La motarde - 5
Récit érotique écrit par DocUS [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-06-2020 dans la catégorie Pour la première fois
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La motarde - 5
Le restaurant Chez Bastien occupait le rez-de-chaussée d’un petit mas de pierres blanches. Rideaux en cretonne provençale, éclairage tamisé, il ressemblait à un piège à touristes, mais la cuisine et l’accueil démentaient vite cette impression.
Anna entra la première, c’était elle qui avait réservé. Aussitôt les conversations des dîneurs baissèrent d’un ton. La grande blonde était maquillée en femme fatale, ses longs cheveux lui cachant un œil, une lueur salope éclairant l’autre. Son buste d’adolescente, voire d’adolescent, était déshabillé d’un débardeur semi transparent, bien trop grand pour elle et qui baillait sur sa poitrine minuscule. Très échancré sous les bras, il permettait, quel que soit l’angle de vision, d’apercevoir au moins une pointe dardée et provocante. En bas, comme pour rester dans le flou, elle portait un court boxer flottant en satin gris, fendu sur les hanches et dont émergeaient les interminables fuseaux de ses jambes.
Jill la suivait de près et la tension monta d’un cran. Elle avait choisi la version jungle. Une robe panthère collait à ses formes généreuses. Très ajustée et découpée partout. Le décolleté descendait jusqu’au nombril et découvrait une large bande de peau noire entre les seins libres et mouvants. Sur chaque cuisse, l’étoffe remontait jusqu’à l’aine et mettait en valeur les noires colonnes luisantes de ses cuisses.
La tension retomba un peu avec l’arrivée de Carole, vêtue d’un tailleur noir, sa couleur fétiche. Mais ce ne fut qu’un bref répit, car la veste portée à même la peau était profondément échancrée, fermée par un seul bouton sous les seins largement exposés. A chaque mouvement, les trois quarts d’un globe rebondi apparaissaient entre les pans du vêtement. Si elle se penchait en avant, on découvrait toute sa poitrine et ses seins tentaient de s’échapper de leur prison de tissu. La jupe droite moulante était fendue de chaque côté jusqu’à l’aine, ne laissant pas ignorer que, là non plus, elle ne portait aucun sous-vêtement. Sa croupe tendait les coutures à les faire exploser et la vallée sombre entre ses fesses apparaissait nettement en creux à travers la jupe ajustée.
Le coup de grâce fut assené par Marie, toute petite, toute blonde, et chargée d’un magnétisme sexuel qui arrêta les respirations des mâles présents. Elle aussi avait une couleur favorite, le rouge qui soulignait sa peau bronzée, ses cheveux blonds dorés et ses yeux bleus faussement innocents. Elle s’était contentée de ce qu’il fallait bien appeler un simple tube de jersey écarlate. Sans bretelle, retenu uniquement par le volume de ses seins galbés, le fourreau couvrait tout juste ses fesses. Le tissu était si fin qu’on discernait nettement les aréoles entourant les pointes agressives qui tendaient l’étoffe. Par derrière, ses fesses étaient bien détaillées par ce qu’elle s’obstinait à appeler une robe du soir. Une paire de chaussures assorties à talons hauts accentuait sa cambrure naturelle. Pour compléter cette symphonie en une couleur, un rouge à lèvres vermillon soulignait sa bouche pulpeuse. Elle affichait clairement la couleur : je suis bien faite, j’aime le sexe, tentez votre chance.
Les quatre hommes se tenaient derrière elle, passant inaperçus, malgré leur petit sourire supérieur, du style “eh oui, c’est à nous”.
Les huit amis se dirigèrent vers leur table sous les yeux meurtriers des autres femmes de l’assistance et les regards en dessous de leurs compagnons. Personne ne piqua du nez dans son assiette, il ne semblait pas y avoir de cardiaque dans l’assistance.
Bastien, le patron, leur offrit l’apéritif du jour, vodka lime arrangée à sa façon avec des herbes des montagnes. Il ne perdait pas une occasion de venir à leur table pour lorgner sans vergogne les poitrines et les jambes découvertes de ses belles clientes.
C’était un homme qui aimait la vie sous toutes ses formes et ne s’en cachait pas. De temps à autre, quand les nécessités du service lui en laissaient le loisir, il venait à la villa en ami et il avait souvent tenu sa part dans les parties fines qui démarraient autour de la piscine pour essaimer ensuite dans toute la maison. Son physique n’avait rien d’extraordinaire, mais son petit gabarit trapu et sa pilosité de Méditerranéen exerçaient un charme certain sur les femmes. De plus, il était redoutablement endurant, arborant une érection de fer et capable de jouir à des intervalles incroyablement rapprochés. Anna l’invita à passer les voir. Il promit de se libérer.
Au cours du repas, le vin aidant, la conversation prit un tour coquin, chacun racontant avec plus ou moins de talent ses expériences érotiques depuis l’année précédente.
Frank fit rire tout le monde en se plaignant des assiduités dont il était l’objet dans son club de gym, de la part d’homosexuels appâtés par ses muscles bien entraînés et le volume prometteur qu’ils devinaient sous son short. Il les attendrit ensuite par le récit de ses déboires avec des filles magnifiques qui lui plaisaient, et réciproquement, mais dont la capacité d’accueil sexuel était mal adaptée au sexe monstrueux dont il était gratifié.
Cela rappela à Richard, relativement bien pourvu lui aussi, ses souvenirs de l’Université. Très jeune il s’était heurté également à des problèmes de “calibre” avec de jeunes étudiantes encore étroites. Alors qu’il s’en plaignait à Alain, un condisciple, celui-ci avait eu une idée. Et s’ils chassaient en tandem ? Ils sortiraient ensemble, ramèneraient leurs conquêtes chez l’un ou chez l’autre et passeraient à l’action. Si la proie consentante était du genre serré, Alain, pourvu d’avantages plutôt modestes l’entreprendrait le premier. Après le premier round, Richard pourrait entrer en scène, dans des orifices bien préparés à l’accueillir. Si, au contraire elle aimait les grosses tiges d’entrée, Alain la laisserait volontiers à Richard, pour se rabattre sur une autre oiselle en chaleur. Ainsi fut fait.
Richard se souvenait particulièrement d’une soirée après un examen. Les étudiants avaient organisé une fête au bord de l’eau, avec buffet, musique et surtout bar bien garni. Les deux amis, leaders incontestés de leur promotion, étaient en vedette ce soir là et attiraient l’attention des étudiantes qui riaient à leurs plaisanteries. Ils s’aperçurent vite de l’intérêt qu’ils suscitaient chez deux sœurs jumelles, deux petites rousses typiques. Nez en trompette et taches de rousseur sur une peau très blanche, Armelle et Arielle étaient parfaitement semblables. De plus, elles s’habillaient de façon identique.
Bientôt, ils ne dansaient plus qu’avec elles et, profitant de leur similitude, se les échangeaient entre les danses, chacun des deux compères pelotant indifféremment l’une ou l’autre. Éméchées et rieuses, elles ne se défendaient pas et roucoulaient sous les caresses de plus en plus osées de leurs cavaliers d’un soir. Rapidement, le noir aidant, les deux garçons fourrageaient sous les jupes et dans les corsages des filles ravies. Ils dansèrent même à quatre, les huit mains voltigeant dans tous les sens sur les chairs exacerbées.
La soirée s’avançait et le désir montait en eux. Ils se replièrent sur l’appartement de Richard. Dans la voiture déjà, Armelle, à moins que ce ne fût Arielle, avait extirpé la verge d’Alain et l’avait masturbé sur la banquette arrière, tandis qu’Arielle ou Armelle gémissait sous les doigts de Richard, qui conduisait d’une main et la branlait de l’autre.
Enfin arrivés à bon port, les quatre jeunes gens avaient continué à boire et à danser, étroitement enlacés, poursuivant leurs explorations manuelles. Celle qui dansait avec Alain lui susurra à l’oreille :- Tu diras à ton ami de faire attention, ma sœur n’a pas beaucoup d’expérience, il y a quinze jours elle était encore vierge.
- Et toi ?
- Oh moi, ça ne craint rien ! j’aime le sexe des hommes. Je ne perds jamais l’occasion d’en abuser.
Alain alla murmurer quelques mots à l’oreille de son ami qui, lui abandonnant sa cavalière, vint se coller à la jumelle délurée. Sans s’offusquer, les deux minettes se remirent à danser, chacune se frottant de plus belle contre son nouveau partenaire. Leur expérience était peut-être différente, mais aucune n’avait froid aux yeux.
Bientôt, Richard et Armelle (ou Arielle ?) s’éclipsèrent dans une chambre voisine. Ils s’embrassèrent fiévreusement en se déshabillant mutuellement. Quand Richard fut nu, exhibant une érection impressionnante, la fille éclata de rire.
- Ah ! j’ai compris pourquoi vous avez changé.
- Ça te fait peur ? dit Richard en montrant son sexe dardé.
- Tu plaisantes ! Mais je plains ma sœur d’en être privée. Viens, viens vite me mettre ton gros morceau !
Il l’enlaça et ils tombèrent sur le lit. Très vite, elle se dégagea de son étreinte et se dressa sur les genoux. Secouant la tête, elle le caressa de ses cheveux flamboyants, la douceur de ses boucles sur sa peau le fit frissonner et bander de plus belle. Elle se pencha lentement vers la verge tendue, hypnotisée par sa raideur. Y posant une menotte décidée, elle fit un cercle de son pouce et de son index et enserra le sommet du gland encore recouvert par le prépuce. Lentement, très lentement, elle tira la peau sensible en arrière pour faire apparaître le fruit congestionné. La lenteur du mouvement était presque insupportable pour le garçon qui haletait d’impatience.
Une fois le bout rouge et gonflé bien dégagé, elle tira encore vers l’arrière pour le faire saillir davantage, puis remonta l’anneau de ses doigts, toujours aussi lentement, entraînant la gaine soyeuse qui frottait délicieusement au passage la muqueuse énervée, la recouvrant millimètre par millimètre jusqu’en haut de la tige vibrante. Fermant les autres doigts autour de la queue chaude, d’une secousse violente elle le décalotta d’un coup à fond. Richard poussa un cri de douleur et de plaisir mélangés. Avant même qu’il n’ait pu protester contre la vigueur de la manœuvre, il se sentit emprisonné dans une cavité chaude et humide. Toute douceur par rapport à sa brutalité précédente, elle le cajola de sa bouche et de sa langue, puis le pompa savamment, s’appliquant à écarteler les mâchoires pour ne jamais le toucher de ses dents. Elle appliquait l’exacte pression et aspirait juste ce qu’il fallait pour le garder au bord du plaisir sans le faire éjaculer prématurément entre ses lèvres.
Graduellement, elle pivota sur le lit, entraînant le garçon avec elle, et se trouva bientôt en position de “Gorge Profonde”, étendue sur le dos en travers de la couche, la tête pendant dans le vide. Comprenant vite, Richard s’agenouilla en face du gouffre ouvert à sa trique douloureuse et s’enfonça avec précaution. La bouche largement ouverte était dans l’axe de la gorge de la fille, offrant un long conduit à la virilité puissante qui la violait. Lentement, le gros sexe dur se fraya un chemin dans la bouche brûlante et atteignit la luette, ce qui déclencha un spasme réflexe chez la jeune fellatrice. Étendant encore son cou arqué, elle introduisit le gland dans son arrière-gorge, l’enveloppant de son gosier resserré et luttant pour conserver le rythme oppressé de sa respiration. Lorsque son nez buta contre les poils entourant le sceptre qui palpitait en elle, elle entama de lents mouvements de bouche et de gorge qui massaient le dard sur toute sa longueur.
Richard avait entendu parler de cette pratique, mais n’en avait jamais subi le délicieux martyre. Il resta immobile pour ne pas meurtrir la grotte qui le pompait spasmodiquement. Quand elle sut qu’il était à point, elle régurgita lentement le gros muscle turgescent et s’assit sur le lit en lui tendant les bras. Il se glissa tendrement sur elle et pénétra la motte rousse qui l’attendait. Aussitôt, la gamine se déchaîna, agitant frénétiquement les fesses pour mieux s’empaler. Elle jouit en quelques secondes en couinant comme une souris prise au piège. Richard ne se retint plus et déversa son foutre brûlant dans le vagin déjà ruisselant de sécrétions féminines.
Sans mollir d’une ligne, il reprit son va-et-vient dans le sexe avide. La jumelle solitaire s’anima très vite sous ses coups de boutoir impérieux. Elle jouit encore en criant. Déchaîné, Richard retira sa bite raidie et la retourna sur le lit souple. Les petites fesses très blanches étaient criblées de roux et leur fente laissait voir l’abricot fendu qui se tapissait au creux du buisson de feu. Se postant derrière elle, il l’enfila d’un coup de reins puissant et elle se mit à gémir sous la perforation énorme de son vit. Elle mouillait toujours plus, la cyprine ruisselait le long de ses cuisses écartées, et Richard commença à se sentir coulisser un peu facilement dans ce marécage en folie.
Comme lisant dans les pensées du mâle en rut, la rouquine envoya ses mains derrière elle pour saisir ses fesses fermes d’adolescente et les écarter généreusement. Le petit cratère était cerclé d’une fine peau rousse et plissée et lui aussi ruisselait du foutre de l’orifice voisin. Sans cesser ses pénétrations profondes, Richard y introduisit un index fureteur, éprouvant la souplesse et la nervosité du sphincter encore serré. Un râle profond lui répondit et il décida de ne plus attendre.
Son doigt laissa la place au membre luisant qu’il pointa sur l’œillet tentateur. Il appuya son gland bien lubrifié sur la rosette juvénile et poussa. Sans résultat. Le membre enfonçait l’anneau crispé sans pouvoir y entrer. Il recula, réajusta son mandrin bandé sur le petit trou brun et recommença son assaut. Cette fois, l’anus s’entrouvrit sous la pression croissante du gland, le petit trou s’épanouit autour de la boule chaude qui le forçait. Petit à petit la large queue écartelait le cul serré qui résistait. Puis l’anus céda d’un coup et la verge s’y enfonça jusqu’aux poils. La fille rugit de plaisir sous la ruée du membre qui la défonçait.
Pour Richard, la sensation était merveilleuse, son nœud était enfoui au plus profond du cul chaud de cette fille peu farouche et qui en demandait encore d’une voix rauque. Il fit presque ressortir son sexe, marqua un temps et l’encula à nouveau au plus profond. Elle cria sous le coup et agita la croupe pour mieux le sentir en elle.
Le mâle la sodomisait maintenant à grands coups de verge qui lui affolaient le conduit. Elle touchait frénétiquement son clitoris pour augmenter la jouissance qui rayonnait de la porte étroite de ses fesses. Enfin, il déversa dans son rectum un flot de lave qui la fit jouir instantanément.
Apaisés, les deux jeunes gens reposaient enlacés sur le lit. Richard repassait dans sa tête les péripéties de ce coït frénétique qui les avait laissés épuisés mais ravis. Pour une fille si jeune, elle faisait l’amour avec une étrange maîtrise. Ses accouplements semblaient procéder davantage de la rage de jouir que de la passion. Il le lui dit et elle éluda la question en invoquant un vague cousin qui l’aurait initiée. Richard ne s’y trompa pas, on n’acquiert pas une telle expérience au cours de séances de touche-pipi estival. Il changea de sujet :- Et ta sœur ? Elle est comme toi ?
- Penses-tu ! c’est presque une oie blanche. Il faudrait qu’elle s’y mette, mais elle est timide.
Se levant brusquement, elle le prit par la main et l’entraîna.
- Viens, on va voir ce qu’ils font.
Dans le salon, Alain, étendu sur l’autre jumelle, la besognait gentiment, tandis qu’elle gémissait en sourdine. Penché sur elle, le garçon lui embrassait tendrement les seins, aspirant les mamelons dardés et les roulant entre ses lèvres. La fille participait en tortillant ses fesses pour exciter la verge qu’elle sentait en elle.
Le petit sexe du garçon l’avait pénétrée sans mal et elle montait lentement vers le plaisir. C’était bien meilleur qu’avec le seul amant qu’elle ait connu, un jeune boutonneux qui l’avait dépucelée à la va-vite et avait joui comme un lapin, sans s’occuper de son plaisir à elle. Il l’avait laissée insatisfaite, poisseuse et meurtrie, déçue de cette première fois ratée et se demandant si elle recommencerait un jour ou se cantonnerait aux jeux saphiques que sa sœur lui avait appris à aimer.
Ce soir, l’ambiance aidant, elle était tombée sous le charme de ces deux garçons rieurs et s’était laissée entraîner. Après tout, sa sœur était là pour la protéger. Elle n’avait pas bien compris la raison de ce changement de partenaire de dernière minute, mais ils avaient l’air gentil tous les deux.
Lorsque celui qui la besognait se retira d’elle, elle ne comprit pas ce qu’il voulait. Se laissant faire, elle se retrouva à genoux sur le canapé, la tête basse et les fesses hautes. Puis, elle sentit le sexe de l’homme la pénétrer lentement par derrière, d’une poussée régulière, pour venir buter au fond de son vagin maintenant bien lubrifié. Elle gémit de bonheur. C’était encore meilleur comme ça. Bien emmanchée sur la queue qui la ramonait, elle retrouva d’instinct les mouvements ancestraux du plaisir. Elle avançait et reculait son bassin pour enfoncer encore en elle le membre qui lui faisait tant de bien. Si le garçon faisait mine de se retirer, elle poussait violemment ses fesses en arrière pour retrouver la raideur délicieuse. Ce fut dans cette position qu’ils jouirent ensemble.
Debout dans le salon Richard et sa compagne regardaient le couple qui se caressait doucement après l’amour. Tournant la tête, la fille allongée les vit soudain et poussa un cri étranglé.
- Tu étais là ! rougit-elle en s’adressant à sa copie conforme.
- A la fin seulement, tu es très belle quand tu jouis. C’était bien ?
- Super ! répliqua son double, rougissant davantage, c’est la première fois que je ressens ça.
Venant prendre sa sœur dans ses bras, la jumelle délurée la cajola, l’embrassa, lui caressa tendrement le dos, puis les seins, murmurant des mots doux à son oreille. Tout à coup, la petite se rejeta en arrière.
- Tu es folle !
- Mais non, laisse, pour moi aussi, ça a été bon. Il faut que tu apprennes, comme ça ce sera bon à chaque fois.
Honteuse et hésitante, l’adolescente baissa la tête.
- Je veux bien si tu m’aides.
- Mais oui, je suis là, sois tranquille.
Aussitôt, celle qui jouait le rôle de “grande sœur”, enlaça le petit corps frémissant pour le coucher sur les coussins. Posant sa bouche sur la sienne, elle l’embrassa langoureusement et porta une main sur la jeune vulve encore gluante de plaisir. Frottant régulièrement le clitoris érigé à nouveau, elle arracha bientôt à sa jumelle des soupirs profonds, étouffés par la bouche qui baisait la sienne avec passion.
Dans leur coin, les deux garçons bandaient ferme devant le spectacle qui leur était offert. Ils entretenaient leur érection d’un petit branle de la main sur leurs queues dressées. D’un coup d’œil impérieux, la “grande” désigna sa sœur à Alain, qui vint s’étendre contre le dos de la gamine, l’enlaçant du même geste. Il commença alors à lui caresser le dos et les fesses, débordant parfois sur les flancs haletants pour venir brièvement empaumer les jeunes seins tendus. Il en profitait également pour caresser l’autre fille au passage. La petite sentait contre sa croupe un contact dur et chaud et elle remua les fesses pour en éprouver la tension.
Lorsque son membre se logea entre les rondeurs délicates, Alain fit glisser ses larges mains pour empoigner carrément la poitrine laiteuse. Il se frotta plus fort dans le chaud sillon qui le branlait. Le contact sur sa croupe affolait la jeune fille, qui se tendait vers lui pour retrouver les sensations si délicieuses dont elle était maintenant friande. Le garçon se guida dans la fente impatiente et l’enfila en levrette, s’immisçant bien à fond dans ses chairs ravies, la labourant puissamment pour la rendre encore plus avide de plaisir. Folle de désir, l’adolescente enfouit son visage dans les coussins pour étouffer ses gémissements. Elle échappa à l’étreinte de sa jumelle, qui se dégagea souplement pour la laisser profiter pleinement de la pénétration. Sa soeur recula d’un pas pour mieux voir le couple enlacé et, instinctivement, sa main se porta sur la queue de Richard qui n’en perdait pas une miette. Elle le branla distraitement en se caressant elle-même la motte.
Jugeant le moment venu, elle entraîna son partenaire vers le divan, le tenant par le sexe et tapota l’épaule du garçon qui baisait sa sœur. Il se retira en douceur et Richard prit sa place sur le divan, dans le dos de la fille. Ce fut la sœur qui procéda à l’intromission. Tenant fermement la verge érigée elle la pointa vers le petit puits humide qui l’attendait. D’un regard, elle commanda le garçon qui exerça une lente poussée. La main le freinait et il poussait plus dur. D’une crispation de ses doigts sur sa tige, elle lui fit comprendre de se calmer et il relâcha sa pression. La main s’ouvrit alors progressivement, l’autorisant à s’introduire dans l’étroit vagin presque neuf, jusqu’à l’enfiler de toute sa longueur.
Sous l’effet de la pénétration de ce chibre puissant qui la dilatait, la jeune fille poussa un râle animal.
- Elle est grosse, elle est plus grosse... Armelle, elle est plus grosse... (tiens, c’était Arielle la timide).
Un temps, pendant lequel les trois autres retinrent leur souffle.
- Elle est grosse, elle est grosse et c’est bon, j’aime, aaaah... j’aime...
Gagné ! Richard entama une lente copulation qui fut accueillie par des gémissements de bonheur de la belle enfilée.
Armelle retira sa main maintenant inutile et la porta à son propre sexe, pour tenter de calmer le feu qui la dévorait après le rôle d’entremetteuse qu’elle venait de jouer. Alain saisit fermement la main nerveuse et la remplaça par la sienne. Ses doigts entrèrent dans la fille trempée qu’il masturba avec force, utilisant tous ses doigts pour frotter les parois vaginales de la rousse en furie.
Se pliant en deux sous la violence de la caresse, elle lui goba la verge au vol et le suça vigoureusement. En quelques instants, ils arrivèrent tous deux à l’orgasme, elle inonda son poignet et il se répandit à longs traits dans sa bouche tuméfiée par la fellation.
Ils reprirent leurs esprits juste à temps pour voir jouir le couple qui faisait l’amour à leurs côtés. Agitant la tête de droite à gauche, Arielle mordait les coussins en hurlant son orgasme tandis que Richard se vidait en elle par derrière.
Alors que les quatre jeunes gens, enveloppés dans des peignoirs de bain, sirotaient un verre bien mérité, Armelle décida d’en avoir le cœur net.
- Tu as aimé ? demanda-t-elle à sa jumelle.
- Oh oui ! Tu as bien fait d’insister, mais je ne t’arrive pas encore à la cheville...
- Ça viendra, tu as envie de continuer à apprendre ?
- Oui, rougit la gamine, et je voudrais savoir... qu’est-ce que tu faisais à Alain, pendant que Richard et moi...
- C’est un plaisir spécial. Je le faisais jouir dans ma bouche. Tu utilises ta bouche comme un sexe.
- Je veux essayer !
- Un volontaire, Messieurs ?
Les deux garçons se dressèrent comme des ressorts.
- On va choisir Richard, sourit Armelle, la démonstration sera plus évidente.
Comme Alain se renfrognait, elle lui adressa une mimique prometteuse. Puis, s’approchant de Richard, elle s’agenouilla devant lui et entreprit une fellation modèle, tout en commentant chaque détail pour sa soeur. Position des lèvres, de la langue, des dents, des mains, écartement des mâchoires, succion, pression, aspiration, mouvements, tout y passa dans le détail. A la plus grande frustration du sucé, qui voyait sa pipe sans cesse interrompue par des explications techniques.
Enfin, Armelle l’abandonna et Arielle se mit en position pour prendre la suite. Au début, sa soeur la guida autour du membre et corrigea ses erreurs, puis elle lui laissa libre cours pour pomper le gros dard tendu. La gamine posa une dernière question.
- Et quand ça vient ?
- Tu ne te retires surtout pas, ralentis et laisse le jouir à fond dans ta bouche.
- Et puis ?
- Et puis, avale !
Arielle se remit à l’oeuvre sur un Richard ravi. Répétant dans sa tête les consignes qu’elle avait reçues, elle le suçait divinement. Sentant monter le sperme de ses reins, le garçon posa ses mains sur la tête de la jeune pipeuse pour éviter un faux mouvement dû à la surprise et se vida dans la bouche toute neuve. Il coula sur sa langue et elle déglutit automatiquement son foutre chaud. Elle le garda en elle un instant avant de le relâcher doucement. Pour une première, c’était une belle première.
Pendant ce temps-là Armelle, excitée par cette caresse interrompue, se faisait enculer à grand coup de reins par un Alain déchaîné. Il lui jouit bientôt dans l’anus et elle prit un pied fantastique à cette sabrée réalisée sous les yeux de sa pompeuse de soeur. Elle s’écroula, repue et épuisée. Arielle attendrait la prochaine fois pour découvrir à son tour les plaisirs de la rosette.
Au fil du repas, le silence s’était fait autour de la table, pendant que Richard racontait à ses amis ses souvenirs d’étudiant. Tous étaient impressionnés par cette séance de baise estudiantine et familiale. Un peu jaloux aussi de ne pas y avoir participé à l’époque. Richard leur précisa qu’il voyait toujours les jumelles de temps à autre et leur promit d’organiser une soirée avec elles.
Les hommes avaient le regard rêveur et les femmes les yeux brillants. Inconsciemment, Anna se caressait la fente par la jambe de son boxer, qui béait autour de ses cuisses, laissant sa vulve largement exposée aux regards. Un dîneur situé dans le bon axe en restait bouche bée, la regardant par dessus l’épaule de sa compagne, répondant machinalement par monosyllabes à son babillage incessant.
Soucieux de finir le repas sans esclandre, Richard la fit redescendre sur terre et ils commandèrent des cafés. Après l’eau-de-vie de framboise, ils regagnèrent les voitures pour se diriger vers un night-club des environs.
Anna entra la première, c’était elle qui avait réservé. Aussitôt les conversations des dîneurs baissèrent d’un ton. La grande blonde était maquillée en femme fatale, ses longs cheveux lui cachant un œil, une lueur salope éclairant l’autre. Son buste d’adolescente, voire d’adolescent, était déshabillé d’un débardeur semi transparent, bien trop grand pour elle et qui baillait sur sa poitrine minuscule. Très échancré sous les bras, il permettait, quel que soit l’angle de vision, d’apercevoir au moins une pointe dardée et provocante. En bas, comme pour rester dans le flou, elle portait un court boxer flottant en satin gris, fendu sur les hanches et dont émergeaient les interminables fuseaux de ses jambes.
Jill la suivait de près et la tension monta d’un cran. Elle avait choisi la version jungle. Une robe panthère collait à ses formes généreuses. Très ajustée et découpée partout. Le décolleté descendait jusqu’au nombril et découvrait une large bande de peau noire entre les seins libres et mouvants. Sur chaque cuisse, l’étoffe remontait jusqu’à l’aine et mettait en valeur les noires colonnes luisantes de ses cuisses.
La tension retomba un peu avec l’arrivée de Carole, vêtue d’un tailleur noir, sa couleur fétiche. Mais ce ne fut qu’un bref répit, car la veste portée à même la peau était profondément échancrée, fermée par un seul bouton sous les seins largement exposés. A chaque mouvement, les trois quarts d’un globe rebondi apparaissaient entre les pans du vêtement. Si elle se penchait en avant, on découvrait toute sa poitrine et ses seins tentaient de s’échapper de leur prison de tissu. La jupe droite moulante était fendue de chaque côté jusqu’à l’aine, ne laissant pas ignorer que, là non plus, elle ne portait aucun sous-vêtement. Sa croupe tendait les coutures à les faire exploser et la vallée sombre entre ses fesses apparaissait nettement en creux à travers la jupe ajustée.
Le coup de grâce fut assené par Marie, toute petite, toute blonde, et chargée d’un magnétisme sexuel qui arrêta les respirations des mâles présents. Elle aussi avait une couleur favorite, le rouge qui soulignait sa peau bronzée, ses cheveux blonds dorés et ses yeux bleus faussement innocents. Elle s’était contentée de ce qu’il fallait bien appeler un simple tube de jersey écarlate. Sans bretelle, retenu uniquement par le volume de ses seins galbés, le fourreau couvrait tout juste ses fesses. Le tissu était si fin qu’on discernait nettement les aréoles entourant les pointes agressives qui tendaient l’étoffe. Par derrière, ses fesses étaient bien détaillées par ce qu’elle s’obstinait à appeler une robe du soir. Une paire de chaussures assorties à talons hauts accentuait sa cambrure naturelle. Pour compléter cette symphonie en une couleur, un rouge à lèvres vermillon soulignait sa bouche pulpeuse. Elle affichait clairement la couleur : je suis bien faite, j’aime le sexe, tentez votre chance.
Les quatre hommes se tenaient derrière elle, passant inaperçus, malgré leur petit sourire supérieur, du style “eh oui, c’est à nous”.
Les huit amis se dirigèrent vers leur table sous les yeux meurtriers des autres femmes de l’assistance et les regards en dessous de leurs compagnons. Personne ne piqua du nez dans son assiette, il ne semblait pas y avoir de cardiaque dans l’assistance.
Bastien, le patron, leur offrit l’apéritif du jour, vodka lime arrangée à sa façon avec des herbes des montagnes. Il ne perdait pas une occasion de venir à leur table pour lorgner sans vergogne les poitrines et les jambes découvertes de ses belles clientes.
C’était un homme qui aimait la vie sous toutes ses formes et ne s’en cachait pas. De temps à autre, quand les nécessités du service lui en laissaient le loisir, il venait à la villa en ami et il avait souvent tenu sa part dans les parties fines qui démarraient autour de la piscine pour essaimer ensuite dans toute la maison. Son physique n’avait rien d’extraordinaire, mais son petit gabarit trapu et sa pilosité de Méditerranéen exerçaient un charme certain sur les femmes. De plus, il était redoutablement endurant, arborant une érection de fer et capable de jouir à des intervalles incroyablement rapprochés. Anna l’invita à passer les voir. Il promit de se libérer.
Au cours du repas, le vin aidant, la conversation prit un tour coquin, chacun racontant avec plus ou moins de talent ses expériences érotiques depuis l’année précédente.
Frank fit rire tout le monde en se plaignant des assiduités dont il était l’objet dans son club de gym, de la part d’homosexuels appâtés par ses muscles bien entraînés et le volume prometteur qu’ils devinaient sous son short. Il les attendrit ensuite par le récit de ses déboires avec des filles magnifiques qui lui plaisaient, et réciproquement, mais dont la capacité d’accueil sexuel était mal adaptée au sexe monstrueux dont il était gratifié.
Cela rappela à Richard, relativement bien pourvu lui aussi, ses souvenirs de l’Université. Très jeune il s’était heurté également à des problèmes de “calibre” avec de jeunes étudiantes encore étroites. Alors qu’il s’en plaignait à Alain, un condisciple, celui-ci avait eu une idée. Et s’ils chassaient en tandem ? Ils sortiraient ensemble, ramèneraient leurs conquêtes chez l’un ou chez l’autre et passeraient à l’action. Si la proie consentante était du genre serré, Alain, pourvu d’avantages plutôt modestes l’entreprendrait le premier. Après le premier round, Richard pourrait entrer en scène, dans des orifices bien préparés à l’accueillir. Si, au contraire elle aimait les grosses tiges d’entrée, Alain la laisserait volontiers à Richard, pour se rabattre sur une autre oiselle en chaleur. Ainsi fut fait.
Richard se souvenait particulièrement d’une soirée après un examen. Les étudiants avaient organisé une fête au bord de l’eau, avec buffet, musique et surtout bar bien garni. Les deux amis, leaders incontestés de leur promotion, étaient en vedette ce soir là et attiraient l’attention des étudiantes qui riaient à leurs plaisanteries. Ils s’aperçurent vite de l’intérêt qu’ils suscitaient chez deux sœurs jumelles, deux petites rousses typiques. Nez en trompette et taches de rousseur sur une peau très blanche, Armelle et Arielle étaient parfaitement semblables. De plus, elles s’habillaient de façon identique.
Bientôt, ils ne dansaient plus qu’avec elles et, profitant de leur similitude, se les échangeaient entre les danses, chacun des deux compères pelotant indifféremment l’une ou l’autre. Éméchées et rieuses, elles ne se défendaient pas et roucoulaient sous les caresses de plus en plus osées de leurs cavaliers d’un soir. Rapidement, le noir aidant, les deux garçons fourrageaient sous les jupes et dans les corsages des filles ravies. Ils dansèrent même à quatre, les huit mains voltigeant dans tous les sens sur les chairs exacerbées.
La soirée s’avançait et le désir montait en eux. Ils se replièrent sur l’appartement de Richard. Dans la voiture déjà, Armelle, à moins que ce ne fût Arielle, avait extirpé la verge d’Alain et l’avait masturbé sur la banquette arrière, tandis qu’Arielle ou Armelle gémissait sous les doigts de Richard, qui conduisait d’une main et la branlait de l’autre.
Enfin arrivés à bon port, les quatre jeunes gens avaient continué à boire et à danser, étroitement enlacés, poursuivant leurs explorations manuelles. Celle qui dansait avec Alain lui susurra à l’oreille :- Tu diras à ton ami de faire attention, ma sœur n’a pas beaucoup d’expérience, il y a quinze jours elle était encore vierge.
- Et toi ?
- Oh moi, ça ne craint rien ! j’aime le sexe des hommes. Je ne perds jamais l’occasion d’en abuser.
Alain alla murmurer quelques mots à l’oreille de son ami qui, lui abandonnant sa cavalière, vint se coller à la jumelle délurée. Sans s’offusquer, les deux minettes se remirent à danser, chacune se frottant de plus belle contre son nouveau partenaire. Leur expérience était peut-être différente, mais aucune n’avait froid aux yeux.
Bientôt, Richard et Armelle (ou Arielle ?) s’éclipsèrent dans une chambre voisine. Ils s’embrassèrent fiévreusement en se déshabillant mutuellement. Quand Richard fut nu, exhibant une érection impressionnante, la fille éclata de rire.
- Ah ! j’ai compris pourquoi vous avez changé.
- Ça te fait peur ? dit Richard en montrant son sexe dardé.
- Tu plaisantes ! Mais je plains ma sœur d’en être privée. Viens, viens vite me mettre ton gros morceau !
Il l’enlaça et ils tombèrent sur le lit. Très vite, elle se dégagea de son étreinte et se dressa sur les genoux. Secouant la tête, elle le caressa de ses cheveux flamboyants, la douceur de ses boucles sur sa peau le fit frissonner et bander de plus belle. Elle se pencha lentement vers la verge tendue, hypnotisée par sa raideur. Y posant une menotte décidée, elle fit un cercle de son pouce et de son index et enserra le sommet du gland encore recouvert par le prépuce. Lentement, très lentement, elle tira la peau sensible en arrière pour faire apparaître le fruit congestionné. La lenteur du mouvement était presque insupportable pour le garçon qui haletait d’impatience.
Une fois le bout rouge et gonflé bien dégagé, elle tira encore vers l’arrière pour le faire saillir davantage, puis remonta l’anneau de ses doigts, toujours aussi lentement, entraînant la gaine soyeuse qui frottait délicieusement au passage la muqueuse énervée, la recouvrant millimètre par millimètre jusqu’en haut de la tige vibrante. Fermant les autres doigts autour de la queue chaude, d’une secousse violente elle le décalotta d’un coup à fond. Richard poussa un cri de douleur et de plaisir mélangés. Avant même qu’il n’ait pu protester contre la vigueur de la manœuvre, il se sentit emprisonné dans une cavité chaude et humide. Toute douceur par rapport à sa brutalité précédente, elle le cajola de sa bouche et de sa langue, puis le pompa savamment, s’appliquant à écarteler les mâchoires pour ne jamais le toucher de ses dents. Elle appliquait l’exacte pression et aspirait juste ce qu’il fallait pour le garder au bord du plaisir sans le faire éjaculer prématurément entre ses lèvres.
Graduellement, elle pivota sur le lit, entraînant le garçon avec elle, et se trouva bientôt en position de “Gorge Profonde”, étendue sur le dos en travers de la couche, la tête pendant dans le vide. Comprenant vite, Richard s’agenouilla en face du gouffre ouvert à sa trique douloureuse et s’enfonça avec précaution. La bouche largement ouverte était dans l’axe de la gorge de la fille, offrant un long conduit à la virilité puissante qui la violait. Lentement, le gros sexe dur se fraya un chemin dans la bouche brûlante et atteignit la luette, ce qui déclencha un spasme réflexe chez la jeune fellatrice. Étendant encore son cou arqué, elle introduisit le gland dans son arrière-gorge, l’enveloppant de son gosier resserré et luttant pour conserver le rythme oppressé de sa respiration. Lorsque son nez buta contre les poils entourant le sceptre qui palpitait en elle, elle entama de lents mouvements de bouche et de gorge qui massaient le dard sur toute sa longueur.
Richard avait entendu parler de cette pratique, mais n’en avait jamais subi le délicieux martyre. Il resta immobile pour ne pas meurtrir la grotte qui le pompait spasmodiquement. Quand elle sut qu’il était à point, elle régurgita lentement le gros muscle turgescent et s’assit sur le lit en lui tendant les bras. Il se glissa tendrement sur elle et pénétra la motte rousse qui l’attendait. Aussitôt, la gamine se déchaîna, agitant frénétiquement les fesses pour mieux s’empaler. Elle jouit en quelques secondes en couinant comme une souris prise au piège. Richard ne se retint plus et déversa son foutre brûlant dans le vagin déjà ruisselant de sécrétions féminines.
Sans mollir d’une ligne, il reprit son va-et-vient dans le sexe avide. La jumelle solitaire s’anima très vite sous ses coups de boutoir impérieux. Elle jouit encore en criant. Déchaîné, Richard retira sa bite raidie et la retourna sur le lit souple. Les petites fesses très blanches étaient criblées de roux et leur fente laissait voir l’abricot fendu qui se tapissait au creux du buisson de feu. Se postant derrière elle, il l’enfila d’un coup de reins puissant et elle se mit à gémir sous la perforation énorme de son vit. Elle mouillait toujours plus, la cyprine ruisselait le long de ses cuisses écartées, et Richard commença à se sentir coulisser un peu facilement dans ce marécage en folie.
Comme lisant dans les pensées du mâle en rut, la rouquine envoya ses mains derrière elle pour saisir ses fesses fermes d’adolescente et les écarter généreusement. Le petit cratère était cerclé d’une fine peau rousse et plissée et lui aussi ruisselait du foutre de l’orifice voisin. Sans cesser ses pénétrations profondes, Richard y introduisit un index fureteur, éprouvant la souplesse et la nervosité du sphincter encore serré. Un râle profond lui répondit et il décida de ne plus attendre.
Son doigt laissa la place au membre luisant qu’il pointa sur l’œillet tentateur. Il appuya son gland bien lubrifié sur la rosette juvénile et poussa. Sans résultat. Le membre enfonçait l’anneau crispé sans pouvoir y entrer. Il recula, réajusta son mandrin bandé sur le petit trou brun et recommença son assaut. Cette fois, l’anus s’entrouvrit sous la pression croissante du gland, le petit trou s’épanouit autour de la boule chaude qui le forçait. Petit à petit la large queue écartelait le cul serré qui résistait. Puis l’anus céda d’un coup et la verge s’y enfonça jusqu’aux poils. La fille rugit de plaisir sous la ruée du membre qui la défonçait.
Pour Richard, la sensation était merveilleuse, son nœud était enfoui au plus profond du cul chaud de cette fille peu farouche et qui en demandait encore d’une voix rauque. Il fit presque ressortir son sexe, marqua un temps et l’encula à nouveau au plus profond. Elle cria sous le coup et agita la croupe pour mieux le sentir en elle.
Le mâle la sodomisait maintenant à grands coups de verge qui lui affolaient le conduit. Elle touchait frénétiquement son clitoris pour augmenter la jouissance qui rayonnait de la porte étroite de ses fesses. Enfin, il déversa dans son rectum un flot de lave qui la fit jouir instantanément.
Apaisés, les deux jeunes gens reposaient enlacés sur le lit. Richard repassait dans sa tête les péripéties de ce coït frénétique qui les avait laissés épuisés mais ravis. Pour une fille si jeune, elle faisait l’amour avec une étrange maîtrise. Ses accouplements semblaient procéder davantage de la rage de jouir que de la passion. Il le lui dit et elle éluda la question en invoquant un vague cousin qui l’aurait initiée. Richard ne s’y trompa pas, on n’acquiert pas une telle expérience au cours de séances de touche-pipi estival. Il changea de sujet :- Et ta sœur ? Elle est comme toi ?
- Penses-tu ! c’est presque une oie blanche. Il faudrait qu’elle s’y mette, mais elle est timide.
Se levant brusquement, elle le prit par la main et l’entraîna.
- Viens, on va voir ce qu’ils font.
Dans le salon, Alain, étendu sur l’autre jumelle, la besognait gentiment, tandis qu’elle gémissait en sourdine. Penché sur elle, le garçon lui embrassait tendrement les seins, aspirant les mamelons dardés et les roulant entre ses lèvres. La fille participait en tortillant ses fesses pour exciter la verge qu’elle sentait en elle.
Le petit sexe du garçon l’avait pénétrée sans mal et elle montait lentement vers le plaisir. C’était bien meilleur qu’avec le seul amant qu’elle ait connu, un jeune boutonneux qui l’avait dépucelée à la va-vite et avait joui comme un lapin, sans s’occuper de son plaisir à elle. Il l’avait laissée insatisfaite, poisseuse et meurtrie, déçue de cette première fois ratée et se demandant si elle recommencerait un jour ou se cantonnerait aux jeux saphiques que sa sœur lui avait appris à aimer.
Ce soir, l’ambiance aidant, elle était tombée sous le charme de ces deux garçons rieurs et s’était laissée entraîner. Après tout, sa sœur était là pour la protéger. Elle n’avait pas bien compris la raison de ce changement de partenaire de dernière minute, mais ils avaient l’air gentil tous les deux.
Lorsque celui qui la besognait se retira d’elle, elle ne comprit pas ce qu’il voulait. Se laissant faire, elle se retrouva à genoux sur le canapé, la tête basse et les fesses hautes. Puis, elle sentit le sexe de l’homme la pénétrer lentement par derrière, d’une poussée régulière, pour venir buter au fond de son vagin maintenant bien lubrifié. Elle gémit de bonheur. C’était encore meilleur comme ça. Bien emmanchée sur la queue qui la ramonait, elle retrouva d’instinct les mouvements ancestraux du plaisir. Elle avançait et reculait son bassin pour enfoncer encore en elle le membre qui lui faisait tant de bien. Si le garçon faisait mine de se retirer, elle poussait violemment ses fesses en arrière pour retrouver la raideur délicieuse. Ce fut dans cette position qu’ils jouirent ensemble.
Debout dans le salon Richard et sa compagne regardaient le couple qui se caressait doucement après l’amour. Tournant la tête, la fille allongée les vit soudain et poussa un cri étranglé.
- Tu étais là ! rougit-elle en s’adressant à sa copie conforme.
- A la fin seulement, tu es très belle quand tu jouis. C’était bien ?
- Super ! répliqua son double, rougissant davantage, c’est la première fois que je ressens ça.
Venant prendre sa sœur dans ses bras, la jumelle délurée la cajola, l’embrassa, lui caressa tendrement le dos, puis les seins, murmurant des mots doux à son oreille. Tout à coup, la petite se rejeta en arrière.
- Tu es folle !
- Mais non, laisse, pour moi aussi, ça a été bon. Il faut que tu apprennes, comme ça ce sera bon à chaque fois.
Honteuse et hésitante, l’adolescente baissa la tête.
- Je veux bien si tu m’aides.
- Mais oui, je suis là, sois tranquille.
Aussitôt, celle qui jouait le rôle de “grande sœur”, enlaça le petit corps frémissant pour le coucher sur les coussins. Posant sa bouche sur la sienne, elle l’embrassa langoureusement et porta une main sur la jeune vulve encore gluante de plaisir. Frottant régulièrement le clitoris érigé à nouveau, elle arracha bientôt à sa jumelle des soupirs profonds, étouffés par la bouche qui baisait la sienne avec passion.
Dans leur coin, les deux garçons bandaient ferme devant le spectacle qui leur était offert. Ils entretenaient leur érection d’un petit branle de la main sur leurs queues dressées. D’un coup d’œil impérieux, la “grande” désigna sa sœur à Alain, qui vint s’étendre contre le dos de la gamine, l’enlaçant du même geste. Il commença alors à lui caresser le dos et les fesses, débordant parfois sur les flancs haletants pour venir brièvement empaumer les jeunes seins tendus. Il en profitait également pour caresser l’autre fille au passage. La petite sentait contre sa croupe un contact dur et chaud et elle remua les fesses pour en éprouver la tension.
Lorsque son membre se logea entre les rondeurs délicates, Alain fit glisser ses larges mains pour empoigner carrément la poitrine laiteuse. Il se frotta plus fort dans le chaud sillon qui le branlait. Le contact sur sa croupe affolait la jeune fille, qui se tendait vers lui pour retrouver les sensations si délicieuses dont elle était maintenant friande. Le garçon se guida dans la fente impatiente et l’enfila en levrette, s’immisçant bien à fond dans ses chairs ravies, la labourant puissamment pour la rendre encore plus avide de plaisir. Folle de désir, l’adolescente enfouit son visage dans les coussins pour étouffer ses gémissements. Elle échappa à l’étreinte de sa jumelle, qui se dégagea souplement pour la laisser profiter pleinement de la pénétration. Sa soeur recula d’un pas pour mieux voir le couple enlacé et, instinctivement, sa main se porta sur la queue de Richard qui n’en perdait pas une miette. Elle le branla distraitement en se caressant elle-même la motte.
Jugeant le moment venu, elle entraîna son partenaire vers le divan, le tenant par le sexe et tapota l’épaule du garçon qui baisait sa sœur. Il se retira en douceur et Richard prit sa place sur le divan, dans le dos de la fille. Ce fut la sœur qui procéda à l’intromission. Tenant fermement la verge érigée elle la pointa vers le petit puits humide qui l’attendait. D’un regard, elle commanda le garçon qui exerça une lente poussée. La main le freinait et il poussait plus dur. D’une crispation de ses doigts sur sa tige, elle lui fit comprendre de se calmer et il relâcha sa pression. La main s’ouvrit alors progressivement, l’autorisant à s’introduire dans l’étroit vagin presque neuf, jusqu’à l’enfiler de toute sa longueur.
Sous l’effet de la pénétration de ce chibre puissant qui la dilatait, la jeune fille poussa un râle animal.
- Elle est grosse, elle est plus grosse... Armelle, elle est plus grosse... (tiens, c’était Arielle la timide).
Un temps, pendant lequel les trois autres retinrent leur souffle.
- Elle est grosse, elle est grosse et c’est bon, j’aime, aaaah... j’aime...
Gagné ! Richard entama une lente copulation qui fut accueillie par des gémissements de bonheur de la belle enfilée.
Armelle retira sa main maintenant inutile et la porta à son propre sexe, pour tenter de calmer le feu qui la dévorait après le rôle d’entremetteuse qu’elle venait de jouer. Alain saisit fermement la main nerveuse et la remplaça par la sienne. Ses doigts entrèrent dans la fille trempée qu’il masturba avec force, utilisant tous ses doigts pour frotter les parois vaginales de la rousse en furie.
Se pliant en deux sous la violence de la caresse, elle lui goba la verge au vol et le suça vigoureusement. En quelques instants, ils arrivèrent tous deux à l’orgasme, elle inonda son poignet et il se répandit à longs traits dans sa bouche tuméfiée par la fellation.
Ils reprirent leurs esprits juste à temps pour voir jouir le couple qui faisait l’amour à leurs côtés. Agitant la tête de droite à gauche, Arielle mordait les coussins en hurlant son orgasme tandis que Richard se vidait en elle par derrière.
Alors que les quatre jeunes gens, enveloppés dans des peignoirs de bain, sirotaient un verre bien mérité, Armelle décida d’en avoir le cœur net.
- Tu as aimé ? demanda-t-elle à sa jumelle.
- Oh oui ! Tu as bien fait d’insister, mais je ne t’arrive pas encore à la cheville...
- Ça viendra, tu as envie de continuer à apprendre ?
- Oui, rougit la gamine, et je voudrais savoir... qu’est-ce que tu faisais à Alain, pendant que Richard et moi...
- C’est un plaisir spécial. Je le faisais jouir dans ma bouche. Tu utilises ta bouche comme un sexe.
- Je veux essayer !
- Un volontaire, Messieurs ?
Les deux garçons se dressèrent comme des ressorts.
- On va choisir Richard, sourit Armelle, la démonstration sera plus évidente.
Comme Alain se renfrognait, elle lui adressa une mimique prometteuse. Puis, s’approchant de Richard, elle s’agenouilla devant lui et entreprit une fellation modèle, tout en commentant chaque détail pour sa soeur. Position des lèvres, de la langue, des dents, des mains, écartement des mâchoires, succion, pression, aspiration, mouvements, tout y passa dans le détail. A la plus grande frustration du sucé, qui voyait sa pipe sans cesse interrompue par des explications techniques.
Enfin, Armelle l’abandonna et Arielle se mit en position pour prendre la suite. Au début, sa soeur la guida autour du membre et corrigea ses erreurs, puis elle lui laissa libre cours pour pomper le gros dard tendu. La gamine posa une dernière question.
- Et quand ça vient ?
- Tu ne te retires surtout pas, ralentis et laisse le jouir à fond dans ta bouche.
- Et puis ?
- Et puis, avale !
Arielle se remit à l’oeuvre sur un Richard ravi. Répétant dans sa tête les consignes qu’elle avait reçues, elle le suçait divinement. Sentant monter le sperme de ses reins, le garçon posa ses mains sur la tête de la jeune pipeuse pour éviter un faux mouvement dû à la surprise et se vida dans la bouche toute neuve. Il coula sur sa langue et elle déglutit automatiquement son foutre chaud. Elle le garda en elle un instant avant de le relâcher doucement. Pour une première, c’était une belle première.
Pendant ce temps-là Armelle, excitée par cette caresse interrompue, se faisait enculer à grand coup de reins par un Alain déchaîné. Il lui jouit bientôt dans l’anus et elle prit un pied fantastique à cette sabrée réalisée sous les yeux de sa pompeuse de soeur. Elle s’écroula, repue et épuisée. Arielle attendrait la prochaine fois pour découvrir à son tour les plaisirs de la rosette.
Au fil du repas, le silence s’était fait autour de la table, pendant que Richard racontait à ses amis ses souvenirs d’étudiant. Tous étaient impressionnés par cette séance de baise estudiantine et familiale. Un peu jaloux aussi de ne pas y avoir participé à l’époque. Richard leur précisa qu’il voyait toujours les jumelles de temps à autre et leur promit d’organiser une soirée avec elles.
Les hommes avaient le regard rêveur et les femmes les yeux brillants. Inconsciemment, Anna se caressait la fente par la jambe de son boxer, qui béait autour de ses cuisses, laissant sa vulve largement exposée aux regards. Un dîneur situé dans le bon axe en restait bouche bée, la regardant par dessus l’épaule de sa compagne, répondant machinalement par monosyllabes à son babillage incessant.
Soucieux de finir le repas sans esclandre, Richard la fit redescendre sur terre et ils commandèrent des cafés. Après l’eau-de-vie de framboise, ils regagnèrent les voitures pour se diriger vers un night-club des environs.
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