La Ruelle
Récit érotique écrit par ErotoMan [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2 récits publiés.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-10-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La Ruelle
Il n’est pas encore midi lorsque Luc arrive à la maison que louent pour les vacances Alice et son amie Inès. Les deux copines se sont octroyées 15 jours de vacances entre filles. Alice doit repartir avec Luc dans l’après-midi pour des vacances en amoureux.
Alice est installée sous la pergola, assise dans un fauteuil de jardin. Les pieds posés en hauteur sur l’accoudoir du fauteuil d’à côté, elle écoute de la musique à l’ombre, et pour cause ; un soleil de plomb brille haut dans le ciel et la chaleur est suffocante. En ce mois d’août, le calme avant la tempête.
Lorsqu’elle reçoit le sms de Luc lui disant qu’il l’attend devant la maison, son visage s’illumine. Elle descend en les survolant les marches de l’escalier en pierres naturelles et se jette dans l'allée. Elle est très vite au portail qu’elle ouvre sans quitter Luc des yeux.
-Salut chéri ! T’as fait bonne route ? T’es juste à l'heure.
Luc franchit le portail et ses yeux parcourent en quelques secondes la silhouette d’Alice. Pour résister à la chaleur, elle porte un mini short en jean délavé et un petit haut en coton blanc. Une tenue qui exalte son goût pour le fitness.
-Salut Princesse ! T’es magnifique ! Et joli bronzage !
Les deux amoureux tombent dans les bras l’un de l’autre et s’embrassent passionnément. Après ces retrouvailles fougueuses, Claire replace d’un geste fluide ses longs cheveux blonds en désordre et se tourne en direction de la maison.
-Suis-moi !
A leur arrivée, Inès s’affaire en cuisine, dos à eux. Luc détaille ses longs cheveux bruns qui descendent jusqu’à ses reins ainsi que ses fesses moulées dans une paire de jeans taille basse. En les entendant arriver, Inès se retourne. Luc découvre alors une piquante brune aux yeux verts qui contourne l’îlot central pour venir à leur rencontre.
-Bienvenue ! C’est sympa de te rencontrer, Alice m’a tellement parlé de toi !
-Salut, je suis ravi aussi ! Alice m’a aussi parlé de toi. Mais chut !
En disant cela, Luc recule un peu comme pour mieux voir Inès.
-Disons simplement… qu’elle était en dessous de la réalité !
A cette phrase, Luc sourit, Inès rougit légèrement et Alice fait la moue. Inès jette à Alice un regard vengeur. Alice lui sourit en retour, lui fait comprendre d’un geste qu’elles en discuteront plus tard entre filles et rompt le bref silence qui s’est installé.
-Ah les mecs ! Prenons plutôt l'apéritif. Ça nous mettra en appétit !
-Excellente idée ! Fais le service, j’arrive, dit Inès en se retournant vers la cuisine
Alice se dirige vers le bar.
-Que veux-tu boire ?
-Un whisky, si t’as ?
Alice se penche en s’appuyant d’une main sur le meuble bas qui contient les bouteilles. Elle ouvre la porte coulissante.
-J'ai tout ce qu'il te faut pour te faire plaisir ! dit-elle en minaudant.
Luc ne peut décoller ses yeux des sublimes fesses rondes d’Alice. Le denim effiloché est remonté légèrement, laissant un peu plus apparaître sa peau lisse. A son entrejambe, le tissu comprime son intimité qu’il devine en creux. De chaque côté, le pli des fesses est devenu ténu, presque invisible.
- Je vois ça !
Alice tourne la tête, regarde Luc avec ses grands yeux bleus malicieux et hausse deux fois les sourcils. Luc lui répond par un clin d’œil. Quelques minutes plus tard. L’apéritif est servi sur la terrasse.
-Inès, on t'attend pour trinquer, lance Alice en faisant porter sa voix-J'arrive, j’arrive, me voilà.
Inès s’assoit et prend son verre.
-A nous ! dit Luc-A nous ! s’exclament en cœur les deux copines
La saveur de l'alcool explose dans la bouche de Luc alors qu’il se délecte de la vue du corps doré d’Alice. Après avoir terminé son verre et manger quelques apéritifs, Inès leur dit d’un ton complice :
-Bon, j'y retourne un instant, n'en profitez pas hein !
Luc contemple Alice derrière les verres fumés de ses lunettes. Malgré les nuages qui s’accumulent, la chaleur est à la limite du supportable. Une goutte perle le long de sa tempe. L’alcool jette de l'huile sur le feu de son désir pour elle. Quinze jours se sont écoulés depuis la dernière fois qu’ils ont fait l’amour. Quinze longs jours d’un désir réprimé, alimenté par des sextos toujours plus excitants. Alice est douée pour cela. Désormais, Alice est là, en face de lui, à portée de main. Si Inès n’était pas là, il lui sauterait dessus. Le soleil illumine ses cheveux qui torsadent jusqu’à la naissance de ses seins. Luc revoit mentalement le déhanché de son petit cul remontant l’escalier. Il devine ses seins élancés à travers son léger t-shirt. Son regard est irrésistiblement attiré, remontant le long de la peau soyeuse et hâlé de ses cuisses, par le triangle de son intimité. Il se voit en train de lui faire l’amour sur le sol de la terrasse, en plein soleil. Elle au-dessus de lui. Il s’imagine la plaquer contre lui pour l’embrasser en la tenant par la nuque pendant que sa verge coulisse vigoureusement dans sa chatte, entre sa fesse et les entrejambes trempées de plaisir de son mini short et de sa culotte.
Un cri provenant de l’intérieur de la maison ramène Luc à la réalité. C’est Inès. Elle sort les rejoindre sur la terrasse. Elle regarde Alice, déçue.
-On a oublié le rosé !
-Non ?
-Si !
-On ne va quand même pas déjeuner sans un bon verre de rosé avec des glaçons ?
-Bah, c'est bête c'est certain, mais bon... !
-Je peux y aller ! A moto, c'est rapide, propose Luc-Ça ne te dérange pas ? lui demande Alice en connaissant la réponse.
-Pas du tout. 5 minutes aller, 5 minutes sur place, 5 minutes retour ! Et hop !
Alice et Inès se regardent.
-Vas-y, t’en meurs d’envie ! dit Alice avec un sourire-Cool ! s’exclame simplement Alice-En route ! lance Luc
Alice et Luc ne perdent pas un instant et dévalent les marchent de l’escalier deux par deux.
-Je n’allais quand même pas rater l'occasion d'avoir un bel engin entre les cuisses, provoque Alice à l'approche du bolide garé devant la maison.
-Surtout après quinze jours d’abstinence !
-Qui sait ? répond Alice en laissant planer le mystère sur le sens de sa réponse.
Luc enfourche la moto, enlève la béquille et démarre. Le moteur ronronne aussitôt. Alice attache son casque et écarte les jambes pour chevaucher la moto. Elle donne deux coups de hanches en avant pour se caler sur le siège. Luc contemple les cuisses d’Alice et leur duvet blond baigné de lumière.
-En avant ! fanfaronne Luc
Alice se colle contre lui et l'enlace. Il tourne la poignée des gaz. Le moteur hurle et ils laissent un rire éclater alors que la moto s'éloigne de la maison en rugissant.
Sur la route, avec la vitesse, l’air s’engouffre sous les courts vêtements d’Alice et la fait frissonner. Luc sent les cuisses d’Alice se serrer contre les siennes à chaque virage. Il lève les yeux et s’aperçoit que les nuages sont plus sombres en direction du village. Il ralenti, relève sa visière et tourne la tête vers Alice tout en levant son index vers le ciel.
-Il va falloir faire vite, sinon on va être trempés !
-Oui, pas la peine d'en rajouter ! dit-elle dans une provocation supplémentaire.
Luc referme sa visière et accélère. Tout en pilotant, il imagine Alice mouillant d'excitation derrière lui. Ajouté au fait qu’elle soit blottie contre lui, une main contre son torse, une main contre son ventre, ses cuisses écartées et sa chatte collée contre son coccyx, cela l'excite énormément. Son sang afflux dans son sexe et irrigue son gland par vagues déferlantes. Par distraction, il fait un écart et donne un coup de frein. Par reflex, Alice pose ses mains sur les cuisses de Luc. Puis elle laisse sa main droite remonter le long de sa cuisse et saisit son sexe déjà gonflé. Luc a tellement hâte de lui faire l’amour.
En arrivant dans le village, Luc aperçoit une supérette sur la place par laquelle ils arrivent. La recherche du rosé est terminée avant même d’avoir débuté. Il vérifie que la supérette est ouverte en passant devant. Si on excepte un homme aveugle assis sur un banc, la place est déserte. Il ne devrait pas y avoir beaucoup de clients. Alors qu’il cherche à se garer, sa visière se couvre de plusieurs gouttes de pluie.
-Je crois que l’orage arrive !
Effectivement, en quelques secondes, une forte pluie commence à s'abattre sur eux. Luc regarde autour de lui et remet les gaz. Il a juste le temps de venir se garer quelques dizaines de mètres plus loin, à proximité de ce qui semble être un petit local technique dont le toit déborde, avant que la pluie ne s’intensifie. Il le désigne du doigt à Alice.
-Ma puce, abrite-toi là, je fais vite !
-Ok
La tête rentrée dans le cou, Alice se précipite vers le local en faisant des petits sauts sur la pointe des pieds tout en agitant ses bras et ses mains comme pour se débarrasser de la pluie.
Alors que Luc se met à courir en direction de la supérette, ce sont des trombes d’eau qui se déversent du ciel. La pluie est épaisse. Même adossée au mur, sous le débord du toit du petit édifice, Alice est vulnérable et rapidement trempée de la tête aux pieds. La pluie glacée est désagréable. Impossible d’y échapper. Elle pense à trouver un autre abri. Un regard circulaire lui suffit pour comprendre que la place ne lui offre aucun salut. A moins de la traverser pour rejoindre Luc dans la supérette. Mais elle n’a pas envie de courir aussi loin pour se mettre à l’abri. Très légèrement vêtue, ses vêtements se sont rapidement gorgés d’eau. Ils lui collent à la peau.
A quelques mètres derrière son abri actuel, entre elle et le banc sur lequel est assis l’homme, Alice aperçoit une ruelle pavée qui mène certainement aux entrailles du village médiéval. Les bâtiments qui la bordent sont faits de murs en pierre épais et très hauts. Alice se dit que cela mérite de tenter le coup. Elle s’y rend en quelques sauts pour éviter les flaques d’eau qui se sont formées dans la terre qui entoure son abri de fortune. A l’arrivée, ses sneakers blancs tous neufs sont maculés de boue.
-Putain ! Comme si ça ne suffisait pas d’être à moitié à poil sous cette pluie de dingue ! s’écrie-t-elle
Manque de chance, le vent s'est levé et fait tomber la pluie en biais qui s’engouffre dans la ruelle. Elle regarde si elle peut s’abriter un peu plus loin. Mais c’est pire, les hauts murs ne sont pas très longs. Les habitations suivantes sont plus basses et laissent encore plus passer la pluie. La ruelle se poursuit par un tunnel creusé sous une maison. Mais il y fait sombre et du toit en pente coule un rideau d’eau qui la dissuade d’y aller.
Alice a beau se plaquer contre le haut mur de droite, la pluie ne lui laisse aucune chance, nulle part où aller, nulle part où se cacher. Ses semelles pataugent dans l’eau stagnante à la surface des pavés. Le vent cingle la pluie contre ses cuisses qui succombent au froid et à la chair de poule. Elle se contracte entièrement sous l’effet du froid et serres les cuisses. Ses vêtements épousent parfaitement ses formes. Elle ressent la troublante sensation d'être mise à nue par l’orage. L'eau prend possession de son corps. Elle ruisselle le long de sa gorge et se déverse entre ses seins qui pointent et transparaissent à travers le coton de son petit haut blanc. Elle lézarde sur son ventre avant de pénétrer sous son short. Elle coule le long de ses jambes, autours de ses chevilles et s’accumule dans ses chaussures. Harcelée à tout instant depuis plusieurs minutes, Alice n’en peut plus. L’eau et le froid l’ont complètement paralysé. Elle ferme les yeux, le visage crispé, et supplie Luc de trouver facilement et de revenir vite.
Soudain, une lueur d’espoir. Le vent continue à souffler sur son visage mais est devenu plus faible et plus chaud. Cela le rend plus supportable même s’il charrie une odeur de tabac humide. La pluie semble s'être calmée bien qu’Alice entende encore le bruit assourdissant de ses grosses gouttes s’écrasant contre les pavés. La chaleur s'empare à nouveau d’elle. L’eau s’est transformée en magma. Il lui réchauffe tout d’abord une large zone à mi-cuisse. Puis remonte en la piquant le long de son entrejambe. Au fur et à mesure que le magma progresse, elle se réchauffe. Un frisson lui parcoure le corps, ses muscles se détendent, elle desserre les cuisses.
Le magma en profite immédiatement pour s'immiscer sous son mini short, s’infiltrer sans peine sous le frêle tissu de sa petite culotte et s'emparer de son pubis. Son bassin et le haut de ses cuisses se réchauffent instantanément. L'odeur de tabac humide lui laisse un arrière-goût pâteux dans la bouche qu’elle avale machinalement, le laissant couler doucement le long de sa gorge avant de laisser échapper un léger souffle de plaisir.
Subitement, le moteur de la moto vrombit. Puis la voix de Luc :
-Alice ? T’es où ? C’est bon on peut-y aller !
Une double décharge explose en elle. La voix de Luc lui fait ouvrir les yeux à l'instant même où le magma l’inonde et où le plaisir irradie sa chatte brûlante. Elle réalise soudain. Là, posté devant elle, se trouve l’homme qui était assis sur le banc.
Alice reste sans voix devant ce qu’elle découvre. La panique la saisit. Par un coup de poing sec sur l’avant-bras de l’homme, Alice se dégage de son emprise et s’enfuit en passant sous son autre bras appuyé contre le mur et qui lui barre la route. Elle sort de la ruelle en courant vers Luc et se jette dans ses bras.
-Vite, partons d’ici, c'est l'enfer !
Luc lui tend son casque qu’elle enfile avec précipitation.
-N’exagérons rien, mais le déluge ça c’est sûr !
La moto s'élance nerveusement. Alice jette un regard derrière elle. L’homme se délecte du goût subtil de son intimité en suçant le majeur qu’il vient d’enfoncer dans sa belle petite chatte.
Alice est installée sous la pergola, assise dans un fauteuil de jardin. Les pieds posés en hauteur sur l’accoudoir du fauteuil d’à côté, elle écoute de la musique à l’ombre, et pour cause ; un soleil de plomb brille haut dans le ciel et la chaleur est suffocante. En ce mois d’août, le calme avant la tempête.
Lorsqu’elle reçoit le sms de Luc lui disant qu’il l’attend devant la maison, son visage s’illumine. Elle descend en les survolant les marches de l’escalier en pierres naturelles et se jette dans l'allée. Elle est très vite au portail qu’elle ouvre sans quitter Luc des yeux.
-Salut chéri ! T’as fait bonne route ? T’es juste à l'heure.
Luc franchit le portail et ses yeux parcourent en quelques secondes la silhouette d’Alice. Pour résister à la chaleur, elle porte un mini short en jean délavé et un petit haut en coton blanc. Une tenue qui exalte son goût pour le fitness.
-Salut Princesse ! T’es magnifique ! Et joli bronzage !
Les deux amoureux tombent dans les bras l’un de l’autre et s’embrassent passionnément. Après ces retrouvailles fougueuses, Claire replace d’un geste fluide ses longs cheveux blonds en désordre et se tourne en direction de la maison.
-Suis-moi !
A leur arrivée, Inès s’affaire en cuisine, dos à eux. Luc détaille ses longs cheveux bruns qui descendent jusqu’à ses reins ainsi que ses fesses moulées dans une paire de jeans taille basse. En les entendant arriver, Inès se retourne. Luc découvre alors une piquante brune aux yeux verts qui contourne l’îlot central pour venir à leur rencontre.
-Bienvenue ! C’est sympa de te rencontrer, Alice m’a tellement parlé de toi !
-Salut, je suis ravi aussi ! Alice m’a aussi parlé de toi. Mais chut !
En disant cela, Luc recule un peu comme pour mieux voir Inès.
-Disons simplement… qu’elle était en dessous de la réalité !
A cette phrase, Luc sourit, Inès rougit légèrement et Alice fait la moue. Inès jette à Alice un regard vengeur. Alice lui sourit en retour, lui fait comprendre d’un geste qu’elles en discuteront plus tard entre filles et rompt le bref silence qui s’est installé.
-Ah les mecs ! Prenons plutôt l'apéritif. Ça nous mettra en appétit !
-Excellente idée ! Fais le service, j’arrive, dit Inès en se retournant vers la cuisine
Alice se dirige vers le bar.
-Que veux-tu boire ?
-Un whisky, si t’as ?
Alice se penche en s’appuyant d’une main sur le meuble bas qui contient les bouteilles. Elle ouvre la porte coulissante.
-J'ai tout ce qu'il te faut pour te faire plaisir ! dit-elle en minaudant.
Luc ne peut décoller ses yeux des sublimes fesses rondes d’Alice. Le denim effiloché est remonté légèrement, laissant un peu plus apparaître sa peau lisse. A son entrejambe, le tissu comprime son intimité qu’il devine en creux. De chaque côté, le pli des fesses est devenu ténu, presque invisible.
- Je vois ça !
Alice tourne la tête, regarde Luc avec ses grands yeux bleus malicieux et hausse deux fois les sourcils. Luc lui répond par un clin d’œil. Quelques minutes plus tard. L’apéritif est servi sur la terrasse.
-Inès, on t'attend pour trinquer, lance Alice en faisant porter sa voix-J'arrive, j’arrive, me voilà.
Inès s’assoit et prend son verre.
-A nous ! dit Luc-A nous ! s’exclament en cœur les deux copines
La saveur de l'alcool explose dans la bouche de Luc alors qu’il se délecte de la vue du corps doré d’Alice. Après avoir terminé son verre et manger quelques apéritifs, Inès leur dit d’un ton complice :
-Bon, j'y retourne un instant, n'en profitez pas hein !
Luc contemple Alice derrière les verres fumés de ses lunettes. Malgré les nuages qui s’accumulent, la chaleur est à la limite du supportable. Une goutte perle le long de sa tempe. L’alcool jette de l'huile sur le feu de son désir pour elle. Quinze jours se sont écoulés depuis la dernière fois qu’ils ont fait l’amour. Quinze longs jours d’un désir réprimé, alimenté par des sextos toujours plus excitants. Alice est douée pour cela. Désormais, Alice est là, en face de lui, à portée de main. Si Inès n’était pas là, il lui sauterait dessus. Le soleil illumine ses cheveux qui torsadent jusqu’à la naissance de ses seins. Luc revoit mentalement le déhanché de son petit cul remontant l’escalier. Il devine ses seins élancés à travers son léger t-shirt. Son regard est irrésistiblement attiré, remontant le long de la peau soyeuse et hâlé de ses cuisses, par le triangle de son intimité. Il se voit en train de lui faire l’amour sur le sol de la terrasse, en plein soleil. Elle au-dessus de lui. Il s’imagine la plaquer contre lui pour l’embrasser en la tenant par la nuque pendant que sa verge coulisse vigoureusement dans sa chatte, entre sa fesse et les entrejambes trempées de plaisir de son mini short et de sa culotte.
Un cri provenant de l’intérieur de la maison ramène Luc à la réalité. C’est Inès. Elle sort les rejoindre sur la terrasse. Elle regarde Alice, déçue.
-On a oublié le rosé !
-Non ?
-Si !
-On ne va quand même pas déjeuner sans un bon verre de rosé avec des glaçons ?
-Bah, c'est bête c'est certain, mais bon... !
-Je peux y aller ! A moto, c'est rapide, propose Luc-Ça ne te dérange pas ? lui demande Alice en connaissant la réponse.
-Pas du tout. 5 minutes aller, 5 minutes sur place, 5 minutes retour ! Et hop !
Alice et Inès se regardent.
-Vas-y, t’en meurs d’envie ! dit Alice avec un sourire-Cool ! s’exclame simplement Alice-En route ! lance Luc
Alice et Luc ne perdent pas un instant et dévalent les marchent de l’escalier deux par deux.
-Je n’allais quand même pas rater l'occasion d'avoir un bel engin entre les cuisses, provoque Alice à l'approche du bolide garé devant la maison.
-Surtout après quinze jours d’abstinence !
-Qui sait ? répond Alice en laissant planer le mystère sur le sens de sa réponse.
Luc enfourche la moto, enlève la béquille et démarre. Le moteur ronronne aussitôt. Alice attache son casque et écarte les jambes pour chevaucher la moto. Elle donne deux coups de hanches en avant pour se caler sur le siège. Luc contemple les cuisses d’Alice et leur duvet blond baigné de lumière.
-En avant ! fanfaronne Luc
Alice se colle contre lui et l'enlace. Il tourne la poignée des gaz. Le moteur hurle et ils laissent un rire éclater alors que la moto s'éloigne de la maison en rugissant.
Sur la route, avec la vitesse, l’air s’engouffre sous les courts vêtements d’Alice et la fait frissonner. Luc sent les cuisses d’Alice se serrer contre les siennes à chaque virage. Il lève les yeux et s’aperçoit que les nuages sont plus sombres en direction du village. Il ralenti, relève sa visière et tourne la tête vers Alice tout en levant son index vers le ciel.
-Il va falloir faire vite, sinon on va être trempés !
-Oui, pas la peine d'en rajouter ! dit-elle dans une provocation supplémentaire.
Luc referme sa visière et accélère. Tout en pilotant, il imagine Alice mouillant d'excitation derrière lui. Ajouté au fait qu’elle soit blottie contre lui, une main contre son torse, une main contre son ventre, ses cuisses écartées et sa chatte collée contre son coccyx, cela l'excite énormément. Son sang afflux dans son sexe et irrigue son gland par vagues déferlantes. Par distraction, il fait un écart et donne un coup de frein. Par reflex, Alice pose ses mains sur les cuisses de Luc. Puis elle laisse sa main droite remonter le long de sa cuisse et saisit son sexe déjà gonflé. Luc a tellement hâte de lui faire l’amour.
En arrivant dans le village, Luc aperçoit une supérette sur la place par laquelle ils arrivent. La recherche du rosé est terminée avant même d’avoir débuté. Il vérifie que la supérette est ouverte en passant devant. Si on excepte un homme aveugle assis sur un banc, la place est déserte. Il ne devrait pas y avoir beaucoup de clients. Alors qu’il cherche à se garer, sa visière se couvre de plusieurs gouttes de pluie.
-Je crois que l’orage arrive !
Effectivement, en quelques secondes, une forte pluie commence à s'abattre sur eux. Luc regarde autour de lui et remet les gaz. Il a juste le temps de venir se garer quelques dizaines de mètres plus loin, à proximité de ce qui semble être un petit local technique dont le toit déborde, avant que la pluie ne s’intensifie. Il le désigne du doigt à Alice.
-Ma puce, abrite-toi là, je fais vite !
-Ok
La tête rentrée dans le cou, Alice se précipite vers le local en faisant des petits sauts sur la pointe des pieds tout en agitant ses bras et ses mains comme pour se débarrasser de la pluie.
Alors que Luc se met à courir en direction de la supérette, ce sont des trombes d’eau qui se déversent du ciel. La pluie est épaisse. Même adossée au mur, sous le débord du toit du petit édifice, Alice est vulnérable et rapidement trempée de la tête aux pieds. La pluie glacée est désagréable. Impossible d’y échapper. Elle pense à trouver un autre abri. Un regard circulaire lui suffit pour comprendre que la place ne lui offre aucun salut. A moins de la traverser pour rejoindre Luc dans la supérette. Mais elle n’a pas envie de courir aussi loin pour se mettre à l’abri. Très légèrement vêtue, ses vêtements se sont rapidement gorgés d’eau. Ils lui collent à la peau.
A quelques mètres derrière son abri actuel, entre elle et le banc sur lequel est assis l’homme, Alice aperçoit une ruelle pavée qui mène certainement aux entrailles du village médiéval. Les bâtiments qui la bordent sont faits de murs en pierre épais et très hauts. Alice se dit que cela mérite de tenter le coup. Elle s’y rend en quelques sauts pour éviter les flaques d’eau qui se sont formées dans la terre qui entoure son abri de fortune. A l’arrivée, ses sneakers blancs tous neufs sont maculés de boue.
-Putain ! Comme si ça ne suffisait pas d’être à moitié à poil sous cette pluie de dingue ! s’écrie-t-elle
Manque de chance, le vent s'est levé et fait tomber la pluie en biais qui s’engouffre dans la ruelle. Elle regarde si elle peut s’abriter un peu plus loin. Mais c’est pire, les hauts murs ne sont pas très longs. Les habitations suivantes sont plus basses et laissent encore plus passer la pluie. La ruelle se poursuit par un tunnel creusé sous une maison. Mais il y fait sombre et du toit en pente coule un rideau d’eau qui la dissuade d’y aller.
Alice a beau se plaquer contre le haut mur de droite, la pluie ne lui laisse aucune chance, nulle part où aller, nulle part où se cacher. Ses semelles pataugent dans l’eau stagnante à la surface des pavés. Le vent cingle la pluie contre ses cuisses qui succombent au froid et à la chair de poule. Elle se contracte entièrement sous l’effet du froid et serres les cuisses. Ses vêtements épousent parfaitement ses formes. Elle ressent la troublante sensation d'être mise à nue par l’orage. L'eau prend possession de son corps. Elle ruisselle le long de sa gorge et se déverse entre ses seins qui pointent et transparaissent à travers le coton de son petit haut blanc. Elle lézarde sur son ventre avant de pénétrer sous son short. Elle coule le long de ses jambes, autours de ses chevilles et s’accumule dans ses chaussures. Harcelée à tout instant depuis plusieurs minutes, Alice n’en peut plus. L’eau et le froid l’ont complètement paralysé. Elle ferme les yeux, le visage crispé, et supplie Luc de trouver facilement et de revenir vite.
Soudain, une lueur d’espoir. Le vent continue à souffler sur son visage mais est devenu plus faible et plus chaud. Cela le rend plus supportable même s’il charrie une odeur de tabac humide. La pluie semble s'être calmée bien qu’Alice entende encore le bruit assourdissant de ses grosses gouttes s’écrasant contre les pavés. La chaleur s'empare à nouveau d’elle. L’eau s’est transformée en magma. Il lui réchauffe tout d’abord une large zone à mi-cuisse. Puis remonte en la piquant le long de son entrejambe. Au fur et à mesure que le magma progresse, elle se réchauffe. Un frisson lui parcoure le corps, ses muscles se détendent, elle desserre les cuisses.
Le magma en profite immédiatement pour s'immiscer sous son mini short, s’infiltrer sans peine sous le frêle tissu de sa petite culotte et s'emparer de son pubis. Son bassin et le haut de ses cuisses se réchauffent instantanément. L'odeur de tabac humide lui laisse un arrière-goût pâteux dans la bouche qu’elle avale machinalement, le laissant couler doucement le long de sa gorge avant de laisser échapper un léger souffle de plaisir.
Subitement, le moteur de la moto vrombit. Puis la voix de Luc :
-Alice ? T’es où ? C’est bon on peut-y aller !
Une double décharge explose en elle. La voix de Luc lui fait ouvrir les yeux à l'instant même où le magma l’inonde et où le plaisir irradie sa chatte brûlante. Elle réalise soudain. Là, posté devant elle, se trouve l’homme qui était assis sur le banc.
Alice reste sans voix devant ce qu’elle découvre. La panique la saisit. Par un coup de poing sec sur l’avant-bras de l’homme, Alice se dégage de son emprise et s’enfuit en passant sous son autre bras appuyé contre le mur et qui lui barre la route. Elle sort de la ruelle en courant vers Luc et se jette dans ses bras.
-Vite, partons d’ici, c'est l'enfer !
Luc lui tend son casque qu’elle enfile avec précipitation.
-N’exagérons rien, mais le déluge ça c’est sûr !
La moto s'élance nerveusement. Alice jette un regard derrière elle. L’homme se délecte du goût subtil de son intimité en suçant le majeur qu’il vient d’enfoncer dans sa belle petite chatte.
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