Première sodomie sur l'ile

- Par l'auteur HDS Kucho -
Récit érotique écrit par Kucho [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Première sodomie sur l'ile Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-04-2011 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Première sodomie sur l'ile
Me voici à l’entrée de l’hiver de ma vie. Il y a, maintenant, bientôt 60 ans j’ai connu ma première sodomie. Pourtant je m’en souviens encore comme si c’était hier. Aussi vais-je vous raconter cette première aventure comme si cela se passé maintenant.
Le soleil brille haut et malgré la chaleur je marche d’un bon pas, c’est que la route est longue entre la maison et Vichy-plage ; il y a bien cinq kilomètres à faire.
Arrivée sur le pont de Bellerive, je m’arrête à mi-distance et regarde par-dessus le parapet afin d’admirer les iles qui se trouvent au beau milieu de la rivière. Après chaque période de crue, elles prennent des contours différents. Certaines s’agrandissent alors que des petites sont comme avalées par un mystérieux affamé. Sur les petites et sur le bord des grandes, côté face au courant, il s’y trouve comme des plages de galets. D’autres, les plus anciennes, sont recouvertes de roseaux. Sur leur bord des barques de pêcheurs y sont souvent accrochés. Au bout du pont je tourne à gauche et je remonte le long de la rivière vers la plage. Le sable gris du chemin est très sec. A chaque pas un nuage de poussière se soulève et teinte mes sandales d’un gris sale. Ce soir, avant de rentrer, il ne faudra pas oublier de les nettoyer. Quand je parviens à la plage, je me dépêche de retirer la chemisette, le pantalon et mes sandales. Je mets tout cela en boule et je les porte à la consigne.
- Bonjour madame.
- B’jour ch’tit gars, ti es tou’seul’jourd’hui ?
- Et bien… Oui. Mes copains sont allés au cinéma.
- Et pourqu’ouai donc ? Ont-ils peur du soleil ?
- Oh non madame. Ils l’ont décidé hier déjà.
- Houai pas très courageux ses ch’tis, surtout qu’l’eau n’est pas chaude, c’est’y qu’ils craignent l’eau mouillée donc ?... Allé donnes m’houai tes loques et cinquante centimes par la même occasion.
Une fois les vêtements en lieu sûre et m’être soulagé des cinquante centimes de consigne, je me dirige directement vers l’eau et pénètre doucement dedans. Eh ! C’est que même en Mai l’Allier n’est jamais très chaude. Une fois habitué à sa température, je décide de faire la traversée à la nage. Il y a pas mal de courant il me faut donc adapter ma nage de façon à ne pas être déporté trop bas. Arrivée sur l’autre berge je me cramponne sur les blocs de pierres afin de reprendre mon souffle. Le bloc est assez chauffé par le soleil pour me réchauffer les jambes et le dos. Je regarde le monde gesticulait de l’autre côté, sur la plage. J’aime les voir d’ici. Certains font de la bronzette tout l’après-midi. Des jeunes se courent après, d’autre jouent dans l’eau, ou bien sur la plage au ballon. Et moi ? Eh bien moi, j’aime nager.
Quand je me suis assez reposé je reprends ma nage pour le retour. Arrivé sur la plage je suis trop fatigué, surement à cause de l’eau tellement froide que j’en ai les jambes toutes bleues. Alors, pour reprendre un peu de force je remonte la berge car un peu plus haut je connais une plate-forme tranquille.
Arrivé là je prends possession de la plate-forme. Je m’installe confortablement et je me détends. Je ne sais pas combien de temps que je suis là, mais dans ma somnolence j’entends une personne qui m'interpelle et me demande si l'eau est bonne, si ce n’est pas trop profond et s’il pouvait venir. Avant d'avoir fait surface pour lui répondre il est là.
- Mais c'est chouette! Une fois assis plus personne ne peux te voir!...
Puis il s’assoit face à moi et me regarde en silence avec un grand sourire. J'en profite pour le regarder. Il est bien plus grand que moi. Mais c'est un vieux !... Il doit avoir au moins trente ans, ses manières ne me plaisent pas du tout et il me dit qu’il est de Tunis. Qu’il est, comme tous les ans, à Vichy pour son foie qui lui joue des tours. Mais qu’il s’y ennui car il ne connaît personne. Alors aujourd’hui il est venu à la plage. Après un moment de discussion sur tout et rien il me demande si je vais me baigner. Je lui réponds que oui car il commence à faire frais ainsi à l’ombre au bord de la rivière. Et je me lève, j'entre dans l'eau puis je me retourne. Le type se déshabille et entre dans l'eau. Je dois avoir des yeux tout ronds de merlins frits. Il me demande ce qu'il y a… C’est qu’il est nu comme un ver. Mon regard est comme hypnotisé par la longueur de son sexe. Il est vrai que je n’en ai jamais vu, hormis ceux de mes copains. Je lui dis qu’ainsi il va vite se retrouver au commissariat.
- Mais je n'ai pas de maillot!... Où pourrais-je me baigner ainsi?
- Dans les iles!... Mais vous ne pouvez y aller qu'à la nage ou en pédalo.
Le type me demande si je veux bien venir faire un tour de pédalo avec lui. Si je veux?... Quelle aubaine!... Aussitôt j'approuve de la tête. Finalement ce type ne m’est plus antipathique, il est même drôlement sympa. Nous sortons de l’eau et il s’habille. Quand nous arrivons à la plage pour louer le pédalo je vois la femme qui me regarde en fronçant les sourcils.
- Ben ch’tit gars… ti est ben sure de touai ?
- Sure de quoi ?
Elle se penche à mon oreille et me dit – Ta point peur d’te prom’ner avec un estranger ? C’est’i dangereux à ton âge !
- Non madame, nous allons juste faire un tour dans l’ile.
- Ben just’ment pardi à ton âge !… Il peut’faire plein’d’chose là-bas.
Puis, devant mon insistance, elle nous désigne le pédalo à prendre, se fait payer la location pour le reste de l’après-midi et s’éloigne en haussant des épaules.
Nous voilà partis directement vers une ile que je connais très bien pour y avoir péché avec mon père. Arrivé sur les lieux, il se remet en tenue d'Adam et nous entrons dans l'eau. Tout en nageant à ma hauteur, il me demande mon âge.
- Pourquoi?
- Oh, rien. T'es déjà un beau jeune homme... T'as des copines?
- Non... Les filles, c'est trop bête.
Tout en discutant nous arrivons dans une zone où le niveau d'eau m'arrive à la poitrine. Et le type me demande si je suis capable de passer entre ses jambes.
- Houai, c’est facile.
Il écarte ses jambes et je plonge, je passe entre ses jambes et remonte derrière lui.
- Bravo, tu es un bon nageur... A moi maintenant.
Alors j'écarte les jambes et il plonge, mais il ne descend pas assez. Vlan!... Il m'envoie un coup de tête juste sur le sexe. Ce n’est pas la douleur qui me fait crier, c'est la surprise. Il remonte à la surface et me regarde d’un air vraiment navré.
- Oh... Pardon!... Tu vois, je ne suis pas aussi bon nageur que toi. Retournons vite sur terre, pour que je puisse voir si tu n’as rien de grave... Tu sais un coup comme ça peut être dangereux... Il faudrait que je puisse voir et peut-être devoir masser.
Nous reprenons pied sur l’ile. Mais les roseaux nous font trop mal. Il faut remonter un peu plus loin pour trouver un endroit mieux adapté à une marche pieds nus. Plus loin, nous voyons un petit sentier que nous prenons et, après cinq ou six mètre un emplacement est ménagé, surement par des prédécesseurs, avec sur un côté une grosse pierre plate. Nous nous asseyons sur celle-ci et le type me dit – Bien maintenant il faut que je t’examine pour être sure que tu n’as rien de grave. Tu veux bien ? De la tête, je lui fais que oui. Il tire un peu mon maillot et il me masse le sexe avec le plat de la main. Après une petite minute il me dit qu’il ne peut pas voir ainsi et qu’il doit décalotter mon zizi. Le petit massage m’a procuré un plaisir qui a fait gonfler un peu mon sexe. Alors je lui dis que oui. Il est beaucoup plus vieux que moi, donc il doit savoir ce qu’il faut faire.
- Eh!... Mais j’ai l’impression que ça t’as plu? – Bon, je vais mieux te regarder pour m’assurer que tu n'as vraiment rien... Il faut que tu descendes ton maillot plus bas.
Je baisse mon maillot. Mais d’un geste rapide il me l’enlève complètement et il regarde. Puis il me la tripote.
- Tu sais que t'as une belle bite ? Elle est mignonne mais elle est froide!... Il faudrait que je te la réchauffe… T'es d'accord?
De la tête je fais de nouveau oui. Alors il me prend le sexe entre deux doigts et repousse la peau en arrière, puis la remet en place et il recommence plusieurs fois en découvrant de plus en plus mon gland et de plus en plus rapidement. Moi je sens mon sexe grossir et un bien être qui me prend depuis le bas ventre. Progressivement je tends mon ventre et des frissons bizarres me parcours tout le corps. Puis il me dit:- A présent, je crois que je peux te la réchauffer.
Il décalotte complètement le gland. Puis me le prend en bouche. Je ressens un effet incontrôlable qui me traverse tout le corps à une vitesse fulgurante, un plaisir qui se poursuit jusque dans la tête. L'effet me fait reculer le bassin. Je m'entends lancer un cri strident. Mais, aussitôt je mets les deux mains sur sa tête et je l’appui contre mon ventre. Je sens mon pénis très gonflé aller tout au fond de sa bouche. Ensuite, presque qu'à chaque coups de langue qu’il me donne, mon pénis gonfle un peu plus et se raidis progressivement. Un plaisir étrange prend possession de moi et quand le type me demande si je veux bien devenir sa petite femme, je m'entends lui répondre que oui. Un dialogue étrange s'engage entre lui et moi.
- Alors ma p'tite femme ça te plais T'es une vraie p'tite putain hein?
- Oui... Je suis une... C'est quoi une putain?
- Une p'tite femme comme toi qui aime bien la bite. Je vais t’apprendre quelque chose qui va faire de toi ma vraie petite femme, tu veux bien?
En me disant tout ça, je sens un plaisir étrange qui prend naissance dans les reins, puis descend le long de la colonne vertébrale et passe dans la base de mon pénis. Celui-ci se met à devenir très dure. J’ai des frissons derrière la tête. Puis, dans des soubresauts produits par un violent plaisir quelque chose s'écoule.
- Mais oui, tu jouis ! Maintenant c'est à toi de me faire la même chose. Je suis sûre que tu vas adorer.
Alors il s’allonge le dos sur la pierre plate et me demande de le caresser comme il m'a fait. Je regarde son cierge, à côté du bien le sien est immense et gros mais je l'entour de mes doigts et je commence à faire des allées est retours. C'est doux au touché. Puis c'est marrant de voir ce gros gland violacé apparaître sur le bord de ma main puis disparaître à l’intérieur. Au début, je le fais assez lentement et à petit coups. Puis, prenant de l'assurance, j’amplifie le mouvement. Je suis fasciné, je devrais plutôt dire hypnotisé par l’engin.
- C'est bien petite... Continues, t’es douée. Je crois que je vais faire de toi une vraie salope.
Et moi, tout fière de ses compliments, je m'applique du mieux que je peux. Parfois, il me guide dans les gestes à réaliser. Il me dit fais ceci, fais cela, et j'exécute. D'autre fois il me complimente.
Maintenant il est devenu si long qu’il représente au-moins deux fois la largeur de ma main. Et sa vue a un drôle de pouvoir sur moi. J’éprouve un très grand plaisir à le secouer, mais ma surprise vient du fait que tout ça me procure une réelle jouissance et que mon sexe aussi c’est mis à gonfler.
- A présent, ma p'tite pute chérie, tu vas me sucer comme je t'ai fait. Tu veux bien ?
- Oui, je veux bien. Mais est-ce que vous ferez la même chose que celle qui m'est arrivé?
- oh!... Si tu t'appliques bien ce sera encore mieux. Je te le promets.
Alors je m'approche de son sexe. Il dégage une odeur forte, mais pas déplaisante. Son odeur a même sur moi un pouvoir attirant qui m'incite à passer la langue sur le bout du gland. Et en moi-même je me dis: « Le goût n’est pas terrible, mais ce n’est pas mauvais! » Et j'entoure tout le gland avec ma bouche.
- Vas y ma salope, entre là bien à fond et suce là comme une sucette... Bien, continus... Branle-moi... Non, tu me branles et en même temps tu me la suce... Oui, c'est ça, continus.
Il me prend la tête et c'est lui qui avance et recule le bassin. Sa queue entre puis ressort toute seule. Je garde seulement les lèvres autour d'elle. Elle est devenue très grosse, j'en ai mal à la mâchoire. Mais je ne veux pas le décevoir et je la garde en bouche. Je la sens se raidir, il a une respiration forte et bruyante. Il me dit que ma récompense arrive. Ses appuis sur ma tête deviennent plus forts et sa queue me tape le fond de la gorge. Je suis obligé de la prendre en main pour en limiter la pénétration. Voilà qu'elle devient extrêmement dure puis fait quelques soubresauts et je sens quelque chose de chaud qui frappe le fond de ma gorge. C'est une giclé, puis une deuxième. J'en ai plein la bouche, alors je déglutis. Pouah! C'est amer et sucré en même temps, c'est gluant. Et pouff !... Une troisième puis une quatrième giclée me remplissent de nouveau la bouche que je ravale. Ah, cette fois c'est moins mauvais. Alors je me remets à sucer.
Chaque fois que je la sort de ma bouche, la glue me coule autour des lèvres.
- Eh bien ma salope, pour une première tu t'es bien défendue. Continus à me lécher jusqu'à complète disparition du nectar. Et ensuite nous allons nous reposer. Après je te transformerai en une vraie pute.
Alors on s'allonge sur le dos cote à cote. Il me parle de chose et d’autre. Puis silence. Ce silence a duré une vingtaine de minutes puis:- Au fait, quel est ton prénom ?
- Michel.
- Michel, tu ne m'as pas répondu tout à l'heure.
- Sur quoi?
-Je t'ai demandé si tu voulais bien devenir ma femme pour de bon.
- Mais, je ne suis pas une fille!
- Oh... Pour moi t'es mieux qu'une fille. T'as même un p'tit trou pour cela. Et c’est par là que tu vas devenir une vraie salope de pute.
- Ben... Je... Mais c'est comment?
- Je vais te montrer tout à l'heure. Mais pour l’instant mets-toi sur moi. Ta tête du côté de mon entre-jambe et ton ventre du côté de ma tête. Tu me refais comme tout à l'heure et moi je te fais la même chose.
-Je te branle et je te suce?
-Oui, t'as tout compris. Décidément t'es doué! Je suis sûre que tu vas devenir une sacrée salope.
Je me mets en place et je commence à jouer avec son sexe. Lui il commence à me branler. Alors je m’applique à lui faire tout ce qu'il me fait. La branlette, comme il dit, puis la pipe, et je vois sa queue gonfler, puis se raidir. Mais lui, en plus, il se met à jouer avec mes boules. Il les aspire entièrement, me les tire, qu'est-ce que c'est bon. Tellement bon que je me mets à gendre. Comme tout à l'heure des frissons me parcourent tout le corps.
Dans mon plaisir, je sens son doigt me chatouiller mon petit trou. Alors, instinctivement, je me contracte, mais comme il appui un peu plus fort, sont doigt me fait mal.
-Aïe, ça fait mal!
-Détends-toi ma p'tite pute, tu vas voire comme c'est bon.
Alors j’essaie de me détendre.
-Ouvres-toi, comme si tu chiais.
Alors je fais comme il me dit mais pas trop fort quand même et voilà mon petit trou ainsi ouvert, je sens son doigt qui commence à me pénétrer. Le pourtour me brûle au début. Puis je commence à avoir des petits frissons au derrière. Armel en profite pour y faire glisser son doigt plus loin. Puis vient le moment où je sens qu'il m’élargit encore plus mon trou avec un second doigt et le troisième arrive très vite. Étrangement, au lieu de me faire plus mal, je prends un réel plaisir. Au point qu'à présent c'est avec plaisir que je lui fais une vraie fellation, très ample et rapide.
-Oh!... Arrête petite. Si tu continues à ce rythme, je vais tout lâcher. C'est le moment de tenir ma promesse.
Il me pousse sur le côté et puis il s'assoit.
- Viens au-dessus de moi. Oui, comme ça. Assois-toi sur ma bitte. Attends.
Je sens le bout de son gland qui se positionne sur mon petit trou. Le contact est loin d'être désagréable. Cela me donne une impression que je n'avais pas ressentie jusque-là. Puis il m'a doucement déposé sur son sexe. Je la sens forcer l'entrée. Mon petit trou ne s'ouvre pas et je ressens la même douleur qu'au début du doigtage, mais en plus violent. Je me surprends même à pleurer.
- Déteints-toi chérie. Tu vas voire comme c'est bon.
Au fur et à mesure qu'il me relâche sur sa queue, je la sens entrer. Plusieurs fois elle part de mon trou, alors il recommence. A chaque nouvelle tentative, c'est de moins en moins douloureux et elle peut aller bien plus loin. Passé l'obstacle de ma rondelle, je sens sa queue glisser tranquillement jusqu'au fond de mon fondement.
-Attend... Arrêtes, j'ai envie de faire mes besoins!
- Non, c'est normal. Je te fais mal?
-Oui, un peu.
Alors il me prend à bras le corps et il se lève sans sortir de mon derrière. Il me dépose sur le côté de la pierre plate, à l’endroit où le sol forme une cavité. D’ailleurs je suis dans cette cavité à genoux et à plat ventre sur la pierre. Puis il recommence à faire des va et vient. Je sens sa queue entrer puis presque ressortir. Au début mon trou me brûle comme si il se déchirait. Puis, le temps s'écoulant, la brûlure se transforme en un plaisir qui va grandissant. Je ressens bien le frottement de sa queue dans mon rectum. Je me surprends à gendre et même à haleter. J'ai envie de me prendre la queue pour me masturber, mais je suis plaqué, écrasé sur la pierre et je ne peux pas l'atteindre.
Lui, il me traite d'un tas de nom. De salope, de pute. De vide couille, de garage à bite et bien d'autres qualificatifs. Maintenant je prends trop de plaisir, au point d’être sûre que je suis réellement une pute et cela m'excite terriblement. Puis, il se redresse et me prend par les hanches. Ses coups de bassin deviennent plus amples et plus violents. Je sens ses doigts s'enfoncer encore plus dans ma chair et le frottement de son gros sexe dans mon anus commence à me brûler. J'ai mal à en pleurer. Le plaisir de tout à l'heure a disparu. Cela dure depuis trop longtemps. Brusquement, il me pénètre très violement en lançant des grognements roques et reste planté dans mon tréfonds. Je sens son sexe tressauter. Il recommence le manège plusieurs fois, puis je sens quelque chose de chaud qui coule dans mon anus. Nous restons un moment sans bouger, puis il se retire.
- Alors!... Cela t’a plu ?
J'ai le derrière qui me fait très mal. Je me sens salie. Mais, je ne veux pas le décevoir, alors je lui réponds: -Oui, beaucoup.
- Quel menteur tu fais. T'as mal au cul.
- Oui.
Puis silence, nous entrons dans l'eau pour nous laver. Moi, surtout l'entre jambe et les fesses où coule ce qu’il appelle son nectar. Lui, son sexe qui est tout souillé.
Un quart d’heure après nous arrivons sur la plage pour rendre le pédalo. Il me dit qu’il a pris beaucoup de plaisir à me connaître et il me donne rendez-vous pour le jeudi à l’hôtel Beaulieu si je veux bien.
Je n’ose pas lui dire non, mais j’ai bien trop mal pour lui répondre oui et donc sans lui répondre je rejoins la consigne pour récupérer mes vêtements.
- Ben, t’’en fait une tête !... T’as pas l’air très content. Ch’ti ai dit de ne pas aller av’c les éstrangers… Y t’as point fait de misère au moins ?
- Non madame. Mais je suis très fatigué… Vous pensez avec le pédalo et ce monsieur ne savait pas s’en servir … J’ai dû remonter toute la rivière tout seul.
- Tu sais, tu me rassure. Dans l’fond vaut mieux qu’y t’es berné comme ça. Car y en a qui prennent les ch’tis gars comme des filles et vue qu’ils n’ont point deux trous entre les jambes et ben y prennent celui qui reste.
La vache, elle a parfaitement compris ce qui s’est passé. A moi de comprendre le message.
Mais je suis trop fatigué alors je pars m’habiller dans la cabine et en route pour la maison, car il n’est pas de bonne heure et j’ai encore une heure et demie de marche.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Trop bien ce récit il m'a fait bander c'est le meilleur récit que j'ai lus

Histoire Erotique
vraiment dans les meilleurs histoire dans ce domaine ici.
Ma note A+

Histoire Erotique
J'ai adoré cette histoire. Je me vois aussi bien dans le rôle du jeune innocent (ah nostalgie du temps passé) que de celui du vieux pervers que je suis devenu, mais oserai-je initier ce jeune poulet?

Histoire Erotique
Franchement, c'est une des histoires les plus excitantes que j'ai lue depuis bien longtemps. Pas mal le style d'histoire qui aurait pu m'arriver étant jeune.

Histoire Erotique
Superbe histoire
As-tu revu ce type ?

Histoire Erotique
Une charmante histoire d'initiation, pleine de fraîcheur, assez bien racontée et très
excitante! J'ai particulièrement aimé le contraste entre la naïveté du jeune garçon et
les propos obscènes tenus par son initiateur; finalement, je crois que ce récit se
rapproche des meilleurs de la série.
a



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