La pension Les Mimosas (Partie 2)

- Par l'auteur HDS Clar -
Récit érotique écrit par Clar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Récit libertin : La pension Les Mimosas (Partie 2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-06-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La pension Les Mimosas (Partie 2)
Le weekend s’étira tranquillement. Virginie repensait à ce qui s’était passé le vendredi.
Elle avait pris du plaisir sous les doigts et la langue habiles de Juan en présence de Marinette, en regardant la directrice se faire baiser par le prêtre noir. Elle avait aimé cette situation associant exhibitionnisme et voyeurisme, dans ce lieu inhabituel. Rien que d’y repenser elle mouillait. Et elle avait cru comprendre que les pensionnaires de l’étage lui réserveraient quelques surprises inavouables.
Le lundi matin, à sept heures, Virginie arriva aux Mimosas. Comme convenu, elle monta à l’étage. Sœur Marinette était déjà à pied d’œuvre, préparant des médicaments et vérifiant un modeste chariot de soins étincelant. Elle lui sourit, lui demanda si elle était prête et elles entrèrent dans la première chambre. Marinette avait une quarantaine d’années, les cheveux bruns, un visage de douceur. Elle était grande et élancée. « Virginie, je te présente Raoul. Notre cadet. Il a soixante-deux ans. Lui, on lui fait la toilette au lit et douche le mardi et le vendredi. Méfie-toi de lui, il est un peu coquin » Raoul regardait Virginie en souriant. Un sourire qu’elle trouva un peu lourd. Marinette contourna le lit et tira sur les draps qu’elle rabattit au niveau des pieds. « Allez Raoul mets un peu du tien. Aide-nous ». Raoul se redressa et s’assit dans le lit.
Marinette défit les boutons de son haut de pyjama. Elle tira sur une manche pour dégager les bras. « A toi Virginie, l’autre manche. Allez Raoul, on s’allonge ». Marinette s’employa à tirer sur le bas du pyjama. Avec l’aide de Virginie elles le débarrassèrent du pantalon. Visiblement Raoul ne faisait guère d’effort pour les aider. Comme si c’était un jeu. Raoul les regardait, goguenard. Sa verge se redressait lentement. Son regard allait de l’une à l’autre, l’air satisfait. Marinette attrapa la bassine, le savon et, sans gants, entreprit de savonner Raoul. Ses mains glissaient sur sa peau. Raoul avait dégagé ses bras qui pendaient de part et d’autre du lit. Les mains savonneuses glissaient sur le torse, s’attardant sur les têtons. Visiblement l’homme appréciait le traitement.
Les mains descendirent sur le ventre. Marinette reprit le savon et les mains contournèrent le pénis raide, s’attardant à frotter doucement les bourses, disparaissant lentement en arrière. Au tressautement de Raoul, Virginie comprit qu’elles venaient d’atteindre l’anus. La verge avait pris encore plus de volume. Virginie ne pouvait détacher son regard de ce spectacle, de cette verge large et longue, tendue, au bout violacé. Marinette émit un soupir. Virginie réalisa que la main droite de Raoul avait glissé sous la blouse de Marinette et explorait l’arrière des cuisses, remontant vers le fessier. Marinette enduisit à nouveau sa main de savon et entreprit de savonner la verge, l’entourant de ses doigts, faisant monter et descendre son poignet sur la tige raide. Marinette respirait plus fort et plus vite. Virginie était hypnotisée par la scène. Soudain, elle sentit une main se poser sur l’arrière de mon genou, remontant doucement vers le haut, emportant la blouse, la retroussant sur les cuisses. Elle écarta légèrement les cuisses pour se prêter à la caresse. Elle regarda Marinette. Les yeux fermés, elle continuait de branler lentement le membre. L’homme, l’avant-bras engagé sous la blouse retroussée avait passé sa main sous la culotte et caressait les fesses de la sœur. Virginie se sentait prise d’une excitation sourde. La main masculine remontait et atteignait à présent ses fesses que le string laissait nues. Elle sentait la cyprine couler. Elle avait envie que cette main continue son exploration, vienne titiller son bouton, vienne la délivrer. Elle sentait la main glisser à plat sur ses fesses, s’insinuant sous le fin tissu, parcourant le sillon en exerçant une douce pression. Les doigts agaçaient l’anus, glissant entre les jambes pour caresser le sexe trempé. Tout d’un coup, Raoul émit un grondement sourd. Son ventre se crispa et il éjacula dans les mains de Marinette. Le charme était rompu. Marinette termina rapidement la toilette, rinça et essuya Raoul. « Tu peux te rhabiller tout seul mon grand » lui dit-elle.
Marinette adressa à Virginie un petit sourire gêné.
« C’est Raoul. Il est comme ça. Il n’est pas méchant. Mais il me met toujours dans des états… ça me fait tellement de bien. Allez, on continue. « Les autres pensionnaires étaient moins entreprenants que Raoul. Virginie eut tout de même droit à quelques mains baladeuses. Dont certaines s’aventuraient sous sa blouse.
Marinette se laissait également faire. Le dernier pensionnaire, Victor, pendant sa toilette, passa sa main sur la poitrine de Marinette et crocheta les deux boutons du haut. Il glissa sa main sous les bonnets du soutien-gorge. Marinette respirait plus vite.
Elle se laissa ainsi caresser pendant toute la durée de la toilette. Victor tourna la tête et sourit à Virginie. « Les vôtres sont-ils aussi doux que ceux de Marinette ? J’y goûterai volontiers demain ».
Mardi. Jour de douche de Raoul. A l’arrivée des deux femmes dans sa chambre, Raoul se leva. Comme un rituel bien huilé, il laissa Marinette le déshabiller. Nu, il prit la sœur par la main et l’entraina vers la salle de bain. Il s’adressa à Virginie : « Petite, il faut que vous restiez près de moi pour me rattraper si je glisse. Le bac de douche est tellement glissant quand il est mouillé. Je ne voudrais pas me faire du mal » Marinette régla la température de l’eau et aspergea Raoul des épaules aux pieds. Elle coupa l’eau, attrapa la savonnette et commença à le laver. Raoul se laissait faire, dévisageant Virginie. Faisant mine de glisser, il s’agrippa à la jeune femme, posant ses deux mains sur ses hanches. Ainsi placée en face d’elle, il obligeait Marinette à glisser ses mains entre leurs deux corps. Virginie suivait le mouvement des mains savonneuses. Elles atteignirent bientôt le bas ventre de Raoul, flattant la verge qui doucement se redressait pour pointer à l’horizontale. Les mains de Raoul ne restaient pas inactives.
Elles remontaient à présent vers les flancs de Virginie, faisant remonter sa blouse, dévoilant ses cuisses. Il tirebouchonna la blouse sur ses reins. Il tira lentement mais surement sur la culotte et la fit descendre sur les cuisses d‘où elle glissa en corolle sur le carrelage. Virginie avait le sexe dénudé. Elle se laissait faire, prise d’une sourde excitation. Son regard allait du visage de l’homme à son pénis tendu. Marinette tira sur la verge de Raoul, l’emmenant au contact de la vulve humide. Ce fut elle qui promena le gland sur le sexe féminin, l’amenant à l’entrée de la vulve entrouverte, continuant la masturbation de Raoul de son autre main. Virginie ferma les yeux. Un mélange de dégoût et d’excitation l’habitait. Elle savait que si Raoul donnait un coup de rein, il la pénétrerait tellement elle était offerte. Elle avait envie de ce sexe. Raoul ne tenta rien, il laissait faire. Marinette promenait le gland sur le clitoris de Virginie, lui arrachant des gémissements rauques. Elle masturbait les deux. Soudain, le plaisir fut là, déferlant du fond de son ventre. Virginie se raccrocha à Raoul pour ne pas tomber. Elle sentit l’homme se cabrer brusquement et un liquide chaud asperger son sexe. Marinette, un sourire aux lèvres les regardait. Raoul se recula d’un pas. La blouse de Virginie retomba. Elle remit sa culotte en place. Marinette reprit la toilette de Raoul et le rinça. Elle l’essuya soigneusement d’une manière très professionnelle. « Bon Raoul, tu es un grand garçon, on te laisse te rhabiller ».
Les deux femmes sortirent de la chambre. « Ça t’a plu je vois. Jeudi c’est mon tour. » dit Marinette « Tu m’aideras hein ? ». Le reste de la matinée se passa sans événement notable. Arrivées chez Victor, Marinette lui dit « Laisse Virginie tranquille, elle récupère de Raoul ».
Le lendemain il ne se passa rien de notable, juste quelques mains baladeuses, parfois insistantes. Victor avait oublié Virginie. Elle en fut presque un peu déçue.
Le jeudi, elles entrèrent dans la chambre de Raoul. Il les attendait, allongé sur son lit, recouvert d’un drap. « Allez fainéant, on se prépare pour la douche » l’interpella Marinette. Elle tira sur le drap d’un coup sec. Raoul apparut nu, son sexe décalotté déjà bandé. Marinette, le regard extatique regardait la colonne de chair qui pulsait devant ses yeux. Virginie la contourna et se plaçant derrière elle entreprit de déboutonner la blouse qu’elle fit glisser le long du corps de la sœur. Elle dégrafa le soutien-gorge libérant les seins blancs. Elle fit glisser la sage culotte le long des jambes. Elle se colla au dos de la sœur et passant ses mains devant, caressa doucement les seins, faisant rouler les mamelons entre ses doigts. Elle ne se reconnaissait pas dans cette envie de sexe. Elle se collait au dos de Marinette, frottant son pubis contre les fesses nues.
Raoul les regardait. Son sexe avait encore grossi. Virginie abandonna les seins pour glisser sur le ventre de la sœur et écarter ses lèvres, offrant à la vue de l’homme le coquillage écarlate. Elle plongea un puis deux doigts dans la grotte accueillante, ruisselant déjà sous les doigts experts. Elle entreprit de la masturber doucement. Quand elle sentit que Marinette était suffisamment prête, elle la poussa doucement sur le lit.
Raoul attrapa la sœur et l’attira. Elle se hissa sur le lit, enjamba l’homme et s’empala d’un coup sur le vit dressé. Il la pénétra sans peine et entreprit un mouvement de va et vient tout en malaxant ses seins. Il la baisa ainsi une dizaine de minutes, variant le rythme. Marinette hoquetait. Elle jouit la première dans un long cri retenu. Il la rejoignit peu après, les yeux rivés dans ceux de Virginie, éjaculant au fond du sexe de la sœur. Virginie était tétanisée par le spectacle. Attirée malgré elle par cet homme aux allures bestiales. Elle aussi avait envie que ce sexe la perfore. Marinette récupérait peu à peu. Elle se rhabilla comme une automate. Elles reprirent leur tournée.
Le vendredi, Raoul attendait, allongé dans son lit. Il ne manifesta aucune velléité envers les deux femmes. Raoul regarda Virginie « Lundi, je m’occupe de toi, on aura tout notre temps. Je te promets une super semaine. Sois en forme ma belle. On va bien en profiter ».
Avant de partir, Virginie passa chez sœur Geneviève. Elle trouva la directrice assise à son bureau. Comme la semaine précédente, ses seins aux mamelons dressés se dessinaient sous la blouse. Une odeur de stupre flottait dans la pièce. Gédéon ne devait pas être loin. « Ma fille, je n’ai eu que des louanges sur vous par Marinette et par certains pensionnaires. Vous mettez du cœur à l’ouvrage et avez le sens du partage et des valeurs humaines. La semaine prochaine, vous serez d’après-midi. J’ai donné congé à sœur Lucie qui devait travailler. Vous serez donc seule, mais je suis certaine que vous serez à la hauteur de la tâche. Ah, j’allais oublier, Raoul m’a dit que vous aimeriez vous confesser. Gédéon vous attendra vendredi à dix-sept heures. Il vous attendra dans mon bureau pour la confession. Passez un bon weekend. Reposez-vous, vous en aurez besoin. »

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