UNE MISSION PARTICULIERE : EXHIBITION
Récit érotique écrit par Ange [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-07-2007 dans la catégorie Dominants et dominés
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UNE MISSION PARTICULIERE : EXHIBITION
J’avais rendez-vous à 15h30 dans un parc sur une aire d’autoroute en dehors de ma ville. Je devais venir seule avec l’enveloppe et attendre sur ce banc qu’on me contacte.
J’étais là depuis déjà 10 bonnes minutes qui me paraissaient interminables, le téléphone portable à la main et l’enveloppe près de moi. Il faisait une chaleur incroyable, le banc n’était pas complètement à l’ombre. Mais quand ce téléphone allait-il se décider à sonner ?
Comment avais-je pu me retrouver dans cette situation ? J’avais un peu peur de ce qui allait se passer, mon patron m’avait demandé de me rendre à ce rendez-vous parce qu’il avait une totale confiance en moi. C’est vrai que nous travaillons ensemble depuis déjà quelques temps et que notre relation est pour le moins particulière. J’acceptais de me plier à tous ses caprices sexuels et en échange j’avais un salaire et des horaires confortables. L’homme n’était pas non plus pour me déplaire. Cette situation était donc parfaite pour moi. Il m’a fait découvrir des facettes de ma personnalité que je ne soupçonnais pas et à chaque fois mes limites sont dépassées. La première fois que nos rapports professionnels ont changé, je l’ai aidé à faire signer un gros contrat. Il avait organisé un dîner d’affaire chez lui auquel j’étais conviée. Je suis arrivée habillée en parfaite petite secrétaire, tailleur avec jupe droite, chignon, talons, bas et sous vêtements sages. Nous étions à la fin du dîner et toujours pas de signature, il a demandé à ses clients ce qui pourrait leur faire changer d’avis pour la signature du fameux contrat. Et il leur a dit « je peux vous proposer les services personnels de ma secrétaire ». J’ai pris un air outré et j’ai failli sortir de table. Mon patron a mis la main sur mon bras pour m’apaiser, je me suis dit que c’était une blague et qu’il ne fallait pas que je fasse ma mijaurée. A ma grande surprise, ils ont pris l’offre de mon patron au sérieux, ils ont accepté à condition que ne soit pas contre ma volonté.
Nous nous sommes éloignés mon patron et moi même pour en « discuter ». Au fond de moi une petite voix me disait d’accepter car les hommes étaient plutôt attirants et que je n’aurais peut être jamais l’occasion de revivre un moment pareil, et ma raison et ma bonne éducation me poussaient à refuser. Mon patron m’a promis monts et merveilles et m’a promis qu’il arrêterait si ça tournait mal. J’avais confiance en lui, j’acceptais. Mon patron est retourné vers eux en leur disant que j’étais d’accord contre une petite compensation (mon argent de poche…). L’affaire était dans le sac. Et moi, j’avais la trouille.
J’ai dû faire ce qu’ils me demandaient. Quand ils me demandèrent de me déshabiller, je retirais ma veste en hésitant et lentement pour gagner du temps. Du temps pour quoi, je ne sais pas exactement, mais ça me donnait bonne conscience. Je ne cédais pas trop vite. Mais au fond de moi je sentais l’excitation monter. Les quelques verres de vin que j’avais pris à table, n’y étaient pas pour rien. J’ouvrais mon chemisier et le laissais tomber par terre. J’étais en jupe et soutien gorge. Je me retournais pudiquement pour retirer ma jupe et de dos, je la fis glisser le long de mes jambes. J’étais en sous vêtements, sobres mais classes et en bas auto collant. J’avais gardé mes talons, sachant que cela mettait en valeur mes fesses. Je défis mon chignon et restais de dos, je commençais à onduler du bassin doucement en écartant les jambes. Mes mains se posaient sur mon dos, mes fesses, mes jambes lentement comme si je suivais le rythme d’une musique. Je fis mine de descendre mon string en plaçant deux doigts de chaque coté et je me ravisais, ils eurent la vision de mon cul pendant quelques secondes et je replaçais mon string en suivant le tracé avec le doigt. Je dégrafais mon soutien gorge et descendais les bretelles de mon soutien gorge, toujours de dos. Je gardais une main sur mes seins pudiquement en me retournant et continuais à me caresser le corps. Ma main allait sur ma nuque, dans mes cheveux, je renversais la tête et fis mine de me caresser le sexe à travers mon string. Je relâchais mes seins pour les montrer et les caressais lentement comme quand je me retrouvais seule devant ma glace parfois. Je posais mes mains sur mes seins et les malaxais lentement pour faire pointer les tétons puis je m’attardais sur les tétons en les caressant avec les paumes des mains et en les prenant à deux doigts pour les pincer doucement. Cette caresse me fit mouiller encore plus et je me rappelais soudain de l’endroit où je me trouvais. Je ne pouvais pas faire marche arrière. Je me retournais de nouveau et me penchais jambes tendues pour retirer mon string. J’étais nue. Enfin presque, il restait mes bas et mes talons. Je vis que les deux hommes avaient retiré leur pantalon et se caressaient le sexe en me regardant. L’un d’eux s’approcha de moi me retourna et mis ses mains sur mes seins, il les malaxa et en pris un dans sa bouche. Il caressait l’autre en même temps. Sa bouche tétait, suçotait et léchait mon téton pendant que sa main pinçait l’autre de plus en plus fort. Il échangea les rôles et pendant que sa langue apaisait la douleur sur les tétons qu’il avait pincé, ses doigts pinçaient l’autre en le faisant rouler lentement puis plus rapidement. J’étais partagé entre la douleur et le bien que me faisait sa bouche. Je ne résistais pas et gémissais sous la caresse. J’étais vaincue, j’en voulais plus. Son acolyte s’approcha et passa sa main sur mon sexe. J’ouvris les cuisses machinalement et je sentis une langue s’immiscer entre mes lèvres et aller titiller mon clitoris déjà en érection. Cette caresse m’électrifia et je sentais la jouissance venir. A ce moment là, ils s’arrêtèrent, j’étais frustrée, j’en voulais plus, je voulais jouir. J’ouvris les yeux suppliants, je voulais qu’ils continuent. Ils me regardèrent et reprirent de plus belle, j’étais en transe. Ils me disaient « Tu aimes, tu veux qu’on continue », je répondais par des murmures « oui, continuez, oui, encore ». Ils me disaient « Dis nous que tu aimes ça, dis nous que tu aimes la bite et que tu en veux encore ». J’étais en transe, je dis timidement « oui j’aime continuez ». Les mots qu’ils me disaient me faisaient mouiller de plus belle, je voulais qu’ils continuent. Je sentais de nouveau la jouissance venir, et ils s’arrêtèrent de nouveau. Je n’en pouvais plus, celui que me caressait les seins, me pris dans ses bras et m’apaisa un peu. Il me murmura à l’oreille « tu veux qu’on continue ? », je répondais « oui, continuez ». Ils reprirent leur caresses plus rapidement cette foi, j’étais eu bord de l’orgasme mais j’avais peur qu’ils arrêtent. L’un d’eux me dit « Dis nous que tu aimes, que tu en veux encore » et là, je me surpris à répéter tous ce qu’il me disait « Oui, continuez, je veux jouir, encore, c’est trop bon ». L’autre repris « Tu veux nos bites au fond de toi ? » Et je dis « Oui, je veux vos bites au fond de moi, je veux vous sentir au fond de moi, défoncez moi, je veux jouir !!!!! » Je criais presque, je ne me reconnaissais pas.
Et j’eus un orgasme phénoménal. J’avais les jambes qui tremblaient. Je ne savais plus où j’étais. Je voulais juste revivre ce moment. J’étais en nage.
Ils ne me laissèrent pas le temps de reprendre mes esprits, l’un deux me fis mettre à genoux et me plaça sa bite dans ma bouche et me disant « Tu la voulais, hein, tu l’attendais, elle est belle, cette grosse queue, tu voulais la goûter ». L’autre se plaça derrière moi et me pénétra d’un coup. C’était trop bon, je bougeais pour bien le sentir au fond de moi, tout mon corps était en ébullition. Ils me pistonnaient en même temps. Ils changèrent de position et celui qui était dans ma bouche se plaça derrière moi, il rentra plusieurs fois rapidement dans ma chatte, je sentais l’orgasme venir. Il ralentit et l’autre retira sa bite de ma bouche, il me dit « demande la, dis nous que tu la veux dans ta bouche ». Je répétais « oui, viens, je te veux dans ma bouche », et j’avançais la tête vers ce sexe tendu et offert. Il reviens dans ma bouche tandis que l’autre se retirais et se plaçais sur mon cul et me pénétra lentement, J’allais protester mais je reçu une claque sur les fesses. Il ne me faisait pas mal, j’étais très mouillée, mais les sensations étaient nouvelles et je pensais que ça n’était pas correct. L’homme devant moi me pistonnait encore plus vite et j’oubliais bientôt les convenances. Il me dit « tu aimes avoir une bite dans ta bouche et une autre dans ton cul » Dis le que tu aimes ça ! Je ne pouvais pas répondre bien entendu, mais ses paroles m’excitaient encore plus. Il se retira se ma bouche et jouis sur mon visage en tenant son sexe vers moi. L’autre me pistonnait toujours et je sentais que j’étais eu bord de l’orgasme. Cette fois ci, je dis sans qu’on me le demande « vas-y continues ! Oui, bien au fond ! Comme ça oui !!!!! Je jouis !!! » Nous avons eu un orgasme quasiment en même temps. Il s’est retiré lentement et je sentis une autre queue se positionner sur mon anus. Je tournais la tête, c’était mon patron !
Il avait assisté à la scène et avait le sexe bien tendu. Je ne savais pas quoi faire, il ne me donna pas le temps de réfléchir, il rentra d’un coup dans mon cul déjà tout dilaté et commença ses va et viens. J’étais encore tout excitée, il mettais des claques sur mes fesses, sans violence et fermement. J’étais penchée en avant sur les coudes et je le laissais faire, j’étais sur un nuage, j’avais déjà eu plusieurs orgasmes d’affilée et sentais un nouvel orgasme arriver.
Il ralentit la cadence et repris plus vite, je sentais son sexe gonfler en moi et il s’accrochait à mes fesses en les griffant, j’eus un nouvel orgasme en même temps que lui.
Voilà la première fois que mon patron m’a prise, c’était par derrière… Depuis, nous avons eu d’autres occasions, mais en restant toujours professionnels. Nous ne nous voyons pas en dehors du boulot et nous avons chacun nos vies.
Le fait de penser à cette première fois m’a fait complètement oublier où j’étais, ça fait maintenant plus de 20 minutes que j’attendais. J’allais prendre mon téléphone pour appeler mon patron et lui demander ce que je devais faire quand mon téléphone sonna. Je répondais le cœur battant.
- Allô
- Tu vas bien écouter ce que je vais te dire.
- Euh… Ou...Oui
- Je veux être sur que tu n’as pas de micro, retire ton haut et ta jupe
- Pardon ?
- Je ne répèterai pas ! Fais-le maintenant !
Cette voix était très autoritaire, je ne savais pas quoi faire. Je savais que ces documents étaient important mais me déshabiller ainsi au milieu de nulle part où tout le monde pouvait me voir. Je n’avais vu personne, mais on ne sait jamais.
Je regardais autour de moi et je posais le téléphone et mode haut parleur à coté de moi. Je retirais mon t-shirt et ma jupe. Ca faisait du bien, j’avais tellement chaud que je transpirais. J’imaginais que la personne pouvait me voir, je le cherchais des yeux mais ne vit personne.
- Très bien, maintenant, fait un tour sur toi-même doucement
Je m’exécutais lentement pour bien lui montrer que je n’avais pas de micro. Je me dis qu’il avait du voir et que maintenant je pouvais me rhabiller. Je commençais donc, à prendre mon t-shirt. Et là, je l’entendis crier au téléphone.
- Qu’est ce que tu fous salope ? Je ne t’ai pas dit de te rhabiller !
Je restais pétrifiée. Ce type me faisait peur. Je regardais autour de moi. Ma voiture était garée un peu plus loin, mais courir comme ça en slip jusqu’à elle, me paraissait un peu difficile. D’autant que je ne savais pas où était l’homme. J’en étais là de mes réflexions lorsqu’il repris.
- Tu retires ton soutien gorge et ton slip, on ne sait jamais, les femmes sont vicieuses.
Je restais sans voix. Je décidais de le faire néanmoins, si je lui montrais que je n’avais rien, je pourrais me rhabiller ensuite. Je retirais mon soutien gorge et mon slip rapidement. J’avais mouillé en pensant au contrat que nous avions signé mon patron et moi même. Et il y avait une trace sur mon slip. J’eus un peu honte mais me dit que l’homme ne pouvait pas le voir d’où il était.
- Je vois que la situation t’excite salope ! Tu fais les mijaurées et tu mouilles !
- Non, pas du tout, je…
Je ne savais pas quoi dire, il devait être très près de moi pour voir ça. Je restais debout les bras ballants, droite comme un « i », essayant de garder un peu de contenance.
- Tu es bandante, tu sais ! Jette tes vêtements aussi loin que possible derrière toi et assied-toi !
Je fis ce qu’il me dit et fus contente de m’asseoir, je croisais les jambes.
- Qui t’as dit de croiser les jambes ? ! Assieds toi et écarte les jambes que je vois bien si tu n’as rien sur toi. Mets toi au bord du banc, je veux voir ta chatte mouillée.
Ses paroles et son ton me faisaient mouiller encore plus. C’était gênant, je luttais, mais mon corps me rappelait à l’ordre. J’aimais la situation et je la trouvais excitante. Le danger, le fait que n’importe qui pouvait arriver d’un moment à l’autre m’excitait. Mes seins commençaient à pointer malgré la chaleur.
- Je vois que ça t’excite ! On va bien s’amuser tous les deux.
- Non, je ne suis pas venue pour ça. Prenez votre enveloppe et donnez moi les documents en échange et je m’en vais.
- Ta gueule ! C’est moi qui décide ici ! Tu vas écarter tes cuisses salope et tu vas me montrer ta chatte en écartant avec tes doigts !
Il avait l’air furieux, je me dis que ce pauvre type voulais se rincer l’œil et qu’il avait peut être une arme. Je fis ce qu’il me dit. J’écartais au maximum les cuisses au bord du banc et posais ma main au dessus de mon sexe. J’écartais avec les doigts.
- Tu vas te toucher les seins avec ton autre main.
- Mais quelqu’un peut arriver, je vous en prie, prenez l’enveloppe, donnez moi les documents et laissez moi partir
- Je ne veux plus t’entendre ! C’est moi qui parle maintenant. Je te dis de te toucher les seins salope ! Maintenant !
Je posais ma main libre sur mes seins mouillés de transpiration, j’avais de plus en plus chaud à cause de la situation. Ma main caressait mes seins. Et instinctivement mes doigts touchèrent mon clitoris. Je m’en rendis compte et retirais ma main.
- Qui t’as dit d’arrêter ! ? Remets ta main et branle toi, je veux te voir te caresser le clito alors écarte bien et pince toi tes gros seins !
Je ne disais plus rien, je replaçais ma main sur mon sexe et écartais mes lèvres. Je ne savais pas s’il pouvait bien voir. Je mis mon clito à jour et commençais des va et viens lentement. De l’autre main je caressais mes seins et pinçais mes tétons.
- Vas plus vite, je veux te voir mouiller encore plus, je sais que ça t’excite de te montrer comme ça salope !
Les mots crus qu’il utilisait me faisaient mouiller, j’allais plus vite comme il me demandait et bien entendu je mouillais de plus en plus. Ca coulait entre mes fesses. Ne pas savoir où il était m’excitais encore plus. Savoir que quelqu’un pouvais arriver en voiture et me voir ainsi les cuisses ouvertes de manière indécente sur ce banc, m’excitais aussi.
- T’aimes ça hein de te branler dans la rue ? Dis le !
Je ne répondis pas.
- Dis le ! Répète après moi « je suis une salope, j’aime me branler dans la rue »
Je répétais sans conviction. Il s’énerva et j’eus peur qu’il ne vienne alors je me repris vite.
- Je suis une sa.. salope, j’adore me branler dans la rue
- Ah ben voilà… je le savais. Arrête. Retourne toi et met toi face au le banc. Le cul tendu en arrière. Penche toi bien.
Je renonçais à me rebeller. J’étais pressée que ça finisse. Et je commençais à trouver ça agréable. Je n’avais qu’une peur c’est que quelqu’un arrive. Alors autant aller vite.
- C’est bien écarte les cuisses, je veux voir ton cul. Mets tes mains pour me montrer ton cul. Tu aimes te faire enculer ?… réponds !
- Je… euh… je …
- Réponds salope ! T’aimes sentir des bites dans ton cul ?
- Je… oui j’aime
- T’aime quoi, je veux t’entendre
- Oui, j’aime sentir des bites dans mon cul
- Bien…écarte plus, je veux voir si ton petit trou est dilaté
J’écartais avec mes mains le plus que je pouvais vu la position inconfortable. Cela m’obligea à me pencher plus.
- Oui, on voit que t’as l’habitude de te faire défoncer le cul. Mouille un doigt et met le dans ton cul.
Je mouillais un doigt avec beaucoup de salive et le plaçait devant mon anus. Je poussais et le fis rentrer.
- Ouais c’est bien salope ! Maintenant sors ton doigt et mets le dans ta bouche. Retourne ta tête je veux te voir le faire. Oui c’est ça, c’est bon, tu aimes ça, hein ?
Je n’eus pas le temps de répondre.
- Maintenant mets deux doigts et fait les bouger, je veux qu’ils rentrent complètement.
Je mouillais deux doigts, j’écartais toujours avec ma main, je rentrais deux doigts et les faisaient bouger d’avant en arrière. Ils glissaient facilement, et c’était bon, j’aimais me faire ça quand j’étais seule. Je me caresse le clito en même temps et ça me fait jouir.
- Cool, t’es trop bonne, t’es trop salope ! Tu prends ta bouteille de coca vide à coté de toi et tu te la mets dans le cul. Je ne veux pas t’entendre, rappelle toi, je te regarde.
Je pris ma bouteille et la mouillais avec ma bouche. Heureusement j’avais déjà pris de trucs plus gros que ça. Le goulot était petit. Je le fis entrer doucement et le ressortais.
- Qui t’as dit de le retirer ? Tu te le mets dans le cul et tu pousses jusqu’à ce que ça tienne tout seul. Oui c’est ça, pousse, t’aime ça. Imagine que c’est une grosse queue qui te défonce le cul. Je sais que tu aimes ça salope !
Je poussais jusqu’à ce que ça tienne tout seul, heureusement, ce n’était pas trop gros. Mais ce gode improvisé me faisait du bien. Je ne voulais pas le montrer. Il m’avait excité le bougre, j’étais pressée de rentrer pour recommencer et me caresser jusqu’à l’orgasme.
- C’est bien redresse toi ! Je veux te voir marcher avec ton gode dans le cul. T’es bandante comme ça.
Je faisais quelques pas le long du banc, le bouteille bougeait dans moi, c’était trop bon.
- Mets toi sur le bord du banc écarte les cuisses et caresses toi. On arrêtera quand t’auras jouis en me criant que t’es une salope qui aime se branler dans la rue avec une bouteille de coca dans le cul.
Je m’assis sur le bord du banc, la bouteille pendait entre mes cuisses. J’écartais les jambes et me caressais le clito en écartant pour bien lui montrer. De temps en temps je rentrais un doigt dans ma chatte et je le faisais aller et venir. Je savais que cela me ferait venir plus vite.
- Vas – y cries ! Je veux t’entendre crier salope ! Dis le que t’aime ça, te faire défoncer par des godes et te caresser dans la rue !
- Oui, oui ! Ouuuuuuuuuuuuiiiiiiii ! J’ai.. J’aime ça ! J’aime me faire défoncer le cul par un gros gode et me caresser le clito dans la rue ! Je suis une salope !
Et j’eus un orgasme, dans cette position du liquide coula entre mes jambes tellement j’avais jouis.
J’avais perdu pied avec la réalité. Je regardais autour de moi. L’enveloppe avait disparu !!! Mince, je regardais partout. Il y avait une autre enveloppe à la place. Et un petit mot « bravo pour cette performance, mademoiselle ». C’était étrange ce ton solennel après tout ce qu’il m’avait dit au téléphone. Je ramassais mes affaires et constatais que mon string avait disparu. Etait-ce lui ou un spectateur chanceux ? Je ne saurais jamais. Mais je ramenais l’enveloppe à mon patron. Mission accomplie !
J’étais là depuis déjà 10 bonnes minutes qui me paraissaient interminables, le téléphone portable à la main et l’enveloppe près de moi. Il faisait une chaleur incroyable, le banc n’était pas complètement à l’ombre. Mais quand ce téléphone allait-il se décider à sonner ?
Comment avais-je pu me retrouver dans cette situation ? J’avais un peu peur de ce qui allait se passer, mon patron m’avait demandé de me rendre à ce rendez-vous parce qu’il avait une totale confiance en moi. C’est vrai que nous travaillons ensemble depuis déjà quelques temps et que notre relation est pour le moins particulière. J’acceptais de me plier à tous ses caprices sexuels et en échange j’avais un salaire et des horaires confortables. L’homme n’était pas non plus pour me déplaire. Cette situation était donc parfaite pour moi. Il m’a fait découvrir des facettes de ma personnalité que je ne soupçonnais pas et à chaque fois mes limites sont dépassées. La première fois que nos rapports professionnels ont changé, je l’ai aidé à faire signer un gros contrat. Il avait organisé un dîner d’affaire chez lui auquel j’étais conviée. Je suis arrivée habillée en parfaite petite secrétaire, tailleur avec jupe droite, chignon, talons, bas et sous vêtements sages. Nous étions à la fin du dîner et toujours pas de signature, il a demandé à ses clients ce qui pourrait leur faire changer d’avis pour la signature du fameux contrat. Et il leur a dit « je peux vous proposer les services personnels de ma secrétaire ». J’ai pris un air outré et j’ai failli sortir de table. Mon patron a mis la main sur mon bras pour m’apaiser, je me suis dit que c’était une blague et qu’il ne fallait pas que je fasse ma mijaurée. A ma grande surprise, ils ont pris l’offre de mon patron au sérieux, ils ont accepté à condition que ne soit pas contre ma volonté.
Nous nous sommes éloignés mon patron et moi même pour en « discuter ». Au fond de moi une petite voix me disait d’accepter car les hommes étaient plutôt attirants et que je n’aurais peut être jamais l’occasion de revivre un moment pareil, et ma raison et ma bonne éducation me poussaient à refuser. Mon patron m’a promis monts et merveilles et m’a promis qu’il arrêterait si ça tournait mal. J’avais confiance en lui, j’acceptais. Mon patron est retourné vers eux en leur disant que j’étais d’accord contre une petite compensation (mon argent de poche…). L’affaire était dans le sac. Et moi, j’avais la trouille.
J’ai dû faire ce qu’ils me demandaient. Quand ils me demandèrent de me déshabiller, je retirais ma veste en hésitant et lentement pour gagner du temps. Du temps pour quoi, je ne sais pas exactement, mais ça me donnait bonne conscience. Je ne cédais pas trop vite. Mais au fond de moi je sentais l’excitation monter. Les quelques verres de vin que j’avais pris à table, n’y étaient pas pour rien. J’ouvrais mon chemisier et le laissais tomber par terre. J’étais en jupe et soutien gorge. Je me retournais pudiquement pour retirer ma jupe et de dos, je la fis glisser le long de mes jambes. J’étais en sous vêtements, sobres mais classes et en bas auto collant. J’avais gardé mes talons, sachant que cela mettait en valeur mes fesses. Je défis mon chignon et restais de dos, je commençais à onduler du bassin doucement en écartant les jambes. Mes mains se posaient sur mon dos, mes fesses, mes jambes lentement comme si je suivais le rythme d’une musique. Je fis mine de descendre mon string en plaçant deux doigts de chaque coté et je me ravisais, ils eurent la vision de mon cul pendant quelques secondes et je replaçais mon string en suivant le tracé avec le doigt. Je dégrafais mon soutien gorge et descendais les bretelles de mon soutien gorge, toujours de dos. Je gardais une main sur mes seins pudiquement en me retournant et continuais à me caresser le corps. Ma main allait sur ma nuque, dans mes cheveux, je renversais la tête et fis mine de me caresser le sexe à travers mon string. Je relâchais mes seins pour les montrer et les caressais lentement comme quand je me retrouvais seule devant ma glace parfois. Je posais mes mains sur mes seins et les malaxais lentement pour faire pointer les tétons puis je m’attardais sur les tétons en les caressant avec les paumes des mains et en les prenant à deux doigts pour les pincer doucement. Cette caresse me fit mouiller encore plus et je me rappelais soudain de l’endroit où je me trouvais. Je ne pouvais pas faire marche arrière. Je me retournais de nouveau et me penchais jambes tendues pour retirer mon string. J’étais nue. Enfin presque, il restait mes bas et mes talons. Je vis que les deux hommes avaient retiré leur pantalon et se caressaient le sexe en me regardant. L’un d’eux s’approcha de moi me retourna et mis ses mains sur mes seins, il les malaxa et en pris un dans sa bouche. Il caressait l’autre en même temps. Sa bouche tétait, suçotait et léchait mon téton pendant que sa main pinçait l’autre de plus en plus fort. Il échangea les rôles et pendant que sa langue apaisait la douleur sur les tétons qu’il avait pincé, ses doigts pinçaient l’autre en le faisant rouler lentement puis plus rapidement. J’étais partagé entre la douleur et le bien que me faisait sa bouche. Je ne résistais pas et gémissais sous la caresse. J’étais vaincue, j’en voulais plus. Son acolyte s’approcha et passa sa main sur mon sexe. J’ouvris les cuisses machinalement et je sentis une langue s’immiscer entre mes lèvres et aller titiller mon clitoris déjà en érection. Cette caresse m’électrifia et je sentais la jouissance venir. A ce moment là, ils s’arrêtèrent, j’étais frustrée, j’en voulais plus, je voulais jouir. J’ouvris les yeux suppliants, je voulais qu’ils continuent. Ils me regardèrent et reprirent de plus belle, j’étais en transe. Ils me disaient « Tu aimes, tu veux qu’on continue », je répondais par des murmures « oui, continuez, oui, encore ». Ils me disaient « Dis nous que tu aimes ça, dis nous que tu aimes la bite et que tu en veux encore ». J’étais en transe, je dis timidement « oui j’aime continuez ». Les mots qu’ils me disaient me faisaient mouiller de plus belle, je voulais qu’ils continuent. Je sentais de nouveau la jouissance venir, et ils s’arrêtèrent de nouveau. Je n’en pouvais plus, celui que me caressait les seins, me pris dans ses bras et m’apaisa un peu. Il me murmura à l’oreille « tu veux qu’on continue ? », je répondais « oui, continuez ». Ils reprirent leur caresses plus rapidement cette foi, j’étais eu bord de l’orgasme mais j’avais peur qu’ils arrêtent. L’un d’eux me dit « Dis nous que tu aimes, que tu en veux encore » et là, je me surpris à répéter tous ce qu’il me disait « Oui, continuez, je veux jouir, encore, c’est trop bon ». L’autre repris « Tu veux nos bites au fond de toi ? » Et je dis « Oui, je veux vos bites au fond de moi, je veux vous sentir au fond de moi, défoncez moi, je veux jouir !!!!! » Je criais presque, je ne me reconnaissais pas.
Et j’eus un orgasme phénoménal. J’avais les jambes qui tremblaient. Je ne savais plus où j’étais. Je voulais juste revivre ce moment. J’étais en nage.
Ils ne me laissèrent pas le temps de reprendre mes esprits, l’un deux me fis mettre à genoux et me plaça sa bite dans ma bouche et me disant « Tu la voulais, hein, tu l’attendais, elle est belle, cette grosse queue, tu voulais la goûter ». L’autre se plaça derrière moi et me pénétra d’un coup. C’était trop bon, je bougeais pour bien le sentir au fond de moi, tout mon corps était en ébullition. Ils me pistonnaient en même temps. Ils changèrent de position et celui qui était dans ma bouche se plaça derrière moi, il rentra plusieurs fois rapidement dans ma chatte, je sentais l’orgasme venir. Il ralentit et l’autre retira sa bite de ma bouche, il me dit « demande la, dis nous que tu la veux dans ta bouche ». Je répétais « oui, viens, je te veux dans ma bouche », et j’avançais la tête vers ce sexe tendu et offert. Il reviens dans ma bouche tandis que l’autre se retirais et se plaçais sur mon cul et me pénétra lentement, J’allais protester mais je reçu une claque sur les fesses. Il ne me faisait pas mal, j’étais très mouillée, mais les sensations étaient nouvelles et je pensais que ça n’était pas correct. L’homme devant moi me pistonnait encore plus vite et j’oubliais bientôt les convenances. Il me dit « tu aimes avoir une bite dans ta bouche et une autre dans ton cul » Dis le que tu aimes ça ! Je ne pouvais pas répondre bien entendu, mais ses paroles m’excitaient encore plus. Il se retira se ma bouche et jouis sur mon visage en tenant son sexe vers moi. L’autre me pistonnait toujours et je sentais que j’étais eu bord de l’orgasme. Cette fois ci, je dis sans qu’on me le demande « vas-y continues ! Oui, bien au fond ! Comme ça oui !!!!! Je jouis !!! » Nous avons eu un orgasme quasiment en même temps. Il s’est retiré lentement et je sentis une autre queue se positionner sur mon anus. Je tournais la tête, c’était mon patron !
Il avait assisté à la scène et avait le sexe bien tendu. Je ne savais pas quoi faire, il ne me donna pas le temps de réfléchir, il rentra d’un coup dans mon cul déjà tout dilaté et commença ses va et viens. J’étais encore tout excitée, il mettais des claques sur mes fesses, sans violence et fermement. J’étais penchée en avant sur les coudes et je le laissais faire, j’étais sur un nuage, j’avais déjà eu plusieurs orgasmes d’affilée et sentais un nouvel orgasme arriver.
Il ralentit la cadence et repris plus vite, je sentais son sexe gonfler en moi et il s’accrochait à mes fesses en les griffant, j’eus un nouvel orgasme en même temps que lui.
Voilà la première fois que mon patron m’a prise, c’était par derrière… Depuis, nous avons eu d’autres occasions, mais en restant toujours professionnels. Nous ne nous voyons pas en dehors du boulot et nous avons chacun nos vies.
Le fait de penser à cette première fois m’a fait complètement oublier où j’étais, ça fait maintenant plus de 20 minutes que j’attendais. J’allais prendre mon téléphone pour appeler mon patron et lui demander ce que je devais faire quand mon téléphone sonna. Je répondais le cœur battant.
- Allô
- Tu vas bien écouter ce que je vais te dire.
- Euh… Ou...Oui
- Je veux être sur que tu n’as pas de micro, retire ton haut et ta jupe
- Pardon ?
- Je ne répèterai pas ! Fais-le maintenant !
Cette voix était très autoritaire, je ne savais pas quoi faire. Je savais que ces documents étaient important mais me déshabiller ainsi au milieu de nulle part où tout le monde pouvait me voir. Je n’avais vu personne, mais on ne sait jamais.
Je regardais autour de moi et je posais le téléphone et mode haut parleur à coté de moi. Je retirais mon t-shirt et ma jupe. Ca faisait du bien, j’avais tellement chaud que je transpirais. J’imaginais que la personne pouvait me voir, je le cherchais des yeux mais ne vit personne.
- Très bien, maintenant, fait un tour sur toi-même doucement
Je m’exécutais lentement pour bien lui montrer que je n’avais pas de micro. Je me dis qu’il avait du voir et que maintenant je pouvais me rhabiller. Je commençais donc, à prendre mon t-shirt. Et là, je l’entendis crier au téléphone.
- Qu’est ce que tu fous salope ? Je ne t’ai pas dit de te rhabiller !
Je restais pétrifiée. Ce type me faisait peur. Je regardais autour de moi. Ma voiture était garée un peu plus loin, mais courir comme ça en slip jusqu’à elle, me paraissait un peu difficile. D’autant que je ne savais pas où était l’homme. J’en étais là de mes réflexions lorsqu’il repris.
- Tu retires ton soutien gorge et ton slip, on ne sait jamais, les femmes sont vicieuses.
Je restais sans voix. Je décidais de le faire néanmoins, si je lui montrais que je n’avais rien, je pourrais me rhabiller ensuite. Je retirais mon soutien gorge et mon slip rapidement. J’avais mouillé en pensant au contrat que nous avions signé mon patron et moi même. Et il y avait une trace sur mon slip. J’eus un peu honte mais me dit que l’homme ne pouvait pas le voir d’où il était.
- Je vois que la situation t’excite salope ! Tu fais les mijaurées et tu mouilles !
- Non, pas du tout, je…
Je ne savais pas quoi dire, il devait être très près de moi pour voir ça. Je restais debout les bras ballants, droite comme un « i », essayant de garder un peu de contenance.
- Tu es bandante, tu sais ! Jette tes vêtements aussi loin que possible derrière toi et assied-toi !
Je fis ce qu’il me dit et fus contente de m’asseoir, je croisais les jambes.
- Qui t’as dit de croiser les jambes ? ! Assieds toi et écarte les jambes que je vois bien si tu n’as rien sur toi. Mets toi au bord du banc, je veux voir ta chatte mouillée.
Ses paroles et son ton me faisaient mouiller encore plus. C’était gênant, je luttais, mais mon corps me rappelait à l’ordre. J’aimais la situation et je la trouvais excitante. Le danger, le fait que n’importe qui pouvait arriver d’un moment à l’autre m’excitait. Mes seins commençaient à pointer malgré la chaleur.
- Je vois que ça t’excite ! On va bien s’amuser tous les deux.
- Non, je ne suis pas venue pour ça. Prenez votre enveloppe et donnez moi les documents en échange et je m’en vais.
- Ta gueule ! C’est moi qui décide ici ! Tu vas écarter tes cuisses salope et tu vas me montrer ta chatte en écartant avec tes doigts !
Il avait l’air furieux, je me dis que ce pauvre type voulais se rincer l’œil et qu’il avait peut être une arme. Je fis ce qu’il me dit. J’écartais au maximum les cuisses au bord du banc et posais ma main au dessus de mon sexe. J’écartais avec les doigts.
- Tu vas te toucher les seins avec ton autre main.
- Mais quelqu’un peut arriver, je vous en prie, prenez l’enveloppe, donnez moi les documents et laissez moi partir
- Je ne veux plus t’entendre ! C’est moi qui parle maintenant. Je te dis de te toucher les seins salope ! Maintenant !
Je posais ma main libre sur mes seins mouillés de transpiration, j’avais de plus en plus chaud à cause de la situation. Ma main caressait mes seins. Et instinctivement mes doigts touchèrent mon clitoris. Je m’en rendis compte et retirais ma main.
- Qui t’as dit d’arrêter ! ? Remets ta main et branle toi, je veux te voir te caresser le clito alors écarte bien et pince toi tes gros seins !
Je ne disais plus rien, je replaçais ma main sur mon sexe et écartais mes lèvres. Je ne savais pas s’il pouvait bien voir. Je mis mon clito à jour et commençais des va et viens lentement. De l’autre main je caressais mes seins et pinçais mes tétons.
- Vas plus vite, je veux te voir mouiller encore plus, je sais que ça t’excite de te montrer comme ça salope !
Les mots crus qu’il utilisait me faisaient mouiller, j’allais plus vite comme il me demandait et bien entendu je mouillais de plus en plus. Ca coulait entre mes fesses. Ne pas savoir où il était m’excitais encore plus. Savoir que quelqu’un pouvais arriver en voiture et me voir ainsi les cuisses ouvertes de manière indécente sur ce banc, m’excitais aussi.
- T’aimes ça hein de te branler dans la rue ? Dis le !
Je ne répondis pas.
- Dis le ! Répète après moi « je suis une salope, j’aime me branler dans la rue »
Je répétais sans conviction. Il s’énerva et j’eus peur qu’il ne vienne alors je me repris vite.
- Je suis une sa.. salope, j’adore me branler dans la rue
- Ah ben voilà… je le savais. Arrête. Retourne toi et met toi face au le banc. Le cul tendu en arrière. Penche toi bien.
Je renonçais à me rebeller. J’étais pressée que ça finisse. Et je commençais à trouver ça agréable. Je n’avais qu’une peur c’est que quelqu’un arrive. Alors autant aller vite.
- C’est bien écarte les cuisses, je veux voir ton cul. Mets tes mains pour me montrer ton cul. Tu aimes te faire enculer ?… réponds !
- Je… euh… je …
- Réponds salope ! T’aimes sentir des bites dans ton cul ?
- Je… oui j’aime
- T’aime quoi, je veux t’entendre
- Oui, j’aime sentir des bites dans mon cul
- Bien…écarte plus, je veux voir si ton petit trou est dilaté
J’écartais avec mes mains le plus que je pouvais vu la position inconfortable. Cela m’obligea à me pencher plus.
- Oui, on voit que t’as l’habitude de te faire défoncer le cul. Mouille un doigt et met le dans ton cul.
Je mouillais un doigt avec beaucoup de salive et le plaçait devant mon anus. Je poussais et le fis rentrer.
- Ouais c’est bien salope ! Maintenant sors ton doigt et mets le dans ta bouche. Retourne ta tête je veux te voir le faire. Oui c’est ça, c’est bon, tu aimes ça, hein ?
Je n’eus pas le temps de répondre.
- Maintenant mets deux doigts et fait les bouger, je veux qu’ils rentrent complètement.
Je mouillais deux doigts, j’écartais toujours avec ma main, je rentrais deux doigts et les faisaient bouger d’avant en arrière. Ils glissaient facilement, et c’était bon, j’aimais me faire ça quand j’étais seule. Je me caresse le clito en même temps et ça me fait jouir.
- Cool, t’es trop bonne, t’es trop salope ! Tu prends ta bouteille de coca vide à coté de toi et tu te la mets dans le cul. Je ne veux pas t’entendre, rappelle toi, je te regarde.
Je pris ma bouteille et la mouillais avec ma bouche. Heureusement j’avais déjà pris de trucs plus gros que ça. Le goulot était petit. Je le fis entrer doucement et le ressortais.
- Qui t’as dit de le retirer ? Tu te le mets dans le cul et tu pousses jusqu’à ce que ça tienne tout seul. Oui c’est ça, pousse, t’aime ça. Imagine que c’est une grosse queue qui te défonce le cul. Je sais que tu aimes ça salope !
Je poussais jusqu’à ce que ça tienne tout seul, heureusement, ce n’était pas trop gros. Mais ce gode improvisé me faisait du bien. Je ne voulais pas le montrer. Il m’avait excité le bougre, j’étais pressée de rentrer pour recommencer et me caresser jusqu’à l’orgasme.
- C’est bien redresse toi ! Je veux te voir marcher avec ton gode dans le cul. T’es bandante comme ça.
Je faisais quelques pas le long du banc, le bouteille bougeait dans moi, c’était trop bon.
- Mets toi sur le bord du banc écarte les cuisses et caresses toi. On arrêtera quand t’auras jouis en me criant que t’es une salope qui aime se branler dans la rue avec une bouteille de coca dans le cul.
Je m’assis sur le bord du banc, la bouteille pendait entre mes cuisses. J’écartais les jambes et me caressais le clito en écartant pour bien lui montrer. De temps en temps je rentrais un doigt dans ma chatte et je le faisais aller et venir. Je savais que cela me ferait venir plus vite.
- Vas – y cries ! Je veux t’entendre crier salope ! Dis le que t’aime ça, te faire défoncer par des godes et te caresser dans la rue !
- Oui, oui ! Ouuuuuuuuuuuuiiiiiiii ! J’ai.. J’aime ça ! J’aime me faire défoncer le cul par un gros gode et me caresser le clito dans la rue ! Je suis une salope !
Et j’eus un orgasme, dans cette position du liquide coula entre mes jambes tellement j’avais jouis.
J’avais perdu pied avec la réalité. Je regardais autour de moi. L’enveloppe avait disparu !!! Mince, je regardais partout. Il y avait une autre enveloppe à la place. Et un petit mot « bravo pour cette performance, mademoiselle ». C’était étrange ce ton solennel après tout ce qu’il m’avait dit au téléphone. Je ramassais mes affaires et constatais que mon string avait disparu. Etait-ce lui ou un spectateur chanceux ? Je ne saurais jamais. Mais je ramenais l’enveloppe à mon patron. Mission accomplie !
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