La motarde - 3
Récit érotique écrit par DocUS [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-06-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La motarde - 3
A la hauteur d’Avignon, la grosse cylindrée quitta la Nationale 7 pour s’engager sur la D22, puis la Nationale 100 en direction d’Apt. Par des routes de plus en plus étroites, elle atteignit enfin le but de son voyage, une belle maison rénovée au milieu des arbres. Arrêtant la Honda devant le perron, Carole klaxonna puis coupa le moteur.
A peine eût-elle enlevée son casque et ses gants, qu’une fille blonde et élancée se précipitait vers elle pour l’embrasser.
Anna, la propriétaire, était grande et fine, ses cheveux très raides et qu’elle portait libres, descendaient jusqu’au milieu de son dos et allongeaient encore sa silhouette. Son visage hâlé mettait en valeur d’immenses yeux verts qui, alliés à sa bouche sensuelle, lui donnaient un air incroyablement salope. Pieds nus, son corps mince à la scandinave, était revêtu d’une légère chemise afghane dont la transparence permettait d’admirer les larges aréoles de ses seins minuscules, qui compensaient leur peu de volume en exhibant deux larges cercles foncés au centre desquels pointaient fièrement de longs tétons bruns, presque déplacés sur cette peau de blonde. On pouvait aussi constater qu’elle ne portait en dessous qu’un string réduit au minimum et qui découvrait sa croupe androgyne. Souriante, elle se pencha légèrement et déposa un petit baiser sur les lèvres de l’arrivante.
- Enfin ! Tu ne devais pas arriver plus tôt ? Tu es presque la dernière. Jill et Marc sont là depuis hier soir et Richard fume d’impatience devant le barbecue allumé.
- Désolée, ça a bien roulé, mais j’ai dû m’arrêter plusieurs fois.
- Rien de grave ?
- Non, au contraire, rien que de très agréable.
- Oh, notre petite vicieuse a encore fait des ravages sur sa route ? Tu nous raconteras ?
- Promis. Frank est là ?
- Pas encore. J’ai dit que tu étais presque la dernière. Mais ne t’inquiète pas, il sait que tu viens, il ne va pas tarder. Viens, on en est à l’apéro.
Les deux filles contournèrent la maison pour rejoindre la grande piscine située sur l’arrière, en bord de pinède. Un choeur approbateur les accueillit. Trois personnes étaient étendues dans des chaises longues, à l’ombre d’un vélum bleu et blanc qui les protégeait des ardeurs du soleil de la mi-journée. Carole se baissa pour embrasser un grand garçon brun très musclé, moulé dans un maillot de bain mettant bien en valeur ses avantages naturels.
- Salut, Richard, désolée d’arriver si tard. Il reste à manger ?
- Bien sûr, on t’a attendue ma belle. Maintenant que tu es là, tout va bien.
Tout en l’embrassant sur la joue, il lui caressa la cuisse très haut sous la mini. Elle laissa traîner sa main un peu trop longtemps sur ses pectoraux bien bronzés.
La chaise longue suivante était occupée par une longue fille d’un noir d’ébène, vêtue d’un maillot deux-pièces ultra réduit dont le jaune vif faisait ressortir sa carnation foncée. Elle sauta sur ses pieds pour enlacer la nouvelle venue, la pressant contre son corps d’une dureté stupéfiante. D’origine américaine, Jill s’était installée en France pour travailler comme mannequin. A la voir, on comprenait le pourquoi de sa réussite.
Des jambes interminables, sans un atome de graisse, portaient une taille si fine qu’on l’eût dit étranglée par un corset si elle n’avait été si peu couverte. Par contraste, ses hanches étaient extraordinairement épanouies. Ses fesses, aussi fermes et rondes que celles de Carole, mais plus grosses en raison de sa taille, aspiraient littéralement la ficelle du bas de son maillot, qui passait entre elles pour ressortir devant, entre ses grandes lèvres très charnues. C’était là l’originalité de son maillot, un vrai string ficelle devant et derrière. La fine cordelette ne cachait rien de son pubis épilé, ne faisant que souligner la fente de son sexe. Un vêtement difficile à porter sur une plage publique En haut, deux minuscules triangles jaunes dissimulaient de justesse ses mamelons, laissant exposée la plus grande partie de ses seins fermes qui s’enfoncèrent dans ceux de Carole, tandis qu’elle l’embrassait à pleine bouche. Sa poitrine, pourtant opulente, était insolemment braquée vers le ciel. Deux obus noirs qui n’avaient besoin d’aucun soutien.
Marc fut le dernier à accueillir la motarde. Il se leva pour lui tendre les bras et l’enlacer. La tenant carrément par les fesses, il la serra contre lui tendrement et elle put sentir un début d’érection contre son ventre. Dégagée de son étreinte, elle constata qu’il bandait à demi dans son maillot.
- Quel accueil ! si j’avais su j’aurais roulé plus vite.
- Lâcheuse ! on est tous ravis de te voir enfin. Mais tu ne sais pas ce que tu as perdu hier soir...
- Vous êtes déjà passés à l’action ? Ça urgeait à ce point ?
- Bien sûr, tu sais, nous, la télé le soir... et puis il fallait bien garder la forme en attendant d’être tous réunis.
Un pastis à la main, Carole s’allongea à l’ombre pour entendre ses amis lui raconter leur première soirée érotique de l’été. Les vacances allaient être bonnes.
Jill et Marc étaient arrivés vers sept heures du soir, et après une douche réparatrice, ils s’étaient changés et avaient retrouvé Anna et Richard au bord de la piscine qui serait le lieu central de leur vie estivale.
Les hommes avaient fait le service des boissons, puis s’étaient chargés du barbecue pendant que les filles préparaient une salade. Après le repas, verre à la main, tous les quatre s’étaient allongés dans des sièges au bord de l’eau.
Constatant que son verre était vide, Anna l’avait tendu au dessus de sa tête.
- Alors barman ? On laisse les jolies filles se dessécher ? Avait-elle lancé à la cantonade.
- Que Madame m’excuse, avait rétorqué Marc, les formes de Madame me font oublier mon service.
Il avait versé une grande rasade de Chartreuse verte sur des glaçons et lui avait remis son verre en main. Dans le même mouvement, il se penchait sur elle pour glisser dans la bouche parfumée par l’alcool sucré une langue inquisitrice. D’une main caressante, il enveloppa un petit sein qui frémit sous le contact de la main virile, pourtant atténué par le contact de la chemise de coton blanc que portait Anna. Faisant glisser ses doigts, il contourna le tissu largement échancré et vint au contact de la peau soyeuse du buste de la fille. Connaissant ses goûts, il saisit aussitôt le mamelon pour le malaxer avec force. Anna gémit sous la caresse brutale, elle adorait ça. Ses tétons se gonflèrent de désir, prenant des proportions incroyables.
Il était étonnant de voir comment une poitrine si discrète pouvait porter ces longues pointes érectiles et sensibles. Lorsqu’on les faisait rouler entre deux doigts, elles s’allongeaient presque instantanément jusqu’à atteindre plus de deux centimètres de longueur. Dans le même temps elles grossissaient en diamètre, pour devenir deux framboises gonflées de sang, turgescentes et tendues à se rompre. Anna gémissait en se cambrant pour mieux exposer ses seins. Sa poitrine était si sensible qu’elle pouvait jouir rien qu’avec ce type d’attouchement.
Marc ne perdait pas son temps. Il s’était agenouillé près de la grande blonde et lui avait empoigné les seins à deux mains, les froissant dans ses larges paumes et suçant avidement les deux bourgeons maintenant complètement développés. La fille avait posé son verre pour saisir la tête de l’homme, qu’elle pressait fort contre ses mamelons.
Debout près du bar d’extérieur, Jill et Richard se lancèrent un regard amusé et lourd de sous-entendus.
- Ça t’excite ? demanda-t-il.
- Pas toi ?
- Si, au contraire. Tu vas être obligé de te surpasser pour me calmer.
Joignant le geste à la parole, elle lui avait directement mis la main à la braguette et avait senti se développer sous ses doigts une érection impressionnante. Comme dans ses souvenirs, Richard était monté comme un Dieu. Se rapprochant de lui pour coller sa bouche pulpeuse dans son cou, elle avait entamé un lent massage, à pleine main, pour le faire bander plus dur. Fouineuse, elle évaluait le volume de la verge roide. La hampe dressée palpitait au creux de sa paume. Le contact du membre était si réel qu’elle comprit qu’il ne portait rien sous la toile légère. Elle descendit soupeser les bourses pleines qui flottaient librement entre les jambes du beau brun qu’elle serrait contre sa poitrine.
Elle ouvrit la chemise de l’homme pour pouvoir caresser sa poitrine velue. Lui, avait retroussé le haut moulant de la belle branleuse pour profiter de la fermeté de ses seins gonflés, il la serra davantage contre lui et les deux cônes pointus s’enfoncèrent dans son torse, le faisant frissonner sous leur contact élastique. Il y porta les mains et s’amusa à les presser l’un contre l’autre, agaçant les bouts avec ses pouces.
La main de la fille était revenue agripper son membre bandé. Elle le masturbait franchement dans son pantalon. Du pouce, elle accrocha le zip, ouvrit le vêtement et tomba à genoux, amenant l’énorme mandrin congestionné à la hauteur de son visage. L’empoignant à deux mains, elle fit coulisser le prépuce en arrière aussi loin qu’elle le pût, découvrant le gland frémissant de désir. Elle le branla profondément, faisant glisser la peau sur la muqueuse sensible. A chaque montée, elle recouvrait l’énorme champignon qui couronnait le dard puissant, pour mieux le faire réapparaître sous ses yeux avides. Elle était toujours étonnée par la grosseur de ce membre, disproportionné par rapport à la taille moyenne de celui qui le portait. Ne lâchant pas des yeux l’objet de sa concupiscence, elle alterna pressions et mouvements de piston, affolant la tige brûlante qu’elle tenait à deux mains sans arriver à en couvrir toute la longueur.
Enfin, incapable de résister davantage à l’appel du pénis dressé, elle l’emboucha au plus profond, suçant aussitôt le dôme rougi de toute sa science d’avaleuse de mâles. Ses joues et sa langue pompaient le large gland qui les écartelait, ses grosses lèvres noires coulissaient sur la longueur du membre, tandis que d’une main elle masturbait la partie du vit qu’elle ne pouvait pas accueillir dans sa bouche. Elle frissonnait sous l’effet de l’excitation de sucer un engin pareil. Aspirant de toute son âme ce sexe merveilleusement développé, elle se sentit mouiller abondamment dans la mini culotte qui se dissimulait sous la courte jupe moulante dessinant sa croupe rebondie.
Le sentant prêt à éjaculer, elle ralentit de plus en plus le rythme de ses allées et venues sur le noeud cramoisi. Après une plongée profonde qui fit buter le gland contre sa luette, elle le retira très lentement de sa bouche distendue, prenant soin de le presser fortement au passage entre ses lèvres pulpeuses. Sans que l’homme ait eu le temps de protester contre cet abandon, elle se redressa et coinça le membre chaud entre les globes de ses seins, qu’elle serrait entre ses bras. Les deux sphères, pressées l’une contre l’autre, ménageaient entre elles un profond sillon à la fois doux et ferme qui enserrait la verge de l’homme d’une étreinte délicieuse. Jill prit ses seins par en dessous pour mieux les frotter contre le sexe tendu, elle se balançait d’avant en arrière pour branler à l’espagnole cet organe si dur.
Les monts de sa poitrine remontés presque sous son menton, elle faisait aller et venir l’homme entre eux, inclinant parfois la tête pour accueillir dans sa bouche le gland qui émergeait du canyon de peau chaude qui l’entraînait vers le plaisir. Elle voulait qu’il jouisse ainsi une première fois, entre ses gros seins tendus. Adossé contre le bar, Richard sentit ses jambes trembler sous la montée de la semence et, avec un cri étouffé, il lui éjacula en pleine figure. Son sperme jaillit avec force, sur tout le visage de la belle noire extasiée d’avoir provoqué un tel jaillissement. Les giclées laiteuses se répandaient sur sa peau, la décorant de guirlandes blanches qu’elle se garda bien d’essuyer, les laissant couler sur elle avec délectation. Très excitée par l’orgasme qui venait de secouer son partenaire, elle sentit des ondes impérieuses rayonner de sa vulve en feu et jouit à son tour, sans même se toucher, dans sa culotte trempée.
Reprenant peu à peu leurs esprits, ils se servirent un drink réparateur, sur beaucoup de glaçons et trinquèrent avec un sourire las et complice, avant d’avaler leur première gorgée. Le visage ruisselant de foutre de Jill offrait une vision extrêmement érotique à Richard, qui recommença à bander derechef, malgré l’essorage en règle qu’il venait de subir aux mains - et aux seins - de la belle fouteuse.
Des halètements dans leur dos les firent se retourner. Dans leur désir impérieux, ils avaient totalement oublié Anna et Marc. Ils ne s’étaient pas contentés de tenir la chandelle aux deux amants. Poursuivant avec fougue ce qu’ils avaient commencé, ils étaient maintenant en pleine action.
Bien en peine d’imiter Jill en accueillant un sexe d’homme entre ses seins juvéniles, Anna s’appuyait d’une main sur la table de jardin, la tête rejetée en arrière, un pied posé sur une chaise proche, accueillant dans son vagin serré la queue de Marc qui la limait par derrière à grands coups de reins. Il la tenait par les hanches pour mieux s’enfoncer en elle. La verge roide, bien que nettement moins imposante que celle de Richard, lui ramonait agréablement la corolle. Elle gémissait à chaque butée du membre au fond de sa petite moule blonde.
Jill et Richard s’approchèrent pour mieux voir leurs partenaires habituels s’accoupler avec tant de fougue. Ce n’était pas la première fois, bien sûr, qu’ils se prêtaient les uns aux autres, les soirées et les week-ends qu’ils passaient ensemble étaient le plus souvent consacrés à faire l’amour à plusieurs et ils avaient essayé presque toutes les combinaisons au cours de parties carrées mémorables. Mais, il était toujours fascinant de voir jouir, de l’extérieur, quelqu’un que l’on a l’habitude de faire jouir soi-même.
Jill passa derrière Marc pour lui caresser tendrement le dos et les fesses pendant qu’il s’activait entre les cuisses de son amie. Richard était venu embrasser la bouche entrouverte d’Anna, qui lui saisit le sexe d’une main avide, le serrant très fort dans la montée de son plaisir.
Leurs positions respectives se prêtaient mal à l’amour à quatre. Prenant l’initiative, Richard prit le poignet de Jill et l’entraîna au sol, se couchant sur le dos sur un matelas de bain. Son gros sexe dressé à la verticale était comme un phare dans la nuit pour la femelle en chaleur. Jill s’accroupit face à lui et s’empala aussitôt sur le brandon que son ventre appelait de toutes ses forces. Elle sentit ses parois intimes s’écarter sous le calibre du mandrin et descendit complètement ses fesses pour s’emmancher à fond. Elle accueillit d’un grondement satisfait la pénétration totale du membre qui touchait maintenant sa matrice.
Anna, qui avait observé leur manège du coin de l’oeil, comprit ce que voulait son amant. Elle posa les deux pieds au sol et s’arracha à la verge de Marc. Se retournant, elle lui prit le sexe et le guidant par cette chaude poignée, le fit agenouiller derrière la croupe de Jill qui s’agitait sensuellement sur la raideur de l’homme couché sous elle. Sans lâcher le muscle raide, elle le branla un peu, sa main coulissant facilement sur la peau encore gluante de son propre plaisir. Petit à petit, elle tirait sur le membre pour le rapprocher de la raie sombre qui séparait les fesses bien fendues de la noire haletante. La petite main féminine guida le gland masculin jusqu’à la rosette interdite, bien visible entre les deux masses charnues. Marc n’eut qu’à pousser pour sentir la résistance du petit trou plissé. Avançant puissamment le bassin, il sentit la porte de la sodomie éclore autour de sa vigueur. La femme se décontracta soudain et il glissa de la moitié de sa longueur dans l’anus dilaté. Poussant encore, il fit pénétrer la totalité de sa verge dans ce cul superbe qui ne demandait que ça.
Penchée sur le torse de Richard qui lui tétait les seins, Jill fit alors osciller sa croupe rebondie d’avant en arrière pour faire l’amour à ces deux hommes qu’elle sentait si bien au plus profond de ses orifices. Les deux sexes limaient délicieusement la fine membrane qui les séparait, l’un lui masturbant l’anus et l’autre lui branlant le clitoris à chaque passage. Avec une légère angoisse, elle se demanda ce qui se serait produit si les deux hommes avaient choisi d’échanger les rôles. Elle ne refusait pas de se faire prendre par derrière par Marc, mais n’avait jamais osé se faire sodomiser par Richard. Il était si gros qu’elle se demandait si son petit cratère anal pourrait accueillir un tel membre. Elle décida que ce serait pour cet été. Il fallait qu’elle sache ce que c’était que de prendre une bite pareille dans le fion. Cette seule pensée déclencha un mini orgasme qui embrasa ses deux conduits autour des pistons qui la limaient avec force.
Anna regardait ses trois amis se faire du bien en se touchant le sexe, son clitoris dardé faisait ruisseler la liqueur de sa vulve sur ses doigts frénétiques. En désirant davantage, elle enjamba la tête de Richard pour présenter sa fente à la bouche de Jill. Son amie aspira illico le petit bouton du plaisir et le suça comme elle l’aurait fait d’une verge.
Levant la tête, Richard se mit en branle, si l’on peut dire. Il passa sa langue dans la raie de sa maîtresse, caressant l’anus contracté par le plaisir et arrivant sur les bords humides du vagin où il s’enfonça autant qu’il le pût. Rendue folle par ces deux bouches qui la broutaient ensemble, Anna agrippa ses seins à deux mains et jouit brutalement. Son plaisir coula dans la bouche de la femme et sur le menton de l’homme.
Sentir son amante exploser déclencha le plaisir de Richard. Ses testicules se contractèrent et il dégorgea un torrent de sperme dans le vagin brûlant qui se serra autour de lui pour mieux en profiter. Malgré sa jouissance précédente, le flot puissant aspergea généreusement les organes de Jill qui porta les mains à son clitoris pour jouir en même temps. Dans son plaisir intense, elle contracta violemment ses muscles intimes, finissant d’essorer la verge qui jutait encore et malaxant celle qui la prenait toujours par derrière. C’en fût trop pour Marc qui, empoignant les hanches larges qui s’agitaient sous son nez, se rua au fond des entrailles de Jill, qu’il sodomisa à fond avant de lui éjaculer sauvagement dans l’anus.
- Comment ? Tu ne t’es jamais fait prendre les fesses par Richard ? demanda Carole, lorsque la belle noire eût fini de lui raconter leurs ébats de la veille.
- Non, il est trop gros, rougit Jill, il me défoncerait.
- Mais non, c’est ça qui est bon, éclatèrent de rire les deux autres. Qu’est-ce que tu dirais si c’était Frank qui te la mettait dans le petit !
Franck était un ami, qui devait arriver dans la journée. Et si on pouvait dire de Richard qu’il était bien monté, Franck, lui, relevait carrément du phénomène. L’expression monté comme un âne ne s’entendait plus au figuré lorsqu’il produisait son membre énorme. Les filles de la bande se le repassaient entre elles lorsqu’elles voulaient s’offrir un extra et se sentir dilatées au delà de toute expression. Mais certaines n’avaient jamais osé sauter le pas et se faire enculer par le dard monstrueux. En revanche, quelques intrépides, dont Anna et Carole, avaient tenté l’expérience postérieure, sachant qu’avec un tel épieu, il fallait être prudente, par devant comme par derrière.
- Bon, on verra, dit Jill, toujours rouge sous sa peau sombre.
- A table ! cria Richard, en arrivant avec un plat de côtelettes bien grillées Sous le plat, on voyait son maillot déformé par une demi érection, provoquée par le souvenir de ses exploits de la nuit et par la conversation crue des trois filles, dont il n’avait pas perdu une miette. Mais, chez lui, même une bandaison partielle représentait déjà un beau morceau. Les trois mignonnes lui jetèrent un regard affamé. Préférant croire qu’elles pensaient aux côtelettes, il s’assit à table pour dissimuler le paquet tentateur. Le déjeuner d’abord, on verrait bien quelle tournure prendrait la sieste.
Au cours du repas, Carole raconta son voyage depuis Paris, sans rien oublier des intermèdes érotiques qui l’avaient jalonné. Ses amis se moquèrent gentiment de leur obsédée favorite, qui ne pouvait rouler longtemps sans faire l’amour.
Au moment où Jill arrivait de la cuisine avec le plateau du café, on entendit un moteur puissant remonter l’allée qui menait à la maison et une autre moto s’arrêta près de la piscine, une Yamaha R1 surbaissée, sportive rouge et blanche, davantage taillée pour les circuits que pour la route. En descendit un garçon de taille moyenne qui retira aussitôt son casque intégral et sourit à la ronde. Il était bien découplé et sa combinaison de cuir noir moulait un corps athlétique, tandis que son visage aux traits classiques mais un peu tristes présentait quelque chose d’équivoque, souligné par ses cheveux blonds mi-longs.
Les trois femmes, qui l’avaient toutes pratiqué dans l’intimité, portèrent ensemble leurs regards au même endroit, là où le long de sa cuisse gauche pendait un impressionnant gourdin qui se détachait nettement sous le cuir de la combinaison. Puis elles pouffèrent. Comme s’il avait pu venir sans...
La robuste constitution sexuelle de Franck en faisait une sorte d’attraction permanente pour leur petit groupe. Très largement doté, d’une endurance sans limite, il était toujours disponible pour celles qui le lui demandaient, mais se prêtait à leurs jeux d’un air un peu détaché. En fait, le sexe lui était assez indifférent. Il aimait faire l’amour, mais s’en serait aussi bien passé. Simplement, il était serviable et ne disait jamais non aux copines.
- Frank !
- Le voilà, le voilà, le voilà ! chanta tout le monde sur l’air des lampions.
- Trop tard pour la bouffe ! Tu veux un café ?
- Volontiers, avec un sucre, et sortez deux autres tasses, Marie et Gilbert arrivent, j’ai doublé leur veau dans les virolos après Apt.
Sachant que le “veau” était un coupé Jaguar V8, ses amis frissonnèrent à la pensée de la vitesse à laquelle le nouveau venu avait dû monter la Nationale 100 et les petites routes qui en venaient.
- Fait gaffe quand même, dit Carole, on tient à toi... et pas seulement pour ce que tu sais.
- Merci ma douce, mais je t’ai vu piloter ton autobus et ça frotte aussi un peu dans les virages.
- Tu sais ce qu’il te dit mon autobus ? Carole détestait qu’on critique sa moto.
Comme annoncé, ils virent pointer un long capot vert bouteille au coin de la maison.
Les deux arrivants étaient aussi dissemblables que possible. Gilbert était grand et dégingandé, presque maigre, un peu dégarni et très noir de poil. A ses cotés s’avançait une petite créature blonde, potelée sans être grasse, dont les cheveux blonds frisés lui faisaient une crinière d’or dans le soleil. Avec tous les volumes nécessaires placés aux endroits prévus pour cela, Marie donnait dès l’abord une impression de sensualité chargée d’érotisme. Un petit gabarit taillé pour le sexe, avec une poitrine d’un volume étonnant pour sa taille. Ses seins étaient fermes, très ronds, et attiraient irrésistiblement l’oeil. Elle marcha vers la piscine en faisant onduler sa croupe. Elle n’y pouvait rien, c’était sa démarche naturelle, qui mettait tous les mâles qu’elle croisait, sans parler de ceux qui la suivaient, dans un drôle d’état. Son corps était très bronzé et plus que largement découvert par une robe chaussette en lycra rouge qui s’accrochait de justesse à la pointe de ses seins et couvrait à peine le tiers de ses cuisses charnues. Un beau petit lot, prometteur pour la suite des vacances.
Embrassade générales, café, pousse café et tout le monde plongea dans la piscine avant d’aller s’étendre à l’ombre.
A peine eût-elle enlevée son casque et ses gants, qu’une fille blonde et élancée se précipitait vers elle pour l’embrasser.
Anna, la propriétaire, était grande et fine, ses cheveux très raides et qu’elle portait libres, descendaient jusqu’au milieu de son dos et allongeaient encore sa silhouette. Son visage hâlé mettait en valeur d’immenses yeux verts qui, alliés à sa bouche sensuelle, lui donnaient un air incroyablement salope. Pieds nus, son corps mince à la scandinave, était revêtu d’une légère chemise afghane dont la transparence permettait d’admirer les larges aréoles de ses seins minuscules, qui compensaient leur peu de volume en exhibant deux larges cercles foncés au centre desquels pointaient fièrement de longs tétons bruns, presque déplacés sur cette peau de blonde. On pouvait aussi constater qu’elle ne portait en dessous qu’un string réduit au minimum et qui découvrait sa croupe androgyne. Souriante, elle se pencha légèrement et déposa un petit baiser sur les lèvres de l’arrivante.
- Enfin ! Tu ne devais pas arriver plus tôt ? Tu es presque la dernière. Jill et Marc sont là depuis hier soir et Richard fume d’impatience devant le barbecue allumé.
- Désolée, ça a bien roulé, mais j’ai dû m’arrêter plusieurs fois.
- Rien de grave ?
- Non, au contraire, rien que de très agréable.
- Oh, notre petite vicieuse a encore fait des ravages sur sa route ? Tu nous raconteras ?
- Promis. Frank est là ?
- Pas encore. J’ai dit que tu étais presque la dernière. Mais ne t’inquiète pas, il sait que tu viens, il ne va pas tarder. Viens, on en est à l’apéro.
Les deux filles contournèrent la maison pour rejoindre la grande piscine située sur l’arrière, en bord de pinède. Un choeur approbateur les accueillit. Trois personnes étaient étendues dans des chaises longues, à l’ombre d’un vélum bleu et blanc qui les protégeait des ardeurs du soleil de la mi-journée. Carole se baissa pour embrasser un grand garçon brun très musclé, moulé dans un maillot de bain mettant bien en valeur ses avantages naturels.
- Salut, Richard, désolée d’arriver si tard. Il reste à manger ?
- Bien sûr, on t’a attendue ma belle. Maintenant que tu es là, tout va bien.
Tout en l’embrassant sur la joue, il lui caressa la cuisse très haut sous la mini. Elle laissa traîner sa main un peu trop longtemps sur ses pectoraux bien bronzés.
La chaise longue suivante était occupée par une longue fille d’un noir d’ébène, vêtue d’un maillot deux-pièces ultra réduit dont le jaune vif faisait ressortir sa carnation foncée. Elle sauta sur ses pieds pour enlacer la nouvelle venue, la pressant contre son corps d’une dureté stupéfiante. D’origine américaine, Jill s’était installée en France pour travailler comme mannequin. A la voir, on comprenait le pourquoi de sa réussite.
Des jambes interminables, sans un atome de graisse, portaient une taille si fine qu’on l’eût dit étranglée par un corset si elle n’avait été si peu couverte. Par contraste, ses hanches étaient extraordinairement épanouies. Ses fesses, aussi fermes et rondes que celles de Carole, mais plus grosses en raison de sa taille, aspiraient littéralement la ficelle du bas de son maillot, qui passait entre elles pour ressortir devant, entre ses grandes lèvres très charnues. C’était là l’originalité de son maillot, un vrai string ficelle devant et derrière. La fine cordelette ne cachait rien de son pubis épilé, ne faisant que souligner la fente de son sexe. Un vêtement difficile à porter sur une plage publique En haut, deux minuscules triangles jaunes dissimulaient de justesse ses mamelons, laissant exposée la plus grande partie de ses seins fermes qui s’enfoncèrent dans ceux de Carole, tandis qu’elle l’embrassait à pleine bouche. Sa poitrine, pourtant opulente, était insolemment braquée vers le ciel. Deux obus noirs qui n’avaient besoin d’aucun soutien.
Marc fut le dernier à accueillir la motarde. Il se leva pour lui tendre les bras et l’enlacer. La tenant carrément par les fesses, il la serra contre lui tendrement et elle put sentir un début d’érection contre son ventre. Dégagée de son étreinte, elle constata qu’il bandait à demi dans son maillot.
- Quel accueil ! si j’avais su j’aurais roulé plus vite.
- Lâcheuse ! on est tous ravis de te voir enfin. Mais tu ne sais pas ce que tu as perdu hier soir...
- Vous êtes déjà passés à l’action ? Ça urgeait à ce point ?
- Bien sûr, tu sais, nous, la télé le soir... et puis il fallait bien garder la forme en attendant d’être tous réunis.
Un pastis à la main, Carole s’allongea à l’ombre pour entendre ses amis lui raconter leur première soirée érotique de l’été. Les vacances allaient être bonnes.
Jill et Marc étaient arrivés vers sept heures du soir, et après une douche réparatrice, ils s’étaient changés et avaient retrouvé Anna et Richard au bord de la piscine qui serait le lieu central de leur vie estivale.
Les hommes avaient fait le service des boissons, puis s’étaient chargés du barbecue pendant que les filles préparaient une salade. Après le repas, verre à la main, tous les quatre s’étaient allongés dans des sièges au bord de l’eau.
Constatant que son verre était vide, Anna l’avait tendu au dessus de sa tête.
- Alors barman ? On laisse les jolies filles se dessécher ? Avait-elle lancé à la cantonade.
- Que Madame m’excuse, avait rétorqué Marc, les formes de Madame me font oublier mon service.
Il avait versé une grande rasade de Chartreuse verte sur des glaçons et lui avait remis son verre en main. Dans le même mouvement, il se penchait sur elle pour glisser dans la bouche parfumée par l’alcool sucré une langue inquisitrice. D’une main caressante, il enveloppa un petit sein qui frémit sous le contact de la main virile, pourtant atténué par le contact de la chemise de coton blanc que portait Anna. Faisant glisser ses doigts, il contourna le tissu largement échancré et vint au contact de la peau soyeuse du buste de la fille. Connaissant ses goûts, il saisit aussitôt le mamelon pour le malaxer avec force. Anna gémit sous la caresse brutale, elle adorait ça. Ses tétons se gonflèrent de désir, prenant des proportions incroyables.
Il était étonnant de voir comment une poitrine si discrète pouvait porter ces longues pointes érectiles et sensibles. Lorsqu’on les faisait rouler entre deux doigts, elles s’allongeaient presque instantanément jusqu’à atteindre plus de deux centimètres de longueur. Dans le même temps elles grossissaient en diamètre, pour devenir deux framboises gonflées de sang, turgescentes et tendues à se rompre. Anna gémissait en se cambrant pour mieux exposer ses seins. Sa poitrine était si sensible qu’elle pouvait jouir rien qu’avec ce type d’attouchement.
Marc ne perdait pas son temps. Il s’était agenouillé près de la grande blonde et lui avait empoigné les seins à deux mains, les froissant dans ses larges paumes et suçant avidement les deux bourgeons maintenant complètement développés. La fille avait posé son verre pour saisir la tête de l’homme, qu’elle pressait fort contre ses mamelons.
Debout près du bar d’extérieur, Jill et Richard se lancèrent un regard amusé et lourd de sous-entendus.
- Ça t’excite ? demanda-t-il.
- Pas toi ?
- Si, au contraire. Tu vas être obligé de te surpasser pour me calmer.
Joignant le geste à la parole, elle lui avait directement mis la main à la braguette et avait senti se développer sous ses doigts une érection impressionnante. Comme dans ses souvenirs, Richard était monté comme un Dieu. Se rapprochant de lui pour coller sa bouche pulpeuse dans son cou, elle avait entamé un lent massage, à pleine main, pour le faire bander plus dur. Fouineuse, elle évaluait le volume de la verge roide. La hampe dressée palpitait au creux de sa paume. Le contact du membre était si réel qu’elle comprit qu’il ne portait rien sous la toile légère. Elle descendit soupeser les bourses pleines qui flottaient librement entre les jambes du beau brun qu’elle serrait contre sa poitrine.
Elle ouvrit la chemise de l’homme pour pouvoir caresser sa poitrine velue. Lui, avait retroussé le haut moulant de la belle branleuse pour profiter de la fermeté de ses seins gonflés, il la serra davantage contre lui et les deux cônes pointus s’enfoncèrent dans son torse, le faisant frissonner sous leur contact élastique. Il y porta les mains et s’amusa à les presser l’un contre l’autre, agaçant les bouts avec ses pouces.
La main de la fille était revenue agripper son membre bandé. Elle le masturbait franchement dans son pantalon. Du pouce, elle accrocha le zip, ouvrit le vêtement et tomba à genoux, amenant l’énorme mandrin congestionné à la hauteur de son visage. L’empoignant à deux mains, elle fit coulisser le prépuce en arrière aussi loin qu’elle le pût, découvrant le gland frémissant de désir. Elle le branla profondément, faisant glisser la peau sur la muqueuse sensible. A chaque montée, elle recouvrait l’énorme champignon qui couronnait le dard puissant, pour mieux le faire réapparaître sous ses yeux avides. Elle était toujours étonnée par la grosseur de ce membre, disproportionné par rapport à la taille moyenne de celui qui le portait. Ne lâchant pas des yeux l’objet de sa concupiscence, elle alterna pressions et mouvements de piston, affolant la tige brûlante qu’elle tenait à deux mains sans arriver à en couvrir toute la longueur.
Enfin, incapable de résister davantage à l’appel du pénis dressé, elle l’emboucha au plus profond, suçant aussitôt le dôme rougi de toute sa science d’avaleuse de mâles. Ses joues et sa langue pompaient le large gland qui les écartelait, ses grosses lèvres noires coulissaient sur la longueur du membre, tandis que d’une main elle masturbait la partie du vit qu’elle ne pouvait pas accueillir dans sa bouche. Elle frissonnait sous l’effet de l’excitation de sucer un engin pareil. Aspirant de toute son âme ce sexe merveilleusement développé, elle se sentit mouiller abondamment dans la mini culotte qui se dissimulait sous la courte jupe moulante dessinant sa croupe rebondie.
Le sentant prêt à éjaculer, elle ralentit de plus en plus le rythme de ses allées et venues sur le noeud cramoisi. Après une plongée profonde qui fit buter le gland contre sa luette, elle le retira très lentement de sa bouche distendue, prenant soin de le presser fortement au passage entre ses lèvres pulpeuses. Sans que l’homme ait eu le temps de protester contre cet abandon, elle se redressa et coinça le membre chaud entre les globes de ses seins, qu’elle serrait entre ses bras. Les deux sphères, pressées l’une contre l’autre, ménageaient entre elles un profond sillon à la fois doux et ferme qui enserrait la verge de l’homme d’une étreinte délicieuse. Jill prit ses seins par en dessous pour mieux les frotter contre le sexe tendu, elle se balançait d’avant en arrière pour branler à l’espagnole cet organe si dur.
Les monts de sa poitrine remontés presque sous son menton, elle faisait aller et venir l’homme entre eux, inclinant parfois la tête pour accueillir dans sa bouche le gland qui émergeait du canyon de peau chaude qui l’entraînait vers le plaisir. Elle voulait qu’il jouisse ainsi une première fois, entre ses gros seins tendus. Adossé contre le bar, Richard sentit ses jambes trembler sous la montée de la semence et, avec un cri étouffé, il lui éjacula en pleine figure. Son sperme jaillit avec force, sur tout le visage de la belle noire extasiée d’avoir provoqué un tel jaillissement. Les giclées laiteuses se répandaient sur sa peau, la décorant de guirlandes blanches qu’elle se garda bien d’essuyer, les laissant couler sur elle avec délectation. Très excitée par l’orgasme qui venait de secouer son partenaire, elle sentit des ondes impérieuses rayonner de sa vulve en feu et jouit à son tour, sans même se toucher, dans sa culotte trempée.
Reprenant peu à peu leurs esprits, ils se servirent un drink réparateur, sur beaucoup de glaçons et trinquèrent avec un sourire las et complice, avant d’avaler leur première gorgée. Le visage ruisselant de foutre de Jill offrait une vision extrêmement érotique à Richard, qui recommença à bander derechef, malgré l’essorage en règle qu’il venait de subir aux mains - et aux seins - de la belle fouteuse.
Des halètements dans leur dos les firent se retourner. Dans leur désir impérieux, ils avaient totalement oublié Anna et Marc. Ils ne s’étaient pas contentés de tenir la chandelle aux deux amants. Poursuivant avec fougue ce qu’ils avaient commencé, ils étaient maintenant en pleine action.
Bien en peine d’imiter Jill en accueillant un sexe d’homme entre ses seins juvéniles, Anna s’appuyait d’une main sur la table de jardin, la tête rejetée en arrière, un pied posé sur une chaise proche, accueillant dans son vagin serré la queue de Marc qui la limait par derrière à grands coups de reins. Il la tenait par les hanches pour mieux s’enfoncer en elle. La verge roide, bien que nettement moins imposante que celle de Richard, lui ramonait agréablement la corolle. Elle gémissait à chaque butée du membre au fond de sa petite moule blonde.
Jill et Richard s’approchèrent pour mieux voir leurs partenaires habituels s’accoupler avec tant de fougue. Ce n’était pas la première fois, bien sûr, qu’ils se prêtaient les uns aux autres, les soirées et les week-ends qu’ils passaient ensemble étaient le plus souvent consacrés à faire l’amour à plusieurs et ils avaient essayé presque toutes les combinaisons au cours de parties carrées mémorables. Mais, il était toujours fascinant de voir jouir, de l’extérieur, quelqu’un que l’on a l’habitude de faire jouir soi-même.
Jill passa derrière Marc pour lui caresser tendrement le dos et les fesses pendant qu’il s’activait entre les cuisses de son amie. Richard était venu embrasser la bouche entrouverte d’Anna, qui lui saisit le sexe d’une main avide, le serrant très fort dans la montée de son plaisir.
Leurs positions respectives se prêtaient mal à l’amour à quatre. Prenant l’initiative, Richard prit le poignet de Jill et l’entraîna au sol, se couchant sur le dos sur un matelas de bain. Son gros sexe dressé à la verticale était comme un phare dans la nuit pour la femelle en chaleur. Jill s’accroupit face à lui et s’empala aussitôt sur le brandon que son ventre appelait de toutes ses forces. Elle sentit ses parois intimes s’écarter sous le calibre du mandrin et descendit complètement ses fesses pour s’emmancher à fond. Elle accueillit d’un grondement satisfait la pénétration totale du membre qui touchait maintenant sa matrice.
Anna, qui avait observé leur manège du coin de l’oeil, comprit ce que voulait son amant. Elle posa les deux pieds au sol et s’arracha à la verge de Marc. Se retournant, elle lui prit le sexe et le guidant par cette chaude poignée, le fit agenouiller derrière la croupe de Jill qui s’agitait sensuellement sur la raideur de l’homme couché sous elle. Sans lâcher le muscle raide, elle le branla un peu, sa main coulissant facilement sur la peau encore gluante de son propre plaisir. Petit à petit, elle tirait sur le membre pour le rapprocher de la raie sombre qui séparait les fesses bien fendues de la noire haletante. La petite main féminine guida le gland masculin jusqu’à la rosette interdite, bien visible entre les deux masses charnues. Marc n’eut qu’à pousser pour sentir la résistance du petit trou plissé. Avançant puissamment le bassin, il sentit la porte de la sodomie éclore autour de sa vigueur. La femme se décontracta soudain et il glissa de la moitié de sa longueur dans l’anus dilaté. Poussant encore, il fit pénétrer la totalité de sa verge dans ce cul superbe qui ne demandait que ça.
Penchée sur le torse de Richard qui lui tétait les seins, Jill fit alors osciller sa croupe rebondie d’avant en arrière pour faire l’amour à ces deux hommes qu’elle sentait si bien au plus profond de ses orifices. Les deux sexes limaient délicieusement la fine membrane qui les séparait, l’un lui masturbant l’anus et l’autre lui branlant le clitoris à chaque passage. Avec une légère angoisse, elle se demanda ce qui se serait produit si les deux hommes avaient choisi d’échanger les rôles. Elle ne refusait pas de se faire prendre par derrière par Marc, mais n’avait jamais osé se faire sodomiser par Richard. Il était si gros qu’elle se demandait si son petit cratère anal pourrait accueillir un tel membre. Elle décida que ce serait pour cet été. Il fallait qu’elle sache ce que c’était que de prendre une bite pareille dans le fion. Cette seule pensée déclencha un mini orgasme qui embrasa ses deux conduits autour des pistons qui la limaient avec force.
Anna regardait ses trois amis se faire du bien en se touchant le sexe, son clitoris dardé faisait ruisseler la liqueur de sa vulve sur ses doigts frénétiques. En désirant davantage, elle enjamba la tête de Richard pour présenter sa fente à la bouche de Jill. Son amie aspira illico le petit bouton du plaisir et le suça comme elle l’aurait fait d’une verge.
Levant la tête, Richard se mit en branle, si l’on peut dire. Il passa sa langue dans la raie de sa maîtresse, caressant l’anus contracté par le plaisir et arrivant sur les bords humides du vagin où il s’enfonça autant qu’il le pût. Rendue folle par ces deux bouches qui la broutaient ensemble, Anna agrippa ses seins à deux mains et jouit brutalement. Son plaisir coula dans la bouche de la femme et sur le menton de l’homme.
Sentir son amante exploser déclencha le plaisir de Richard. Ses testicules se contractèrent et il dégorgea un torrent de sperme dans le vagin brûlant qui se serra autour de lui pour mieux en profiter. Malgré sa jouissance précédente, le flot puissant aspergea généreusement les organes de Jill qui porta les mains à son clitoris pour jouir en même temps. Dans son plaisir intense, elle contracta violemment ses muscles intimes, finissant d’essorer la verge qui jutait encore et malaxant celle qui la prenait toujours par derrière. C’en fût trop pour Marc qui, empoignant les hanches larges qui s’agitaient sous son nez, se rua au fond des entrailles de Jill, qu’il sodomisa à fond avant de lui éjaculer sauvagement dans l’anus.
- Comment ? Tu ne t’es jamais fait prendre les fesses par Richard ? demanda Carole, lorsque la belle noire eût fini de lui raconter leurs ébats de la veille.
- Non, il est trop gros, rougit Jill, il me défoncerait.
- Mais non, c’est ça qui est bon, éclatèrent de rire les deux autres. Qu’est-ce que tu dirais si c’était Frank qui te la mettait dans le petit !
Franck était un ami, qui devait arriver dans la journée. Et si on pouvait dire de Richard qu’il était bien monté, Franck, lui, relevait carrément du phénomène. L’expression monté comme un âne ne s’entendait plus au figuré lorsqu’il produisait son membre énorme. Les filles de la bande se le repassaient entre elles lorsqu’elles voulaient s’offrir un extra et se sentir dilatées au delà de toute expression. Mais certaines n’avaient jamais osé sauter le pas et se faire enculer par le dard monstrueux. En revanche, quelques intrépides, dont Anna et Carole, avaient tenté l’expérience postérieure, sachant qu’avec un tel épieu, il fallait être prudente, par devant comme par derrière.
- Bon, on verra, dit Jill, toujours rouge sous sa peau sombre.
- A table ! cria Richard, en arrivant avec un plat de côtelettes bien grillées Sous le plat, on voyait son maillot déformé par une demi érection, provoquée par le souvenir de ses exploits de la nuit et par la conversation crue des trois filles, dont il n’avait pas perdu une miette. Mais, chez lui, même une bandaison partielle représentait déjà un beau morceau. Les trois mignonnes lui jetèrent un regard affamé. Préférant croire qu’elles pensaient aux côtelettes, il s’assit à table pour dissimuler le paquet tentateur. Le déjeuner d’abord, on verrait bien quelle tournure prendrait la sieste.
Au cours du repas, Carole raconta son voyage depuis Paris, sans rien oublier des intermèdes érotiques qui l’avaient jalonné. Ses amis se moquèrent gentiment de leur obsédée favorite, qui ne pouvait rouler longtemps sans faire l’amour.
Au moment où Jill arrivait de la cuisine avec le plateau du café, on entendit un moteur puissant remonter l’allée qui menait à la maison et une autre moto s’arrêta près de la piscine, une Yamaha R1 surbaissée, sportive rouge et blanche, davantage taillée pour les circuits que pour la route. En descendit un garçon de taille moyenne qui retira aussitôt son casque intégral et sourit à la ronde. Il était bien découplé et sa combinaison de cuir noir moulait un corps athlétique, tandis que son visage aux traits classiques mais un peu tristes présentait quelque chose d’équivoque, souligné par ses cheveux blonds mi-longs.
Les trois femmes, qui l’avaient toutes pratiqué dans l’intimité, portèrent ensemble leurs regards au même endroit, là où le long de sa cuisse gauche pendait un impressionnant gourdin qui se détachait nettement sous le cuir de la combinaison. Puis elles pouffèrent. Comme s’il avait pu venir sans...
La robuste constitution sexuelle de Franck en faisait une sorte d’attraction permanente pour leur petit groupe. Très largement doté, d’une endurance sans limite, il était toujours disponible pour celles qui le lui demandaient, mais se prêtait à leurs jeux d’un air un peu détaché. En fait, le sexe lui était assez indifférent. Il aimait faire l’amour, mais s’en serait aussi bien passé. Simplement, il était serviable et ne disait jamais non aux copines.
- Frank !
- Le voilà, le voilà, le voilà ! chanta tout le monde sur l’air des lampions.
- Trop tard pour la bouffe ! Tu veux un café ?
- Volontiers, avec un sucre, et sortez deux autres tasses, Marie et Gilbert arrivent, j’ai doublé leur veau dans les virolos après Apt.
Sachant que le “veau” était un coupé Jaguar V8, ses amis frissonnèrent à la pensée de la vitesse à laquelle le nouveau venu avait dû monter la Nationale 100 et les petites routes qui en venaient.
- Fait gaffe quand même, dit Carole, on tient à toi... et pas seulement pour ce que tu sais.
- Merci ma douce, mais je t’ai vu piloter ton autobus et ça frotte aussi un peu dans les virages.
- Tu sais ce qu’il te dit mon autobus ? Carole détestait qu’on critique sa moto.
Comme annoncé, ils virent pointer un long capot vert bouteille au coin de la maison.
Les deux arrivants étaient aussi dissemblables que possible. Gilbert était grand et dégingandé, presque maigre, un peu dégarni et très noir de poil. A ses cotés s’avançait une petite créature blonde, potelée sans être grasse, dont les cheveux blonds frisés lui faisaient une crinière d’or dans le soleil. Avec tous les volumes nécessaires placés aux endroits prévus pour cela, Marie donnait dès l’abord une impression de sensualité chargée d’érotisme. Un petit gabarit taillé pour le sexe, avec une poitrine d’un volume étonnant pour sa taille. Ses seins étaient fermes, très ronds, et attiraient irrésistiblement l’oeil. Elle marcha vers la piscine en faisant onduler sa croupe. Elle n’y pouvait rien, c’était sa démarche naturelle, qui mettait tous les mâles qu’elle croisait, sans parler de ceux qui la suivaient, dans un drôle d’état. Son corps était très bronzé et plus que largement découvert par une robe chaussette en lycra rouge qui s’accrochait de justesse à la pointe de ses seins et couvrait à peine le tiers de ses cuisses charnues. Un beau petit lot, prometteur pour la suite des vacances.
Embrassade générales, café, pousse café et tout le monde plongea dans la piscine avant d’aller s’étendre à l’ombre.
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