La mère d'Aline
Récit érotique écrit par Petikokin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-02-2006 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La mère d'Aline
LA MÈRE D’ALINE (5)
L’histoire que vous allez lire est rigoureusement vraie. Seuls les noms et prénoms des personnes et des lieux ont été changés. Elle se passe au début des années 60.
Depuis quelques mois j’avais des relations intimes avec Michèle notre voisine. Aline, la fille de la pharmacienne du village, nous procurait des préservatifs et participait à nos ébats (lire : Aline)
Un dimanche, Michèle ayant eu un empêchement je me suis retrouvé seul avec Aline dans notre « coin d‘amour » pour un après-midi de plaisirs.
Comme moyens contraceptifs, nous utilisions des préservatifs. Mais ce jour là Aline voulait connaître la différence sans cette protection. Pour éviter d’être enceinte, elle avait pris un flacon de gel spermicide dans l’officine maternelle. Quelques jours après, je croisais Aline en compagnie de sa mère. Elle cherchait à m’éviter. Je commençais à me poser des questions quand elle réussit à me confier : « Ma mère a découvert « le vol » du flacon et s’est aperçue que j’ai trouvé la cachette de ses revues médicales et érotiques… Si je n’avoue pas avec qui je les utilise, je resterais en pension jusqu’aux grandes vacances et serai privée de sorties pendant celles-ci ».
Une telle punition était très sévère mais l’âge de la majorité étant 21 ans et par respect pour ses parents, Aline ne pouvait se « rebeller ».
Je la rassurais, lui « remontait le moral », disant que de toute façon sa mère n’allait pas faire publier que sa fille avait des relations sexuelles cachées…. Je lui dis que j’assumerai le risque d’être « dénoncé » comme le garçon « coupable » mais que nous ne devions pas parler de la participation de Michèle.
C’est ainsi qu’un dimanche après-midi je me retrouvais en tête-à-tête avec Madame la pharmacienne. 45 ans environ, grande, brune, le regard perçant, elle m’intimide. Vêtue d’une robe longue (à mi-mollets), boutonnée sur le devant, au décolleté échancré… Aline est absente... Son père est sorti avec ses amis chasseurs ou pécheurs
Assis chacun dans un fauteuil, l’interrogatoire commence :
« Alors c’est toi qui fait l’amour avec ma fille ?
- (hochement de la tête pour répondre)
- Tu l’aimes au moins ?
- Oui, un peu
- Comment ça un peu ! ! !
- On commence à se connaître…
- Mais vous ne perdez pas de temps… Vous vous connaissez à peine que déjà vous couchez ensemble… Et si vous faites un bébé, qui sera responsable ? …Tes parents ? , Nous ? … Vous avez pensé aux conséquences ? ? ?
- …. »
« L’engueulade » dura quelques minutes ou la morale, la religion, les rumeurs, la différence d’âge, et bien d’autres choses sont invoquées. Tout en parlant, je vois que Madame croise et décroise ses jambes. Elle se lève, fait quelques pas puis revient s’asseoir en laissant sa robe découvrir un peu plus ses genoux. Le bas de sa robe s’ouvre de plus en plus dévoilant des cuisses fermes et bien bronzées. Elle se penche de temps en temps pour ramasser au sol une miette imaginaire. Ainsi ses seins tendent le tissu et veulent « prendre l’air ». Je vois bien qu’elle s’énerve, que son visage devient rouge, ses mains tremblent un peu.
Je pense que ce changement d’attitude est du à une colère difficilement maîtrisée. Soudain elle me demande :
« Comment vous faites l’amour ? … Je voudrais bien savoir ?
_Mais, Madame, … cooo…comme tout le monde… bégayais-je
_ Comment ça comme tout le monde ? … Couchés, elle dessous ou le contraire ? Debout contre un mur ? Assis sur un fauteuil ou sur une table ? Tu pourrais me dire ? »
Sous ce déluge de questions, je devais être rouge de honte et d’intimidation de la tête aux pieds. Je restais muet. Mais il y avait un moment que, par son attitude et ce qu’elle découvrait de son corps, ma verge ne restait pas insensible à ses charmes. J’ai du mal à cacher mon érection. Elle a vu la bosse de mon pantalon et la tâche d’humidité qui apparaissait.
« - Pourquoi tu ne réponds pas ? Tu as vu ton pantalon comme il est gonflé ? Tu dois avoir une belle queue bien raide. Allons, laisse-moi toucher… »
Joignant le geste à la parole elle met sa main sur ma braguette. Comme je suis encore assis, elle est obligée de se pencher. J’ai son décolleté face à mes yeux. Je remarque qu’elle n’a pas de soutien gorge.
Elle me fait lever tout en malaxant mon sexe à travers le pantalon. De l’autre main elle s’occupe à défaire la ceinture et les boutons. Je n’ose pas bouger… Je me retrouve avec un pantalon et un slip autour des chevilles. Mon tee-shirt passe par-dessus ma tête comme par enchantement. Je suis nu…
« Tu attends quoi pour me déshabiller ? Tu connais le proverbe qui dit : « si tu veux avoir la fille il te faut d’abord prendre la mère ? »
Je ne peux pas répondre car sa bouche vient de se plaquer contre la mienne. Sa langue s’enroule autour de la mienne. Je défais les boutons de sa robe, fais glisser le tissu et le vêtement se retrouve à terre. Je reste littéralement pétrifié : Elle est nue, pas de soutien gorge, pas de slip ou de culotte. Elle me prend une main pour la poser sur son sexe bien velu dégoulinant de mouille. Elle me guide dans des mouvements circulaires, montants et descendants. Un, puis deux de mes doigts se sont introduits entre ses lèvres intimes. Je sens son clitoris gonflé et tendu, aussi dur qu’un morceau de bois. Sa respiration s’accélère, elle gémit et râle de plaisir. De son sexe coule un petit torrent de cyprine le long de ses cuisses. Nous nous sommes couverts mutuellement de petits baisers. En descendant, je me suis attardé un moment sur ses seins, elle sur mes tétons. Dans un même mouvement nous nous sommes accroupis sans que nos mains cessent leur travail. L’une des siennes va et vient sur ma verge, l’autre s’occupe de mes testicules. L’une des miennes est dans sa « grotte d’amour », l’autre malaxe ses seins et titille ses mamelons. Nous nous sommes retrouvés allongés sur la moquette et dans la bonne position pour un 69 particulièrement excitant. La main qui s’occupe de ma queue glisse vers mes testicules et sa bouche masturbe mon membre gonflé à bloc. Sentant venir l’éjaculation, je veux l’écarter mais, d’un signe de tête, elle refuse. Toute ma semence se trouve donc éjectée au fond de sa gorge et avalée goulûment. Ma langue s’active sur son clitoris et deux doigts dans son vagin bien lubrifié. Quelques coups de langue après elle jouit en un puissant orgasme. Reprenant notre calme, elle me propose à boire, le champagne était au frais. Je réalise que je suis tombé dans une vraie embuscade tendue par une femme mure dont les plaisirs du sexe ont peu de secrets. Elle me donne des conseils pour améliorer mes caresses, et comment donner un maximum de plaisir à une partenaire. Toujours nus, nous avons bu et grignotés quelques gâteaux. Voulant me rhabiller, Madame me dit : « Reste à poil, nous allions passer aux choses sérieuses ».
Mon sang ne fit qu’un tour car j’avais un peu oublié que j’étais venu pour me faire reprocher d’avoir fait l’amour avec sa fille, et je réalise tout à coup que la sentence n’avait pas été prononcée pour ce délit.
« Tu comprends bien que j’ai l’occasion de m’envoyer en l’air avec un petit jeune, alors je vais en profiter… »
Cela dit, elle reprend en main mon sexe qui n’attendait que ça, elle guide une de mes mains sur le sien, l’autre sur sa poitrine et me dit : « Maintenant fais-moi voir ce que tu sais faire ».
Nous nous sommes allongés, nous nous sommes masturbés mutuellement, nos bouches mordillant tout ce qu’elles pouvaient. Au comble de l’excitation, elle me demande de la pénétrer ce que je fais sans tarder. Elle me dit que je pouvais « décharger dedans car elle ne risquait pas avoir de bébé ». Très vite nous avons jouis ensemble d’un orgasme merveilleux. Quelques caresses plus tard, avant de se quitter, elle m’avoue qu’il y avait longtemps qu’elle n’avait eu autant de plaisir. Elle veut bien que j’en donne aussi à sa fille à condition de prendre toutes les précautions nécessaires pour éviter une grossesse. Nous ne devions pas hésiter à venir lui demander des conseils en cas de doutes. Nous serons approvisionnées en préservatifs autant que de besoin. Mais mes relations avec Aline ne doivent se poursuivre que pour le plaisir et notre initiation car elle a des idées précises concernant le futur mari de sa fille. Je devrais aussi répondre présent, de temps en temps, quand elle aurait envie de « s’envoyer en l’air avec un petit jeune». Enfin nous nous sommes séparés en nous promettant de rester très discrets sur nos relations... En cadeau, j’eu droit à une douzaine de préservatifs…
(A suivre…)
L’histoire que vous allez lire est rigoureusement vraie. Seuls les noms et prénoms des personnes et des lieux ont été changés. Elle se passe au début des années 60.
Depuis quelques mois j’avais des relations intimes avec Michèle notre voisine. Aline, la fille de la pharmacienne du village, nous procurait des préservatifs et participait à nos ébats (lire : Aline)
Un dimanche, Michèle ayant eu un empêchement je me suis retrouvé seul avec Aline dans notre « coin d‘amour » pour un après-midi de plaisirs.
Comme moyens contraceptifs, nous utilisions des préservatifs. Mais ce jour là Aline voulait connaître la différence sans cette protection. Pour éviter d’être enceinte, elle avait pris un flacon de gel spermicide dans l’officine maternelle. Quelques jours après, je croisais Aline en compagnie de sa mère. Elle cherchait à m’éviter. Je commençais à me poser des questions quand elle réussit à me confier : « Ma mère a découvert « le vol » du flacon et s’est aperçue que j’ai trouvé la cachette de ses revues médicales et érotiques… Si je n’avoue pas avec qui je les utilise, je resterais en pension jusqu’aux grandes vacances et serai privée de sorties pendant celles-ci ».
Une telle punition était très sévère mais l’âge de la majorité étant 21 ans et par respect pour ses parents, Aline ne pouvait se « rebeller ».
Je la rassurais, lui « remontait le moral », disant que de toute façon sa mère n’allait pas faire publier que sa fille avait des relations sexuelles cachées…. Je lui dis que j’assumerai le risque d’être « dénoncé » comme le garçon « coupable » mais que nous ne devions pas parler de la participation de Michèle.
C’est ainsi qu’un dimanche après-midi je me retrouvais en tête-à-tête avec Madame la pharmacienne. 45 ans environ, grande, brune, le regard perçant, elle m’intimide. Vêtue d’une robe longue (à mi-mollets), boutonnée sur le devant, au décolleté échancré… Aline est absente... Son père est sorti avec ses amis chasseurs ou pécheurs
Assis chacun dans un fauteuil, l’interrogatoire commence :
« Alors c’est toi qui fait l’amour avec ma fille ?
- (hochement de la tête pour répondre)
- Tu l’aimes au moins ?
- Oui, un peu
- Comment ça un peu ! ! !
- On commence à se connaître…
- Mais vous ne perdez pas de temps… Vous vous connaissez à peine que déjà vous couchez ensemble… Et si vous faites un bébé, qui sera responsable ? …Tes parents ? , Nous ? … Vous avez pensé aux conséquences ? ? ?
- …. »
« L’engueulade » dura quelques minutes ou la morale, la religion, les rumeurs, la différence d’âge, et bien d’autres choses sont invoquées. Tout en parlant, je vois que Madame croise et décroise ses jambes. Elle se lève, fait quelques pas puis revient s’asseoir en laissant sa robe découvrir un peu plus ses genoux. Le bas de sa robe s’ouvre de plus en plus dévoilant des cuisses fermes et bien bronzées. Elle se penche de temps en temps pour ramasser au sol une miette imaginaire. Ainsi ses seins tendent le tissu et veulent « prendre l’air ». Je vois bien qu’elle s’énerve, que son visage devient rouge, ses mains tremblent un peu.
Je pense que ce changement d’attitude est du à une colère difficilement maîtrisée. Soudain elle me demande :
« Comment vous faites l’amour ? … Je voudrais bien savoir ?
_Mais, Madame, … cooo…comme tout le monde… bégayais-je
_ Comment ça comme tout le monde ? … Couchés, elle dessous ou le contraire ? Debout contre un mur ? Assis sur un fauteuil ou sur une table ? Tu pourrais me dire ? »
Sous ce déluge de questions, je devais être rouge de honte et d’intimidation de la tête aux pieds. Je restais muet. Mais il y avait un moment que, par son attitude et ce qu’elle découvrait de son corps, ma verge ne restait pas insensible à ses charmes. J’ai du mal à cacher mon érection. Elle a vu la bosse de mon pantalon et la tâche d’humidité qui apparaissait.
« - Pourquoi tu ne réponds pas ? Tu as vu ton pantalon comme il est gonflé ? Tu dois avoir une belle queue bien raide. Allons, laisse-moi toucher… »
Joignant le geste à la parole elle met sa main sur ma braguette. Comme je suis encore assis, elle est obligée de se pencher. J’ai son décolleté face à mes yeux. Je remarque qu’elle n’a pas de soutien gorge.
Elle me fait lever tout en malaxant mon sexe à travers le pantalon. De l’autre main elle s’occupe à défaire la ceinture et les boutons. Je n’ose pas bouger… Je me retrouve avec un pantalon et un slip autour des chevilles. Mon tee-shirt passe par-dessus ma tête comme par enchantement. Je suis nu…
« Tu attends quoi pour me déshabiller ? Tu connais le proverbe qui dit : « si tu veux avoir la fille il te faut d’abord prendre la mère ? »
Je ne peux pas répondre car sa bouche vient de se plaquer contre la mienne. Sa langue s’enroule autour de la mienne. Je défais les boutons de sa robe, fais glisser le tissu et le vêtement se retrouve à terre. Je reste littéralement pétrifié : Elle est nue, pas de soutien gorge, pas de slip ou de culotte. Elle me prend une main pour la poser sur son sexe bien velu dégoulinant de mouille. Elle me guide dans des mouvements circulaires, montants et descendants. Un, puis deux de mes doigts se sont introduits entre ses lèvres intimes. Je sens son clitoris gonflé et tendu, aussi dur qu’un morceau de bois. Sa respiration s’accélère, elle gémit et râle de plaisir. De son sexe coule un petit torrent de cyprine le long de ses cuisses. Nous nous sommes couverts mutuellement de petits baisers. En descendant, je me suis attardé un moment sur ses seins, elle sur mes tétons. Dans un même mouvement nous nous sommes accroupis sans que nos mains cessent leur travail. L’une des siennes va et vient sur ma verge, l’autre s’occupe de mes testicules. L’une des miennes est dans sa « grotte d’amour », l’autre malaxe ses seins et titille ses mamelons. Nous nous sommes retrouvés allongés sur la moquette et dans la bonne position pour un 69 particulièrement excitant. La main qui s’occupe de ma queue glisse vers mes testicules et sa bouche masturbe mon membre gonflé à bloc. Sentant venir l’éjaculation, je veux l’écarter mais, d’un signe de tête, elle refuse. Toute ma semence se trouve donc éjectée au fond de sa gorge et avalée goulûment. Ma langue s’active sur son clitoris et deux doigts dans son vagin bien lubrifié. Quelques coups de langue après elle jouit en un puissant orgasme. Reprenant notre calme, elle me propose à boire, le champagne était au frais. Je réalise que je suis tombé dans une vraie embuscade tendue par une femme mure dont les plaisirs du sexe ont peu de secrets. Elle me donne des conseils pour améliorer mes caresses, et comment donner un maximum de plaisir à une partenaire. Toujours nus, nous avons bu et grignotés quelques gâteaux. Voulant me rhabiller, Madame me dit : « Reste à poil, nous allions passer aux choses sérieuses ».
Mon sang ne fit qu’un tour car j’avais un peu oublié que j’étais venu pour me faire reprocher d’avoir fait l’amour avec sa fille, et je réalise tout à coup que la sentence n’avait pas été prononcée pour ce délit.
« Tu comprends bien que j’ai l’occasion de m’envoyer en l’air avec un petit jeune, alors je vais en profiter… »
Cela dit, elle reprend en main mon sexe qui n’attendait que ça, elle guide une de mes mains sur le sien, l’autre sur sa poitrine et me dit : « Maintenant fais-moi voir ce que tu sais faire ».
Nous nous sommes allongés, nous nous sommes masturbés mutuellement, nos bouches mordillant tout ce qu’elles pouvaient. Au comble de l’excitation, elle me demande de la pénétrer ce que je fais sans tarder. Elle me dit que je pouvais « décharger dedans car elle ne risquait pas avoir de bébé ». Très vite nous avons jouis ensemble d’un orgasme merveilleux. Quelques caresses plus tard, avant de se quitter, elle m’avoue qu’il y avait longtemps qu’elle n’avait eu autant de plaisir. Elle veut bien que j’en donne aussi à sa fille à condition de prendre toutes les précautions nécessaires pour éviter une grossesse. Nous ne devions pas hésiter à venir lui demander des conseils en cas de doutes. Nous serons approvisionnées en préservatifs autant que de besoin. Mais mes relations avec Aline ne doivent se poursuivre que pour le plaisir et notre initiation car elle a des idées précises concernant le futur mari de sa fille. Je devrais aussi répondre présent, de temps en temps, quand elle aurait envie de « s’envoyer en l’air avec un petit jeune». Enfin nous nous sommes séparés en nous promettant de rester très discrets sur nos relations... En cadeau, j’eu droit à une douzaine de préservatifs…
(A suivre…)
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