh, j’en suis toute retournée, tu m’as excité de ouf. 

Elle plonge sa main sous son short, la ressort et me l’enfonce dans la bouche en disant :

- Regarde, putain je dégouline, je suis toute mouillée.

Elle fait aller et venir ses doigts dans ma bouche, je goûte une nouvelle fois à l’odeur de son sexe. Elle retire sa main et me l’essuie sur le visage.

- J’en peux plus, faut que je te prenne ma petite chienne, baisse ta tête et écarte tes fesses comme tout à l’heure.

Elle passe derrière moi et appuie le tuyau sur mon anus. Instinctivement je me contracte. Elle force l’entrée sans succès, ses tentatives me font mal.

- Attends, tu ne vas pas me dire que t’as jamais joué avec ton petit trou ? C’est ta première fois ? T’es une petite pucelle ? On va faire ça doucement alors. C’est vraiment une grande journée découverte pour toi aujourd’hui, t’as de la chance !

Elle me tends l’embout devant le visage. 

- Tiens, crache dessus, je te conseille de bien le lubrifier ça sera plus facile pour toi.

Elle retourne ensuite dans mon dos, enduit mon anus avec la salive présente sur le tuyau et appuie de nouveau l’extrémité entre mes fesses.

- Écarte bien et pousse légèrement comme si tu voulais aller au toilette. Tu peux mordre dans ta carotte si tu veux.

J’appréhende, j’attrape la carotte au sol avec ma bouche. Je sens le plastique dur qui force contre mon anus, elle le fait tourner dans un sens et dans l’autre. Je serre les dents, ma salive s’écoule de ma bouche le long de la carotte. Elle insiste, je pousse un peu et soudain mes muscles abandonnent, l’objet me pénètre de plusieurs centimètres d’un coup. Je crie de surprise. 

- Et voilà, bienvenue chez vous, on va visiter un peu maintenant.

Elle fait des aller-retour en enfonçant à chaque fois un peu plus l’objet au fond de moi, elle crache dessus pour le lubrifier sans s’arrêter. Je sens l’extrémité appuyer par à-coup sur ce que je pense être ma prostate. Elle s’arrête soudainement, retire le tuyau, et le place devant mon visage. 

- Regarde ce que t’as pris dans le cul ma petite salope, c’est pas très gros mais pour un dépucelage tu t’es super bien débrouillée. C’est un bon début, je suis fière de toi.

Elle tourne l’embout d’un quart de tour afin qu’il laisse échapper un petit filet d’eau.

- Regarde, je fais comme toi, ma bite pleure de désir.

Zoé repasse derrière moi, passe une main entre mes jambes et la plaque sur mon ventre et de l’autre enfonce à nouveau le tuyau dans mon cul entrouvert. Je sens de l’eau froide s’écouler dans mon intestin.

- Voilà la suite du programme : dans quelques minutes tu vas avoir très très envie d’aller aux toilettes. Je te dirais exactement quand tu pourras. Ensuite tu prendras une douche en insistant bien sur ton petit trou de balle, je veux que tu sois tout propre quand tu me retrouveras dans mon bureau.

Le temps qu’elle me parle, l’eau continue de me remplir. Elle palpe régulièrement mon ventre. Je ressens un véritable inconfort, ça gargouille de plus en plus, je me sens lourd et très ballonné. Elle me palpe à nouveau, mon ventre est ultra tendu, je vais exploser.

- Voilà ma p’tite dame, je vous ai fait la pression, bonne route !

Elle tire d’un coup sec sur le tuyau qui s’éjecte de mon cul accompagné d’un petit jet d’eau. Je me relève difficilement, un nouveau jet s’échappe. Je contracte mes sphincters au maximum, je suis littéralement sous pression. Je pose mon majeur à l’entrée de mon cul pour servir de bouchon. Je ne peux pas prendre le risque de courir, je fonce à petits pas saccadés dans la direction des toilettes. Le parcours me semble durer une éternité. D’une main, je détache cette ceinture ridicule qui me compresse encore plus le ventre. Je rentre dans les premiers WC que je trouve, m’assois sans prendre le temps de fermer la porte et je lâche tout. Je me vide complètement dans un bruit d’eau épouvantable. J’ai l’impression de verser un saut dans la cuve, je dois perdre 3 kg  d’un seul coup. Je patiente un peu, me détend. Cette soirée est vraiment étrange, dans quel merdier je me suis fourré ? Je me relève et me dirige vers les douches. J’enlève mon bonnet de bain et appuie sur le robinet. L’eau chaude couvre mon corps, je me savonne et nettoie avec attention mon sexe et mon anus pour respecter la consigne de… ma maîtresse.

J’arrive complètement nu et dégoulinant devant sa porte. Zoé est assise à son bureau elle semble bricoler un objet indéterminé, un cutter à la main.

- Alors, ça fait du bien d’être toute propre ? Sèche toi, mets-toi devant le bureau.

Je hoche la tête. M’approche du bureau, attrape la serviette posée sur la chaise et commence à me frotter. Je la regarde attentivement pour la première fois. Ses cheveux bruns sont plus ondulés. Elle a dû profiter de mon absence pour aussi prendre une douche. Ses cheveux sont toujours attachés mais de manière plus souple, lui donnant un air moins stricte. C’est une très belle jeune femme, une petite trentaine au maximum. Des petits seins biens dessinés qui pointent légèrement sous son t-shirt blanc « maître-nageur ».

Je ne sais pas ce qu’elle est en train de bricoler. Elle tient dans une main un capuchon rose d’environ 3 cm de haut et un peu moins de large, qui provient certainement du déodorant posé à proximité. Sur ce capuchon sont fixés fermement, avec un scotche rouge qui l’entoure complètement, deux élastiques qui pendouillent de chaque côté. Elle termine son ouvrage en réalisant une petite entaille de quelques millimètres dans le bouchon. Elle pose son cutter et agite devant moi sa réalisation.

- T’as de la chance, on a un très mauvais budget matériel à la piscine, du coup je suis devenue une super bricoleuse pour réparer nos équipements. Du coup, en attendant de t’en offrir une vraie, voilà ce que je t’ai fabriqué. Tu vois ce que c’est ? 

J’essaye un brin d’humour : 

- Un casque de Barbie ? 
- Mais c’est très drôle ça, j’adore !

Elle se lève, contourne le bureau, se penche sur mon sexe.

- C’est presque ça, c’est bien un petit casque mais la seule partie de ton corps qui peut tenir dans un si petit espace ce n’est pas ta tête mais… ta toute petite zigounette.

Elle pose le capuchon sur mon sexe, le fait entrer entièrement à l’intérieur puis fait passer un premier élastique derrière mes couilles avant de le fixer sur le bouchon. Elle exécute la même manipulation dans l’autre sens avec le deuxième élastique.

- Et voilà, c’est parfaitement à ta taille. T’es mignonne comme tout avec ça !

Mon sexe est compressé dans cette cage et la tension des élastiques sur la peau de mes testicules n’est pas des plus agréable.

- Mets toi à genoux. Bon, tu m’as prouvé que tu étais une belle salope, une suceuse hors pair, maintenant on va voir ce que tu vaux comme gouine. Et comme t’as été très obéissante jusqu’à maintenant, tu as le droit à une récompense… ma chatte !

Elle s’avance vers moi jusqu’à me toucher le nez avec son petit short rouge. 

- Baisse mon short ! 

Je m’exécute, attrape son short et le fait descendre doucement le long de ses jambes plutôt musclées jusqu’à ses fines chevilles dont l’une porte une petite chaînette argentée.

Je relève ma tête et découvre la peau blanche de son pubis habillée d’une légère toison de poils clairs dont les contours sont parfaitement dessinés.

Elle lève une jambe puis l’autre pour se libérer définitivement de son short, recule légèrement pour appuyer ses fesses sur le bord de son bureau et écarte délicatement ses jambes me laissant découvrir son sexe offert et le magnifique spectacle de ses lèvres fines et rosées légèrement humides.

- Lèche ma teuch p’tite gouinasse !

J’approche mon visage de son sexe, je retrouve son parfum intime que je commence à connaître. Une légère fragrance de gel douche confirme ma déduction préalable. Son clitoris apparent légèrement gonflé et ses lèvres moites trahissent son excitation. Je vais la faire languir un peu. Je commence à lécher doucement les contours extérieurs de son sexe, la peau moite de l’aine, l’intérieur du haut de ses cuisses. Quand je passe d’un côté à  l’autre, je souffle légèrement sur l’humidité de sa vulve. J’entends sa respiration qui me confirme que ces stimulations font leur effet, qu’elle en veut plus et qu’elle commence à s’impatienter.

J’aventure ma langue entre ses lèvres et les effleures en remontant doucement. Je termine mon mouvement en frôlant le clitoris. Le petit gémissement qui s’échappe discrètement de sa bouche me confirme que je ne me débrouille pas trop mal. Je passe de nouveau ma langue à différents endroits autour de son sexe puis de nouveau au milieu en m’enfonçant un peu plus entre ses lèvres et en appuyant de manière un peu plus prononcé sur son clitoris. Je recommence plusieurs fois en insérant chaque fois ma langue un peu plus loin. Elle pose ses mains plus en arrière sur le bureau et se cambre pour me tendre sa chatte. J’en déduis qu’elle veut continuer. J’embrasse plusieurs fois son clitoris, le titille subtilement avec le bout de ma langue puis le saisie entre mes lèvres et l’aspire doucement. Elle m’attrape par les cheveux, j’accentue mes mouvements de succions. Sa respiration saccadée et ses gémissements furtifs me laisse penser qu’elle commence à perdre le contrôle. D’un coup elle repousse mon visage avec ses deux mains.

- Pause ! C’est pas mal du tout, t’es douée. C’est autre chose que mes ex qui utilisaient leur langue comme une bite ou qui me léchait comme un esquimau ! Mais on va aussi s’occuper un peu de ta chatte maintenant. Va t’allonger sur le dos, sur la table, j’arrive.

Je me relève et me dirige vers la table. Je me retourne pour m’asseoir dessus avant de m’allonger. Zoé est de dos, légèrement accroupie, penchée sur son sac posé au sol à côté de son bureau. Dans cette posture, son t-shirt blanc et remonté dans le bas de son dos, laissant ses fesses complètement nues. « Magnifique », c’est le mot qui me vient naturellement à l’esprit. Mon regard n’arrive pas à se détacher de cette vision irréelle. Elle finit pas se retourner : 

- Tu fais quoi là ? Tu me mates le cul ?

Je m’allonge rapidement, honteux d’avoir été pris dans cette situation.

Zoé s’approche de moi, dépose une petite bouteille jaune sur la table et me tends une courgette issue de la cagette de sa collègue.

- Tiens goûte ça c’est du bio ! Tu pourras remercier les beaux-parents de Sandrine. 

Elle essaye de me l’enfoncer dans la bouche mais le diamètre est trop important pour qu’elle pénètre sans me déboîter la mâchoire.

- Ok, ça ne passe pas dans ce sens là. Et dans l’autre ? 

Elle retourne le légume et me le présente à nouveau. Le diamètre est inférieur mais reste suffisamment important pour occuper toute ma bouche. J’ai des difficultés à respirer.

- Ça c’est une vraie bite, c’est quand même autre chose que ton petit oiseau dans sa cage rose.

Elle essaye de bouger la courgette dans ma bouche mais le manque de place rend cette manœuvre impossible. 

- Si tu ne veux pas faire plaisir à ma bite avec ta bouche, on va utiliser ta chatte.

Zoé retire le légume de ma bouche et le pose sur la table. Je respire plus facilement.

- Tu voulais mater mon cul et bien je te propose une vue imprenable.

Elle monte sur la table et se positionne à califourchon au dessus de moi, sa tête au dessus du capuchon rose enfermant ma bite. Elle recule ses fesses au dessus de ma tête et pose son sexe au niveau de ma bouche. 

- Allez action, bouge ta langue !

Je reprends les mouvements de langue qui l’excitait il y’a quelques minutes.

- Plie tes jambes ! 

Je ramène mes pieds vers mes fesses. Elle m’attrape l’intérieur des genoux qu’elle ramène en arrière puis passe ses bras entre mes jambes en les écartants. Je me retrouve les pieds en l’air, les cuisses écartées, le cul complètement offert.

Elle bouge son bassin et se redresse légèrement pour glisser ses fesses sur mon visage.

- Lèche moi le cul petit salope !

Je remonte ma langue sur la face interne de sa fesse gauche puis recommence sur celle de droite. Je m’aventure quelques centimètres sous son coccyx.

- Mieux que ça bordel, encule-moi avec ta langue !

J’avance timidement ma langue vers son orifice. Les restes de parfum de gel douche sur sa peau sont couverts par un odeur plus forte de transpiration. La pointe de ma langue s’aventure plus en avant. 

Je l’entends cracher et sens sa salive couler le long de mon périnée.

- Allez, comme ça !

Elle enduit son doigt et me l’enfonce sans ménagement dans l’anus.

Surpris, ma langue avance plus profond par mimétisme.

- Voilà, c’est ça que je veux, continue, je vais te donner le rythme.

Elle m’enfonce un deuxième doigt et initie un mouvement de va-et-vient.

Je m’adapte à son rythme en le reproduisant avec ma langue.

Elle crache à nouveau et joint un troisième doigt à son mouvement. Mes muscles sont soumis à une dilatation inhabituelle. Le visage enfoui entre ses fesses, je suis coupé du monde extérieur. Le tempo qu’elle m’impose, la concentration nécessaire pour le reproduire, les sensations synchronisées entre mon cul et ma langue, m’entraînent dans une sorte de transe. Je m’aperçois que j’éprouve du plaisir mais je commence à faiblir, ma mâchoire est endolorie. Elle s’arrête soudainement retire ses doigts et libère mon visage.

- Je pense qu’elle est prête maintenant.

Elle saisie la courgette, tend son bras en arrière et présente la partie la plus fine du sexe végétal à l’entrée de son vagin. Après quelques petites tentatives elle l’enfonce profondément. 

- Hummm, tu vas adorer.

Elle retire le légume humide de sa chatte et le positionne sur mon petit trou. Je comprends maintenant son objectif initial. Malgré son travail préalable de dilatation, je sens que je ne suis pas prêt à me faire prendre par un accessoire de cette taille. Mais Zoé ne me demande pas mon avis, elle appuie l’engin sur mon anus, le fait tourner, crache dessus pour compléter la lubrification déjà apportée par son vagin. 

- Pousse ma salope, sinon tu vas le regretter.

Je contracte mes abdominaux, respire, essaye de détendre mes sphincters. J’accompagne son mouvement, soudain le passage cède. La tête du légume pénètre dans mon corps. Sa partie centrale étant plus fine, mon cul l’absorbe directement en essayant de se refermer. Les 3/4 de la courgette se retrouve en moi en quelques secondes.

- Mais quelle gourmande, tu fais ta petite pucelle mais tu adores ça en fait.

Elle agite son engin dans mon fourreau. Je redoute à chaque mouvement le moment où la tête devra ressortir et m’écarteler à nouveau.

L’image d’un gros black en train de m’enculer me traverse l’esprit, à chaque coup de rein sa grosse bite frappe contre ma prostate et provoque des soubresaut dans mon sexe. Je chasse vite cette image de mon esprit et me concentre sur les fesses de ma maîtresse qui s’agite devant moi. Petit à petit la pression exercée par mon anus sur ce membre artificiel se relâche. Ma maîtresse semble malheureusement s’en apercevoir aussi. Elle le retire sans sommation sur un dernier mouvement. 

- T’es déjà trop large, tu ne vas pas prendre ton pied comme ça.

Je ne partage pas du tout cette analyse mais mon avis ne semble pas être un sujet pour elle.

Elle descend de la table.

- Mets-toi accroupi. Allez, bouge.

J’obéis, je prends appui sur mes pieds et plie mes jambes, les fesses en arrière. Ma cage laisse s’échapper un filet translucide traduisant l’excitation de mon sexe malgré son emprisonnement.

- Tu mouilles ma cochonne, t’aime te faire défoncer la chatte par une grosse bite. On vas te faire prendre ton pieds, tu vas jouir comme jamais. Tu vas te souvenir de ton dépucelage. On va commencer par libérer ton petit clito.

Elle attrape un des élastiques maintenant ma prison en place et le lève pour libérer le capuchon. Elle le lâche d’un coup. L’élastique fait un tour et claque sur de mes couilles. Avant que j’ai le temps de réagir le deuxième suis le chemin inverse en provoquant le même effet. Le petit couvercle rose tombe sur la table libérant enfin mon sexe flétri tout rabougri.

- J’avais déjà oublié à quel point elle est minuscule.

Elle présente la courgette à côté de mon penis. La comparaison parfaitement injuste accentue le ridicule des proportions de mon sexe.

- Y’a rien qui te choque ? Tu constates l’écart entre la taille de ton truc et celle d’une bonne grosse bite ? Et vu comment ton machin suinte tu ne peux pas nier que c’est quand même autre chose de se faire prendre par un membre digne de ce nom !

Je ne prends pas le risque de la contredire et hoche la tête pour acquiescer.

- On va le faire cracher de plaisir ton petit oiseau.

Elle attrape la petite bouteille qu’elle avait préalablement posée sur la table.

- C’est de l’huile pour mes cheveux, ça devrait le faire. Au pire tu auras un petit trou du cul soyeux. Enfin soyeux c’est sûr, petit c’est moins certain.

Elle incline doucement la bouteille au dessus de la courgette. Elle laisse couler délicatement un fin filet d’huile qu’elle fait tournoyer avec souplesse pour couvrir un maximum de surface du légume en insistant sur la partie la plus large, celle que je n’avais pas réussi à prendre dans ma bouche. 

Une fois couverte d’huile, elle vient ensuite frotter la courgette entre mes fesses pour repartir le liquide visqueux et lubrifier mon orifice. Elle fini par la poser debout, en érection sur la table, en la tenant de ses deux mains et glisse, juste sous mon trou encore dilaté, la partie la plus large de l’objet.

- Ce côté ne rentrait pas dans ta bouche pour le sucer mais maintenant que je t’ai préparé tu vas pouvoir le gober avec ton cul de petite salope. Allez, empale toi là-dessus, fais-toi plaisir.

Je descend mon bassin avec précaution. Je sens le diamètre provoquant du légume qui entre en contact avec la face intérieure de mes fesses. C’est disproportionné et complètement inadapté à ce qu’elle envisage de me faire faire. Mon anus s’appuie sur cette surface visqueuse, s’élargit à son maximum mais refuse la pénétration. Je m’immobilise accroupi, les bras sur les genoux, le cul en appui sur ce pilier menaçant.

- Tu fais encore ta timide !  Pas à moi, je sais que t’en veux plus. Lâche toi, passe tes mains derrières !

Je courbe mon dos et place mes mains en retrait, en appuies sur la table. Ce mouvement m’enfonce un peu plus sur le pieu.

- C’est mieux. Je vais t’aider.

Elle tourne, incline et pousse plusieurs fois le membre. Mon orifice s’étire comme jamais, ça ne passera pas. Et puis soudain le passage cède, je m’embroche littéralement sur ce mat. Je me sens comme aspirer de l’intérieur, mes jambes tremble, l’objet rempli intégralement mon intérieur.

- Ouiiiii !!! Bravo !!!

Mon sexe bave mais reste ridiculement petit, toute les sensations de mon corps étant concentrées sur mon anus. Je n’ose pas bouger.

- Allez, montre moi comment tu chevauches ce gros membre de mal dominant.

Je pousse difficilement sur mes jambes, force avec mes bras pour éloigner un peu mes fesses de la table. La sensation est complexe, le légume est tellement gros que j’ai l’impression qu’il ne fait qu’un avec moi. Je me concentre sur le contact avec ma prostate. J’initie de petits mouvements du bassin afin d’ajuster cette stimulation intérieure. Mes gestes son de plus en plus précis provoquant une sensation curieuse qui parcourt aussi mon sexe. Il se met de nouveau à baver mais cette fois-ci le liquide n’est plus transparent mais laiteux. Un écoulement de sperme sort de ma bite sans que je jouisse.

- Je le savais, t’es une putain de grosse cochonne. T’es en train de kiffer de te faire prendre par cette grosse bite comme une belle petite soumise que tu es.

Ça vulgarité m’excite, je continue mes mouvements et provoque un nouveau ruissellement de sperme. Je ne me reconnais pas. Je suis humilié, nu sur une table, empalée sur une courgette, le cul explosé devant une femme que je ne connais pas et… j’aime ça.

- Ça te fait de l’effet, t’aimes ça être une lopette. Ferme tes yeux et caresse-toi le clito avec un doigt.

J’obéis. J’essaye de caresser mon sexe qui glisse à chaque appui de mon doigt.

- Celle-là aussi elle est collector ! Ça va nous faire un bel album.

J’ouvre les yeux et me retrouve face à son smartphone braqué sur mon entrejambe.

- T’as du mal à te caresser, t’as un petit clito rebel. Allez, on va s’en occuper tu l’as bien mérité. Relève-toi et enlève moi ça de ton cul.

J’appréhendais ce moment, il va falloir ressortir le légume. Je rebascule vers l’avant, me mets à quatre pattes et d’une main je l’attrape pour le tirer vers l’extérieur et me libérer de ce membre intrusif. L’affaire n’est pas simple, je contracte mon périnée, je pousse et accompagne cet exercice fastidieux en tournant et tirant avec ma main. Enfin je l’expulse. J’ai l’impression d’avoir accouché, le gros bébé se porte bien, la maman doit se reposer. J’ai envie de m’effondrer sur la table. Mais ma sage-femme ne le voit pas de cette façon.

- T’as le cul explosé ! Je pense que je pourrais mettre ma main entière dedans sans problème. Bon, descends de la table et mets toi à genoux parterre on va s’occuper de ta p’tite bitounette pour te récompenser de ta servitude.

Je descend difficilement de la table. Je sens le vide au milieu de mon anus qui ne se referme pas complètement. Je m’agenouille aux pieds de Zoé et lève les yeux au niveau de son pubis. Elle enlève son t-shirt blanc et je découvre enfin ses petits seins ferment aux tétons agressifs. 

- Branle-toi en me matant ! Mais uniquement avec 2 doigts, t’as pas besoin de plus.

Je regarde son corps, ses courbes, ses chevilles fines, ses cuisses galbées, ses hanches, son sexe encore humide, l’esquisse de ses abdominaux, son nombril parfaitement dessiné, la blancheur de ses seins, ses mamelons légèrement bombés, sa bouche entrouverte et ce regard hautain et dominateur. Chaque parcelle de son physique m’excite. Je saisie mon bout entre mon pouce et mon index et commence à m’astiquer. Elle ondule devant moi, me montre ses fesses, soupèse ses seins, écarte ses cuisses, caresse son sexe en l’approchant de mon visage. Je vais de plus en plus vite, je désire commence à monter dans ma verge qui se gonfle et prends des proportions plus normales. Elle palpe le dessous de mes couilles avec un pied. 

- Lâche ta bite. Lève-toi, je vais te branler.

Je me mets rapidement sur pieds, impatient de sentir sa main sur mon sexe grandi.

Elle m’attrape et commence un va-et-vient frénétique, très, trop rapide. Je vais jouir. Elle s’arrête. Attends un peu et recommence au même rythme. Elle reproduit cette alternance 5 ou 6 fois. Puis elle me masturbe très lentement, caresse les contours de mon gland, s’attarde sur mon frein, roule rapidement le plat de sa main de nouveau sur mon gland. Je n’en peux plus, cette rupture de rythme est insupportable, je sens le sperme s’accumuler dans mon membre, il faut que je gicle. Elle reprend une masturbation à un rythme plus agréable. L’excitation monte, chaque mouvement me rapproche de la jouissance, ma respiration s’accélère, je vais enfin jouir après tant de stimulation, je vais venir, je viens… Elle s’arrête et me lâche juste avant que j’explose. Elle recule sa main et regarde ma bite qui tressaille de désir mais qui est encore au bord du plaisir. Elle me sourit, me fixe dans les yeux et finalement mon sperme sort par petites saccades. Il dégouline le long de ma verge jusque sur mes couilles. J’éjacule en quantité mais sans intensité, sans réel plaisir, mon orgasme est gâché par cette interruption soudaine.

Zoé attrape ma serviette sur une chaise et me la jette à la figure.

- Allez, va te rhabiller, je t’attends à la sortie des vestiaires, il commence à être tard, il faut que je ferme la piscine.

C’est donc comme ça que ça se termine. Elle me laisse complètement frustré après m’avoir utilisé toute la soirée. J’essuie le sperme au sol puis mon entrejambes et rejoins les vestiaires pour récupérer mes affaires et m’habiller.

Zoé m’attend à la sortie.

- C’était une belle soirée. Je ne travaille pas jeudi, passe prendre l’apéro en soirée.
- Heuuu… je ne peux pas, j’ai déjà un rdv de programmé.
- Ce n’était pas une question ! Allez, à jeudi, je t’envoie mon adresse par sms, j’ai chopé ton numéro sur ton profil LinkedIn.



À suivre…

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Merci pour ce récit et pour les précisions quant à sa part de fiction, nécessaires à la lecture de certains commentaires.
J’ai adoré. C’est original, bien écrit et excitant.
Vivement un prochain récit, ou la suite.

Histoire Erotique
j adore vivement la suite

Il semble nécessaire de préciser que ce récit n’est que pure fiction. Aucune bite n’a été mal traitée au cours de sa rédaction. Les scènes d’actions (fictives) ont été réalisées par des professionnels (imaginaires). Nous vous demandons expressément de ne pas essayer de les reproduire chez vous (au même titre que nous vous déconseillons vivement de sauter par la fenêtre après avoir regardé superman ou encore de jouer avec de l’azote liquide pour essayer d’imiter la reine des neiges). L’auteur décline toute responsabilité en cas de non respect de ces consignes.

Histoire Erotique
Nul dangereuse dslope prison direct

Wouahou ! Quelle imagination ! Perso j’aurais préféré un maître nageur, mais j’ai quand même joui avant la fin du récit. Bravo !

Histoire Libertine
Elle ne mérite pas de suite du tout : chantage et soduretre sous entendu sodomie de l’urètre !!!
Ça équivaut à 1 tour aux urgences. Mettre 1 truc dans 1 bite sous forme de chantage c’est limite du viol donc c’est totalement inapproprié.

Histoire Erotique
Bonjour ; belle histoire bien écrite et qui permet d’obtenir l’effet souhaité . Elle mérite une suite
Bravo



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