Un viol
Récit érotique écrit par Alain [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-04-2005 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Un viol
Tout le monde se souvient de cette fameuse prise d’otage
de la rue Dorlot. Mais on ne sait pas tout. Après ma
libération, j’ai été longuement interrogé par les flics. J’ai dû
répondre à des tas de questions, mais je suis loin d’avoir
tout dit. On comprendra facilement pourquoi. Il y a des
choses comme ça qu’on préfère garder pour soi.
Mes ravisseurs étaient au nombre de trois, dont une fille,
qui pouvait avoir dans les trente ans, plutôt mignonne. Ils
m’avaient embarqué dans leur voiture, les yeux bandés.
Quand nous sommes arrivés dans la villa, ils ont retiré le
bandeau que j’avais sur les yeux, et je me suis retrouvé
adossé à une sorte de colonne en fer qui soutenait le
plafond. Mes menottes, derrière moi, pouvaient coulisser
librement le long de la colonne, si bien que je pouvais
rester debout ou m’asseoir, au choix. Le confort, quoi… Ils
m’ont dit de ne pas m’énerver, qu’ils n’avaient rien contre
moi et qu’ils voulaient seulement assurer leur propre
sécurité. Pas vraiment des monstres, en somme. Il y a en a
même un qui m’a donné un boire un grand verre d’eau,
c’est dire ! Puis ils m’ont laissé seul.
Je suis resté comme ça je ne sais pas combien de temps.
Je me disais que ça ne me servirait à rien de m’affoler et je
me suis tenu tranquille. Seulement il y avait un détail que je
n’avais pas prévu, c’est qu’au bout d’un certain temps j’ai
été pris d’une sacrée envie de pisser. Au début, j’ai essayé
de rester stoïque. Mais le temps passait, mon besoin
devenait de plus en plus pressant et mon ventre
commençait à me faire mal. J’aurais pu pisser dans mon
froc, mais ça ne me plaisait pas tellement. Alors j’ai appelé.
Personne. J’ai appelé encore, et encore, de plus en plus
fort. Un des gars s’est pointé et m’a demandé pourquoi je
gueulais comme ça. Je lui ai dit que j’avais envie de pisser.
Le gars a haussé les épaules, et il a quitté la pièce en
gueulant : " Il a envie de pisser. " J’ai entendu la voix de la
fille qui répondait : " Je m’en occupe ! " Et moi, je me
demandais bien comment elle allait s’en occuper. Je suis
du genre pudique, moi, et je me sentais un peu mal à
l’aise.
Elle est entrée dans la pièce avec une sorte de saladier en
plastique. " J’ai pas de pot de chambre à vous offrir, mais
ce truc-là ça doit pouvoir aller ", dit-elle en se marrant. Elle
trouvait ça drôle, la vache ! " Il faut me détacher ", que je lui
ai dit. " Ah ! non, pas question, on ne peut pas prendre de
risque. Mais ne vous faites pas de souci, je vais vous faire
faire pipi, vous allez voir. Comme une gentille maman qui
fait faire pipi à son petit garçon… " Elle s’est approchée de
moi et à commencé à déboutonner mon pantalon. "
Qu’est-ce que vous faites là ? ", que je lui dis, plutôt gêné.
— Si vous préférez pisser dans votre froc, il faut me le dire
tout suite…
Elle a tiré à fond sur la fermeture éclair et puis,
tranquillement, elle a fait glisser mon pantalon le long de
mes jambes et l’a enlevé entièrement. Je me sentais plutôt
ridicule et humilié de me tenir comme ça en slip, debout
devant une jeune femme qui, elle, était tout ce qu’il y a de
plus habillée, et qui me regardait avec une insistance que
je ne trouvais vraiment pas discrète. Mais je ne suis pas
longtemps resté dans cette position, parce qu’elle s’est
ensuite attaquée au slip, qu’elle a fait glisser tout
doucement le long de mes fesses, puis le long de mes
cuisses, puis le long de mes mollets et qu’elle a finalement
envoyé promener comme le pantalon. Je me sentais en état
d’infériorité, c’est le moins qu’on puisse dire, et je
commençais à être salement troublé, parce qu’elle avait
une façon de fixer mon sexe que je commençais à trouver
un peu vicieuse. Mais je me faisais peut-être des idées,
allez savoir. Heureusement je ne me suis pas mis à bander
tout de suite. J’étais trop gêné pour ça et mon envie de
pisser devenait panique !
Alors elle m’a dit de bien écarter les cuisses, elle a
approché son saladier en plastique, et l’a placé juste sous
ma verge et sous mes couilles qui pendaient
honteusement devant elle. J’ai pu enfin pisser. J’y suis allé
de bon cœur, je vous assure ! Il était plus que temps ! Ça
me faisait tellement de bien de pouvoir enfin me soulager
que j’en oubliais mon humiliation. Qu’est-ce que j’ai pu
pisser ! Incroyable ! Ça semblait devoir ne jamais s’arrêter.
J’ai rempli le saladier, et pour un peu il aurait débordé. La
jeune femme n’en croyait pas ses yeux. Elle répétait
seulement : " Ah ! dis donc !… Ah ! dis donc !… J’ai jamais
vu ça. Elle était à la fois amusée et admirative. Elle a
emmené le saladier, en faisant bien attention de ne pas
répandre son contenu. Quand elle est revenue, elle avait un
mouchoir en papier à la main : " Alors, le petit garçon est
content d’avoir fait son gros pipi ? Il va mieux, le petit garçon
? Et maintenant on va essuyer sa jolie bite pour qu’elle soit
bien propre… "
Maintenant que j’étais débarrassé de mon épouvantable
envie de pisser, je me sentais tout drôle. C’est difficile à
décrire. Je me sentais toujours ridicule et humilié, devant
cette femme qui riait et qui me regardait sans pudeur, mais,
comment dire ? J’éprouvais en même temps une sorte de
plaisir trouble à être ainsi humilié et des tas d’idées
cochonnes me passaient par la tête.
Elle s’est de nouveau approchée de moi et, de sa main
gauche, elle a pris ma verge entre deux doigts, avec une
délicatesse incroyable. Vous ne pouvez pas imaginer ce
que j’ai ressenti. Une douceur, un bien-être incroyable ! Je
n’avais plus peur que d’une chose, c’est qu’elle lâche ce
qu’elle tenait dans la main et qu’elle quitte la pièce en me
laissant tout seul. Mais elle ne me lâchait pas. Avec ses
deux doigts elle repoussait un peu la petite peau et, de la
main droite, elle me tamponnait délicatement le gland avec
son mouchoir en papier. Vous imaginez le résultat…
Je n’ai pas eu tout de suite une érection complète. Ç’a été
progressif. Je voyais (j’aime me regarder) et je sentais ma
bite prendre de la consistance, se gonfler lentement,
grossir tout en restant encore un peu molle sous les doigts
de ma geôlière. Mon gland devenait humide, comme il fait
toujours quand je suis excité. J’ai dit : " Vous m’excitez. "
Elle m’a répondu : " Et du crois que tu ne m’excites pas,
moi, avec ta jolie bite, petit cochon ? " Elle s’était
débarrassée de son mouchoir en papier et continuait à faire
coulisser, dans une sens et dans l’autre, mais très
lentement, la peau qui recouvre mon gland, pendant que sa
main droite tripotait délicatement mes couilles. Je
n’essayais plus de jouer les indifférents ou les offensés, je
me laissais faire, en gardant les cuisses bien écartées, elle
passait sa main sous moi, je la sentais qui tripotait mes
fesses, je sentais ses doigts qui me fouillaient la raie et
s’enfonçaient dans mon anus. Elle me disait : " Tu aimes
bien, hein ? que je te tripote le trou du cul, espèce de petit
cochon ! J’ai bien envie d’appeler les copains pour qu’ils
t’enculent. "
Elle n’avait pas besoin des copains, la cochonne, elle se
débrouillait très bien toute seule pour m’enculer avec ses
doigts et moi, je bandais si fort que ça en devenait presque
douloureux. Elle m’aurait fait n’importe quoi, j’aurais dit oui.
J’aurais voulu qu’elle me pince, qu’elle me griffe, qu’elle me
donne de grandes claques sur l’intérieur des cuisses,
qu’elle pisse sur moi, qu’elle m’humilie. J’avais peur
d’éjaculer trop vite. Je voulais que ça ne s’arrête pas.
Heureusement, elle a écarté ses mains. Il était temps. Elle
m’a dit : " Tu aimerais bien que je me masturbe devant toi,
hein ? Ça te ferait plaisir que je me tripote. " Et elle a
commencé à se déshabiller. Elle s’est débarrassée de son
jean. Ah ! l’émotion quand j’ai vu ses cuisses nues, je ne
vous dis pas ! Comme j’aurais aimé les tripoter, les lécher !
Et coller ma bouche sur sa culotte ! La respirer ! La manger
! Ensuite elle a fait glisser la culotte le long de ses jambes
en me regardant avant insistance. Elle a écarté les jambes
et ses doigts fourrageaient dans les poils de sa touffe et
s’enfonçaient dans sa vulve. Elle se branlait sans pudeur
devant moi, ça faisait un bruit liquide qui augmentait encore
mon excitation. Puis elle s’est retourner pour que je voie
ses fesses. Elle les tendait vers moi en se penchant un
peu, pour que je voie bien. Je voyais ses doigts mouillés
passer sur son anus et s’y enfoncer. Alors elle a pris ma
bite à pleine main, et se frotta l’anus avec mon gland,
pendant qu’elle continuait de l’autre main à se masturber
frénétiquement la vulve. Alors, d’un seuil coup, ma bite est
entrée au fond de son cul. " Oui !… Oui !… Encule-moi !… "
et elle poussait son derrière contre moi, pendant que je
donnais de grands coups de reins. J’avais l’impression
d’être au fond de son ventre. Elle a poussé un long cri
pendant que moi-même je déchargeais de grandes giclées
de sperme au plus profond d’elle-même.
de la rue Dorlot. Mais on ne sait pas tout. Après ma
libération, j’ai été longuement interrogé par les flics. J’ai dû
répondre à des tas de questions, mais je suis loin d’avoir
tout dit. On comprendra facilement pourquoi. Il y a des
choses comme ça qu’on préfère garder pour soi.
Mes ravisseurs étaient au nombre de trois, dont une fille,
qui pouvait avoir dans les trente ans, plutôt mignonne. Ils
m’avaient embarqué dans leur voiture, les yeux bandés.
Quand nous sommes arrivés dans la villa, ils ont retiré le
bandeau que j’avais sur les yeux, et je me suis retrouvé
adossé à une sorte de colonne en fer qui soutenait le
plafond. Mes menottes, derrière moi, pouvaient coulisser
librement le long de la colonne, si bien que je pouvais
rester debout ou m’asseoir, au choix. Le confort, quoi… Ils
m’ont dit de ne pas m’énerver, qu’ils n’avaient rien contre
moi et qu’ils voulaient seulement assurer leur propre
sécurité. Pas vraiment des monstres, en somme. Il y a en a
même un qui m’a donné un boire un grand verre d’eau,
c’est dire ! Puis ils m’ont laissé seul.
Je suis resté comme ça je ne sais pas combien de temps.
Je me disais que ça ne me servirait à rien de m’affoler et je
me suis tenu tranquille. Seulement il y avait un détail que je
n’avais pas prévu, c’est qu’au bout d’un certain temps j’ai
été pris d’une sacrée envie de pisser. Au début, j’ai essayé
de rester stoïque. Mais le temps passait, mon besoin
devenait de plus en plus pressant et mon ventre
commençait à me faire mal. J’aurais pu pisser dans mon
froc, mais ça ne me plaisait pas tellement. Alors j’ai appelé.
Personne. J’ai appelé encore, et encore, de plus en plus
fort. Un des gars s’est pointé et m’a demandé pourquoi je
gueulais comme ça. Je lui ai dit que j’avais envie de pisser.
Le gars a haussé les épaules, et il a quitté la pièce en
gueulant : " Il a envie de pisser. " J’ai entendu la voix de la
fille qui répondait : " Je m’en occupe ! " Et moi, je me
demandais bien comment elle allait s’en occuper. Je suis
du genre pudique, moi, et je me sentais un peu mal à
l’aise.
Elle est entrée dans la pièce avec une sorte de saladier en
plastique. " J’ai pas de pot de chambre à vous offrir, mais
ce truc-là ça doit pouvoir aller ", dit-elle en se marrant. Elle
trouvait ça drôle, la vache ! " Il faut me détacher ", que je lui
ai dit. " Ah ! non, pas question, on ne peut pas prendre de
risque. Mais ne vous faites pas de souci, je vais vous faire
faire pipi, vous allez voir. Comme une gentille maman qui
fait faire pipi à son petit garçon… " Elle s’est approchée de
moi et à commencé à déboutonner mon pantalon. "
Qu’est-ce que vous faites là ? ", que je lui dis, plutôt gêné.
— Si vous préférez pisser dans votre froc, il faut me le dire
tout suite…
Elle a tiré à fond sur la fermeture éclair et puis,
tranquillement, elle a fait glisser mon pantalon le long de
mes jambes et l’a enlevé entièrement. Je me sentais plutôt
ridicule et humilié de me tenir comme ça en slip, debout
devant une jeune femme qui, elle, était tout ce qu’il y a de
plus habillée, et qui me regardait avec une insistance que
je ne trouvais vraiment pas discrète. Mais je ne suis pas
longtemps resté dans cette position, parce qu’elle s’est
ensuite attaquée au slip, qu’elle a fait glisser tout
doucement le long de mes fesses, puis le long de mes
cuisses, puis le long de mes mollets et qu’elle a finalement
envoyé promener comme le pantalon. Je me sentais en état
d’infériorité, c’est le moins qu’on puisse dire, et je
commençais à être salement troublé, parce qu’elle avait
une façon de fixer mon sexe que je commençais à trouver
un peu vicieuse. Mais je me faisais peut-être des idées,
allez savoir. Heureusement je ne me suis pas mis à bander
tout de suite. J’étais trop gêné pour ça et mon envie de
pisser devenait panique !
Alors elle m’a dit de bien écarter les cuisses, elle a
approché son saladier en plastique, et l’a placé juste sous
ma verge et sous mes couilles qui pendaient
honteusement devant elle. J’ai pu enfin pisser. J’y suis allé
de bon cœur, je vous assure ! Il était plus que temps ! Ça
me faisait tellement de bien de pouvoir enfin me soulager
que j’en oubliais mon humiliation. Qu’est-ce que j’ai pu
pisser ! Incroyable ! Ça semblait devoir ne jamais s’arrêter.
J’ai rempli le saladier, et pour un peu il aurait débordé. La
jeune femme n’en croyait pas ses yeux. Elle répétait
seulement : " Ah ! dis donc !… Ah ! dis donc !… J’ai jamais
vu ça. Elle était à la fois amusée et admirative. Elle a
emmené le saladier, en faisant bien attention de ne pas
répandre son contenu. Quand elle est revenue, elle avait un
mouchoir en papier à la main : " Alors, le petit garçon est
content d’avoir fait son gros pipi ? Il va mieux, le petit garçon
? Et maintenant on va essuyer sa jolie bite pour qu’elle soit
bien propre… "
Maintenant que j’étais débarrassé de mon épouvantable
envie de pisser, je me sentais tout drôle. C’est difficile à
décrire. Je me sentais toujours ridicule et humilié, devant
cette femme qui riait et qui me regardait sans pudeur, mais,
comment dire ? J’éprouvais en même temps une sorte de
plaisir trouble à être ainsi humilié et des tas d’idées
cochonnes me passaient par la tête.
Elle s’est de nouveau approchée de moi et, de sa main
gauche, elle a pris ma verge entre deux doigts, avec une
délicatesse incroyable. Vous ne pouvez pas imaginer ce
que j’ai ressenti. Une douceur, un bien-être incroyable ! Je
n’avais plus peur que d’une chose, c’est qu’elle lâche ce
qu’elle tenait dans la main et qu’elle quitte la pièce en me
laissant tout seul. Mais elle ne me lâchait pas. Avec ses
deux doigts elle repoussait un peu la petite peau et, de la
main droite, elle me tamponnait délicatement le gland avec
son mouchoir en papier. Vous imaginez le résultat…
Je n’ai pas eu tout de suite une érection complète. Ç’a été
progressif. Je voyais (j’aime me regarder) et je sentais ma
bite prendre de la consistance, se gonfler lentement,
grossir tout en restant encore un peu molle sous les doigts
de ma geôlière. Mon gland devenait humide, comme il fait
toujours quand je suis excité. J’ai dit : " Vous m’excitez. "
Elle m’a répondu : " Et du crois que tu ne m’excites pas,
moi, avec ta jolie bite, petit cochon ? " Elle s’était
débarrassée de son mouchoir en papier et continuait à faire
coulisser, dans une sens et dans l’autre, mais très
lentement, la peau qui recouvre mon gland, pendant que sa
main droite tripotait délicatement mes couilles. Je
n’essayais plus de jouer les indifférents ou les offensés, je
me laissais faire, en gardant les cuisses bien écartées, elle
passait sa main sous moi, je la sentais qui tripotait mes
fesses, je sentais ses doigts qui me fouillaient la raie et
s’enfonçaient dans mon anus. Elle me disait : " Tu aimes
bien, hein ? que je te tripote le trou du cul, espèce de petit
cochon ! J’ai bien envie d’appeler les copains pour qu’ils
t’enculent. "
Elle n’avait pas besoin des copains, la cochonne, elle se
débrouillait très bien toute seule pour m’enculer avec ses
doigts et moi, je bandais si fort que ça en devenait presque
douloureux. Elle m’aurait fait n’importe quoi, j’aurais dit oui.
J’aurais voulu qu’elle me pince, qu’elle me griffe, qu’elle me
donne de grandes claques sur l’intérieur des cuisses,
qu’elle pisse sur moi, qu’elle m’humilie. J’avais peur
d’éjaculer trop vite. Je voulais que ça ne s’arrête pas.
Heureusement, elle a écarté ses mains. Il était temps. Elle
m’a dit : " Tu aimerais bien que je me masturbe devant toi,
hein ? Ça te ferait plaisir que je me tripote. " Et elle a
commencé à se déshabiller. Elle s’est débarrassée de son
jean. Ah ! l’émotion quand j’ai vu ses cuisses nues, je ne
vous dis pas ! Comme j’aurais aimé les tripoter, les lécher !
Et coller ma bouche sur sa culotte ! La respirer ! La manger
! Ensuite elle a fait glisser la culotte le long de ses jambes
en me regardant avant insistance. Elle a écarté les jambes
et ses doigts fourrageaient dans les poils de sa touffe et
s’enfonçaient dans sa vulve. Elle se branlait sans pudeur
devant moi, ça faisait un bruit liquide qui augmentait encore
mon excitation. Puis elle s’est retourner pour que je voie
ses fesses. Elle les tendait vers moi en se penchant un
peu, pour que je voie bien. Je voyais ses doigts mouillés
passer sur son anus et s’y enfoncer. Alors elle a pris ma
bite à pleine main, et se frotta l’anus avec mon gland,
pendant qu’elle continuait de l’autre main à se masturber
frénétiquement la vulve. Alors, d’un seuil coup, ma bite est
entrée au fond de son cul. " Oui !… Oui !… Encule-moi !… "
et elle poussait son derrière contre moi, pendant que je
donnais de grands coups de reins. J’avais l’impression
d’être au fond de son ventre. Elle a poussé un long cri
pendant que moi-même je déchargeais de grandes giclées
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