La travelo
Récit érotique écrit par Kucho [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-03-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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La travelo
L’histoire n’est pas mienne. Mais je suis autorisé à vous la conter.
Cette aventure est arrivée à mon meilleur copain. Ce samedi-là, au petit matin, nous rentrions de notre virée dans le quartier chaud de Nice. Bien sûr nous aussi nous étions un peu chaud, légèrement éméchés quoi !
En entrant Roland me dit « Michel t’as vu le trave, il nous a dragué sans vergogne. »
- Houai, mais tu l’as aussi bien aidé…
- Oui, c’est vrai. Depuis pas mal de temps je les cherche. Faut dire aussi, depuis que tu es partie, j’ai bien du mal à trouver une salope comme toi. Alors un samedi soir je suis retourné au club privé, c’était soirée mixte. J’avais déjà lubrifié les roulements de deux petites lopes et je devais reprendre un peu de force. Je suis allé au bar commander… Tu sais ces trucs qui se boivent comme du petit lait, mais qu’au troisième verre tu ne peux plus te décoller le cul de ton siège sans piquer le nez par terre ?
- Oui, ils appelaient ça « le p’tit qui tue ».
- Houai, c’est ça, le p’tit qui tue ! Donc, je sirotais ce truc bien tranquillement. Tout en zieutant les environs.
Voie t-y pas que je repère une nana… Au putain un sacré morceau !… Je suis sûr que même un eunuque se serait mis à bander.
Je vois qu’elle aussi me reluque. Je lui fais un petit signe. Elle me sourit, avec une bouche spécialement modelée pour tailler la turlute. J’insiste, elle se lève et vient dans ma direction. Je ne te raconte pas de bobards, crois-moi. Si tu avais vu ce châssis !... Au moins un mètre quatre-vingt-dix, mince mais bien en chair. Une belle tête encadrée par une longue chevelure blonde descendant jusqu’aux reins.
Et ce corps… Putain pas croyable, une vraie madone. Une chute de rein !... T’aurais pu y manger ta soupe sur sa croupe sans en renverser une seule goutte.
Et ses nibards… Deux beaux vallons qui encadraient une gorge profonde, le tout enfermé dans un
chemisier satiné blanc. Ils étaient à deux doigts de bondir dehors. Oh les pauvres je les entendais crier « Au secours !... On étouffe !... Libérait-nous » et moi j’espérais bien en faire mon petit dèj. Sous sa jupe noire qui lui moule bien le cul, une paire de guiboles gainées de bas tout aussi noirs. La jupe est si courte que l’on voie bien ses cuisses au-dessus de la dentelle qui borde les bas. Bonjour beau mâle. Qu’elle me dit.
- Bonjour, puis-je offrir une boisson à la princesse de ces lieux ?
Elle me sourit, je fais signe au barman et demande à la nana ce qu’elle désir.
- La même chose que toi chéri.
Voilà près de dix minutes que nous sirotons tout en discutant, quand… « Bonjour Claude. Tu as pris racine ici ? ». Nous nous retournons et là je reste figé sur place. Je rêve ? Ce n’est pas possible ? En plus petite je vois ma déesse. Même visage mais des cheveux courts, même corps sauf les hanches plus arrondies. Plus femme encore que la dénommée Claude. J’en bande. La petite jette un œil dans le verre de Claude et lui demande ce qu’elle boit.
- La même chose que…?
- Roland, vous c’est donc Claude et…
- Moi, je suis sa sœur Isabelle… Isa pour les intimes. Ce n’est pas « le p’tit qui tue » que vous buvez-là ?
- Si.
- Alors non merci. Je monte, vous me rejoignez ?
Du coup je regarde Claude. On se sourie et nous suivons la belle Isa. Là-haut il n’y a que des cabines et des glory holes. A l’idée de ce qui m’attend, j’en bande déjà.
Dix minutes plus tard je suis en train de bouffer la chatte d’Isa et Claude me fait une vraie pipe. J’avais raison, sa bouche est taillée spéciale turlute. Je bande comme un taureau. Puis je continu en niquant la belle Isa. Je défonce ensuite son cul. La salope, elle aime tout.
Alors qu’après avoir retiré mon latex, je plonge de nouveau dans les profondeurs de son con, voilà que ses jambes me ceinturent la taille et elle me sert le zob de son vagin. Là je me dis que je ne vais pas tenir longtemps. Surtout que Claude, par derrière, me suce les bourses. Puis sa langue dévie vers mon p’tit trou.
Je veux me dégager mais Isa me tient bien. Tu me connais, c’est un endroit où je ne laisse personne me toucher. Mais Claude me clou littéralement et je sens sa langue entrer et sortir à toute vitesse. Putain… au bout de deux ou trois minutes de ce traitement je ne peux empêcher mon p’tit trou de s’ouvrir et la Claude y fait entrer un doigt. Elle le tournicote à droite, à gauche, elle le rentre puis le ressort. Puis combine les mouvements. Pendant tout ce temps la belle Isa s’empale à qui mieux mieux au bambou. La Claude m’en met un deuxième dans le cul et je ne peux rien faire. Mieux, vois-t-y pas que j’y prends plaisir au point d’aller à la rencontre de la main. Je me retrouve dans la situation que si j’avance le bassin je plonge dans Isa et si je recule ce sont les doigts de Claude.
Putain !... Pour moi c’est la honte. Elles me font subir ce traitement jusqu’à ce que je me vide dans le con d’Isa. Je suis fourbu. Écroulé, avec les jambes d’Isa qui continuent de m’immobiliser et Claude qui m’appui sur le dos. Quand elle retire ses doigts je me surprends à gendre comme une femelle. Il est vrai qu’à force de me faire limer la rondelle la douleur du départ c’est transformée en un surprenant plaisir. J’en suis presque déçu de ne plus sentir les doigts me niquer. Mais, que fait-elle ?... Je sens quelque chose de chaud et doux à la fois qui prend appui à l’entrée de mon anus. Avant de comprendre la chose est entrée.
C’est une fois qu’elle est bien au fond de moi que je réalise.
- Mais, putain, t’es pas une femelle ?
C’est là que je réalise la supercherie. En bas je n’ai vu dans son corps, sa démarche, son gestuel qu’une superbe femme. Et à présent j’ai, bien au fond de mon cul une queue d’homme et quelle queue ! Elle me labour, doucement au début et ensuite de plus en plus rapidement. J’ai l’impression qu’elle devient plus grosse et plus raide. Isa m’a libéré mais je ne pense même plus à me défiler.
C’est même le contraire. Je prends une meilleure position. Je couine comme une pouliche en rut. Claude se moque de moi « Alors le beau mâle… Tu pensais baiser deux femmes et c’est toi qui te fais tringler par un travelo ». Puis il décule et me retourne comme une crêpe, m’attrape par les cheveux et m’enfile sa bite dans la bouche.
- Allez salope suce moi à fond. Parce que tu es bien une salope ?
Au début je résiste, j’évite la tige qui vient de sortir de mon cul. Elle a une odeur pas très agréable. Mais la vue de ce corps de femelle. Sa douceur au touché. Ses doigts fin, tout en longueurs. Les ongles impeccable et vernie à la même couleur que son rouge à lèvres. Plus une force incroyable, fait que je finis par la prendre en bouche. Le gout n’est vraiment pas plaisant, mais la Claude me tient fermement et me baise littéralement la bouche.
- Humm ! Ta bouche est chaude et douce… Allé, continue. Nettoie-la bien à fond. Montre-moi comment une salope sait sucer.
Pour moi c’était la honte. Comme humiliation c’était réussie et pourtant je n’essayais plus de me dégager.
Je suçais même avec délice son paf. Cela devenait un vrai plaisir. Sentir sa bite vibrer et me limes jusqu’au fond de la gorge huummm !
Puis je l’ai senti se raidir et brusquement toute ma bouche c’est retrouvée remplie de son nectar. Il venait de m’envoyer toute sa sauce et il m’a fallu tout avaler.
Ensuite il a pris son téléphone et a composé un numéro.
- Allo, Pascale ? … Ma chérie, t’es libre ? … Ah t’es en bas… J’ai dégoté un macho que je viens de baiser et il suce à merveille, ça te dis ? … Nous sommes au huit. Et tu vas pouvoir lui défoncer le cul. Viens vite mon chou.
- Eh, c’est quoi ce délire ? Après deux ou trois minutes une bombe vient d’entrer dans mon champ de vision. Le trave a une paire de miches qui ont dû passer par Michelin, ainsi que son cul. Autant la Claude ressemble à une hyper pin-up, autant la Pascale ne peut cacher sa morphologie de mâle. Et ce n’est pas le pot de peinture qu’il a sur la tronche qui change les choses. En plus il faut voire les bourrelés de graisse qui déborde entre ses bas et la culotte de grand’mère. Par contre il est sacrément bien monté. Même au repos elle doit faire dans les quatre centimètres d’épaisseur et d’une belle longueur. J’ai les yeux rivet dessus et je me dis qu’en pleine forme elle doit sacrément dilater un p’tit cul comme le mien. Oui mais derrière lui trois « monsieur muscle » apparaissent. Tous les trois sont couverts juste d’un tee-shirt. Putain !... Ils sont drôlement bien montés, du même style que le bibendum Pascale.
- Alors, ma chérie, voilà notre macho ?
Et le bibendum s’approche de moi, il m’attrape la bite et tire dessus. Dans la douleur j’avance et il en profite pour me faire faire un demi-tour sur moi-même. Aussitôt je sens un de ses doigts-boudin me poignarder l’anus et avant que je puisse réagir il me colle son bambou sur ma bouche qui, instinctivement, s’ouvre.
C’est un vrai bouchon que j’ai en bouche et bibendum, d’une voix suave, me dit « Allé chéri, montre-moi que tu sais vraiment sucer une bonne queue. Hé, les Lou, remuez-vous, il faut lui dilater la chatte !»...
En moi-même je me dis qu’il est temps que je lui fasse ma spéciale. Je sais qu’il ne va pas y résister. -Oh, putain. Arrête !... Il faut que je rentre à l’hôtel. Demain j’ai rendez-vous avec mon patron.
Mais deux minutes après, pour lui, il n’est plus question de retourner à l’hôtel. Et le restant de… Non, le début de sa journée a démarré dans mon lit. Ce jour-là, je n’ai pas su la fin de son aventure. La seule chose que je sais c’est qu’à présent il est devenu réversible.
Cette aventure est arrivée à mon meilleur copain. Ce samedi-là, au petit matin, nous rentrions de notre virée dans le quartier chaud de Nice. Bien sûr nous aussi nous étions un peu chaud, légèrement éméchés quoi !
En entrant Roland me dit « Michel t’as vu le trave, il nous a dragué sans vergogne. »
- Houai, mais tu l’as aussi bien aidé…
- Oui, c’est vrai. Depuis pas mal de temps je les cherche. Faut dire aussi, depuis que tu es partie, j’ai bien du mal à trouver une salope comme toi. Alors un samedi soir je suis retourné au club privé, c’était soirée mixte. J’avais déjà lubrifié les roulements de deux petites lopes et je devais reprendre un peu de force. Je suis allé au bar commander… Tu sais ces trucs qui se boivent comme du petit lait, mais qu’au troisième verre tu ne peux plus te décoller le cul de ton siège sans piquer le nez par terre ?
- Oui, ils appelaient ça « le p’tit qui tue ».
- Houai, c’est ça, le p’tit qui tue ! Donc, je sirotais ce truc bien tranquillement. Tout en zieutant les environs.
Voie t-y pas que je repère une nana… Au putain un sacré morceau !… Je suis sûr que même un eunuque se serait mis à bander.
Je vois qu’elle aussi me reluque. Je lui fais un petit signe. Elle me sourit, avec une bouche spécialement modelée pour tailler la turlute. J’insiste, elle se lève et vient dans ma direction. Je ne te raconte pas de bobards, crois-moi. Si tu avais vu ce châssis !... Au moins un mètre quatre-vingt-dix, mince mais bien en chair. Une belle tête encadrée par une longue chevelure blonde descendant jusqu’aux reins.
Et ce corps… Putain pas croyable, une vraie madone. Une chute de rein !... T’aurais pu y manger ta soupe sur sa croupe sans en renverser une seule goutte.
Et ses nibards… Deux beaux vallons qui encadraient une gorge profonde, le tout enfermé dans un
chemisier satiné blanc. Ils étaient à deux doigts de bondir dehors. Oh les pauvres je les entendais crier « Au secours !... On étouffe !... Libérait-nous » et moi j’espérais bien en faire mon petit dèj. Sous sa jupe noire qui lui moule bien le cul, une paire de guiboles gainées de bas tout aussi noirs. La jupe est si courte que l’on voie bien ses cuisses au-dessus de la dentelle qui borde les bas. Bonjour beau mâle. Qu’elle me dit.
- Bonjour, puis-je offrir une boisson à la princesse de ces lieux ?
Elle me sourit, je fais signe au barman et demande à la nana ce qu’elle désir.
- La même chose que toi chéri.
Voilà près de dix minutes que nous sirotons tout en discutant, quand… « Bonjour Claude. Tu as pris racine ici ? ». Nous nous retournons et là je reste figé sur place. Je rêve ? Ce n’est pas possible ? En plus petite je vois ma déesse. Même visage mais des cheveux courts, même corps sauf les hanches plus arrondies. Plus femme encore que la dénommée Claude. J’en bande. La petite jette un œil dans le verre de Claude et lui demande ce qu’elle boit.
- La même chose que…?
- Roland, vous c’est donc Claude et…
- Moi, je suis sa sœur Isabelle… Isa pour les intimes. Ce n’est pas « le p’tit qui tue » que vous buvez-là ?
- Si.
- Alors non merci. Je monte, vous me rejoignez ?
Du coup je regarde Claude. On se sourie et nous suivons la belle Isa. Là-haut il n’y a que des cabines et des glory holes. A l’idée de ce qui m’attend, j’en bande déjà.
Dix minutes plus tard je suis en train de bouffer la chatte d’Isa et Claude me fait une vraie pipe. J’avais raison, sa bouche est taillée spéciale turlute. Je bande comme un taureau. Puis je continu en niquant la belle Isa. Je défonce ensuite son cul. La salope, elle aime tout.
Alors qu’après avoir retiré mon latex, je plonge de nouveau dans les profondeurs de son con, voilà que ses jambes me ceinturent la taille et elle me sert le zob de son vagin. Là je me dis que je ne vais pas tenir longtemps. Surtout que Claude, par derrière, me suce les bourses. Puis sa langue dévie vers mon p’tit trou.
Je veux me dégager mais Isa me tient bien. Tu me connais, c’est un endroit où je ne laisse personne me toucher. Mais Claude me clou littéralement et je sens sa langue entrer et sortir à toute vitesse. Putain… au bout de deux ou trois minutes de ce traitement je ne peux empêcher mon p’tit trou de s’ouvrir et la Claude y fait entrer un doigt. Elle le tournicote à droite, à gauche, elle le rentre puis le ressort. Puis combine les mouvements. Pendant tout ce temps la belle Isa s’empale à qui mieux mieux au bambou. La Claude m’en met un deuxième dans le cul et je ne peux rien faire. Mieux, vois-t-y pas que j’y prends plaisir au point d’aller à la rencontre de la main. Je me retrouve dans la situation que si j’avance le bassin je plonge dans Isa et si je recule ce sont les doigts de Claude.
Putain !... Pour moi c’est la honte. Elles me font subir ce traitement jusqu’à ce que je me vide dans le con d’Isa. Je suis fourbu. Écroulé, avec les jambes d’Isa qui continuent de m’immobiliser et Claude qui m’appui sur le dos. Quand elle retire ses doigts je me surprends à gendre comme une femelle. Il est vrai qu’à force de me faire limer la rondelle la douleur du départ c’est transformée en un surprenant plaisir. J’en suis presque déçu de ne plus sentir les doigts me niquer. Mais, que fait-elle ?... Je sens quelque chose de chaud et doux à la fois qui prend appui à l’entrée de mon anus. Avant de comprendre la chose est entrée.
C’est une fois qu’elle est bien au fond de moi que je réalise.
- Mais, putain, t’es pas une femelle ?
C’est là que je réalise la supercherie. En bas je n’ai vu dans son corps, sa démarche, son gestuel qu’une superbe femme. Et à présent j’ai, bien au fond de mon cul une queue d’homme et quelle queue ! Elle me labour, doucement au début et ensuite de plus en plus rapidement. J’ai l’impression qu’elle devient plus grosse et plus raide. Isa m’a libéré mais je ne pense même plus à me défiler.
C’est même le contraire. Je prends une meilleure position. Je couine comme une pouliche en rut. Claude se moque de moi « Alors le beau mâle… Tu pensais baiser deux femmes et c’est toi qui te fais tringler par un travelo ». Puis il décule et me retourne comme une crêpe, m’attrape par les cheveux et m’enfile sa bite dans la bouche.
- Allez salope suce moi à fond. Parce que tu es bien une salope ?
Au début je résiste, j’évite la tige qui vient de sortir de mon cul. Elle a une odeur pas très agréable. Mais la vue de ce corps de femelle. Sa douceur au touché. Ses doigts fin, tout en longueurs. Les ongles impeccable et vernie à la même couleur que son rouge à lèvres. Plus une force incroyable, fait que je finis par la prendre en bouche. Le gout n’est vraiment pas plaisant, mais la Claude me tient fermement et me baise littéralement la bouche.
- Humm ! Ta bouche est chaude et douce… Allé, continue. Nettoie-la bien à fond. Montre-moi comment une salope sait sucer.
Pour moi c’était la honte. Comme humiliation c’était réussie et pourtant je n’essayais plus de me dégager.
Je suçais même avec délice son paf. Cela devenait un vrai plaisir. Sentir sa bite vibrer et me limes jusqu’au fond de la gorge huummm !
Puis je l’ai senti se raidir et brusquement toute ma bouche c’est retrouvée remplie de son nectar. Il venait de m’envoyer toute sa sauce et il m’a fallu tout avaler.
Ensuite il a pris son téléphone et a composé un numéro.
- Allo, Pascale ? … Ma chérie, t’es libre ? … Ah t’es en bas… J’ai dégoté un macho que je viens de baiser et il suce à merveille, ça te dis ? … Nous sommes au huit. Et tu vas pouvoir lui défoncer le cul. Viens vite mon chou.
- Eh, c’est quoi ce délire ? Après deux ou trois minutes une bombe vient d’entrer dans mon champ de vision. Le trave a une paire de miches qui ont dû passer par Michelin, ainsi que son cul. Autant la Claude ressemble à une hyper pin-up, autant la Pascale ne peut cacher sa morphologie de mâle. Et ce n’est pas le pot de peinture qu’il a sur la tronche qui change les choses. En plus il faut voire les bourrelés de graisse qui déborde entre ses bas et la culotte de grand’mère. Par contre il est sacrément bien monté. Même au repos elle doit faire dans les quatre centimètres d’épaisseur et d’une belle longueur. J’ai les yeux rivet dessus et je me dis qu’en pleine forme elle doit sacrément dilater un p’tit cul comme le mien. Oui mais derrière lui trois « monsieur muscle » apparaissent. Tous les trois sont couverts juste d’un tee-shirt. Putain !... Ils sont drôlement bien montés, du même style que le bibendum Pascale.
- Alors, ma chérie, voilà notre macho ?
Et le bibendum s’approche de moi, il m’attrape la bite et tire dessus. Dans la douleur j’avance et il en profite pour me faire faire un demi-tour sur moi-même. Aussitôt je sens un de ses doigts-boudin me poignarder l’anus et avant que je puisse réagir il me colle son bambou sur ma bouche qui, instinctivement, s’ouvre.
C’est un vrai bouchon que j’ai en bouche et bibendum, d’une voix suave, me dit « Allé chéri, montre-moi que tu sais vraiment sucer une bonne queue. Hé, les Lou, remuez-vous, il faut lui dilater la chatte !»...
En moi-même je me dis qu’il est temps que je lui fasse ma spéciale. Je sais qu’il ne va pas y résister. -Oh, putain. Arrête !... Il faut que je rentre à l’hôtel. Demain j’ai rendez-vous avec mon patron.
Mais deux minutes après, pour lui, il n’est plus question de retourner à l’hôtel. Et le restant de… Non, le début de sa journée a démarré dans mon lit. Ce jour-là, je n’ai pas su la fin de son aventure. La seule chose que je sais c’est qu’à présent il est devenu réversible.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
MMMMMMMMMMMMM superbe et super exitend moi aussi j'adore les queuesssss et suis bi
passif si ca pourrai m'arive un truc pareil j'en devidrai folle lol
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