La suite d'Aurèle, incommensurable belle
Récit érotique écrit par VIEULOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-05-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La suite d'Aurèle, incommensurable belle
LA SUITE D’AURELE, INCOMMENSURABLE BELLE
Au château de Mordacq, lors d’une soirée mondaine, je fais la connaissance fortuite d’une douairière sans âge, mère de la comtesse qui nous reçoit ce soir. Aurèle de Rebval est une femme superbe, qui a un corps svelte et bien proportionné, un visage fin et aristocratique ne laissant apercevoir que de très rares traces de rides. Elle a de plus des yeux d’un bleu mauve magnifique. Je lui fais une cour éhontée et savoure sa bouche longuement. La retroussant dans les jardins de la propriété, je la fais jouir de mes doigts et de mes lèvres jusqu’à ce qu’elle m’entraine dans la « Folie » qui jouxte le château.
La belle duchesse se lève alors et m'entraîne au premier étage. Nous nous retrouvons dans une vaste chambre où trône, presque au milieu de la pièce, un immense lit à baldaquin de style Louis XV, recouvert de brocart et garni tout autour de tissus enchevêtrés en voile de soie et dentelles, alors que des tentures du même brocart peuvent refermer entièrement ce lit pour en faire le lupanar le plus discret possible. Aurèle s'approchant d'un secrétaire d'époque, l'ouvre et actionne la commande d'une chaîne audio, tandis que la petite musique de nuit de Mozart se répand dans la pièce. Elle se sert également de la même télécommande pour tamiser les lumières de la chambre. Puis, venant vers moi, elle m'enlace et me souffle dans l'oreille :
- Déshabillez-moi mon cher, je n'aspire qu'à être nue et à vibrer entre vos bras.
Tout en l'embrassant, je fais glisser les bretelles de sa robe de soirée, découvrant sa poitrine généreuse que je caresse avec douceur, englobant les mamelons dans le creux de mes mains, puis agaçant les tétons turgescents de deux doigts réunis. La belle duchesse gémit et entoure mon cou de ses deux bras, me laissant toute liberté pour disposer de son corps. Je fais glisser la fermeture de sa robe qui se trouve entre son décolleté et le bas de son dos, puis je laisse tomber sa robe sur le sol. M'accroupissant, je contemple ses bas et son porte-jarretelles de couleur miel qui mettent en valeur ses cuisses et ses longues jambes fuselées. Surtout que, campée ainsi devant moi et toujours juchée sur ses escarpins à talons très hauts, elle m'offre impudiquement le renflement légèrement rebondi de son bas-ventre, me permettant cette fois de détailler sa chatte qui se trouve à quelques centimètres de mes yeux. Les grandes lèvres ourlent délicatement son vagin qui s'est entrouvert depuis que je l'ai sollicité, il y a peu. L'intérieur rouge-orangé est luisant et palpite d'excitation. Le capuchon du clitoris est gonflé, preuve s'il en est que son petit organe bande furieusement. Le pourtour de sa chatte est entièrement épilé, mettant en valeur son pubis recouvert d'un fin duvet composé d'une légère fourrure brun et gris qui frisotte quelque peu. Je caresse la rondeur de son petit ventre avec une grande satisfaction, laissant mes lèvres le parcourir jusqu'à sa vulve dont je hume le parfum poivré qui s'en dégage. Puis, me redressant, je passe une main dans son dos et l'autre en dessous de ses fesses et, la soulevant dans mes bras, je la dépose sur le lit.
Pendant qu'elle dégage le dessus-de-lit en brocart et qu'elle met à jour les draps, j'en profite pour enlever rapidement mes vêtements que je pose sur un fauteuil. C'est complètement nu, ma verge pointant en avant que je m'approche du lit ducal. La nature m'a pourvu généreusement, car Aurèle contemple avec avidité le bâton de chair qui va bientôt fouiller profondément son puits d'amour si délicat. Elle le prend entre ses doigts fins et m'attire sur le lit où je m'agenouille. Elle fait aller sa main qui enserre ma verge, faisant glisser la peau du prépuce en le retroussant pour dégager le gland.
Puis, avançant ses lèvres qu'elle entrouvre, elle gobe savoureusement le bâton de chair qu'elle engloutit jusqu'au fond de sa gorge. Je suis surpris qu'une femme de cet âge puisse pratiquer une gorge profonde, ce que beaucoup de femmes plus jeunes n'acceptent qu'avec une grande réticence, ou même refusent tout simplement. Tout en pompant délicieusement ma queue, elle n'oublie pas de se servir de sa langue pour lécher soigneusement la tige et le gland, titillant avec la pointe de sa langue le méat urinaire si sensible. Je la laisse me faire cette fellation délectable durant une dizaine de minutes, puis, me retirant, je lui prends ses lèvres et je l'embrasse avec toute la tendresse que je peux lui donner.
Je me glisse à côté d'elle et l'enlace tout en continuant mon baiser. Mes mains ne restent pas inactives, caressant son visage, ses épaules, son dos et m'aventurant sur ses seins. Ils sont majestueux et pesants, d'une blancheur de porcelaine striée de veinules bleues très troublantes. Ses mamelons très foncés et gonflés ne sont même pas granuleux comme souvent sur les femmes matures. Les tétons, provocants tellement ils sont érectiles, sont très longs et d'un brun rougeâtre, ils attirent d'abord mes doigts, qui les pincent et les tordent en tous sens chacun leur tour, faisant gémir l'admirable femme que j'ai bien l'intention de baiser toute la nuit.
Puis, quittant sa bouche, mes lèvres s'emparent d'un des bourgeons, que j'agace avec ma langue, puis, je le suce ardemment, tout en pétrissant de la main le globe diaphane, faisant gémir ma partenaire de plaisir et de douleur mélangés.
Aurèle pendant que je m'occupe de ses provocantes mamelles ne reste pas inactive, elle me caresse et me branle la queue, palpant aussi mes bourses avec une grande légèreté. Je quitte enfin la poitrine imposante de la duchesse pour me glisser entre ses jambes afin d'admirer les cuisses d'albâtre qui donnent accès à la fourche merveilleuse qui est le centre du monde de la femme. Je prends le temps de détailler le mont de vénus où la vulve est bordée d'un liseré de poils gris et brun, accentuant encore la beauté de la conque émouvante que je vais bientôt transpercer. Je caresse ses jambes et ses cuisses, faisant des circonvolutions sur la peau immaculée, vierge de toute vergeture. Mes doigts palpent chaque aine, faisant frémir le corps sous mes attouchements indécents. Mes doigts frôlent le bas-ventre jusqu'au pubis, survolent la vulve sans la toucher alors qu'Aurèle se soulève presque au-devant de ma main, quémandant en silence que je n'effleure pas seulement son intimité, mais que je veuille bien fouiller ses parties intimes. Je sens son corps frétiller de toute part, aussi, lorsque mes doigts palpent délicatement la vulve qui s'entrouvre, Aurèle ne peut s'empêcher de gémir :
- Je vous en prie, Jacques, mes sens sont bouleversés, vos caresses sont délicieuses, mais branlez-moi ! Je n'en peux plus – vous êtes diabolique...
J'empoigne alors son sexe avec vigueur, crochetant mes doigts dans ses lèvres et dans son vagin, la faisant hurler :
- Ahhhhhhh... Oui ! Fais-moi mal ! Torture mon minou ! Je jouis.... Ouiiiiiiiii....
Après quelques longues secondes de torture manuelle, je relâche la pression et je lèche la vulve, les grandes lèvres et l'intérieur du vagin martyrisé. La cyprine s'écoule abondamment de la chatte, confirmant le plaisir que ressent ma belle duchesse. J'attaque alors le capuchon de son clitoris, prenant l'ensemble entre mes lèvres, me gardant bien de toucher au bouton d'amour, certainement trop sensible à cet instant et pouvant bloquer ses orgasmes. C'est alors que me relevant à moitié, je glisse mon pénis aux bords des grandes lèvres et que je fais aller mon gland turgescent de l'entrée du puits d'amour jusqu'au clitoris. Aurèle halète à cette masturbation incongrue, jusqu'à ce qu'elle me supplie :
- Fous-moi, entre ton vit dans ma chatte, je t'en supplie, viens au fond de moi. Je n'en peux plus d'attendre. Tu es un monstre !
J'attends encore un peu, puis, par de petites saccades, je me fraie un passage dans les muqueuses bavant de mouille, puis, d'un seul coup, je perfore le vagin et m'enfonce jusqu'à la garde dans le conduit brûlant de ma partenaire. Aurèle vient pour la deuxième ou plus probablement la troisième fois d'avoir un orgasme fulgurant, la faisant trembler de tout son corps. Je la couvre de baisers pour apaiser la jouissance intense qu'elle vient d'éprouver. Puis, je me retire et m'enfonce alternativement dans le con qui enserre ma queue étroitement, d'abord doucement, puis par moment brutalement, ma pine touchant le col de l'utérus, pour revenir à des petits à coups, ne la laissant jamais en repos, ni sur le même rythme. Aurèle divague en poussant de petits cris, le plaisir qu'elle ressent est certainement incommensurable. Elle a noué ses jolies jambes autour de mon torse et elle se projette de tout son bassin au-devant de ma queue qui fourrage dans sa conque béante de plus en plus rapidement. Je ne veux pas décharger avant que son orgasme se déclenche, aussi, je retiens ma sève le plus possible jusqu'au moment où la femme que je baise comme un endiablé se laisse emporter par la jouissance :
- Ahhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiii ! Oh ! Mon Dieu je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiii....
Je me laisse aller, libérant mon foutre qui gicle au fond de la matrice de la douairière. Celle-ci, m'embrasse langoureusement et me dit :
- Jacques, vous m'avez comblé, merci. Je ne me souviens pas avoir joui autant de toute ma vie. Vous êtes un jouteur redoutable. Quel talent ! Vous êtes un homme à femmes, maintenant, j'en suis certaine. Pourrais-je vous demander une faveur ? Voulez-vous rester encore un peu avec moi. J'ai envie de me blottir dans vos bras.
- Mais ma Chère, je compte bien passer la nuit avec vous si vous m'acceptez. Et vous faire encore l'amour deux ou trois fois si vous n'êtes pas trop fatiguée !
Aurèle se love contre moi, me faisant des petits bécots sur ma poitrine et dans mon cou, se faisant chatte comme toute femme amoureuse.
Au château de Mordacq, lors d’une soirée mondaine, je fais la connaissance fortuite d’une douairière sans âge, mère de la comtesse qui nous reçoit ce soir. Aurèle de Rebval est une femme superbe, qui a un corps svelte et bien proportionné, un visage fin et aristocratique ne laissant apercevoir que de très rares traces de rides. Elle a de plus des yeux d’un bleu mauve magnifique. Je lui fais une cour éhontée et savoure sa bouche longuement. La retroussant dans les jardins de la propriété, je la fais jouir de mes doigts et de mes lèvres jusqu’à ce qu’elle m’entraine dans la « Folie » qui jouxte le château.
La belle duchesse se lève alors et m'entraîne au premier étage. Nous nous retrouvons dans une vaste chambre où trône, presque au milieu de la pièce, un immense lit à baldaquin de style Louis XV, recouvert de brocart et garni tout autour de tissus enchevêtrés en voile de soie et dentelles, alors que des tentures du même brocart peuvent refermer entièrement ce lit pour en faire le lupanar le plus discret possible. Aurèle s'approchant d'un secrétaire d'époque, l'ouvre et actionne la commande d'une chaîne audio, tandis que la petite musique de nuit de Mozart se répand dans la pièce. Elle se sert également de la même télécommande pour tamiser les lumières de la chambre. Puis, venant vers moi, elle m'enlace et me souffle dans l'oreille :
- Déshabillez-moi mon cher, je n'aspire qu'à être nue et à vibrer entre vos bras.
Tout en l'embrassant, je fais glisser les bretelles de sa robe de soirée, découvrant sa poitrine généreuse que je caresse avec douceur, englobant les mamelons dans le creux de mes mains, puis agaçant les tétons turgescents de deux doigts réunis. La belle duchesse gémit et entoure mon cou de ses deux bras, me laissant toute liberté pour disposer de son corps. Je fais glisser la fermeture de sa robe qui se trouve entre son décolleté et le bas de son dos, puis je laisse tomber sa robe sur le sol. M'accroupissant, je contemple ses bas et son porte-jarretelles de couleur miel qui mettent en valeur ses cuisses et ses longues jambes fuselées. Surtout que, campée ainsi devant moi et toujours juchée sur ses escarpins à talons très hauts, elle m'offre impudiquement le renflement légèrement rebondi de son bas-ventre, me permettant cette fois de détailler sa chatte qui se trouve à quelques centimètres de mes yeux. Les grandes lèvres ourlent délicatement son vagin qui s'est entrouvert depuis que je l'ai sollicité, il y a peu. L'intérieur rouge-orangé est luisant et palpite d'excitation. Le capuchon du clitoris est gonflé, preuve s'il en est que son petit organe bande furieusement. Le pourtour de sa chatte est entièrement épilé, mettant en valeur son pubis recouvert d'un fin duvet composé d'une légère fourrure brun et gris qui frisotte quelque peu. Je caresse la rondeur de son petit ventre avec une grande satisfaction, laissant mes lèvres le parcourir jusqu'à sa vulve dont je hume le parfum poivré qui s'en dégage. Puis, me redressant, je passe une main dans son dos et l'autre en dessous de ses fesses et, la soulevant dans mes bras, je la dépose sur le lit.
Pendant qu'elle dégage le dessus-de-lit en brocart et qu'elle met à jour les draps, j'en profite pour enlever rapidement mes vêtements que je pose sur un fauteuil. C'est complètement nu, ma verge pointant en avant que je m'approche du lit ducal. La nature m'a pourvu généreusement, car Aurèle contemple avec avidité le bâton de chair qui va bientôt fouiller profondément son puits d'amour si délicat. Elle le prend entre ses doigts fins et m'attire sur le lit où je m'agenouille. Elle fait aller sa main qui enserre ma verge, faisant glisser la peau du prépuce en le retroussant pour dégager le gland.
Puis, avançant ses lèvres qu'elle entrouvre, elle gobe savoureusement le bâton de chair qu'elle engloutit jusqu'au fond de sa gorge. Je suis surpris qu'une femme de cet âge puisse pratiquer une gorge profonde, ce que beaucoup de femmes plus jeunes n'acceptent qu'avec une grande réticence, ou même refusent tout simplement. Tout en pompant délicieusement ma queue, elle n'oublie pas de se servir de sa langue pour lécher soigneusement la tige et le gland, titillant avec la pointe de sa langue le méat urinaire si sensible. Je la laisse me faire cette fellation délectable durant une dizaine de minutes, puis, me retirant, je lui prends ses lèvres et je l'embrasse avec toute la tendresse que je peux lui donner.
Je me glisse à côté d'elle et l'enlace tout en continuant mon baiser. Mes mains ne restent pas inactives, caressant son visage, ses épaules, son dos et m'aventurant sur ses seins. Ils sont majestueux et pesants, d'une blancheur de porcelaine striée de veinules bleues très troublantes. Ses mamelons très foncés et gonflés ne sont même pas granuleux comme souvent sur les femmes matures. Les tétons, provocants tellement ils sont érectiles, sont très longs et d'un brun rougeâtre, ils attirent d'abord mes doigts, qui les pincent et les tordent en tous sens chacun leur tour, faisant gémir l'admirable femme que j'ai bien l'intention de baiser toute la nuit.
Puis, quittant sa bouche, mes lèvres s'emparent d'un des bourgeons, que j'agace avec ma langue, puis, je le suce ardemment, tout en pétrissant de la main le globe diaphane, faisant gémir ma partenaire de plaisir et de douleur mélangés.
Aurèle pendant que je m'occupe de ses provocantes mamelles ne reste pas inactive, elle me caresse et me branle la queue, palpant aussi mes bourses avec une grande légèreté. Je quitte enfin la poitrine imposante de la duchesse pour me glisser entre ses jambes afin d'admirer les cuisses d'albâtre qui donnent accès à la fourche merveilleuse qui est le centre du monde de la femme. Je prends le temps de détailler le mont de vénus où la vulve est bordée d'un liseré de poils gris et brun, accentuant encore la beauté de la conque émouvante que je vais bientôt transpercer. Je caresse ses jambes et ses cuisses, faisant des circonvolutions sur la peau immaculée, vierge de toute vergeture. Mes doigts palpent chaque aine, faisant frémir le corps sous mes attouchements indécents. Mes doigts frôlent le bas-ventre jusqu'au pubis, survolent la vulve sans la toucher alors qu'Aurèle se soulève presque au-devant de ma main, quémandant en silence que je n'effleure pas seulement son intimité, mais que je veuille bien fouiller ses parties intimes. Je sens son corps frétiller de toute part, aussi, lorsque mes doigts palpent délicatement la vulve qui s'entrouvre, Aurèle ne peut s'empêcher de gémir :
- Je vous en prie, Jacques, mes sens sont bouleversés, vos caresses sont délicieuses, mais branlez-moi ! Je n'en peux plus – vous êtes diabolique...
J'empoigne alors son sexe avec vigueur, crochetant mes doigts dans ses lèvres et dans son vagin, la faisant hurler :
- Ahhhhhhh... Oui ! Fais-moi mal ! Torture mon minou ! Je jouis.... Ouiiiiiiiii....
Après quelques longues secondes de torture manuelle, je relâche la pression et je lèche la vulve, les grandes lèvres et l'intérieur du vagin martyrisé. La cyprine s'écoule abondamment de la chatte, confirmant le plaisir que ressent ma belle duchesse. J'attaque alors le capuchon de son clitoris, prenant l'ensemble entre mes lèvres, me gardant bien de toucher au bouton d'amour, certainement trop sensible à cet instant et pouvant bloquer ses orgasmes. C'est alors que me relevant à moitié, je glisse mon pénis aux bords des grandes lèvres et que je fais aller mon gland turgescent de l'entrée du puits d'amour jusqu'au clitoris. Aurèle halète à cette masturbation incongrue, jusqu'à ce qu'elle me supplie :
- Fous-moi, entre ton vit dans ma chatte, je t'en supplie, viens au fond de moi. Je n'en peux plus d'attendre. Tu es un monstre !
J'attends encore un peu, puis, par de petites saccades, je me fraie un passage dans les muqueuses bavant de mouille, puis, d'un seul coup, je perfore le vagin et m'enfonce jusqu'à la garde dans le conduit brûlant de ma partenaire. Aurèle vient pour la deuxième ou plus probablement la troisième fois d'avoir un orgasme fulgurant, la faisant trembler de tout son corps. Je la couvre de baisers pour apaiser la jouissance intense qu'elle vient d'éprouver. Puis, je me retire et m'enfonce alternativement dans le con qui enserre ma queue étroitement, d'abord doucement, puis par moment brutalement, ma pine touchant le col de l'utérus, pour revenir à des petits à coups, ne la laissant jamais en repos, ni sur le même rythme. Aurèle divague en poussant de petits cris, le plaisir qu'elle ressent est certainement incommensurable. Elle a noué ses jolies jambes autour de mon torse et elle se projette de tout son bassin au-devant de ma queue qui fourrage dans sa conque béante de plus en plus rapidement. Je ne veux pas décharger avant que son orgasme se déclenche, aussi, je retiens ma sève le plus possible jusqu'au moment où la femme que je baise comme un endiablé se laisse emporter par la jouissance :
- Ahhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiii ! Oh ! Mon Dieu je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiii....
Je me laisse aller, libérant mon foutre qui gicle au fond de la matrice de la douairière. Celle-ci, m'embrasse langoureusement et me dit :
- Jacques, vous m'avez comblé, merci. Je ne me souviens pas avoir joui autant de toute ma vie. Vous êtes un jouteur redoutable. Quel talent ! Vous êtes un homme à femmes, maintenant, j'en suis certaine. Pourrais-je vous demander une faveur ? Voulez-vous rester encore un peu avec moi. J'ai envie de me blottir dans vos bras.
- Mais ma Chère, je compte bien passer la nuit avec vous si vous m'acceptez. Et vous faire encore l'amour deux ou trois fois si vous n'êtes pas trop fatiguée !
Aurèle se love contre moi, me faisant des petits bécots sur ma poitrine et dans mon cou, se faisant chatte comme toute femme amoureuse.
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