La touze du 31
Récit érotique écrit par Akileditu [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-01-2018 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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La touze du 31
Samedi 30décembre, 19 heures. Coup de sonnette. C’est Paulo. Ce n’était pas une surprise car il avait annoncé sa venue. Comme à chaque fois, on se jette l’un sur l’autre et on se dévore. Mais, bizarrement, cette fois, Paulo met un STOP à nos ébats qui commencent.
« -Be patient. Tomorrow, it will be a surprise for you and you will need all your strength. So, if possible, no fuck today ?
-… ???? Are you sure we’ll hold on, untill tomorrow ?
-We will try…No ?
-As you want. »
Ca n’empêche pas les bisous, les caresses, la douche à deux. Finalement, on bande tous les deux tout le temps comme des ânes mais on essaie de tenir jusqu’à demain ! On va très mal dormir car, bien sûr, on est super excité tous les deux. On passera la nuit à se caresser, se lécher, se sucer, sans jouir.
« -Finally, may be, it was not a good idea ! »
Le 31, il me met quand même au parfum. Tous ceux qu’on connait et avec qui on a déjà baisé, vont venir pour une « soirée hot ». Y aura Ali, Slimane, Fabrice, Paul, Albin. Rémi n’était pas libre. Le tendre Rémi a peut être senti le coup venir…Peut être s’est-il demandé s’il serait à l’aise parmi tout ce sexe et il s’est fait porter pâle. C’est Paulo qui a pris tous les contacts. A 22 heures, on accueille tout le monde. Il souhaite la bienvenue à tous :
« -Guys ! I know you are all sex addicts, because we have all fucked together. It’s the reason why you are here. Welcome ! Take a max of pleasure !! Several times !!! » Paulo demande à ce qu’il n’y ait pas de photos sur les réseaux sociaux, à cause de son boulot. Tout le monde est OK. Puis il indique à tous où se trouvent le bar, le buffet, les lits, les godes, le gel, la douche….Tout est en libre accès.
« -Let the festivities begin ! »
« -Paulo, I present to you, Albin. A good masseur and a very good fucker too !
-Nice to meet you.
-Oh ! Jo exaggerates. But you couple is very very sweet, indeed !
-Thank’s. »
Pour montrer l’exemple, il se mit torse nu et pieds nus. Bientôt imité par tout le monde. C’était le dress code du moment. Dans la lueur vacillante des bougies, c’étai très beau de voir tous ces reflets sur ces torses musclés et affutés. Trop beau… Pour faire décoller l’ambiance, il servit à tous une capirinha plus que chargée et nous entraina tous dans une salsa endiablée. Comme nous n’étions que sept, les partenaires s’échangeaient sans arrêt. Tout le monde se disputait la chance de danser avec Paulo. Paulo est un vrai joyeux. Toujours souriant, toujours une blague aux lèvres, toujours à booster tout le monde. Une vraie crème. La conversation était très animée, l’alcool coulait à flots, la musique se déversait dans la rue par la fenêtre entrouverte.
« -Merci pour le spectacle que vous m’offrez presque tous les soirs ! ( voir « Trop chaud » P1 et 2 )
-You are welcome ! Tu sais bien que, si tu veux, tu peux toujours traverser la rue…
-Je sais, merci. Dommage qu’on ne puisse vous offrir la même chose tous les soirs ! «
C’est encore Paulo qi, le premier ôta son pantalon pour apparaître en maillot de bain immaculé, la bosse bien rebondie… A l’aise, en toutes circonstances. C’est l’essence même de son métier. Les mains se firent plus baladeuses, plus insistantes. Ali ne tarda pas à l’imiter. Son slip de bain rouge en jetait un max. Tous les autres se mirent en slips en un clin d’œil. Un festival de slips, tous plus beaux les uns que les autres.. Déjà, certains essayaient d’autres maillots de bain mis à disposition par Paulo. J’eus alors l’idée d’organiser un petit défilé rigolo. Paulo nous apprit à marcher comme les mannequins. Il faisait tout : le commentateur, le photographe, le public, la claque…On a bien rigolé. Ca a aussi été l’occasion de se frotter les uns aux autres lors des changements de slips et de redécouvrir nos bites. On reprit la danse. Je pus profiter d’un morceau entier collé serré avec Paulo. D’autres couples e formaient : Ali et Albin, Slimane et Fabrice. Paul filmait et photographiait. C’est alors que Paulo voulut offrir son corps aux caresses de l’assemblée. Mais, comme il met toujours une petite touche d’humour dans tout ce qu’il fait, il s’allongea sur le canapé et déposa plein de tous petits tas de crème chantilly à la bombe sur toutes les parties de son corps. On se précipita tous pour le nettoyer avec la bouche. Ali voulut l’imiter, mais sans la crème. Il s’allongea près de lui et attendit les caresses. Tous les deux avaient les mains baladeuses qui s’attardaient sur les slips de l’entourage. Ca y est. Les festival des caresses avait commencé. Brusquement, ça rigolait beaucoup moins. Ali était aux anges. Plusieurs mains fourrageaient dans son slip vermillon. Paulo n’en avait qu’une. La mienne. J’ai alors voulu leur offrir un petit cadeau de bienvenue à tous. J’ai dégagé le devant du maillot de bain de Paulo, sa bite s’est tendue et je l’ai proposée à la bouche de tout un chacun. Personne ne s’est fait prier ! Paulo a beaucoup aimé. Voyant ça, Ali a proposé la même prestation.. On ne savait plus où donner de la bouche ! Ca démarrait bien. La glace –si glace il y a eu- était rompue. On sentait bien que ce serait à celui qui proposerait le truc le plus délirant.
Je proposais à tout le monde, pour plus de confort, de rejoindre notre lit auquel Paulo avait accolé un canapé déplié. A l’aise ! Chacun avait encore gardé son slip ou son maillot de bain. Trop beaux tous ces slips ! Trop gonflés surtout ! On se disposa du mieux qu’on put pour que chacun ait quelque chose à se mettre en bouche. On n’entendait plus que de petits gémissements plus ou moins prononcés. Ca dura un sacré bon moment. Albin proposa alors de passer au côté pile. Chacun offrit alors sa raie à son Muuuuh ! Miam ! Trop trop bons ces petits coups de langue pointée qui essaient de vous pénétrer chaudement. Ali s’y prenait à merveille avec ma rondelle. Dommage, on changea de disposition pour changer de lécheur. Cette fois, c’était Fabrice qui me titillait. Il chercha à me passer un doigt, puis un coup de langue, puis un doigt…Paulo gémissait sévère. C’était Albin qui l’entreprenait. Trop fort, le kiné !
« Eh ! Ca fait un bail qu’on n’a pas bu, non ? »
Aussitôt dit, aussitôt fait. On regagna le salon. Nus mais bien bandés. Paulo nous gratifia chacun de deux cocktails de sa composition. Wouachhh ! Tout ça n’empêchait pas les frôlements, les caresses, les légers branles, les doigtages…Ali, de voir toutes ces bites dressées, ça le rendit fou. Ou alors, c’était les deux cocktails. Il se met à genoux, nous demande de nous mettre en cercle autour de lui, de ne surtout pas s’occuper de lui, de continuer à discuter, et le voilà qui se met à nous sucer tous l’un après l’autre, à toute vitesse. Ca fait rigoler tout le monde. Ca met aussi de l’électricité, de l’excitation, du sexe dans l’air. Faut dire qu’Ali a toujours été un merveilleux suceur. Y’a qu’à voir la tête de celui qui est sucé… Avec Slimane, ils sont les seuls à ne pas être rasés. Mais alors, question poils, ils sont servis. Même Albin s’y est mis depuis notre dernière baise. Je remarque que certains couples commencent à se former par affinités : Ali et Albin, Slimane et Fabrice…
Toujours au top, Paulo présente sa panoplie de godes et propose à tous de les essayer. Why not ? Chacun choisit son modèle Ali et Albin prennent le modèle à deux bouts. Le gel circule de mains en mains. On a formé un large cercle à cinq car Ali et Albin se régalent à deux. Ainsi chacun peut mettre et être mis. Doigtages, dilatations, soupirs, poussées, soupirs encore…Bientôt, on entend le glissement des godes qui vont et viennent dans les trous de chacun. Perso, c’est Paul qui me trombonne pendant que je m’occupe de Slimane ? Ca devient chaud. Ca soupire sérieux. En fait, on peut aussi voir ça comme une bonne préparation pour la suite, dans la joie et la bonne humeur !
Ali déclare alors qu’il adorerait se faire mettre par tous les bouts par l’assemblée. Comment refuser une telle invite ? Reste juste à savoir qui fait quoi. C’est Ali qui va décider : Albin pour son trou -comme par hasard-, Paulo gobera sa bite, il va me sucer, et il branlera Slimane et Fabrice. Reste donc que Paul qui filmera. On y va ; Ali, très vite, grogne de plaisir comme on peut grogner quand on a une bite dans la bouche… Les ondulations de tout son corps parlent pour lui. On ne va toutefois pas le finir comme ça, en tous cas, pas tout de suite. La nuit est encore longue. Au bout d’un moment, Paulo demande à « subir le même sort ». C’est la bousculade pour le satisfaire. C’est encore Albin qui décroche la timbale. Pour qu’ils profitent bien tous de Paulo –ils en meurent tous d’envie-, je me propose de filmer. Ils m’en sont tous reconnaissants. Albin, excité comme un pou, est à deux doigts de jouir. Il doit se retirer plusieurs fois pour ne pas éjaculer trop vite.
On change encore de configuration. Trois en levrette, trois derrière et le dernier qui circule de l’un à l’autre. Je suis au milieu, entre Ali et Fabrice, le cul offert. J’adore être ainsi collé à quelqu’un, entrain de se faire défoncer le cul. Ca fout la trique. De les voir nous baiser, de les entendre haleter, ça me fait bander à fond, en me mettant la boule au ventre et le cœur au bord des lèvres. Ca coulisse sérieux, ça chuinte, ça gémit, les couilles claquent, ça souffle. C’est bon ! Vive les partouzes bien menées et cool ! A un changement de partenaires, on en profite pour changer de position une fois encore. Et passer de la levrette au face à face. Paulo et Ali y vont à fond mais bien loin de jouir. Trop résistants pour ça ! Paulo me défonce à tout va. Encore !! On se serre les uns les autres comme si on voulait ne former qu’un seul corps à trois trous !!! Nos jambes, complètement relevées, entourent les cous de nos trois fougueux cavaliers. On adore être ainsi « malmenés ». Il me vient une idée. J’ai découvert, il y a peu, qu’Albin adorait dire des mots crus en baisant. Je vais essayer de le brancher.
« -Oooooh ! Meu Paulo ! I feel your cock. Gooood ! Je sens ta bite mon Paulo ! Et toi, Ali, tu la sens la bite d’Albin ?
-Au top ! Elle me remonte jusqu’à l’estomac ! souffle Ali
-Hein tu la sens, hein, tu la sens. Dis le moi, dis le moi. Crie Albi-Vas-y mon Albinou, vas-y à fond !
-Ouiiii ! Je te la mets super profond ma grosse bite !! »
Et le voilà parti. On ne l’arrête plus. Ca fait rigoler les autres et ça les excite aussi encore un peu plus. Slimane, lui, passe de l’un à l’autre, derrière nos amants. Le voilà qui vient pour enculer Paulo/ Tout le monde se dispute Paulo. Paulo se retire légèrement et s’arcboute pour mieux se faire pénétrer. Facile, Slimane est en lui. Paulo revient en moi. Ils essaient de se synchroniser dans leurs va et vient. Paulo a l’air de bien apprécier. Il me défonce avec d’autant plus de vigueur. Je repose mes jambes le long de ses flancs. Il s’allonge complètement sur moi, me labourant la bite de son ventre à chaque passage. . Il est déjà arrivé à me faire jouir ainsi plusieurs fois. Il retente donc le coup. Ali et Fabrice se branlent consciencieusement tout en se faisant trombonner. Qui va jouir en premier ? On verra.
J’adore entendre quelqu’un, sur le point de jouir, haleter. Trop bandant ! En attendant, profitons de toutes ces délicieuses sensations. J’ai confiance dans la résistance de Paulo. Eh ben, j’avais tort. Je le sens venir, se durcir, trembler, crier, m’inonder de son sperme chaud. Peut être que la bite de Slimane y est pour quelque chose… ? Il continue à me pistonner en ralentissant légèrement. J’adore ça : sentir sa bite coulisser dans une gerbe de liquide chaud. Trop bon. Il le sait. C’est pour ça qu’il continue. En général, il ne débande jamais rapidement. Surtout que Slimane continue à le défoncer. Il vient, lui aussi, de se lâcher dans le ventre de Paulo. Nous voilà tous les trois en descente car je viens d’inonder nos deux ventres collés. Bonne synchro ! Du coup, on se sépare un peu du groupe. Les autres continuant à baiser de plus belle. On s’allonge dans un coin du canapé collé au lit.. Paulo revient aussitôt me pénétrer à nouveau – il n’a pas entièrement débandé- et reste ainsi sans bouger, me serre dans ses bras et me chuchote des mots doux en portugais à l’oreille. J’adore ces moments là. Sûr que je dois faire des jaloux, là. Slimane a filé sous la douche. Albin, ruisselant, continue à pilonner Ali. A côté, Paul se met à jouir dans le ventre de Fabrice avec force cris de bête. Ce dernier ne lui laisse que peu de répit car, presqu’aussitôt, il encule son amant Fabrice car il veut, lui aussi, jouir à son tour. Dans mes bras, Paulo commence à comater sérieusement, épuisé. Je le laisse s’enfoncer doucement dans un sommeil réparateur en le gardant en moi. Albin, déchaîné, se met à remplir Ali de tout son sperme. Il s’écroule littéralement sur lui.. Très vite, il en vient à s’occuper de la bite d’Ali comme il avait si bien fait avec la mienne quand j’étais allé le voir à son cabinet. Malgré toute cette agitation, Paulo a sombré. Slimane revient à son tour de la douche, s’allonge à côté de nous, nous caresse doucement et sombre à son tour. Une odeur de sperme terrible commence à flotter dans la pièce. Je pense que, bientôt, la soirée va se mettre un petit moment sur pause. Reste plus qu’Ali en course. Ali, le plus endurant de nous tous. Et pourtant Albin s’en donne du mal sur sa bite ! Ali savoure mais ne bascule pas. Ces deux là ont l’air de s’être trouvés. Ca ne m’étonnerait pas qu’ils fassent un bout de chemin ensembles.
« -Ali, laisses-toi aller, fais lui plaisir ! je lui dis en riant
-C’est pas ma faute ! J’aime trop les caresses d’Albin ! »
Ali finit par lâcher trois gros jets de foutre en pleine face d’Albin, ravi. Aussitôt, Ali vient le lécher.
Bon, je crois bien que, maintenant, tout le monde va faire un petit break………
« -HIII ! Guys ! Come on ! Come on ! »
Quelqu’un nous tire de notre torpeur réparatrice en nous secouant doucement. C’est Paulo.
« -2018 is coming ! Come on ! »
Il nous pousse vers la salle de bain, dans la douche italienne. C’est ainsi qu’on a fini 2017 et commencé 2018. A sept dans une douche ! C’est sûr qu’on s’en rappellera de celle là ! On s’est tous embrassé, à pleine bouche, en se souhaitant la bonne année. Les mains recommençaient à se faire baladeuses, les bites à se tendre. Toujours aussi déconneur, Paulo régla, à un moment, le jet d’eau sur super froid. Quels c(ris ! Puis, on se sécha vaguement et Paulo nous fit enfiler à chacun un slip de bain de notre choix. On regagna le salon pour trinquer, au champagne, à la nouvelle année ? C’était reparti pour le reste de la nuit. La musique à fond, nous entraina dans plusieurs heures de danse effrénée, entrecoupées de moult boissons. Pour continuer dans la déconne, Paulo passait, une bouteille de champagne à la main, entrebaillait un slip et y versait quelques gouttes de champagne en criant :
« -Happy new year for it !! »
Tins, cela fait un bon moment qu’Ali et Albin ont disparu, direction la chambre…Moi, je me faisais coller par Fabrice et Paul, tandis que Slimane talonnait de près Paulo qui avait l’air ravi.
« -On aimerait faire une double avec toi…
-Ah….J’ai déjà participé mais j’en ai jamais eu…
-T’inquiètes surtout pas. Si tu as trop mal, on arrête tout, promis ! »
C’est sûr, cette demande m’a excité, grave. On se dirige, à trois, vers la chambre. Ali y trombonnait allègrement Albin en levrette, la tête dans l’oreiller, à essayer d’étouffer ses cris de plaisir.
« -Tu sais, on va super bien te préparer, hein. »
Ils me mirent en levrette et commencèrent à me lécher à tour de rôle. Je sentais leurs bouts de langue me chauffer la rondelle. Trop doux ! Puis, ils m’enduisent copieusement et cherchent à me passer doucement un gode. Tout en douceur. Une fois le gode passé, ils essaient de passer un doigt de plus pour élargir encore. C’est trop bon. J’essaie de me détendre au maximum, excité comme un pou. A un moment, ils retirent le gode et passent doucement cinq doigts avec toute la douceur voulue. Fabrice s’allonge alors sur le dos. Je viens m’empaler sur sa bite en un clin d’oeil, à califourchon. Puis, Paul vient se placer derrière moi et cherche à me pénétrer doucement. J’appréhende un peu, malgré tout.
« -Surtout, tu stoppes quand tu veux, hein ?
-OK »
Ali, à côté sur le lit, avait l’air intéressé mais n’en continuait pas moins à pistonner Albin. Je sens parfaitement le gland plein de gel de Paul qui cherche à forcer le passage de mon trou. Fabrice m’attire vers lui et vers sa bouche, pensant faciliter le passage pour Paul qui continue ses douces poussées. J’ai l’impression que ça ne passera jamais. C’est à ce moment là que je sens parfaitement le gland de Paul qui s’insinue doucement en moi. Wouaah ! J’a i DEUX bites en moi ! Ils ne bougent plus du tout. C’est moi, qui au bout d’un moment, commence à remuer doucement. Paul comprend alors qu’il peut essayer de progresser un peu plus. Je sens parfaitement la bite de Fabrice qui tressaille au contact de celle de Paul. Cela a pris du temps mais, maintenant, ils sont tous les deux complètement en moi. J’aurais cru avoir plus mal mais ça va tout à fait. Je suis excité à mort par tout ça.
« -Allez-y les mecs ! »
Ils y vont tout doucement, toujours à l’affût de ma douleur qui commence à se changer en plaisir. Je sens super bien la bite de Paul qui glisse le long de celle de Fabrice et qui vient me bourrer à fond. Fabrice lui-même commence à coulisser en même temps que Paul. Waaaooouuuh ! Le plaisir commence à devenir XXL. Le pied ! Je pense que, maintenant, il me faudra toujours des doubles ! A côté, Ali vient de jouir à fond dans le cul d’Albin. Ils ont hurlé tous les deux en même temps. Ca a du exciter un des deux car il a joui dans mon cul, ce qui fait que Paul coulisse encore plus à l’aise. Trop trop bon ! Assez vite, malheureusement, le deuxième décharge et me voilà débordant de foutre de partout. Reconnaissants, ils voulurent m’envoyer, moi aussi au septième ciel. Fabrice et Paul se mirent à deux sur ma bite pendant qu’Albin se faisait pomper par moi-même. Décidément, c’était l’année des doublés. Assez vite, je reçus le jus d’Albin jusqu’au fond de ma gorge. Juste après, je sens des fourmis qui me picotent dans les couilles et je crache tout ce qui me reste dans les couilles dans la bouche des voisins.
Cette deuxième séance nous avait pas mal mis KO. On replongea, emmêlés les uns dans les autres.
J’ai du émerger une demi heure plus tard, au jugé. Tout était calme dans la chambre. On entendait le bruit assourdi de la musique qui venait du salon. Je me suis levé doucement. Dans le salon, Paulo et Slimane s’enculaient doucement sur le canapé, allongés que le côté. Tout en douceur, comme au ralenti. Je m’assis en face d’eux pour les contempler. Je scrutais surtout le visage de Paulo pour essayer de voir le plaisir qu’il pouvait prendre à se faire mettre ainsi tout en douceur par Slimane. Visiblement, ça leur plaisait à tous les deux que je les observe ainsi. D’ailleurs, à ma bite aussi ça commençait à lui faire de l’effet. Elle se gonflait doucement. Ils changèrent de position et c’est Paulo qui se mit à honorer Slimane, toujours au ralenti. On aurait dit qu’il n’était pas pressé de jouir ou alors, étaient-ils complètement crevés ? Ca sentait la fin de nuit languissante, exténuée. Je pris quelques photos « artistiques ». Cette fois, à nouveau, ma bite est complètement raide, à la verticale. Mais, j’ai l’impression de ne plus rien avoir dans les couilles. Ce qui e doit pas être loin de la vérité, d’ailleurs. Cela a du donner une idée à Paulo.
« -Hey ! I’ve heard you have made a dobble ?
-…Yes
-It was great ?
-…Yes
-Wow, I want to try too ! »
J’ai pas besoin de traduire à Slimane. Il a à peu près compris.
Slimane et moi, on s’enduit copieusement de gel ainsi que le trou de Paulo. Avec Slimane, on le dilate un peu plus. Un doigt chacun, puis deux… Slimane s’allonge sur le dos. Paulo l’empale et je me place derrière lui. Je suis bien décidé à ne pas lui faire de mal. Je lui chuchote à l’oreille qu’il me dis d’arrêter si ça ne va pas. Je pousse légèrement avec mon gland. Tout doux. C’est Paulo qui me tire vers lui, m’encourageant à y aller franco. Je pousse à nouveau, cherchant le passage. Après plusieurs tentatives, j’arrive à passer mon gland. Paulo souffle. Je m’arrête. Assez vite, c’est lui qui nous donne le signal de la reprise. Je pousse doucement le long de la bite de Slimane pour le pénétrer plus. Ca y est, je suis à fond. Slimane m’incite à commencer à le limer, il enchainera après. Paulo adore, se met à haleter et à pousser de petits cris en portugais, en anglais, en français. Trop chou. Slimane se met alors en mouvement. On se coordonne pour coulisser ensemble. Cette fois, Paulo râle de manière ininterrompue. Ila toujours été ‘sonore »dans ses ébats. Il en redemande. Plus vite ! Plus fort ! On hésite encore à le défoncer trop violemment. Mais, à chaque fois, c’est lui qui réclame encore plus. Je ne sais pas si c’est sa première double, mais, en tous cas, il a l’air d’apprécier vachement. Ca dure ainsi un bon moment vu qu’on a déjà tellement éjaculé depuis le début de la soirée que ça va être plus long… Ca tombe bien, Paulo n’a pas l’air de s’en lasser, bien au contraire ! J’adore sentir ma bite se frotter contre celle de Slimane et, en même temps, de se fourrer dans le ventre chaud de Paulo. Trop trop bon ! C’est moi qui jouis le premier. Un tout petit jet chaud qui lubrifie nos deux bites. Slimane, toujours pas. Comme je débande assez vite, je me retire ce qui permet à Slimane de se déchaîner. Paulo se laisse bourriner. J’en profite pour lui branler sa bite bien raide.
« -Dis moi quand tu te sens venir Slimane, je vais essayer de le faire jouir en même temps, OK ?
-OK ». Encore un moment et Slimane m’alerte. Je me déchaîne à fond sur la bite de Paulo. A une minute près, je réussis mon coup. Nous voilà, à nouveau, tous les trois rassasiés.
Collapse ! Je suis sûr que, si quelqu’un est passé à ce moment là, et nous a vus ainsi alanguis, nus et enchevêtrés, il aura du faire quelques clichés.
Réveillés par une musique d’enfer. Ce sont les dormeurs de la chambre qui nous ont trouvé là, vautrés sur le canapé.
« -Hey ! Il n’est que quatre heures du mat ! C’est pas encore l’heure de dormir ! Vous avez fait les fous ou quoi ? ». On émerge tous et, du coup, Paulo estime que c’est peut être l’heure de la bûche et des macarons, non ? C’est reparti sur la bière, le mojito, le champagne… Reparti aussi pour une longue plage de danses brésiliennes coachées par Paulo. Tout le monde veut danser avec lui. Tiens, tiens…Sur le coup de six heures, tout le monde commence à accuser sérieusement le coup. Du coup, Paulo propose à tous une douche collective « pour se laver » avant un copieux petit déjeuner avant qu’on se sépare. Savonnages, caresses, séchage et choix d’un slip de bain à enfiler et à emporter –merci Paulo !-. Beau petit déjeuner à voir tous ces beaux gars moulés dans d’aussi beaux et sexy slips de bain.
C’est laors qu’on entend frapper à la porte. Je vais ouvrir. C’est Rémi qui revient de sa soirée et qui passe pour dire bonjour, il a vu de la lumière.
« -Hé ! C’est Rémi ! Un bon ami à moi…
-Salut Rémi !!!
-A ce que je vois, je crois que j’ai raté quelque chose…
-Ca, tu peux le dire ! »
Du coup, il reste avec nous pour partager le petit déjeuner. Il a l’air complètement obnubilé par Paulo….La conversation est très animée. Quelqu’un demande combien ça ferait en volume, tout le sperme qui a coulé cette nuit ? Eclat de rire général. De l’avis général, la soirée fut trop trop bonne et chacun a promis de se revoir. On sait pourquoi… Une fois les autres partis, Paulo propose à Rémi de nous accompagner dans une petite balade oxygénante. On lui prête jogging et baskets. Paulo lui offre même de choisir parmi les maillots qui restent et d’en enfiler un. C’est, bien sûr, pour avoir le plaisir de le voir se déshabiller devant lui et d’admirer sa bite. Rémi ne se fait pas prier. Je le soupçonne même de prolonger son hésitation à choisir pour bien se balader à poils devant Paulo…Coquinou ! A l’aise le Rémi ! Paulo peut ainsi faire sa connaissance tout en marchant. Tout en lui montrant aussi son attachement à moi avec force bisous et câlins. Ca fait sourire Rémi qui n’est pas dupe car nous avons pas mal parlé et je lui ai expliqué en long et en large comment fonctionnait notre couple. Ca avait eu l’air de lui plaire, d’ailleurs ? Ca lui laisse bien sûr espérer qu’un jour…D’ailleurs, depuis qu’il a vu Paulo, son espoir s’est ancré dans un coin de sa tête. Qui resterait insensible à la beauté ravageuse de Paulo ? Rémi, tout émoustillé par cette perspective, papillonne autour de nous, tous sourires. Il n’a pas besoin de forcer son naturel. Il est doux mais pas timide, ni réservé.
Un jour, peut être… ?
« -Be patient. Tomorrow, it will be a surprise for you and you will need all your strength. So, if possible, no fuck today ?
-… ???? Are you sure we’ll hold on, untill tomorrow ?
-We will try…No ?
-As you want. »
Ca n’empêche pas les bisous, les caresses, la douche à deux. Finalement, on bande tous les deux tout le temps comme des ânes mais on essaie de tenir jusqu’à demain ! On va très mal dormir car, bien sûr, on est super excité tous les deux. On passera la nuit à se caresser, se lécher, se sucer, sans jouir.
« -Finally, may be, it was not a good idea ! »
Le 31, il me met quand même au parfum. Tous ceux qu’on connait et avec qui on a déjà baisé, vont venir pour une « soirée hot ». Y aura Ali, Slimane, Fabrice, Paul, Albin. Rémi n’était pas libre. Le tendre Rémi a peut être senti le coup venir…Peut être s’est-il demandé s’il serait à l’aise parmi tout ce sexe et il s’est fait porter pâle. C’est Paulo qui a pris tous les contacts. A 22 heures, on accueille tout le monde. Il souhaite la bienvenue à tous :
« -Guys ! I know you are all sex addicts, because we have all fucked together. It’s the reason why you are here. Welcome ! Take a max of pleasure !! Several times !!! » Paulo demande à ce qu’il n’y ait pas de photos sur les réseaux sociaux, à cause de son boulot. Tout le monde est OK. Puis il indique à tous où se trouvent le bar, le buffet, les lits, les godes, le gel, la douche….Tout est en libre accès.
« -Let the festivities begin ! »
« -Paulo, I present to you, Albin. A good masseur and a very good fucker too !
-Nice to meet you.
-Oh ! Jo exaggerates. But you couple is very very sweet, indeed !
-Thank’s. »
Pour montrer l’exemple, il se mit torse nu et pieds nus. Bientôt imité par tout le monde. C’était le dress code du moment. Dans la lueur vacillante des bougies, c’étai très beau de voir tous ces reflets sur ces torses musclés et affutés. Trop beau… Pour faire décoller l’ambiance, il servit à tous une capirinha plus que chargée et nous entraina tous dans une salsa endiablée. Comme nous n’étions que sept, les partenaires s’échangeaient sans arrêt. Tout le monde se disputait la chance de danser avec Paulo. Paulo est un vrai joyeux. Toujours souriant, toujours une blague aux lèvres, toujours à booster tout le monde. Une vraie crème. La conversation était très animée, l’alcool coulait à flots, la musique se déversait dans la rue par la fenêtre entrouverte.
« -Merci pour le spectacle que vous m’offrez presque tous les soirs ! ( voir « Trop chaud » P1 et 2 )
-You are welcome ! Tu sais bien que, si tu veux, tu peux toujours traverser la rue…
-Je sais, merci. Dommage qu’on ne puisse vous offrir la même chose tous les soirs ! «
C’est encore Paulo qi, le premier ôta son pantalon pour apparaître en maillot de bain immaculé, la bosse bien rebondie… A l’aise, en toutes circonstances. C’est l’essence même de son métier. Les mains se firent plus baladeuses, plus insistantes. Ali ne tarda pas à l’imiter. Son slip de bain rouge en jetait un max. Tous les autres se mirent en slips en un clin d’œil. Un festival de slips, tous plus beaux les uns que les autres.. Déjà, certains essayaient d’autres maillots de bain mis à disposition par Paulo. J’eus alors l’idée d’organiser un petit défilé rigolo. Paulo nous apprit à marcher comme les mannequins. Il faisait tout : le commentateur, le photographe, le public, la claque…On a bien rigolé. Ca a aussi été l’occasion de se frotter les uns aux autres lors des changements de slips et de redécouvrir nos bites. On reprit la danse. Je pus profiter d’un morceau entier collé serré avec Paulo. D’autres couples e formaient : Ali et Albin, Slimane et Fabrice. Paul filmait et photographiait. C’est alors que Paulo voulut offrir son corps aux caresses de l’assemblée. Mais, comme il met toujours une petite touche d’humour dans tout ce qu’il fait, il s’allongea sur le canapé et déposa plein de tous petits tas de crème chantilly à la bombe sur toutes les parties de son corps. On se précipita tous pour le nettoyer avec la bouche. Ali voulut l’imiter, mais sans la crème. Il s’allongea près de lui et attendit les caresses. Tous les deux avaient les mains baladeuses qui s’attardaient sur les slips de l’entourage. Ca y est. Les festival des caresses avait commencé. Brusquement, ça rigolait beaucoup moins. Ali était aux anges. Plusieurs mains fourrageaient dans son slip vermillon. Paulo n’en avait qu’une. La mienne. J’ai alors voulu leur offrir un petit cadeau de bienvenue à tous. J’ai dégagé le devant du maillot de bain de Paulo, sa bite s’est tendue et je l’ai proposée à la bouche de tout un chacun. Personne ne s’est fait prier ! Paulo a beaucoup aimé. Voyant ça, Ali a proposé la même prestation.. On ne savait plus où donner de la bouche ! Ca démarrait bien. La glace –si glace il y a eu- était rompue. On sentait bien que ce serait à celui qui proposerait le truc le plus délirant.
Je proposais à tout le monde, pour plus de confort, de rejoindre notre lit auquel Paulo avait accolé un canapé déplié. A l’aise ! Chacun avait encore gardé son slip ou son maillot de bain. Trop beaux tous ces slips ! Trop gonflés surtout ! On se disposa du mieux qu’on put pour que chacun ait quelque chose à se mettre en bouche. On n’entendait plus que de petits gémissements plus ou moins prononcés. Ca dura un sacré bon moment. Albin proposa alors de passer au côté pile. Chacun offrit alors sa raie à son Muuuuh ! Miam ! Trop trop bons ces petits coups de langue pointée qui essaient de vous pénétrer chaudement. Ali s’y prenait à merveille avec ma rondelle. Dommage, on changea de disposition pour changer de lécheur. Cette fois, c’était Fabrice qui me titillait. Il chercha à me passer un doigt, puis un coup de langue, puis un doigt…Paulo gémissait sévère. C’était Albin qui l’entreprenait. Trop fort, le kiné !
« Eh ! Ca fait un bail qu’on n’a pas bu, non ? »
Aussitôt dit, aussitôt fait. On regagna le salon. Nus mais bien bandés. Paulo nous gratifia chacun de deux cocktails de sa composition. Wouachhh ! Tout ça n’empêchait pas les frôlements, les caresses, les légers branles, les doigtages…Ali, de voir toutes ces bites dressées, ça le rendit fou. Ou alors, c’était les deux cocktails. Il se met à genoux, nous demande de nous mettre en cercle autour de lui, de ne surtout pas s’occuper de lui, de continuer à discuter, et le voilà qui se met à nous sucer tous l’un après l’autre, à toute vitesse. Ca fait rigoler tout le monde. Ca met aussi de l’électricité, de l’excitation, du sexe dans l’air. Faut dire qu’Ali a toujours été un merveilleux suceur. Y’a qu’à voir la tête de celui qui est sucé… Avec Slimane, ils sont les seuls à ne pas être rasés. Mais alors, question poils, ils sont servis. Même Albin s’y est mis depuis notre dernière baise. Je remarque que certains couples commencent à se former par affinités : Ali et Albin, Slimane et Fabrice…
Toujours au top, Paulo présente sa panoplie de godes et propose à tous de les essayer. Why not ? Chacun choisit son modèle Ali et Albin prennent le modèle à deux bouts. Le gel circule de mains en mains. On a formé un large cercle à cinq car Ali et Albin se régalent à deux. Ainsi chacun peut mettre et être mis. Doigtages, dilatations, soupirs, poussées, soupirs encore…Bientôt, on entend le glissement des godes qui vont et viennent dans les trous de chacun. Perso, c’est Paul qui me trombonne pendant que je m’occupe de Slimane ? Ca devient chaud. Ca soupire sérieux. En fait, on peut aussi voir ça comme une bonne préparation pour la suite, dans la joie et la bonne humeur !
Ali déclare alors qu’il adorerait se faire mettre par tous les bouts par l’assemblée. Comment refuser une telle invite ? Reste juste à savoir qui fait quoi. C’est Ali qui va décider : Albin pour son trou -comme par hasard-, Paulo gobera sa bite, il va me sucer, et il branlera Slimane et Fabrice. Reste donc que Paul qui filmera. On y va ; Ali, très vite, grogne de plaisir comme on peut grogner quand on a une bite dans la bouche… Les ondulations de tout son corps parlent pour lui. On ne va toutefois pas le finir comme ça, en tous cas, pas tout de suite. La nuit est encore longue. Au bout d’un moment, Paulo demande à « subir le même sort ». C’est la bousculade pour le satisfaire. C’est encore Albin qui décroche la timbale. Pour qu’ils profitent bien tous de Paulo –ils en meurent tous d’envie-, je me propose de filmer. Ils m’en sont tous reconnaissants. Albin, excité comme un pou, est à deux doigts de jouir. Il doit se retirer plusieurs fois pour ne pas éjaculer trop vite.
On change encore de configuration. Trois en levrette, trois derrière et le dernier qui circule de l’un à l’autre. Je suis au milieu, entre Ali et Fabrice, le cul offert. J’adore être ainsi collé à quelqu’un, entrain de se faire défoncer le cul. Ca fout la trique. De les voir nous baiser, de les entendre haleter, ça me fait bander à fond, en me mettant la boule au ventre et le cœur au bord des lèvres. Ca coulisse sérieux, ça chuinte, ça gémit, les couilles claquent, ça souffle. C’est bon ! Vive les partouzes bien menées et cool ! A un changement de partenaires, on en profite pour changer de position une fois encore. Et passer de la levrette au face à face. Paulo et Ali y vont à fond mais bien loin de jouir. Trop résistants pour ça ! Paulo me défonce à tout va. Encore !! On se serre les uns les autres comme si on voulait ne former qu’un seul corps à trois trous !!! Nos jambes, complètement relevées, entourent les cous de nos trois fougueux cavaliers. On adore être ainsi « malmenés ». Il me vient une idée. J’ai découvert, il y a peu, qu’Albin adorait dire des mots crus en baisant. Je vais essayer de le brancher.
« -Oooooh ! Meu Paulo ! I feel your cock. Gooood ! Je sens ta bite mon Paulo ! Et toi, Ali, tu la sens la bite d’Albin ?
-Au top ! Elle me remonte jusqu’à l’estomac ! souffle Ali
-Hein tu la sens, hein, tu la sens. Dis le moi, dis le moi. Crie Albi-Vas-y mon Albinou, vas-y à fond !
-Ouiiii ! Je te la mets super profond ma grosse bite !! »
Et le voilà parti. On ne l’arrête plus. Ca fait rigoler les autres et ça les excite aussi encore un peu plus. Slimane, lui, passe de l’un à l’autre, derrière nos amants. Le voilà qui vient pour enculer Paulo/ Tout le monde se dispute Paulo. Paulo se retire légèrement et s’arcboute pour mieux se faire pénétrer. Facile, Slimane est en lui. Paulo revient en moi. Ils essaient de se synchroniser dans leurs va et vient. Paulo a l’air de bien apprécier. Il me défonce avec d’autant plus de vigueur. Je repose mes jambes le long de ses flancs. Il s’allonge complètement sur moi, me labourant la bite de son ventre à chaque passage. . Il est déjà arrivé à me faire jouir ainsi plusieurs fois. Il retente donc le coup. Ali et Fabrice se branlent consciencieusement tout en se faisant trombonner. Qui va jouir en premier ? On verra.
J’adore entendre quelqu’un, sur le point de jouir, haleter. Trop bandant ! En attendant, profitons de toutes ces délicieuses sensations. J’ai confiance dans la résistance de Paulo. Eh ben, j’avais tort. Je le sens venir, se durcir, trembler, crier, m’inonder de son sperme chaud. Peut être que la bite de Slimane y est pour quelque chose… ? Il continue à me pistonner en ralentissant légèrement. J’adore ça : sentir sa bite coulisser dans une gerbe de liquide chaud. Trop bon. Il le sait. C’est pour ça qu’il continue. En général, il ne débande jamais rapidement. Surtout que Slimane continue à le défoncer. Il vient, lui aussi, de se lâcher dans le ventre de Paulo. Nous voilà tous les trois en descente car je viens d’inonder nos deux ventres collés. Bonne synchro ! Du coup, on se sépare un peu du groupe. Les autres continuant à baiser de plus belle. On s’allonge dans un coin du canapé collé au lit.. Paulo revient aussitôt me pénétrer à nouveau – il n’a pas entièrement débandé- et reste ainsi sans bouger, me serre dans ses bras et me chuchote des mots doux en portugais à l’oreille. J’adore ces moments là. Sûr que je dois faire des jaloux, là. Slimane a filé sous la douche. Albin, ruisselant, continue à pilonner Ali. A côté, Paul se met à jouir dans le ventre de Fabrice avec force cris de bête. Ce dernier ne lui laisse que peu de répit car, presqu’aussitôt, il encule son amant Fabrice car il veut, lui aussi, jouir à son tour. Dans mes bras, Paulo commence à comater sérieusement, épuisé. Je le laisse s’enfoncer doucement dans un sommeil réparateur en le gardant en moi. Albin, déchaîné, se met à remplir Ali de tout son sperme. Il s’écroule littéralement sur lui.. Très vite, il en vient à s’occuper de la bite d’Ali comme il avait si bien fait avec la mienne quand j’étais allé le voir à son cabinet. Malgré toute cette agitation, Paulo a sombré. Slimane revient à son tour de la douche, s’allonge à côté de nous, nous caresse doucement et sombre à son tour. Une odeur de sperme terrible commence à flotter dans la pièce. Je pense que, bientôt, la soirée va se mettre un petit moment sur pause. Reste plus qu’Ali en course. Ali, le plus endurant de nous tous. Et pourtant Albin s’en donne du mal sur sa bite ! Ali savoure mais ne bascule pas. Ces deux là ont l’air de s’être trouvés. Ca ne m’étonnerait pas qu’ils fassent un bout de chemin ensembles.
« -Ali, laisses-toi aller, fais lui plaisir ! je lui dis en riant
-C’est pas ma faute ! J’aime trop les caresses d’Albin ! »
Ali finit par lâcher trois gros jets de foutre en pleine face d’Albin, ravi. Aussitôt, Ali vient le lécher.
Bon, je crois bien que, maintenant, tout le monde va faire un petit break………
« -HIII ! Guys ! Come on ! Come on ! »
Quelqu’un nous tire de notre torpeur réparatrice en nous secouant doucement. C’est Paulo.
« -2018 is coming ! Come on ! »
Il nous pousse vers la salle de bain, dans la douche italienne. C’est ainsi qu’on a fini 2017 et commencé 2018. A sept dans une douche ! C’est sûr qu’on s’en rappellera de celle là ! On s’est tous embrassé, à pleine bouche, en se souhaitant la bonne année. Les mains recommençaient à se faire baladeuses, les bites à se tendre. Toujours aussi déconneur, Paulo régla, à un moment, le jet d’eau sur super froid. Quels c(ris ! Puis, on se sécha vaguement et Paulo nous fit enfiler à chacun un slip de bain de notre choix. On regagna le salon pour trinquer, au champagne, à la nouvelle année ? C’était reparti pour le reste de la nuit. La musique à fond, nous entraina dans plusieurs heures de danse effrénée, entrecoupées de moult boissons. Pour continuer dans la déconne, Paulo passait, une bouteille de champagne à la main, entrebaillait un slip et y versait quelques gouttes de champagne en criant :
« -Happy new year for it !! »
Tins, cela fait un bon moment qu’Ali et Albin ont disparu, direction la chambre…Moi, je me faisais coller par Fabrice et Paul, tandis que Slimane talonnait de près Paulo qui avait l’air ravi.
« -On aimerait faire une double avec toi…
-Ah….J’ai déjà participé mais j’en ai jamais eu…
-T’inquiètes surtout pas. Si tu as trop mal, on arrête tout, promis ! »
C’est sûr, cette demande m’a excité, grave. On se dirige, à trois, vers la chambre. Ali y trombonnait allègrement Albin en levrette, la tête dans l’oreiller, à essayer d’étouffer ses cris de plaisir.
« -Tu sais, on va super bien te préparer, hein. »
Ils me mirent en levrette et commencèrent à me lécher à tour de rôle. Je sentais leurs bouts de langue me chauffer la rondelle. Trop doux ! Puis, ils m’enduisent copieusement et cherchent à me passer doucement un gode. Tout en douceur. Une fois le gode passé, ils essaient de passer un doigt de plus pour élargir encore. C’est trop bon. J’essaie de me détendre au maximum, excité comme un pou. A un moment, ils retirent le gode et passent doucement cinq doigts avec toute la douceur voulue. Fabrice s’allonge alors sur le dos. Je viens m’empaler sur sa bite en un clin d’oeil, à califourchon. Puis, Paul vient se placer derrière moi et cherche à me pénétrer doucement. J’appréhende un peu, malgré tout.
« -Surtout, tu stoppes quand tu veux, hein ?
-OK »
Ali, à côté sur le lit, avait l’air intéressé mais n’en continuait pas moins à pistonner Albin. Je sens parfaitement le gland plein de gel de Paul qui cherche à forcer le passage de mon trou. Fabrice m’attire vers lui et vers sa bouche, pensant faciliter le passage pour Paul qui continue ses douces poussées. J’ai l’impression que ça ne passera jamais. C’est à ce moment là que je sens parfaitement le gland de Paul qui s’insinue doucement en moi. Wouaah ! J’a i DEUX bites en moi ! Ils ne bougent plus du tout. C’est moi, qui au bout d’un moment, commence à remuer doucement. Paul comprend alors qu’il peut essayer de progresser un peu plus. Je sens parfaitement la bite de Fabrice qui tressaille au contact de celle de Paul. Cela a pris du temps mais, maintenant, ils sont tous les deux complètement en moi. J’aurais cru avoir plus mal mais ça va tout à fait. Je suis excité à mort par tout ça.
« -Allez-y les mecs ! »
Ils y vont tout doucement, toujours à l’affût de ma douleur qui commence à se changer en plaisir. Je sens super bien la bite de Paul qui glisse le long de celle de Fabrice et qui vient me bourrer à fond. Fabrice lui-même commence à coulisser en même temps que Paul. Waaaooouuuh ! Le plaisir commence à devenir XXL. Le pied ! Je pense que, maintenant, il me faudra toujours des doubles ! A côté, Ali vient de jouir à fond dans le cul d’Albin. Ils ont hurlé tous les deux en même temps. Ca a du exciter un des deux car il a joui dans mon cul, ce qui fait que Paul coulisse encore plus à l’aise. Trop trop bon ! Assez vite, malheureusement, le deuxième décharge et me voilà débordant de foutre de partout. Reconnaissants, ils voulurent m’envoyer, moi aussi au septième ciel. Fabrice et Paul se mirent à deux sur ma bite pendant qu’Albin se faisait pomper par moi-même. Décidément, c’était l’année des doublés. Assez vite, je reçus le jus d’Albin jusqu’au fond de ma gorge. Juste après, je sens des fourmis qui me picotent dans les couilles et je crache tout ce qui me reste dans les couilles dans la bouche des voisins.
Cette deuxième séance nous avait pas mal mis KO. On replongea, emmêlés les uns dans les autres.
J’ai du émerger une demi heure plus tard, au jugé. Tout était calme dans la chambre. On entendait le bruit assourdi de la musique qui venait du salon. Je me suis levé doucement. Dans le salon, Paulo et Slimane s’enculaient doucement sur le canapé, allongés que le côté. Tout en douceur, comme au ralenti. Je m’assis en face d’eux pour les contempler. Je scrutais surtout le visage de Paulo pour essayer de voir le plaisir qu’il pouvait prendre à se faire mettre ainsi tout en douceur par Slimane. Visiblement, ça leur plaisait à tous les deux que je les observe ainsi. D’ailleurs, à ma bite aussi ça commençait à lui faire de l’effet. Elle se gonflait doucement. Ils changèrent de position et c’est Paulo qui se mit à honorer Slimane, toujours au ralenti. On aurait dit qu’il n’était pas pressé de jouir ou alors, étaient-ils complètement crevés ? Ca sentait la fin de nuit languissante, exténuée. Je pris quelques photos « artistiques ». Cette fois, à nouveau, ma bite est complètement raide, à la verticale. Mais, j’ai l’impression de ne plus rien avoir dans les couilles. Ce qui e doit pas être loin de la vérité, d’ailleurs. Cela a du donner une idée à Paulo.
« -Hey ! I’ve heard you have made a dobble ?
-…Yes
-It was great ?
-…Yes
-Wow, I want to try too ! »
J’ai pas besoin de traduire à Slimane. Il a à peu près compris.
Slimane et moi, on s’enduit copieusement de gel ainsi que le trou de Paulo. Avec Slimane, on le dilate un peu plus. Un doigt chacun, puis deux… Slimane s’allonge sur le dos. Paulo l’empale et je me place derrière lui. Je suis bien décidé à ne pas lui faire de mal. Je lui chuchote à l’oreille qu’il me dis d’arrêter si ça ne va pas. Je pousse légèrement avec mon gland. Tout doux. C’est Paulo qui me tire vers lui, m’encourageant à y aller franco. Je pousse à nouveau, cherchant le passage. Après plusieurs tentatives, j’arrive à passer mon gland. Paulo souffle. Je m’arrête. Assez vite, c’est lui qui nous donne le signal de la reprise. Je pousse doucement le long de la bite de Slimane pour le pénétrer plus. Ca y est, je suis à fond. Slimane m’incite à commencer à le limer, il enchainera après. Paulo adore, se met à haleter et à pousser de petits cris en portugais, en anglais, en français. Trop chou. Slimane se met alors en mouvement. On se coordonne pour coulisser ensemble. Cette fois, Paulo râle de manière ininterrompue. Ila toujours été ‘sonore »dans ses ébats. Il en redemande. Plus vite ! Plus fort ! On hésite encore à le défoncer trop violemment. Mais, à chaque fois, c’est lui qui réclame encore plus. Je ne sais pas si c’est sa première double, mais, en tous cas, il a l’air d’apprécier vachement. Ca dure ainsi un bon moment vu qu’on a déjà tellement éjaculé depuis le début de la soirée que ça va être plus long… Ca tombe bien, Paulo n’a pas l’air de s’en lasser, bien au contraire ! J’adore sentir ma bite se frotter contre celle de Slimane et, en même temps, de se fourrer dans le ventre chaud de Paulo. Trop trop bon ! C’est moi qui jouis le premier. Un tout petit jet chaud qui lubrifie nos deux bites. Slimane, toujours pas. Comme je débande assez vite, je me retire ce qui permet à Slimane de se déchaîner. Paulo se laisse bourriner. J’en profite pour lui branler sa bite bien raide.
« -Dis moi quand tu te sens venir Slimane, je vais essayer de le faire jouir en même temps, OK ?
-OK ». Encore un moment et Slimane m’alerte. Je me déchaîne à fond sur la bite de Paulo. A une minute près, je réussis mon coup. Nous voilà, à nouveau, tous les trois rassasiés.
Collapse ! Je suis sûr que, si quelqu’un est passé à ce moment là, et nous a vus ainsi alanguis, nus et enchevêtrés, il aura du faire quelques clichés.
Réveillés par une musique d’enfer. Ce sont les dormeurs de la chambre qui nous ont trouvé là, vautrés sur le canapé.
« -Hey ! Il n’est que quatre heures du mat ! C’est pas encore l’heure de dormir ! Vous avez fait les fous ou quoi ? ». On émerge tous et, du coup, Paulo estime que c’est peut être l’heure de la bûche et des macarons, non ? C’est reparti sur la bière, le mojito, le champagne… Reparti aussi pour une longue plage de danses brésiliennes coachées par Paulo. Tout le monde veut danser avec lui. Tiens, tiens…Sur le coup de six heures, tout le monde commence à accuser sérieusement le coup. Du coup, Paulo propose à tous une douche collective « pour se laver » avant un copieux petit déjeuner avant qu’on se sépare. Savonnages, caresses, séchage et choix d’un slip de bain à enfiler et à emporter –merci Paulo !-. Beau petit déjeuner à voir tous ces beaux gars moulés dans d’aussi beaux et sexy slips de bain.
C’est laors qu’on entend frapper à la porte. Je vais ouvrir. C’est Rémi qui revient de sa soirée et qui passe pour dire bonjour, il a vu de la lumière.
« -Hé ! C’est Rémi ! Un bon ami à moi…
-Salut Rémi !!!
-A ce que je vois, je crois que j’ai raté quelque chose…
-Ca, tu peux le dire ! »
Du coup, il reste avec nous pour partager le petit déjeuner. Il a l’air complètement obnubilé par Paulo….La conversation est très animée. Quelqu’un demande combien ça ferait en volume, tout le sperme qui a coulé cette nuit ? Eclat de rire général. De l’avis général, la soirée fut trop trop bonne et chacun a promis de se revoir. On sait pourquoi… Une fois les autres partis, Paulo propose à Rémi de nous accompagner dans une petite balade oxygénante. On lui prête jogging et baskets. Paulo lui offre même de choisir parmi les maillots qui restent et d’en enfiler un. C’est, bien sûr, pour avoir le plaisir de le voir se déshabiller devant lui et d’admirer sa bite. Rémi ne se fait pas prier. Je le soupçonne même de prolonger son hésitation à choisir pour bien se balader à poils devant Paulo…Coquinou ! A l’aise le Rémi ! Paulo peut ainsi faire sa connaissance tout en marchant. Tout en lui montrant aussi son attachement à moi avec force bisous et câlins. Ca fait sourire Rémi qui n’est pas dupe car nous avons pas mal parlé et je lui ai expliqué en long et en large comment fonctionnait notre couple. Ca avait eu l’air de lui plaire, d’ailleurs ? Ca lui laisse bien sûr espérer qu’un jour…D’ailleurs, depuis qu’il a vu Paulo, son espoir s’est ancré dans un coin de sa tête. Qui resterait insensible à la beauté ravageuse de Paulo ? Rémi, tout émoustillé par cette perspective, papillonne autour de nous, tous sourires. Il n’a pas besoin de forcer son naturel. Il est doux mais pas timide, ni réservé.
Un jour, peut être… ?
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