LA SECRETAIRE
Récit érotique écrit par Petite futée [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-04-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LA SECRETAIRE
LA SECRETAIRE
Je m’appelle Camille, j’ai 28 ans, célibataire et fière de l’être, j’aime vivre au
jour le jour. Petite brune, je peaufine mon côté sexy et féminin. Seule ou entre amis,
je sors le soir, drague ou me fait draguer sans chercher à me caser, je m’éclate voilà
tout.
Côté vie professionnelle, tout va bien aussi, je suis assistante administrative depuis
quelques mois dans une grande société pour un commercial qui se prénomme Sébastien. Je
me suis très bien intégrée dans cette entreprise, et je dois adapter mes horaires en
fonction de Sébastien. Suivant les rendez-vous qu’il a, il rentre plus ou moins tard,
et je dois toujours attendre son retour pour pouvoir dès le lendemain, m’occuper des
commandes clients.
Je dois dire que ce n’est pas une corvée de l’attendre, il me fait craquer, dans ses
beaux costumes bien coupés, toujours rasé de près, et son parfum… Souvent, j’essaye de
le deviner torse nu, d’imaginer ses formes, son petit cul… Camille, reviens sur terre
! Mes tenues sexy sont aussi prévues pour l’émoustiller mais il reste bien sage, quel
dommage ! Il va falloir que je passe la vitesse supérieure mais je ne veux pas être
vulgaire, rien de tel que la féminité.
Donc, un jeudi matin quand mon réveil sonne, et après une nuit de rêves très
érotiques, je décide donc de passer à l’action. Après une bonne douche, j’ouvre mon
tiroir à sous-vêtements et choisis mon ensemble préféré, blanc, brodés de fils rose
pale, le soutien-gorge en balconnet remontant bien ma belle petite poitrine, et la
culotte, type boxer string, transparente à souhait, laisse paraître ma toison que je
tiens à ne pas raser comme un ticket de métro, mais juste ce qu’il faut, pour que peu
chose dépasse de mes sous-vêtements. Pour un mec voyeur, c’est très excitant,
d’apercevoir quelques petits poils sortir de la culotte. Je prends une paire de bas
couleur chair, ma minijupe noire fendue à souhait, qui moule mes belles fesses rondes
et fermes, ainsi que mon chemisier blanc qui se croise sur le devant et qui me fait
toujours un décolleté dans lequel les hommes ne peuvent s’empêcher de plonger. Sans
oublier mes escarpins, une touche de parfum comme à mon habitude, reste mon manteau
que je laisse ouvert, et voilà, je suis prête !
Quand je me gare dans le parking souterrain, je vois avec plaisir que Sébastien vient
d’arriver aussi. En me voyant, il s’approche de ma voiture pour m’attendre. Profitant
de l’opportunité, je descends de la voiture en prenant soin de ne pas tenir ma jupe
qui s’entrouvre laissant apparaître aux yeux de Sébastien, la bande de dentelle de mes
bas mais aussi mon large décolleté. En fermant ma voiture, je fais exprès de faire
tomber mes clés, sachant qu’il se baissera pour les ramasser. Ce qu’il fait
immédiatement, profitant bien sûr pour jeter un œil indiscret, mais je fais celle qui
ne voit rien. Dans l’ascenseur bondé qui nous mène au 6ème étage, il est tout contre
moi, mais n’ose rien. J’aurai aimé qu’il glisse sa main sur ma jambe, glissant sur mon
bas, puis ma peau, remontant jusqu’à mon intimité, et sentir ses doigts chauds me
caresser à travers le fin tissu.
Mais l’ascenseur arrive, après avoir fait maintes salutations matinales, nous
rejoignons notre bureau. J’accroche mon manteau, je sens qu’il ne me lâche pas des
yeux, et lui propose un café. Le matin, je prends place sur la table de travail pour
le classement des dossiers, je sais que c’est l’endroit idéal pour le chauffer. Assis
à son bureau, contactant ses clients, il regarde vers moi, je joue avec mes jambes,
tantôt les croisant, tantôt normales (je sais la vue qu’il a, ayant essayé devant ma
glace à la maison et j’avoue que, à cette idée, mon entrejambes s’humidifie).
J’imagine ma main se poser sur son sexe tendu. Malheureusement c’est l’heure pour lui
de partir à ses rendez-vous clientèle. Trop excitée par mon petit jeu, je fais un saut
aux toilettes, soulevant ma jupe, je plonge ma main dans ma culotte pour m’adonner à
un petit plaisir solitaire, bougeant mes doigts, cherchant le plaisir, la jouissance,
pensant à Sébastien, imaginant son sexe rose et gonflé se frottant à moi. Ahhhhhhh !
La journée suit son cours, des idées sexuelles viennent toujours me perturber. Il est
dix-huit heures trente, il n’est toujours pas revenu, les retardataires sont tous
partis, je suis donc seule dans l’entreprise à attendre son retour. Je me dirige aux
toilettes et me refait une beauté, mon petit jeu allant bientôt reprendre.
Lorsque je reviens quelques minutes plus tard, la lumière de mon bureau est éteinte.
Pourtant, je suis persuadée d’avoir laissé ma lampe sur mon bureau allumée, j’aime
travailler juste avec cette lueur quand il fait sombre dehors. Je m’avance donc pour
la rallumer, on me saisit la main, quelle peur ! Le jour se fait, Sébastien est assis
sur mon siège, confus de m’avoir fait peur, il profitait de mon absence pour se
relaxer un peu dans le noir. Il se lève et libère ma place, restant comme à son
habitude derrière moi pour me donner ses consignes.
Je le sens différent des autres soirs, sa respiration est plus forte, il se penche
plus vers moi, pour m’expliquer un dossier plus compliqué. Mon jeu aurait-il fait son
effet ? À un moment, je jette un regard en arrière et me rend compte que son pantalon
est tendu, il est vrai que je ne me suis pas gênée pour lui laisser entrevoir mes
jambes et les dentelles de mes bas. Puis sa main se pose sur son sexe qu’il caresse à
travers son pantalon mais, très vite, il baisse la braguette de son pantalon. Faisant
mine de ne rien remarquer, je continue à l’observer discrètement. Est-ce la première
fois qu’il fait ça, n’ais-je jamais rien remarqué, où ais-je joué mon rôle à la
perfection ?
Je suis à la fois tendue et excitée, je le vois faire, il sort son sexe de son
pantalon, je ne vois pas bien car je regarde en arrière et que seule ma petite lampe
de bureau éclaire la pièce, mais je me rends compte que l’écran éteint de l’ordinateur
me renvoie son image. À présent, il se caresse, tout en me parlant, je sens les
effluves de son sexe me caresser les narines, je ne sais que faire.
Mais ma pulsion est plus forte que la raison, je me tourne d’un coup, le prenant sur
le fait, il a l’air mal à l’aise. Innocente, je lâche un petit « Oh ! » le laissant
sans voix. Je décide donc de prendre les choses en mains (si on peut dire !). Quelle
n’est pas sa surprise quand il se retrouve le pantalon et le caleçon en bas des jambes
! Je saisis alors son sexe dans ma main pour le guider jusqu’à ma bouche. Du bout de
ma langue très humide, je lui nettoie son membre viril sans oublier le moindre recoin,
la moindre petite parcelle de peau, mais en prenant bien soin de ne pas le décalotter.
Une fois bien propre, je me lève et lui ordonne de s’asseoir à ma place, me mettant à
genoux par terre, la tête entre ses jambes, je sens ma culotte se mouiller de plus en
plus, tout en reprenant là où je me suis arrêter avant de le faire asseoir. Seulement
là, je lui enfile sa belle verge toute entière dans ma bouche, jouant avec ma langue,
mes lèvres et délicatement, mes dents. Je lui pompe le bout du gland, puis relâche.
Puis j’embrasse du bout des lèvres sa pinne toute bandée jusqu’à sa base pour aller
goûter à ses deux trésors si fragiles, alors, mes baisers se font encore plus tendres,
ma langue plus douce, j’aspire tout doucement la peau, profitant aussi du parfum
dégagé par son intimité. Ensuite mes lèvres prennent le chemin inverse, pour faire
totalement disparaître sa virilité dans ma bouche avec des allées et venues beaucoup
plus insistantes, je sens que son plaisir va bientôt venir me donner satisfaction et
titiller mes papilles, son sexe se tend de plus en plus avec des petits soubresauts,
l’instant est proche. Ah ! Quelle puissance de jets ! J’avale d’un coup sa semence et
continue encore un peu à le sucer, nettoyant les dernières goutes de sa jouissance. Je
me relève sans un mot et me dirige vers les toilettes. À mon retour, nous terminons
rapidement notre travail comme si rien ne c’était produit.
Le lendemain matin, pas de beau commercial en vue, je me pose des questions sur mes
actes, sans rien me reprocher bien sûr, car j’y ai pris beaucoup de plaisir, et serait
prête à recommencer si l’occasion se présentait. Midi, toujours pas de nouvelles de
lui, je commence à me poser des questions, je suis sure qu’il m’en veut, et à trouver
un moyen pour m’éviter, oh quelle gourde de fait.
17h, aucun appel de sa part, les autres employés administratif s’en vont, c’est le
week end, je reste seule, attendant mon collègue, comme d’habitude, on verra bien, il
finira bien par venir.
18h 15, il me passe un coup de téléphone me demandant d’aller d’urgence à l’entrepôt
prendre le dernier listing des stocks, évidement, à mon arrivée, le dépôt venait de
fermer. Je reprends donc le chemin des bureaux.
Il faut vite que je le rappelle, je prends donc place sur mon siège, et tendant la
main vers le téléphone, je sens des caresses sur mes jambes, des mains retirer mes
escarpins, et caresser mes pieds, une bouche et des lèvres les embrasser et les goûter
à travers le nylon de mes bas, je me laisse partir en arrière dans mon fauteuil,
m’abandonnant totalement à mon plaisir, ne cherchant même pas à savoir qui se cache
sous mon bureau, même si j’en ai l’idée. Ses mains parcourent mes pieds, mes mollets,
le creux de mes genoux, quel délice, elles remontent de plus en plus, et d’un coup
repartent du point de départ, me faisant languir encore un peu plus. Je suis bien.
Quand, arrivés en haut de mes bas, ses doigts effleurent ma peau nue, un frisson me
parcourt tout le corps, jamais un homme ne m’avait découvert de cette manière. Gagnant
du terrain sur mes jambes qui se terminent, je sais et attends avec impatience qu’il
pose ses doigts sur mon intimité qui doit être inondée de mon désir. Mais c’est sa
bouche qui prend le relais, ses dents qui saisissent le haut de mes bas pour les
descendre le long de mes jambes, tout en sentant son souffle qui me parcourt en même
temps. Il se met à jouer avec eux, les glissant sur ma peau, me caressant avec. Il me
couvre de baisers tout en remontant jusqu’au bas de ma jupe qu’il relève pour se
cacher dessous et découvrir le petit bout de tissu en dentelle qui dissimule à demi ma
toison brune. Il s’attarde un moment sur la fragrance de mon corps ou plus
particulièrement de mon sanctuaire. Je sens son souffle chaud sur ma peau, du bout de
ses lèvres, il pince le tissu, et en même temps effleure mes lèvres intimes, Oh ! Que
c’est bon de se sentir désirée ainsi. Il masse mes petits poils pubiens à travers
l’étoffe, et ma cyprine coule à l’humidifier.
Pris dans un élan de désir, ses gestes jusqu’alors si délicats, se font alors plus
pressants, comme s’il n’arrivait plus à retenir son envie (sans non plus être
violent), juste plus pressé, ivre de fantasmes, il glisse sa tête sous ma jupe.
Ses mains agrippent mon string pour enfin lui dévoiler l’objet tant convoité, la chose
qui va assouvir son appétit sexuel. Se sont d’abord ses doigts, qu’il introduit
doucement, dans ma vallée, comme calmé d’avoir enfin vu mes trésors cachés, voyageant
dans tous les creux ou collines qu’il rencontre, baignant dans la rivière intarissable
de la gorge sacrée. Mes gémissements se font de plus en plus audibles, il profite de
ce moment pour aller goûter au fruit défendu, au petit téton très sensible et qui
bande quand il est sollicité. Sa langue, me déguste, savourant tous les arômes que mon
corps peut dégager.
Jusqu’à présent, j’ai réussi à résister, à retenir ma jouissance, mais le moment est
venu de me laisser aller à l’extase maximale. Quel orgasme !
Le téléphone sonne, sans réfléchir, je décroche, le poste de garde m’indique qu’un
client m’y attend. Sans prendre la peine de remettre ma culotte, je sors de mon bureau
pour rejoindre Monsieur Xeller, qui, à ma grande surprise, est en compagnie de
Sébastien…
— Vous ne vous sentez pas bien Mademoiselle me dit Monsieur Xeller
En effet, j’ai l’impression d’avoir pris une douche froide.
— Sébastien, tu es là depuis longtemps ?
— Il est arrivé quand le vigile vous appelait.
Je sens le sol se dérober sous mes pieds… mais qui était sous le bureau alors ?
— Ça n’a pas l’air d’aller, tu ferais mieux de rentrer, on verra les dossiers lundi
matin, ne t’inquiète pas, je m’occupe de Monsieur Xeller
— D’accord, mais je dois retourner bureau avant de partir, bon week-end, leur dis-je.
De retour dans mon bureau, mon mystérieux inconnu ne m’a pas fait l’honneur de
m’attendre et ma culotte a disparue. Je m’assois dans mon fauteuil en essayant de
comprendre l’incompréhensible.
Sébastien me rejoint quelques minutes plus tard, l’air inquiet.
— Je suis désolé pour le retard, les bouchons du vendredi soir ! Je n’ai pas pu
t’appeler de la journée, je n’ai fait que courir d’un client à l’autre. J’espère que
tu n’as pas cru que je voulais t’éviter, bien au contraire, j’ai essayé de tout faire
pour revenir le plus vite possible. Pour me faire pardonner, je peux t’inviter à
prendre un verre en ville.
C’est avec plaisir que, j’accepte son invitation, me voilà pour une chose soulagée, il
avait apprécié mon initiative de la veille.
Au cours de la soirée, je lui explique ce qui m’a mise dans un tel état et sur un air
ironique il me dit :
— Dommage que je n’y ai pas pensé avant lui
Nous avons beaucoup ri.
Au diable de savoir qui était sous mon bureau, j’y ai pris beaucoup du plaisir. Chaque
soir, avec Sébastien, nous trouvons toujours un prétexte pour nous toucher l’un et
l’autre, mais ne sommes pas encore passé à l’acte, et nous concilions très bien le
travail et le sexe, c’est même une très bonne motivation. Le week end, nous sortons
chacun de notre côté, ce qui nous fait un sujet de plus à se raconter, nos bons et
mauvais coups.
Par contre un mois après l’homme de ce fameux soir n’est jamais réapparu… dommage…
Je m’appelle Camille, j’ai 28 ans, célibataire et fière de l’être, j’aime vivre au
jour le jour. Petite brune, je peaufine mon côté sexy et féminin. Seule ou entre amis,
je sors le soir, drague ou me fait draguer sans chercher à me caser, je m’éclate voilà
tout.
Côté vie professionnelle, tout va bien aussi, je suis assistante administrative depuis
quelques mois dans une grande société pour un commercial qui se prénomme Sébastien. Je
me suis très bien intégrée dans cette entreprise, et je dois adapter mes horaires en
fonction de Sébastien. Suivant les rendez-vous qu’il a, il rentre plus ou moins tard,
et je dois toujours attendre son retour pour pouvoir dès le lendemain, m’occuper des
commandes clients.
Je dois dire que ce n’est pas une corvée de l’attendre, il me fait craquer, dans ses
beaux costumes bien coupés, toujours rasé de près, et son parfum… Souvent, j’essaye de
le deviner torse nu, d’imaginer ses formes, son petit cul… Camille, reviens sur terre
! Mes tenues sexy sont aussi prévues pour l’émoustiller mais il reste bien sage, quel
dommage ! Il va falloir que je passe la vitesse supérieure mais je ne veux pas être
vulgaire, rien de tel que la féminité.
Donc, un jeudi matin quand mon réveil sonne, et après une nuit de rêves très
érotiques, je décide donc de passer à l’action. Après une bonne douche, j’ouvre mon
tiroir à sous-vêtements et choisis mon ensemble préféré, blanc, brodés de fils rose
pale, le soutien-gorge en balconnet remontant bien ma belle petite poitrine, et la
culotte, type boxer string, transparente à souhait, laisse paraître ma toison que je
tiens à ne pas raser comme un ticket de métro, mais juste ce qu’il faut, pour que peu
chose dépasse de mes sous-vêtements. Pour un mec voyeur, c’est très excitant,
d’apercevoir quelques petits poils sortir de la culotte. Je prends une paire de bas
couleur chair, ma minijupe noire fendue à souhait, qui moule mes belles fesses rondes
et fermes, ainsi que mon chemisier blanc qui se croise sur le devant et qui me fait
toujours un décolleté dans lequel les hommes ne peuvent s’empêcher de plonger. Sans
oublier mes escarpins, une touche de parfum comme à mon habitude, reste mon manteau
que je laisse ouvert, et voilà, je suis prête !
Quand je me gare dans le parking souterrain, je vois avec plaisir que Sébastien vient
d’arriver aussi. En me voyant, il s’approche de ma voiture pour m’attendre. Profitant
de l’opportunité, je descends de la voiture en prenant soin de ne pas tenir ma jupe
qui s’entrouvre laissant apparaître aux yeux de Sébastien, la bande de dentelle de mes
bas mais aussi mon large décolleté. En fermant ma voiture, je fais exprès de faire
tomber mes clés, sachant qu’il se baissera pour les ramasser. Ce qu’il fait
immédiatement, profitant bien sûr pour jeter un œil indiscret, mais je fais celle qui
ne voit rien. Dans l’ascenseur bondé qui nous mène au 6ème étage, il est tout contre
moi, mais n’ose rien. J’aurai aimé qu’il glisse sa main sur ma jambe, glissant sur mon
bas, puis ma peau, remontant jusqu’à mon intimité, et sentir ses doigts chauds me
caresser à travers le fin tissu.
Mais l’ascenseur arrive, après avoir fait maintes salutations matinales, nous
rejoignons notre bureau. J’accroche mon manteau, je sens qu’il ne me lâche pas des
yeux, et lui propose un café. Le matin, je prends place sur la table de travail pour
le classement des dossiers, je sais que c’est l’endroit idéal pour le chauffer. Assis
à son bureau, contactant ses clients, il regarde vers moi, je joue avec mes jambes,
tantôt les croisant, tantôt normales (je sais la vue qu’il a, ayant essayé devant ma
glace à la maison et j’avoue que, à cette idée, mon entrejambes s’humidifie).
J’imagine ma main se poser sur son sexe tendu. Malheureusement c’est l’heure pour lui
de partir à ses rendez-vous clientèle. Trop excitée par mon petit jeu, je fais un saut
aux toilettes, soulevant ma jupe, je plonge ma main dans ma culotte pour m’adonner à
un petit plaisir solitaire, bougeant mes doigts, cherchant le plaisir, la jouissance,
pensant à Sébastien, imaginant son sexe rose et gonflé se frottant à moi. Ahhhhhhh !
La journée suit son cours, des idées sexuelles viennent toujours me perturber. Il est
dix-huit heures trente, il n’est toujours pas revenu, les retardataires sont tous
partis, je suis donc seule dans l’entreprise à attendre son retour. Je me dirige aux
toilettes et me refait une beauté, mon petit jeu allant bientôt reprendre.
Lorsque je reviens quelques minutes plus tard, la lumière de mon bureau est éteinte.
Pourtant, je suis persuadée d’avoir laissé ma lampe sur mon bureau allumée, j’aime
travailler juste avec cette lueur quand il fait sombre dehors. Je m’avance donc pour
la rallumer, on me saisit la main, quelle peur ! Le jour se fait, Sébastien est assis
sur mon siège, confus de m’avoir fait peur, il profitait de mon absence pour se
relaxer un peu dans le noir. Il se lève et libère ma place, restant comme à son
habitude derrière moi pour me donner ses consignes.
Je le sens différent des autres soirs, sa respiration est plus forte, il se penche
plus vers moi, pour m’expliquer un dossier plus compliqué. Mon jeu aurait-il fait son
effet ? À un moment, je jette un regard en arrière et me rend compte que son pantalon
est tendu, il est vrai que je ne me suis pas gênée pour lui laisser entrevoir mes
jambes et les dentelles de mes bas. Puis sa main se pose sur son sexe qu’il caresse à
travers son pantalon mais, très vite, il baisse la braguette de son pantalon. Faisant
mine de ne rien remarquer, je continue à l’observer discrètement. Est-ce la première
fois qu’il fait ça, n’ais-je jamais rien remarqué, où ais-je joué mon rôle à la
perfection ?
Je suis à la fois tendue et excitée, je le vois faire, il sort son sexe de son
pantalon, je ne vois pas bien car je regarde en arrière et que seule ma petite lampe
de bureau éclaire la pièce, mais je me rends compte que l’écran éteint de l’ordinateur
me renvoie son image. À présent, il se caresse, tout en me parlant, je sens les
effluves de son sexe me caresser les narines, je ne sais que faire.
Mais ma pulsion est plus forte que la raison, je me tourne d’un coup, le prenant sur
le fait, il a l’air mal à l’aise. Innocente, je lâche un petit « Oh ! » le laissant
sans voix. Je décide donc de prendre les choses en mains (si on peut dire !). Quelle
n’est pas sa surprise quand il se retrouve le pantalon et le caleçon en bas des jambes
! Je saisis alors son sexe dans ma main pour le guider jusqu’à ma bouche. Du bout de
ma langue très humide, je lui nettoie son membre viril sans oublier le moindre recoin,
la moindre petite parcelle de peau, mais en prenant bien soin de ne pas le décalotter.
Une fois bien propre, je me lève et lui ordonne de s’asseoir à ma place, me mettant à
genoux par terre, la tête entre ses jambes, je sens ma culotte se mouiller de plus en
plus, tout en reprenant là où je me suis arrêter avant de le faire asseoir. Seulement
là, je lui enfile sa belle verge toute entière dans ma bouche, jouant avec ma langue,
mes lèvres et délicatement, mes dents. Je lui pompe le bout du gland, puis relâche.
Puis j’embrasse du bout des lèvres sa pinne toute bandée jusqu’à sa base pour aller
goûter à ses deux trésors si fragiles, alors, mes baisers se font encore plus tendres,
ma langue plus douce, j’aspire tout doucement la peau, profitant aussi du parfum
dégagé par son intimité. Ensuite mes lèvres prennent le chemin inverse, pour faire
totalement disparaître sa virilité dans ma bouche avec des allées et venues beaucoup
plus insistantes, je sens que son plaisir va bientôt venir me donner satisfaction et
titiller mes papilles, son sexe se tend de plus en plus avec des petits soubresauts,
l’instant est proche. Ah ! Quelle puissance de jets ! J’avale d’un coup sa semence et
continue encore un peu à le sucer, nettoyant les dernières goutes de sa jouissance. Je
me relève sans un mot et me dirige vers les toilettes. À mon retour, nous terminons
rapidement notre travail comme si rien ne c’était produit.
Le lendemain matin, pas de beau commercial en vue, je me pose des questions sur mes
actes, sans rien me reprocher bien sûr, car j’y ai pris beaucoup de plaisir, et serait
prête à recommencer si l’occasion se présentait. Midi, toujours pas de nouvelles de
lui, je commence à me poser des questions, je suis sure qu’il m’en veut, et à trouver
un moyen pour m’éviter, oh quelle gourde de fait.
17h, aucun appel de sa part, les autres employés administratif s’en vont, c’est le
week end, je reste seule, attendant mon collègue, comme d’habitude, on verra bien, il
finira bien par venir.
18h 15, il me passe un coup de téléphone me demandant d’aller d’urgence à l’entrepôt
prendre le dernier listing des stocks, évidement, à mon arrivée, le dépôt venait de
fermer. Je reprends donc le chemin des bureaux.
Il faut vite que je le rappelle, je prends donc place sur mon siège, et tendant la
main vers le téléphone, je sens des caresses sur mes jambes, des mains retirer mes
escarpins, et caresser mes pieds, une bouche et des lèvres les embrasser et les goûter
à travers le nylon de mes bas, je me laisse partir en arrière dans mon fauteuil,
m’abandonnant totalement à mon plaisir, ne cherchant même pas à savoir qui se cache
sous mon bureau, même si j’en ai l’idée. Ses mains parcourent mes pieds, mes mollets,
le creux de mes genoux, quel délice, elles remontent de plus en plus, et d’un coup
repartent du point de départ, me faisant languir encore un peu plus. Je suis bien.
Quand, arrivés en haut de mes bas, ses doigts effleurent ma peau nue, un frisson me
parcourt tout le corps, jamais un homme ne m’avait découvert de cette manière. Gagnant
du terrain sur mes jambes qui se terminent, je sais et attends avec impatience qu’il
pose ses doigts sur mon intimité qui doit être inondée de mon désir. Mais c’est sa
bouche qui prend le relais, ses dents qui saisissent le haut de mes bas pour les
descendre le long de mes jambes, tout en sentant son souffle qui me parcourt en même
temps. Il se met à jouer avec eux, les glissant sur ma peau, me caressant avec. Il me
couvre de baisers tout en remontant jusqu’au bas de ma jupe qu’il relève pour se
cacher dessous et découvrir le petit bout de tissu en dentelle qui dissimule à demi ma
toison brune. Il s’attarde un moment sur la fragrance de mon corps ou plus
particulièrement de mon sanctuaire. Je sens son souffle chaud sur ma peau, du bout de
ses lèvres, il pince le tissu, et en même temps effleure mes lèvres intimes, Oh ! Que
c’est bon de se sentir désirée ainsi. Il masse mes petits poils pubiens à travers
l’étoffe, et ma cyprine coule à l’humidifier.
Pris dans un élan de désir, ses gestes jusqu’alors si délicats, se font alors plus
pressants, comme s’il n’arrivait plus à retenir son envie (sans non plus être
violent), juste plus pressé, ivre de fantasmes, il glisse sa tête sous ma jupe.
Ses mains agrippent mon string pour enfin lui dévoiler l’objet tant convoité, la chose
qui va assouvir son appétit sexuel. Se sont d’abord ses doigts, qu’il introduit
doucement, dans ma vallée, comme calmé d’avoir enfin vu mes trésors cachés, voyageant
dans tous les creux ou collines qu’il rencontre, baignant dans la rivière intarissable
de la gorge sacrée. Mes gémissements se font de plus en plus audibles, il profite de
ce moment pour aller goûter au fruit défendu, au petit téton très sensible et qui
bande quand il est sollicité. Sa langue, me déguste, savourant tous les arômes que mon
corps peut dégager.
Jusqu’à présent, j’ai réussi à résister, à retenir ma jouissance, mais le moment est
venu de me laisser aller à l’extase maximale. Quel orgasme !
Le téléphone sonne, sans réfléchir, je décroche, le poste de garde m’indique qu’un
client m’y attend. Sans prendre la peine de remettre ma culotte, je sors de mon bureau
pour rejoindre Monsieur Xeller, qui, à ma grande surprise, est en compagnie de
Sébastien…
— Vous ne vous sentez pas bien Mademoiselle me dit Monsieur Xeller
En effet, j’ai l’impression d’avoir pris une douche froide.
— Sébastien, tu es là depuis longtemps ?
— Il est arrivé quand le vigile vous appelait.
Je sens le sol se dérober sous mes pieds… mais qui était sous le bureau alors ?
— Ça n’a pas l’air d’aller, tu ferais mieux de rentrer, on verra les dossiers lundi
matin, ne t’inquiète pas, je m’occupe de Monsieur Xeller
— D’accord, mais je dois retourner bureau avant de partir, bon week-end, leur dis-je.
De retour dans mon bureau, mon mystérieux inconnu ne m’a pas fait l’honneur de
m’attendre et ma culotte a disparue. Je m’assois dans mon fauteuil en essayant de
comprendre l’incompréhensible.
Sébastien me rejoint quelques minutes plus tard, l’air inquiet.
— Je suis désolé pour le retard, les bouchons du vendredi soir ! Je n’ai pas pu
t’appeler de la journée, je n’ai fait que courir d’un client à l’autre. J’espère que
tu n’as pas cru que je voulais t’éviter, bien au contraire, j’ai essayé de tout faire
pour revenir le plus vite possible. Pour me faire pardonner, je peux t’inviter à
prendre un verre en ville.
C’est avec plaisir que, j’accepte son invitation, me voilà pour une chose soulagée, il
avait apprécié mon initiative de la veille.
Au cours de la soirée, je lui explique ce qui m’a mise dans un tel état et sur un air
ironique il me dit :
— Dommage que je n’y ai pas pensé avant lui
Nous avons beaucoup ri.
Au diable de savoir qui était sous mon bureau, j’y ai pris beaucoup du plaisir. Chaque
soir, avec Sébastien, nous trouvons toujours un prétexte pour nous toucher l’un et
l’autre, mais ne sommes pas encore passé à l’acte, et nous concilions très bien le
travail et le sexe, c’est même une très bonne motivation. Le week end, nous sortons
chacun de notre côté, ce qui nous fait un sujet de plus à se raconter, nos bons et
mauvais coups.
Par contre un mois après l’homme de ce fameux soir n’est jamais réapparu… dommage…
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'adore cette histoire, tous les ingrédients que j'aime sont présents, de la lingerie, du sexe, de la sensualité et ... une charmante secrétaire ;)
Une suite peut être ?
En tout cas cela me donne envie de lire tes autres histoires ;)
Une suite peut être ?
En tout cas cela me donne envie de lire tes autres histoires ;)
Super histoire qui suggère beaucoup.
La suite.
Ecris-moi!
La suite.
Ecris-moi!
C est une histoire érotique pas porno et si c est de la baise que vous voulez me lisez
surtout pas, c est pas mon genre d écriture et je ne compte pas changer de
style...PETITE FUTÉE
surtout pas, c est pas mon genre d écriture et je ne compte pas changer de
style...PETITE FUTÉE
Moi g envie quil y ai de la baiissseeeeee