La mission (fin)
Récit érotique écrit par Ange [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 23 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Ange ont reçu un total de 84 420 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-06-2008 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 1 803 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
La mission (fin)
Nicolas devait décider de la façon dont il allait nous punir. J’avais fait jouir une des filles sans en avoir l’autorisation. Il nous regardait de son air supérieur, mais en réalité il s’était bien régalé du spectacle que nous lui avions offert.
Il avait attendu la fin, quand ma compagne avait jouit violemment pour se montrer. J’étais certaine qu’il avait tout vu depuis le début ou presque.
Il nous dit de nous baigner dans la piscine pour nous rafraîchir puis de retourner à nos places. Et il rentra dans la maison.
Je plongeais dans la piscine en tentant d’oublier ce qui allait suivre. J’avais passé un bon moment. Et même si les garçons prenaient des airs de machos et nous appelaient par des noms significatifs sensés nous donner l’impression que nous étions leurs soumises, pour le moment je prenais plutôt bien mon pied. J’étais celle qu’ils appelaient la lécheuse de cul, il y avait une lécheuse de bite et une lécheuse couilles. Nous n’étions pas sensé nous parler, simplement les satisfaire. Et bien entendu, nous n’étions pas sensées nous satisfaire dans leur autorisation.
Comment j’en étais arrivé là ? Ben pour faire court, j’ai accepté un job de secrétaire un peu particulière pour un mafieux qui s’est fait pincé par les flics. Les flics veulent que je témoigne pour eux et ils me laissent tranquille et bien entendu, mon ancien patron veut ma peau. Bref, j’allais fuir, bien sur, mais l’homme de main de mon patron, chargé de me ramener m’a « attrapée ». Il me laisse partir, si je lui donne un week end de soumission pendant lequel j’accomplirai tous ses fantasmes. Je trouvais que ce n’était pas cher payé pour ma vie. Alors j’ai accepté. C’était ma dernière journée avec Bernard.
Il m’a amené dans cette maison de campagne avec ces gens. Et je dois suivre ses directives. Demain, si tout se passe bien, je serais libre.
Nicolas est revenu, je viens de sortir de la piscine, je dégouline encore de l’eau. Il fait chaud, je suis bien. Je ne veux penser à rien d’autre.
La fille qui était rentrée dans la maison tout à l’heure est revenue avec lui, et les autres hommes sont revenus aussi. Elle a l’air bien reposée, je pense qu’ils ont du la laisser prendre une douche et faire une sieste.
Nicolas s’approche de nous et nous dit qu’il avait décidé de ce que nous devrions faire. Comme c’est lui qui nous a vus, il peut disposer de nous le temps de la punition qu’il a décidé. Les autres vont regarder.
Il commence par retirer son caleçon et mettre un pied sur la table.
- Très bien, chacune de vous va s’occuper de moi dans son rôle, en même temps.
Je ne voyais pas bien comment on allait faire, mais je m’approchais. Il ne bandait pas encore complètement. La fille sui devait lui lécher les couilles de mis à genoux entre ses jambes et commença à le lécher lentement.
Celle pour la bite, commença par le branler, il durcissait avec le traitement de l’autre fille en dessous. Je m’assis sur une chaise derrière lui, la fille qui lui léchait les couilles était entre mes jambes. J’approchais la tête, il se cambra un peu pour me donner accès à son petit trou.
- Vas-y, il ne me manque que ça, me faire lécher le cul. Les autres se débrouillent pas mal déjà !
Je mis ma langue lentement et légèrement d’abord, puis, je fis des caresses plus appuyées. J’écartais ses deux globes et tendais la langue autant que je pouvais. Se sentais son anneau se contracter et se décontracter au toucher de ma langue.
- Hum c’est top bon ! Enfonce bien ma bite dans ta bouche ! Elle est bonne hein ? Oui, c’est ça tourne un peu la langue… Vas-y pousse ta langue dans mon cul… aspire moi les couilles…
Il planait complètement, je pense que je serais comme lui si j’avais trois personnes dédiées à mon plaisir. Je tendais la langue comme je pouvais, avec la position que j’avais, mais il semblait déjà satisfait.
- Vous avez vu les mecs, un roi ne serait pas mieux loti que moi ! Trois salopes à mon service ! Une qui me pompe la bite, et une pour le lécher le cul et une autre pour les couille !
Les hommes riaient de la situation mais on les sentait bien excités aussi. J’espérais qu’il allait venir bientôt, car je commençais à avoir mal au cou à force de le tendre.
Bernard s’approcha de moi et me souffle à l’oreille :
- Tu es parfaite. Continue comme ça. Tu ne pourras bientôt plus t’en passer.
Tu parles ! Mais qu’est ce qu’il croyait…
Mes pensées furent interrompues. Nicolas se retourna et plaqua sa main sur ma tête, m’intimant de pousser ma langue dans son cul, plus loin. Il avait éloigné les autres filles.
- Vas-y Romain, prend une photo, c’est pas tous les jours que je me fais lécher le cul. Ma copine ne veut pas me le faire, je veux un souvenir !
Je tentais de me maintenir, de respirer et de ne pas trop le mécontenter. Je tendais la langue et la ressortais tantôt lentement tantôt plus vite.
- Mais attend ma belle, toi je te dois une punition. Tu nous as désobéi. Hein les gars ?
- Ouais !
Je pensais vraiment que c’était ça la punition, je ne bougeais plus. Il s’était avancé. Il me leva de la chaise et me mis debout devant la table, les mains appuyées sur le bord de la table.
- Cambre toi ! Montre nous ton cul !
J’avais remis le fameux plug, et la jupette en sortant de la piscine.
- Elle a beau cul ! Tu as du te régaler Bernard ? Et on va se régaler aussi tout à l’heure pour le final !
Le final ? Je ne voulais même pas y penser. Je restais comme ça, sans bouger quand sans crier gare, une claque s’abattit sur mes fesses tendues. Cela me surpris tellement que je criais et m’avançais.
Nicolas eu tôt fait de me faire revenir à ma place, et il donna une seconde fessée.
- Combien je devrais en donner, les gars ? Ca en vaut combien ce qu’elle a fait ?
- Ben, laisse moi réfléchir…
Pendant ce temps, les fessée s’abattaient sur mon cul, tantôt sur une fesse, tantôt sur l’autre. Je me mordais les lèvres pour ne pas crier. La morsure était cinglante, même s’il ne frappait pas fort. L’humiliation était le plus forte.
- Moi je pense que 20 sur chaque fesses, c’est pas mal !
- 20 ? Voyons… oui, c’est pas mal, qu’en pensent les autres ?
- Oui, 20, c’est pas mal
Il continuait à taper à intervalle régulier, mes fesses me chauffaient et être exposée ainsi comme une petite fille, me faisait mourir de honte. Mais je n’avais encore rien vu.
- Bon alors Ok pour 20 sur chaque fesse ! Mais il faut que je m’installe je ne suis pas bien là, dit Nicolas.
J’allais protester, mais je me retins à temps. Je ne voulais pas aggraver mon cas, et leur donner l’occasion de m’humilier encore plus, si c’était possible.
Nicolas s’assit sur la chaise et me dit de venir m’installer sur ses genoux, allongée, les fesses sur ses genoux. J’hésitais un instant, puis, un regard de Bernard me dissuada de me dérober.
Je me positionnais, et fermais les yeux. Les fesses me cuisaient déjà.
Nicolas commença par me caresser lentement les fesses.
- Elles sont douces tes fesses… et bien rondes… ce plug en elles, les rendent plus sexy…
Il continuait ses caresses, je commençais à me détendre, ça n’était pas désagréable. Il me suffisait d’essayer d’oublier les spectateurs. Et puis Nicolas était plutôt bel homme, belle mâchoire carrée, de grandes et belles mains douces, une queue tout à fait respectable…
Et vlan, je sentis la première fessée sur ma fesse gauche. Je criais de nouveau de surprise et d’humiliation. La seconde sur l’autre fesse arriva aussi vite et les cinq suivantes.
Je serrais les dents, une larme perla à mes yeux sans que je puisse la retenir.
- J’aime fesser les petites salopes comme toi… Ensuite, tu me lèchera encore le cul pour me remercier. Tu vas aimer tu vas voir, il y a des filles qui doivent t’envier d’être là avec moi dans cette position…
Il disait cela tout en me caressant de nouveau, ses doigts s’attardaient sur le plug, il joua un peu avec, le retirant à moitié et le repositionnant, me caressant entre les cuisses sur la peau délicate, lentement (j’aime beaucoup..).
- Je vais te retirer ce truc, il me gêne pour te fesser.
Il tira lentement dessus, et le posa sur la table, se doigts allaient entre mes fesses son autre main me caressait la nuque comme pour me faire un massage, je commençais à planer.
- Mais elle mouille les gars ! Elle aime se faire fesser comme une petite cochonne, vous avez vu, ça coule presque !
Et vlan ! Une autre série de fessée sur les fesses, je ne comptais plus, j’étais en transe. Je gémissais sous la torture, la douce torture de ses mains masculines. Il s’arrêtait de temps en temps pour me caresser, il savait alterner le chaud et le froid, la douceur et la violence. C’était divin, je ne me connaissais pas ce goût pour la fessée, mais si vous avez l’occasion d’essayer, faîtes-le ! C’est incroyable !
Il me mis un doigt dans la chatte, le retira et le mis dans ma bouche, tout en fessant de nouveau.
- Tiens, regarde comme tu es excitée ! Ca t’excite de te faire fesser comme une petite cochonne ? T’aimes avoir mes doigts dans ta chatte ?
- Hummm hummm !
C’est tout ce que je pouvais dire avec son doigt dans la bouche qui faisait des va et viens très suggestifs. Et il repris les fessées, en gardant ses doigts dans ma bouche. Et là je sentis une vague me submerger progressivement.
- Les gars on a perdu le compte ! J’ai arrêté de compter, elle aime ça se sent, elle dégouline complètement, vous entendez comme cette petite cochonne gémit ?!!
D’un coup, je sentis mon corps se tendre et un orgasme incroyable me terrassa, me laissant complètement pantelante. Nicolas me caressait les fesses doucement, et le cou en même temps. Je n’avais plus de force. Il m’aida me relever. Je m’appuyais sur lui et je m’assis sur l’un des fauteuils.
Ouille ! Mes fesses me chauffaient, j’avais un peu mal tout de même. Mais quel pied !!
Nicolas se dirigea vers Bernard et me laissa me reposer. Il était déjà 18h00 mais le soleil brillait toujours.
Je m’assoupis. Quand j’ouvris les yeux Bernard était près de moi.
- Tu peux t’habiller et partir. Notre contrat est terminé. Il est 20h00.
J’avais du mal à remettre les choses en place. J’étais libre ?
- Tu… tu veux dire, maintenant ? Tout de suite ?
- Oui tout de suite si tu veux. Je dirais à Vincente que je ne t’ai pas trouvé, il faudra que tu passes chez toi rapidement prendre tes affaires et te mettre au vert un temps. Le temps que le procès durera.
- Mais…
Je commençais seulement à réaliser. J’étais contente de ne plus être liée à Bernard, mais je replongeais brutalement dans la réalité de ma situation. Vincente fera-t-il confiance à Bernard ? Ou enverra-t-il un autre de ses sbires me rechercher.
- Si tu veux Nicolas rentre en ville, il peut te ramener. Moi je reste ici… j’ai quelques petites choses à régler…
Tu parles, j’ai bien vu les regards qu’il donnait à la fille avec qui j’avais un peu fricoté. Enfin, c’était de bonne guerre. J’acceptais l’offre.
Nicolas m’attendait devant sa voiture, j’étais prête, douchée, j’avais récupéré mes affaires, et mes problèmes. Retour à la vie réelle, ce week end avec Bernard s’était passé comme dans un rêve. J’en étais là de mes pensées quand Nicolas me tira de mes rêves.
- Ca va ?
- Oui, oui…
- Tu sais, je n’ai jamais rencontré une fille comme toi…
- Oui, on me dit ça, souvent… dis-je en souriant.
- Non mais vraiment, je… j’aimerais bien te revoir, si tu es d’accord ?
- Oh tu sais, j’en ai ras le bol des plans culs et puis là j’ai d’autres chats à fouetter.
- Ah ? J’ai bien vu que quelque chose n’allait pas, mais je ne voulais pas t’embarrasser avec mes questions, mais si tu veux m’en parler… je t’écoute.
Je me sentais seule paumée, j’ai tout déballé. Depuis le début. Ce job de secrétaire que j’avais accepté, la paye incroyable, mes missions spéciales, les flics, Vincente, Bernard… tout !
Il m’a écouté jusqu’au bout puis, au bout d’un moment, il parla.
- Ecoute, je suis flic. Je connais toute cette histoire. Je file Vincente et ses sbires depuis pas mal de temps déjà. Je me suis intégré au groupe d’amis de Bernard. Tu ne t’es pas demandé qui était ces types ?
- Euh… si, mais je croyais que…
J’étais atterrée. Mais oui, il était logique que Bernard ait des amis parmi ses « collègues ». Pourquoi cela ne m’était-il pas venu à l’idée.
- Mais alors Bernard m’a tendu un piège ?
- Pas vraiment, ne t’en fait pas. Mais j’ai proposé de te raccompagner pour être sûr que tu sois en sécurité.
Je pleurais. Jamais cette histoire ne finirait.
- Ne t’en fais pas, ça va aller. Je te ramène chez toi et…
- Non. Non, s’il te plait n’importe où mais pas chez moi. J’ai peur. Maintenant Vincente va savoir que j’ai passé le week end avec Bernard. Et il va me faire rechercher par un autre.
- Oui, c’est ce que je crains malheureusement. Bernard est fichu. Il a voulu t’aider mais il n’est pas très malin.
Un long silence s’installa.
- Tu sais, quand j’ai dit que je voulais te revoir, c’était vrai.
Je le regardais. Je le trouvais beau, il m’attirait et ce que nous venions de vivre, outre le caractère un peu spécial, était fort.
Pour toute réponse, je pris sa main.
Epilogue
Cela fait maintenant deux ans que je suis avec Nicolas. J’ai changé de look, de nom et bien entendu d’adresse. Le procès de Vincente s’est terminé hier, après deux ans de procédure. Je n’ai pas eu à témoigner. L’immeuble de mon ancien appartement a pris feu par accident, j’ai tout perdu.
Mais je suis heureuse, Nicolas et moi vivons une histoire extraordinaire, libre, sans tabou et en toute simplicité. Nous continuons nos jeux érotiques. Je suis devenue une adepte de la fessée et il adore me la donner. Et Nicolas me fait découvrir de nouveaux horizons. Il souhaite me faire découvrir l’échangisme. Mais c’est une autre histoire.
Il avait attendu la fin, quand ma compagne avait jouit violemment pour se montrer. J’étais certaine qu’il avait tout vu depuis le début ou presque.
Il nous dit de nous baigner dans la piscine pour nous rafraîchir puis de retourner à nos places. Et il rentra dans la maison.
Je plongeais dans la piscine en tentant d’oublier ce qui allait suivre. J’avais passé un bon moment. Et même si les garçons prenaient des airs de machos et nous appelaient par des noms significatifs sensés nous donner l’impression que nous étions leurs soumises, pour le moment je prenais plutôt bien mon pied. J’étais celle qu’ils appelaient la lécheuse de cul, il y avait une lécheuse de bite et une lécheuse couilles. Nous n’étions pas sensé nous parler, simplement les satisfaire. Et bien entendu, nous n’étions pas sensées nous satisfaire dans leur autorisation.
Comment j’en étais arrivé là ? Ben pour faire court, j’ai accepté un job de secrétaire un peu particulière pour un mafieux qui s’est fait pincé par les flics. Les flics veulent que je témoigne pour eux et ils me laissent tranquille et bien entendu, mon ancien patron veut ma peau. Bref, j’allais fuir, bien sur, mais l’homme de main de mon patron, chargé de me ramener m’a « attrapée ». Il me laisse partir, si je lui donne un week end de soumission pendant lequel j’accomplirai tous ses fantasmes. Je trouvais que ce n’était pas cher payé pour ma vie. Alors j’ai accepté. C’était ma dernière journée avec Bernard.
Il m’a amené dans cette maison de campagne avec ces gens. Et je dois suivre ses directives. Demain, si tout se passe bien, je serais libre.
Nicolas est revenu, je viens de sortir de la piscine, je dégouline encore de l’eau. Il fait chaud, je suis bien. Je ne veux penser à rien d’autre.
La fille qui était rentrée dans la maison tout à l’heure est revenue avec lui, et les autres hommes sont revenus aussi. Elle a l’air bien reposée, je pense qu’ils ont du la laisser prendre une douche et faire une sieste.
Nicolas s’approche de nous et nous dit qu’il avait décidé de ce que nous devrions faire. Comme c’est lui qui nous a vus, il peut disposer de nous le temps de la punition qu’il a décidé. Les autres vont regarder.
Il commence par retirer son caleçon et mettre un pied sur la table.
- Très bien, chacune de vous va s’occuper de moi dans son rôle, en même temps.
Je ne voyais pas bien comment on allait faire, mais je m’approchais. Il ne bandait pas encore complètement. La fille sui devait lui lécher les couilles de mis à genoux entre ses jambes et commença à le lécher lentement.
Celle pour la bite, commença par le branler, il durcissait avec le traitement de l’autre fille en dessous. Je m’assis sur une chaise derrière lui, la fille qui lui léchait les couilles était entre mes jambes. J’approchais la tête, il se cambra un peu pour me donner accès à son petit trou.
- Vas-y, il ne me manque que ça, me faire lécher le cul. Les autres se débrouillent pas mal déjà !
Je mis ma langue lentement et légèrement d’abord, puis, je fis des caresses plus appuyées. J’écartais ses deux globes et tendais la langue autant que je pouvais. Se sentais son anneau se contracter et se décontracter au toucher de ma langue.
- Hum c’est top bon ! Enfonce bien ma bite dans ta bouche ! Elle est bonne hein ? Oui, c’est ça tourne un peu la langue… Vas-y pousse ta langue dans mon cul… aspire moi les couilles…
Il planait complètement, je pense que je serais comme lui si j’avais trois personnes dédiées à mon plaisir. Je tendais la langue comme je pouvais, avec la position que j’avais, mais il semblait déjà satisfait.
- Vous avez vu les mecs, un roi ne serait pas mieux loti que moi ! Trois salopes à mon service ! Une qui me pompe la bite, et une pour le lécher le cul et une autre pour les couille !
Les hommes riaient de la situation mais on les sentait bien excités aussi. J’espérais qu’il allait venir bientôt, car je commençais à avoir mal au cou à force de le tendre.
Bernard s’approcha de moi et me souffle à l’oreille :
- Tu es parfaite. Continue comme ça. Tu ne pourras bientôt plus t’en passer.
Tu parles ! Mais qu’est ce qu’il croyait…
Mes pensées furent interrompues. Nicolas se retourna et plaqua sa main sur ma tête, m’intimant de pousser ma langue dans son cul, plus loin. Il avait éloigné les autres filles.
- Vas-y Romain, prend une photo, c’est pas tous les jours que je me fais lécher le cul. Ma copine ne veut pas me le faire, je veux un souvenir !
Je tentais de me maintenir, de respirer et de ne pas trop le mécontenter. Je tendais la langue et la ressortais tantôt lentement tantôt plus vite.
- Mais attend ma belle, toi je te dois une punition. Tu nous as désobéi. Hein les gars ?
- Ouais !
Je pensais vraiment que c’était ça la punition, je ne bougeais plus. Il s’était avancé. Il me leva de la chaise et me mis debout devant la table, les mains appuyées sur le bord de la table.
- Cambre toi ! Montre nous ton cul !
J’avais remis le fameux plug, et la jupette en sortant de la piscine.
- Elle a beau cul ! Tu as du te régaler Bernard ? Et on va se régaler aussi tout à l’heure pour le final !
Le final ? Je ne voulais même pas y penser. Je restais comme ça, sans bouger quand sans crier gare, une claque s’abattit sur mes fesses tendues. Cela me surpris tellement que je criais et m’avançais.
Nicolas eu tôt fait de me faire revenir à ma place, et il donna une seconde fessée.
- Combien je devrais en donner, les gars ? Ca en vaut combien ce qu’elle a fait ?
- Ben, laisse moi réfléchir…
Pendant ce temps, les fessée s’abattaient sur mon cul, tantôt sur une fesse, tantôt sur l’autre. Je me mordais les lèvres pour ne pas crier. La morsure était cinglante, même s’il ne frappait pas fort. L’humiliation était le plus forte.
- Moi je pense que 20 sur chaque fesses, c’est pas mal !
- 20 ? Voyons… oui, c’est pas mal, qu’en pensent les autres ?
- Oui, 20, c’est pas mal
Il continuait à taper à intervalle régulier, mes fesses me chauffaient et être exposée ainsi comme une petite fille, me faisait mourir de honte. Mais je n’avais encore rien vu.
- Bon alors Ok pour 20 sur chaque fesse ! Mais il faut que je m’installe je ne suis pas bien là, dit Nicolas.
J’allais protester, mais je me retins à temps. Je ne voulais pas aggraver mon cas, et leur donner l’occasion de m’humilier encore plus, si c’était possible.
Nicolas s’assit sur la chaise et me dit de venir m’installer sur ses genoux, allongée, les fesses sur ses genoux. J’hésitais un instant, puis, un regard de Bernard me dissuada de me dérober.
Je me positionnais, et fermais les yeux. Les fesses me cuisaient déjà.
Nicolas commença par me caresser lentement les fesses.
- Elles sont douces tes fesses… et bien rondes… ce plug en elles, les rendent plus sexy…
Il continuait ses caresses, je commençais à me détendre, ça n’était pas désagréable. Il me suffisait d’essayer d’oublier les spectateurs. Et puis Nicolas était plutôt bel homme, belle mâchoire carrée, de grandes et belles mains douces, une queue tout à fait respectable…
Et vlan, je sentis la première fessée sur ma fesse gauche. Je criais de nouveau de surprise et d’humiliation. La seconde sur l’autre fesse arriva aussi vite et les cinq suivantes.
Je serrais les dents, une larme perla à mes yeux sans que je puisse la retenir.
- J’aime fesser les petites salopes comme toi… Ensuite, tu me lèchera encore le cul pour me remercier. Tu vas aimer tu vas voir, il y a des filles qui doivent t’envier d’être là avec moi dans cette position…
Il disait cela tout en me caressant de nouveau, ses doigts s’attardaient sur le plug, il joua un peu avec, le retirant à moitié et le repositionnant, me caressant entre les cuisses sur la peau délicate, lentement (j’aime beaucoup..).
- Je vais te retirer ce truc, il me gêne pour te fesser.
Il tira lentement dessus, et le posa sur la table, se doigts allaient entre mes fesses son autre main me caressait la nuque comme pour me faire un massage, je commençais à planer.
- Mais elle mouille les gars ! Elle aime se faire fesser comme une petite cochonne, vous avez vu, ça coule presque !
Et vlan ! Une autre série de fessée sur les fesses, je ne comptais plus, j’étais en transe. Je gémissais sous la torture, la douce torture de ses mains masculines. Il s’arrêtait de temps en temps pour me caresser, il savait alterner le chaud et le froid, la douceur et la violence. C’était divin, je ne me connaissais pas ce goût pour la fessée, mais si vous avez l’occasion d’essayer, faîtes-le ! C’est incroyable !
Il me mis un doigt dans la chatte, le retira et le mis dans ma bouche, tout en fessant de nouveau.
- Tiens, regarde comme tu es excitée ! Ca t’excite de te faire fesser comme une petite cochonne ? T’aimes avoir mes doigts dans ta chatte ?
- Hummm hummm !
C’est tout ce que je pouvais dire avec son doigt dans la bouche qui faisait des va et viens très suggestifs. Et il repris les fessées, en gardant ses doigts dans ma bouche. Et là je sentis une vague me submerger progressivement.
- Les gars on a perdu le compte ! J’ai arrêté de compter, elle aime ça se sent, elle dégouline complètement, vous entendez comme cette petite cochonne gémit ?!!
D’un coup, je sentis mon corps se tendre et un orgasme incroyable me terrassa, me laissant complètement pantelante. Nicolas me caressait les fesses doucement, et le cou en même temps. Je n’avais plus de force. Il m’aida me relever. Je m’appuyais sur lui et je m’assis sur l’un des fauteuils.
Ouille ! Mes fesses me chauffaient, j’avais un peu mal tout de même. Mais quel pied !!
Nicolas se dirigea vers Bernard et me laissa me reposer. Il était déjà 18h00 mais le soleil brillait toujours.
Je m’assoupis. Quand j’ouvris les yeux Bernard était près de moi.
- Tu peux t’habiller et partir. Notre contrat est terminé. Il est 20h00.
J’avais du mal à remettre les choses en place. J’étais libre ?
- Tu… tu veux dire, maintenant ? Tout de suite ?
- Oui tout de suite si tu veux. Je dirais à Vincente que je ne t’ai pas trouvé, il faudra que tu passes chez toi rapidement prendre tes affaires et te mettre au vert un temps. Le temps que le procès durera.
- Mais…
Je commençais seulement à réaliser. J’étais contente de ne plus être liée à Bernard, mais je replongeais brutalement dans la réalité de ma situation. Vincente fera-t-il confiance à Bernard ? Ou enverra-t-il un autre de ses sbires me rechercher.
- Si tu veux Nicolas rentre en ville, il peut te ramener. Moi je reste ici… j’ai quelques petites choses à régler…
Tu parles, j’ai bien vu les regards qu’il donnait à la fille avec qui j’avais un peu fricoté. Enfin, c’était de bonne guerre. J’acceptais l’offre.
Nicolas m’attendait devant sa voiture, j’étais prête, douchée, j’avais récupéré mes affaires, et mes problèmes. Retour à la vie réelle, ce week end avec Bernard s’était passé comme dans un rêve. J’en étais là de mes pensées quand Nicolas me tira de mes rêves.
- Ca va ?
- Oui, oui…
- Tu sais, je n’ai jamais rencontré une fille comme toi…
- Oui, on me dit ça, souvent… dis-je en souriant.
- Non mais vraiment, je… j’aimerais bien te revoir, si tu es d’accord ?
- Oh tu sais, j’en ai ras le bol des plans culs et puis là j’ai d’autres chats à fouetter.
- Ah ? J’ai bien vu que quelque chose n’allait pas, mais je ne voulais pas t’embarrasser avec mes questions, mais si tu veux m’en parler… je t’écoute.
Je me sentais seule paumée, j’ai tout déballé. Depuis le début. Ce job de secrétaire que j’avais accepté, la paye incroyable, mes missions spéciales, les flics, Vincente, Bernard… tout !
Il m’a écouté jusqu’au bout puis, au bout d’un moment, il parla.
- Ecoute, je suis flic. Je connais toute cette histoire. Je file Vincente et ses sbires depuis pas mal de temps déjà. Je me suis intégré au groupe d’amis de Bernard. Tu ne t’es pas demandé qui était ces types ?
- Euh… si, mais je croyais que…
J’étais atterrée. Mais oui, il était logique que Bernard ait des amis parmi ses « collègues ». Pourquoi cela ne m’était-il pas venu à l’idée.
- Mais alors Bernard m’a tendu un piège ?
- Pas vraiment, ne t’en fait pas. Mais j’ai proposé de te raccompagner pour être sûr que tu sois en sécurité.
Je pleurais. Jamais cette histoire ne finirait.
- Ne t’en fais pas, ça va aller. Je te ramène chez toi et…
- Non. Non, s’il te plait n’importe où mais pas chez moi. J’ai peur. Maintenant Vincente va savoir que j’ai passé le week end avec Bernard. Et il va me faire rechercher par un autre.
- Oui, c’est ce que je crains malheureusement. Bernard est fichu. Il a voulu t’aider mais il n’est pas très malin.
Un long silence s’installa.
- Tu sais, quand j’ai dit que je voulais te revoir, c’était vrai.
Je le regardais. Je le trouvais beau, il m’attirait et ce que nous venions de vivre, outre le caractère un peu spécial, était fort.
Pour toute réponse, je pris sa main.
Epilogue
Cela fait maintenant deux ans que je suis avec Nicolas. J’ai changé de look, de nom et bien entendu d’adresse. Le procès de Vincente s’est terminé hier, après deux ans de procédure. Je n’ai pas eu à témoigner. L’immeuble de mon ancien appartement a pris feu par accident, j’ai tout perdu.
Mais je suis heureuse, Nicolas et moi vivons une histoire extraordinaire, libre, sans tabou et en toute simplicité. Nous continuons nos jeux érotiques. Je suis devenue une adepte de la fessée et il adore me la donner. Et Nicolas me fait découvrir de nouveaux horizons. Il souhaite me faire découvrir l’échangisme. Mais c’est une autre histoire.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Ange
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...