La Sablière.

Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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La Sablière.
C'est un voyou mon "vieil" ami Gilles qu'on voit débarquer le samedi maintenant à l'heure du café. On a beau lui dire qu'il peut venir déjeuner avec nous :
-j'veux pas vous déranger, je préfère venir comme ça.
Je sais bien pourquoi il vient, il doit se rappeler encore un vieux souvenir!
-tu me fais réfléchir Fabrice, mais en fait j'aime bien ça me rajeunit!
Alors laissons le raconter...
Cela remonte également ces souvenirs, je devais avoir 30 ans quand j'ai entendu parler d'un lieu de drague en pleine nature que l'on appelait la Sablière à l'époque.
Cela se situait en sortie de Paris après le XIIIème arrondissement, le long de la Seine où se trouvaient des tas de sable sortis du fleuve et la nuit venue ça rodait, fallait pas avoir les chocottes pour venir là.
La première fois que je suis venu j'étais avec un ami qui aimait comme moi se faire baiser autant de fois qu'on pouvait!
On avait observé les alentours avant de rentrer sur les lieux, pour voir qu'il y avait pas mal d'allers et venues. Que du mâles, pas de minets apparemment.
Alors on a fait comme tout le monde et on a découvert le décor.
Imagine de hauts tas de sable le long de la Seine se dessinant dans la nuit, des engins de chantier dont je ne connaissais même pas l'existence, le tout plongé dans le noir avec un lampadaire tous les 50 mètres et des ombres qui passaient dans tous les coins.
Ah pour croiser du monde, on a croisé du monde, mais personne ne faisait attention à nous. En fait on s'est rendu compte qu'ils sortaient ou entraient tous par le même passage entre deux tas de sable, alors on a fait pareil et dans la nuit, dans le renfoncement d'un mur, le long d'une gigantesque machine il y avait bien une dizaine de personnes agglutinées.
On s'est approché et il y avait deux mecs qui servaient pour les autres.
Tous les mecs avaient le cul à l'air, les mecs se faisaient enculer et ils ne faisaient pas semblant. Mais ils ne pouvaient gueuler vu que les bouches étaient prises et dès que les mecs avaient juté, ils étaient immédiatement remplacés.
J'avais le cul qui réclamait et la bite qui cherchait la sortie.
Je me suis approché en baissant mon froc pour montrer mon cul qui fut bien accueilli par plusieurs mains et des doigts qui vérifiaient si j'étais ouvert.
Quand j'allais sur les lieux de dragues comme ça, de toute façon je me graissais bien le cul car je savais qu'il n'y avait pas des tendres en général.
Plusieurs mecs se sont collés à moi et je me suis mis à genoux, j'avais trois queues à dispo, dont une black et je m'en souviens encore tellement elle était grosse, pas longue mais vachement épaisse. Les deux autres avaient une grosse queue qui paraissait ridicule à côté de celle du black.
Ils se laissaient sucer et commentaient comme s'ils étaient au comptoir d'un bar :
-j'ai jamais vu cette salope dit l'un.
-il a bien fait de venir il suce bien.
-moi je vais l'enculer dit le black.
Il passe derrière moi et me fait me redresser, me penche sur les deux queues restantes et je sens le gros machin forcer mon anus. Même graissé il a peiné à faire entrer son pieu!
J'ai gueulé avec une bite dans la bouche et j'ai bien tendu mon cul aux coups de butoir du black qui me tenait fermement les hanches. Comme j'avais l'habitude j'ai joué avec mon conduit, serrant sa grosse queue et c'est lui qui a gueulé quand il m'a rempli pour se retirer de suite en disant :
-putain quelle salope! Il a un cul divin.
Alors d'un seul coup ça se bousculait au portillon, j'ai bien cru qu'ils allaient se battre pour avoir mon cul. Et ils sont passés les uns après les autres, j'en ai fait 7 ce premier soir et le dernier c'était un vieux rebeu qui ne devait bander qu'une fois de temps en temps et j'étais tombé le bon soir!
L'ami qui était venu avec moi en avait pris autant.
On a peiné à s'en sortir car certains voulaient recommencer.
J'y suis retourné bien sûr et seul.
Il y avait toujours du monde jusqu'à pas d'heure dans la nuit. Certains devaient se réveiller sur les tas de sable...
C'est là que j'ai rencontré un arabe du même âge que moi. Il m'avait offert sa queue et me regardait me faire baiser. Je l'avais fait jouir deux fois et il bandait toujours.
Quand il y a eu une accalmie je lui ai demandé de me niquer.
Il m'a pris par mes vêtements me redressant contre lui, nez contre nez, je voyais ses yeux noirs me fixer et son souffle s'est répandu sur mon visage :
-moi les salopes je les nique chez moi, je ne me donne pas en spectacle ici.
Je n'avais pas froid aux yeux, ni ailleurs, à cette époque :
-tu veux que je viennes avec toi ? moi j'ai bien aimé ta queue, t'as beaucoup de bon jus mec et je sens que tu bandes encore!
Il ricanait sans rien dire. J'ai frotté mon nez au sien et je l'ai embrassé rapidement, il s'est vite reculé en râlant, mais il a dit :
-suis moi.
Il n'habitait pas loin dans Ivry et 10 minutes après on était chez lui et il a commencé à donner des ordres :
-déshabille toi à poils, montre ton cul de salope de pédé!
Il m'a enfoncé deux doigts.
-ah t'aimes ça faire ta pute avec tous ces enfoirés, t'aimes ça prendre du zob!
Il a juste baissé son survêt, m'a pris aux hanches et m'a niqué d'un seul trait me faisant quand même hurler.
Une barre de fer brûlante m'avait envahi! Il s'est mis à me niquer comme s'il était pressé, me claquer les fesses durement, je gueulais!
-ta gueule ma salope sinon les potes vont rappliquer!
Il s'est calmé d'un seul coup, m'a fait redresser contre lui et m'a pincé les tétons tellement durement que j'ai cru qu'il voulait les arracher. Mais ses lèvres étaient dans mon cou, léchant, mordant et il est venu me dire à l'oreille :
-je savais que tu étais une bonne salope.
Il me niquait en alternance, doux et dur, profond et sec et quand il a joui j'ai cru qu'un loup était dans la chambre et les giclées se sont succédées. J'aurais bien voulu voir la quantité de sperme que j'avais dans le cul.
Je me suis redressé, il m'a tenu dans ses bras et une main est descendue de mon torse, dans mes poils, prendre ma queue :
-personne ne t'a fait juter ? m'a t-il demandé.
-j'ai juté deux fois tout seul j'ai répondu.
-putain mais t'es un phénomène, mais si je te branle tu vas juter encore ?
-avec ta main douce et chaude, tes bisous, tes caresses je dois être au Paradis des arabes non ?
Il a rigolé et m'a offert ses lèvres, sa langue que j'ai aspirée, sucée, asséchée et lui me branlait avec son zob toujours au fond de moi.
J'ai juté rapidement en serrant son zob comme dans un étau.
Il a repris de me baiser et jouir cette fois rapidement pour me libérer de son zob.
Je me suis retourné dans ses bras, il était en sueur qui coulait de ses beaux cheveux, j'ai fait ma salope que j'étais en lui caressant les joues, lui bécotant les lèvres :
-est ce que je peux déshabiller mon arabe préféré ?
Il a rigolé, s'est reculé d'un pas et m'a laissé faire.
Si t'avais vu la bête que c'était Ahmed! Je ne sais pas s'il faisait du sport, mais putain de corps musclé, poilu légèrement entre les seins et le long du centre du torse qui descendait jusqu'au nombril pour reprendre en dessous jusqu'au poils pubiens où c'était la forêt vierge.
Je l'ai mis nu complètement, à genoux devant lui, j'ai baisé ses pieds, ses jambes, ses couilles poilues et la belle queue, ce gros zob bandait encore. Alors je l'ai repris en bouche.
-mais tu veux me tuer! a t-il dit en riant.
-si tu bandes c'est que tu ne vas pas mourir!
Il m'a emmené sur le lit et ce fut un reste de nuit endiablée. Il bandait tout le temps Ahmed, toujours aussi dur, il m'a enculé encore et encore, mais en fait c'était un doux, un tendre malgré sa rudesse à niquer. Je le voyais dans ses yeux.
On s'est revu plusieurs fois, tu sais on n'avait pas de portable pour se retrouver, alors je venais frapper à sa porte de temps en temps. Mais il n'était pas là à chaque fois.
Il m'en a fait voir Ahmed et m'a fait connaître deux potes à lui, deux arabes bien sûr et on niquait tous les quatre. Enfin c'était moi qui m'en prenait plein le cul.
Si t'avais vu ces trois arabes, des rebeux comme vous dites maintenant, à poils, bandant... j'avais le cul qui s'ouvrait tout seul.
Ils étaient doués tous les trois et ses deux potes me suçaient en plus, alors qu'Ahmed faisait le dégoûté devant ses potes, alors que tout seul en tête à tête il aimait bien faire un 69 et il aimait ça.
Je crois bien qu'il préférait quand on n'était que tous les deux et qu'il pouvait m'utiliser comme il en avait envie. Ce qu'il préférait, c'était m'enculer dès mon arrivée, juste les pantalons baissés, il me faisait appuyer au mur de l'entrée et me niquait direct d'un grand coup de reins me faisant gueuler.
Quand il avait juté une première fois, il se calmait et l'arabe plein de tendresse arrivait, j'avais droit à des bisous, des jeux de langues! Il aimait sucer ma queue, jouer avec, ses yeux brillaient quand il voyait le gland se décalotter et regarder mon jus gicler. Il n'a jamais rien avalé, il ne m'a jamais bouffé le cul par contre il fallait que je lui fasse et il couinait le rebeu! Il pouvait me niquer 5 ou 6 fois dans la soirée et il y avait toujours autant de jus!
Je te dis un vrai phénomène.
Mais il a disparu du jour au lendemain, un jour j'ai trouvé un autre mec dans l'appartement qui venait d'emménager. Tu vois c'est une belle invention le portable!
Alors je suis revenu à la Sablière retrouver les baiseurs de culs. J'ai continué mon cirque mais je n'ai jamais retrouvé un tel arabe, beau et gentil! Je l'aurais bien adopté celui-là!
-et ça drague encore là-bas ? j'ai demandé.
-j'en sais rien mon pauvre, y'a une éternité que je n'y ai pas mis les pieds, je sais qu'à une période tout était barricadé car il y avait eu une grand bagarre, des mecs disaient qu'il y avait eu un mort, mais je n'ai jamais rien vu dans les journaux. Puis cela a rouvert, mais ça ne devait pas se savoir, il n'y avait pas grand monde et en fait que les salopes...
Tu vois au fil des années les lieux de dragues en plein air fermaient les uns après les autres, il restait les cinémas pornos de Pigalle aussi et certains sex-shop. T'es jamais allé dans un sex-shop de la place Pigalle côté 9ème ?
-qu'est ce qu'il a de spécial ? tu sais j'en ai visité quelques uns mais je n'ai jamais rien vu de bandant!
-ah ah parce que t'étais un jeunot qui ne savait pas regarder ce qu'il fallait! dit Gilles en riant.
-tu veux dire quoi Gilles ?
-que je reviendrais boire le café! C'est tout pour aujourd'hui! salut la jeunesse...
Il est parti en rigolant, content de lui.
-j'veux pas vous déranger, je préfère venir comme ça.
Je sais bien pourquoi il vient, il doit se rappeler encore un vieux souvenir!
-tu me fais réfléchir Fabrice, mais en fait j'aime bien ça me rajeunit!
Alors laissons le raconter...
Cela remonte également ces souvenirs, je devais avoir 30 ans quand j'ai entendu parler d'un lieu de drague en pleine nature que l'on appelait la Sablière à l'époque.
Cela se situait en sortie de Paris après le XIIIème arrondissement, le long de la Seine où se trouvaient des tas de sable sortis du fleuve et la nuit venue ça rodait, fallait pas avoir les chocottes pour venir là.
La première fois que je suis venu j'étais avec un ami qui aimait comme moi se faire baiser autant de fois qu'on pouvait!
On avait observé les alentours avant de rentrer sur les lieux, pour voir qu'il y avait pas mal d'allers et venues. Que du mâles, pas de minets apparemment.
Alors on a fait comme tout le monde et on a découvert le décor.
Imagine de hauts tas de sable le long de la Seine se dessinant dans la nuit, des engins de chantier dont je ne connaissais même pas l'existence, le tout plongé dans le noir avec un lampadaire tous les 50 mètres et des ombres qui passaient dans tous les coins.
Ah pour croiser du monde, on a croisé du monde, mais personne ne faisait attention à nous. En fait on s'est rendu compte qu'ils sortaient ou entraient tous par le même passage entre deux tas de sable, alors on a fait pareil et dans la nuit, dans le renfoncement d'un mur, le long d'une gigantesque machine il y avait bien une dizaine de personnes agglutinées.
On s'est approché et il y avait deux mecs qui servaient pour les autres.
Tous les mecs avaient le cul à l'air, les mecs se faisaient enculer et ils ne faisaient pas semblant. Mais ils ne pouvaient gueuler vu que les bouches étaient prises et dès que les mecs avaient juté, ils étaient immédiatement remplacés.
J'avais le cul qui réclamait et la bite qui cherchait la sortie.
Je me suis approché en baissant mon froc pour montrer mon cul qui fut bien accueilli par plusieurs mains et des doigts qui vérifiaient si j'étais ouvert.
Quand j'allais sur les lieux de dragues comme ça, de toute façon je me graissais bien le cul car je savais qu'il n'y avait pas des tendres en général.
Plusieurs mecs se sont collés à moi et je me suis mis à genoux, j'avais trois queues à dispo, dont une black et je m'en souviens encore tellement elle était grosse, pas longue mais vachement épaisse. Les deux autres avaient une grosse queue qui paraissait ridicule à côté de celle du black.
Ils se laissaient sucer et commentaient comme s'ils étaient au comptoir d'un bar :
-j'ai jamais vu cette salope dit l'un.
-il a bien fait de venir il suce bien.
-moi je vais l'enculer dit le black.
Il passe derrière moi et me fait me redresser, me penche sur les deux queues restantes et je sens le gros machin forcer mon anus. Même graissé il a peiné à faire entrer son pieu!
J'ai gueulé avec une bite dans la bouche et j'ai bien tendu mon cul aux coups de butoir du black qui me tenait fermement les hanches. Comme j'avais l'habitude j'ai joué avec mon conduit, serrant sa grosse queue et c'est lui qui a gueulé quand il m'a rempli pour se retirer de suite en disant :
-putain quelle salope! Il a un cul divin.
Alors d'un seul coup ça se bousculait au portillon, j'ai bien cru qu'ils allaient se battre pour avoir mon cul. Et ils sont passés les uns après les autres, j'en ai fait 7 ce premier soir et le dernier c'était un vieux rebeu qui ne devait bander qu'une fois de temps en temps et j'étais tombé le bon soir!
L'ami qui était venu avec moi en avait pris autant.
On a peiné à s'en sortir car certains voulaient recommencer.
J'y suis retourné bien sûr et seul.
Il y avait toujours du monde jusqu'à pas d'heure dans la nuit. Certains devaient se réveiller sur les tas de sable...
C'est là que j'ai rencontré un arabe du même âge que moi. Il m'avait offert sa queue et me regardait me faire baiser. Je l'avais fait jouir deux fois et il bandait toujours.
Quand il y a eu une accalmie je lui ai demandé de me niquer.
Il m'a pris par mes vêtements me redressant contre lui, nez contre nez, je voyais ses yeux noirs me fixer et son souffle s'est répandu sur mon visage :
-moi les salopes je les nique chez moi, je ne me donne pas en spectacle ici.
Je n'avais pas froid aux yeux, ni ailleurs, à cette époque :
-tu veux que je viennes avec toi ? moi j'ai bien aimé ta queue, t'as beaucoup de bon jus mec et je sens que tu bandes encore!
Il ricanait sans rien dire. J'ai frotté mon nez au sien et je l'ai embrassé rapidement, il s'est vite reculé en râlant, mais il a dit :
-suis moi.
Il n'habitait pas loin dans Ivry et 10 minutes après on était chez lui et il a commencé à donner des ordres :
-déshabille toi à poils, montre ton cul de salope de pédé!
Il m'a enfoncé deux doigts.
-ah t'aimes ça faire ta pute avec tous ces enfoirés, t'aimes ça prendre du zob!
Il a juste baissé son survêt, m'a pris aux hanches et m'a niqué d'un seul trait me faisant quand même hurler.
Une barre de fer brûlante m'avait envahi! Il s'est mis à me niquer comme s'il était pressé, me claquer les fesses durement, je gueulais!
-ta gueule ma salope sinon les potes vont rappliquer!
Il s'est calmé d'un seul coup, m'a fait redresser contre lui et m'a pincé les tétons tellement durement que j'ai cru qu'il voulait les arracher. Mais ses lèvres étaient dans mon cou, léchant, mordant et il est venu me dire à l'oreille :
-je savais que tu étais une bonne salope.
Il me niquait en alternance, doux et dur, profond et sec et quand il a joui j'ai cru qu'un loup était dans la chambre et les giclées se sont succédées. J'aurais bien voulu voir la quantité de sperme que j'avais dans le cul.
Je me suis redressé, il m'a tenu dans ses bras et une main est descendue de mon torse, dans mes poils, prendre ma queue :
-personne ne t'a fait juter ? m'a t-il demandé.
-j'ai juté deux fois tout seul j'ai répondu.
-putain mais t'es un phénomène, mais si je te branle tu vas juter encore ?
-avec ta main douce et chaude, tes bisous, tes caresses je dois être au Paradis des arabes non ?
Il a rigolé et m'a offert ses lèvres, sa langue que j'ai aspirée, sucée, asséchée et lui me branlait avec son zob toujours au fond de moi.
J'ai juté rapidement en serrant son zob comme dans un étau.
Il a repris de me baiser et jouir cette fois rapidement pour me libérer de son zob.
Je me suis retourné dans ses bras, il était en sueur qui coulait de ses beaux cheveux, j'ai fait ma salope que j'étais en lui caressant les joues, lui bécotant les lèvres :
-est ce que je peux déshabiller mon arabe préféré ?
Il a rigolé, s'est reculé d'un pas et m'a laissé faire.
Si t'avais vu la bête que c'était Ahmed! Je ne sais pas s'il faisait du sport, mais putain de corps musclé, poilu légèrement entre les seins et le long du centre du torse qui descendait jusqu'au nombril pour reprendre en dessous jusqu'au poils pubiens où c'était la forêt vierge.
Je l'ai mis nu complètement, à genoux devant lui, j'ai baisé ses pieds, ses jambes, ses couilles poilues et la belle queue, ce gros zob bandait encore. Alors je l'ai repris en bouche.
-mais tu veux me tuer! a t-il dit en riant.
-si tu bandes c'est que tu ne vas pas mourir!
Il m'a emmené sur le lit et ce fut un reste de nuit endiablée. Il bandait tout le temps Ahmed, toujours aussi dur, il m'a enculé encore et encore, mais en fait c'était un doux, un tendre malgré sa rudesse à niquer. Je le voyais dans ses yeux.
On s'est revu plusieurs fois, tu sais on n'avait pas de portable pour se retrouver, alors je venais frapper à sa porte de temps en temps. Mais il n'était pas là à chaque fois.
Il m'en a fait voir Ahmed et m'a fait connaître deux potes à lui, deux arabes bien sûr et on niquait tous les quatre. Enfin c'était moi qui m'en prenait plein le cul.
Si t'avais vu ces trois arabes, des rebeux comme vous dites maintenant, à poils, bandant... j'avais le cul qui s'ouvrait tout seul.
Ils étaient doués tous les trois et ses deux potes me suçaient en plus, alors qu'Ahmed faisait le dégoûté devant ses potes, alors que tout seul en tête à tête il aimait bien faire un 69 et il aimait ça.
Je crois bien qu'il préférait quand on n'était que tous les deux et qu'il pouvait m'utiliser comme il en avait envie. Ce qu'il préférait, c'était m'enculer dès mon arrivée, juste les pantalons baissés, il me faisait appuyer au mur de l'entrée et me niquait direct d'un grand coup de reins me faisant gueuler.
Quand il avait juté une première fois, il se calmait et l'arabe plein de tendresse arrivait, j'avais droit à des bisous, des jeux de langues! Il aimait sucer ma queue, jouer avec, ses yeux brillaient quand il voyait le gland se décalotter et regarder mon jus gicler. Il n'a jamais rien avalé, il ne m'a jamais bouffé le cul par contre il fallait que je lui fasse et il couinait le rebeu! Il pouvait me niquer 5 ou 6 fois dans la soirée et il y avait toujours autant de jus!
Je te dis un vrai phénomène.
Mais il a disparu du jour au lendemain, un jour j'ai trouvé un autre mec dans l'appartement qui venait d'emménager. Tu vois c'est une belle invention le portable!
Alors je suis revenu à la Sablière retrouver les baiseurs de culs. J'ai continué mon cirque mais je n'ai jamais retrouvé un tel arabe, beau et gentil! Je l'aurais bien adopté celui-là!
-et ça drague encore là-bas ? j'ai demandé.
-j'en sais rien mon pauvre, y'a une éternité que je n'y ai pas mis les pieds, je sais qu'à une période tout était barricadé car il y avait eu une grand bagarre, des mecs disaient qu'il y avait eu un mort, mais je n'ai jamais rien vu dans les journaux. Puis cela a rouvert, mais ça ne devait pas se savoir, il n'y avait pas grand monde et en fait que les salopes...
Tu vois au fil des années les lieux de dragues en plein air fermaient les uns après les autres, il restait les cinémas pornos de Pigalle aussi et certains sex-shop. T'es jamais allé dans un sex-shop de la place Pigalle côté 9ème ?
-qu'est ce qu'il a de spécial ? tu sais j'en ai visité quelques uns mais je n'ai jamais rien vu de bandant!
-ah ah parce que t'étais un jeunot qui ne savait pas regarder ce qu'il fallait! dit Gilles en riant.
-tu veux dire quoi Gilles ?
-que je reviendrais boire le café! C'est tout pour aujourd'hui! salut la jeunesse...
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