La salle de bain
Récit érotique écrit par Alain [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-06-2006 dans la catégorie Dominants et dominés
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La salle de bain
La salle de bain
On s’étonne parfois que je sois resté si longtemps au
service de madame Dorlot. Être le valet de chambre d’une
femme si exigeante, si fière, si imprévisible, dit-on parfois,
demande assurément un certain tact. Le valet de chambre
doit savoir, en toutes circonstances, s’abstenir de tout ce
qui pourrait s’interpréter comme une marque de familiarité,
s’effacer jusqu’à devenir pour ainsi dire transparent, ne
jamais oublier qu’il n’est qu’un domestique, c’est-à-dire à
peine davantage qu’un objet. A condition de bien
comprendre cela, la place n’est pas sans présenter
quelques avantages. Je m’en suis rendu compte dès les
premiers jours.
— Victor, me dit-elle, préparez-moi un bain, je vous prie.
Je m’inclinai silencieusement et me rendis dans la
luxueuse salle de bain. Madame entra derrière moi, pour
vérifier, pensais-je, que je m’acquittasse convenablement
de ma mission. Comme j’ouvrais le robinet de la vaste
baignoire, elle me dit encore :
— Veillez à ce que l’eau soit à la bonne température. Ni trop
chaude ni trop froide. Je n’ai nulle envie ni de me brûler ni
d’être gelée. Mais ôtez donc votre veste, et retroussez vos
manches ! Vous ne voyez pas que vous allez être trempé ?
— Oui, Madame.
Comme je m’approchais de nouveau de la baignoire,
quelle ne fut pas mon étonnement quand je vis que
Madame commençait tranquillement à se déshabiller.
J’eus la discrétion de ne pas arrêter mon regard sur elle,
mais, son image se reflétant dans les nombreux miroirs qui
ornaient la salle de bain, je ne pouvais pas ne pas la voir.
Elle avait déboutonné sa robe, et était en train de l’enlever
en la faisant passer par-dessus sa tête. Puis elle me la
tendit :
— Mettez donc ma robe sur un cintre et accrochez-la au
portemanteau qui est là, je vous prie.
Elle était debout devant moi, avec pour seul vêtement la
dentelle blanche de son soutien-gorge et de son slip,
laquelle mettait en valeur le teint discrètement hâlé de sa
peau. Un léger embonpoint ne gâtait nullement la chair
superbe de son ventre et de ses cuisses. On imagine
facilement l’effet que produisit sur moi la vue de cette
femme belle, grande, élégante, nue et terriblement
appétissante (j’eus le temps, dans un éclair, de voir, très
distinctement, l’éminence arrondie que le tissu formait à
l’endroit de son pubis). Mais je réussis à ne rien montrer de
mon trouble, à faire comme si le spectacle qui m’était offert
était quelque chose d’attendu et de normal, qu’il entrait
dans mes fonctions les plus habituelles d’avoir devant les
yeux.
Je continuais donc à m’affairer sur ma baignoire, vérifiant
avec soin la température de l’eau, m’attendant à ce que
Madame me dît bientôt ne plus avoir besoin de mes
services. Mais elle continua à se déshabiller, sans marquer
la moindre gêne, comme si elle était seule dans sa salle
de bain. Le soutien-gorge et le slip furent jetées par terre (je
vis soudain la touffe des poils noirs !) et elle s’approcha de
la baignoire. Machinalement, je tendis le bras pour qu’elle
pût s’y appuyer, comme lorsqu’on aide une personne à
monter dans une voiture. Elle s’y appuya en effet et leva
haut la jambe par-dessus le bord de la baignoire. J’eus un
instant le gras de sa cuisse superbe à quelques
centimètres à peine de mon visage. Pour un peu j’aurais pu
la toucher, comme j’aurais pu effleurer du doigt les poils de
sa touffe, parmi lesquels je voyais maintenant très
distinctement la fente de son sexe avec les petites lèvres
froissées qui en dépassaient légèrement. Je pus
également contempler, juste avant qu’elle ne les plongeât
dans l’eau tiède, ses fesses à la fois fermes, pleines, un
peu lourdes et adorablement lisses. Il me fallut une grand
force de caractère pour ne pas y porter aussitôt les mains et
pétrir cette chair magnifique.
— La température de l’eau convient-elle à Madame ?
— Oui, la température est bonne… Un peu chaude
peut-être… Ajoutez un peu d’eau froide, je vous prie. Mais
très peu.
Je fis couler un peu d’eau froide, puis vérifiai la température
en plongeant ma main dans l’eau du bain, à peu de
distance de son corps, juste au-dessus de ses jambes
qu’elle tenait bien écartées. Mon visage touchait presque
ses seins, dont je voyais très distinctement les aréoles et
les tétons agréablement roses. Madame restait immobile,
assise, et comme s’abandonnant à la douceur de son bain.
Je crus qu’il était enfin temps de m’éclipser discrètement,
et je m’appliquai à graver une dernière fois dans ma
mémoire le spectacle qu’il m’avait été donner de voir. Mais
elle me dit :
— Puisque vous êtes là, vous allez me savonner le dos.
Je pris le gant de toilette et le savon, et je commençai à
frotter le joli dos. Je frottais lentement, passant et repassant
plusieurs fois au même endroit, reculant le plus possible le
moment où il faudrait bien mettre fin à une occupation si
agréable. Je savonnais également son cou, en prenant
soin de ne pas mouiller ses cheveux, ainsi que ses
épaules et le haut de sa poitrine, sans oser encore toucher
à ses seins.
— Madame désire-t-elle que je savonne les autres parties
de sa personne ?
— Mais bien sûr !
Je savonnai longuement ses bras, m’attardai encore plus
longtemps sur le creux de ses aisselles, puis, après
quelque hésitation (car je redoutais une protestation de sa
part et que la fête prît fin un peu trop brutalement), revenant
à sa poitrine, je passai le gant sur ses seins. Elle ne
protesta pas. Je les savonnai abondamment, longtemps,
commençant à les presser un peu, ou passant
délicatement le gant sur le bout des tétons qui durcissaient
et se dressaient de façon sensible, bien que rien, sur le
visage de Madame, n’avouât encore qu’elle commençait à
être troublée par mon savonnage.
— Madame désire-t-elle également que je lui savonne le
bas du corps ?
— Oui. Aidez-moi à me mettre debout.
Et quand elle fut debout :
— Madame se fatiguerait moins si elle voulait bien se
pencher un peu et qu’elle mît ses mains sur les bords de la
baignoire pour s’y appuyer.
Ce qu’elle fit, tendant vers moi son cul splendide. Alors je
m’appliquai à en savonner toute la surface, le frottant
d’abord avec douceur en décrivant de larges cercles,
effleurant délicatement la peau, puis plus vigoureusement,
prenant plaisir à palper cette chair élastique et
agréablement molle qui m’était miraculeusement offerte,
puis à la pétrir plus franchement comme on pétrirait une
pâte.
Madame semblait s’abandonner passivement à mes
respectueuses caresses, laissant même de temps à autre
échapper un discret gémissement qui ne pouvait que
m’encourager à poursuivre. La seule difficulté était
l’ignorance dans laquelle j’étais des limites
qu’éventuellement il était bon de ne pas franchir. Je voulus
m’en assurer :
— Madame désire-t-elle peut-être que j’arrête de la frotter ?
— Mais pas du tout ! Qui vous a dit d’arrêter ? Continuez
donc à me savonner comme il faut.
Je continuai donc à savonner son large cul, m’attardant sur
la jolie raie verticale qui séparait les deux superbes lobes,
et dans laquelle ma main s’enfonçait de plus en plus
franchement, écartant la chair jusqu’à bien découvrir le trou
de son derrière. Je me débarrassai du gant de toilette pour
que ma main pût se mouvoir plus à l’aise dans le sillon
plein de mousse. J’éprouvais un plaisir panique à sentir
mon doigt glisser sur son anus. Je m’y attardai, j’appuyai, et
soudain mon doigt, que le savon rendait très glissant, força
le passage et s’enfonça au plus profond de son intimité,
sans que Madame, bien au contraire, opposât la moindre
résistance. Elle eut une sorte de long râle et je sentis
l’ensemble de son corps frissonner.
— Si Madame voulait bien écarter ses jambes, je pourrais
savonner la vulve de Madame ainsi que l’intérieur de ses
cuisses.
Et, pendant que ma main droite restait plaquée sur son cul,
le doigt enfoncé tout entier dans son anus, ma main
gauche fouillait sa touffe, frottait sa vulve, écartait les lèvres,
y enfonçait les doigts, ou bien, remontant un peu pour
chercher son clitoris, je le branlais sans plus de
ménagement. Ses gémissements devenaient de plus en
plus aigus et intenses et se succédaient sur un rythme qui
s’accélérait. Enfin elle eut un long cri, et je la sentis se
tasser sur elle-même, prête à s’affaisser, comme si elle
avait été soudain épuisée par un effort considérable. Je
l’aidai à se rasseoir, puis à s’étendre dans l’eau tiède. Elle
resta quelque temps dans cette position, immobile, les
yeux fermés, la tête reposant sur le bord de la baignoire.
Madame manifesta enfin la volonté de sortir de la baignoire
et réclama mon aide. Elle fut bientôt debout devant moi, nue
et ruisselante comme une Vénus naissant de l’écume des
mers. Je m’empressai de lui tendre un peignoir pour éviter
qu’elle ne prît froid. Mais au lieu de le prendre, elle alla
s’asseoir sur la cuvette des toilettes. Maintenant ses
cuisses largement écartées et exhibant sans aucune
pudeur son pubis, cette femme élégante et fière se
soulagea longuement, et j’entendais le jet puissant de son
pipi éclabousser bruyamment l’eau de la cuvette. Je
demeurais debout devant elle, sans bouger, et tenant le
peignoir. Elle me dit soudain, un peu sèchement :
— Il me semble que vous bandez, Victor.
— Que Madame veuille bien m’excuser.
Elle eut la bonté de ne pas insister et se contenta de me
dire :
— Vous pouvez vous retirer, Victor. Je n’ai plus besoin de
vos services.
Je quittai précipitamment la salle de bain, pressé que
j’étais de pouvoir enfin me branler.
On s’étonne parfois que je sois resté si longtemps au
service de madame Dorlot. Être le valet de chambre d’une
femme si exigeante, si fière, si imprévisible, dit-on parfois,
demande assurément un certain tact. Le valet de chambre
doit savoir, en toutes circonstances, s’abstenir de tout ce
qui pourrait s’interpréter comme une marque de familiarité,
s’effacer jusqu’à devenir pour ainsi dire transparent, ne
jamais oublier qu’il n’est qu’un domestique, c’est-à-dire à
peine davantage qu’un objet. A condition de bien
comprendre cela, la place n’est pas sans présenter
quelques avantages. Je m’en suis rendu compte dès les
premiers jours.
— Victor, me dit-elle, préparez-moi un bain, je vous prie.
Je m’inclinai silencieusement et me rendis dans la
luxueuse salle de bain. Madame entra derrière moi, pour
vérifier, pensais-je, que je m’acquittasse convenablement
de ma mission. Comme j’ouvrais le robinet de la vaste
baignoire, elle me dit encore :
— Veillez à ce que l’eau soit à la bonne température. Ni trop
chaude ni trop froide. Je n’ai nulle envie ni de me brûler ni
d’être gelée. Mais ôtez donc votre veste, et retroussez vos
manches ! Vous ne voyez pas que vous allez être trempé ?
— Oui, Madame.
Comme je m’approchais de nouveau de la baignoire,
quelle ne fut pas mon étonnement quand je vis que
Madame commençait tranquillement à se déshabiller.
J’eus la discrétion de ne pas arrêter mon regard sur elle,
mais, son image se reflétant dans les nombreux miroirs qui
ornaient la salle de bain, je ne pouvais pas ne pas la voir.
Elle avait déboutonné sa robe, et était en train de l’enlever
en la faisant passer par-dessus sa tête. Puis elle me la
tendit :
— Mettez donc ma robe sur un cintre et accrochez-la au
portemanteau qui est là, je vous prie.
Elle était debout devant moi, avec pour seul vêtement la
dentelle blanche de son soutien-gorge et de son slip,
laquelle mettait en valeur le teint discrètement hâlé de sa
peau. Un léger embonpoint ne gâtait nullement la chair
superbe de son ventre et de ses cuisses. On imagine
facilement l’effet que produisit sur moi la vue de cette
femme belle, grande, élégante, nue et terriblement
appétissante (j’eus le temps, dans un éclair, de voir, très
distinctement, l’éminence arrondie que le tissu formait à
l’endroit de son pubis). Mais je réussis à ne rien montrer de
mon trouble, à faire comme si le spectacle qui m’était offert
était quelque chose d’attendu et de normal, qu’il entrait
dans mes fonctions les plus habituelles d’avoir devant les
yeux.
Je continuais donc à m’affairer sur ma baignoire, vérifiant
avec soin la température de l’eau, m’attendant à ce que
Madame me dît bientôt ne plus avoir besoin de mes
services. Mais elle continua à se déshabiller, sans marquer
la moindre gêne, comme si elle était seule dans sa salle
de bain. Le soutien-gorge et le slip furent jetées par terre (je
vis soudain la touffe des poils noirs !) et elle s’approcha de
la baignoire. Machinalement, je tendis le bras pour qu’elle
pût s’y appuyer, comme lorsqu’on aide une personne à
monter dans une voiture. Elle s’y appuya en effet et leva
haut la jambe par-dessus le bord de la baignoire. J’eus un
instant le gras de sa cuisse superbe à quelques
centimètres à peine de mon visage. Pour un peu j’aurais pu
la toucher, comme j’aurais pu effleurer du doigt les poils de
sa touffe, parmi lesquels je voyais maintenant très
distinctement la fente de son sexe avec les petites lèvres
froissées qui en dépassaient légèrement. Je pus
également contempler, juste avant qu’elle ne les plongeât
dans l’eau tiède, ses fesses à la fois fermes, pleines, un
peu lourdes et adorablement lisses. Il me fallut une grand
force de caractère pour ne pas y porter aussitôt les mains et
pétrir cette chair magnifique.
— La température de l’eau convient-elle à Madame ?
— Oui, la température est bonne… Un peu chaude
peut-être… Ajoutez un peu d’eau froide, je vous prie. Mais
très peu.
Je fis couler un peu d’eau froide, puis vérifiai la température
en plongeant ma main dans l’eau du bain, à peu de
distance de son corps, juste au-dessus de ses jambes
qu’elle tenait bien écartées. Mon visage touchait presque
ses seins, dont je voyais très distinctement les aréoles et
les tétons agréablement roses. Madame restait immobile,
assise, et comme s’abandonnant à la douceur de son bain.
Je crus qu’il était enfin temps de m’éclipser discrètement,
et je m’appliquai à graver une dernière fois dans ma
mémoire le spectacle qu’il m’avait été donner de voir. Mais
elle me dit :
— Puisque vous êtes là, vous allez me savonner le dos.
Je pris le gant de toilette et le savon, et je commençai à
frotter le joli dos. Je frottais lentement, passant et repassant
plusieurs fois au même endroit, reculant le plus possible le
moment où il faudrait bien mettre fin à une occupation si
agréable. Je savonnais également son cou, en prenant
soin de ne pas mouiller ses cheveux, ainsi que ses
épaules et le haut de sa poitrine, sans oser encore toucher
à ses seins.
— Madame désire-t-elle que je savonne les autres parties
de sa personne ?
— Mais bien sûr !
Je savonnai longuement ses bras, m’attardai encore plus
longtemps sur le creux de ses aisselles, puis, après
quelque hésitation (car je redoutais une protestation de sa
part et que la fête prît fin un peu trop brutalement), revenant
à sa poitrine, je passai le gant sur ses seins. Elle ne
protesta pas. Je les savonnai abondamment, longtemps,
commençant à les presser un peu, ou passant
délicatement le gant sur le bout des tétons qui durcissaient
et se dressaient de façon sensible, bien que rien, sur le
visage de Madame, n’avouât encore qu’elle commençait à
être troublée par mon savonnage.
— Madame désire-t-elle également que je lui savonne le
bas du corps ?
— Oui. Aidez-moi à me mettre debout.
Et quand elle fut debout :
— Madame se fatiguerait moins si elle voulait bien se
pencher un peu et qu’elle mît ses mains sur les bords de la
baignoire pour s’y appuyer.
Ce qu’elle fit, tendant vers moi son cul splendide. Alors je
m’appliquai à en savonner toute la surface, le frottant
d’abord avec douceur en décrivant de larges cercles,
effleurant délicatement la peau, puis plus vigoureusement,
prenant plaisir à palper cette chair élastique et
agréablement molle qui m’était miraculeusement offerte,
puis à la pétrir plus franchement comme on pétrirait une
pâte.
Madame semblait s’abandonner passivement à mes
respectueuses caresses, laissant même de temps à autre
échapper un discret gémissement qui ne pouvait que
m’encourager à poursuivre. La seule difficulté était
l’ignorance dans laquelle j’étais des limites
qu’éventuellement il était bon de ne pas franchir. Je voulus
m’en assurer :
— Madame désire-t-elle peut-être que j’arrête de la frotter ?
— Mais pas du tout ! Qui vous a dit d’arrêter ? Continuez
donc à me savonner comme il faut.
Je continuai donc à savonner son large cul, m’attardant sur
la jolie raie verticale qui séparait les deux superbes lobes,
et dans laquelle ma main s’enfonçait de plus en plus
franchement, écartant la chair jusqu’à bien découvrir le trou
de son derrière. Je me débarrassai du gant de toilette pour
que ma main pût se mouvoir plus à l’aise dans le sillon
plein de mousse. J’éprouvais un plaisir panique à sentir
mon doigt glisser sur son anus. Je m’y attardai, j’appuyai, et
soudain mon doigt, que le savon rendait très glissant, força
le passage et s’enfonça au plus profond de son intimité,
sans que Madame, bien au contraire, opposât la moindre
résistance. Elle eut une sorte de long râle et je sentis
l’ensemble de son corps frissonner.
— Si Madame voulait bien écarter ses jambes, je pourrais
savonner la vulve de Madame ainsi que l’intérieur de ses
cuisses.
Et, pendant que ma main droite restait plaquée sur son cul,
le doigt enfoncé tout entier dans son anus, ma main
gauche fouillait sa touffe, frottait sa vulve, écartait les lèvres,
y enfonçait les doigts, ou bien, remontant un peu pour
chercher son clitoris, je le branlais sans plus de
ménagement. Ses gémissements devenaient de plus en
plus aigus et intenses et se succédaient sur un rythme qui
s’accélérait. Enfin elle eut un long cri, et je la sentis se
tasser sur elle-même, prête à s’affaisser, comme si elle
avait été soudain épuisée par un effort considérable. Je
l’aidai à se rasseoir, puis à s’étendre dans l’eau tiède. Elle
resta quelque temps dans cette position, immobile, les
yeux fermés, la tête reposant sur le bord de la baignoire.
Madame manifesta enfin la volonté de sortir de la baignoire
et réclama mon aide. Elle fut bientôt debout devant moi, nue
et ruisselante comme une Vénus naissant de l’écume des
mers. Je m’empressai de lui tendre un peignoir pour éviter
qu’elle ne prît froid. Mais au lieu de le prendre, elle alla
s’asseoir sur la cuvette des toilettes. Maintenant ses
cuisses largement écartées et exhibant sans aucune
pudeur son pubis, cette femme élégante et fière se
soulagea longuement, et j’entendais le jet puissant de son
pipi éclabousser bruyamment l’eau de la cuvette. Je
demeurais debout devant elle, sans bouger, et tenant le
peignoir. Elle me dit soudain, un peu sèchement :
— Il me semble que vous bandez, Victor.
— Que Madame veuille bien m’excuser.
Elle eut la bonté de ne pas insister et se contenta de me
dire :
— Vous pouvez vous retirer, Victor. Je n’ai plus besoin de
vos services.
Je quittai précipitamment la salle de bain, pressé que
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