La Star 2
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-05-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La Star 2
Évidemment je dormais cette nuit au retour de Patricia. Elle s’est glissée dans le lit d’amis de l'autre chambre, sans me réveiller,la chatte trop douloureuse pour me recevoir? . A 7 heures trente le réveil l’appelle, car à neuf heures elle doit tenir sa caisse. Je n’ai pas le loisir de vérifier si elle a toujours son piercing ou sa marque dans la peau. Elle est devenue subitement très pudique à la maison. Elle, habituée à se promener toute nue avec un naturel inné dans le couloir ou dans toutes les pièces, se déplace en chemise de nuit devant moi.
Pendant la visite médicale chez mon généraliste, le médecin m’a trouvé triste, a cherché à savoir si j’avais de gros soucis professionnels ou familiaux, s’est inquiété de mon manque de ressort et m’a pris un rendez-vous chez un cardiologue dans un mois. L’ordonnance est restée sur la table de cuisine pendant que je préparais le repas de midi. C’est la première chose que Patricia a remarquée en revenant de sa grande surface.
- Mon chéri adoré, tu ne vas pas bien. C’est grave?
- Non, une grosse fatigue, le docteur veut se rassurer et me recommande de limiter au maximum les efforts jusqu’au résultat de l’électrocardiogramme.
J’en ai rajouté. Je ne tiens plus à passer après ses servants professionnels dans ce vagin devenu public en salon privé. Quelle conduite vais-je adopter avec Patricia. Je me laisse le temps de la réflexion. Je ne crois plus guère en son amour.
- Mais alors, est-ce que nous pouvons continuer à nous aimer?
- Comme nous l’avons fait hier et avant-hier, certainement. Nous ne nous sommes pas vus depuis mercredi soir et nous n’avons pas fait l’amour depuis lundi. Donc ma fatigue ne doit rien à des excès au lit : tu prends toutes les précautions pour me mettre à l’abri d’un infarctus ! Tu ne dois pas te sentir coupable de ma fatigue, puisque tu n’as plus de temps à me consacrer. Je sentais bien que ce nouveau travail allait nous éloigner.
- Mais mon amour tu sais que c’est pour la bonne cause. Comme je tiens par-dessus tout à ta santé, je ne serai pas exigeante pendant ce mois.
- Ne crains-tu pas de trop te fatiguer toi-même et de mettre ta propre santé en danger?
- Je suis solide et quand je fais un travail avec plaisir, je ne ressens pas la fatigue.
- Mais encore, suis-je condamné à ne plus te rencontrer du mercredi au samedi ? Même si je dois prendre des précautions, que me reste-t-il de nous si je ne te vois plus. J’adore faire l’amour avec toi. N’y a-t-il rien d’autre entre nous ? Cette autre chose disparaît si nous ne nous rencontrons plus. Or notre avenir sur des années va être fait d’absences. Je refuse de vivre ainsi.
- Pense à notre maison, nous y coulerons des jours heureux.
- Tu me promets le grand soir. C’est maintenant que je veux être heureux. Cette semaine a été désastreuse pour moi. Je ne supporterai pas cette vie sans toi. Il nous reste heureusement le week-end et les trois premiers jours de la semaine, sinon je vais craquer.
- Tu sais, on n’a rien sans rien. Je veux notre maison, notre mariage et nos enfants. Ca réclame quelques sacrifices. Ne grossis pas l’importance de mes absences.
- Moi, dans ces conditions, je te l’ai déjà dit, je préfère renoncer à la maison. Et si tu me fais vivre avec une femme fantôme, qui rentre à je ne sais quelle heure, qui fait chambre à part, je vais renoncer au mariage et à une vie commune qui n’en est plus une.
- Ah! Bon. Tu fais une dépression, tu exagères tout. Je n’ai pas voulu te réveiller, tu dormais si bien : c’est par amour que j’ai utilisé la chambre du fond. Et je m’en félicite puisque tu es fatigué et peut-être malade du cœur. Je suis désolée que tu le prennes comme ça. Veux-tu que je fasse moins d’heures?
- Je souhaite retrouver la vie que nous menions auparavant.
- C’est que j’ai un engagement de trois mois. Et je dois travailler aujourd’hui de 17 à 24 heures. On m’a même proposé 4 heures le dimanche de 20 à 24 heures en remplacement d’une collègue grippée. On ne peut pas laisser ces pauvres dames toutes seules, tu devrais comprendre.
- J’admire ta conscience professionnelle. Je constate que tu tiens à ton activité nocturne plus que tout. Dimanche quand tu rentreras épuisée d’avoir torché les mémés, de t’être prêtée à leurs fantaisies extrêmes, au moment de rejoindre la chambre du fond, tu auras théoriquement turbiné 24 heures en 4 nuits. Je connais le tarif horaire, tu auras gagné 9€ fois 24 donc 216 euros.
- C’est appréciable non ?
- A ce tarif là il te faudra au moins quinze ans pour te payer une petite maison. Quinze années pendant lesquelles tu m’auras privé de ta présence 4 jours et quatre nuits par semaine. Compte tenu de ma maladie supposée par le généraliste mais non avérée, cela ne te paraît pas déterminant.
- Mais je ne table pas sur cette maladie passagère. J’espère bien te voir guérir très vite
- Admettons que l’électrocardiogramme ne trouve rien et que moyennant quelque fortifiant, je retrouve ma forme, je vais vivre 96 heures par semaine sans toi, sans te voir, sans te parler, pour te retrouver ménopausée dans 15 ans, usée par l’activité débordante à laquelle tu te consacres à fond, sans lésiner et sans rechigner, avec une furie missionnaire. Faudra-t-il que je me soulage seul ou que je trouve une brave fille disposée à assurer l’intérim.
- Essaie de me remplacer, si tu veux me fâcher. C’est du chantage? Tu délires, je fais simplement le travail pour lequel je suis payée.
- Si mal payée que je ne comprends pas pourquoi tu livres ainsi ton corps et ton énergie. Quoi qu’il en soit, je te laisse jusqu’à jeudi soir à 17 heures pour cesser cette activité ou pour quitter un homme malade qui risque de devenir une charge pour toi.
- Quoi, tu ne m’aimes plus? Tu veux te défaire de moi parce que je voulais t’aider. Tu veux me faire rompre mon contrat. Tu ne m’aimes plus? Ce n’est pas juste. Je ne t’ai manqué qu’une semaine, tu en fais tout un plat. Je suis prête à te faire l’amour du samedi au mercredi. Pour cela, tu dois retrouver une bonne santé. Ne m’accuse pas de ta défaillance dont je souffre aussi. Si tu n’as pas de relation sexuelle, j’en suis privée également et ce n’est pas de mon fait.
- Les associations, que je sache, embauchent pour une période probatoire avec possibilité de rompre cette période à tout moment. Montre-moi ton contrat, je vais le vérifier.
- C’est que… J’ai signé le contrat, mais je n’ai pas encore reçu mon exemplaire.
- C’est une grave anomalie. Je vais devoir me mêler de tes affaires pour protéger tes droits. Donne-moi leur adresse, j’irai les voir dans l’après-midi
- Inutile les bureaux sont fermés jusqu’à lundi et lundi j’aurai mes papiers. S’il te plaît, mon amour, ne fais pas un scandale inutile. Ne me crée pas une mauvaise réputation sur le marché du travail.
- Enfin tu sais à quoi t’en tenir. Si tu as l’intention de continuer à te refuser à moi 96 heures consécutives par semaine, il y a anguille sous roche. Ta résistance est un signe de ton peu d’intérêt pour moi et de l’apparition dans ta vie d’un autre homme: c’est ma conclusion.
- Tu ne crois pas ce que tu dis ? Ce n’est pas possible. Sur quel ton faut-il te dire mon amour?
- Tu ne veux pas me prendre au sérieux. Très bien. Ne me cherche pas vendredi matin, je ne serai plus là.
- Tout ça parce que je fais des ménages. Mais je t’aime comme une folle.
- Va dire ça à d’autres. Le sujet est clos.
- Je peux au moins terminer ma semaine?
- Puisque tu y prends autant de plaisir, fais comme il te plaira. Dès ce soir je quitte les lieux. Je passerai jeudi à 17 heures pour avoir ta réponse.
- Est-ce que je peux prendre la voiture?
- Elle est à mon nom. J’en aurai besoin pour déménager après ton départ pour ton sale travail. Je regrette. Veux-tu que je te dépose au pied de l’immeuble où tu débutes, tu pourrais me faire connaître ta première employeuse.
- Non, merci, je vais apprendre à marcher. C’est excellent pour la ligne. Je dois m’entretenir pour pouvoir te remplacer si tu me quittes. Et où vas-tu?
- A l’hôtel pour débuter, je vais y dépenser l’équivalent de ce que tu auras gagné en une semaine à récurer les objets les plus répugnants, à te rouler sur les peaux de bêtes des vieilles dames. Selon ta décision, j’aviserai jeudi pour la suite.
- Je t’en supplie, ne fais pas ça. Tu me désespères.
- On ne dirait pas. Tu me donnes l’impression de te moquer de moi. Tu me mets en concurrence. Je ne l’admets pas. Tu es jeune, solide, belle : tu trouveras vite un remplaçant en bonne santé et plus tolérant que moi.
Je suis descendu dans mon bureau. Porte fermée à clé, insensible aux pleurs et objurgations de la menteuse, j’ai mis mon imprimante en route pour tirer sur papier les photos de Patricia prétendue femme de ménage. Sans voiture, elle a quitté la maison à seize heures après de dernières supplications inutiles.
J’ai rempli mon coffre du nécessaire pour tenir une semaine loin de ma base, mis à l’abri mon chéquier, ma carte bancaire, mon compte en banque: Claude et sa bande ne pourront pas obliger Pat à y prélever de prétendues indemnités. J’ai empoché les clés des trois portes: entrée, garage et cave.
Dans une enveloppe j’ai glissé une photo avec des encouragements au dos
« Tu es belle, bonne. Continue, nous t’avons reconnue. C’est un plaisir. Tu es douée. Tes voisins »
J’en ai rempli plusieurs autres, soit à notre adresse, soit destinées à lui être remises à son poste de travail, lundi, mardi , mercredi. Mon but est d’exercer une pression pour l’amener à réfléchir à sa dernière entreprise. Si elle persiste, il sera évident qu’elle ne m’aime plus et qu’elle préfère ce job ignoble à mes yeux. Je pourrai la quitter sans regret.
Le lundi, le mardi et le mercredi elle a essayé de me joindre au travail. Invariablement on lui a répondu que j’étais en déplacement. Ma secrétaire en a aussitôt conclu à une séparation. Si je cherche une consolation elle attendra un signe. Ca met du baume au cœur.
Pendant la visite médicale chez mon généraliste, le médecin m’a trouvé triste, a cherché à savoir si j’avais de gros soucis professionnels ou familiaux, s’est inquiété de mon manque de ressort et m’a pris un rendez-vous chez un cardiologue dans un mois. L’ordonnance est restée sur la table de cuisine pendant que je préparais le repas de midi. C’est la première chose que Patricia a remarquée en revenant de sa grande surface.
- Mon chéri adoré, tu ne vas pas bien. C’est grave?
- Non, une grosse fatigue, le docteur veut se rassurer et me recommande de limiter au maximum les efforts jusqu’au résultat de l’électrocardiogramme.
J’en ai rajouté. Je ne tiens plus à passer après ses servants professionnels dans ce vagin devenu public en salon privé. Quelle conduite vais-je adopter avec Patricia. Je me laisse le temps de la réflexion. Je ne crois plus guère en son amour.
- Mais alors, est-ce que nous pouvons continuer à nous aimer?
- Comme nous l’avons fait hier et avant-hier, certainement. Nous ne nous sommes pas vus depuis mercredi soir et nous n’avons pas fait l’amour depuis lundi. Donc ma fatigue ne doit rien à des excès au lit : tu prends toutes les précautions pour me mettre à l’abri d’un infarctus ! Tu ne dois pas te sentir coupable de ma fatigue, puisque tu n’as plus de temps à me consacrer. Je sentais bien que ce nouveau travail allait nous éloigner.
- Mais mon amour tu sais que c’est pour la bonne cause. Comme je tiens par-dessus tout à ta santé, je ne serai pas exigeante pendant ce mois.
- Ne crains-tu pas de trop te fatiguer toi-même et de mettre ta propre santé en danger?
- Je suis solide et quand je fais un travail avec plaisir, je ne ressens pas la fatigue.
- Mais encore, suis-je condamné à ne plus te rencontrer du mercredi au samedi ? Même si je dois prendre des précautions, que me reste-t-il de nous si je ne te vois plus. J’adore faire l’amour avec toi. N’y a-t-il rien d’autre entre nous ? Cette autre chose disparaît si nous ne nous rencontrons plus. Or notre avenir sur des années va être fait d’absences. Je refuse de vivre ainsi.
- Pense à notre maison, nous y coulerons des jours heureux.
- Tu me promets le grand soir. C’est maintenant que je veux être heureux. Cette semaine a été désastreuse pour moi. Je ne supporterai pas cette vie sans toi. Il nous reste heureusement le week-end et les trois premiers jours de la semaine, sinon je vais craquer.
- Tu sais, on n’a rien sans rien. Je veux notre maison, notre mariage et nos enfants. Ca réclame quelques sacrifices. Ne grossis pas l’importance de mes absences.
- Moi, dans ces conditions, je te l’ai déjà dit, je préfère renoncer à la maison. Et si tu me fais vivre avec une femme fantôme, qui rentre à je ne sais quelle heure, qui fait chambre à part, je vais renoncer au mariage et à une vie commune qui n’en est plus une.
- Ah! Bon. Tu fais une dépression, tu exagères tout. Je n’ai pas voulu te réveiller, tu dormais si bien : c’est par amour que j’ai utilisé la chambre du fond. Et je m’en félicite puisque tu es fatigué et peut-être malade du cœur. Je suis désolée que tu le prennes comme ça. Veux-tu que je fasse moins d’heures?
- Je souhaite retrouver la vie que nous menions auparavant.
- C’est que j’ai un engagement de trois mois. Et je dois travailler aujourd’hui de 17 à 24 heures. On m’a même proposé 4 heures le dimanche de 20 à 24 heures en remplacement d’une collègue grippée. On ne peut pas laisser ces pauvres dames toutes seules, tu devrais comprendre.
- J’admire ta conscience professionnelle. Je constate que tu tiens à ton activité nocturne plus que tout. Dimanche quand tu rentreras épuisée d’avoir torché les mémés, de t’être prêtée à leurs fantaisies extrêmes, au moment de rejoindre la chambre du fond, tu auras théoriquement turbiné 24 heures en 4 nuits. Je connais le tarif horaire, tu auras gagné 9€ fois 24 donc 216 euros.
- C’est appréciable non ?
- A ce tarif là il te faudra au moins quinze ans pour te payer une petite maison. Quinze années pendant lesquelles tu m’auras privé de ta présence 4 jours et quatre nuits par semaine. Compte tenu de ma maladie supposée par le généraliste mais non avérée, cela ne te paraît pas déterminant.
- Mais je ne table pas sur cette maladie passagère. J’espère bien te voir guérir très vite
- Admettons que l’électrocardiogramme ne trouve rien et que moyennant quelque fortifiant, je retrouve ma forme, je vais vivre 96 heures par semaine sans toi, sans te voir, sans te parler, pour te retrouver ménopausée dans 15 ans, usée par l’activité débordante à laquelle tu te consacres à fond, sans lésiner et sans rechigner, avec une furie missionnaire. Faudra-t-il que je me soulage seul ou que je trouve une brave fille disposée à assurer l’intérim.
- Essaie de me remplacer, si tu veux me fâcher. C’est du chantage? Tu délires, je fais simplement le travail pour lequel je suis payée.
- Si mal payée que je ne comprends pas pourquoi tu livres ainsi ton corps et ton énergie. Quoi qu’il en soit, je te laisse jusqu’à jeudi soir à 17 heures pour cesser cette activité ou pour quitter un homme malade qui risque de devenir une charge pour toi.
- Quoi, tu ne m’aimes plus? Tu veux te défaire de moi parce que je voulais t’aider. Tu veux me faire rompre mon contrat. Tu ne m’aimes plus? Ce n’est pas juste. Je ne t’ai manqué qu’une semaine, tu en fais tout un plat. Je suis prête à te faire l’amour du samedi au mercredi. Pour cela, tu dois retrouver une bonne santé. Ne m’accuse pas de ta défaillance dont je souffre aussi. Si tu n’as pas de relation sexuelle, j’en suis privée également et ce n’est pas de mon fait.
- Les associations, que je sache, embauchent pour une période probatoire avec possibilité de rompre cette période à tout moment. Montre-moi ton contrat, je vais le vérifier.
- C’est que… J’ai signé le contrat, mais je n’ai pas encore reçu mon exemplaire.
- C’est une grave anomalie. Je vais devoir me mêler de tes affaires pour protéger tes droits. Donne-moi leur adresse, j’irai les voir dans l’après-midi
- Inutile les bureaux sont fermés jusqu’à lundi et lundi j’aurai mes papiers. S’il te plaît, mon amour, ne fais pas un scandale inutile. Ne me crée pas une mauvaise réputation sur le marché du travail.
- Enfin tu sais à quoi t’en tenir. Si tu as l’intention de continuer à te refuser à moi 96 heures consécutives par semaine, il y a anguille sous roche. Ta résistance est un signe de ton peu d’intérêt pour moi et de l’apparition dans ta vie d’un autre homme: c’est ma conclusion.
- Tu ne crois pas ce que tu dis ? Ce n’est pas possible. Sur quel ton faut-il te dire mon amour?
- Tu ne veux pas me prendre au sérieux. Très bien. Ne me cherche pas vendredi matin, je ne serai plus là.
- Tout ça parce que je fais des ménages. Mais je t’aime comme une folle.
- Va dire ça à d’autres. Le sujet est clos.
- Je peux au moins terminer ma semaine?
- Puisque tu y prends autant de plaisir, fais comme il te plaira. Dès ce soir je quitte les lieux. Je passerai jeudi à 17 heures pour avoir ta réponse.
- Est-ce que je peux prendre la voiture?
- Elle est à mon nom. J’en aurai besoin pour déménager après ton départ pour ton sale travail. Je regrette. Veux-tu que je te dépose au pied de l’immeuble où tu débutes, tu pourrais me faire connaître ta première employeuse.
- Non, merci, je vais apprendre à marcher. C’est excellent pour la ligne. Je dois m’entretenir pour pouvoir te remplacer si tu me quittes. Et où vas-tu?
- A l’hôtel pour débuter, je vais y dépenser l’équivalent de ce que tu auras gagné en une semaine à récurer les objets les plus répugnants, à te rouler sur les peaux de bêtes des vieilles dames. Selon ta décision, j’aviserai jeudi pour la suite.
- Je t’en supplie, ne fais pas ça. Tu me désespères.
- On ne dirait pas. Tu me donnes l’impression de te moquer de moi. Tu me mets en concurrence. Je ne l’admets pas. Tu es jeune, solide, belle : tu trouveras vite un remplaçant en bonne santé et plus tolérant que moi.
Je suis descendu dans mon bureau. Porte fermée à clé, insensible aux pleurs et objurgations de la menteuse, j’ai mis mon imprimante en route pour tirer sur papier les photos de Patricia prétendue femme de ménage. Sans voiture, elle a quitté la maison à seize heures après de dernières supplications inutiles.
J’ai rempli mon coffre du nécessaire pour tenir une semaine loin de ma base, mis à l’abri mon chéquier, ma carte bancaire, mon compte en banque: Claude et sa bande ne pourront pas obliger Pat à y prélever de prétendues indemnités. J’ai empoché les clés des trois portes: entrée, garage et cave.
Dans une enveloppe j’ai glissé une photo avec des encouragements au dos
« Tu es belle, bonne. Continue, nous t’avons reconnue. C’est un plaisir. Tu es douée. Tes voisins »
J’en ai rempli plusieurs autres, soit à notre adresse, soit destinées à lui être remises à son poste de travail, lundi, mardi , mercredi. Mon but est d’exercer une pression pour l’amener à réfléchir à sa dernière entreprise. Si elle persiste, il sera évident qu’elle ne m’aime plus et qu’elle préfère ce job ignoble à mes yeux. Je pourrai la quitter sans regret.
Le lundi, le mardi et le mercredi elle a essayé de me joindre au travail. Invariablement on lui a répondu que j’étais en déplacement. Ma secrétaire en a aussitôt conclu à une séparation. Si je cherche une consolation elle attendra un signe. Ca met du baume au cœur.
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